Attitude #9.
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Attitude #9.
Le show n'a pas encore débuté, nous ne sommes qu'en milieu d'après-midi et pourtant, des centaines de fans sont déjà présents aux abords de l'AT&T Arena, espérant obtenir un sourire, un bisou, un autographe ou une poignée de main virile de la part du personnel de l'AWC qui arrive au compte-goutte. Et évidemment, quand Stone Cold arrive, c'est l'effervescence complète.
Les gens se poussent, s'écrasent, se pissent dessus pour avoir la chance de gagner une petite place et avoir la chance d'apercevoir un peu mieux leur idole. Heureusement, cette après-midi, Stone Cold a organisé une séance de signatures d'autographes. Il prend donc place derrière une table et commence à signer des autographes aux fans présents ce soir.
Stone Cold – Comment tu t'appelles, garçon ?
Children – Je m'appelle Terry, brother.
Stone Cold – Voilà pour toi, Terry. Et prends-bien tes vitamines chaque jours.
Gimmick infringement.
??? – Monsieur Austin ?
Stone Cold – Vous aurez votre autographe, mais faites la queue comme tout le monde.
??? – Nous devons vous parler, monsieur Austin.
Stone Cold – Et comme je viens de vous le dire, faites la queue et vous pourrez me parler.
??? – Monsieur Aus-...
Stone Cold – Shut up.
Le message est clair. Steve a cependant tout juste le temps de se retourner, histoire de demander qui est le suivant, qu'il retrouve la personne qui lui parlait, juste devant son nez.
Stone Cold – Bordel, mais vous vous foutez de ma gueule.
??? – Monsieur, je me présente, Directeur des opérations anti-terroristes sur le territoire des Etats-Unis d'Amériques au Pentagone. Nous menons une enquête sur ce qui s'est passé la semaine passée à Ground Zero, et nous avons besoin de votre témoignage.
Stone Cold – Vous pouviez pas le dire plus tôt ? Tout ce que j'sais, c'est que la limousine qui devait ramener John Cena à son hôtel a explosé alors qu'il était à l'intérieur.
Pentagon's Agent – Vous comprendrez vu les conséquences, que tout ceci n'était pas un simple accident et que nous devons enquêtez sur ce qu'il s'est passé, afin de savoir s'il existe ou non des risques de nouvelles attaques terroristes sur notre territoire.
Stone Cold – Faites ce que vous avez à faire, tant que vous m'empêchez pas de faire tourner ma fédération et que j'ai toujours mes packs de bières, vous êtes les bienvenues. Je suis prêt à vous aider à retrouver le fils de pute qui a fait ça.
Pentagon's Agent – Votre aide nous sera précieuse, monsieur Austin.
L'agent échange une poignée de main virile avec Stone Cold, pour conclure l'arrangement.
Stone Cold – J'peux me permettre une suggestion ?
Pentagon's Agent – Allez-y.
Stone Cold – Vous allez surement devoir enquêter et interroger les lutteurs de ma fédération, ce qui est normal. Mais je n'aurai certainement pas le temps pour vous épauler 24/24, et il en va de même pour le reste de mon équipe. Alors si je peux me permettre de vous suggérer le nom d'un homme qui vous serait d'une grande aide dans votre enquête.
Pentagon's Agent – Et quel est son nom ?
Stone Cold – Ken Anderson.
Wait for it, wait for it.
Pentagon's Agent – Anderson ?
Stone Cold – Un homme de confiance, un patriote. Il a mené un combat face à Abdallah Tarver la semaine dernière, pour l'honneur de notre pays.
Pentagon's Agent – Très bien, je vous promets d'être le plus discret possible et de vous tenir au courant de l'avancée de l'enquête.
Steve échange un signe de tête avec l'agent du Pentagone qui finit par partir, faisant tranquillement reprendre la séance d'autographe.
Stone Cold – Comment tu t'appelles, petite ?
Ce qui s'est passé la semaine dernière ne restera pas sans conséquences, et le Pentagone enquête déjà. Et ils ont même l'aide de Ken Anderson.. Anderson.
Les gens se poussent, s'écrasent, se pissent dessus pour avoir la chance de gagner une petite place et avoir la chance d'apercevoir un peu mieux leur idole. Heureusement, cette après-midi, Stone Cold a organisé une séance de signatures d'autographes. Il prend donc place derrière une table et commence à signer des autographes aux fans présents ce soir.
Stone Cold – Comment tu t'appelles, garçon ?
Children – Je m'appelle Terry, brother.
Stone Cold – Voilà pour toi, Terry. Et prends-bien tes vitamines chaque jours.
Gimmick infringement.
??? – Monsieur Austin ?
Stone Cold – Vous aurez votre autographe, mais faites la queue comme tout le monde.
??? – Nous devons vous parler, monsieur Austin.
Stone Cold – Et comme je viens de vous le dire, faites la queue et vous pourrez me parler.
??? – Monsieur Aus-...
Stone Cold – Shut up.
Le message est clair. Steve a cependant tout juste le temps de se retourner, histoire de demander qui est le suivant, qu'il retrouve la personne qui lui parlait, juste devant son nez.
Stone Cold – Bordel, mais vous vous foutez de ma gueule.
??? – Monsieur, je me présente, Directeur des opérations anti-terroristes sur le territoire des Etats-Unis d'Amériques au Pentagone. Nous menons une enquête sur ce qui s'est passé la semaine passée à Ground Zero, et nous avons besoin de votre témoignage.
Stone Cold – Vous pouviez pas le dire plus tôt ? Tout ce que j'sais, c'est que la limousine qui devait ramener John Cena à son hôtel a explosé alors qu'il était à l'intérieur.
Pentagon's Agent – Vous comprendrez vu les conséquences, que tout ceci n'était pas un simple accident et que nous devons enquêtez sur ce qu'il s'est passé, afin de savoir s'il existe ou non des risques de nouvelles attaques terroristes sur notre territoire.
Stone Cold – Faites ce que vous avez à faire, tant que vous m'empêchez pas de faire tourner ma fédération et que j'ai toujours mes packs de bières, vous êtes les bienvenues. Je suis prêt à vous aider à retrouver le fils de pute qui a fait ça.
Pentagon's Agent – Votre aide nous sera précieuse, monsieur Austin.
L'agent échange une poignée de main virile avec Stone Cold, pour conclure l'arrangement.
Stone Cold – J'peux me permettre une suggestion ?
Pentagon's Agent – Allez-y.
Stone Cold – Vous allez surement devoir enquêter et interroger les lutteurs de ma fédération, ce qui est normal. Mais je n'aurai certainement pas le temps pour vous épauler 24/24, et il en va de même pour le reste de mon équipe. Alors si je peux me permettre de vous suggérer le nom d'un homme qui vous serait d'une grande aide dans votre enquête.
Pentagon's Agent – Et quel est son nom ?
Stone Cold – Ken Anderson.
Wait for it, wait for it.
Pentagon's Agent – Anderson ?
Stone Cold – Un homme de confiance, un patriote. Il a mené un combat face à Abdallah Tarver la semaine dernière, pour l'honneur de notre pays.
Pentagon's Agent – Très bien, je vous promets d'être le plus discret possible et de vous tenir au courant de l'avancée de l'enquête.
Steve échange un signe de tête avec l'agent du Pentagone qui finit par partir, faisant tranquillement reprendre la séance d'autographe.
Stone Cold – Comment tu t'appelles, petite ?
Ce qui s'est passé la semaine dernière ne restera pas sans conséquences, et le Pentagone enquête déjà. Et ils ont même l'aide de Ken Anderson.. Anderson.
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Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #9.
IT WAS LAST WEEK.
...
GROUND ZERO, LIVE FROM GROUND ZERO.
Une minute de silence est respectée pour honorer la mémoire des morts du 11 septembre 2001. L'AWC soutient les familles des victimes. C'est ça aussi, la bonne Attitude.
Kurt l'a voulu, Angle l'a eu. Shawn Michaels a finalement répondu présent au challenge de l'olympic hero en lui collant un sweet chin music avant de le faire abandonner dans un match spectaculaire.
Del Rio ne parvient pas à mettre la main sur son certificat de travail et Stone Cold ne semble pas enclin à l'aider. Les jours du mexicain sur le sol américain sont comptés !
Ça chauffe entre Trish et madame Leavine. Andy s'interpose et évite le crêpage de chignon, mais ça ne fait aucun doute, Lauren en a gros sur la patate et espère bien régler ses comptes.
John Cena cherche toujours l'auteur de l'attaque qu'il a subi lors du quatrième Attitude. Ça n'est pas Triple H. Le danger plane toujours sur la tête du champ.
Après un match très technique, Shelton Benjamin devient le nouveau corporation champion et condamne Del Rio qui est emmené par les agents du service de l'immigration.
En venant à bout d'Abdallah Tarver et avec tout un pays derrière lui, Ken Anderson venge le temps d'un match les attentats du 11 septembre.
Les Dudleyz deviennent enfin champion en venant à bout de Gregory Helms et Bryan Danielson dans un match explosif.
Mais leur joie n'est que de courte durée puisque les Colons pointent le bout de leurs nez. Entre les deux familles c'est clair, ce ne sera pas le grand amour.
Triple H bat Cena est reste pas conséquent toujours invaincu à l'AWC. Mais s'il n'est pas le seul, il espère bien qu'à l'issue du PPV ce soit toujours le cas et le fait clairement savoir à Christian.
Son souhait se réalise puisque Christian devient Attitude Championship en lieu et place de l'Undertaker. L'arbitre du soir, Stone Cold Steve Austin, en profite même pour coller un stunner au deadman.
BOOOOOM !
AND NOW, ATTITUDE CONTINUES
...
THIS IS ATTITUDE NUMBER NINE LIVE FROM SAN ANTONIO, TX.
...
GROUND ZERO, LIVE FROM GROUND ZERO.
Une minute de silence est respectée pour honorer la mémoire des morts du 11 septembre 2001. L'AWC soutient les familles des victimes. C'est ça aussi, la bonne Attitude.
Kurt l'a voulu, Angle l'a eu. Shawn Michaels a finalement répondu présent au challenge de l'olympic hero en lui collant un sweet chin music avant de le faire abandonner dans un match spectaculaire.
Del Rio ne parvient pas à mettre la main sur son certificat de travail et Stone Cold ne semble pas enclin à l'aider. Les jours du mexicain sur le sol américain sont comptés !
Ça chauffe entre Trish et madame Leavine. Andy s'interpose et évite le crêpage de chignon, mais ça ne fait aucun doute, Lauren en a gros sur la patate et espère bien régler ses comptes.
John Cena cherche toujours l'auteur de l'attaque qu'il a subi lors du quatrième Attitude. Ça n'est pas Triple H. Le danger plane toujours sur la tête du champ.
Après un match très technique, Shelton Benjamin devient le nouveau corporation champion et condamne Del Rio qui est emmené par les agents du service de l'immigration.
En venant à bout d'Abdallah Tarver et avec tout un pays derrière lui, Ken Anderson venge le temps d'un match les attentats du 11 septembre.
Les Dudleyz deviennent enfin champion en venant à bout de Gregory Helms et Bryan Danielson dans un match explosif.
Mais leur joie n'est que de courte durée puisque les Colons pointent le bout de leurs nez. Entre les deux familles c'est clair, ce ne sera pas le grand amour.
Triple H bat Cena est reste pas conséquent toujours invaincu à l'AWC. Mais s'il n'est pas le seul, il espère bien qu'à l'issue du PPV ce soit toujours le cas et le fait clairement savoir à Christian.
Son souhait se réalise puisque Christian devient Attitude Championship en lieu et place de l'Undertaker. L'arbitre du soir, Stone Cold Steve Austin, en profite même pour coller un stunner au deadman.
BOOOOOM !
AND NOW, ATTITUDE CONTINUES
...
THIS IS ATTITUDE NUMBER NINE LIVE FROM SAN ANTONIO, TX.
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Re: Attitude #9.
ATTITUDE WRESTLING CORPORATION.
IT'S TIME TO CHOOSE THE RIGHT ATTITUDE.
« GIVE ME A HELL YEAH ! »
UNLEASH HELL.
« YOU LITTLE SUMBITCH ! »
AUSTIN 3:16 JUST WHOOPED YOUR ASS.
« WHAT ? »
THIS IS A NEW WRESTLING ERA.
« WHAT ? »
HOSTED BY THE TEXAS RATTLESNAKE, BEER DRINKER...
« THE TOUGHEST SUMBITCH OF WRESTLING HISTORY ! »
STONE COLD STEVE AUSTIN !
« OH HELL YEAH ! »
ARRIVE, RAISE HELL, LEAVE.
« WHAT ? »
THIS IS NOW...
« AND THAT'S THE BOTTOM LINE... »
THIS... IS... ATTITUDE !
« CAUSE STONE COLD SAID SO ! »
IT'S TIME TO CHOOSE THE RIGHT ATTITUDE.
« GIVE ME A HELL YEAH ! »
UNLEASH HELL.
« YOU LITTLE SUMBITCH ! »
AUSTIN 3:16 JUST WHOOPED YOUR ASS.
« WHAT ? »
THIS IS A NEW WRESTLING ERA.
« WHAT ? »
HOSTED BY THE TEXAS RATTLESNAKE, BEER DRINKER...
« THE TOUGHEST SUMBITCH OF WRESTLING HISTORY ! »
STONE COLD STEVE AUSTIN !
« OH HELL YEAH ! »
ARRIVE, RAISE HELL, LEAVE.
« WHAT ? »
THIS IS NOW...
« AND THAT'S THE BOTTOM LINE... »
THIS... IS... ATTITUDE !
« CAUSE STONE COLD SAID SO ! »
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Attitude : 3:16
Re: Attitude #9.
On ne change pas une équipe qui gagne. Chaque lundi vous avez droit à une intro freestyle, faite entre deux branlettes par un mec qui n’a pas que ça à faire autant qu’il n’en a pas envie. Et bien cette semaine, c’est la même. Encore plus peut être parce qu’il est minuit, que j’ai eu une putain de coupure de courant et que je me force car demain j’aurai tout juste le temps pour m’occuper du reste. Bon, j’avoue que je ne peux en vouloir qu’à moi, j’ai rien glandé du week end. Gumpy cherche encore à comprendre pourquoi on est plus d’un à s’y prendre à la dernière minute quand il s’agit de roleplayer/booker. Et bien je lui répondrais simplement que dans le fond, on est un peu sado. Un peu comme ceux qui tentent de débattre avec Morrigler et Algari.
Mais Attitude neuf ne fait pas débat. Comme pour ses prédécesseurs, toutes les places sont prises. Qu’on soit en eco ou VIP, on est debout à profiter de l’ambiance générale qu’il y a dans l’AT&T Arena de San Antonio. Il faut dire qu’après treize semaines (en espérant que ça ne nous porte pas malheur), les cops sont rodés. Aux quatre coins de l’arène des leaders sont postés dessus les rambardes et crient divers slogans que la foule se plait répéter avec grand bruit. D’un côté on vante les mérites de Christian, de l’autre on réclame l’Undertaker pourvu que le petit cul de McCool soit en rendez-vous. D’un côté on mange des pommes, de l’autre on ne trouve pas ça assez hardcore. Mais si les avis diverges, tous sont unanimes pour dire que ce soir encore Attitude ne laissera pas de place à la concurrence.
« HBK ! HBK ! HBK ! »
Oui vous l'avez compris, ce soir celui que tout le monde réclame n'est pas Stone Cold, mais bel et bien Shawn Michaels. La salle est d'ailleurs décoré à son image. On peu voir des banderoles vantant ses mérites, des portraits plus vrais que nature, une multitude de produits dérivés à son effigie et un nombre incalculable de demoiselles vierges le demandant en mariage. Mais si la ferveur qui l'entour ne laisse aucun doute quant à l'orientation du public du soir, l'entrée de nos commentateurs favoris ne laisse pas indiffèrent et tout le monde applaudit Booker T et Bill DeMott. Ce soir, ils ont le sourire jusqu'aux oreilles. Ce soir, tout est rentré dans l'ordre et il n'y a plus aucun raison pour qu'ils prennent l'air grave. C'est donc en toute décontraction qu'ils s'installent à leur table et sirote une bière probablement offert par Steve Austin durant il y a peu, puisqu'encore fraiches.
« HBK ! HBK ! HBK ! »
Booker T – Welcome everybody to Attitude !
Bill DeMott – Ah ouais, j'aime beaucoup. Je ne sais pas toi, mais moi, je n'ai qu'une envie, c'est que le show commence.
Booker T – La même, alors on ne va pas s'éterniser. Let's go, suckas !
Mais Attitude neuf ne fait pas débat. Comme pour ses prédécesseurs, toutes les places sont prises. Qu’on soit en eco ou VIP, on est debout à profiter de l’ambiance générale qu’il y a dans l’AT&T Arena de San Antonio. Il faut dire qu’après treize semaines (en espérant que ça ne nous porte pas malheur), les cops sont rodés. Aux quatre coins de l’arène des leaders sont postés dessus les rambardes et crient divers slogans que la foule se plait répéter avec grand bruit. D’un côté on vante les mérites de Christian, de l’autre on réclame l’Undertaker pourvu que le petit cul de McCool soit en rendez-vous. D’un côté on mange des pommes, de l’autre on ne trouve pas ça assez hardcore. Mais si les avis diverges, tous sont unanimes pour dire que ce soir encore Attitude ne laissera pas de place à la concurrence.
