Attitude #10.
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Attitude #10.
Le show n'a pas encore commencé, mais pour nous c'est devenu une habitude de vous plonger dans l'univers de la fédération avant le générique inaugural. Voilà pourquoi nous sommes dans le bureau d'Austin. Ce dernier est accoudé au rebord de la fenêtre, et la porte de son bureau, ouverte, voit bientôt la silhouette de Ken Anderson se dessiner.
Mister Anderson – Vous vouliez me voir, boss ?
Stone Cold – Assieds-toi, Kenneth.
Putain, tu sens toute l'énergie, tout le feeling, tout le savoir-faire des personnages et du scripteur juste avec ces deux répliques ? Un chef d'oeuvre, tout simplement.
Stone Cold – On a un problème, Kenneth.
Mister Anderson – C'est plutôt fâcheux, ça.
Stone Cold – Surtout quand le problème viens de toi. Qu'est-ce qui est passé par ton petit crâne d'abruti pour faire ce que tu as fais la semaine dernière ? C'est quoi ces méthodes moyenâgeuse ? On est en 2011, wake up son. Les passages à tabac, les séances de tortures, c'est d'un autre temps. Merde, j'peux pas encadrer l'autre mangeur de mouton mais j'ai pas envie que l'Attitude Wrestling Corporation ait les services de protection des droits droits de l'homme et les services de la protection musulmane juste parce qu'un membre de mon roster n'a pas adopté la bonne attitude avec un islamique. Putain, t'as agis comme un salopard de terroriste !
Mister Anderson – Ne me compare pas à ces bâtards.
Stone Cold – Alors comporte-toi comme un homme, et pas comme un terroriste. Tu aimes ta patrie autant que moi, mais ce n'est pas une raison pour massacrer un musulman sous les yeux du peuple Américain. Ne rentrons pas dans cette spirale, Kenneth, ne rentrons pas dans ce petit jeu malsain qui pourrait nous jouer des mauvais tours à tous les deux.
Anderson, lui, ne semble pas plus embêté que ça.
Mister Anderson – Depuis tout petit, je fonctionne de la même manière. Oeil pour oeil, dent pour dent. Le peuple de Tarver a voulu s'en prendre à d'innocents Américains, alors j'ai rendu justice en m'en prenant à un musulman qui n'a pas encore été reconnu coupable.
Stone Cold – And that's the problem ! Frapper et maltraiter un innocent ne fera pas revenir les personnes victimes des attentats. Frapper un musulman ne nous rendra pas justice. Bordel, j'ai même reçu un appel du Pentagone hier matin, ils m'ont réveillé ces fils de pute, alors que je dé-saoulais. Et tu sais pourquoi ils ont appelé, huh ? Parce qu'ils sont pas contents, putain. Ils m'ont emmerdé pendant une putain de gueule de bois comme je les aiment juste pour me dire qu'ils étaient en colère. Et ça, c'est ta faute, Kenneth. Je t'ai confié une mission, et toi qu'est-ce que tu as foutu, hein ? Est-ce que tu peux me le dire ?
Mister Anderson – J'ai pété la gueule à ce fils de pute de musulman.
Stone Cold – T'as pété la gueule d'Abdallah Tarver, ouais. Et tu sais ce qui est emmerdant là-dedans ? C'est que t'as tiré des conclusions hâtives. Le Pentagone a mené sa petite enquête, et ils ont aperçu Abdallah dans un bar près de Ground Zero. Il était en train de siroter un putain de diabolo-grenadine. Putain, c'était de la grenadine Kenneth, de la grenadine ! Y'a même des caméras qui le prouvent.
Austin est vert de rage, et s'il pouvait s'arracher les cheveux, il aurait déjà la coupe à Zidane.
Mister Anderson – C'est embêtant, ça.
Stone Cold – Un peu que ça l'est, du con. D'autant plus qu'ils m'ont aussi dit que pour activer la bombe, il fallait un détonateur. Or, à aucun moment Abdallah n'utilise son téléphone, ou n'importe quel autre gadget qui aurait permit une activation. Tu sais ce que ça signifie, Kenneth ? Ça veut dire qu'il est innocent. Et tu sais ce que cela veut également dire ? T'as tabassé un putain d'innocent, abruti ! Je t'ai filé une putain de mission, alors tâche de pas me faire passer pour un con auprès des hautes instances du pays.
Mister Anderson – Je suis désolé, boss.
Stone Cold – Tu peux, oui. Des gens sont déjà descendus dans les rues pour manifester contre les représailles que le peuple Américain pourrait avoir contre les musulmans. L'ambiance est électrique, ça peut péter à tout moment. Et j'ai pas envie que ma fédération soit la cause d'une putain de guerre civile, tu m'entends ? Alors maintenant tu vas me faire le plaisir d'utiliser les trois neurones que t'as sous ta tignasse blonde, tu vas réfléchir, analyser, questionner, et tu vas me mener une enquête, une vraie, qui apportera des réponses ! Et contrôle tes pulsions, merde.
Mister Anderson – Cela ne se reproduira plus, boss. Je vous promets une enquête totalement neutre, et qui apportera des résultats rapidement.
Stone Cold – J'aime mieux ça.
Si toi aussi t'as toujours rêvé de te la jouer comme Stone Cold, tape 1 dans le sondage du show. Si, comme Anderson, tu te lèves de ta chaise avant de te raviser pour te rasseoir et sortir un petit carnet, ne tape rien.
Mister Anderson – Au fait Steve, où étiez-vous le 11 septembre, au moment des faits ?
Stone Cold – What ?
Mister Anderson – C'est une simple question pour une enquête la plus neutre possible.
Stone Cold – J'étais sur le ring, avec mon putain de chandail d'arbitre sur le dos, en train de regarder l'Undertaker ramasser ses dents une par une après que j'lui ai porté un putain de Stunner dans la mâchoire. Et puis merde, dégage de mon bureau.
Anderson a tout juste le temps de griffonner quelque chose sur son petit calepin noir qu'il se fait mettre dehors à coups de pieds au cul par Stone Cold.
Mister Anderson – Merci pour la réponse, boss.
Stone Cold – Dégage avant que j'te fasse bouffer ton carnet, asshole.
Si on en avait la capacité, on lancerait à présent le générique des Experts : Miami, mais on va devoir se contenter de ce pré-show qui met de suite les accents sur les là.
Mister Anderson – Vous vouliez me voir, boss ?
Stone Cold – Assieds-toi, Kenneth.
Putain, tu sens toute l'énergie, tout le feeling, tout le savoir-faire des personnages et du scripteur juste avec ces deux répliques ? Un chef d'oeuvre, tout simplement.
Stone Cold – On a un problème, Kenneth.
Mister Anderson – C'est plutôt fâcheux, ça.
Stone Cold – Surtout quand le problème viens de toi. Qu'est-ce qui est passé par ton petit crâne d'abruti pour faire ce que tu as fais la semaine dernière ? C'est quoi ces méthodes moyenâgeuse ? On est en 2011, wake up son. Les passages à tabac, les séances de tortures, c'est d'un autre temps. Merde, j'peux pas encadrer l'autre mangeur de mouton mais j'ai pas envie que l'Attitude Wrestling Corporation ait les services de protection des droits droits de l'homme et les services de la protection musulmane juste parce qu'un membre de mon roster n'a pas adopté la bonne attitude avec un islamique. Putain, t'as agis comme un salopard de terroriste !
Mister Anderson – Ne me compare pas à ces bâtards.
Stone Cold – Alors comporte-toi comme un homme, et pas comme un terroriste. Tu aimes ta patrie autant que moi, mais ce n'est pas une raison pour massacrer un musulman sous les yeux du peuple Américain. Ne rentrons pas dans cette spirale, Kenneth, ne rentrons pas dans ce petit jeu malsain qui pourrait nous jouer des mauvais tours à tous les deux.
Anderson, lui, ne semble pas plus embêté que ça.
Mister Anderson – Depuis tout petit, je fonctionne de la même manière. Oeil pour oeil, dent pour dent. Le peuple de Tarver a voulu s'en prendre à d'innocents Américains, alors j'ai rendu justice en m'en prenant à un musulman qui n'a pas encore été reconnu coupable.
Stone Cold – And that's the problem ! Frapper et maltraiter un innocent ne fera pas revenir les personnes victimes des attentats. Frapper un musulman ne nous rendra pas justice. Bordel, j'ai même reçu un appel du Pentagone hier matin, ils m'ont réveillé ces fils de pute, alors que je dé-saoulais. Et tu sais pourquoi ils ont appelé, huh ? Parce qu'ils sont pas contents, putain. Ils m'ont emmerdé pendant une putain de gueule de bois comme je les aiment juste pour me dire qu'ils étaient en colère. Et ça, c'est ta faute, Kenneth. Je t'ai confié une mission, et toi qu'est-ce que tu as foutu, hein ? Est-ce que tu peux me le dire ?
Mister Anderson – J'ai pété la gueule à ce fils de pute de musulman.
Stone Cold – T'as pété la gueule d'Abdallah Tarver, ouais. Et tu sais ce qui est emmerdant là-dedans ? C'est que t'as tiré des conclusions hâtives. Le Pentagone a mené sa petite enquête, et ils ont aperçu Abdallah dans un bar près de Ground Zero. Il était en train de siroter un putain de diabolo-grenadine. Putain, c'était de la grenadine Kenneth, de la grenadine ! Y'a même des caméras qui le prouvent.
Austin est vert de rage, et s'il pouvait s'arracher les cheveux, il aurait déjà la coupe à Zidane.
Mister Anderson – C'est embêtant, ça.
Stone Cold – Un peu que ça l'est, du con. D'autant plus qu'ils m'ont aussi dit que pour activer la bombe, il fallait un détonateur. Or, à aucun moment Abdallah n'utilise son téléphone, ou n'importe quel autre gadget qui aurait permit une activation. Tu sais ce que ça signifie, Kenneth ? Ça veut dire qu'il est innocent. Et tu sais ce que cela veut également dire ? T'as tabassé un putain d'innocent, abruti ! Je t'ai filé une putain de mission, alors tâche de pas me faire passer pour un con auprès des hautes instances du pays.
Mister Anderson – Je suis désolé, boss.
Stone Cold – Tu peux, oui. Des gens sont déjà descendus dans les rues pour manifester contre les représailles que le peuple Américain pourrait avoir contre les musulmans. L'ambiance est électrique, ça peut péter à tout moment. Et j'ai pas envie que ma fédération soit la cause d'une putain de guerre civile, tu m'entends ? Alors maintenant tu vas me faire le plaisir d'utiliser les trois neurones que t'as sous ta tignasse blonde, tu vas réfléchir, analyser, questionner, et tu vas me mener une enquête, une vraie, qui apportera des réponses ! Et contrôle tes pulsions, merde.
Mister Anderson – Cela ne se reproduira plus, boss. Je vous promets une enquête totalement neutre, et qui apportera des résultats rapidement.
Stone Cold – J'aime mieux ça.
Si toi aussi t'as toujours rêvé de te la jouer comme Stone Cold, tape 1 dans le sondage du show. Si, comme Anderson, tu te lèves de ta chaise avant de te raviser pour te rasseoir et sortir un petit carnet, ne tape rien.
Mister Anderson – Au fait Steve, où étiez-vous le 11 septembre, au moment des faits ?
Stone Cold – What ?
Mister Anderson – C'est une simple question pour une enquête la plus neutre possible.
Stone Cold – J'étais sur le ring, avec mon putain de chandail d'arbitre sur le dos, en train de regarder l'Undertaker ramasser ses dents une par une après que j'lui ai porté un putain de Stunner dans la mâchoire. Et puis merde, dégage de mon bureau.
Anderson a tout juste le temps de griffonner quelque chose sur son petit calepin noir qu'il se fait mettre dehors à coups de pieds au cul par Stone Cold.
Mister Anderson – Merci pour la réponse, boss.
Stone Cold – Dégage avant que j'te fasse bouffer ton carnet, asshole.
Si on en avait la capacité, on lancerait à présent le générique des Experts : Miami, mais on va devoir se contenter de ce pré-show qui met de suite les accents sur les là.
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Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #10.
IT WAS LAST WEEK.
...
ATTITUDE NUMBER NINE, LIVE FROM SAN ANTONIO.
Le show n’a pas encore commencé que les retombées de Ground Zero sont déjà là. Suite à l’attentat à l’encontre de John Cena, le Pentagone intervient.
Christian Cage est champion du monde, il veut un certain adversaire face à qui remettre sa ceinture en jeu. Le nom de ce dernier … Triple H !
Alors que Santino Marella essaie de savoir qui est Kenta, Vladimir Kozlov défait le japonais montrant qu’après Cold, c’est à Attitude qu’il veut percer.
Le ring manque définitivement au Heart Break Kid, Shawn Michaels, ce dernier décide de remonter pour de bon sur les rings, et son Sweet Chin Music est toujours aussi dévastateur !
Alors que les affaires avec sa femme ne s’arrangent pas, Andy Leavine peut toujours compté sur le soutien sans faille de Trish Stratus.
Cependant, après une victoire avec Shelton Benjamin, Big Andy se fait attaquer sans raison apparente par Chris Jericho. Un autre mystère à l’AWC.
Claudio Castagnoli est un lutteur en règle, et l’immigration il ne la tolère pas. Il le fait savoir. Il luttera contre les clandestins qui travaillent au dépend des autres.
Son joli discours ne l’empêche pas de perdre face à un Gregory Helms qui a du mal à encaisser la défaite de Ground Zero et dont les relations avec Bryan Danielson semble se dégrader.
Les Dudleys, à peine débarrassé de la Greatest Alliance, déclare la guerre aux Colons, on ne les attaque pas en douce. Foi de Dudleys.
Cependant, Los Colons prennent un nouvel avantage face aux Dudleys en attaquant Joel Gertner après la victoire des deux frangins sur Homicide et son nouvel équipier, Sabian.
Ken Anderson va se charger personnellement de l’attentat à l’encontre de John Cena, il sera le relais de la CIA à l’AWC et Abdallah Tarver se fait littéralement détruire ! Un coupable logique.
Enorme soirée pour The Rated-R Superstar, Edge, il brise la Winning Streak de son frère, Christian, The Attitude Champion et place son Spear sur l’autre champion, Shelton Benjamin.
AND NOW, ATTITUDE CONTINUES
...
THIS IS ATTITUDE NUMBER TEN LIVE FROM BEAUMONT, TX.
...
ATTITUDE NUMBER NINE, LIVE FROM SAN ANTONIO.
Le show n’a pas encore commencé que les retombées de Ground Zero sont déjà là. Suite à l’attentat à l’encontre de John Cena, le Pentagone intervient.
Christian Cage est champion du monde, il veut un certain adversaire face à qui remettre sa ceinture en jeu. Le nom de ce dernier … Triple H !
Alors que Santino Marella essaie de savoir qui est Kenta, Vladimir Kozlov défait le japonais montrant qu’après Cold, c’est à Attitude qu’il veut percer.
Le ring manque définitivement au Heart Break Kid, Shawn Michaels, ce dernier décide de remonter pour de bon sur les rings, et son Sweet Chin Music est toujours aussi dévastateur !
Alors que les affaires avec sa femme ne s’arrangent pas, Andy Leavine peut toujours compté sur le soutien sans faille de Trish Stratus.
Cependant, après une victoire avec Shelton Benjamin, Big Andy se fait attaquer sans raison apparente par Chris Jericho. Un autre mystère à l’AWC.
Claudio Castagnoli est un lutteur en règle, et l’immigration il ne la tolère pas. Il le fait savoir. Il luttera contre les clandestins qui travaillent au dépend des autres.
Son joli discours ne l’empêche pas de perdre face à un Gregory Helms qui a du mal à encaisser la défaite de Ground Zero et dont les relations avec Bryan Danielson semble se dégrader.
Les Dudleys, à peine débarrassé de la Greatest Alliance, déclare la guerre aux Colons, on ne les attaque pas en douce. Foi de Dudleys.
Cependant, Los Colons prennent un nouvel avantage face aux Dudleys en attaquant Joel Gertner après la victoire des deux frangins sur Homicide et son nouvel équipier, Sabian.
Ken Anderson va se charger personnellement de l’attentat à l’encontre de John Cena, il sera le relais de la CIA à l’AWC et Abdallah Tarver se fait littéralement détruire ! Un coupable logique.
Enorme soirée pour The Rated-R Superstar, Edge, il brise la Winning Streak de son frère, Christian, The Attitude Champion et place son Spear sur l’autre champion, Shelton Benjamin.
AND NOW, ATTITUDE CONTINUES
...
THIS IS ATTITUDE NUMBER TEN LIVE FROM BEAUMONT, TX.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
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Re: Attitude #10.
ATTITUDE WRESTLING CORPORATION.
IT'S TIME TO CHOOSE THE RIGHT ATTITUDE.
« GIVE ME A HELL YEAH ! »
UNLEASH HELL.
« YOU LITTLE SUMBITCH ! »
AUSTIN 3:16 JUST WHOOPED YOUR ASS.
« WHAT ? »
THIS IS A NEW WRESTLING ERA.
« WHAT ? »
HOSTED BY THE TEXAS RATTLESNAKE, BEER DRINKER...
« THE TOUGHEST SUMBITCH OF WRESTLING HISTORY ! »
STONE COLD STEVE AUSTIN !
« OH HELL YEAH ! »
ARRIVE, RAISE HELL, LEAVE.
« WHAT ? »
THIS IS NOW...
« AND THAT'S THE BOTTOM LINE... »
THIS... IS... ATTITUDE !
« CAUSE STONE COLD SAID SO ! »
IT'S TIME TO CHOOSE THE RIGHT ATTITUDE.
« GIVE ME A HELL YEAH ! »
UNLEASH HELL.
« YOU LITTLE SUMBITCH ! »
AUSTIN 3:16 JUST WHOOPED YOUR ASS.
« WHAT ? »
THIS IS A NEW WRESTLING ERA.
« WHAT ? »
HOSTED BY THE TEXAS RATTLESNAKE, BEER DRINKER...
« THE TOUGHEST SUMBITCH OF WRESTLING HISTORY ! »
STONE COLD STEVE AUSTIN !
« OH HELL YEAH ! »
ARRIVE, RAISE HELL, LEAVE.
« WHAT ? »
THIS IS NOW...