« HBK ! HBK ! HBK ! »
Oui vous l'avez compris, ce soir celui que tout le monde réclame n'est pas Stone Cold, mais bel et bien Shawn Michaels. La salle est d'ailleurs décoré à son image. On peu voir des banderoles vantant ses mérites, des portraits plus vrais que nature, une multitude de produits dérivés à son effigie et un nombre incalculable de demoiselles vierges le demandant en mariage. Mais si la ferveur qui l'entour ne laisse aucun doute quant à l'orientation du public du soir, l'entrée de nos commentateurs favoris ne laisse pas indiffèrent et tout le monde applaudit Booker T et Bill DeMott. Ce soir, ils ont le sourire jusqu'aux oreilles. Ce soir, tout est rentré dans l'ordre et il n'y a plus aucun raison pour qu'ils prennent l'air grave. C'est donc en toute décontraction qu'ils s'installent à leur table et sirote une bière probablement offert par Steve Austin durant il y a peu, puisqu'encore fraiches.
« HBK ! HBK ! HBK ! »
Booker T – Welcome everybody to Attitude !
Bill DeMott – Ah ouais, j'aime beaucoup. Je ne sais pas toi, mais moi, je n'ai qu'une envie, c'est que le show commence.
Booker T – La même, alors on ne va pas s'éterniser. Let's go, suckas !
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Re: Attitude #9.
Tout est en place pour que nous passions une bonne soirée, et quoi de mieux que de commencer ce nouvel opus d'Attitude avec le tout nouveau champion Attitude de la fédération ? Vous l'avez comprit, c'est bien le thème song de Christian Cage qui résonne dans l'arena.
Sourire affiché, ceinture de champion sur l'épaule, et démarche assurée, Christian est le prototype même du champion parfait. La foule de San Antonio, elle, n'est pas complètement prête à offrir une haie d'honneur à Double C qui vient de s'emparer d'un micro sur le ring.
Christian Cage – San Antonio, laissez-moi vous présenter le tout nouveau Attitude Champion de la fédération, moi-même.
Si ça, c'est pas la classe, moi j'connais plus rien au swagg.
Christian Cage – Après huit semaines de pourparlers, et quatre semaines d'opposition indirecte, j'ai enfin réussi à m'emparer du titre de champion du monde de la fédération. Et après treize semaines, je peux enfin me présenter à vous comme le vrai visage de cette fédération. Je peux enfin porter sur mes épaules ce titre de champion que je convoite et que je mérite depuis le premier souffle de cette fédération.
Quelque chose me dit qu'eux, ils préféreraient Shawn Michaels.
Christian Cage – Me voilà finalement reconnu comme j'aurai toujours dû l'être, en tant que le meilleur lutteur de cette fédération. Mais aujourd'hui, cette ceinture reflète bien plus que mon incroyable série en cours de neuf victoires en autant de combats. Aujourd'hui, cette ceinture reflète l'abnégation, le talent, l'envie, la rage, l'intelligence et la persévérance dont j'ai fait preuve toutes ses années, afin d'avoir un jour la chance de me présenter devant vous, wrestling fans, en tant qu'homme épanoui. Oui, parce que c'est ce que je suis aujourd'hui, épanoui. Aujourd'hui, tout le monde considère enfin Christian Cage comme quelqu'un, comme un adversaire sérieux et crédible aux yeux du monde. Aujourd'hui, je suis enfin reconnu à ma juste valeur dans la plus grande fédération du monde actuellement. J'ai enfin le droit de représenter mes valeurs grâce à cette ceinture. Et je peux dorénavant me considérer comme une quintuple fois champion du monde.
A la table des commentateurs, Booker T ne tarde pas à réagir.
Booker T – Bill, dit moi qu'il n'a pas dit ce qu'il vient de dire.
Bill DeMott – Ah si, il l'a bien dit.
Tout ceci interpelle forcément Christian qui a entendu la discussion entre les deux hommes.
Christian Cage – N'y vois aucune offense, Booker. En fait, tu es six fois champion du monde. Mais pour en revenir au sujet, j'ajouterai simplement qu'aujourd'hui, cette ceinture montre que je ne suis pas la simple second qui sera éternellement dans l'ombre de son frère, Edge. Non, me voilà maintenant le numéro un pendant que mon frère, mon meilleur ami, lui, traine dans le milieu de carte, décidé à lutter encore malgré les blessures. Et outre le fait que je compte bien le battre ce soir pour montrer que je suis meilleur que lui, et que je l'ai toujours été, il y a un autre homme à qui je souhaiterais m'adresser. Cet homme, il est lui aussi invaincu dans cette fédération. Cet homme a battu John Cena il y a une semaine. Cet homme est en quête de rédemption, tout comme moi. Cet homme, c'est Triple H.
La foule réagit plutôt positivement à l'annonce du nom du roi des rois et ami d'HBK.
Christian Cage – Last week, Triple H m'a fortement suggéré de remporter mon match face à l'Undertaker pour devenir champion du monde. Pourquoi ? Parce qu'il voulait être le premier à me battre, à prendre la ceinture que je viens juste de gagner, et par la même occasion briser ma série de victoires. Tel était son souhait, cachant à peine son désir de me lancer un challenge. Et ce soir, me voilà toujours invaincu, et champion du monde. Donc, Triple H, si tu es toujours intéressé par ce titre, par ma série de victoires, et par ta quête pour prouver que tu peux réussir sans ta femme, j'aimerai que tu viennes sur ce ring.
La foule se met presque en transe, il y a un début d'orgasme collectif, juste parce que Captain Charisma a demandé à Triple H de venir sur le ring. Ce dernier ne se fait d'ailleurs pas prier pour rapidement arriver sur le ring, sous un nouveau thème.
Oui, c'est bien le retour du roi des rois, et en costume s'il vous plait. Hunter descend rapidement la rampe et s'empare du micro disponible offert par l'officiel qui avait anticipé le coup.
Triple H – Tu me prends par surprise Christian, je n'ai même pas eu le temps d'enlever ma veste.
Christian Cage – Tu as raison, les t-shirts moulants te vont beaucoup mieux.
Triple H – Si tu n'as rien de plus intéressant à me dire, je m'en vais. Je n'ai pas de temps à perdre à écouter un Canadien.
Christian tourne légèrement la tête et affiche un sourire forcé, il tente de bien prendre la remarque qu'il vient de se manger.
Christian Cage – Et qu'est-ce que tu dirais d'écouter un champion du monde invaincu dans cette fédération ? Qu'est-ce que tu dirais d'écouter l'homme qui possède ce que tu convoites le plus ? Qu'est-ce que tu dirais si cet homme qui se trouve en face de toi à l'heure actuelle acceptait de relever le défi que tu lui as lancé la semaine dernière ?
Triple H – Je dirais que tu n'as aucune idée du pétrin dans lequel tu viens de te fourrer.
Christian Cage – Ne t'inquiètes pas pour moi, je sais très bien où je met les pieds. Nous ne sommes plus à la WWE, Hunter. Je n'ai plus à écouter derrière les portes pour savoir ce que l'on dit dans mon dos, et toi tu n'as qu'une seule envie : Prouver que ta carrière n'est pas dû au fait que tu ais écarté les cuisses de la fille du boss. Crois-moi que je sais à qui j'ai à faire, et c'est bien pour cela que le défi est accepté.
Triple H – Dans ce cas, rendez-vous à Stainless Steel. Et ne t'inquiète pas, je ferai en sorte que ton voyage retour se fasse en toute légèreté, sans ceinture, et sans série de victoires.
Christian Cage – Désolé, mais c'est pas comme ça que je fonctionne.
Cage baisse son micro et s'approche de Triple H. Les deux hommes se regardent dans les yeux, et personne ne veut détourner le regard. L'intensité est palpable, et les deux hommes finissent quand même par se quitter du regard pour regagner chacun de leur côté les vestiaires. Nul ne doute, cependant, qu'ils n'en ont pas encore terminé l'un avec l'autre.
Sourire affiché, ceinture de champion sur l'épaule, et démarche assurée, Christian est le prototype même du champion parfait. La foule de San Antonio, elle, n'est pas complètement prête à offrir une haie d'honneur à Double C qui vient de s'emparer d'un micro sur le ring.
Christian Cage – San Antonio, laissez-moi vous présenter le tout nouveau Attitude Champion de la fédération, moi-même.
Si ça, c'est pas la classe, moi j'connais plus rien au swagg.
Christian Cage – Après huit semaines de pourparlers, et quatre semaines d'opposition indirecte, j'ai enfin réussi à m'emparer du titre de champion du monde de la fédération. Et après treize semaines, je peux enfin me présenter à vous comme le vrai visage de cette fédération. Je peux enfin porter sur mes épaules ce titre de champion que je convoite et que je mérite depuis le premier souffle de cette fédération.
Quelque chose me dit qu'eux, ils préféreraient Shawn Michaels.
Christian Cage – Me voilà finalement reconnu comme j'aurai toujours dû l'être, en tant que le meilleur lutteur de cette fédération. Mais aujourd'hui, cette ceinture reflète bien plus que mon incroyable série en cours de neuf victoires en autant de combats. Aujourd'hui, cette ceinture reflète l'abnégation, le talent, l'envie, la rage, l'intelligence et la persévérance dont j'ai fait preuve toutes ses années, afin d'avoir un jour la chance de me présenter devant vous, wrestling fans, en tant qu'homme épanoui. Oui, parce que c'est ce que je suis aujourd'hui, épanoui. Aujourd'hui, tout le monde considère enfin Christian Cage comme quelqu'un, comme un adversaire sérieux et crédible aux yeux du monde. Aujourd'hui, je suis enfin reconnu à ma juste valeur dans la plus grande fédération du monde actuellement. J'ai enfin le droit de représenter mes valeurs grâce à cette ceinture. Et je peux dorénavant me considérer comme une quintuple fois champion du monde.
A la table des commentateurs, Booker T ne tarde pas à réagir.
Booker T – Bill, dit moi qu'il n'a pas dit ce qu'il vient de dire.
Bill DeMott – Ah si, il l'a bien dit.
Tout ceci interpelle forcément Christian qui a entendu la discussion entre les deux hommes.
Christian Cage – N'y vois aucune offense, Booker. En fait, tu es six fois champion du monde. Mais pour en revenir au sujet, j'ajouterai simplement qu'aujourd'hui, cette ceinture montre que je ne suis pas la simple second qui sera éternellement dans l'ombre de son frère, Edge. Non, me voilà maintenant le numéro un pendant que mon frère, mon meilleur ami, lui, traine dans le milieu de carte, décidé à lutter encore malgré les blessures. Et outre le fait que je compte bien le battre ce soir pour montrer que je suis meilleur que lui, et que je l'ai toujours été, il y a un autre homme à qui je souhaiterais m'adresser. Cet homme, il est lui aussi invaincu dans cette fédération. Cet homme a battu John Cena il y a une semaine. Cet homme est en quête de rédemption, tout comme moi. Cet homme, c'est Triple H.
La foule réagit plutôt positivement à l'annonce du nom du roi des rois et ami d'HBK.
Christian Cage – Last week, Triple H m'a fortement suggéré de remporter mon match face à l'Undertaker pour devenir champion du monde. Pourquoi ? Parce qu'il voulait être le premier à me battre, à prendre la ceinture que je viens juste de gagner, et par la même occasion briser ma série de victoires. Tel était son souhait, cachant à peine son désir de me lancer un challenge. Et ce soir, me voilà toujours invaincu, et champion du monde. Donc, Triple H, si tu es toujours intéressé par ce titre, par ma série de victoires, et par ta quête pour prouver que tu peux réussir sans ta femme, j'aimerai que tu viennes sur ce ring.
La foule se met presque en transe, il y a un début d'orgasme collectif, juste parce que Captain Charisma a demandé à Triple H de venir sur le ring. Ce dernier ne se fait d'ailleurs pas prier pour rapidement arriver sur le ring, sous un nouveau thème.
Oui, c'est bien le retour du roi des rois, et en costume s'il vous plait. Hunter descend rapidement la rampe et s'empare du micro disponible offert par l'officiel qui avait anticipé le coup.
Triple H – Tu me prends par surprise Christian, je n'ai même pas eu le temps d'enlever ma veste.
Christian Cage – Tu as raison, les t-shirts moulants te vont beaucoup mieux.
Triple H – Si tu n'as rien de plus intéressant à me dire, je m'en vais. Je n'ai pas de temps à perdre à écouter un Canadien.
Christian tourne légèrement la tête et affiche un sourire forcé, il tente de bien prendre la remarque qu'il vient de se manger.
Christian Cage – Et qu'est-ce que tu dirais d'écouter un champion du monde invaincu dans cette fédération ? Qu'est-ce que tu dirais d'écouter l'homme qui possède ce que tu convoites le plus ? Qu'est-ce que tu dirais si cet homme qui se trouve en face de toi à l'heure actuelle acceptait de relever le défi que tu lui as lancé la semaine dernière ?
Triple H – Je dirais que tu n'as aucune idée du pétrin dans lequel tu viens de te fourrer.
Christian Cage – Ne t'inquiètes pas pour moi, je sais très bien où je met les pieds. Nous ne sommes plus à la WWE, Hunter. Je n'ai plus à écouter derrière les portes pour savoir ce que l'on dit dans mon dos, et toi tu n'as qu'une seule envie : Prouver que ta carrière n'est pas dû au fait que tu ais écarté les cuisses de la fille du boss. Crois-moi que je sais à qui j'ai à faire, et c'est bien pour cela que le défi est accepté.
Triple H – Dans ce cas, rendez-vous à Stainless Steel. Et ne t'inquiète pas, je ferai en sorte que ton voyage retour se fasse en toute légèreté, sans ceinture, et sans série de victoires.
Christian Cage – Désolé, mais c'est pas comme ça que je fonctionne.
Cage baisse son micro et s'approche de Triple H. Les deux hommes se regardent dans les yeux, et personne ne veut détourner le regard. L'intensité est palpable, et les deux hommes finissent quand même par se quitter du regard pour regagner chacun de leur côté les vestiaires. Nul ne doute, cependant, qu'ils n'en ont pas encore terminé l'un avec l'autre.
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Re: Attitude #9.
Booker T – Kenta Kobayashi affronte Oleg Aleksandrovich Prudius dit Vladimir Kozlov dans le premier combat de la soirée, et ce premier match de la soirée est sur le point de commenrcer. I can't wait !
Bill DeMott – Le véritable patron du Go 2 Sleep est sur le point de faire ses débuts ici à l'Attitude Wrestling Corporation et il nous vient tout droit de Soka, Saitama, Japan ! AJPW Dojo, Kenta Kobashi, Yoshihiro Takayama, c'est pour tout ce beau monde que KENTA est ici ce soir.
Booker T – Est-ce que KENTA sera capable d'être le premier japonais depuis bien bien longtemps à se faire un nom ici aux Etats-Unis d'Amérique ? C'est ce que nous allons découvrir ce soir, c'est ce que nous découvrirons dans les semaines à venir.
Bill DeMott – Vladimir Kozlov sera le premier adversaire officiel de KENTA et le russe n'est pas seul ce soir, il est accompagné de l'incroyable Santino Marella qui d'ailleurs nous rejoint à la table des commentateurs.
Santino Marella – Vous voulez quoi les gars ? J'ai de tout ce soir. Des sushis ? Des makis ? Des californias ? Des sashimis ? Des yakitoris ? Des teppanyakis ? Ou juste des nouilles ?
Booker T – What are you talking about ?
Santino Marella – Les japonais, il mange du poisson nature.
Booker T – Cru ?
Santino Marella – Oui cru, c'est ça.
Booker T – Jette cette merde à la poubelle dans ce cas.
Bill DeMott – Laisse-moi quand même quelques makis au saumon, c'est tout bonnement excellent cette merde. Passe-moi le wasabi aussi pendant que KENTA fait son entrée dans l'arène. Dit-moi Santino, t'as déjà entendu causer de KENTA ?
Santino Marella – Je connais le tigre Tanaka, Satsu de Buffy contre les vampires, Ryu de Street Fighter, Grace Nakimura, Shinji Mimura, Yukino Hōjō, Edmond Honda de Street Fighter, Katsumi de Katsumi à l'école des infirmières, Yoshihiro Akiyama, Justin Nozuka, Kenzo Suzuki...
» FIGHT ! «
Passons dans le ring pendant que Santino Marella essaie de savoir si il a déjà entendu parler de KENTA. Vladimir Kozlov vient d'ailleurs de prendre le dessus sur son adversaire avec un scoop powerslam. Le russe essaie de finir rapidement le combat. 1, 2, 3 ? Non, dégagement. Le Moscow Mauler ne laisse pas son adversaire du soir reprendre ses esprits puisqu'il lui porte son overhead belly to belly suplex. Vladimir Kozlov aide son adversaire à se relever mais KENTA le surprend avec un cutter. Il tente d'en terminer. 1, 2, 3 ? Non, dégagement. KENTA passe sur l'apron du ring et continue de travailler sur son adversaire avec cette fois-ci un springboard missile dropkick. 1, 2, 3 ? Non, dégagement. KENTA attrape maintenant son adversaire qui vient seulement de se lever et lui porte un tornado DDT. 1, 2, 3 ? Non, dégagement. Vladimir Kozlov ne lâche rien, et enchaîne avec son Busaiku knee kick - running single leg high knee. Ce n'est pas encore suffisant puisque Vladimir Kozlov se remet debout. KENTA se dirige vers son adversaire mais Vladimir Kozlov l'envoi valser en dehors du ring avec son pushing thrust kick directement dans le plexus. L'arbitre commence à compter pendant que Santino Marella lui fait le signe du cobra. KENTA le dévisage. L'arbitre compte. 1, 2, 3, 4, 5, 6... KENTA remonte enfin dans le ring. Vladimir Kozlov fonce tête baissée sur KENTA mais ce dernier l'esquive et le russe vient s'encastrer dans le turnbuckle. Il est sonné. KENTA en profite pour le prendre sur ses épaules. Go 2 Sleep, ou pas ! Vladimir Kozlov retombe sur ses pieds et enchaîne sans plus attendre avec son Iron Curtain. 1, 2, et 3 pour la victoire finale de Vladimir Kozlov !
Santino Marella – ... Alfredo Kojima, Alberto Fujimori, Yushin Okami, Hiro Nakamura, Samouraï d'Argent, Riki Takeuchi, Kyôichi Motobuchi, Shinobu Kuruzawa, Son Goku, Son Goten, Son Gohan, mais pas de KENTA non.
Bill DeMott – Très bien Santino, merci bien et à la prochaine.
Booker T – See ya !
Santino Marella – Sayônara !
Santino Marella se lève et salue ses collègues tel un judoka prêt à rentrer sur le tatami. Santino Marella essaie de monter sur le ring, et tente un grand écart afin d'impressionner KENTA qui est toujours dans le ring, mais Santino tombe à la renverse...
Non ! Santino Marella tient bon, mais le voilà coincé sur place, n'ayant aucune idée de comment se sortir de cette délicate position. Vladimir Kozlov lui vient en aide en lui demandant ce qu'il branle alors que KENTA, lui, reste focaliser sur l’italien puisqu'il a comme l'impression que ce mangeur de spaghettis est en train de se foute de sa gueule et de sa culture.
Booker T – Ce mec est un vrai clown.
Bill DeMott – Il devrait d'ailleurs commencer à faire attention à ce qu'il fait et à ce qu'il dit parce que viendra le jour où son prochain n'aura pas le même sens de l'humour que lui. Il suffit de regarder l'étonnement sur le visage de KENTA pour savoir que Santino Marella est peut-être en train de jouer avec le feu.
Bill DeMott – Le véritable patron du Go 2 Sleep est sur le point de faire ses débuts ici à l'Attitude Wrestling Corporation et il nous vient tout droit de Soka, Saitama, Japan ! AJPW Dojo, Kenta Kobashi, Yoshihiro Takayama, c'est pour tout ce beau monde que KENTA est ici ce soir.
Booker T – Est-ce que KENTA sera capable d'être le premier japonais depuis bien bien longtemps à se faire un nom ici aux Etats-Unis d'Amérique ? C'est ce que nous allons découvrir ce soir, c'est ce que nous découvrirons dans les semaines à venir.
Bill DeMott – Vladimir Kozlov sera le premier adversaire officiel de KENTA et le russe n'est pas seul ce soir, il est accompagné de l'incroyable Santino Marella qui d'ailleurs nous rejoint à la table des commentateurs.
Santino Marella – Vous voulez quoi les gars ? J'ai de tout ce soir. Des sushis ? Des makis ? Des californias ? Des sashimis ? Des yakitoris ? Des teppanyakis ? Ou juste des nouilles ?
Booker T – What are you talking about ?
Santino Marella – Les japonais, il mange du poisson nature.
Booker T – Cru ?
Santino Marella – Oui cru, c'est ça.
Booker T – Jette cette merde à la poubelle dans ce cas.
Bill DeMott – Laisse-moi quand même quelques makis au saumon, c'est tout bonnement excellent cette merde. Passe-moi le wasabi aussi pendant que KENTA fait son entrée dans l'arène. Dit-moi Santino, t'as déjà entendu causer de KENTA ?
Santino Marella – Je connais le tigre Tanaka, Satsu de Buffy contre les vampires, Ryu de Street Fighter, Grace Nakimura, Shinji Mimura, Yukino Hōjō, Edmond Honda de Street Fighter, Katsumi de Katsumi à l'école des infirmières, Yoshihiro Akiyama, Justin Nozuka, Kenzo Suzuki...
» FIGHT ! «
Passons dans le ring pendant que Santino Marella essaie de savoir si il a déjà entendu parler de KENTA. Vladimir Kozlov vient d'ailleurs de prendre le dessus sur son adversaire avec un scoop powerslam. Le russe essaie de finir rapidement le combat. 1, 2, 3 ? Non, dégagement. Le Moscow Mauler ne laisse pas son adversaire du soir reprendre ses esprits puisqu'il lui porte son overhead belly to belly suplex. Vladimir Kozlov aide son adversaire à se relever mais KENTA le surprend avec un cutter. Il tente d'en terminer. 1, 2, 3 ? Non, dégagement. KENTA passe sur l'apron du ring et continue de travailler sur son adversaire avec cette fois-ci un springboard missile dropkick. 1, 2, 3 ? Non, dégagement. KENTA attrape maintenant son adversaire qui vient seulement de se lever et lui porte un tornado DDT. 1, 2, 3 ? Non, dégagement. Vladimir Kozlov ne lâche rien, et enchaîne avec son Busaiku knee kick - running single leg high knee. Ce n'est pas encore suffisant puisque Vladimir Kozlov se remet debout. KENTA se dirige vers son adversaire mais Vladimir Kozlov l'envoi valser en dehors du ring avec son pushing thrust kick directement dans le plexus. L'arbitre commence à compter pendant que Santino Marella lui fait le signe du cobra. KENTA le dévisage. L'arbitre compte. 1, 2, 3, 4, 5, 6... KENTA remonte enfin dans le ring. Vladimir Kozlov fonce tête baissée sur KENTA mais ce dernier l'esquive et le russe vient s'encastrer dans le turnbuckle. Il est sonné. KENTA en profite pour le prendre sur ses épaules. Go 2 Sleep, ou pas ! Vladimir Kozlov retombe sur ses pieds et enchaîne sans plus attendre avec son Iron Curtain. 1, 2, et 3 pour la victoire finale de Vladimir Kozlov !
Santino Marella – ... Alfredo Kojima, Alberto Fujimori, Yushin Okami, Hiro Nakamura, Samouraï d'Argent, Riki Takeuchi, Kyôichi Motobuchi, Shinobu Kuruzawa, Son Goku, Son Goten, Son Gohan, mais pas de KENTA non.
Bill DeMott – Très bien Santino, merci bien et à la prochaine.
Booker T – See ya !
Santino Marella – Sayônara !
Santino Marella se lève et salue ses collègues tel un judoka prêt à rentrer sur le tatami. Santino Marella essaie de monter sur le ring, et tente un grand écart afin d'impressionner KENTA qui est toujours dans le ring, mais Santino tombe à la renverse...
Non ! Santino Marella tient bon, mais le voilà coincé sur place, n'ayant aucune idée de comment se sortir de cette délicate position. Vladimir Kozlov lui vient en aide en lui demandant ce qu'il branle alors que KENTA, lui, reste focaliser sur l’italien puisqu'il a comme l'impression que ce mangeur de spaghettis est en train de se foute de sa gueule et de sa culture.
Booker T – Ce mec est un vrai clown.
Bill DeMott – Il devrait d'ailleurs commencer à faire attention à ce qu'il fait et à ce qu'il dit parce que viendra le jour où son prochain n'aura pas le même sens de l'humour que lui. Il suffit de regarder l'étonnement sur le visage de KENTA pour savoir que Santino Marella est peut-être en train de jouer avec le feu.
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Re: Attitude #9.
Attitude neuf continue en direct de San Antonio. Si le lieu est rappelé et souligné, c’est parce que dans quelques instants nous auront droit à un match opposant Chris Jericho au héros local, Shawn Michaels.
Vous connaissez la chanson. Mister Wrestlemania fait son entrée sous un tonnerre d’applaudissement. Tapant dans les mains que les spectateurs lui tendent et faisant la bise aux plus jolies filles, il fait le show. Des banderoles sont déployées dans toute la salle, la plupart le remerciant d’être là, tout simplement. Dans l'assemblée on peut même en voir certaines se mettre seins nues avec marqué HBK dessus (je vous laisse deviner où se trouve le B). Pendant que le caméraman s’est plu à décortiquer ces images qui resteront forcement gravées dans la tête des fans, Michaels est monté sur le ring et attrape en ce moment même le micro qu’un technicien lui tend.
Shawn Michaels – Qu’il fait bon respirer l’air de San Antonio !
« HBK ! HBK ! HBK ! »
Shawn Michaels – Si un jour on m’avait dit que je reviendrais ici en tant que lutteur, j’aurais probablement pouffé. Et pourtant je suis là, right here in this very ring, prêt à coller sa fessée à Y2J.
Shawn Michaels – Vous vous demandez pourquoi je ne l’ai pas fait plus tôt. Right ? Et bien je ne pouvais pas, car le showstopper c’était endormi. En fait, il attendait paisiblement dans son tombeau qu’un imbécile vienne le réveiller pour reprendre sa croisade. Kurt Angle a été celui-là. Il s’est rendu ici, à San Antonio, la semaine précédent Ground Zero et est allé trop loin, beaucoup trop loin. Aussi loin que le chemin qui le sépare du main event. AND I AM THE MAIN EVENT !
Il le sait, ce genre de petite réplique la foule aime et elle le fait savoir.
Shawn Michaels – En harcelant ma femme et mes enfants pour me faire remonter sur le ring, il a attiré le sweet chin music. Et le sweet chin music ne pardonne pas. Il ne le savais pas, que dieu ait pitié de lui. Mais aujourd'hui je ne veux plus laisser le doute et c’est pourquoi à partir de maintenant je compte bien le rappeler à chaque Attitude, chaque pay-per view, chaque match jusqu’à ce que plus personne n’ose même rêver de s’en relever. Parole du heartbreak kid.
Shawn rend son micro quand, au même moment, Kevin Thorn et Ariel interviennent. Le premier fait le tour du ring tandis que la diva occupe le regard de Michaels. Thorn agrippe une chaise et grimpe sur le ring. Face à face avec le natif de San Antonio, il prend son élan et lance un violant chair shot dans sa direction mais Michaels l’évite et le fait même tomber tête la première. Ariel se jette sur l’Icon alors qu’il avait le dos tourné et celui-ci se débat comme un chien pour parvenir à s’extraire de son emprise. L’autre belle du ministère des ténèbres retombe sur ses pattes, rebondit contre les cordes, et SWEET CHIN MUSIC ! Michaels vient de lui asséner sa prise de finition mais n’a pas le temps de s’y attarder, Kevin Thron revient à l’attaque. Cette fois la chaise est à terre et c’est à mains nues qu’il s’en prend à HBK. Il lui envoie quelques droites mais se laisse piéger par une clé de bras. Shawn relâche presque immédiatement sa prise, laissant un Thorn dépourvu de repère qui se retourne et…
SWEET CHIN MUSIC ! Lui aussi vient de se prendre le légendaire superkick du heartbreak kid. Ariel le tire hors du ring et tout deux se quittent péniblement l’arène direction les backstages. Au centre du ring, Micheals est chaud. Déjà deux sweet chin music alors que son match n’est pas encore commencé, ça promet !
Vous connaissez la chanson. Mister Wrestlemania fait son entrée sous un tonnerre d’applaudissement. Tapant dans les mains que les spectateurs lui tendent et faisant la bise aux plus jolies filles, il fait le show. Des banderoles sont déployées dans toute la salle, la plupart le remerciant d’être là, tout simplement. Dans l'assemblée on peut même en voir certaines se mettre seins nues avec marqué HBK dessus (je vous laisse deviner où se trouve le B). Pendant que le caméraman s’est plu à décortiquer ces images qui resteront forcement gravées dans la tête des fans, Michaels est monté sur le ring et attrape en ce moment même le micro qu’un technicien lui tend.
Shawn Michaels – Qu’il fait bon respirer l’air de San Antonio !
« HBK ! HBK ! HBK ! »
Shawn Michaels – Si un jour on m’avait dit que je reviendrais ici en tant que lutteur, j’aurais probablement pouffé. Et pourtant je suis là, right here in this very ring, prêt à coller sa fessée à Y2J.
Shawn Michaels – Vous vous demandez pourquoi je ne l’ai pas fait plus tôt. Right ? Et bien je ne pouvais pas, car le showstopper c’était endormi. En fait, il attendait paisiblement dans son tombeau qu’un imbécile vienne le réveiller pour reprendre sa croisade. Kurt Angle a été celui-là. Il s’est rendu ici, à San Antonio, la semaine précédent Ground Zero et est allé trop loin, beaucoup trop loin. Aussi loin que le chemin qui le sépare du main event. AND I AM THE MAIN EVENT !
Il le sait, ce genre de petite réplique la foule aime et elle le fait savoir.
Shawn Michaels – En harcelant ma femme et mes enfants pour me faire remonter sur le ring, il a attiré le sweet chin music. Et le sweet chin music ne pardonne pas. Il ne le savais pas, que dieu ait pitié de lui. Mais aujourd'hui je ne veux plus laisser le doute et c’est pourquoi à partir de maintenant je compte bien le rappeler à chaque Attitude, chaque pay-per view, chaque match jusqu’à ce que plus personne n’ose même rêver de s’en relever. Parole du heartbreak kid.
Shawn rend son micro quand, au même moment, Kevin Thorn et Ariel interviennent. Le premier fait le tour du ring tandis que la diva occupe le regard de Michaels. Thorn agrippe une chaise et grimpe sur le ring. Face à face avec le natif de San Antonio, il prend son élan et lance un violant chair shot dans sa direction mais Michaels l’évite et le fait même tomber tête la première. Ariel se jette sur l’Icon alors qu’il avait le dos tourné et celui-ci se débat comme un chien pour parvenir à s’extraire de son emprise. L’autre belle du ministère des ténèbres retombe sur ses pattes, rebondit contre les cordes, et SWEET CHIN MUSIC ! Michaels vient de lui asséner sa prise de finition mais n’a pas le temps de s’y attarder, Kevin Thron revient à l’attaque. Cette fois la chaise est à terre et c’est à mains nues qu’il s’en prend à HBK. Il lui envoie quelques droites mais se laisse piéger par une clé de bras. Shawn relâche presque immédiatement sa prise, laissant un Thorn dépourvu de repère qui se retourne et…
SWEET CHIN MUSIC ! Lui aussi vient de se prendre le légendaire superkick du heartbreak kid. Ariel le tire hors du ring et tout deux se quittent péniblement l’arène direction les backstages. Au centre du ring, Micheals est chaud. Déjà deux sweet chin music alors que son match n’est pas encore commencé, ça promet !
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Re: Attitude #9.
Booker T – Shawn Michaels a l'air véritablement bouillant. Il semble prêt à coller des sweet chins à tout va !
Bill DeMott – C'est sur, il est chez lui et compte bien voler le show, comme il sait si bien le faire !
Bill DeMott – Je peux pas supporter ces tantouzes de canadiens, j'espère que Michaels va lui foutre une bonne branlée.
Booker T – Jericho a des origines américaines. Et qui plus est, il est un excellent lutteur !
Bill DeMott – Mouais, il a plus une tête de caribou que d'aigle royal américain, alors je veux le voir couché rapidement.
» FIGHT ! «
Jericho n'a pas vraiment le temps de narguer la foule ou de faire quoique ce soit, Shawn Michaels est vraiment sur une autre planète. Chris Jericho entre à peine que les droites pleuvent sur le canadien, enfin l'américo-canadien. En fait, on s'en fout de sa nationalité, l'essentiel est qu'il prend pas mal de droites et de gauches de la part du Heartbreak Kid. Ce dernier l'envoie vers les cordes mais Jericho parvient à s'accrocher aux cordes pour ne pas revenir vers Michaels. Ce dernier s'est déjà baissé et n'aperçoit pas Jericho qui se rue vers lui, il lui porte un coup de pied dans le torse. Le bruit se fait entendre dans toute l'arène et la foule réagit par un '' ouh '' massif, signe de compassion pour le homeboy de la soirée. Mais c'est à présent au tour de Jericho de prendre les devants, en portant une Suplex avant de tenter un premier tombé. Tombé qui s'avère très prétentieux puisqu'en effet Shawn Michaels n'a aucun mal à se dégager. The Ayatollah Of Rock'N'Rolla tente de maintenir son adversaire au sol en portant une clef de bras, qui semble faire souffrir Shawn, on sent la douleur sur son visage mais cependant, il n'abandonne pas le match. Avec la force et le soutien du public, il parvient à se relever et porte des coups de coude dans l'abdomen. Et à nouveau, il renvoie le King Of Bling Bling dans les cordes mais cette fois, c'est un succès pour le Heart Break Kid puisqu'il parvient à porter un Belly to Belly Suplex, à la volée. Contrairement à Jericho, il ne tente pas le tombé immédiat, il passe derrière son adversaire et effectue un superbe travail au corps.
Bill DeMott – La tantouze subit le jeu, normal c'est une tantouze.
Booker T – Jericho a encore de la ressource, believe me dawg !
Après une belle tentative de soumission de la part de Michaels, le canadien parvient à se dégager, il parvient même à éxécuter un superbe Fireman's Carry sur Michaels, qui s'éclate complètement au sol, on sent réellement que le dos de Michaels lui laisse encore des traces dans ce genre de matches éprouvants. Il prend son temps à présent et monte sur la troisième, il semble parti pour une Flying Clothesline et cette dernière est superbement portée, Jericho tente un nouveau tombé mais Shawn Michaels parvient à se dégager au compte de deux. Décidement, le texan est fermement décidé à ne rien lâcher ce soir. Et c'est avec la hargne et au courage qu'il se relève, Shawn Michaels stopppe la tentative de droite du Lionheart, et il enchaine avec une série de droites et de gauches avant de se propulser dans les cordes et porte un Lou Thesz Press. Il monte alors sur les cordes et dédie son célèbre Elbow Drop à la foule présente, la foule ne tient plus. Elle est aussi déjantée que HBK. Ce dernier se prépare pour son Sweet Chin Music, toute la foule compte avec lui. Mais Jericho, dans un élan de lucidité parvient à esquiver, il tente de porter immédiatement son Code Breaker mais il est contré et Michaels porte le Sharpshooter, Sharpshooter porté par Michaels ! Après de longues minutes, de multiples tentatives de la part de Jericho de s'approcher et s'accrocher aux cordes, ce dernier craque, et la victoire de Michaels se fait dans une folie.