« AND THAT'S THE BOTTOM LINE... »
THIS... IS... ATTITUDE !
« CAUSE STONE COLD SAID SO ! »
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Re: Attitude #10.
Bonsoir tout le monde. J’ai hérité de la fameuse intro made in AWC. Je sais bien que la plupart d’entre vous ne liront pas ces lignes, et bah ce n’est pas grave. Mais moi j’éviterai les coups de fouets parce que honnêtement, être booker, c’est pas facile. On est même pas rémunéré. Bon trêve de conneries. Là je suis entrain de me dire que je dois boucher les trous, faut que je rende ce paragraphe un peu plus consistant mais je sais pas comment le faire. Bon je vais matez un épisode de Bref. Sauf que y a pas de nouvel épisode. Bon, je suis un peu chiant là. Je vais essayez d’être plus intéressant dans le second paragraphe que beaucoup de monde ne lira pas.
Comment elle claque l’arène. Bon petit tour des pancartes. Je sais que tu ne demandes que ça. Alors soit, on commence avec un groupe de sadomasochistes fétichistes qui veulent faire parti du Ministry. Pas de chance les gars, mais McCool est au Taker, vous l’aurez pas comme ça. Là-bas, on voit une femme déguisé en infirmière qui veut aller s’occuper de John Cena. Pas de souci ce dernier est entre de bonnes mains et on pense à lui. Tiens mais ça ne serait pas Heath Slater qui brandit une pancarte : Recrutez moi ! Pas de lui à l’AWC. On a également un duo qui demande où est Alberto Del Rio. Seul lui le sait. Voilà une jolie blonde qui demande de passer un quart d‘heure avec Christian. Ca c‘est une sacrée pipe à l‘horizon, euh peep ! Bon arrêtons nous là, parce que sinon on en est pas sorti.
« AWC ! AWC ! AWC ! »
L‘AWC a conquis le cœur de tout le monde. Après avoir pas mal parlé, on va s‘intéresser à ce qui nous intéresse vraiment soit la carte de ce soir, parce que d‘entrée faut dire qu‘on a un putain de Main-Event à l‘horizon. Les AWC Tag Team Champions, The Dudleys Boys fassent au Attitude Champion Christian Cage et son challenger Triple H. Ce dernier est le dernier à être invaincu. Christian Cage a été défait par Edge la semaine dernière. Mentionnons que celui-ci fera face à Randy Orton ce soir, ce qui nous promet un sacré affrontement. Un affrontement qu‘il ne faudra pas louper ce sera celui entre Shelton Benjamin, The Corporation Champion et Shawn Michaels, The Showstopper. Il y aura aussi le pré Main-Event, avec The Undertaker contre Andy Leavine, la guerre entre le Ministry et la Corporation n‘est pas encore finie. En dernier combat assez important, une opposition entre Carlito et Sabian. Si une carte comme ça, ça vous met pas l‘eau à la bouche, je sais pas ce qu‘il vous faut.
« BOOKER T ! BILL DEMOTT ! AUSTIN ! TRISH ! »
Booker T – Welcome everybody to Attitude ! Quelle ambiance. On ne vous remerciera jamais pour cela. C‘est vous qui faîtes l‘AWC.
Bill DeMott – Ouais, moi je vous remercie pas. Si vous étiez plus nombreux, j’aurai une meilleure paye. Bon, on a quand même un show intéressant ce soir.
Booker T – En effet, très belle carte que l‘AWC vous propose ce soir. Ground Zero est désormais derrière nous, c‘est le prochain PPV dans quelques semaines qui se dessinent à l‘horizon.
Bill DeMott – Un combat a déjà été annoncé et ce sera le Main-Event, Christian Cage remettra son titre en jeu face à Triple H. Et ce soir on risque de s‘amuser puisqu‘ils vont devoir cohabiter face aux Dudleys dans le Main-Event.
Booker T – En parlant des Dudleys, ces derniers sont en pleine guerre face aux Colons. La famille porto-ricaine a envoyé Joel Gertner à l‘hôpital et connaissant la famille Dudleys, les représailles à l'encontre des Colons ne devraient pas se faire attendre.
Bill DeMott – Celui qui va avoir chaud au cul, c‘est l‘Undertaker ce soir. Andy Leavine va montrer pour de bon que la Corporation poutre le Ministry.
Booker T – J‘espère surtout concernant Leavine qu‘on va apprendre pourquoi Chris Jericho l‘a attaqué la semaine passée. Toujours est-il que Attitude numéro dix, c‘est commencé.
Comment elle claque l’arène. Bon petit tour des pancartes. Je sais que tu ne demandes que ça. Alors soit, on commence avec un groupe de sadomasochistes fétichistes qui veulent faire parti du Ministry. Pas de chance les gars, mais McCool est au Taker, vous l’aurez pas comme ça. Là-bas, on voit une femme déguisé en infirmière qui veut aller s’occuper de John Cena. Pas de souci ce dernier est entre de bonnes mains et on pense à lui. Tiens mais ça ne serait pas Heath Slater qui brandit une pancarte : Recrutez moi ! Pas de lui à l’AWC. On a également un duo qui demande où est Alberto Del Rio. Seul lui le sait. Voilà une jolie blonde qui demande de passer un quart d‘heure avec Christian. Ca c‘est une sacrée pipe à l‘horizon, euh peep ! Bon arrêtons nous là, parce que sinon on en est pas sorti.
« AWC ! AWC ! AWC ! »
L‘AWC a conquis le cœur de tout le monde. Après avoir pas mal parlé, on va s‘intéresser à ce qui nous intéresse vraiment soit la carte de ce soir, parce que d‘entrée faut dire qu‘on a un putain de Main-Event à l‘horizon. Les AWC Tag Team Champions, The Dudleys Boys fassent au Attitude Champion Christian Cage et son challenger Triple H. Ce dernier est le dernier à être invaincu. Christian Cage a été défait par Edge la semaine dernière. Mentionnons que celui-ci fera face à Randy Orton ce soir, ce qui nous promet un sacré affrontement. Un affrontement qu‘il ne faudra pas louper ce sera celui entre Shelton Benjamin, The Corporation Champion et Shawn Michaels, The Showstopper. Il y aura aussi le pré Main-Event, avec The Undertaker contre Andy Leavine, la guerre entre le Ministry et la Corporation n‘est pas encore finie. En dernier combat assez important, une opposition entre Carlito et Sabian. Si une carte comme ça, ça vous met pas l‘eau à la bouche, je sais pas ce qu‘il vous faut.
« BOOKER T ! BILL DEMOTT ! AUSTIN ! TRISH ! »
Booker T – Welcome everybody to Attitude ! Quelle ambiance. On ne vous remerciera jamais pour cela. C‘est vous qui faîtes l‘AWC.
Bill DeMott – Ouais, moi je vous remercie pas. Si vous étiez plus nombreux, j’aurai une meilleure paye. Bon, on a quand même un show intéressant ce soir.
Booker T – En effet, très belle carte que l‘AWC vous propose ce soir. Ground Zero est désormais derrière nous, c‘est le prochain PPV dans quelques semaines qui se dessinent à l‘horizon.
Bill DeMott – Un combat a déjà été annoncé et ce sera le Main-Event, Christian Cage remettra son titre en jeu face à Triple H. Et ce soir on risque de s‘amuser puisqu‘ils vont devoir cohabiter face aux Dudleys dans le Main-Event.
Booker T – En parlant des Dudleys, ces derniers sont en pleine guerre face aux Colons. La famille porto-ricaine a envoyé Joel Gertner à l‘hôpital et connaissant la famille Dudleys, les représailles à l'encontre des Colons ne devraient pas se faire attendre.
Bill DeMott – Celui qui va avoir chaud au cul, c‘est l‘Undertaker ce soir. Andy Leavine va montrer pour de bon que la Corporation poutre le Ministry.
Booker T – J‘espère surtout concernant Leavine qu‘on va apprendre pourquoi Chris Jericho l‘a attaqué la semaine passée. Toujours est-il que Attitude numéro dix, c‘est commencé.
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Re: Attitude #10.
Bill et Booker sont en place, les fans ajustent leur attitude, les chants descendent des travées de l'arena, et on attend plus qu'une chose, le début du show.
Et c'est Shelton Benjamin, Corporation Champion, qui se présente en premier ce soir devant les fans. Le visage fermé, le regard déterminé, il rejoint le ring et s'empare d'un micro. Sa musique n'a même pas le temps de se couper qu'il parle déjà.
Shelton Benjamin – Cut the music. Cut the music.
Et la musique se coupa.
Shelton Benjamin – Last week, alors que je venais défier l'actuel champion Attitude, Christian Cage, pour un match revanche, j'ai été attaqué par surprise par un homme qui n'avait rien à faire dans cette histoire. Edge s'est immiscé dans la conversation et m'a porté un Spear sans aucune raison valable, et je n'accepte pas cela. Je veux toujours défier Christian dans un match retour, mais chaque chose en son temps. Si Edge à un problème avec moi ou avec ce que je peux dire, qu'il vienne me le dire en face, ici et maintenant, je l'attends.
Shelton fait le tour du ring, il peine à cacher sa nervosité et surtout son énervement. Les secondes passent et toujours rien.
Shelton Benjamin – Come on Edge !
Edge semble avoir du retard à l'allumage, ce soir.
Ou alors, peut-être que Lita n'avait tout simplement pas terminé sa petite gâterie. Et, c'est bien connu, chaque chose en son temps, il aurait été dommage de se stopper dans un si bon élan. By the way, Edge monte sur le ring à son tour, accompagné de Lita.
Edge – Lita is definitely the hottest women in history.
Lita – Et toi, tu es l'homme le plus sexy du monde, baby.
Shelton Benjamin – C'est bon, vous avez terminé ?
Edge – Qu'est-ce que tu veux, Benjamin ?
Shelton Benjamin – Des réponses.
Edge – Des réponses ? Tu entends ça, baby ? Il veut des réponses.
Lita – Ridicule.
Edge – Peut-être, mais tu sais quoi ? S'il veut des réponses, je vais lui apporter des réponses. Tu vois, Shelton-...
SPEAR !! ONE MORE TIME !! Shelton Benjamin vient encore de se faire avoir par la Rated R Superstar qui jubile en regardant le visage de Benjamin en pleine souffrance. Ce n'est certainement pas le type de réponse qu'attendait Benjamin, mais qu'importe. Lita tend un micro à Edge, qu'il porte immédiatement à sa bouche en se relevant.
Edge – Les choses sont très simples, Benjamin. Tu vois, tu souhaites un match retour face à Christian, mon frère, mon meilleur ami, très bien. Mais il y a quelque chose qui me gêne là dedans. Tu t'adresses à Christian comme s'il était le meilleur, mais il ne l'est pas, 'cause I am the best. J'ai battu Christian la semaine dernière dans le Main-Event du show, j'ai une nouvelle fois montré que le meilleur lutteur d'E&C, c'était bien moi. In fact, I made Christian ! Tout ce qu'il a aujourd'hui, c'est grâce à moi. Et toi, tout ce que tu as, cette belle ceinture et cette motivation à grimper les échelons, c'est Christian qui te l'a offert. Alors si quelqu'un doit s'attribuer les mérites de ta réussite personnelle et du titre que tu portes autour de tes hanches, ce n'est certainement pas Christian, mais bien moi, the Rated R Superstar, Edge ! Les conseils que tu appliques sont ceux que j'ai donné à Christian. Et cette ceinture que tu portes autour des hanches, tu l'as obtenu indirectement grâce à mes conseils. Et je n'accepte que tu donne tout le crédit de ton changement à un homme qui ne serait rien de plus qu'un livreur de pizza si je ne l'avais pas embarqué dans mes bagages à la WWE.
Shelton tente de se relever, mais Lita lui balance un kick en plein visage. Une vraie tigresse, une vraid femme dominatrice, qui a du poil aux cuisses, j'te le dis moi.
Edge – Alors si tu veux vraiment te confronter à l'homme qui est à l'origine de ta métamorphose, affronte-moi dans un match ! Si tu veux vraiment un combat face à un homme de talent pour prouver que ton titre n'est pas usurpé, affronte-moi ! Et si tu veux vraiment prouver que tu en as dans le pantalon et que ce titre, tu ne l'as pas volé, affrontons-nous dans un Corporation Champions Match ! La balle est dans ton camp, et je surveillerai la moindre de tes montées au filet, jusqu'à ce que j'obtienne le point.
Les choses sont claires, et Edge quitte le ring en lâchant son micro sur la tête de son adversaire, toujours au sol. La Rated R Superstar a frappé, par jalousie, et c'est à son tour de lancer un défi à Shelton Benjamin. Elle commence bien, la dixième.
Et c'est Shelton Benjamin, Corporation Champion, qui se présente en premier ce soir devant les fans. Le visage fermé, le regard déterminé, il rejoint le ring et s'empare d'un micro. Sa musique n'a même pas le temps de se couper qu'il parle déjà.
Shelton Benjamin – Cut the music. Cut the music.
Et la musique se coupa.
Shelton Benjamin – Last week, alors que je venais défier l'actuel champion Attitude, Christian Cage, pour un match revanche, j'ai été attaqué par surprise par un homme qui n'avait rien à faire dans cette histoire. Edge s'est immiscé dans la conversation et m'a porté un Spear sans aucune raison valable, et je n'accepte pas cela. Je veux toujours défier Christian dans un match retour, mais chaque chose en son temps. Si Edge à un problème avec moi ou avec ce que je peux dire, qu'il vienne me le dire en face, ici et maintenant, je l'attends.
Shelton fait le tour du ring, il peine à cacher sa nervosité et surtout son énervement. Les secondes passent et toujours rien.
Shelton Benjamin – Come on Edge !
Edge semble avoir du retard à l'allumage, ce soir.
Ou alors, peut-être que Lita n'avait tout simplement pas terminé sa petite gâterie. Et, c'est bien connu, chaque chose en son temps, il aurait été dommage de se stopper dans un si bon élan. By the way, Edge monte sur le ring à son tour, accompagné de Lita.
Edge – Lita is definitely the hottest women in history.
Lita – Et toi, tu es l'homme le plus sexy du monde, baby.
Shelton Benjamin – C'est bon, vous avez terminé ?
Edge – Qu'est-ce que tu veux, Benjamin ?
Shelton Benjamin – Des réponses.
Edge – Des réponses ? Tu entends ça, baby ? Il veut des réponses.
Lita – Ridicule.
Edge – Peut-être, mais tu sais quoi ? S'il veut des réponses, je vais lui apporter des réponses. Tu vois, Shelton-...
SPEAR !! ONE MORE TIME !! Shelton Benjamin vient encore de se faire avoir par la Rated R Superstar qui jubile en regardant le visage de Benjamin en pleine souffrance. Ce n'est certainement pas le type de réponse qu'attendait Benjamin, mais qu'importe. Lita tend un micro à Edge, qu'il porte immédiatement à sa bouche en se relevant.
Edge – Les choses sont très simples, Benjamin. Tu vois, tu souhaites un match retour face à Christian, mon frère, mon meilleur ami, très bien. Mais il y a quelque chose qui me gêne là dedans. Tu t'adresses à Christian comme s'il était le meilleur, mais il ne l'est pas, 'cause I am the best. J'ai battu Christian la semaine dernière dans le Main-Event du show, j'ai une nouvelle fois montré que le meilleur lutteur d'E&C, c'était bien moi. In fact, I made Christian ! Tout ce qu'il a aujourd'hui, c'est grâce à moi. Et toi, tout ce que tu as, cette belle ceinture et cette motivation à grimper les échelons, c'est Christian qui te l'a offert. Alors si quelqu'un doit s'attribuer les mérites de ta réussite personnelle et du titre que tu portes autour de tes hanches, ce n'est certainement pas Christian, mais bien moi, the Rated R Superstar, Edge ! Les conseils que tu appliques sont ceux que j'ai donné à Christian. Et cette ceinture que tu portes autour des hanches, tu l'as obtenu indirectement grâce à mes conseils. Et je n'accepte que tu donne tout le crédit de ton changement à un homme qui ne serait rien de plus qu'un livreur de pizza si je ne l'avais pas embarqué dans mes bagages à la WWE.
Shelton tente de se relever, mais Lita lui balance un kick en plein visage. Une vraie tigresse, une vraid femme dominatrice, qui a du poil aux cuisses, j'te le dis moi.
Edge – Alors si tu veux vraiment te confronter à l'homme qui est à l'origine de ta métamorphose, affronte-moi dans un match ! Si tu veux vraiment un combat face à un homme de talent pour prouver que ton titre n'est pas usurpé, affronte-moi ! Et si tu veux vraiment prouver que tu en as dans le pantalon et que ce titre, tu ne l'as pas volé, affrontons-nous dans un Corporation Champions Match ! La balle est dans ton camp, et je surveillerai la moindre de tes montées au filet, jusqu'à ce que j'obtienne le point.
Les choses sont claires, et Edge quitte le ring en lâchant son micro sur la tête de son adversaire, toujours au sol. La Rated R Superstar a frappé, par jalousie, et c'est à son tour de lancer un défi à Shelton Benjamin. Elle commence bien, la dixième.
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Re: Attitude #10.
Booker T – Le match suivant opposera Chris Jericho, déjà présent sur le ring, à l'un des meilleurs Junior Heavyweight au monde, KENTA.
Bill DeMott – Un match de poids moyens, en somme.
Booker T – Tout à fait. Et rappelons que, dans sa jeunesse, Chris Jericho a lutté au Japon sous le nom de Lionheart. Il est donc tout à fait habitué au style rude des Japonais.
Bill DeMott – Et voilà la tronche de pamplemousse qui fait son entrée.
Booker T – Est ce qu'il parle notre langue ?
Bill DeMott – Ca serait quand même la moindre des choses.
KENTA – Hi, my name is Kenta Kobayashi. 私は日本からの力士です。私はプロレスの戦闘員の強さである戦闘的な精神が住んで戦闘機、です。私の人々は、名誉と威厳の人です。歴史的に我々は、貴族との我々の敵と戦う。そして常に、我々は我々の敵を克服する。I am Kenta Kobayashi, I'm a Japanese wrestler.
Bill DeMott – J'ai tout compris ! Et toi, Booker ?
Booker T – Je ne parle pas Japonais, mais on me glisse dans l'oreillette qu'il a fait un discours sur l'honneur, la dignité et la force du peuple Japonais.