Bill DeMott – Shawn a tout mon respect, non pas pour son match mais pour avoir corrigé ce canadien de mes deux.
Booker T – Ce fut une nouvelle belle et époustouflante performance du Heart Break Kid. Et la soirée ne fait que commencer ici à la AWC, chers amis !
Bill DeMott – C'est sur, il est chez lui et compte bien voler le show, comme il sait si bien le faire !
Bill DeMott – Je peux pas supporter ces tantouzes de canadiens, j'espère que Michaels va lui foutre une bonne branlée.
Booker T – Jericho a des origines américaines. Et qui plus est, il est un excellent lutteur !
Bill DeMott – Mouais, il a plus une tête de caribou que d'aigle royal américain, alors je veux le voir couché rapidement.
» FIGHT ! «
Jericho n'a pas vraiment le temps de narguer la foule ou de faire quoique ce soit, Shawn Michaels est vraiment sur une autre planète. Chris Jericho entre à peine que les droites pleuvent sur le canadien, enfin l'américo-canadien. En fait, on s'en fout de sa nationalité, l'essentiel est qu'il prend pas mal de droites et de gauches de la part du Heartbreak Kid. Ce dernier l'envoie vers les cordes mais Jericho parvient à s'accrocher aux cordes pour ne pas revenir vers Michaels. Ce dernier s'est déjà baissé et n'aperçoit pas Jericho qui se rue vers lui, il lui porte un coup de pied dans le torse. Le bruit se fait entendre dans toute l'arène et la foule réagit par un '' ouh '' massif, signe de compassion pour le homeboy de la soirée. Mais c'est à présent au tour de Jericho de prendre les devants, en portant une Suplex avant de tenter un premier tombé. Tombé qui s'avère très prétentieux puisqu'en effet Shawn Michaels n'a aucun mal à se dégager. The Ayatollah Of Rock'N'Rolla tente de maintenir son adversaire au sol en portant une clef de bras, qui semble faire souffrir Shawn, on sent la douleur sur son visage mais cependant, il n'abandonne pas le match. Avec la force et le soutien du public, il parvient à se relever et porte des coups de coude dans l'abdomen. Et à nouveau, il renvoie le King Of Bling Bling dans les cordes mais cette fois, c'est un succès pour le Heart Break Kid puisqu'il parvient à porter un Belly to Belly Suplex, à la volée. Contrairement à Jericho, il ne tente pas le tombé immédiat, il passe derrière son adversaire et effectue un superbe travail au corps.
Bill DeMott – La tantouze subit le jeu, normal c'est une tantouze.
Booker T – Jericho a encore de la ressource, believe me dawg !
Après une belle tentative de soumission de la part de Michaels, le canadien parvient à se dégager, il parvient même à éxécuter un superbe Fireman's Carry sur Michaels, qui s'éclate complètement au sol, on sent réellement que le dos de Michaels lui laisse encore des traces dans ce genre de matches éprouvants. Il prend son temps à présent et monte sur la troisième, il semble parti pour une Flying Clothesline et cette dernière est superbement portée, Jericho tente un nouveau tombé mais Shawn Michaels parvient à se dégager au compte de deux. Décidement, le texan est fermement décidé à ne rien lâcher ce soir. Et c'est avec la hargne et au courage qu'il se relève, Shawn Michaels stopppe la tentative de droite du Lionheart, et il enchaine avec une série de droites et de gauches avant de se propulser dans les cordes et porte un Lou Thesz Press. Il monte alors sur les cordes et dédie son célèbre Elbow Drop à la foule présente, la foule ne tient plus. Elle est aussi déjantée que HBK. Ce dernier se prépare pour son Sweet Chin Music, toute la foule compte avec lui. Mais Jericho, dans un élan de lucidité parvient à esquiver, il tente de porter immédiatement son Code Breaker mais il est contré et Michaels porte le Sharpshooter, Sharpshooter porté par Michaels ! Après de longues minutes, de multiples tentatives de la part de Jericho de s'approcher et s'accrocher aux cordes, ce dernier craque, et la victoire de Michaels se fait dans une folie.
Bill DeMott – Shawn a tout mon respect, non pas pour son match mais pour avoir corrigé ce canadien de mes deux.
Booker T – Ce fut une nouvelle belle et époustouflante performance du Heart Break Kid. Et la soirée ne fait que commencer ici à la AWC, chers amis !
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Re: Attitude #9.
Cette fois c'est clair, Shawn Michaels est de retour sur les rings, et il a encore des coeurs à briser, pour notre plus grand plaisir. Mais pas de temps à perdre, direction la loge d'Andy Leavine, qui est en compagnie de Trish Stratus.
Trish Stratus – Oups, il se fait tard, je dois y aller. Merci pour ce petit moment, c'était sympa.
Andy Leavine – Trish, attends.
Trish Stratus – Oui ?
Andy Leavine – Avant que tu partes, je voudrais m'excuser.
Trish Stratus – T'excuser ?
Oui, de quoi doit-il s'excuser, Andy ?
Andy Leavine – Oui, je m'excuse pour les mots et l'attitude déplacée que Lauren a eu la semaine dernière à Ground Zero. C'est à moi qu'elle en veut, et je suis désolé que tu te sois retrouvée là à encaisser en pleine face ce que ma femme avait à dire. Elle n'est pas méchante, tu sais, c'est une personne extraordinaire, qui aime sa famille, qui est une merveilleuse fée du logis et une mère fantastique. J'ai de la chance de l'avoir, c'est mon ange-gardien.
Trish Stratus – Je crois que ton ange-gardien est en train de se transformer en diable, Andy.
Andy Leavine – Tu sais, depuis que j'ai quitté la maison pour réaliser mon rêve, pour être ici, à l'Attitude Wrestling Corporation, elle assume seule l'éducation de nos deux enfants, et c'est un travail très difficile, crois-moi. Elle doit également s'occuper de la maison, de sa mère qui est malade, et elle travaille aussi. Elle est juste un peu surmenée, et elle a légèrement dérapé. Je suis certain que tout va rentrer rapidement dans l'ordre.
Trish Stratus – Je te souhaite bonne chance alors, parce que tu vas en avoir besoin. Je veux bien croire que Lauren est une personne adorable, mais elle a demandé le divorce, elle s'en est prise verbalement à toi et m'a même menacé.
Andy Leavine – Je te promets de tout arranger, et quand je l'aurai ramené à la raison, elle s'excusera certainement pour l'attitude déplacée qu'elle a eu envers toi. Mais pour le moment, je te demande d'accepter ses excuses de ma part.
Trish Stratus – Très bien.
Trish force un sourire, alors qu'Andy s'empare d'un t-shirt.
Andy Leavine – Bon, je dois y aller, j'ai un match qui m'attends.
Trish Stratus – Andy, attends.
Andy Leavine – Oui ?
Trish Stratus – Si tu as besoin de parler, et si tu as besoin de réconfort, tu sais où me trouver.
Andy Leavine – Merci, Trish.
Cette fois, c'est Andy qui force un petit sourire. Il se dirige vers la porte mais au moment de tourner le loquet, il se retourne vers Trish qui regardait déjà ailleurs.
Andy Leavine – Heu, Trish ?
Trish Stratus – Oui ?
Comique de répétition, notion vue au collège.
Andy Leavine – Tu devrais rattacher ton chemisier avant de quitter la loge.
Trish Stratus – Oui, bien sûr...
Stratus rie jaune, et Andy finit par quitter la loge. Allez, après une page de pub vantant les mérites des petites pilules bleus qui font du bien à Hulk Hogan et Hugh Heffner, on se retrouvera pour un match par équipes.
Trish Stratus – Oups, il se fait tard, je dois y aller. Merci pour ce petit moment, c'était sympa.
Andy Leavine – Trish, attends.
Trish Stratus – Oui ?
Andy Leavine – Avant que tu partes, je voudrais m'excuser.
Trish Stratus – T'excuser ?
Oui, de quoi doit-il s'excuser, Andy ?
Andy Leavine – Oui, je m'excuse pour les mots et l'attitude déplacée que Lauren a eu la semaine dernière à Ground Zero. C'est à moi qu'elle en veut, et je suis désolé que tu te sois retrouvée là à encaisser en pleine face ce que ma femme avait à dire. Elle n'est pas méchante, tu sais, c'est une personne extraordinaire, qui aime sa famille, qui est une merveilleuse fée du logis et une mère fantastique. J'ai de la chance de l'avoir, c'est mon ange-gardien.
Trish Stratus – Je crois que ton ange-gardien est en train de se transformer en diable, Andy.
Andy Leavine – Tu sais, depuis que j'ai quitté la maison pour réaliser mon rêve, pour être ici, à l'Attitude Wrestling Corporation, elle assume seule l'éducation de nos deux enfants, et c'est un travail très difficile, crois-moi. Elle doit également s'occuper de la maison, de sa mère qui est malade, et elle travaille aussi. Elle est juste un peu surmenée, et elle a légèrement dérapé. Je suis certain que tout va rentrer rapidement dans l'ordre.
Trish Stratus – Je te souhaite bonne chance alors, parce que tu vas en avoir besoin. Je veux bien croire que Lauren est une personne adorable, mais elle a demandé le divorce, elle s'en est prise verbalement à toi et m'a même menacé.
Andy Leavine – Je te promets de tout arranger, et quand je l'aurai ramené à la raison, elle s'excusera certainement pour l'attitude déplacée qu'elle a eu envers toi. Mais pour le moment, je te demande d'accepter ses excuses de ma part.
Trish Stratus – Très bien.
Trish force un sourire, alors qu'Andy s'empare d'un t-shirt.
Andy Leavine – Bon, je dois y aller, j'ai un match qui m'attends.
Trish Stratus – Andy, attends.
Andy Leavine – Oui ?
Trish Stratus – Si tu as besoin de parler, et si tu as besoin de réconfort, tu sais où me trouver.
Andy Leavine – Merci, Trish.
Cette fois, c'est Andy qui force un petit sourire. Il se dirige vers la porte mais au moment de tourner le loquet, il se retourne vers Trish qui regardait déjà ailleurs.
Andy Leavine – Heu, Trish ?
Trish Stratus – Oui ?
Comique de répétition, notion vue au collège.
Andy Leavine – Tu devrais rattacher ton chemisier avant de quitter la loge.
Trish Stratus – Oui, bien sûr...
Stratus rie jaune, et Andy finit par quitter la loge. Allez, après une page de pub vantant les mérites des petites pilules bleus qui font du bien à Hulk Hogan et Hugh Heffner, on se retrouvera pour un match par équipes.
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Re: Attitude #9.
Tandis que Trish Stratus reboutonne son chemisier, en profitant pour jeter un coup d’œil coquin à sa belle paire de miches, tout ceci hors des caméras, la foule, elle, donne de la voix. En effet, d'un instant à l'autre, Andy Leavine et Shelton Benjamin feront face aux Colons, les futurs champions par équipe - et Jé', je l'emmerde - de la Attitude Wrestling Corporation !
Booker T – Et voici venir Andy Leavine, qui semble plus déterminé que jamais. Shelton a bien de la chance de faire équipe avec un type aussi confiant qu'Andy, car l'adversaire est de taille.
Bill DeMott – Je sais pas pourquoi, mais je ne le sens pas, ce combat. 'Faut dire qu'avec toutes les emmerdes que ce gamin a accumulées, il se retrouve passé à tabac chaque semaine.
Booker T – C'est au tour de Shelton Benjamin, le récent Corporation Champion, de faire son apparition. Good luck, nigga' ! Fais honneur aux noirs, mon frère !
Bill DeMott – Tu comptes nous sortir des phrases aussi connes tout au long du match, ou bien tu cherches juste à me faire recracher mon jambon-beurre-ketchup-cornichon-salade- ?
Booker T – Oulalah ! Ce ne sont plus les deux frangins qui se ramènent, mais c'est toute la famille, là ! Carlito, Primo, Orlando et cette jeune femme dont je ne connais pas le nom.
Bill DeMott – Je me demande qui est cette jeune femme et ce que nous vaut cette petite réunion familiale. En plus de celle de mon sandwich, je sens l'odeur d'un gros bordel qui se profile.
» FIGHT ! «
La cloche sonne, on est donc partis pour ce Tag Team Match ! Ce sont Primo et Andy Leavine qui commencent le combat. Ils entament donc les hostilités avec une petite épreuve de force que remporte The Silent Rage. Celui-ci tente d'emblée de prendre l'ascendant sur le match avec un kick dans l'abdomen du cadet de l'équipe adverse, suivi d'une Back Suplex. Primo tente, une fois debout, de faire le changement, mais comme on pouvait s'y attendre, Andy vient l'en empêcher, et le projette dans le coin de son équipe, où se trouve Shelton Benjamin. Il lui porte à présent une violente série de punchs portés en pleine face. Il le porte, le pose en position assise sur le turnbuckle, prend un peu d'élan, et s'apprête à partir pour une Super Back Suplex. Il est en position, ça y est, il va y all...Primo contre ! Primo réagit d'une superbe manière en portant un Hurricanrana ! Andy, qui accuse principalement la surprise en plus du coup, est au sol, sonné, tandis que Primo, lui, va réussir à faire le changement, il rampe, il rampe, et ça y est ! Carlito entre sur le ring, complétement déchainé ! Andy étant sur le point de se relever, Carly fonce dessus et le sèche avec un Dropkick, se projette dans les cordes, et lui porte une Leg Drop ! Leavine est au sol, l'aîné des Colóns grimpe donc sur le turnbuckle. Va-t-il plonger ? Non, il attend simplement que son adversaire se relève ! C'est maintenant chose, Carlito s'élance donc...pour un Super Hurricanrana ! Andy, pour rester debout, est contraint de s'appuyer sur les cordes ! C'est énooorme ! Carly est maintenant en position, il se prépare à porter son Backstabber ! Il chauffe la foule, et ne voit pas Andy faire le tag avec Shelton Benjamin. Dès que The Silent Rage est sur pied, il lui porte donc son finish ! Mais ce, sans prêter attention à Shelton Benjamin, qui se trouve derrière lui. Lorsqu'il se retourne, c'est un kick dans l'estomac qu'il reçoit, suivi d'une T-Bone Suplex ! Oh My God ! Oh My God ! Le pinfall, un, deux, trois !
Bill DeMott – Il faut croire que cette touffe de cheveux n'abrite pas un si gros cerveau. Parce que franchement, là, Carlito vient de se faire avoir comme un bleu.
Booker T – Oh ! Quelle belle image ! Andy Leavine qui prend le bras de Shelton et qui le lève, en signe de victoire ! Même si cela n'a pas l'air de ravir Shelton, quel fair-play !
Alors que Shelton Benjamin lâche la main de Andy , et repart vers les backstages, un homme surgit de nulle part et déboule sur le ring telle une furie ! C'est Chris Jericho ! Andy ne le voit pas arriver, mais lorsque c'est le cas, il se mange un Codebreaker ! Il va partir pour le Walls of Jericho, mais voyant Trish Stratus qui fait son apparition depuis les gradins, il préfère se faire la malle. Pendant ce temps, notre prof de yoga préférée et son décolleté plongeant viennent sur le ring prendre des nouvelles de Andy Leavine, apparemment mal en point.
Booker T – Et voici venir Andy Leavine, qui semble plus déterminé que jamais. Shelton a bien de la chance de faire équipe avec un type aussi confiant qu'Andy, car l'adversaire est de taille.
Bill DeMott – Je sais pas pourquoi, mais je ne le sens pas, ce combat. 'Faut dire qu'avec toutes les emmerdes que ce gamin a accumulées, il se retrouve passé à tabac chaque semaine.
Booker T – C'est au tour de Shelton Benjamin, le récent Corporation Champion, de faire son apparition. Good luck, nigga' ! Fais honneur aux noirs, mon frère !
Bill DeMott – Tu comptes nous sortir des phrases aussi connes tout au long du match, ou bien tu cherches juste à me faire recracher mon jambon-beurre-ketchup-cornichon-salade- ?
Booker T – Oulalah ! Ce ne sont plus les deux frangins qui se ramènent, mais c'est toute la famille, là ! Carlito, Primo, Orlando et cette jeune femme dont je ne connais pas le nom.
Bill DeMott – Je me demande qui est cette jeune femme et ce que nous vaut cette petite réunion familiale. En plus de celle de mon sandwich, je sens l'odeur d'un gros bordel qui se profile.
» FIGHT ! «
La cloche sonne, on est donc partis pour ce Tag Team Match ! Ce sont Primo et Andy Leavine qui commencent le combat. Ils entament donc les hostilités avec une petite épreuve de force que remporte The Silent Rage. Celui-ci tente d'emblée de prendre l'ascendant sur le match avec un kick dans l'abdomen du cadet de l'équipe adverse, suivi d'une Back Suplex. Primo tente, une fois debout, de faire le changement, mais comme on pouvait s'y attendre, Andy vient l'en empêcher, et le projette dans le coin de son équipe, où se trouve Shelton Benjamin. Il lui porte à présent une violente série de punchs portés en pleine face. Il le porte, le pose en position assise sur le turnbuckle, prend un peu d'élan, et s'apprête à partir pour une Super Back Suplex. Il est en position, ça y est, il va y all...Primo contre ! Primo réagit d'une superbe manière en portant un Hurricanrana ! Andy, qui accuse principalement la surprise en plus du coup, est au sol, sonné, tandis que Primo, lui, va réussir à faire le changement, il rampe, il rampe, et ça y est ! Carlito entre sur le ring, complétement déchainé ! Andy étant sur le point de se relever, Carly fonce dessus et le sèche avec un Dropkick, se projette dans les cordes, et lui porte une Leg Drop ! Leavine est au sol, l'aîné des Colóns grimpe donc sur le turnbuckle. Va-t-il plonger ? Non, il attend simplement que son adversaire se relève ! C'est maintenant chose, Carlito s'élance donc...pour un Super Hurricanrana ! Andy, pour rester debout, est contraint de s'appuyer sur les cordes ! C'est énooorme ! Carly est maintenant en position, il se prépare à porter son Backstabber ! Il chauffe la foule, et ne voit pas Andy faire le tag avec Shelton Benjamin. Dès que The Silent Rage est sur pied, il lui porte donc son finish ! Mais ce, sans prêter attention à Shelton Benjamin, qui se trouve derrière lui. Lorsqu'il se retourne, c'est un kick dans l'estomac qu'il reçoit, suivi d'une T-Bone Suplex ! Oh My God ! Oh My God ! Le pinfall, un, deux, trois !
Bill DeMott – Il faut croire que cette touffe de cheveux n'abrite pas un si gros cerveau. Parce que franchement, là, Carlito vient de se faire avoir comme un bleu.
Booker T – Oh ! Quelle belle image ! Andy Leavine qui prend le bras de Shelton et qui le lève, en signe de victoire ! Même si cela n'a pas l'air de ravir Shelton, quel fair-play !
Alors que Shelton Benjamin lâche la main de Andy , et repart vers les backstages, un homme surgit de nulle part et déboule sur le ring telle une furie ! C'est Chris Jericho ! Andy ne le voit pas arriver, mais lorsque c'est le cas, il se mange un Codebreaker ! Il va partir pour le Walls of Jericho, mais voyant Trish Stratus qui fait son apparition depuis les gradins, il préfère se faire la malle. Pendant ce temps, notre prof de yoga préférée et son décolleté plongeant viennent sur le ring prendre des nouvelles de Andy Leavine, apparemment mal en point.
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Re: Attitude #9.
Le décor sur le ring est en train de changer puisque dans quelques instants, ce sera la nouvelle édition du Claudio's Café de Claudio Castagnoli, plus européen que jamais.
Bill DeMott – C'est l'heure du café Booker.
Booker T – Noir avec deux sucres pour moi, merci.
Bill DeMott – Ça tombe bien, c'est ce que j'aime, prends-moi la même chose veux-tu.
Booker T – T'as gagné, à tout de suite.
Le générique du Claudio's Café se met en route pendant que Booker T s'absente, direction la machine à café. Le lutteur originaire de Suisse sort de l'ombre et monte rapidement dans le ring, micro en main.
Claudio Castagnoli – Bonsoir mesdames et messieurs, et bienvenue dans le café de Claudio.
Certains spectateurs s'endorment.
Claudio Castagnoli – J'ai comme l'impression que certaines personnes auraient bien besoin d'un bon café ici, mais ne perdons pas plus de temps et rentrons directement dans le vif du sujet. Aujourd'hui, je voudrais que l'on parle d'immigration clandestine et pour se faire, j'appelle sans plus attendre mon invité de ce soir... Coach Bill DeMott !
Bill DeMott – What ?
Alors que Claudio Castagnoli profite de ce moment pour boire son café au lait (parce qu'en Suisse, on ne boit pas de café sans lait), Bill DeMott, surpris, prend un micro et rejoint Claudio Castagnoli dans le ring. Claudio lui offre une tasse de café, c'est la tradition.
Claudio Castagnoli – Bill, je ne suis pas ici pour te poser des questions mais tout simplement pour vous remercier toi et les autres membres de la corporation pour avoir donner un coup de main aux services américains de l'immigration à se débarrasser de la vermine présente ici, pour ne pas citer l'amigo Alberto Del Rio.
Bill DeMott – On ne fait que respecter les règles buddy.
Claudio Castagnoli – Tout comme je les respecte également. Je viens d'un pays bien plus éloigné que celui d'Alberto Del Rio et pourtant, pourtant, mes papiers eux sont en règles, mon visa est à jour et mon permis de travail lui est toujours sur moi. Ce que je veux dire ce soir, c'est que je respecte les services américains de l'immigration pour tout ce boulot fourni afin d'enrayer cet afflux de bâtards mexicains. J'aimerai voir autant d'efficacité ainsi qu'autant de travail acharné chez moi en Suisse afin d'empêcher tous ces français, tous ces italiens, tous ces portugais, tous ces serbes ainsi que tous ces albanais venir nous prendre notre travail, notre pognon, notre identité nationale, et même nos femmes.
Bill DeMott – Ouais, et ?
Claudio Castagnoli – Alors un grand bravo à ces hommes et femmes qui bossent chaque jour pour empêcher ses lépreux de mexicains de rentrer dans ce pays, bravo à la corporation pour avoir fait en sorte qu'Alberto Del Rio ne retourne pas dans sa campagne avec le meisterschaft de la corporation et un grand bravo à moi-même, pour avoir le courage de dire bien fort ce que tout le monde pense tout bas.
Bill DeMott – Ok, et merci pour le café !
C'est un Bill DeMott complètement désintéressé qui termine son café et qui retourne à la table des commentateurs. Claudio Castagnoli commence à distribuer des tracts contre l'immigration de masse dans nos pays. Une caméra fait un gros plan sur l'un d'eux.
Claudio Castagnoli – Ensemble, stoppons l'immigration massive !
Alors que Claudio Castagnoli termine sa propagande, Booker T revient avec deux cafés, le premier est pour lui, le deuxième pour Bill DeMott. Booker T reprend sa place et vient aux nouvelles.
Booker T – Tiens, ton café.
Bill DeMott – J'en ai déjà bu un en fait, donc tu peux te le mettre où je pense ton café de merde.
Bill DeMott – C'est l'heure du café Booker.
Booker T – Noir avec deux sucres pour moi, merci.
Bill DeMott – Ça tombe bien, c'est ce que j'aime, prends-moi la même chose veux-tu.
Booker T – T'as gagné, à tout de suite.
Le générique du Claudio's Café se met en route pendant que Booker T s'absente, direction la machine à café. Le lutteur originaire de Suisse sort de l'ombre et monte rapidement dans le ring, micro en main.
Claudio Castagnoli – Bonsoir mesdames et messieurs, et bienvenue dans le café de Claudio.
Certains spectateurs s'endorment.
Claudio Castagnoli – J'ai comme l'impression que certaines personnes auraient bien besoin d'un bon café ici, mais ne perdons pas plus de temps et rentrons directement dans le vif du sujet. Aujourd'hui, je voudrais que l'on parle d'immigration clandestine et pour se faire, j'appelle sans plus attendre mon invité de ce soir... Coach Bill DeMott !
Bill DeMott – What ?
Alors que Claudio Castagnoli profite de ce moment pour boire son café au lait (parce qu'en Suisse, on ne boit pas de café sans lait), Bill DeMott, surpris, prend un micro et rejoint Claudio Castagnoli dans le ring. Claudio lui offre une tasse de café, c'est la tradition.
Claudio Castagnoli – Bill, je ne suis pas ici pour te poser des questions mais tout simplement pour vous remercier toi et les autres membres de la corporation pour avoir donner un coup de main aux services américains de l'immigration à se débarrasser de la vermine présente ici, pour ne pas citer l'amigo Alberto Del Rio.
Bill DeMott – On ne fait que respecter les règles buddy.
Claudio Castagnoli – Tout comme je les respecte également. Je viens d'un pays bien plus éloigné que celui d'Alberto Del Rio et pourtant, pourtant, mes papiers eux sont en règles, mon visa est à jour et mon permis de travail lui est toujours sur moi. Ce que je veux dire ce soir, c'est que je respecte les services américains de l'immigration pour tout ce boulot fourni afin d'enrayer cet afflux de bâtards mexicains. J'aimerai voir autant d'efficacité ainsi qu'autant de travail acharné chez moi en Suisse afin d'empêcher tous ces français, tous ces italiens, tous ces portugais, tous ces serbes ainsi que tous ces albanais venir nous prendre notre travail, notre pognon, notre identité nationale, et même nos femmes.
Bill DeMott – Ouais, et ?
Claudio Castagnoli – Alors un grand bravo à ces hommes et femmes qui bossent chaque jour pour empêcher ses lépreux de mexicains de rentrer dans ce pays, bravo à la corporation pour avoir fait en sorte qu'Alberto Del Rio ne retourne pas dans sa campagne avec le meisterschaft de la corporation et un grand bravo à moi-même, pour avoir le courage de dire bien fort ce que tout le monde pense tout bas.
Bill DeMott – Ok, et merci pour le café !
C'est un Bill DeMott complètement désintéressé qui termine son café et qui retourne à la table des commentateurs. Claudio Castagnoli commence à distribuer des tracts contre l'immigration de masse dans nos pays. Une caméra fait un gros plan sur l'un d'eux.
Claudio Castagnoli – Ensemble, stoppons l'immigration massive !
Alors que Claudio Castagnoli termine sa propagande, Booker T revient avec deux cafés, le premier est pour lui, le deuxième pour Bill DeMott. Booker T reprend sa place et vient aux nouvelles.
Booker T – Tiens, ton café.
Bill DeMott – J'en ai déjà bu un en fait, donc tu peux te le mettre où je pense ton café de merde.
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Re: Attitude #9.
Booker T – Ah, Gregory Helms en solo, je demande à voir, surtout quand il n‘est plus champion par équipe depuis Ground Zero.
Bill DeMott – C‘est même pas intéressant. En face, on a qui ? Claudio Castagnoli. Qu‘il retourne en Suisse, il sert à rien mis à part perdre.
Bill DeMott – Casses toi le suisse ! Casses toi le suisse ! On veut pas de toi là. Looser ! Looser !
Booker T – Calmes toi Bill. Okay, il n‘est pas performant mais je connais ce mec, je me fais aucun souci pour lui, quand il va percer, il va être terrible.
Booker T – Il a pas l‘air vraiment joyeux, sa ceinture lui manque sûrement.
Bill DeMott – C‘est un looser lui aussi. Casses toi !
» FIGHT ! «
La cloche sonne et le combat peut démarrer. Les deux adversaires se lancent l‘un sur l‘autre et c‘est le suisse plus puissant qui prend l‘avantage. L‘opposition est serrée car Gregory Helms use de sa vitesse et de son explosivité pour revenir. De même, il utilise toute son intelligence. Ayant subi une grosse Clothesline du suisse, il l‘évite dans une second tentative et contre avec un Standing Drop Kick. Chacun des deux a son moment de domination. Gregory Helms enchaîne des moves très rapides, très efficaces tandis que Claudio Castagnoli lui place des moves très puissants, notamment un énorme Running Powerslam. On notera aussi une séquence à l‘extérieur au Gregory Helms placera un Enzuguri envoyant Castagnoli se cogner contre la barricade séparant les fans du ring. Le suisse reviendra dans le ring à Huit, évitant la défaite par Count-Out. Helms aura l‘avantage et Claudio Castagnoli subira des puissants assauts de l‘ancien champion par équipe. Cependant dans une belle tentative, le suisse tentera sa Ricola Bomb mais Helms renversera en Hurricanrana avant de claquer son Shining Wizard pour la victoire !
Booker T – Bel orgueil de Gregory Helms qui montre là que la défaite lors de Ground Zero ne l‘a pas abattu, il en veut encore.
Bill DeMott – Quatre matchs, quatre défaites, Claudio Castagnoli vise le record de Christian Cage à mon avis.
Bill DeMott – C‘est même pas intéressant. En face, on a qui ? Claudio Castagnoli. Qu‘il retourne en Suisse, il sert à rien mis à part perdre.
Bill DeMott – Casses toi le suisse ! Casses toi le suisse ! On veut pas de toi là. Looser ! Looser !
Booker T – Calmes toi Bill. Okay, il n‘est pas performant mais je connais ce mec, je me fais aucun souci pour lui, quand il va percer, il va être terrible.
Booker T – Il a pas l‘air vraiment joyeux, sa ceinture lui manque sûrement.
Bill DeMott – C‘est un looser lui aussi. Casses toi !
» FIGHT ! «
La cloche sonne et le combat peut démarrer. Les deux adversaires se lancent l‘un sur l‘autre et c‘est le suisse plus puissant qui prend l‘avantage. L‘opposition est serrée car Gregory Helms use de sa vitesse et de son explosivité pour revenir. De même, il utilise toute son intelligence. Ayant subi une grosse Clothesline du suisse, il l‘évite dans une second tentative et contre avec un Standing Drop Kick. Chacun des deux a son moment de domination. Gregory Helms enchaîne des moves très rapides, très efficaces tandis que Claudio Castagnoli lui place des moves très puissants, notamment un énorme Running Powerslam. On notera aussi une séquence à l‘extérieur au Gregory Helms placera un Enzuguri envoyant Castagnoli se cogner contre la barricade séparant les fans du ring. Le suisse reviendra dans le ring à Huit, évitant la défaite par Count-Out. Helms aura l‘avantage et Claudio Castagnoli subira des puissants assauts de l‘ancien champion par équipe. Cependant dans une belle tentative, le suisse tentera sa Ricola Bomb mais Helms renversera en Hurricanrana avant de claquer son Shining Wizard pour la victoire !
Booker T – Bel orgueil de Gregory Helms qui montre là que la défaite lors de Ground Zero ne l‘a pas abattu, il en veut encore.
Bill DeMott – Quatre matchs, quatre défaites, Claudio Castagnoli vise le record de Christian Cage à mon avis.
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Re: Attitude #9.
Le match est fini, mais après une courte page de pub, on revient déjà aux affaires. En effet, nous voilà en compagnie du coéquipier du précédent vainqueur, qui avance, tête haute en backstage. Jusqu'à trouver quelque chose...
Bryan Danielson – Enfin, je te trouve.
L'American Dragon vient d'apercevoir au détour d'un couloir son partenaire, ancien champion par équipe de l'AWC. Après sa victoire contre Claudio Castagnoli, Gregory Helms range toutes ses affaires dans un sac, avant d'être interrompu par Danielson.
Gregory Helms – Bryan.
Bryan Danielson – Gregory.
Un blanc s'installe entre les deux hommes. Blanc qu'il faut à tout prix rompre.
Bryan Danielson – What's up ?
Gregory Helms – Disons que j'étais sur le point de quitter l'arena.
Helms semble vouloir s'éloigner après un petit geste de la tête mais Danielson l'arrête aussitôt.
Bryan Danielson – Attends. Je voulais... Enfin. Je vais être franc avec toi, j'ai l'impression que tu m'évites depuis... tu sais.
Gregory Helms – Ah. Tu trouves ?
Bryan Danielson – Il faut qu'on reste soudé, on a perdu, mais rien n'est terminé, tu le sais bien. C'est grâce à notre combativité qu'on a pu mettre la main sur les titres, de la même manière qu'on pourra remettre la main dessus.
Gregory Helms – C'est sûr.
Bryan Danielson – Je ne te sens pas convaincu Gregory. Tu peux me le dire si tu as un problème, on est partenaire après tout. La Greatest Alliance, hein !
Gregory Helms – Oui... Justement.
Bryan Danielson – Hum ?
Gregory Helms – Je pense qu'on devrait faire une pause tout les deux.
Ça, c'est de la phrase de rupture !
Bryan Danielson – Qu'est-ce que tu veux dire ?
Gregory Helms – Tu sais bien, à Thunderslam, c'était un match ouvert. On y a fait nos débuts tout les deux pour le résultat qu'on connait. Tu m'as permis d'être en plus du plus grand cruiserweight de l'histoire un lutteur par équipe d'importance, l'un des rares à être venu à bout des Dudley. Mais maintenant, on doit se rendre à l'évidence. Nous ne sommes plus champions.
Bryan Danielson – Une question de temps, n'est-ce pas ?
Gregory Helms – J'ai besoin d'un nouveau défi Bryan. J'ai besoin de tenter quelque chose sans toi à mes côtés, j'ai besoin de montrer que je suis encore l'homme qui a obtenu le plus long règne de l'histoire de Smackdown.
Bryan Danielson – Je sais qu'on a les moyens de devenir des légendes de la division par équipe de l'AWC, on en a les moyens Gregory !
Gregory Helms – J'ai besoin de le faire seul. Seul. J'ai pris beaucoup de plaisir à lutter aux côtés de quelqu'un de presque aussi talentueux que moi... Mais je dois tourner la page. On s'est lancé dans le bain ensemble, mais je sais que je n'en reste pas moins the Greatest Cruiserweight Alive, le maitre de ma division, l'unique maitre. I walk alone, Bryan.
Bryan Danielson – Peut-être qu'à tes côtés...
Gregory Helms – Velvet m'offrira tout le soutien dont j'aurais besoin. On a prévu de vivre cette nouvelle aventure ensemble. Tu comprends ?
Le spécialiste des soumissions se montre sensible, ce soir. Il ravale sa salive, inspire un grand coup, et répond enfin.
Bryan Danielson – Oui ! Oui... Pas de problème, j'ai compris. Tu as besoin d'être avec elle, plus avec moi, tu veux laisser parler qui tu étais auparavant... C'est... Je comprends !
Nouveau blanc entre les deux. Helms prend son sac sur l'épaule, et se tourne une dernière fois.
Gregory Helms – Je suis désolé Bryan. Vraiment.
Bryan Danielson – C'est rien. C'est rien.
Triste semaine pour le Dragon qui perd sa ceinture, et s'apprête à perdre son partenaire. Le voilà désormais seul, regardant son ami s'éloigner. Triste séquence, alors on va essayer de passer à plus motivant dans la suite, qui arrive maintenant.
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Re: Attitude #9.
Booker T – Pourquoi ce sourire sur tes lèvres, Bill ?
Bill DeMott – L'Undertaker n'est plus champion, et je viens subitement de m'en rappeler. Tu devrais essayer.
Booker T – C'est vrai que c'est loin d'être une mauvaise chose mais pour l'instant concentrons nous sur celui qui va l'affronter parce que si j'ai eu l'occasion de le commenter, je n'ai rien réellement relevé.