Bill DeMott – J'en parlerai à mon cheval !
» FIGHT ! «
La cloche sonne et les deux hommes s'échangent une brève et virile poignée de main avant de reculer l'un de l'autre. Les deux lutteurs marchent latéralement, dessinant un cercle dans leur parcours. Tout doucement, il se rapprochent, et finalement ils s'oppose mains contre mains dans une épreuve de force. Jericho prend l'ascendant, il fait se plier en arrière KENTA, tout doucement, mais le japonais a plus d'un tour dans son sac, monkey flip ! Les deux hommes se relèvent immédiatement et KENTA part dans les cordes, running crossbody... C'est stoppé par Jericho qui tient son opposant dans ses bras, fallaway slam ! KENTA roule en dehors du ring en se tenant le dos, le match commence fort. Jericho fait un petit taunt, il court sur place avant de partir dans les cordes, suicide dive ! Y2J a frappé de plein fouet le disciple de Kobashi qui s'est écrasé contre la barricade qui sépare le ring des spectateurs. Alors que la foule fait entendre son plaisir, l'arbitre commence à compter. Il est à quatre quand Jericho commence à se relever. Il est sur les genoux, et l'arbitre est à cinq. Six, Jericho est debout, se tenant à la jupe du ring. Sept, KENTA vient de se relever d'un saut carpé ! Jericho lui envoie une droite à laquelle KENTA répond par un violent coup de coude. Jericho est sonné, l'arbitre compte à huit et KENTA roule dans le ring. Neuf, Jericho se remet et glisse sous la première corde in extremis. Alors que Lionheart se relève doucement, KENTA est dans les cordes, Yakuza Kick !
Bill DeMott – Boum, j'ai senti la puissance du coup d'ici !
Booker T – Quel coup de pied impressionnant, KENTA a littéralement arraché la tête de son adversaire ! C'est incroyable.
Bill DeMott – Et en y regardant de plus près, on peut voir que Jericho saigne de la bouche.
KENTA relève Jericho et le prend sur ses épaules, il est prêt pour son Go To Sleep, mais Jericho se débat et lui met des coups de coude sur le côté du crâne. KENTA veut porter sa prise, il lance Jericho, monte le genou, mais Jericho retombe sur ses pattes et attrape la jambe de KENTA ! GTS contré ! Jericho attrape l'autre jambe de KENTA, il est parti, Walls ! Walls ! Walls of Jericho ! KENTA se tort dans tous les sens pour sortir de la terrible prise de soumission du canadien, il tourne, tourne, et... Petit paquet ! Un, deux, Jericho fait rouler le tout, petit paquet ! Un, deux et trois ! Victoire de Y2J !
Bill DeMott – Quelle fin de merde.
Booker T – Victoire expéditive de Chris Jericho sur un petit paquet.
Bill DeMott – Un match de poids moyens, en somme.
Booker T – Tout à fait. Et rappelons que, dans sa jeunesse, Chris Jericho a lutté au Japon sous le nom de Lionheart. Il est donc tout à fait habitué au style rude des Japonais.
Bill DeMott – Et voilà la tronche de pamplemousse qui fait son entrée.
Booker T – Est ce qu'il parle notre langue ?
Bill DeMott – Ca serait quand même la moindre des choses.
KENTA – Hi, my name is Kenta Kobayashi. 私は日本からの力士です。私はプロレスの戦闘員の強さである戦闘的な精神が住んで戦闘機、です。私の人々は、名誉と威厳の人です。歴史的に我々は、貴族との我々の敵と戦う。そして常に、我々は我々の敵を克服する。I am Kenta Kobayashi, I'm a Japanese wrestler.
Bill DeMott – J'ai tout compris ! Et toi, Booker ?
Booker T – Je ne parle pas Japonais, mais on me glisse dans l'oreillette qu'il a fait un discours sur l'honneur, la dignité et la force du peuple Japonais.
Bill DeMott – J'en parlerai à mon cheval !
» FIGHT ! «
La cloche sonne et les deux hommes s'échangent une brève et virile poignée de main avant de reculer l'un de l'autre. Les deux lutteurs marchent latéralement, dessinant un cercle dans leur parcours. Tout doucement, il se rapprochent, et finalement ils s'oppose mains contre mains dans une épreuve de force. Jericho prend l'ascendant, il fait se plier en arrière KENTA, tout doucement, mais le japonais a plus d'un tour dans son sac, monkey flip ! Les deux hommes se relèvent immédiatement et KENTA part dans les cordes, running crossbody... C'est stoppé par Jericho qui tient son opposant dans ses bras, fallaway slam ! KENTA roule en dehors du ring en se tenant le dos, le match commence fort. Jericho fait un petit taunt, il court sur place avant de partir dans les cordes, suicide dive ! Y2J a frappé de plein fouet le disciple de Kobashi qui s'est écrasé contre la barricade qui sépare le ring des spectateurs. Alors que la foule fait entendre son plaisir, l'arbitre commence à compter. Il est à quatre quand Jericho commence à se relever. Il est sur les genoux, et l'arbitre est à cinq. Six, Jericho est debout, se tenant à la jupe du ring. Sept, KENTA vient de se relever d'un saut carpé ! Jericho lui envoie une droite à laquelle KENTA répond par un violent coup de coude. Jericho est sonné, l'arbitre compte à huit et KENTA roule dans le ring. Neuf, Jericho se remet et glisse sous la première corde in extremis. Alors que Lionheart se relève doucement, KENTA est dans les cordes, Yakuza Kick !
Bill DeMott – Boum, j'ai senti la puissance du coup d'ici !
Booker T – Quel coup de pied impressionnant, KENTA a littéralement arraché la tête de son adversaire ! C'est incroyable.
Bill DeMott – Et en y regardant de plus près, on peut voir que Jericho saigne de la bouche.
KENTA relève Jericho et le prend sur ses épaules, il est prêt pour son Go To Sleep, mais Jericho se débat et lui met des coups de coude sur le côté du crâne. KENTA veut porter sa prise, il lance Jericho, monte le genou, mais Jericho retombe sur ses pattes et attrape la jambe de KENTA ! GTS contré ! Jericho attrape l'autre jambe de KENTA, il est parti, Walls ! Walls ! Walls of Jericho ! KENTA se tort dans tous les sens pour sortir de la terrible prise de soumission du canadien, il tourne, tourne, et... Petit paquet ! Un, deux, Jericho fait rouler le tout, petit paquet ! Un, deux et trois ! Victoire de Y2J !
Bill DeMott – Quelle fin de merde.
Booker T – Victoire expéditive de Chris Jericho sur un petit paquet.
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Re: Attitude #10.
Chris Jericho vient de rencontrer KENTA. Dans quelques instants, Vladimir Kozlov et Santino Marella rencontreront Wade Barrett et Claudio Castagnoli. Et plus tard ce soir, Christian Cage fera équipe avec Triple H pour affronter les Dudley dans ce qui sera le main event de ce soir. Mais pour le moment, retrouvons l'anglais en coulisses, qui est en train de se diriger vers le ring.
Wade Barrett s'arrête, il vient de tomber sur son partenaire.
Claudio Castagnoli – Partner !
Wade Barrett – Do me a favor, Claudio. Essaie de ne pas nous faire perdre ce soir, got it ?
Claudio Castagnoli – Well, well, well. Ecoute-moi bien Wade, et laisse tomber ne serait qu'un instant les statistiques. J'ai peut-être perdu tous mes combats ici à l'Attitude Wrestling Corporation, mais cela n'enlève rien à mes capacités, mon talent et surtout ma connaissance hors-pair de la lutte à quatre.
Wade Barrett – Tes lacunes ici à l'Attitude Wrestling Corporation ne sont dues qu'à ton passé Claudio, alors sors toutes ces conneries d'honneur, de respect, de dignité et de considération. Ce n'est pas la bonne attitude à adopter ici, et je sais de quoi je parle.
Claudio Castagnoli – Crois-moi, j'ai d'autres chats à fouetter que de respecter les traditions du ring de l'honneur. Je suis actuellement en mission. Je suis ici pour faire comprendre aux coulisses de l'Attitude Wrestling Corporation qu'il existe un sérieux problème dans tous nos pays en ce qui concerne l'immigration tout comme il en existe un chez toi, en Angleterre. Sérieusement Wade, t'en as pas marre de tous ces polonais et de tous ces turcs ?
Mister Anderson – Don't move !
Wade Barrett se retourne, les voilà interrompus par Mister Anderson.
Mister Anderson s'approche des deux hommes avec son carnet, il dégaine son stylo à deux milles dollars et observe longuement les deux hommes avant de prendre la parole.
Mister Anderson – Guys, comme vous le savez je suis chargé de mener l'enquête ici à l'Attitude Wrestling Corporation en ce qui concerne l'attentat à la bombe sur la limousine de John Cena, et ce, pour le compte du Pentagone des États-Unis d'Amérique. Je vais commencer avec toi Claudio...
Claudio Castagnoli – Seriously ?
Mister Anderson – Je n'ai jamais été aussi sérieux Claudio, jamais. La bombe a explosé à 23h14 très exactement alors je voudrais que tu me racontes ta soirée...
Claudio Castagnoli – J'ai lutté jusqu'à 21h50 environ. Le temps de prendre ma douche, de m’habiller, de ranger mes affaires et de quitter l'arène, je crois qu'il était 22h30. Sur la route de l'hôtel, je suis tombé sur une auto-stoppeuse, une jeune mexicaine qui était clairement en galère. Je lui ai rendu service et nous avons passés la nuit ensemble, dans ma chambre d'hôtel.
Mister Anderson – Tu as le nom de cette pute ?
Claudio Castagnoli – Une auto-stoppeuse.
Mister Anderson – Ouais, ouais, c'est ça, c'est ça, so ?
Claudio Castagnoli – Non, non, je ne connais pas son nom...
Mister Anderson – Très bien, très bien, je vais demander au Pentagone de vérifier ce que tu viens de me dire, tu seras tenu au courant, tu peux y aller. Quant à toi Wade, grand tombeur de l'Undertaker et je t'en félicite pour ça d'ailleurs, quel est ton alibi ?
Wade Barrett – Je n'en ai pas.
Mister Anderson – Tu n'en as pas ?
Wade Barrett – Non.
Mister Anderson – Intéressant, très intéressant.
Mister Anderson note tout ça dans son carnet.
Wade Barrett – Cela ne fait pas de moi un suspect.
Mister Anderson – A mes yeux, si. Tout le monde est coupable jusqu'à preuve de son innocence, c'est comme ça que ça marche et ça ne changera pas de sitôt. Je vais te dire pourquoi est-ce que je m'intéresse très particulièrement à ton cas. Depuis plusieurs décennies maintenant, les États-Unis d'Amérique et la Grande-Bretagne entretiennent une étroite relation puisque vous êtes clairement nos putes. Si les États-Unis d'Amérique vous demande de nous livrer dix vierges, vous le faîtes. Quand les États-Unis d'Amérique partent en guerre, vous nous suivez comme de vulgaire clébards. On fait ce qu'on veut de vous, vous êtes nos marionnettes. Et moi, je crois que t'es un patriote qui a trop regardé 007 et qui pense rendre service au MI5 ou à sa Majesté en essayant de changer la donne. T'es suspect mon vieux, casse-toi maintenant.
Wade Barrett reste là, sans voix, comme un con.
Claudio Castagnoli – Ken, tu crois que tu peux me mettre en relation avec les services américain de l'immigration ? J'ai deux trois choses à leur dire sur Alberto Del Rio.
Wade Barrett – We've got a match, wanker !
Wade Barrett dévisage Mister Anderson mais ce dernier ne remarque rien, il est en train de compléter ses notes. Wade Barrett et Claudio Castagnoli se décident finalement à partir, pour leur match de ce soir. L'enquête est définitivement lancée !
Wade Barrett s'arrête, il vient de tomber sur son partenaire.
Claudio Castagnoli – Partner !
Wade Barrett – Do me a favor, Claudio. Essaie de ne pas nous faire perdre ce soir, got it ?
Claudio Castagnoli – Well, well, well. Ecoute-moi bien Wade, et laisse tomber ne serait qu'un instant les statistiques. J'ai peut-être perdu tous mes combats ici à l'Attitude Wrestling Corporation, mais cela n'enlève rien à mes capacités, mon talent et surtout ma connaissance hors-pair de la lutte à quatre.
Wade Barrett – Tes lacunes ici à l'Attitude Wrestling Corporation ne sont dues qu'à ton passé Claudio, alors sors toutes ces conneries d'honneur, de respect, de dignité et de considération. Ce n'est pas la bonne attitude à adopter ici, et je sais de quoi je parle.
Claudio Castagnoli – Crois-moi, j'ai d'autres chats à fouetter que de respecter les traditions du ring de l'honneur. Je suis actuellement en mission. Je suis ici pour faire comprendre aux coulisses de l'Attitude Wrestling Corporation qu'il existe un sérieux problème dans tous nos pays en ce qui concerne l'immigration tout comme il en existe un chez toi, en Angleterre. Sérieusement Wade, t'en as pas marre de tous ces polonais et de tous ces turcs ?
Mister Anderson – Don't move !
Wade Barrett se retourne, les voilà interrompus par Mister Anderson.
Mister Anderson s'approche des deux hommes avec son carnet, il dégaine son stylo à deux milles dollars et observe longuement les deux hommes avant de prendre la parole.
Mister Anderson – Guys, comme vous le savez je suis chargé de mener l'enquête ici à l'Attitude Wrestling Corporation en ce qui concerne l'attentat à la bombe sur la limousine de John Cena, et ce, pour le compte du Pentagone des États-Unis d'Amérique. Je vais commencer avec toi Claudio...
Claudio Castagnoli – Seriously ?
Mister Anderson – Je n'ai jamais été aussi sérieux Claudio, jamais. La bombe a explosé à 23h14 très exactement alors je voudrais que tu me racontes ta soirée...
Claudio Castagnoli – J'ai lutté jusqu'à 21h50 environ. Le temps de prendre ma douche, de m’habiller, de ranger mes affaires et de quitter l'arène, je crois qu'il était 22h30. Sur la route de l'hôtel, je suis tombé sur une auto-stoppeuse, une jeune mexicaine qui était clairement en galère. Je lui ai rendu service et nous avons passés la nuit ensemble, dans ma chambre d'hôtel.
Mister Anderson – Tu as le nom de cette pute ?
Claudio Castagnoli – Une auto-stoppeuse.
Mister Anderson – Ouais, ouais, c'est ça, c'est ça, so ?
Claudio Castagnoli – Non, non, je ne connais pas son nom...
Mister Anderson – Très bien, très bien, je vais demander au Pentagone de vérifier ce que tu viens de me dire, tu seras tenu au courant, tu peux y aller. Quant à toi Wade, grand tombeur de l'Undertaker et je t'en félicite pour ça d'ailleurs, quel est ton alibi ?
Wade Barrett – Je n'en ai pas.
Mister Anderson – Tu n'en as pas ?
Wade Barrett – Non.
Mister Anderson – Intéressant, très intéressant.
Mister Anderson note tout ça dans son carnet.
Wade Barrett – Cela ne fait pas de moi un suspect.
Mister Anderson – A mes yeux, si. Tout le monde est coupable jusqu'à preuve de son innocence, c'est comme ça que ça marche et ça ne changera pas de sitôt. Je vais te dire pourquoi est-ce que je m'intéresse très particulièrement à ton cas. Depuis plusieurs décennies maintenant, les États-Unis d'Amérique et la Grande-Bretagne entretiennent une étroite relation puisque vous êtes clairement nos putes. Si les États-Unis d'Amérique vous demande de nous livrer dix vierges, vous le faîtes. Quand les États-Unis d'Amérique partent en guerre, vous nous suivez comme de vulgaire clébards. On fait ce qu'on veut de vous, vous êtes nos marionnettes. Et moi, je crois que t'es un patriote qui a trop regardé 007 et qui pense rendre service au MI5 ou à sa Majesté en essayant de changer la donne. T'es suspect mon vieux, casse-toi maintenant.
Wade Barrett reste là, sans voix, comme un con.
Claudio Castagnoli – Ken, tu crois que tu peux me mettre en relation avec les services américain de l'immigration ? J'ai deux trois choses à leur dire sur Alberto Del Rio.
Wade Barrett – We've got a match, wanker !
Wade Barrett dévisage Mister Anderson mais ce dernier ne remarque rien, il est en train de compléter ses notes. Wade Barrett et Claudio Castagnoli se décident finalement à partir, pour leur match de ce soir. L'enquête est définitivement lancée !
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Re: Attitude #10.
Booker T – Tu crois vraiment que Wade Barrett peut être le coupable dans cette sombre affaire ? Wade Barrett, seriously ?
Bill DeMott – Wade Barrett est celui qui avait transformé la vie de John Cena en véritable cauchemar l'année dernière. John Cena a finalement réussi à se sortir de ce pétrin, et c'est un mobile plus que plausible à mon goût pour s'en prendre de nouveau à lui. J'ai beaucoup de choses à dire en ce qui concerne cette histoire, et je m'exprimerai bientôt.
Booker T – Le retour prochainement du tough enough ?
Bill DeMott – Il y a de fortes chances, ouais. Je dois recadrer deux trois enculés ici. Et en parlant d'enculés, en voilà deux, Santino Marella et Vladimir Kozlov. Ils vont faire face aux deux hommes qui viennent d'être interrogé par Mister Anderson, Claudio Castagnoli et Wade Barrett.
Booker T – Qu'est-ce que Santino est en train de faire ? Damn !
Bill DeMott – Santino Marella est en train de récupérer quelques chose aux abords du ring, il semblerait qu'il s'agisse d'un kimono floqué du drapeau du Japon. Santino Marella l'enfile, Vladimir Kozlov lui donne sa ceinture blanche. Santino Marella, à mon avis, va apprendre le judo ce soir. C'est une farce, huh ?
Booker T – Il est encore en train de se moquer de KENTA, come on Santino !
Bill DeMott – Claudio Castagnoli et Wade Barrett font leurs entrées sous les huées de la foule. Les deux hommes semblent être confiants pour ce soir, c'est ce que nous découvrirons dans quelques instants. It's time !
Booker T – Wait, wait, wait...
Alors que le match était sur le point de commencer, Claudio Castagnoli s'empare d'un micro.