Bill DeMott – Reste calme, T. C'est normal que tu n'aies rien de concret sur lui, il vient de Cold. Mais moi qu'il l'ai programmé, je peux te dire qu'il est robuste. Robuste et aguerri.
Booker T – Tout ce que je vois, c'est un rosbeef.
Bill DeMott – Dis pas ça, j'ai les crocs. Mais sincèrement, je pense qu'il a toutes les raisons de croire en ses chances pour ce match. Physiquement, il n'a rien à envier à l'autre enflure. Techniquement, son passage à Cold l'a perfectionné. Il est en pleine confiance et à tout à prouver. Franchement, s'il ne sort pas un gros match ce soir, je ne m'appelle pas Bill DeMott.
Booker T – Et, mesdames et messieurs, c'est parce que la corporation croit en Wade Barrett que l'Undertaker sera boycotté ce soir. Mais surtout, parce que c'est un sucka.
Bill DeMott – Amen.
» FIGHT ! «
Vous l'avez compris, son entrée a été passée sous silence mais le deadman est bien là, flanqué de Paul Bearer et Michelle McCool. L'ancien et premier attitude champion ne semble pas particulièrement à son aise en milieu de carte et se laisse piéger d'entrée de jeu par un Wade Barrett sur-motivé. Trois droites, une gauche, une clothesline et le phenom est au sol. L'anglais lui en fait voir de toutes les couleurs sous le regard apeuré de McCool et inquiet de Bearer qui se sent pousser des ailes. Mais l'arbitre à l'œil, et quand l'homme à l'urne grimpe sur les bord du ring, il est rapidement renvoyé sur le bas côté. Sur le ring les deux lutteurs sont debout, le last outlaw tangue mais évite le big boot de Barrett. Il lui attrape le bras, le tourne et grimpe sur la troisième corde, OLD SCHOOL STYLE ! L'Undertaker se jette sur Barrett qui s'écroule sous le choc. Seul debout au centre du ring, il son prépare tombstone. Il attrape le british, le porte sur son dos mais l'autre glisse et le pousse contre les cordes... DDT ! Mais sous l'impulsion de McCool le ministre se relève à la seconde et attrape déjà son adversaire au cou. Chokeslam ? Non, ROLL-UP de Barrett et l'arbitre tape une, deux, et tois fois. Incroyable mais vrai, Wade vient de défaire le légendaire Undertaker, laissant ses suiveurs sans voix.
Bill DeMott – Qu'est-ce que je t'avais dit ? Qu'est ce que je t'avais dit ?
Booker T – Je n'ai jamais remis en cause ta parole, tu sais.
Bill DeMott – C'est pas demain la veille où tu pourras prédire un tel match, c'est moi qui te le dis.
Le vainqueur du soir a rapidement quitté le ring et pour cause, the Undertaker est en furie. Il repousse les avances de McCool et va même jusqu'à vociférer sur Paul Bearer. Mais lorsqu'il descend du ring pour laisser passer sa colère sur le matos de l'AWC, il croise de regard de nos commentateurs et finit par prendre le direction des vestiaires. La ministère des ténèbres a perdu la main, du moins pour un temps.
Booker T – Chaque chose à sa place, et le moutons seront bien gardés.
Bill DeMott – L'Undertaker n'est plus champion, et je viens subitement de m'en rappeler. Tu devrais essayer.
Booker T – C'est vrai que c'est loin d'être une mauvaise chose mais pour l'instant concentrons nous sur celui qui va l'affronter parce que si j'ai eu l'occasion de le commenter, je n'ai rien réellement relevé.
Bill DeMott – Reste calme, T. C'est normal que tu n'aies rien de concret sur lui, il vient de Cold. Mais moi qu'il l'ai programmé, je peux te dire qu'il est robuste. Robuste et aguerri.
Booker T – Tout ce que je vois, c'est un rosbeef.
Bill DeMott – Dis pas ça, j'ai les crocs. Mais sincèrement, je pense qu'il a toutes les raisons de croire en ses chances pour ce match. Physiquement, il n'a rien à envier à l'autre enflure. Techniquement, son passage à Cold l'a perfectionné. Il est en pleine confiance et à tout à prouver. Franchement, s'il ne sort pas un gros match ce soir, je ne m'appelle pas Bill DeMott.
Booker T – Et, mesdames et messieurs, c'est parce que la corporation croit en Wade Barrett que l'Undertaker sera boycotté ce soir. Mais surtout, parce que c'est un sucka.
Bill DeMott – Amen.
» FIGHT ! «
Vous l'avez compris, son entrée a été passée sous silence mais le deadman est bien là, flanqué de Paul Bearer et Michelle McCool. L'ancien et premier attitude champion ne semble pas particulièrement à son aise en milieu de carte et se laisse piéger d'entrée de jeu par un Wade Barrett sur-motivé. Trois droites, une gauche, une clothesline et le phenom est au sol. L'anglais lui en fait voir de toutes les couleurs sous le regard apeuré de McCool et inquiet de Bearer qui se sent pousser des ailes. Mais l'arbitre à l'œil, et quand l'homme à l'urne grimpe sur les bord du ring, il est rapidement renvoyé sur le bas côté. Sur le ring les deux lutteurs sont debout, le last outlaw tangue mais évite le big boot de Barrett. Il lui attrape le bras, le tourne et grimpe sur la troisième corde, OLD SCHOOL STYLE ! L'Undertaker se jette sur Barrett qui s'écroule sous le choc. Seul debout au centre du ring, il son prépare tombstone. Il attrape le british, le porte sur son dos mais l'autre glisse et le pousse contre les cordes... DDT ! Mais sous l'impulsion de McCool le ministre se relève à la seconde et attrape déjà son adversaire au cou. Chokeslam ? Non, ROLL-UP de Barrett et l'arbitre tape une, deux, et tois fois. Incroyable mais vrai, Wade vient de défaire le légendaire Undertaker, laissant ses suiveurs sans voix.
Bill DeMott – Qu'est-ce que je t'avais dit ? Qu'est ce que je t'avais dit ?
Booker T – Je n'ai jamais remis en cause ta parole, tu sais.
Bill DeMott – C'est pas demain la veille où tu pourras prédire un tel match, c'est moi qui te le dis.
Le vainqueur du soir a rapidement quitté le ring et pour cause, the Undertaker est en furie. Il repousse les avances de McCool et va même jusqu'à vociférer sur Paul Bearer. Mais lorsqu'il descend du ring pour laisser passer sa colère sur le matos de l'AWC, il croise de regard de nos commentateurs et finit par prendre le direction des vestiaires. La ministère des ténèbres a perdu la main, du moins pour un temps.
Booker T – Chaque chose à sa place, et le moutons seront bien gardés.
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Re: Attitude #9.
Alors que le match entre le patron du ministère des ténèbres et ex champion Attitude, l'Undertaker, et l'anglais Wade Barrett vient de se terminer, on se retrouve de nouveau sur le ring. Sur ce ring, un technicien passe la serpillère pour enlever les traces de sueur et de sang, comme après chaque match. Le technicien se dépêche de finir son boulot car déjà, quatre hommes apparaissent en haut de la rampe. Pas de musique, non, car c'est tout en avançant devant ses frères que Studley Dudley parle. Stacy, elle, n'est pas là, elle est en train de répondre à une interview avec George Clooney (omfg l'excuse bidon.)
Studley Dudley - Well... Well... Well... It is I. The man there is no need to introduce anymore. Of course you know the name of Studley, what do you smell ? You smell the power of the well, well, well. It's a bombshell shootin' gel and who just get out of Michelle, Dudley.
Une moitié de la foule rigole, les femmes bcbg s'indignent, et quelques hommes jaloux huent. MaisJoël Gertner Studley Dudley, notre géniteur à tous, ne se laisse pas démonter et continu le plus tranquillement du monde son introduction rituelle tout en montant sur le ring.
Studley Dudley - And let me introduce to you the men with a gigantic "M". THEY ARE TWENTY FOUR I'm not gonna say this twenty four time because I'm not Booker T, TWENTY FOUR TIME TAG TEAM CHAMPIONS OF THE WOOOOORLD... Bubba Ray and Devon, THE AWC TAG TEAM CHAMPIONS, THOSE MOTHERFUCKERS CALL THE DUDLEYS !
Tu peux à peine imaginer les huées monstrueuses de la foule, et c'est pas fini, parce que la suite est toute aussi virulente, j'vous assure...
Devon. THAT'S WHO WE ARE ! On est la meilleure équipe de l'histoire, la famille la plus dominante de ce monde, et si vous n'êtes pas content, allez vous faire foutre !
Des gobelets volent, certains sont même pleins. Un homme essaye de forcer la sécurité pour aller frapper les Dudleys, mais il est rembarré par les mecs du staff, sa femme, elle, jette un regard émoustillé à Studley Dudley.
Bubba Ray. Ces ceintures sur nos épaules... Ces ceintures veulent dire que nous sommes les meilleurs. Est ce que vous avez vu dans quel état son Danielson et Helms après ce putain de match ? Ils en ont chier, parce qu'on ne peut pas espérer s'en sortir indemne quand on attaque notre famille... Ils ont même été chanceux, car eux sont encore vivants. Oui, vous voyez où je veux en venir. La semaine dernière, une demi dizaine de fils de putes de Porto-Rico sont venus s'en prendre à nous. Comme la fois où ils nous avaient battus, lors du premier show de l'AWC, c'est en lâche que la famille Colons a agit. C'est facile de mettre des gens au sol quand on les attaque par derrière et qu'ils viennent de se battre dans un No Holds Barred, je peux le faire, Devon peut le faire, même Sign Guy peut le faire !
La foule gueule de plus belle, un chant "We don't care" vient de partir du haut des tribunes et est immédiatement reprit par l'ensemble de l'arène. Bubba, lui ? Il n'en a strictement rien à foutre.
Bubba Ray. Les Colons ont ensuite parlé, enfin, ils ont dit de la merde quoi. Qu'est ce qu'ils ont racontés ? Qu'ils étaient meilleurs que nous, qu'ils étaient légendaires, qu'on étaient des consanguins. Meilleurs que nous ? Qu'est ce qu'ils ont fait ici ? Ils nous ont battus en trichant puis sont partis se cacher à Porto Rico, parce qu'ils avaient peur des représailles. Légendaire ? Sur leur minuscule île où il n'y a qu'une seule fédération importante, peut être, mais au niveau international, ils ne sont rien. En dehors de la WWC, ni Orlando ni Primo ni cette pute qu'ils traînent n'ont gagné quelque chose. Carlito, lui, est un éternel jobber. Nous ? On a vingt quatre putains de titres de champions du monde par équipe, c'est aussi simple que ça. Consanguins ? Laissez moi vous raconter une histoire...
La foule gueule encore, Devon s'engueule avec un mec au premier rang, Sign Guy se positionne derrière Bubba et lève une pancarte "Listen to THE MAN".
Bubba Ray. C'est l'histoire de notre père, Big Daddy Dudley. C'était un représentant, aussi il a voyagé à travers tous les USA. Avant de partir, il a fait un gosse à sa femme, c'est ainsi que Dudley Dudley est né, un an avant que son père ne parte. Papa a voyagé un peu partout, il a engendré le regretté Big Dick Dudley avec une grande bonne femme du Minnesota. Un an plus tard, il a fait escale à New York et m'a engendré moi, Bubba Ray. Il a continué son boulot, refusant de s'attacher malgré la magnificence promise à ses gosses de par ses gênes. Il a engendré Chubby Dudley avec une obèse de Chicago, il a engendré Snot Dudley dans un asile. Il est ensuite revenu à New York, j'étais né depuis un an et il a engendré Devon, ici présent. Et ce n'est pas fini. Il est allé dans une réserve, where he poked a hontas, Dances With Dudleys était né. Sign Guy est né à Seattle, Psycho Sam dans le même asile que son frère Snot, et Spike avec une toxico de New York. Où est ce que ces connards voient de la consanguinité ? Ils doivent être aussi cons qu'ils en ont l'air, ou alors ils n'ont jamais ouvert un dictionnaire. Avant de dire de la merde, ils devraient connaître le sens de ce qu'ils disent ! THIS FAMILY AIN'T NOTHING ! Carlito, Orlando, Primo, la pute et Carlos, je vous promet que vous allez amèrement regretter ce que vous avez fait.
Les choses sont dites, et moi aussi j'ai une chose à dire pendant que les Dudleys font le tour du ring, le visage complètement rouge, je t'emmerde Jé.
Studley Dudley - Well... Well... Well... It is I. The man there is no need to introduce anymore. Of course you know the name of Studley, what do you smell ? You smell the power of the well, well, well. It's a bombshell shootin' gel and who just get out of Michelle, Dudley.
Une moitié de la foule rigole, les femmes bcbg s'indignent, et quelques hommes jaloux huent. Mais
Studley Dudley - And let me introduce to you the men with a gigantic "M". THEY ARE TWENTY FOUR I'm not gonna say this twenty four time because I'm not Booker T, TWENTY FOUR TIME TAG TEAM CHAMPIONS OF THE WOOOOORLD... Bubba Ray and Devon, THE AWC TAG TEAM CHAMPIONS, THOSE MOTHERFUCKERS CALL THE DUDLEYS !
Tu peux à peine imaginer les huées monstrueuses de la foule, et c'est pas fini, parce que la suite est toute aussi virulente, j'vous assure...
Devon. THAT'S WHO WE ARE ! On est la meilleure équipe de l'histoire, la famille la plus dominante de ce monde, et si vous n'êtes pas content, allez vous faire foutre !
Des gobelets volent, certains sont même pleins. Un homme essaye de forcer la sécurité pour aller frapper les Dudleys, mais il est rembarré par les mecs du staff, sa femme, elle, jette un regard émoustillé à Studley Dudley.
Bubba Ray. Ces ceintures sur nos épaules... Ces ceintures veulent dire que nous sommes les meilleurs. Est ce que vous avez vu dans quel état son Danielson et Helms après ce putain de match ? Ils en ont chier, parce qu'on ne peut pas espérer s'en sortir indemne quand on attaque notre famille... Ils ont même été chanceux, car eux sont encore vivants. Oui, vous voyez où je veux en venir. La semaine dernière, une demi dizaine de fils de putes de Porto-Rico sont venus s'en prendre à nous. Comme la fois où ils nous avaient battus, lors du premier show de l'AWC, c'est en lâche que la famille Colons a agit. C'est facile de mettre des gens au sol quand on les attaque par derrière et qu'ils viennent de se battre dans un No Holds Barred, je peux le faire, Devon peut le faire, même Sign Guy peut le faire !
La foule gueule de plus belle, un chant "We don't care" vient de partir du haut des tribunes et est immédiatement reprit par l'ensemble de l'arène. Bubba, lui ? Il n'en a strictement rien à foutre.
Bubba Ray. Les Colons ont ensuite parlé, enfin, ils ont dit de la merde quoi. Qu'est ce qu'ils ont racontés ? Qu'ils étaient meilleurs que nous, qu'ils étaient légendaires, qu'on étaient des consanguins. Meilleurs que nous ? Qu'est ce qu'ils ont fait ici ? Ils nous ont battus en trichant puis sont partis se cacher à Porto Rico, parce qu'ils avaient peur des représailles. Légendaire ? Sur leur minuscule île où il n'y a qu'une seule fédération importante, peut être, mais au niveau international, ils ne sont rien. En dehors de la WWC, ni Orlando ni Primo ni cette pute qu'ils traînent n'ont gagné quelque chose. Carlito, lui, est un éternel jobber. Nous ? On a vingt quatre putains de titres de champions du monde par équipe, c'est aussi simple que ça. Consanguins ? Laissez moi vous raconter une histoire...
La foule gueule encore, Devon s'engueule avec un mec au premier rang, Sign Guy se positionne derrière Bubba et lève une pancarte "Listen to THE MAN".
Bubba Ray. C'est l'histoire de notre père, Big Daddy Dudley. C'était un représentant, aussi il a voyagé à travers tous les USA. Avant de partir, il a fait un gosse à sa femme, c'est ainsi que Dudley Dudley est né, un an avant que son père ne parte. Papa a voyagé un peu partout, il a engendré le regretté Big Dick Dudley avec une grande bonne femme du Minnesota. Un an plus tard, il a fait escale à New York et m'a engendré moi, Bubba Ray. Il a continué son boulot, refusant de s'attacher malgré la magnificence promise à ses gosses de par ses gênes. Il a engendré Chubby Dudley avec une obèse de Chicago, il a engendré Snot Dudley dans un asile. Il est ensuite revenu à New York, j'étais né depuis un an et il a engendré Devon, ici présent. Et ce n'est pas fini. Il est allé dans une réserve, where he poked a hontas, Dances With Dudleys était né. Sign Guy est né à Seattle, Psycho Sam dans le même asile que son frère Snot, et Spike avec une toxico de New York. Où est ce que ces connards voient de la consanguinité ? Ils doivent être aussi cons qu'ils en ont l'air, ou alors ils n'ont jamais ouvert un dictionnaire. Avant de dire de la merde, ils devraient connaître le sens de ce qu'ils disent ! THIS FAMILY AIN'T NOTHING ! Carlito, Orlando, Primo, la pute et Carlos, je vous promet que vous allez amèrement regretter ce que vous avez fait.
Les choses sont dites, et moi aussi j'ai une chose à dire pendant que les Dudleys font le tour du ring, le visage complètement rouge, je t'emmerde Jé.
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Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #9.
Booker T – Les Dudleys sont sur le ring et on attend leurs adversaires, Homicide et …
Bill DeMott – On s‘en fout d‘eux ! Moi je veux une guerre Dudleys contre les Colons ! Je veux un massacre, une boucherie quoi.
Bill DeMott – Putain, il a un micro en main, il va nous casser les couilles comme à chaque fois. La seule bonne chose qu‘il a fait c‘est de niquer Low-Ki, la seule bonne chose qu‘il a fait.
Homicide – Mesdames les putes, messieurs les enculés, mademoiselle les vierges, bonsoir. Vous savez, j‘ai toujours appris certains principes, j‘ai toujours enseigné à mes élèves des principes, l‘un d‘eux est la loyauté. Un homme qui n‘est pas loyal n‘est qu‘une grosse merde. Il y a des limites à ne pas dépasser, et quand un enculé les dépasse, je n‘aime pas ça du tout, et Eddie Kingston les a dépassé ces limites. J‘ai formé Eddie Kingston, je l‘ai vu grandir, je croyais qu‘il était loyal, qu‘il avait de l‘honneur mais il reste rien d‘autre qu‘un fils de pute. Il s‘est fait tabasser sans réagir. Il n‘a pas de couilles ou quoi ? Il n‘a pas grandi, il reste un gamin. J‘aime pas ce genre d‘homme. Kingston m‘a déçu, non, ce fils de pute m‘a dégoûté. J‘ai une devise : Do or Die ! Eddie Kingston a fait son choix, celui de mourir. Il est mort dans mon esprit. Il ne se battra plus jamais à mes côtés. Ce soir, j‘ai un nouvel équipier, l‘ancien équipier de Eddie Kingston, BLK JEEZ !! Lui sera un vrai lutteur, ce que Kingston n‘était pas.
Booker T – Il va être intéressant de voir si la team entre Homicide et BLK Jeez sera plus performante que celle entre Homicide et Eddie Kingston.
Bill DeMott – Ca sera pas bien difficile quand on a vu la merde que cette équipe a faite.
» FIGHT ! «
Le combat commence et Homicide laisse son nouveau poulain démarrer face à Devon Dudley. Deux vraies équipes qui s‘affrontent, c‘est tout bon pour la division par équipe de l‘AWC. La team composée de Homicide et BLK Jeez a là l‘occasion de marquer les esprits en battant les nouveaux champions par équipe de la fédération. Les changements sont nombreux, la lutte par équipe connaît les quatre lutteurs. Sauf que l‘expérience commune des Dudleys prend l‘ascendant sur leurs adversaires qui sont une équipe inédite. Les Dudleys arrivent à bloquer BLK Jeez dans le ring et ils enchaînent les Tag Team Moves sous les hurlements de Homicide qui est chaud bouillant en dehors du ring. Cependant, il ne recevra le Hot Tag que deux minutes plus tard, quand BLK Jeez évitera un Corner Splash de Bubba Ray avant de plonger vers son coin. Homicide se déchaîne sur Bubba Ray et ne loupe d‘administrer une grosse droite à Devon qui tombe en dehors du ring. Après avoir claqué un magnifique Tornado DDT sur Bubba, Homicide veut aller donner le Tag à BLK Jeez mais Devon rentre dans le ring et provoque Homicide qui ne va pas donner le tag et fait face au frère Dudley. L‘arbitre intervient et renvoie Devon vers son coin. Bubba a pu récupérer et claque sa Bubba Bomb suivit du pinfall sur Homicide !
Booker T – Les AWC Champion confirment qu‘ils méritent leur ceinture même si la fin fut assez brouillonne. C'est partit dans du n'importe quoi.
Bill DeMott – Bien fait pour Homicide et BLK Jeez, ils vont retourner s‘entraîner un peu et ça leur fera du bien.
Booker T – Et oui … Regardez ça !
Les Colons débarquent en sautant par-dessus la barricade. Carlito et Primo saisissent Joel Gertner par surprise et ils l‘envoient violemment dans la table des commentateurs. Les Dudleys n‘ont pas réagi, ne les ayant pas encore vu. Les Colons enchaînent des coups de pieds sur Gertner qui ne peut rien faire. Ca y est, les Dudleys les ont vu et ils plongent sous la première corde, mais trop tard les Colons prennent la pourdre d‘escampette sans un dernier coup de pied de Primo en pleine face de Gertner Knock-Out !
Bill DeMott – Rapide et efficace, une terrible attaque éclair destructrice des Colons. Bonne nouvelle, j‘ai l‘impression que Gertner a la mâchoire cassée, on l‘entendra plus parler.
Les Dudleys restent auprès de Gertner alors que les médecins arrivent rapidement. Ils viennent secourir Gertner inconscient et les Dudleys les aident à le ramener en backstage vers l‘infirmerie alors que en haut des gradins, les Colons ont un sourire aux lèvres. C'est encore la guerre !
Bill DeMott – On s‘en fout d‘eux ! Moi je veux une guerre Dudleys contre les Colons ! Je veux un massacre, une boucherie quoi.
Bill DeMott – Putain, il a un micro en main, il va nous casser les couilles comme à chaque fois. La seule bonne chose qu‘il a fait c‘est de niquer Low-Ki, la seule bonne chose qu‘il a fait.
Homicide – Mesdames les putes, messieurs les enculés, mademoiselle les vierges, bonsoir. Vous savez, j‘ai toujours appris certains principes, j‘ai toujours enseigné à mes élèves des principes, l‘un d‘eux est la loyauté. Un homme qui n‘est pas loyal n‘est qu‘une grosse merde. Il y a des limites à ne pas dépasser, et quand un enculé les dépasse, je n‘aime pas ça du tout, et Eddie Kingston les a dépassé ces limites. J‘ai formé Eddie Kingston, je l‘ai vu grandir, je croyais qu‘il était loyal, qu‘il avait de l‘honneur mais il reste rien d‘autre qu‘un fils de pute. Il s‘est fait tabasser sans réagir. Il n‘a pas de couilles ou quoi ? Il n‘a pas grandi, il reste un gamin. J‘aime pas ce genre d‘homme. Kingston m‘a déçu, non, ce fils de pute m‘a dégoûté. J‘ai une devise : Do or Die ! Eddie Kingston a fait son choix, celui de mourir. Il est mort dans mon esprit. Il ne se battra plus jamais à mes côtés. Ce soir, j‘ai un nouvel équipier, l‘ancien équipier de Eddie Kingston, BLK JEEZ !! Lui sera un vrai lutteur, ce que Kingston n‘était pas.
Booker T – Il va être intéressant de voir si la team entre Homicide et BLK Jeez sera plus performante que celle entre Homicide et Eddie Kingston.
Bill DeMott – Ca sera pas bien difficile quand on a vu la merde que cette équipe a faite.
» FIGHT ! «
Le combat commence et Homicide laisse son nouveau poulain démarrer face à Devon Dudley. Deux vraies équipes qui s‘affrontent, c‘est tout bon pour la division par équipe de l‘AWC. La team composée de Homicide et BLK Jeez a là l‘occasion de marquer les esprits en battant les nouveaux champions par équipe de la fédération. Les changements sont nombreux, la lutte par équipe connaît les quatre lutteurs. Sauf que l‘expérience commune des Dudleys prend l‘ascendant sur leurs adversaires qui sont une équipe inédite. Les Dudleys arrivent à bloquer BLK Jeez dans le ring et ils enchaînent les Tag Team Moves sous les hurlements de Homicide qui est chaud bouillant en dehors du ring. Cependant, il ne recevra le Hot Tag que deux minutes plus tard, quand BLK Jeez évitera un Corner Splash de Bubba Ray avant de plonger vers son coin. Homicide se déchaîne sur Bubba Ray et ne loupe d‘administrer une grosse droite à Devon qui tombe en dehors du ring. Après avoir claqué un magnifique Tornado DDT sur Bubba, Homicide veut aller donner le Tag à BLK Jeez mais Devon rentre dans le ring et provoque Homicide qui ne va pas donner le tag et fait face au frère Dudley. L‘arbitre intervient et renvoie Devon vers son coin. Bubba a pu récupérer et claque sa Bubba Bomb suivit du pinfall sur Homicide !
Booker T – Les AWC Champion confirment qu‘ils méritent leur ceinture même si la fin fut assez brouillonne. C'est partit dans du n'importe quoi.
Bill DeMott – Bien fait pour Homicide et BLK Jeez, ils vont retourner s‘entraîner un peu et ça leur fera du bien.
Booker T – Et oui … Regardez ça !
Les Colons débarquent en sautant par-dessus la barricade. Carlito et Primo saisissent Joel Gertner par surprise et ils l‘envoient violemment dans la table des commentateurs. Les Dudleys n‘ont pas réagi, ne les ayant pas encore vu. Les Colons enchaînent des coups de pieds sur Gertner qui ne peut rien faire. Ca y est, les Dudleys les ont vu et ils plongent sous la première corde, mais trop tard les Colons prennent la pourdre d‘escampette sans un dernier coup de pied de Primo en pleine face de Gertner Knock-Out !
Bill DeMott – Rapide et efficace, une terrible attaque éclair destructrice des Colons. Bonne nouvelle, j‘ai l‘impression que Gertner a la mâchoire cassée, on l‘entendra plus parler.
Les Dudleys restent auprès de Gertner alors que les médecins arrivent rapidement. Ils viennent secourir Gertner inconscient et les Dudleys les aident à le ramener en backstage vers l‘infirmerie alors que en haut des gradins, les Colons ont un sourire aux lèvres. C'est encore la guerre !
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Re: Attitude #9.
« USA ! USA ! USA ! »
Les fans de l'AT&T se mettent à chanter en coeur à la vue de soldats américains qui sont en train de prendre position autour du ring. Les derniers soldats à sortir de l'ombre transportent un homme cagoulé et l’emmènent dans le ring. On lui enlève sa cagoule et nous découvrons qu'il s'agit ni plus ni moins que d'Abdallah Tarver. Le jidahiste de l'Attitude Wrestling Corporation est ligoté au centre du ring, sans défense. Sous sa propre musique, Mister Anderson débarque.
Mister Anderson demande son microphone.
Mister Anderson – Je vais vous raconter une petite histoire. Le 19 juin 2006, un de mes amis répondant au nom de Thomas Lowell Tucker est décédé à l'age de 25 ans. Ce jeune garçon ne faisait que son devoir en Iraq et le seul remerciement qu'il a eu, c'est d'avoir été torturé, mutilé et tué par Al-Qaeda dans d'horribles conditions. Des histoires comme celle-ci, il en existe malheureusement des centaines, des milliers... Et la dernière en date s'est déroulée la semaine dernière, le 11 septembre 2011, lors de Ground Zero, lorsqu'un attentat à la bombe a essayé d'en finir avec la vie de l'un des plus grands patriotes de ce business, John Cena.
Mister Anderson – Je ne vais pas vous mentir, nous avons torturé Abdalah Tarver toute la soirée et cet enfant de putain continue de nier cet attentat. Il n'y a que Al-Qaeda qui cherche à prendre des vies américaines dans de telles circonstances, devant les caméras de télévision. Et quand il n'y a pas de caméras, c'est sur Internet que l'on découvre des exécutions, des égorgements, des lynchages. A notre tour mes chers compatriotes de nous venger, à notre tour mes amis de prendre notre revanche. Nous nous étions promis que c'était la dernière fois, et pourtant nous nous retrouvons encore une fois dans le même cas de figure, à une moindre échelle. Abdallah Tarver, que tu soit l'auteur de ces faits ou non, cela ne m'importe plus maintenant parce que c'est indirectement de ta faute dans le sens où tu as ouvert des portes. Fait ta dernière prière, ta carrière est terminée.
Tarver se met à genou et commence à réciter sa dernière prière sous les huées du public.
Abdallah Tarver – إنقاذ الأطفال، والمعتوه، والنساء، والكهنة والشيوخ والعجزة، إلا إذا شاركت في القتال. ولكن لن تكون هناك رحمة للرجال الذين تجرأوا على تلطيخ الشرف ، والكرامة والاحترام للمسلمين في جميع أنحاء العالم. هذه الليلة، فإن الأميركيين الفقراء المنافقين، سوف تتلقى أكبر كارثة ما هو معروف الاسم. أسوأ بكثير من الفيضانات. أكثر بشاعة من الضفادع. أكثر رعبا من الهجمات في لندن ومدريد. الليلة هو عودة الكبرى للالجهادية لا يصدق، والمعروفة باسم منيب ، عبد الله "المخلص الجهادية" تارفير. يا الله اكبر.
Abdallah Tarver n'a même le temps de terminer qu'il est pris à partie par les soldats américains présent ce soir dans l'arène. C'est un véritable passage à tabac.
Les soldats s'en donnent à coeur joie, les coups pleuvent. Les soldats, équipés de rangers aux pieds, n'hésite pas à taper sur la tête du jidahiste. L'un d'entre eux ne se gêne pas pour sauter à deux pieds joints sur le crâne meurtrie de celui qui a perdu la semaine dernière contre ce même Mister Anderson. Les fans dans le public ne savent plus vraiment quoi penser, certains pensent que tout ça va bien trop loin et ne préfèrent pas regarder cette scène d'une extrême violence.
Mister Anderson – Pour ceux qui ne le savent pas encore, Stone Cold Steve Austin m'a chargé de l'enquête interne auprès des autorités compétentes. Cette guerre n'est pas terminée, je vais passer mes journées et mes nuits à trouver la vérité sur cette sombre affaire, et toute la vérité. Je ne lâcherai rien jusqu'à ce que lumière soit faite. Je suis le véritable agent K, double A, Captain America, représentant la CIA, Mister USA... U-S-A !
« USA ! USA ! USA ! »
Pendant que Abdallah Tarver est laissé sans vie à l'extérieur du ring, les soldats rejoignent Mister Aderson dans le ring, abordant fièrement ses couleurs. Pas sûr que les méthodes de cette enquête plaisent à tout le monde ici, mais rien n'enlèvera cette détermination de Mister Anderson... Anderson.
Les fans de l'AT&T se mettent à chanter en coeur à la vue de soldats américains qui sont en train de prendre position autour du ring. Les derniers soldats à sortir de l'ombre transportent un homme cagoulé et l’emmènent dans le ring. On lui enlève sa cagoule et nous découvrons qu'il s'agit ni plus ni moins que d'Abdallah Tarver. Le jidahiste de l'Attitude Wrestling Corporation est ligoté au centre du ring, sans défense. Sous sa propre musique, Mister Anderson débarque.
Mister Anderson demande son microphone.
Mister Anderson – Je vais vous raconter une petite histoire. Le 19 juin 2006, un de mes amis répondant au nom de Thomas Lowell Tucker est décédé à l'age de 25 ans. Ce jeune garçon ne faisait que son devoir en Iraq et le seul remerciement qu'il a eu, c'est d'avoir été torturé, mutilé et tué par Al-Qaeda dans d'horribles conditions. Des histoires comme celle-ci, il en existe malheureusement des centaines, des milliers... Et la dernière en date s'est déroulée la semaine dernière, le 11 septembre 2011, lors de Ground Zero, lorsqu'un attentat à la bombe a essayé d'en finir avec la vie de l'un des plus grands patriotes de ce business, John Cena.
Mister Anderson – Je ne vais pas vous mentir, nous avons torturé Abdalah Tarver toute la soirée et cet enfant de putain continue de nier cet attentat. Il n'y a que Al-Qaeda qui cherche à prendre des vies américaines dans de telles circonstances, devant les caméras de télévision. Et quand il n'y a pas de caméras, c'est sur Internet que l'on découvre des exécutions, des égorgements, des lynchages. A notre tour mes chers compatriotes de nous venger, à notre tour mes amis de prendre notre revanche. Nous nous étions promis que c'était la dernière fois, et pourtant nous nous retrouvons encore une fois dans le même cas de figure, à une moindre échelle. Abdallah Tarver, que tu soit l'auteur de ces faits ou non, cela ne m'importe plus maintenant parce que c'est indirectement de ta faute dans le sens où tu as ouvert des portes. Fait ta dernière prière, ta carrière est terminée.
Tarver se met à genou et commence à réciter sa dernière prière sous les huées du public.
Abdallah Tarver – إنقاذ الأطفال، والمعتوه، والنساء، والكهنة والشيوخ والعجزة، إلا إذا شاركت في القتال. ولكن لن تكون هناك رحمة للرجال الذين تجرأوا على تلطيخ الشرف ، والكرامة والاحترام للمسلمين في جميع أنحاء العالم. هذه الليلة، فإن الأميركيين الفقراء المنافقين، سوف تتلقى أكبر كارثة ما هو معروف الاسم. أسوأ بكثير من الفيضانات. أكثر بشاعة من الضفادع. أكثر رعبا من الهجمات في لندن ومدريد. الليلة هو عودة الكبرى للالجهادية لا يصدق، والمعروفة باسم منيب ، عبد الله "المخلص الجهادية" تارفير. يا الله اكبر.
Abdallah Tarver n'a même le temps de terminer qu'il est pris à partie par les soldats américains présent ce soir dans l'arène. C'est un véritable passage à tabac.
Les soldats s'en donnent à coeur joie, les coups pleuvent. Les soldats, équipés de rangers aux pieds, n'hésite pas à taper sur la tête du jidahiste. L'un d'entre eux ne se gêne pas pour sauter à deux pieds joints sur le crâne meurtrie de celui qui a perdu la semaine dernière contre ce même Mister Anderson. Les fans dans le public ne savent plus vraiment quoi penser, certains pensent que tout ça va bien trop loin et ne préfèrent pas regarder cette scène d'une extrême violence.
Mister Anderson – Pour ceux qui ne le savent pas encore, Stone Cold Steve Austin m'a chargé de l'enquête interne auprès des autorités compétentes. Cette guerre n'est pas terminée, je vais passer mes journées et mes nuits à trouver la vérité sur cette sombre affaire, et toute la vérité. Je ne lâcherai rien jusqu'à ce que lumière soit faite. Je suis le véritable agent K, double A, Captain America, représentant la CIA, Mister USA... U-S-A !