Claudio Castagnoli – "Stoppons l'immigration massive", oui ! Je sais que je suis moi-même un étranger, mais contrairement à d'autres, je ne suis ici que pour le travail. Mon adresse civile est toujours en Suisse, à Lucerne pour être précis. Je ne suis pas ici pour profiter du système et de ses avantages comme le font tous ces bâtards de mexicains. D'ailleurs, à ce propos, Santino Marella et Vladimir Kozlov, j'vous conseille de me présenter vos permis après le match si vous ne voulez pas vous retrouver avec les services de l'immigration aux fesses... Comme j'ai pu le faire avec Alberto Del Rio ! Herrlichkeit !
Le message est passé, et le match va pouvoir commencer. Mon nom c'est pas Joël Gertner mais j'ai tellement les nerfs que moi aussi j'peux cross the line avec mes punchlines. Take that' in your face, you lil' ginger !
» FIGHT ! «
Le match va commencer avec Santino Marella et Wade Barrett. L'anglais s'approche de l'italien et le baffe histoire de lui faire comprendre à quelle point il peut être ridicule. Santino Marella lui répond tout simplement avec une prise de judo, l'ashiguruma ! Wade Barrett se relève, headbutt ! Santino Marella est complètement sonné. Pendulum backbreaker, pumphandle slam, neckbreaker. Wade Barrett passe Santino à tabac. Le tag est réalisé avec Claudio Castagnoli maintenant. Lasartesse Lift - karelin lift transitioned into a side piledriver, very european uppercut, delayed vertical suplex. Claudio Castagnoli passe Santino à tabac à son tour. Le changement est de nouveau fait avec Wade Barrett, mais Vladimir Kozlov rentre dans le ring et place son pushing thrust kick dans l'abdomen de Wade Barrett qui valse en dehors du ring. Santino Marella a du coup le temps de réaliser le tag. Wade Barrett remonte dans le ring mais Vladimir Kozlov lui place son Iron Curtain - kneeling leg trap chokelift spinebuster pin. Le russe essaie le pinfall mais l'arbitre ne compte pas. Claudio Castagnoli avait réalisé un tag en douce. Santino revient dans le ring mais il se prend les pieds dans son kimono et tombe accidentellement sur son partenaire qui est projeté vers Claudio Castagnoli qui lui porte rapidement le Ricola bomb - straight jacket sitout powerbomb pour le compte de trois et la victoire.
Bill DeMott – Il faut absolument que Vladimir Kozlov se sépare une bonne fois pour toute de Santino Marella. C'est à cause de ses pitreries que le match tourne à l'avantage de leurs adversaires ce soir, quelle honte !
Booker T – Tout le monde paie sa méchanceté gratuite tôt ou tard, folks !
Military press dropped into a bridging German suplex sur Claudio Castagnoli !
Bill DeMott – Dos Caras, Jr. ?!
Dos Caras, Jr. vient de claquer sa prise de finition sur le Suisse Claudio Castagnoli en sortant de nulle part. Wade Barrett préfère s'effacer, la soirée est terminée pour lui et il a bien raison. Personne ne comprend ce qu'il se passe ici, tout le monde sait que Dos Caras, Jr. est le nom de scène d'Alberto Del Rio au Mexique. Est-ce Alberto Del Rio sous le masque de Dos Caras, Jr. ? Est-ce un imitateur ? Est-ce un fan d'Alberto Del Rio luttant contre l'exclusion de son héros ? Alberto Del Rio est-il toujours bloqué au Mexique ? Est-il de retour ? Personne n'en sait rien, et personne n'en saura plus ce soir ! F*** !
Bill DeMott – Wade Barrett est celui qui avait transformé la vie de John Cena en véritable cauchemar l'année dernière. John Cena a finalement réussi à se sortir de ce pétrin, et c'est un mobile plus que plausible à mon goût pour s'en prendre de nouveau à lui. J'ai beaucoup de choses à dire en ce qui concerne cette histoire, et je m'exprimerai bientôt.
Booker T – Le retour prochainement du tough enough ?
Bill DeMott – Il y a de fortes chances, ouais. Je dois recadrer deux trois enculés ici. Et en parlant d'enculés, en voilà deux, Santino Marella et Vladimir Kozlov. Ils vont faire face aux deux hommes qui viennent d'être interrogé par Mister Anderson, Claudio Castagnoli et Wade Barrett.
Booker T – Qu'est-ce que Santino est en train de faire ? Damn !
Bill DeMott – Santino Marella est en train de récupérer quelques chose aux abords du ring, il semblerait qu'il s'agisse d'un kimono floqué du drapeau du Japon. Santino Marella l'enfile, Vladimir Kozlov lui donne sa ceinture blanche. Santino Marella, à mon avis, va apprendre le judo ce soir. C'est une farce, huh ?
Booker T – Il est encore en train de se moquer de KENTA, come on Santino !
Bill DeMott – Claudio Castagnoli et Wade Barrett font leurs entrées sous les huées de la foule. Les deux hommes semblent être confiants pour ce soir, c'est ce que nous découvrirons dans quelques instants. It's time !
Booker T – Wait, wait, wait...
Alors que le match était sur le point de commencer, Claudio Castagnoli s'empare d'un micro.
Claudio Castagnoli – "Stoppons l'immigration massive", oui ! Je sais que je suis moi-même un étranger, mais contrairement à d'autres, je ne suis ici que pour le travail. Mon adresse civile est toujours en Suisse, à Lucerne pour être précis. Je ne suis pas ici pour profiter du système et de ses avantages comme le font tous ces bâtards de mexicains. D'ailleurs, à ce propos, Santino Marella et Vladimir Kozlov, j'vous conseille de me présenter vos permis après le match si vous ne voulez pas vous retrouver avec les services de l'immigration aux fesses... Comme j'ai pu le faire avec Alberto Del Rio ! Herrlichkeit !
Le message est passé, et le match va pouvoir commencer. Mon nom c'est pas Joël Gertner mais j'ai tellement les nerfs que moi aussi j'peux cross the line avec mes punchlines. Take that' in your face, you lil' ginger !
» FIGHT ! «
Le match va commencer avec Santino Marella et Wade Barrett. L'anglais s'approche de l'italien et le baffe histoire de lui faire comprendre à quelle point il peut être ridicule. Santino Marella lui répond tout simplement avec une prise de judo, l'ashiguruma ! Wade Barrett se relève, headbutt ! Santino Marella est complètement sonné. Pendulum backbreaker, pumphandle slam, neckbreaker. Wade Barrett passe Santino à tabac. Le tag est réalisé avec Claudio Castagnoli maintenant. Lasartesse Lift - karelin lift transitioned into a side piledriver, very european uppercut, delayed vertical suplex. Claudio Castagnoli passe Santino à tabac à son tour. Le changement est de nouveau fait avec Wade Barrett, mais Vladimir Kozlov rentre dans le ring et place son pushing thrust kick dans l'abdomen de Wade Barrett qui valse en dehors du ring. Santino Marella a du coup le temps de réaliser le tag. Wade Barrett remonte dans le ring mais Vladimir Kozlov lui place son Iron Curtain - kneeling leg trap chokelift spinebuster pin. Le russe essaie le pinfall mais l'arbitre ne compte pas. Claudio Castagnoli avait réalisé un tag en douce. Santino revient dans le ring mais il se prend les pieds dans son kimono et tombe accidentellement sur son partenaire qui est projeté vers Claudio Castagnoli qui lui porte rapidement le Ricola bomb - straight jacket sitout powerbomb pour le compte de trois et la victoire.
Bill DeMott – Il faut absolument que Vladimir Kozlov se sépare une bonne fois pour toute de Santino Marella. C'est à cause de ses pitreries que le match tourne à l'avantage de leurs adversaires ce soir, quelle honte !
Booker T – Tout le monde paie sa méchanceté gratuite tôt ou tard, folks !
Military press dropped into a bridging German suplex sur Claudio Castagnoli !
Bill DeMott – Dos Caras, Jr. ?!
Dos Caras, Jr. vient de claquer sa prise de finition sur le Suisse Claudio Castagnoli en sortant de nulle part. Wade Barrett préfère s'effacer, la soirée est terminée pour lui et il a bien raison. Personne ne comprend ce qu'il se passe ici, tout le monde sait que Dos Caras, Jr. est le nom de scène d'Alberto Del Rio au Mexique. Est-ce Alberto Del Rio sous le masque de Dos Caras, Jr. ? Est-ce un imitateur ? Est-ce un fan d'Alberto Del Rio luttant contre l'exclusion de son héros ? Alberto Del Rio est-il toujours bloqué au Mexique ? Est-il de retour ? Personne n'en sait rien, et personne n'en saura plus ce soir ! F*** !
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Re: Attitude #10.
Après un tag team match très étonnant et riche en surprise, nous retrouvons Trish Stratus en backstages, en compagnie de toute la famille Colon... et d'une vingtaine de gardes du corps.
Trish Stratus – Carlito, est-ce que tu pourrais demander à tes hommes de se pousser, histoire que je puisse te voir ?
Un claquement de doigts plus tard, Carlito est en face de Trish, avec toute sa troupe juste derrière lui.
Carlito - Pourquoi nous as-tu demandé, Trish ?
Trish Stratus – Je t'ai demandé toi et ta famille, je ne me souviens pas avoir demandé toute votre sécurité.
Carlito - Simple précaution.
Trish Stratus – Peu importe, de toute façon, ça ne sera pas long. Carlito, ça fait bientôt trois semaines que tu es revenu, en compagnie de ta famille, au sein de l'AWC. Pourtant, que ça soit les fans ou la Corporation, nous n'avons toujours pas eu d'explications.
Carlito - Quelles explications voulez-vous que je vous donne ?
Trish Stratus – Premièrement, tu as amené avec toi deux nouveaux venus, qui ne se sont toujours pas présentés et surtout, qui n'ont toujours pas de contrat à l'AWC.
Carlito - Ces contrats ne sont qu'une histoire de temps, je n'allais pas retarder mon retour de plusieurs semaines, pour quelque chose qui pourrait se régler en quelques minutes. Right ?
Trish Stratus – Pour que ça soit réellement une histoire de temps, il faudrait déjà en avoir parlé avec moi et mes collègues, tu ne penses pas ?
Carlito - Right.
Trish Stratus – C'est donc pour cette raison que Steve attend ton père et... cette jeune femme dans son bureau, après le show, pour qu'ils signent leurs contrats.
Carlito - No problem.
Trish Stratus – Mais il reste encore un autre petit détail. Les fans de l'AWC n'ont pas la science infuse, et si ils te connaissent parfaitement toi, ton frère et Orlando, certains ne connaissent pas ton père et... cette jeune femme.
Carlito - Vous voulez une présentation ? OK, allons-y. Je suis Carlito Colon, héritier de la WWC, lutteur de l'AWC et futur champion de cette fédération. Voici mon frère, Primo Colon, lui aussi détiendra bientôt une ceinture. Tout comme celui qui se trouve à côté de lui, mon cousin, Orlando Colon, qui n'attendait qu'une seule chose, qui est notre arrivée, pour se donner à 100% et prouver au monde entier ce qu'il vaut réellement. Comme nous l'avons souvent été, il a lui aussi été sous-estimé dès son arrivée ici et malgré plusieurs victoires, il n'a pas encore décollé du low-card. Pire, on ne lui offre même plus de combats depuis notre arrivée, ce qui va rapidement changer, parole de Carlito Colon. L'homme qui est tout derrière, c'est une légende et le présenter est une insulte à son grade, mais visiblement, la Corporation prend ses fans pour des incultes. Cet homme, c'est mi padre, Carlos Colon, l'un des hommes les plus titrés de ce business. La femme qui se trouve près de lui et dont tout le monde parle comme un grand phénomène depuis sa première apparition, à Ground Zero, c'est ma soeur, Stacy Colon, et c'est tout simplement la femme la plus dominante et la plus talentueuse de l'histoire de cette industrie, mais ça, vous vous en rendrez compte bien assez tôt. Il me semble que j'ai fait le tour.
Trish Stratus – En effet.
Carlito - Autre chose, Trish ?
Trish Stratus – Je te remercie de ces éclaircissements, Carlito.
??? – Par contre nous, on veut autre chose !
La caméra pivote et les tag team champ', Bubba Ray & D-Von, apparaissent à l'écran.
Bubba Ray – Devons-nous nous présenter nous aussi, Trish ?
Trish Stratus – Si ça te fait plaisir, Bubba.
Bubba Ray – Absolutley not ! Ce n'était pas une question, Trish. C'était de l'ironie, a fuckin' joke. Nous n'avons pas besoin de nous présenter, tout le monde nous connait, tout le monde sait qui nous sommes, tout le monde sait quel grade nous avons, tout le monde connait nos putains de noms et ça fait bien une décennie qu'on a plus besoin de se présenter pour que tout le monde gueule le nom des... DU... DU-DU...
Devon – Say it, brother !
Bubba Ray – ... DUDLEY BOYS !
Devon – THE BEST TAG TEAM IN WRESTLING HISTORY !
« DUDLEY BOYS ! DUDLEY BOYS ! DUDLEY BOYS ! »
Les fans sont déchaînés, tout le monde gueule le noms des deux frères, dans l'aréna.
Carlito - C'est sans doute pour ça que Joel vous présente à chacune de vos apparitions, parce que tout le monde vous connait déjà... d'ailleurs, comment va-t-il ?
Bubba Ray – Ne prononce plus jamais le nom de Joel, espèce de salope ! Dommage que tu ne possèdes pas assez de couilles pour nous faire face comme un homme, on dirait qu'il existe encore des gonzesses qui n'en ont pas assez dans le froc pour se ramener avec vingt chiens de garde !
Carlito - Contrairement à vous, on ne peut pas se vanter d'avoir un père qui baisse sa braguette plus vite que son ombre et qui nous a offert une vingtaine de demi-frères, alors on assure nos arrières comme on peut.
Bubba Ray – Fuckin' bastard !
Carlito - Tu nous excuseras Bubba, mais on doit y aller. J'ai un combat à disputer et à remporter.
Bubba Ray – Aujourd'hui, tu peux te défiler, mais le jour où on se croisera sur un putain de ring, je t'assure que tu repartiras toi et toute ta famille de salopes, le corps plein de ton sang de pute !
Carlito fout un vent à Bubba et s'en va en compagnie de toute sa famille.
Trish Stratus – Comment va Joel, Bubba ?
Bubba Ray – Il ira parfaitement bien quand on l'aura vengé.
La tension est à son comble entre les deux familles, et ça risque d'exploser rapidement.
Trish Stratus – Carlito, est-ce que tu pourrais demander à tes hommes de se pousser, histoire que je puisse te voir ?
Un claquement de doigts plus tard, Carlito est en face de Trish, avec toute sa troupe juste derrière lui.
Carlito - Pourquoi nous as-tu demandé, Trish ?
Trish Stratus – Je t'ai demandé toi et ta famille, je ne me souviens pas avoir demandé toute votre sécurité.
Carlito - Simple précaution.
Trish Stratus – Peu importe, de toute façon, ça ne sera pas long. Carlito, ça fait bientôt trois semaines que tu es revenu, en compagnie de ta famille, au sein de l'AWC. Pourtant, que ça soit les fans ou la Corporation, nous n'avons toujours pas eu d'explications.
Carlito - Quelles explications voulez-vous que je vous donne ?
Trish Stratus – Premièrement, tu as amené avec toi deux nouveaux venus, qui ne se sont toujours pas présentés et surtout, qui n'ont toujours pas de contrat à l'AWC.
Carlito - Ces contrats ne sont qu'une histoire de temps, je n'allais pas retarder mon retour de plusieurs semaines, pour quelque chose qui pourrait se régler en quelques minutes. Right ?
Trish Stratus – Pour que ça soit réellement une histoire de temps, il faudrait déjà en avoir parlé avec moi et mes collègues, tu ne penses pas ?
Carlito - Right.
Trish Stratus – C'est donc pour cette raison que Steve attend ton père et... cette jeune femme dans son bureau, après le show, pour qu'ils signent leurs contrats.
Carlito - No problem.
Trish Stratus – Mais il reste encore un autre petit détail. Les fans de l'AWC n'ont pas la science infuse, et si ils te connaissent parfaitement toi, ton frère et Orlando, certains ne connaissent pas ton père et... cette jeune femme.
Carlito - Vous voulez une présentation ? OK, allons-y. Je suis Carlito Colon, héritier de la WWC, lutteur de l'AWC et futur champion de cette fédération. Voici mon frère, Primo Colon, lui aussi détiendra bientôt une ceinture. Tout comme celui qui se trouve à côté de lui, mon cousin, Orlando Colon, qui n'attendait qu'une seule chose, qui est notre arrivée, pour se donner à 100% et prouver au monde entier ce qu'il vaut réellement. Comme nous l'avons souvent été, il a lui aussi été sous-estimé dès son arrivée ici et malgré plusieurs victoires, il n'a pas encore décollé du low-card. Pire, on ne lui offre même plus de combats depuis notre arrivée, ce qui va rapidement changer, parole de Carlito Colon. L'homme qui est tout derrière, c'est une légende et le présenter est une insulte à son grade, mais visiblement, la Corporation prend ses fans pour des incultes. Cet homme, c'est mi padre, Carlos Colon, l'un des hommes les plus titrés de ce business. La femme qui se trouve près de lui et dont tout le monde parle comme un grand phénomène depuis sa première apparition, à Ground Zero, c'est ma soeur, Stacy Colon, et c'est tout simplement la femme la plus dominante et la plus talentueuse de l'histoire de cette industrie, mais ça, vous vous en rendrez compte bien assez tôt. Il me semble que j'ai fait le tour.
Trish Stratus – En effet.
Carlito - Autre chose, Trish ?
Trish Stratus – Je te remercie de ces éclaircissements, Carlito.
??? – Par contre nous, on veut autre chose !
La caméra pivote et les tag team champ', Bubba Ray & D-Von, apparaissent à l'écran.
Bubba Ray – Devons-nous nous présenter nous aussi, Trish ?
Trish Stratus – Si ça te fait plaisir, Bubba.
Bubba Ray – Absolutley not ! Ce n'était pas une question, Trish. C'était de l'ironie, a fuckin' joke. Nous n'avons pas besoin de nous présenter, tout le monde nous connait, tout le monde sait qui nous sommes, tout le monde sait quel grade nous avons, tout le monde connait nos putains de noms et ça fait bien une décennie qu'on a plus besoin de se présenter pour que tout le monde gueule le nom des... DU... DU-DU...
Devon – Say it, brother !
Bubba Ray – ... DUDLEY BOYS !
Devon – THE BEST TAG TEAM IN WRESTLING HISTORY !
« DUDLEY BOYS ! DUDLEY BOYS ! DUDLEY BOYS ! »
Les fans sont déchaînés, tout le monde gueule le noms des deux frères, dans l'aréna.
Carlito - C'est sans doute pour ça que Joel vous présente à chacune de vos apparitions, parce que tout le monde vous connait déjà... d'ailleurs, comment va-t-il ?
Bubba Ray – Ne prononce plus jamais le nom de Joel, espèce de salope ! Dommage que tu ne possèdes pas assez de couilles pour nous faire face comme un homme, on dirait qu'il existe encore des gonzesses qui n'en ont pas assez dans le froc pour se ramener avec vingt chiens de garde !
Carlito - Contrairement à vous, on ne peut pas se vanter d'avoir un père qui baisse sa braguette plus vite que son ombre et qui nous a offert une vingtaine de demi-frères, alors on assure nos arrières comme on peut.
Bubba Ray – Fuckin' bastard !
Carlito - Tu nous excuseras Bubba, mais on doit y aller. J'ai un combat à disputer et à remporter.
Bubba Ray – Aujourd'hui, tu peux te défiler, mais le jour où on se croisera sur un putain de ring, je t'assure que tu repartiras toi et toute ta famille de salopes, le corps plein de ton sang de pute !
Carlito fout un vent à Bubba et s'en va en compagnie de toute sa famille.
Trish Stratus – Comment va Joel, Bubba ?
Bubba Ray – Il ira parfaitement bien quand on l'aura vengé.
La tension est à son comble entre les deux familles, et ça risque d'exploser rapidement.
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Re: Attitude #10.
Booker T – J'sais pas pour toi Bill, mais j'ai l'impression que les Colons confondent ring de catch avec ma famille en or.
Bill DeMott – A ceci prêt qu'il n'ont absolument rien d'une vraie famille en or. Regardons les choses en face, le père il se déplace aussi vite qu'un escargot mort, le cousin c'est une racaille comme on en trouve à chaque coin de rue, le frangin il ressemble à un philosophe du dix-huitième siècle avec sa petite moustache, et la soeur elle ressemble à la latina lambda qui fait le trottoir dans les rues de Brooklyn.
Booker T – Et concernant Carlito, t'as un point de vue ?
Bill DeMott – Ouais, il devrait se cracher sur la gueule, parce qu'il est vraiment pas cool du tout comme type.
Booker T – Mais en attendant que Carlito arrive, c'est son adversaire du soir, accompagné par Homicide, qui arrive, gangsta style.
Bill DeMott – Il peut jouer les racailles qui vient de Brooklyn, qui a grandit à la force des coups de pieds au cul qu'il a reçu et qui est là ce soir uniquement grâce à son esprit de tueur, si il est pas foutu d'être un homme sur le ring, il a rien à faire chez nous.
Booker T – Tiens, nous qui parlions de Carlito il y a quelques secondes, voilà qu'il se pointe avec sa pomme rouge en main.
Bill DeMott – Bordel, mais qu'est-ce que c'est que cette mise en scène à la con qui consiste à mettre le leader en avant et tout le reste de la petite famille dix mètres derrière ? Elle est belle la plus belle famille de l'histoire de ce business, vraiment.
Booker T – Calme-toi Bill, j'voudrais te garder en bonne santé au moins jusqu'à la fin du show, ça arrangerait nos assurances de ne pas avoir à payer un nouveau séjour à l'hosto de la part d'un des membres de la fédération.
Et pendant ce temps, Carlito vient de rejoindre le ring pendant que les membres de la famille Colon viennent d'encercler le ring. Homicide, lui, est déjà en train d'échanger des insultes en Espagnol avec Orlando Colon, ça promet. Sur le ring, Carlito croque dans sa pomme et s'approche dangereusement de Sabian qui, après un petit sourire, balance une droite dans le bas-ventre de son adversaire, le faisant recracher la pomme.
» FIGHT ! «
L'arbitre a juste le temps de réagir et de faire sonner la cloche, Sabian enchaine déjà les droites sur son adversaire qui a été complètement surprit par ce coup-bas. Carlito tente de riposter alors qu'il se retrouve acculé dans les cordes mais BLK Jeez garde le contrôle du combat et après un Brainbuster, obtient un premier compte de deux. Sabian relève Carlito mais ce dernier riposte avec un Drop toe Hold et passe sur l'apron pour porter une Springboard Senton, qui n'offrira qu'un compte de deux. Carlito semble désireux de rapidement terminer le match mais son Backstabber est contré, Sabian se retenant aux cordes. Ce dernier tente une contre-attaque, mais Primo le retient par les pieds. Carlito en profite et se jette sur Sabian, lequel se baisse et porte un Back Body Drop qui fait passer Carlito au dessus de la troisième corde et qui retombe sur son frère. Sabian veut de suite enchainer et prend de l'élan pour un Suicide Dive, mais cette fois, c'est Carlos Colon qui retient le pied de Sabian.
Bill DeMott – Si tu veux mon avis, Booker, ça va vite dégénérer cette affaire.
Booker T – Le souci c'est qu'Homicide est complètement taré, et il peut faire n'importe quoi dans ce genre de situation.
S'en est trop pour Homicide qui se décide à intervenir, mais Orlando Colon se dresse face à lui. L'arbitre a du mal à gérer la situation et Stacy Colon en profite et remonte une chaise sur le ring pour son frère qui vient de regagner le ring. Carlito s'en empare mais Sabian, qui venait de monter sur le turnbuckle, porte son Diving Double Stomp en plein sur la chaise qui termine dans la gueule de Carlito qui vacille jusque dans les cordes. Le referee est toujours occupé avec Orlando et Carlos, qui pestent sur ce qu'il vient de se passer, et Homicide en profite pour mettre le dos de sa fourchette dans l'oeil de Carlito. Sabian termine le travail avec un roll-up qui lui permet d'obtenir le compte de trois.
Bill DeMott – Voilà, bien fait pour leurs putains de gueule de cons, aux Colons.
Booker T – Ils ont voulu jouer le petit jeu de l'intervention dans le dos de l'arbitre, et finalement ils se sont fait prendre à leur propre jeu, à cause de la chaise amenée par Stacy puis par le coup de fourchette, plein d'opportunisme, d'Homicide.
Bill DeMott – Cela ne sert à rien de se prétendre la meilleure famille de l'histoire de la lutte si t'es pas foutu d'être assez soudé pour traverser les épreuves sans te perdre dans les méandres de la défaite qui pourraient rapidement t'attirer vers la dépression.
Booker T – T'es philosophe toi, maintenant ?
Une chose est sûre, Orlando ne l'est pas. Ce dernier tente de grimper sur le ring pour s'en prendre à Sabian par derrière alors que ce dernier se fait lever le bras par l'arbitre, mais Homicide intervient immédiatement, pointant le cousin Colon avec sa fourchette. Primo et Carlos, eux, viennent de tirer Carlito en dehors du ring et l'aide à regagner la rampe alors que Stacy convainc Orlando de laisser tomber.
Non, ce n'est pas un clin d'oeil, c'est juste que Carlito semble souffrir, et visiblement le coup de fourchette, qui aurait pu être bien plus important si Homicide avait planté les dents, va offrir à l'ainé des Colons quelques jours avec un bandage sur la tête. Ce soir, les riches Porto-Ricains n'auront pas eu le dessus sur les ghettos boys.
Bill DeMott – A ceci prêt qu'il n'ont absolument rien d'une vraie famille en or. Regardons les choses en face, le père il se déplace aussi vite qu'un escargot mort, le cousin c'est une racaille comme on en trouve à chaque coin de rue, le frangin il ressemble à un philosophe du dix-huitième siècle avec sa petite moustache, et la soeur elle ressemble à la latina lambda qui fait le trottoir dans les rues de Brooklyn.
Booker T – Et concernant Carlito, t'as un point de vue ?
Bill DeMott – Ouais, il devrait se cracher sur la gueule, parce qu'il est vraiment pas cool du tout comme type.
Booker T – Mais en attendant que Carlito arrive, c'est son adversaire du soir, accompagné par Homicide, qui arrive, gangsta style.
Bill DeMott – Il peut jouer les racailles qui vient de Brooklyn, qui a grandit à la force des coups de pieds au cul qu'il a reçu et qui est là ce soir uniquement grâce à son esprit de tueur, si il est pas foutu d'être un homme sur le ring, il a rien à faire chez nous.
Booker T – Tiens, nous qui parlions de Carlito il y a quelques secondes, voilà qu'il se pointe avec sa pomme rouge en main.
Bill DeMott – Bordel, mais qu'est-ce que c'est que cette mise en scène à la con qui consiste à mettre le leader en avant et tout le reste de la petite famille dix mètres derrière ? Elle est belle la plus belle famille de l'histoire de ce business, vraiment.
Booker T – Calme-toi Bill, j'voudrais te garder en bonne santé au moins jusqu'à la fin du show, ça arrangerait nos assurances de ne pas avoir à payer un nouveau séjour à l'hosto de la part d'un des membres de la fédération.
Et pendant ce temps, Carlito vient de rejoindre le ring pendant que les membres de la famille Colon viennent d'encercler le ring. Homicide, lui, est déjà en train d'échanger des insultes en Espagnol avec Orlando Colon, ça promet. Sur le ring, Carlito croque dans sa pomme et s'approche dangereusement de Sabian qui, après un petit sourire, balance une droite dans le bas-ventre de son adversaire, le faisant recracher la pomme.
» FIGHT ! «
L'arbitre a juste le temps de réagir et de faire sonner la cloche, Sabian enchaine déjà les droites sur son adversaire qui a été complètement surprit par ce coup-bas. Carlito tente de riposter alors qu'il se retrouve acculé dans les cordes mais BLK Jeez garde le contrôle du combat et après un Brainbuster, obtient un premier compte de deux. Sabian relève Carlito mais ce dernier riposte avec un Drop toe Hold et passe sur l'apron pour porter une Springboard Senton, qui n'offrira qu'un compte de deux. Carlito semble désireux de rapidement terminer le match mais son Backstabber est contré, Sabian se retenant aux cordes. Ce dernier tente une contre-attaque, mais Primo le retient par les pieds. Carlito en profite et se jette sur Sabian, lequel se baisse et porte un Back Body Drop qui fait passer Carlito au dessus de la troisième corde et qui retombe sur son frère. Sabian veut de suite enchainer et prend de l'élan pour un Suicide Dive, mais cette fois, c'est Carlos Colon qui retient le pied de Sabian.
Bill DeMott – Si tu veux mon avis, Booker, ça va vite dégénérer cette affaire.
Booker T – Le souci c'est qu'Homicide est complètement taré, et il peut faire n'importe quoi dans ce genre de situation.
S'en est trop pour Homicide qui se décide à intervenir, mais Orlando Colon se dresse face à lui. L'arbitre a du mal à gérer la situation et Stacy Colon en profite et remonte une chaise sur le ring pour son frère qui vient de regagner le ring. Carlito s'en empare mais Sabian, qui venait de monter sur le turnbuckle, porte son Diving Double Stomp en plein sur la chaise qui termine dans la gueule de Carlito qui vacille jusque dans les cordes. Le referee est toujours occupé avec Orlando et Carlos, qui pestent sur ce qu'il vient de se passer, et Homicide en profite pour mettre le dos de sa fourchette dans l'oeil de Carlito. Sabian termine le travail avec un roll-up qui lui permet d'obtenir le compte de trois.
Bill DeMott – Voilà, bien fait pour leurs putains de gueule de cons, aux Colons.
Booker T – Ils ont voulu jouer le petit jeu de l'intervention dans le dos de l'arbitre, et finalement ils se sont fait prendre à leur propre jeu, à cause de la chaise amenée par Stacy puis par le coup de fourchette, plein d'opportunisme, d'Homicide.
Bill DeMott – Cela ne sert à rien de se prétendre la meilleure famille de l'histoire de la lutte si t'es pas foutu d'être assez soudé pour traverser les épreuves sans te perdre dans les méandres de la défaite qui pourraient rapidement t'attirer vers la dépression.
Booker T – T'es philosophe toi, maintenant ?
Une chose est sûre, Orlando ne l'est pas. Ce dernier tente de grimper sur le ring pour s'en prendre à Sabian par derrière alors que ce dernier se fait lever le bras par l'arbitre, mais Homicide intervient immédiatement, pointant le cousin Colon avec sa fourchette. Primo et Carlos, eux, viennent de tirer Carlito en dehors du ring et l'aide à regagner la rampe alors que Stacy convainc Orlando de laisser tomber.
Non, ce n'est pas un clin d'oeil, c'est juste que Carlito semble souffrir, et visiblement le coup de fourchette, qui aurait pu être bien plus important si Homicide avait planté les dents, va offrir à l'ainé des Colons quelques jours avec un bandage sur la tête. Ce soir, les riches Porto-Ricains n'auront pas eu le dessus sur les ghettos boys.
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Re: Attitude #10.
D'ici quelques secondes, Edge, tombeur de Christian Cage la semaine dernière, se trouvera sur le ring pour se confronter à celui que l'on surnomme la vipère, le tueur de légendes, Randy Orton. Mais pour le moment, nous partons à nouveau en backstages. Le caméraman marche en backstages et alors qu'il vient de tourner à gauche après un long couloir, voilà que le son et l'image se coupe, sans aucune explication. C'est un putain de problème technique.
En coulisse, nul doute que Stone Cold a déjà pété un putain de câble, mais le souci c'est que son staff technique, lui, il n'est pas au point entre celui qui jouait à world of warcraft en ligne, l'autre qui vient de renverser son café sur son caleçon (oui, parce qu'un technicien enfermé dans sa cabine, ça bosse en caleçon, va savoir pourquoi !), et l'autre en a plein les mains, le cochon, il connait pornhub.com (Oui, j'suis désolé, mais il va falloir faire l'éducation sexuelle de Jérôme Paoli, jeune Corse roux qui ne sait pas aborder une fille de sa classe avec un simple bonjour. On fait ce qu'on peut pour aider les amis, hein). Et devant l'incapacité notoire de nos abrutis de techniciens à remettre l'image du show, nous préférons vous montrer ce documentaire sur la langouste.
"Contrairement à une idée largement répandue, la langouste se nourrit exclusivement de fruits de mer. Ce qui ne l'empêche pas de rester très humaine..."
Booker T – Oh man, tell me it's not just going to happen again !
Bill DeMott – Malheureusement, je crois bien qu'une fois encore, on va devoir faire face à un problème technique, à une maladie subite de notre système de communication alors qu'il avait pourtant été bien révisé hier soir. Putain, Booker, est-ce que tu sais comment on peut boucher ce trou et faire patienter les spectateurs juste avec notre voix ?
Booker T – Est-ce que tu as regardé UFC 135, Jon Jones contre Quinton "Rampage" Jackson, samedi soir ?
Bill DeMott – Bien sûr, j'pouvais pas manquer la branlée que Jones allait foutre à l'autre tafiole de l'agence tout risque. D'ailleurs, mes amis, fidèles fans de Mixed Martial Art, ou alors novice, complètement incultes à ce sujet, je vous donne rendez-vous le 8 octobre au soir, pour UFC 136 et le troisième affrontement entre le champion du monde poids-léger, Frankie Edgar, contre son challengeur le plus coriace, sa bête noire, Gray Maynard. Ce match n'est à manquer sous aucun putain de prétexte, les blowjobs de Michelle McCool, les big boobs de Trish Stratus, les no-speechs de Killiom, les excuses en mousse d'Aurelie, les grigris de Javier Pastore, et la bouffe du KFC, c'est de la merde à côté de ce combat que tout le monde des arts-martiaux mixtes attend. UFC 136, only available on Pay Per View, and on megaupload for the french guys.
Booker T – Et pour l'occasion, voici un petit spot pour le partenaire et sponsor numéro un de l'UFC, budlight. Budlight : Here we go !
Bill DeMott – The difference is the drinkability.
Putain, Bill il sait trop bien meubler les trous, mais pour la peine, on a plus le temps et on doit maintenant balancer le combat entre Edge et Randy Orton. Espérons que ce petit problème technique trouve une fin heureuse et que l'on pourra voir ce qui s'est passé en backstages pendant ce petit intermède.
En coulisse, nul doute que Stone Cold a déjà pété un putain de câble, mais le souci c'est que son staff technique, lui, il n'est pas au point entre celui qui jouait à world of warcraft en ligne, l'autre qui vient de renverser son café sur son caleçon (oui, parce qu'un technicien enfermé dans sa cabine, ça bosse en caleçon, va savoir pourquoi !), et l'autre en a plein les mains, le cochon, il connait pornhub.com (Oui, j'suis désolé, mais il va falloir faire l'éducation sexuelle de Jérôme Paoli, jeune Corse roux qui ne sait pas aborder une fille de sa classe avec un simple bonjour. On fait ce qu'on peut pour aider les amis, hein). Et devant l'incapacité notoire de nos abrutis de techniciens à remettre l'image du show, nous préférons vous montrer ce documentaire sur la langouste.
"Contrairement à une idée largement répandue, la langouste se nourrit exclusivement de fruits de mer. Ce qui ne l'empêche pas de rester très humaine..."
Booker T – Oh man, tell me it's not just going to happen again !
Bill DeMott – Malheureusement, je crois bien qu'une fois encore, on va devoir faire face à un problème technique, à une maladie subite de notre système de communication alors qu'il avait pourtant été bien révisé hier soir. Putain, Booker, est-ce que tu sais comment on peut boucher ce trou et faire patienter les spectateurs juste avec notre voix ?
Booker T – Est-ce que tu as regardé UFC 135, Jon Jones contre Quinton "Rampage" Jackson, samedi soir ?