« USA ! USA ! USA ! »
Pendant que Abdallah Tarver est laissé sans vie à l'extérieur du ring, les soldats rejoignent Mister Aderson dans le ring, abordant fièrement ses couleurs. Pas sûr que les méthodes de cette enquête plaisent à tout le monde ici, mais rien n'enlèvera cette détermination de Mister Anderson... Anderson.
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Re: Attitude #9.
Booker T – Main event of the evening, suckers !
Bill DeMott – Notre nouveau champion Attitude affronte son vieil ami de toujours, Edge, dans une rencontre qui s'annonce historique compte tenu du passé des deux hommes. E&C est de retour ce soir, mais malheureusement pour nous, ce ne sera pas dans le même coin.
Booker T – Please welcome our new Attitude champion of the world, Christian Cage !
Bill DeMott – La semaine dernière, lors de Ground Zero, cet homme est venu à bout de l'Undertaker et s'est emparé du titre Attitude, c'est notre deuxième champion suprême ici à l'Attitude Wrestling Corporation et c'est maintenant que nous allons découvrir si ce garçon a les épaules pour tenir ce titre avec sa première sortie officielle en tant que tel.
Booker T – Come on, he's undefeated !
Bill DeMott – Tout comme the Game, Triple H, qui est le challengeur numéro un au titre de Christian Cage pour le prochain pay-per-view de l'Attitude Wrestling Corporation. La route est longue jusqu’au jour où les deux grands invaincus de notre fédération se rencontreront. Nous ne sommes pas à l'abri d'une surprise entre temps.
Booker T – And now please welcome the rated R superstar, Edge !
Bill DeMott – Personne ne veut manquer cette rencontre. Qui de Edge, ou de Christian, aura le dessus ce soir après toute ces années ? Edge avait eu le dessus il y a quelques années, qu'en sera-t-il aujourd'hui ? C'est ce que nous allons découvrir dans quelques secondes.
Booker T – Here we go !
» FIGHT ! «
Les deux hommes s'observent, et Edge offre sa main à Christian Cage avant le début de cette rencontre pour une poignée de main virile. Christian regarde son vieil ami, et se content de le baffer. Edge préfère en rire qu'en pleurer, Christian s'y met aussi. Les deux anciens compères sont hilares au centre du ring mais pas pour longtemps puisque Edge vient de porter plusieurs droites au visage de son adversaire. Les deux hommes s'échangent des droites jusqu'à ce que l'arbitre vienne les séparer. Edge profite de cette opportunité pour porter son spear. 1, 2, 3 ? Non, dégagement ! Edge monte alors sur la troisième corde et attend que Christian se mette debout. Il y va d'un missile dropkick, mais il n'y a plus personne. Christian se retire au bon moment et enchaîne avec un falling inverted DDT. 1, 2, 3 ? Non, dégagement ! Fireman's carry gutbuster, sitout inverted suplex slam, inverted facelock backbreaker, Christian domine cette rencontre mais ce n'est toujours pas suffisant pour venir à bout de son adversaire. Christian monte sur la troisième corde pour le diving headbutt, mais Edge n'était plus là. Christian se contente d'embrasser le ring pour le coup. C'est maintenant au tour d'Edge de prendre le contrôle du combat. Russian legsweep, northern lights suplex, half nelson bulldog, mais comme pour son adversaire, ce n'est pas suffisant. Edge prend les jambes de son adversaire pour le Edgecator - kneeling inverted Sharpshooter mais Christian le repousse aussitôt. Edge s'élance pour le spear, directement dans le turnbuckle. Edge est sonné. Christian s'est retiré juste à temps, et enchaîne sans plus attendre avec son Unprettier - inverted double underhook facebuster. 1, 2, 3 ? Non, dégagement !
Le champion Attitude Christian Cage n'en croit pas ses yeux. Il observe Edge qui est toujours au sol et se demande comment est-ce qu'il va pouvoir en venir à bout. Christian Cage engueule l'arbitre, lui conseillant de mieux faire son boulot. Le champion relève son adversaire et essaie de lui porter une deuxième Unprettier - inverted double underhook facebuster. Edge surprend son monde et surprend surtout Christian avec le classique school boy. 1, 2, et 3 pour la victoire inattendue de l'opportuniste ultime, Edge !
Booker T – Winner by small package, tonight !
Bill DeMott – On ne peut pas être surpris. Ces deux hommes se connaissent trop bien pour venir à bout l'un de l'autre sans profiter d'un petit moment d’inattention, et à ce petit jeu-là, Edge a été le plus fort comme bien souvent. Edge vient de s'offrir une belle victoire, et le voilà qui grimpe les échelons deux par deux.
Booker T – Christian Cage is no longer unbeaten, damn !
Bill DeMott – Notre nouveau champion Attitude affronte son vieil ami de toujours, Edge, dans une rencontre qui s'annonce historique compte tenu du passé des deux hommes. E&C est de retour ce soir, mais malheureusement pour nous, ce ne sera pas dans le même coin.
Booker T – Please welcome our new Attitude champion of the world, Christian Cage !
Bill DeMott – La semaine dernière, lors de Ground Zero, cet homme est venu à bout de l'Undertaker et s'est emparé du titre Attitude, c'est notre deuxième champion suprême ici à l'Attitude Wrestling Corporation et c'est maintenant que nous allons découvrir si ce garçon a les épaules pour tenir ce titre avec sa première sortie officielle en tant que tel.
Booker T – Come on, he's undefeated !
Bill DeMott – Tout comme the Game, Triple H, qui est le challengeur numéro un au titre de Christian Cage pour le prochain pay-per-view de l'Attitude Wrestling Corporation. La route est longue jusqu’au jour où les deux grands invaincus de notre fédération se rencontreront. Nous ne sommes pas à l'abri d'une surprise entre temps.
Booker T – And now please welcome the rated R superstar, Edge !
Bill DeMott – Personne ne veut manquer cette rencontre. Qui de Edge, ou de Christian, aura le dessus ce soir après toute ces années ? Edge avait eu le dessus il y a quelques années, qu'en sera-t-il aujourd'hui ? C'est ce que nous allons découvrir dans quelques secondes.
Booker T – Here we go !
» FIGHT ! «
Les deux hommes s'observent, et Edge offre sa main à Christian Cage avant le début de cette rencontre pour une poignée de main virile. Christian regarde son vieil ami, et se content de le baffer. Edge préfère en rire qu'en pleurer, Christian s'y met aussi. Les deux anciens compères sont hilares au centre du ring mais pas pour longtemps puisque Edge vient de porter plusieurs droites au visage de son adversaire. Les deux hommes s'échangent des droites jusqu'à ce que l'arbitre vienne les séparer. Edge profite de cette opportunité pour porter son spear. 1, 2, 3 ? Non, dégagement ! Edge monte alors sur la troisième corde et attend que Christian se mette debout. Il y va d'un missile dropkick, mais il n'y a plus personne. Christian se retire au bon moment et enchaîne avec un falling inverted DDT. 1, 2, 3 ? Non, dégagement ! Fireman's carry gutbuster, sitout inverted suplex slam, inverted facelock backbreaker, Christian domine cette rencontre mais ce n'est toujours pas suffisant pour venir à bout de son adversaire. Christian monte sur la troisième corde pour le diving headbutt, mais Edge n'était plus là. Christian se contente d'embrasser le ring pour le coup. C'est maintenant au tour d'Edge de prendre le contrôle du combat. Russian legsweep, northern lights suplex, half nelson bulldog, mais comme pour son adversaire, ce n'est pas suffisant. Edge prend les jambes de son adversaire pour le Edgecator - kneeling inverted Sharpshooter mais Christian le repousse aussitôt. Edge s'élance pour le spear, directement dans le turnbuckle. Edge est sonné. Christian s'est retiré juste à temps, et enchaîne sans plus attendre avec son Unprettier - inverted double underhook facebuster. 1, 2, 3 ? Non, dégagement !
Le champion Attitude Christian Cage n'en croit pas ses yeux. Il observe Edge qui est toujours au sol et se demande comment est-ce qu'il va pouvoir en venir à bout. Christian Cage engueule l'arbitre, lui conseillant de mieux faire son boulot. Le champion relève son adversaire et essaie de lui porter une deuxième Unprettier - inverted double underhook facebuster. Edge surprend son monde et surprend surtout Christian avec le classique school boy. 1, 2, et 3 pour la victoire inattendue de l'opportuniste ultime, Edge !
Booker T – Winner by small package, tonight !
Bill DeMott – On ne peut pas être surpris. Ces deux hommes se connaissent trop bien pour venir à bout l'un de l'autre sans profiter d'un petit moment d’inattention, et à ce petit jeu-là, Edge a été le plus fort comme bien souvent. Edge vient de s'offrir une belle victoire, et le voilà qui grimpe les échelons deux par deux.
Booker T – Christian Cage is no longer unbeaten, damn !
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Re: Attitude #9.
Incroyable mais vrai, Edge vient de surprendre son monde et de battre Christian, son frère, son meilleur ami, l'Attitude Champion, invaincu jusqu'alors. Les deux hommes sont toujours sur le ring, et alors qu'Edge vient à peine d'avoir le bras levé par l'arbitre, il se retrouve de nouveau face à face avec Christian.
Les deux hommes se regardent, se dévisagent, se défigurent, l'un en veut à l'autre de l'avoir battu, et l'autre affiche un sourire de satisfaction non négligeable. Tout ceci sur fond de fans en excitation la plus totale qui demandent aux deux hommes de se remettre un coup sur la gueule.
??? – Désolé de vous interrompre...
Edge et Christian, qui ne cessaient de se regarder dans le blanc des yeux jusqu'alors, tournent de suite la tête vers le titantron. Un homme descend tranquillement la rampe, sourire aux lèvres, et ceinture autour des hanches, il s'agit du Gold Standard, Shelton Benjamin.
Shelton Benjamin – Non pas que je veuille m'intéresser aux querelles Canadiennes, mais je voudrais parler à Christian. J'ai quelque chose à te dire, champion.
Cage semble intrigué et il recule d'ailleurs de quelques pas, Edge s'écartant lui aussi de quelques pas pendant que Shelton passe entre les cordes.
Shelton Benjamin – Premièrement, laisse-moi té féliciter pour avoir battu l'Undertaker et avoir obtenu la ceinture que tu désirais tant. Deuxièmement, laisse-moi te remercier. Merci pour tout ce que tu as fais, et pour tout ce que tu fais, parce que sans toi, je n'aurai certainement pas cette ceinture de champion autour de mes hanches à l'heure où je te parle. Je te remercie de m'avoir battu il y a plusieurs semaines de cela à Thunderslam, alors que j'étais sûr de te battre. Je te remercie de m'avoir donné une leçon, et de m'avoir remit en place. Je te remercie pour tout cela parce que tu as été le facteur x qui a permit au Gold Standard d'évoluer, de se transformer, et d'apprendre qu'il y a autre chose dans la vie que Shelton Benjamin et ses qualités athlétiques.
« GOLD STANDARD ! GOLD STANDARD ! »
Shelton Benjamin – Le Gold Standard est toujours là, je suis toujours aussi athlétique, aussi doué sur un ring, mais je suis à présent beaucoup plus que ça. Je suis un autre homme, beaucoup plus humble, qui réfléchit avant de parler et d'agir, et qui a su adapter sa lutte sur le ring pour remporter des combats, des titres, et devenir l'un des meilleurs ici. Si aujourd'hui je suis le champion de la Corporation, je le dois à mon talent, mais également à Christian Cage qui a su me donner une fessée au moment où je m'y attendais le moins. Et finalement, cette défaite a été bénéfique pour moi, faisant contre mauvaise-fortune, bon coeur.
Shelton Benjamin sourit pendant que la foule l'encourage. Il retire sa ceinture et la lève bien haut dans les airs, le champion, c'est lui.
Shelton Benjamin – Et en tant que champion de la Corporation, je te demande, d'homme à homme, de champion à champion, un match revanche, la semaine prochaine, à l'occasion de la dixième édition d'Attitude. J'ai une revanche à prendre, je veux prouver que le Corporation Championship n'est pas moins glorifiant que l'Attitude Championship, et je veux te battre, Christian. J'aurai également souhaité te battre et ainsi briser ta série de victoires, mais Edge semble s'en être déjà chargé.
Benjamin vient de surprendre tout le monde, Christian le premier. La foule, elle semble des plus heureuses à la suite de ce nouveau défi lancé à l'encontre de Captain Charisma. Ce dernier se doit donc d'ailleurs de répondre, mais il ne trouve pas de micro.
Shelton Benjamin – Prends mon micro, champ-...
SPEAR SUR SHELTON BENJAMIN !! Edge, qui se faisait très discret depuis plusieurs minutes, vient de se réveiller et de se rappeler au bon souvenir de tout le monde en broyant Shelton Benjamin en deux, à la surprise générale.
Edge se passe les mains dans les cheveux et affiche son traditionnel regard de psychopathe qui vient de mettre la main sur sa proie. Shelton, lui, se tort en deux sur le ring, ses tablettes de chocolat viennent de se faire briser au moment où il s'y attendait le moins. Christian, lui, ne bouge pas, bouche à moitié-ouverte, regard tantôt posé sur un Shelton Benjamin souffrant, tantôt sur son meilleur ami, son frère, qui vient de quitter le ring pour rejoindre sa chère et tendre (sa reste sa salope !) Lita. A eux deux, le Rated R Couple remonte la rampe d'accès et le show se termine ainsi, avec un acte inattendu et un défi qui n'aura pas obtenu de réponse. Vivement Attitude, dixième édition.
Les deux hommes se regardent, se dévisagent, se défigurent, l'un en veut à l'autre de l'avoir battu, et l'autre affiche un sourire de satisfaction non négligeable. Tout ceci sur fond de fans en excitation la plus totale qui demandent aux deux hommes de se remettre un coup sur la gueule.
??? – Désolé de vous interrompre...
Edge et Christian, qui ne cessaient de se regarder dans le blanc des yeux jusqu'alors, tournent de suite la tête vers le titantron. Un homme descend tranquillement la rampe, sourire aux lèvres, et ceinture autour des hanches, il s'agit du Gold Standard, Shelton Benjamin.
Shelton Benjamin – Non pas que je veuille m'intéresser aux querelles Canadiennes, mais je voudrais parler à Christian. J'ai quelque chose à te dire, champion.
Cage semble intrigué et il recule d'ailleurs de quelques pas, Edge s'écartant lui aussi de quelques pas pendant que Shelton passe entre les cordes.
Shelton Benjamin – Premièrement, laisse-moi té féliciter pour avoir battu l'Undertaker et avoir obtenu la ceinture que tu désirais tant. Deuxièmement, laisse-moi te remercier. Merci pour tout ce que tu as fais, et pour tout ce que tu fais, parce que sans toi, je n'aurai certainement pas cette ceinture de champion autour de mes hanches à l'heure où je te parle. Je te remercie de m'avoir battu il y a plusieurs semaines de cela à Thunderslam, alors que j'étais sûr de te battre. Je te remercie de m'avoir donné une leçon, et de m'avoir remit en place. Je te remercie pour tout cela parce que tu as été le facteur x qui a permit au Gold Standard d'évoluer, de se transformer, et d'apprendre qu'il y a autre chose dans la vie que Shelton Benjamin et ses qualités athlétiques.
« GOLD STANDARD ! GOLD STANDARD ! »
Shelton Benjamin – Le Gold Standard est toujours là, je suis toujours aussi athlétique, aussi doué sur un ring, mais je suis à présent beaucoup plus que ça. Je suis un autre homme, beaucoup plus humble, qui réfléchit avant de parler et d'agir, et qui a su adapter sa lutte sur le ring pour remporter des combats, des titres, et devenir l'un des meilleurs ici. Si aujourd'hui je suis le champion de la Corporation, je le dois à mon talent, mais également à Christian Cage qui a su me donner une fessée au moment où je m'y attendais le moins. Et finalement, cette défaite a été bénéfique pour moi, faisant contre mauvaise-fortune, bon coeur.
Shelton Benjamin sourit pendant que la foule l'encourage. Il retire sa ceinture et la lève bien haut dans les airs, le champion, c'est lui.
Shelton Benjamin – Et en tant que champion de la Corporation, je te demande, d'homme à homme, de champion à champion, un match revanche, la semaine prochaine, à l'occasion de la dixième édition d'Attitude. J'ai une revanche à prendre, je veux prouver que le Corporation Championship n'est pas moins glorifiant que l'Attitude Championship, et je veux te battre, Christian. J'aurai également souhaité te battre et ainsi briser ta série de victoires, mais Edge semble s'en être déjà chargé.
Benjamin vient de surprendre tout le monde, Christian le premier. La foule, elle semble des plus heureuses à la suite de ce nouveau défi lancé à l'encontre de Captain Charisma. Ce dernier se doit donc d'ailleurs de répondre, mais il ne trouve pas de micro.
Shelton Benjamin – Prends mon micro, champ-...
SPEAR SUR SHELTON BENJAMIN !! Edge, qui se faisait très discret depuis plusieurs minutes, vient de se réveiller et de se rappeler au bon souvenir de tout le monde en broyant Shelton Benjamin en deux, à la surprise générale.
Edge se passe les mains dans les cheveux et affiche son traditionnel regard de psychopathe qui vient de mettre la main sur sa proie. Shelton, lui, se tort en deux sur le ring, ses tablettes de chocolat viennent de se faire briser au moment où il s'y attendait le moins. Christian, lui, ne bouge pas, bouche à moitié-ouverte, regard tantôt posé sur un Shelton Benjamin souffrant, tantôt sur son meilleur ami, son frère, qui vient de quitter le ring pour rejoindre sa chère et tendre (sa reste sa salope !) Lita. A eux deux, le Rated R Couple remonte la rampe d'accès et le show se termine ainsi, avec un acte inattendu et un défi qui n'aura pas obtenu de réponse. Vivement Attitude, dixième édition.
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Attitude : 3:16
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