Bill DeMott – Bien sûr, j'pouvais pas manquer la branlée que Jones allait foutre à l'autre tafiole de l'agence tout risque. D'ailleurs, mes amis, fidèles fans de Mixed Martial Art, ou alors novice, complètement incultes à ce sujet, je vous donne rendez-vous le 8 octobre au soir, pour UFC 136 et le troisième affrontement entre le champion du monde poids-léger, Frankie Edgar, contre son challengeur le plus coriace, sa bête noire, Gray Maynard. Ce match n'est à manquer sous aucun putain de prétexte, les blowjobs de Michelle McCool, les big boobs de Trish Stratus, les no-speechs de Killiom, les excuses en mousse d'Aurelie, les grigris de Javier Pastore, et la bouffe du KFC, c'est de la merde à côté de ce combat que tout le monde des arts-martiaux mixtes attend. UFC 136, only available on Pay Per View, and on megaupload for the french guys.
Booker T – Et pour l'occasion, voici un petit spot pour le partenaire et sponsor numéro un de l'UFC, budlight. Budlight : Here we go !
Bill DeMott – The difference is the drinkability.
Putain, Bill il sait trop bien meubler les trous, mais pour la peine, on a plus le temps et on doit maintenant balancer le combat entre Edge et Randy Orton. Espérons que ce petit problème technique trouve une fin heureuse et que l'on pourra voir ce qui s'est passé en backstages pendant ce petit intermède.
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Re: Attitude #10.
Booker T – Nous revoici à Beaumont, au Texas. Et la soirée va opposer deux anciens partenaires : Randy Orton face à Edge.
Bill DeMott – Ca promet une belle opposition, on va deux mecs qui se détestent et qui vont se foutre sur la gueule, tout ce que j'aime.
Booker T – Et voici the Viper, Randy Orton. Autant dire que c'est un lutteur dangereux, personne ne sait ce qui se passe dans sa tête.
Bill DeMott – Je suis d'accord avec toi, Booker. Et ce soir, on aura pas un mais deux tordus, parce qu'Edge est un sacré morceau.
Booker T – Voici Edge qui a vaincu la semaine passée, notre Attitude Champion. Autant dire qu'il a le confiance et le moral au top.
Bill DeMott – Il lui en reste un peu sur le coin des lèvres, elle a bien fait son job Lita.
» FIGHT ! «
Le match commence par un mind game entre les deux lutteurs, des provocations de part et d'autres sans aucun contact. Et au bout de quelques minutes, on assiste à une épreuve de force entre Edge et Randy Orton, les deux hommes se prennent par la nuque et tentent de faire plier son adversaire. Fourbe qu'il est, Edge rompt l'épreuve de force en portant un énorme coup de genou sur Randy avant d'enchainer par un German Suplex. Une tentative de tombé bien opportuniste mais rapidement contré par la vipère. Edge relève rapidement son adversaire et le propulse dans un des coins avant de monter sur les cordes; pour lui porter une série de droites. Même si la foule ne porte pas dans son coeur, la Rated-R Superstar elle fait tout de même avec lui le compte jusque dix. Il le renvoie dans les cordes et l'attend mais Orton fait preuve de vigilance, il parvient à se rattraper et s'accrocher aux cordes.Il porte alors un énorme coup de genou sur le torse à Edge, avant d'enchainer par un superbe Standing Dropkick. Le match tourne à présent à l'avantage de la Viper.
Bill DeMott – Un peu deçevant le spectacle, ça c'est le sexe avant le match ça te vide un homme.
Booker T – Crois moi que d'ici quelques minutes, le match va être lancé.
A présent Randy Orton porte une série de coups visant à briser les multiples articulations d'Edge. Lita tente de le soutenir et de le faire revenir dans le match mais c'est Randy Orton qui prend les devants en portant une clef de bras tout en appuyant son genou sur le dos d'Edge ce qui le fait hurler dans toute l'arena. Ce dernier résiste et revient finalement en portant un coup de coude, il envoie Randy dans les cordes et porte un surpassement par dessus les épaules et tente le tombé, mais c'est sans succès. Edge parvient à mettre son pied sur les cordes pour s'en défaire. Edge parvient à se relever, il tibute. Et il semblerait que Randy Orton soit prêt à porter son RKO mais c'est contré par Edge, il se retourne et porte un DDT à la volée, qui éclate le visage d'Orton au sol. C'est à présent Edge qui se place dans un coin. Il se tire les cheveux, l'excitation se lit sur son visage. Il veut porter son Spear et ce n'est qu'une qustion de secondes. Randy Orton est à présent debout, il se retourne et il est heurté de plein fouet par un Spear, Edge fait le tombé rapidement pour remporter le match.
Le match vient à peine de s'achever que Shelton Benjamin se rue vers le ring pour régler ses comptes avec Edge. Mais la Rated-R Superstar est bien avisée et a le temps de s'échapper. Il peut fuire les abords du ring. Et c'est de loin qu'on assiste à une confrontation depuis le ringside entre Edge & Shelton Benjamin.
Booker T – Si tu veux mon avis, cette histoire ne fait que commencer.
Bill DeMott – Et si tu veux le mien, je pense que Lita est un peu lesbienne, parce que son mec se tire comme une gonzesse alors que toute l'AWC n'attend que de l'action
Bill DeMott – Ca promet une belle opposition, on va deux mecs qui se détestent et qui vont se foutre sur la gueule, tout ce que j'aime.
Booker T – Et voici the Viper, Randy Orton. Autant dire que c'est un lutteur dangereux, personne ne sait ce qui se passe dans sa tête.
Bill DeMott – Je suis d'accord avec toi, Booker. Et ce soir, on aura pas un mais deux tordus, parce qu'Edge est un sacré morceau.
Booker T – Voici Edge qui a vaincu la semaine passée, notre Attitude Champion. Autant dire qu'il a le confiance et le moral au top.
Bill DeMott – Il lui en reste un peu sur le coin des lèvres, elle a bien fait son job Lita.
» FIGHT ! «
Le match commence par un mind game entre les deux lutteurs, des provocations de part et d'autres sans aucun contact. Et au bout de quelques minutes, on assiste à une épreuve de force entre Edge et Randy Orton, les deux hommes se prennent par la nuque et tentent de faire plier son adversaire. Fourbe qu'il est, Edge rompt l'épreuve de force en portant un énorme coup de genou sur Randy avant d'enchainer par un German Suplex. Une tentative de tombé bien opportuniste mais rapidement contré par la vipère. Edge relève rapidement son adversaire et le propulse dans un des coins avant de monter sur les cordes; pour lui porter une série de droites. Même si la foule ne porte pas dans son coeur, la Rated-R Superstar elle fait tout de même avec lui le compte jusque dix. Il le renvoie dans les cordes et l'attend mais Orton fait preuve de vigilance, il parvient à se rattraper et s'accrocher aux cordes.Il porte alors un énorme coup de genou sur le torse à Edge, avant d'enchainer par un superbe Standing Dropkick. Le match tourne à présent à l'avantage de la Viper.
Bill DeMott – Un peu deçevant le spectacle, ça c'est le sexe avant le match ça te vide un homme.
Booker T – Crois moi que d'ici quelques minutes, le match va être lancé.
A présent Randy Orton porte une série de coups visant à briser les multiples articulations d'Edge. Lita tente de le soutenir et de le faire revenir dans le match mais c'est Randy Orton qui prend les devants en portant une clef de bras tout en appuyant son genou sur le dos d'Edge ce qui le fait hurler dans toute l'arena. Ce dernier résiste et revient finalement en portant un coup de coude, il envoie Randy dans les cordes et porte un surpassement par dessus les épaules et tente le tombé, mais c'est sans succès. Edge parvient à mettre son pied sur les cordes pour s'en défaire. Edge parvient à se relever, il tibute. Et il semblerait que Randy Orton soit prêt à porter son RKO mais c'est contré par Edge, il se retourne et porte un DDT à la volée, qui éclate le visage d'Orton au sol. C'est à présent Edge qui se place dans un coin. Il se tire les cheveux, l'excitation se lit sur son visage. Il veut porter son Spear et ce n'est qu'une qustion de secondes. Randy Orton est à présent debout, il se retourne et il est heurté de plein fouet par un Spear, Edge fait le tombé rapidement pour remporter le match.
Le match vient à peine de s'achever que Shelton Benjamin se rue vers le ring pour régler ses comptes avec Edge. Mais la Rated-R Superstar est bien avisée et a le temps de s'échapper. Il peut fuire les abords du ring. Et c'est de loin qu'on assiste à une confrontation depuis le ringside entre Edge & Shelton Benjamin.
Booker T – Si tu veux mon avis, cette histoire ne fait que commencer.
Bill DeMott – Et si tu veux le mien, je pense que Lita est un peu lesbienne, parce que son mec se tire comme une gonzesse alors que toute l'AWC n'attend que de l'action
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Re: Attitude #10.
Tandis que Shelton Benjamin vient de se rater de façon monumentale en laissant Edge s'enfuir, nous allons à présent nous retrouver plongés dans une ambiance beaucoup plus lugubre, bien plus pesante. Paul Bearer vient en effet de réunir la Ministry of Darkness...
Paul Bearer – Mesdames, messieurs, veuillez prendre place et attendre en silence l'arrivée de notre maître si honorable et bon, the Undertaker.
??? – Bien. Bien. Vous semblez très dociles. Trop, même. Je n'arrive pas à retrouver en vous les êtres ténébreux, forts, et puissants que j'ai rassemblés dans ce Ministry.
Paul Bearer – M-M-Maître... J'ai fait comme vous me l'aviez demandé, voyez par vous-mêmes. Tous vos fidèles serviteurs sont réunis ici, pour vous.
The Undertaker – C'est bien là ce que je reproche à cette réunion. Tout est trop...parfait. Chacun semble avoir rempli son rôle de manière bien trop correcte, ce soir. Vous semblez avoir pris les précautions nécessaires pour tenter de me faire oublier les nombreux affronts que vous m'avez fait subir lors des semaines précédentes, n'est-ce pas ?
Kevin Thorn – Détrompez-vous, mon maître, si nous avons répondu si vite à votre appel, c'est bel et bien pour vous honorer de la manière qui convienne, la meilleure.
The Undertaker – Calomnies ! Si tu es ici, aussi assidu, c'est pour tenter de me faire oublier les nombreux échecs que vous tous avez essuyés. À vrai dire, un seul d'entre vous m'a réellement été loyal, et s'est révélé efficace. Oui, il s'agit bien de toi, Paul. Approche-toi de ton maître, Paul, n'aie pas peur. Toi aussi, Michelle, viens à mes côtés, tu as, et de loin, été la plus efficace de tous après moi. Après tout, si nous en sommes là, c'est bien grâce à toi. En revanche, pour ce qui s'agit de vous deux, la situation est totalement différente ! Vous avez sali la réputation de notre alliance, et donc, par la même occasion, la mienne. Vous avez accumulé les échecs, en perdant de nombreux combats, en ne réussissant même pas à vous emparer de Trish Stratus et de Andy Leavine, ou encore, en laissant s'échapper Stone Cold Steve Austin ! Il est temps pour vous de payer, de subir le châtiment que vous méritez ! Mettez-vous immédiatement à genoux !
Kevin Thorn – Maître, nous implorons votre pardon... n-nous vous avons rejoint, aidé à capturer Steve Austin. Nous possédons également une part de m-mérite...
The Undertaker – Ne mens pas à ton maître, Kevin ! Si tu es venu auprès de moi, c'est bien par crainte, ne le nie pas ! Si tu as accepté mon offre, c'est aussi pour t'assurer une protection sûre. Tu as tenté de te jouer de moi, d'abuser de la minuscule once de confiance que j'aurais pu t'accorder. Mais au lieu de ça, tu as préféré jouer à un jeu très dangereux. Il en est de même pour toi, Ariel. En suivant ton homme, tu as participé à cette trahison. Alors, tu subiras le même sort que lui. You will live the worst nightmare of all the humans : the Deanth !
Sans attendre une seconde, the Undertaker fait, uniquement avec ses mains, apparaître de violents éclairs dans le ciel déjà très sombre et gris. La foudre, semblant être commandé par une force supérieure, s'abat sur Kevin Thorn et Ariel qui, une fois le nuage de fumée provoqué par l'éclat, évaporé, ont disparu.
The Undertaker – Quant à vous deux, Paul et Michelle, même si votre attitude a été bien plus satisfaisante que celle de ces deux feux individus, je vous considère comme en partie responsables des événements contrariants tels que la libération de Steve Austin. Gardez bien cela à l'esprit, et tâchez de vous comporter d'une meilleur manière encore que celle de ces dernières semaines.
L'Undertaker affiche un large sourire, à présent, démoniaque, terrifiant.
The Undertaker – Même réduite en nombre, la Ministry of Darkness reste très puissante ! Je n'ai pas oublié mon principal objectif. Comme je vous l'avais promis, nous prendrons un jour possession de l'AWC ! Et ce jour-là, j'y imposerai une terreur si intense qu'elle restera à jamais gravée dans les mémoires de ces misérables petits humains !
Mwahahahahahahahahahaha !
Paul Bearer et Michelle McCool sont eux-mêmes très impressionnés par le rire démoniaque de leur maître, et ne peuvent laisser échapper un petit gémissement de frayeur. Les semaines à venir, et en particulier Stainless Steel risquent d'être très riches en rebondissements !
Paul Bearer – Mesdames, messieurs, veuillez prendre place et attendre en silence l'arrivée de notre maître si honorable et bon, the Undertaker.
??? – Bien. Bien. Vous semblez très dociles. Trop, même. Je n'arrive pas à retrouver en vous les êtres ténébreux, forts, et puissants que j'ai rassemblés dans ce Ministry.
Paul Bearer – M-M-Maître... J'ai fait comme vous me l'aviez demandé, voyez par vous-mêmes. Tous vos fidèles serviteurs sont réunis ici, pour vous.
The Undertaker – C'est bien là ce que je reproche à cette réunion. Tout est trop...parfait. Chacun semble avoir rempli son rôle de manière bien trop correcte, ce soir. Vous semblez avoir pris les précautions nécessaires pour tenter de me faire oublier les nombreux affronts que vous m'avez fait subir lors des semaines précédentes, n'est-ce pas ?
Kevin Thorn – Détrompez-vous, mon maître, si nous avons répondu si vite à votre appel, c'est bel et bien pour vous honorer de la manière qui convienne, la meilleure.
The Undertaker – Calomnies ! Si tu es ici, aussi assidu, c'est pour tenter de me faire oublier les nombreux échecs que vous tous avez essuyés. À vrai dire, un seul d'entre vous m'a réellement été loyal, et s'est révélé efficace. Oui, il s'agit bien de toi, Paul. Approche-toi de ton maître, Paul, n'aie pas peur. Toi aussi, Michelle, viens à mes côtés, tu as, et de loin, été la plus efficace de tous après moi. Après tout, si nous en sommes là, c'est bien grâce à toi. En revanche, pour ce qui s'agit de vous deux, la situation est totalement différente ! Vous avez sali la réputation de notre alliance, et donc, par la même occasion, la mienne. Vous avez accumulé les échecs, en perdant de nombreux combats, en ne réussissant même pas à vous emparer de Trish Stratus et de Andy Leavine, ou encore, en laissant s'échapper Stone Cold Steve Austin ! Il est temps pour vous de payer, de subir le châtiment que vous méritez ! Mettez-vous immédiatement à genoux !
Kevin Thorn – Maître, nous implorons votre pardon... n-nous vous avons rejoint, aidé à capturer Steve Austin. Nous possédons également une part de m-mérite...
The Undertaker – Ne mens pas à ton maître, Kevin ! Si tu es venu auprès de moi, c'est bien par crainte, ne le nie pas ! Si tu as accepté mon offre, c'est aussi pour t'assurer une protection sûre. Tu as tenté de te jouer de moi, d'abuser de la minuscule once de confiance que j'aurais pu t'accorder. Mais au lieu de ça, tu as préféré jouer à un jeu très dangereux. Il en est de même pour toi, Ariel. En suivant ton homme, tu as participé à cette trahison. Alors, tu subiras le même sort que lui. You will live the worst nightmare of all the humans : the Deanth !
Sans attendre une seconde, the Undertaker fait, uniquement avec ses mains, apparaître de violents éclairs dans le ciel déjà très sombre et gris. La foudre, semblant être commandé par une force supérieure, s'abat sur Kevin Thorn et Ariel qui, une fois le nuage de fumée provoqué par l'éclat, évaporé, ont disparu.
The Undertaker – Quant à vous deux, Paul et Michelle, même si votre attitude a été bien plus satisfaisante que celle de ces deux feux individus, je vous considère comme en partie responsables des événements contrariants tels que la libération de Steve Austin. Gardez bien cela à l'esprit, et tâchez de vous comporter d'une meilleur manière encore que celle de ces dernières semaines.
L'Undertaker affiche un large sourire, à présent, démoniaque, terrifiant.
The Undertaker – Même réduite en nombre, la Ministry of Darkness reste très puissante ! Je n'ai pas oublié mon principal objectif. Comme je vous l'avais promis, nous prendrons un jour possession de l'AWC ! Et ce jour-là, j'y imposerai une terreur si intense qu'elle restera à jamais gravée dans les mémoires de ces misérables petits humains !
Mwahahahahahahahahahaha !
Paul Bearer et Michelle McCool sont eux-mêmes très impressionnés par le rire démoniaque de leur maître, et ne peuvent laisser échapper un petit gémissement de frayeur. Les semaines à venir, et en particulier Stainless Steel risquent d'être très riches en rebondissements !
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Re: Attitude #10.
Après cette sinistre déclaration de la part de l'Undertaker, nous allons continuer le show sur une note un poil plus gaie, puisque nous sommes sur le point d'assister au combat opposant le Corporation Champion, Shelton Benjamin, au Sexy Boy, Shawn Michaels.
Booker T – Et voici venir, Shelton Benjamin ! Après sa jolie victoire en équipe la semaine dernière, il affronte un nouveau gros morceau, Shawn Michaels, the Sexy Boy !
Bill DeMott – Je sens que Benjamin va s'prendre une belle branlée, et redescendre de son petit nuage une bonne fois pour toutes ! En tout cas, je suis sûr qu'il gagnera pas !
Booker T – I think I'm cute ! I know I'm sexy !
Bill DeMott – Dis-moi que tu déconnes, que tu cherches juste à me faire enrager, ou j'vais être obligé de te faire bouffer tes putains de tresses et ta cravate !
» FIGHT ! «
C'est parti ! Shelton se jette sur Shawn, bien décidé à vite torcher tout ça, mais celui-ci, en revanche, semble bien disposé à emmerder son adversaire du mieux qu'il peut, et esquive donc. Après un courtois échange entre les deux hommes - non, je déconne - Michaels est le premier à réengager l'affrontement, puisqu'il porte une, deux, trois droites dans la face du Gold Standard, qui, surpris, ne peut qu'encaisser sans rien dire. HBK le projette maintenant dans les cordes, et BAM ! Clothesline, dans tes dents, chiendindon ! Shelton ne tombe pas au sol, mais est bien obligé de se tenir aux cordes. Shawn revient à la charge, mais...olé ! Le fils à sa Momma en a profité pour se placer derrière son adversaire, il peut ainsi porter une German Suplex ! Le tombé, un, de...même pas, Michaels se dégage avant ! Benjamin se place derrière son opposant, attend qu'il se relève, ça y est, c'est fait, il part en Superkick, HBK style...mais c'est esquivé ! C'est maintenant au tour de Shawn de prendre sa chance, et Sweet Chin Music ! Dans ta face ! Dans ta face ! Le tombé, un, deux, trois ! Voilà ce qui arrive quand on fait un no-speech !
Bill DeMott –
Booker T – J'avoue moi-même avoir été étonné de la médiocrité de ce match. Mais bon, ça arrive à tous, un petit accident, même aux plus grands champions, non ?
Bill DeMott – Ouais, ouais, sauf que là, l'Shelton, il s'est fait avoir comme un débutant, putain ! Comme tous ces gamins inexpérimentés qu'on recalait à Tough Enough !
DONG ! DONG ! Vous l'avez reconnu ce gong, et plus encore, vous reconnaîtrez blackout total qui vient de s'installer dans l'arène. Le public se manifeste, siffle, hue, de toutes ses forces ! Les lumières se rallument, à présent, et on peut voir Michelle McCool, en ringside, sous le regard de HBK avec qui elle s'engueule. Shawn lui fait signe de partir, et après une courte négociation, McCool consent à se faire la malle. Michaels peut donc continuer sa célébration...mais BAM ! Il tombe nez-à-nez avec l'Undertaker, chaud bouillant, on fire ! Il prend le Sexy Boy à la gorge, celui-ci résiste mais c'est inutile, on y va, Chokeslam ! Chokeslam ! Chokeslam !
Booker T – Incroyable ! À la surprise générale, Shawn Michaels vient de se faire avoir par la Ministry ! C'est une déclaration de leur part ! La guerre vient de commencer !
Bill DeMott – 'Faut voir si Steve va s'en mêler, maintenant. En tout cas, ce petit monde va certainement se foutre sur la gueule dans les semaines à venir.
Shawn Michaels est au sol, seul au monde. La Ministry a déserté le ring. Désormais, une nouvelle guerre vient de débuter. Once again, the WAR begins !
Booker T – Et voici venir, Shelton Benjamin ! Après sa jolie victoire en équipe la semaine dernière, il affronte un nouveau gros morceau, Shawn Michaels, the Sexy Boy !
Bill DeMott – Je sens que Benjamin va s'prendre une belle branlée, et redescendre de son petit nuage une bonne fois pour toutes ! En tout cas, je suis sûr qu'il gagnera pas !
Booker T – I think I'm cute ! I know I'm sexy !
Bill DeMott – Dis-moi que tu déconnes, que tu cherches juste à me faire enrager, ou j'vais être obligé de te faire bouffer tes putains de tresses et ta cravate !
» FIGHT ! «
C'est parti ! Shelton se jette sur Shawn, bien décidé à vite torcher tout ça, mais celui-ci, en revanche, semble bien disposé à emmerder son adversaire du mieux qu'il peut, et esquive donc. Après un courtois échange entre les deux hommes - non, je déconne - Michaels est le premier à réengager l'affrontement, puisqu'il porte une, deux, trois droites dans la face du Gold Standard, qui, surpris, ne peut qu'encaisser sans rien dire. HBK le projette maintenant dans les cordes, et BAM ! Clothesline, dans tes dents, chiendindon ! Shelton ne tombe pas au sol, mais est bien obligé de se tenir aux cordes. Shawn revient à la charge, mais...olé ! Le fils à sa Momma en a profité pour se placer derrière son adversaire, il peut ainsi porter une German Suplex ! Le tombé, un, de...même pas, Michaels se dégage avant ! Benjamin se place derrière son opposant, attend qu'il se relève, ça y est, c'est fait, il part en Superkick, HBK style...mais c'est esquivé ! C'est maintenant au tour de Shawn de prendre sa chance, et Sweet Chin Music ! Dans ta face ! Dans ta face ! Le tombé, un, deux, trois ! Voilà ce qui arrive quand on fait un no-speech !
Bill DeMott –
Booker T – J'avoue moi-même avoir été étonné de la médiocrité de ce match. Mais bon, ça arrive à tous, un petit accident, même aux plus grands champions, non ?
Bill DeMott – Ouais, ouais, sauf que là, l'Shelton, il s'est fait avoir comme un débutant, putain ! Comme tous ces gamins inexpérimentés qu'on recalait à Tough Enough !
DONG ! DONG ! Vous l'avez reconnu ce gong, et plus encore, vous reconnaîtrez blackout total qui vient de s'installer dans l'arène. Le public se manifeste, siffle, hue, de toutes ses forces ! Les lumières se rallument, à présent, et on peut voir Michelle McCool, en ringside, sous le regard de HBK avec qui elle s'engueule. Shawn lui fait signe de partir, et après une courte négociation, McCool consent à se faire la malle. Michaels peut donc continuer sa célébration...mais BAM ! Il tombe nez-à-nez avec l'Undertaker, chaud bouillant, on fire ! Il prend le Sexy Boy à la gorge, celui-ci résiste mais c'est inutile, on y va, Chokeslam ! Chokeslam ! Chokeslam !
Booker T – Incroyable ! À la surprise générale, Shawn Michaels vient de se faire avoir par la Ministry ! C'est une déclaration de leur part ! La guerre vient de commencer !
Bill DeMott – 'Faut voir si Steve va s'en mêler, maintenant. En tout cas, ce petit monde va certainement se foutre sur la gueule dans les semaines à venir.
Shawn Michaels est au sol, seul au monde. La Ministry a déserté le ring. Désormais, une nouvelle guerre vient de débuter. Once again, the WAR begins !
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Re: Attitude #10.
Pendant qu'en ringside, les officiels tentent de contenir l'Undertaker pour qu'il ne s'en prenne pas à tout le monde, nous faisons un rapide détour en backstages. Des bruits de talons se rapprochent, et finalement, une paire de jambe se dessine.
??? – Alors, des nouvelles ?
??? – Les mêmes qu'il y a une semaine, c'est à dire "bonjour, vous êtes bien sur le répondeur de Lauren Leavine, je ne suis pas là pour le moment parce que je cherche un moyen de faire de la vie de mon futur-ex mari un véritable cauchemar, laissez-moi un message et je vous rappellerai."
??? – Ça s'annonce plus compliqué que prévu, finalement.
Pour ceux qui n'avaient pas encore réagit, il s'agit bien de Trish Stratus et d'Andy Leavine, qui marchent en backstages, direction le titantron puisqu'Andy est dans le prochain match.
Andy Leavine – Je n'aurai jamais pensé qu'elle est moi, on en arriverait là. Je veux dire, ce n'est quand même pas comme si je l'avais trompé avec l'Attitude Wrestling Corporation.
Trish Stratus – Avec l'Attitude Wrestling Corporation, non.
Andy tourne la tête vers Trish qui affiche un sourire gêné, n'y voyons pas de quiproquo, non.
Andy Leavine – Écoute Trish, je t'apprécie vraiment, tu es une femme extraordinaire, et cela m'ennuie de te demander cela, mais je n'ai pas vraiment le choix. Il faut que je rende visite à Lauren, je dois mettre un terme à toute cette histoire, pour enfin pouvoir me re-concentrer en toute tranquillité. J'ai besoin de stabiliser ma vie, et cela passe par aller chez moi, voir ma femme.
Trish Stratus – Si tu penses que c'est ce que tu dois faire, pas de problème. Je t'encouragerais dans tout ce que tu feras, j'ai confiance en toi.
Andy Leavine – Merci, Trish. Je ne pourrais pas être présent la semaine prochaine, mais le coeur sera là.
Trish et Andy se stoppent dans le couloir et se regardent dans les yeux quelques secondes avant d'échanger une franche et tendre accolade. Trish est cependant rapidement ramenée à la réalité en apercevant quelqu'un au loin.
Trish Stratus – Dis, ça ne serait pas Chris, là bas ?
Andy Leavine – Effectivement, c'est bien lui. J'ai deux mots à lui dire, allons le voir.
Le fameux Chris en question, c'est Jericho, l'homme qui a lâchement attaqué Andy Leavine la semaine dernière après son combat. Alors que Trish et Andy s'approchent de lui, on se rend compte que Y2J est au téléphone.
Chris Jericho – Bien sûr que je sais ce que je fais. I am the best in the world at what I do. Tu n'as pas à te soucier de ce qui va arriver, je me débrouille très bien, et tu en auras pour ton argent, don't worry baby. [...] Tu m'excuseras, mais j'ai de la compagnie.
Jericho raccroche le téléphone, tout sourire. Il relève la tête pour regarder droit dans les yeux Trish et Andy qui se trouvent face à lui.
Andy Leavine – Jericho.
Chris Jericho – Tiens, Andy, avec Trish, quelle bonne surprise. Qu'est-ce qui vous amène ici ?
Andy Leavine – Pourquoi est-ce que tu m'as attaqué la semaine dernière ?
Chris Jericho – Ouah, il est pas commode ton copain, Trish. You see, big man, it's just about business. Ici, ce qui importe, c'est d'avoir la meilleure attitude. Et moi, j'essaie simplement d'ajuster la mienne pour qu'elle corresponde aux critères, mais tu le sais déjà.
Andy Leavine – Qu'est-ce que tu veux dire par là, Jericho ?
Chris Jericho – Tout et rien à la fois. C'est ça, la force des mots, cela peut vouloir signifier beaucoup de choses, ou alors strictement rien.
Andy Leavine – N'essaie pas de jouer avec moi sinon je-...
Andy est à la limite de la rupture, heureusement que Trish intervient.
Trish Stratus – C'est bon Andy, pas besoin de s'énerver. Au fait Chris, avec qui tu discutais avant que nous n'arrivions ?
Chris Jericho – Avec ton chirurgien esthétique. Je voulais savoir si tes fesses et ton cerveau aussi, ils avaient reçu des implants en silicone.
Jericho ne peut s'empêcher de lâcher un sourire narquois dont il a le secret avant de se lever et de quitter le champ de la caméra. Trish est très énervée, et Andy est aussi rouge qu'un taureau en rûte. Autant vous dire que c'est des regards noirs qui voient Jericho partir au loin.
Trish Stratus – Douchbag.
Allez, on balance une page de pub où Trish Stratus est la guest star, vantant les mérites du silicone pour la poitrine, et on se retrouve pour le pré-Main Event qui va justement opposer Andy Leavine à l'Undertaker.
??? – Alors, des nouvelles ?
??? – Les mêmes qu'il y a une semaine, c'est à dire "bonjour, vous êtes bien sur le répondeur de Lauren Leavine, je ne suis pas là pour le moment parce que je cherche un moyen de faire de la vie de mon futur-ex mari un véritable cauchemar, laissez-moi un message et je vous rappellerai."
??? – Ça s'annonce plus compliqué que prévu, finalement.
Pour ceux qui n'avaient pas encore réagit, il s'agit bien de Trish Stratus et d'Andy Leavine, qui marchent en backstages, direction le titantron puisqu'Andy est dans le prochain match.
Andy Leavine – Je n'aurai jamais pensé qu'elle est moi, on en arriverait là. Je veux dire, ce n'est quand même pas comme si je l'avais trompé avec l'Attitude Wrestling Corporation.
Trish Stratus – Avec l'Attitude Wrestling Corporation, non.
Andy tourne la tête vers Trish qui affiche un sourire gêné, n'y voyons pas de quiproquo, non.
Andy Leavine – Écoute Trish, je t'apprécie vraiment, tu es une femme extraordinaire, et cela m'ennuie de te demander cela, mais je n'ai pas vraiment le choix. Il faut que je rende visite à Lauren, je dois mettre un terme à toute cette histoire, pour enfin pouvoir me re-concentrer en toute tranquillité. J'ai besoin de stabiliser ma vie, et cela passe par aller chez moi, voir ma femme.
Trish Stratus – Si tu penses que c'est ce que tu dois faire, pas de problème. Je t'encouragerais dans tout ce que tu feras, j'ai confiance en toi.
Andy Leavine – Merci, Trish. Je ne pourrais pas être présent la semaine prochaine, mais le coeur sera là.
Trish et Andy se stoppent dans le couloir et se regardent dans les yeux quelques secondes avant d'échanger une franche et tendre accolade. Trish est cependant rapidement ramenée à la réalité en apercevant quelqu'un au loin.
Trish Stratus – Dis, ça ne serait pas Chris, là bas ?
Andy Leavine – Effectivement, c'est bien lui. J'ai deux mots à lui dire, allons le voir.
Le fameux Chris en question, c'est Jericho, l'homme qui a lâchement attaqué Andy Leavine la semaine dernière après son combat. Alors que Trish et Andy s'approchent de lui, on se rend compte que Y2J est au téléphone.
Chris Jericho – Bien sûr que je sais ce que je fais. I am the best in the world at what I do. Tu n'as pas à te soucier de ce qui va arriver, je me débrouille très bien, et tu en auras pour ton argent, don't worry baby. [...] Tu m'excuseras, mais j'ai de la compagnie.
Jericho raccroche le téléphone, tout sourire. Il relève la tête pour regarder droit dans les yeux Trish et Andy qui se trouvent face à lui.
Andy Leavine – Jericho.
Chris Jericho – Tiens, Andy, avec Trish, quelle bonne surprise. Qu'est-ce qui vous amène ici ?
Andy Leavine – Pourquoi est-ce que tu m'as attaqué la semaine dernière ?
Chris Jericho – Ouah, il est pas commode ton copain, Trish. You see, big man, it's just about business. Ici, ce qui importe, c'est d'avoir la meilleure attitude. Et moi, j'essaie simplement d'ajuster la mienne pour qu'elle corresponde aux critères, mais tu le sais déjà.
Andy Leavine – Qu'est-ce que tu veux dire par là, Jericho ?
Chris Jericho – Tout et rien à la fois. C'est ça, la force des mots, cela peut vouloir signifier beaucoup de choses, ou alors strictement rien.
Andy Leavine – N'essaie pas de jouer avec moi sinon je-...
Andy est à la limite de la rupture, heureusement que Trish intervient.
Trish Stratus – C'est bon Andy, pas besoin de s'énerver. Au fait Chris, avec qui tu discutais avant que nous n'arrivions ?
Chris Jericho – Avec ton chirurgien esthétique. Je voulais savoir si tes fesses et ton cerveau aussi, ils avaient reçu des implants en silicone.
Jericho ne peut s'empêcher de lâcher un sourire narquois dont il a le secret avant de se lever et de quitter le champ de la caméra. Trish est très énervée, et Andy est aussi rouge qu'un taureau en rûte. Autant vous dire que c'est des regards noirs qui voient Jericho partir au loin.
Trish Stratus – Douchbag.
Allez, on balance une page de pub où Trish Stratus est la guest star, vantant les mérites du silicone pour la poitrine, et on se retrouve pour le pré-Main Event qui va justement opposer Andy Leavine à l'Undertaker.
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Re: Attitude #10.
Après une petite coupure pub, on revient pour un match. L'occasion, lorsqu'on est impliqué dans un match, de changer de tenues, pour notamment passer de la petite jupe au bon vieux jean.
Booker T – Andy n'aura pas de réponse de Jericho, et ça va être à lui de s'exprimer, sur le ring. Disons tout de même qu'il a hérité d'un gros morceau en la personne de l'Undertaker.
Bill DeMott – Andy a déjà battu les deux sbires de la vieille pute, je sais qu'il pourra faire au moins aussi bien ce soir. Enfin, il a intérêt.
Booker T – En tout cas, il a beau clamer sa fidélité, Trish ne le lâche plus. Notre amie sera bel et bien en ringside ce soir.
Bill DeMott – Disons que la Corporation est proche de ses lutteurs, le plus possible. Enfin, cela ne nous regarde pas.
Booker T – En effet, cela ne nous regarde pas.
Oui, cela ne nous regarde pas. On pourrait continuer comme ça encore longtemps mais au moment où Trish donnent ses derniers conseils à Andy, la salle est plongée dans le noir. La suite, on la connait.
Bill DeMott – Ah, putain de "DONG" !
Booker T – Tu as sursauté Bill ?
Bill DeMott – N'importe quoi.
Booker T – Tu as sursauté !
Bill DeMott – Tous aussi crevards les nègres.
Heureusement que l'Undertaker était déjà sur le ring, il se permet même de faire des petites feintes, maintenant, le coquin.
» FIGHT ! «
Le match débute à peine que le Taker vient tirer Andy par la tignasse. Il le traine au centre du ring et l'allonge avec des droites. Le Deadman fait dans le brawl, et finit par envoyer Leavine dans le coin. L'ancien participant de TE reprend son souffle et réussit à se retirer avant la charge, le laissant s'encastrer contre le turnbuckle. L'Undertaker est sonné et Leavine en profite pour porter ses coups du bélier. Il répète le geste à plusieurs reprises avant de tenter une projection dans les cordes. Le Phenom reste ancré dans le ring et c'est lui qui réussit à soulever Andy, pour porter un Powerslam. McCool, qui est évidemment en ringside est à fond derrière son ministre qui se prépare à porter son Chokeslam ! Big Andy est pris à la gorge... mais il réussit à placer un coup de pied, et un DDT ! C'est maintenant Trish Stratus que l'on entend plus, celle-ci signalant même à l'arbitre une tentative d'intervention de McCool, la balance. Dans le ring, Leavine tourne autour de son adversaire, l'étudie, et attaque avec un Neckbreaker. Il cherche à le relever pour le placer contre les cordes opposés, et s'élance pour une Clothesline, mais le Taker s'est retiré ! Il est passé dans le dos d'Andy, qu'il soulève et... Chokeslam qui l'envoie à l'extérieur du ring !
Booker T – Not good.
Bill DeMott – Le gamin a baissé sa garde putain.
Trish vient aux nouvelles de son poulain qui se tient à la rampe de sécurité, pendant que McCool cherche à la faire écarté. C'est finalement le Deadman qui vient récupérer sa proie et la jeter dans le ring pour le pin.. 1, 2, dégagement ! Le mort vivant ne se décourage pas, et il vient s'emparer du bras de Leavine... Old School ! Nouveau tombé, mais Leavine se dégage encore. Le Taker enchaine les droites, avant de retenter un pin, mais ça ne donne toujours rien ! Silent Rage montre toute sa résistance et force son adversaire à passer en mode "sans bretelles". Celui-ci tente de placer Andy en position pour le Tombstone Piledriver, il se débat... Et réussit à s'en sortir ! Leavine repousse l'Undertaker, et reprend son souffle quelques instants, agrippé au cordes. Il voit son vis-à-vis revenir, et se retourne... Big Boot sorti de nul part ! Le Taker est séché, pendant que Trish s'égosille. Andy patiente dans un coin du ring, quand le Deadman se relève soudainement, le regard vide. DEUXIEME BIG BOOT ! Big Andy a réagi instantanément, et peut placer le pinfall !
Booker T – Il lui en aura fallu deux, mais c'est fait.
Bill DeMott – On ne peut pas dire qu'on ait assisté à un match très technique, mais je me réjouis à chaque fois que je vois cette saloperie de zombie se faire latter.
Booker T – Attention ça bouge dans le ring Bill !
En effet, on assiste à un début d'échauffourée entre les deux femmes du ringside. McCool vient bousculer Trish qui la repousse à son tour, et... SLAP ! La canadienne est prête à se retirer avec Andy Leavine, mais elle est retenue par le bras par la ministre. Pendant ce temps, le public se lève, non pas pour réclamer le catfight mais parce qu'un lutteur déboule sur la rampe... C'est Chris Jericho ! Y2J rush dans le ring et balance un High Kick sur un Leavine complètement distrait ! McCool qui assiste à la scène se retire du ring et laisse Trish, débousolé, encaisser un Running Bulldog ! Jericho enchaine les stomps et les coups de poing envers sa compatriote avant de passer aux choses sérieuses. Il saisit ses jambes et... THE WALLS OF JERICHO !
Leavine est désormais à l'extérieur du ring, pendant que le Ministry se retire lentement en backstage, il n'y a personne pour sauver la pauvre canadienne.
Booker T – Andy n'aura pas de réponse de Jericho, et ça va être à lui de s'exprimer, sur le ring. Disons tout de même qu'il a hérité d'un gros morceau en la personne de l'Undertaker.
Bill DeMott – Andy a déjà battu les deux sbires de la vieille pute, je sais qu'il pourra faire au moins aussi bien ce soir. Enfin, il a intérêt.
Booker T – En tout cas, il a beau clamer sa fidélité, Trish ne le lâche plus. Notre amie sera bel et bien en ringside ce soir.
Bill DeMott – Disons que la Corporation est proche de ses lutteurs, le plus possible. Enfin, cela ne nous regarde pas.
Booker T – En effet, cela ne nous regarde pas.
Oui, cela ne nous regarde pas. On pourrait continuer comme ça encore longtemps mais au moment où Trish donnent ses derniers conseils à Andy, la salle est plongée dans le noir. La suite, on la connait.
Bill DeMott – Ah, putain de "DONG" !
Booker T – Tu as sursauté Bill ?
Bill DeMott – N'importe quoi.
Booker T – Tu as sursauté !
Bill DeMott – Tous aussi crevards les nègres.
Heureusement que l'Undertaker était déjà sur le ring, il se permet même de faire des petites feintes, maintenant, le coquin.
» FIGHT ! «
Le match débute à peine que le Taker vient tirer Andy par la tignasse. Il le traine au centre du ring et l'allonge avec des droites. Le Deadman fait dans le brawl, et finit par envoyer Leavine dans le coin. L'ancien participant de TE reprend son souffle et réussit à se retirer avant la charge, le laissant s'encastrer contre le turnbuckle. L'Undertaker est sonné et Leavine en profite pour porter ses coups du bélier. Il répète le geste à plusieurs reprises avant de tenter une projection dans les cordes. Le Phenom reste ancré dans le ring et c'est lui qui réussit à soulever Andy, pour porter un Powerslam. McCool, qui est évidemment en ringside est à fond derrière son ministre qui se prépare à porter son Chokeslam ! Big Andy est pris à la gorge... mais il réussit à placer un coup de pied, et un DDT ! C'est maintenant Trish Stratus que l'on entend plus, celle-ci signalant même à l'arbitre une tentative d'intervention de McCool, la balance. Dans le ring, Leavine tourne autour de son adversaire, l'étudie, et attaque avec un Neckbreaker. Il cherche à le relever pour le placer contre les cordes opposés, et s'élance pour une Clothesline, mais le Taker s'est retiré ! Il est passé dans le dos d'Andy, qu'il soulève et... Chokeslam qui l'envoie à l'extérieur du ring !
Booker T – Not good.
Bill DeMott – Le gamin a baissé sa garde putain.
Trish vient aux nouvelles de son poulain qui se tient à la rampe de sécurité, pendant que McCool cherche à la faire écarté. C'est finalement le Deadman qui vient récupérer sa proie et la jeter dans le ring pour le pin.. 1, 2, dégagement ! Le mort vivant ne se décourage pas, et il vient s'emparer du bras de Leavine... Old School ! Nouveau tombé, mais Leavine se dégage encore. Le Taker enchaine les droites, avant de retenter un pin, mais ça ne donne toujours rien ! Silent Rage montre toute sa résistance et force son adversaire à passer en mode "sans bretelles". Celui-ci tente de placer Andy en position pour le Tombstone Piledriver, il se débat... Et réussit à s'en sortir ! Leavine repousse l'Undertaker, et reprend son souffle quelques instants, agrippé au cordes. Il voit son vis-à-vis revenir, et se retourne... Big Boot sorti de nul part ! Le Taker est séché, pendant que Trish s'égosille. Andy patiente dans un coin du ring, quand le Deadman se relève soudainement, le regard vide. DEUXIEME BIG BOOT ! Big Andy a réagi instantanément, et peut placer le pinfall !
Booker T – Il lui en aura fallu deux, mais c'est fait.
Bill DeMott – On ne peut pas dire qu'on ait assisté à un match très technique, mais je me réjouis à chaque fois que je vois cette saloperie de zombie se faire latter.
Booker T – Attention ça bouge dans le ring Bill !
En effet, on assiste à un début d'échauffourée entre les deux femmes du ringside. McCool vient bousculer Trish qui la repousse à son tour, et... SLAP ! La canadienne est prête à se retirer avec Andy Leavine, mais elle est retenue par le bras par la ministre. Pendant ce temps, le public se lève, non pas pour réclamer le catfight mais parce qu'un lutteur déboule sur la rampe... C'est Chris Jericho ! Y2J rush dans le ring et balance un High Kick sur un Leavine complètement distrait ! McCool qui assiste à la scène se retire du ring et laisse Trish, débousolé, encaisser un Running Bulldog ! Jericho enchaine les stomps et les coups de poing envers sa compatriote avant de passer aux choses sérieuses. Il saisit ses jambes et... THE WALLS OF JERICHO !
Leavine est désormais à l'extérieur du ring, pendant que le Ministry se retire lentement en backstage, il n'y a personne pour sauver la pauvre canadienne.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #10.
Le Main-Event est pour bientôt, en effet, on voit Triple H entrain de marcher en backstages en tenue de combat vers le ring. Il a le sourire aux lèvres et semble de bonne humeur.
Triple H – Je suis le dernier, je le seul, je suis l‘invaincu Triple H ! Ah, sacré Dudleys, je vais m‘amuser avec eux. Mon Pedigree est terrible ! Mon Sledgehammer est monstrueux !
??? – Si tu es heureux d‘être le seul à ne pas avoir encore perdu ici à l‘AWC dis-toi qu‘il ne te reste que quelques semaines avant de goûter à la défaite. Stainless Steel, c‘est là que je te ferai goûté à la défaite.
Vous l’avez compris, celui qui vient de couper Triple H lui changeant son sourire pour un visage dépité n’est autre que Christian Cage, The Attitute Champion, ceinture sur l’épaule, commence à marcher à côté de son équipier du soir.
Christian Cage – On y va Hunter, on a malheureusement un Tag Team Match a livré. Et je te préviens que ça ne m‘enchante pas vraiment de faire équipe avec toi.
Triple H – Tu sais Cage, contrairement à toi, cela ne me dérange pas du tout de combattre à tes côtés. Cela ne m‘empêchera pas de remporter le combat ce soir, comme cela ne m‘empêchera pas de remporter notre futur affrontement lors du prochain PPV. Ce qui m‘agace c‘est que je vais devoir être attentif à ce que tu ne te conduises pas comme un traitre pendant que je porterai mon Pedigree sur les Dudleys.
Christian Cage – Fais moi confiance Hunter, il n‘y aura pas de ça ce soir. Ca ne me servirait à rien de prendre l‘avantage psychologique ce soir, je n‘ai pas besoin de ça. Je suis le champion, je suis au-dessus de ça. Je n‘ai pas eu besoin de ça pour vaincre The Undertaker, je n‘ai pas eu à l‘attaquer lui en lâche. Toi, par contre tu t‘es fait plaisir face à John Cena.
Triple H – Tu marques un point, il est vrai. Tu as préféré attaquer Steve Austin en lâche pour obtenir ton shot au titre Attitude, on a des manières différentes d‘arriver à notre but souhaité. Au final, il y a une chose où l‘on diverge, c‘est que je l‘emporte toujours. On a critiqué ma faon de dominer l‘AWC, mais ici il n‘y a rien de cela et pourtant je domine encore la fédération où je suis. Je suis le meilleur tout simplement. Et tu sais pourquoi je domine l‘AWC ?
Christian Cage – Tu as trompé Stephanie avec Trish ?
Triple H – Bien pensé, mais tu te trompes et face à moi, il n‘est pas bon de se tromper. Demandes donc à tous ceux qui se sont opposés à moi. Il n’en reste pas beaucoup entrain de lutter encore aujourd’hui. Je les ai traumatisé au point de mettre fin à leur carrière, je suis le Cerebral Assasin, ne l’oublies jamais Cage. Je vais te dire pourquoi je triomphe toujours. C‘est moi qui dicte les règles. Nous sommes dans un jeu Cage. Tu es rentré dedans sans t‘en apercevoir. Toi comme tous les autres vous êtes entraîné dedans et face au maître du jeu que je suis, vous ne pouvez l‘emportez, vous n‘avez aucun échappatoire, vous suivez les lois que je dicte et quand je le décide, je vous élimine. Ton tour arrive Cage. Le maître du jeu va te mettre game over !
Christian Cage – C‘est une nouvelle agréable. J‘ai l‘impression d‘entendre The Undertaker dire que personne ne peut affronter le pouvoir du mal sauf que là c‘est le maître du jeu. Comme je l‘ai fait face à l‘Undertaker, je te mettrai échec et mat !
Triple H – The Undertaker n‘était qu‘un autre pion du jeu et la preuve est que je l‘ai écrasé au moment voulu. Cage, tu danses dans le creu de ma main. Et quand je veux je peux t‘écraser, mettre fin à ta stupide carrière. Tu ne te rends pas compte de la véritable nature de ton challenger. Tu n‘as pas bien saisi qu‘en me désignant comme challenger, tu as également désigné ta perte et la perte de cette ceinture que tu possèdes pour l'instant.
Christian Cage – Hunter, je ne suis ni Andy Leavine, ni New Jack, ni Shark Boy, ni Orlando Colon, ni John Cena, je ne suis aucun de tes anciens adversaires, je suis le pire adversaire possible pour toi. Saches que à la WWE jamais tu ne pensais qu‘un jour je serai champion mais j‘ai fait mentir tout le monde. Mes Peeps le savent. Celui qui ressort toujours vainqueur c‘est moi. Perdre face à mon frère Edge n‘est pas un échec, je ne pouvais gagner éternellement, mais vois-tu cette défaite est arrivé au bon moment pour moi, toi elle arrivera au mauvais moment, et là il n‘y aura plus de jeu, il y aura la réalité et il y aura un vainqueur, Christian Cage.
Triple H – Tu te défends, c‘est beau à entendre, mais tu es comme tous les autres. Tu ne sais pas dans quel jeu tu t‘es embarqué et quand tu le comprendras, il sera trop tard, que dis-je il est déjà trop tard. Tes jours, tes heures, tes minutes, tes secondes sont comptées désormais en tant que Attitude Champion. The King of Kings va remonter sur le trône là où est sa véritable place, et toi tu retourneras à ta place, à genoux devant le roi.
Christian Cage – Ce jour arrivera quand je n‘aimerai plus le sirop d‘érable. Sois jamais.
Triple H – Nous verrons, nous verrons. En attendant, il est l‘heure de combattre et ne te comportes pas comme un lâche.
Ca y est, ça va être l’heure du Main-Event, j’espère que vous êtes prêt.
Triple H – Je suis le dernier, je le seul, je suis l‘invaincu Triple H ! Ah, sacré Dudleys, je vais m‘amuser avec eux. Mon Pedigree est terrible ! Mon Sledgehammer est monstrueux !
??? – Si tu es heureux d‘être le seul à ne pas avoir encore perdu ici à l‘AWC dis-toi qu‘il ne te reste que quelques semaines avant de goûter à la défaite. Stainless Steel, c‘est là que je te ferai goûté à la défaite.
Vous l’avez compris, celui qui vient de couper Triple H lui changeant son sourire pour un visage dépité n’est autre que Christian Cage, The Attitute Champion, ceinture sur l’épaule, commence à marcher à côté de son équipier du soir.
Christian Cage – On y va Hunter, on a malheureusement un Tag Team Match a livré. Et je te préviens que ça ne m‘enchante pas vraiment de faire équipe avec toi.
Triple H – Tu sais Cage, contrairement à toi, cela ne me dérange pas du tout de combattre à tes côtés. Cela ne m‘empêchera pas de remporter le combat ce soir, comme cela ne m‘empêchera pas de remporter notre futur affrontement lors du prochain PPV. Ce qui m‘agace c‘est que je vais devoir être attentif à ce que tu ne te conduises pas comme un traitre pendant que je porterai mon Pedigree sur les Dudleys.
Christian Cage – Fais moi confiance Hunter, il n‘y aura pas de ça ce soir. Ca ne me servirait à rien de prendre l‘avantage psychologique ce soir, je n‘ai pas besoin de ça. Je suis le champion, je suis au-dessus de ça. Je n‘ai pas eu besoin de ça pour vaincre The Undertaker, je n‘ai pas eu à l‘attaquer lui en lâche. Toi, par contre tu t‘es fait plaisir face à John Cena.
Triple H – Tu marques un point, il est vrai. Tu as préféré attaquer Steve Austin en lâche pour obtenir ton shot au titre Attitude, on a des manières différentes d‘arriver à notre but souhaité. Au final, il y a une chose où l‘on diverge, c‘est que je l‘emporte toujours. On a critiqué ma faon de dominer l‘AWC, mais ici il n‘y a rien de cela et pourtant je domine encore la fédération où je suis. Je suis le meilleur tout simplement. Et tu sais pourquoi je domine l‘AWC ?
Christian Cage – Tu as trompé Stephanie avec Trish ?
Triple H – Bien pensé, mais tu te trompes et face à moi, il n‘est pas bon de se tromper. Demandes donc à tous ceux qui se sont opposés à moi. Il n’en reste pas beaucoup entrain de lutter encore aujourd’hui. Je les ai traumatisé au point de mettre fin à leur carrière, je suis le Cerebral Assasin, ne l’oublies jamais Cage. Je vais te dire pourquoi je triomphe toujours. C‘est moi qui dicte les règles. Nous sommes dans un jeu Cage. Tu es rentré dedans sans t‘en apercevoir. Toi comme tous les autres vous êtes entraîné dedans et face au maître du jeu que je suis, vous ne pouvez l‘emportez, vous n‘avez aucun échappatoire, vous suivez les lois que je dicte et quand je le décide, je vous élimine. Ton tour arrive Cage. Le maître du jeu va te mettre game over !
Christian Cage – C‘est une nouvelle agréable. J‘ai l‘impression d‘entendre The Undertaker dire que personne ne peut affronter le pouvoir du mal sauf que là c‘est le maître du jeu. Comme je l‘ai fait face à l‘Undertaker, je te mettrai échec et mat !
Triple H – The Undertaker n‘était qu‘un autre pion du jeu et la preuve est que je l‘ai écrasé au moment voulu. Cage, tu danses dans le creu de ma main. Et quand je veux je peux t‘écraser, mettre fin à ta stupide carrière. Tu ne te rends pas compte de la véritable nature de ton challenger. Tu n‘as pas bien saisi qu‘en me désignant comme challenger, tu as également désigné ta perte et la perte de cette ceinture que tu possèdes pour l'instant.
Christian Cage – Hunter, je ne suis ni Andy Leavine, ni New Jack, ni Shark Boy, ni Orlando Colon, ni John Cena, je ne suis aucun de tes anciens adversaires, je suis le pire adversaire possible pour toi. Saches que à la WWE jamais tu ne pensais qu‘un jour je serai champion mais j‘ai fait mentir tout le monde. Mes Peeps le savent. Celui qui ressort toujours vainqueur c‘est moi. Perdre face à mon frère Edge n‘est pas un échec, je ne pouvais gagner éternellement, mais vois-tu cette défaite est arrivé au bon moment pour moi, toi elle arrivera au mauvais moment, et là il n‘y aura plus de jeu, il y aura la réalité et il y aura un vainqueur, Christian Cage.
Triple H – Tu te défends, c‘est beau à entendre, mais tu es comme tous les autres. Tu ne sais pas dans quel jeu tu t‘es embarqué et quand tu le comprendras, il sera trop tard, que dis-je il est déjà trop tard. Tes jours, tes heures, tes minutes, tes secondes sont comptées désormais en tant que Attitude Champion. The King of Kings va remonter sur le trône là où est sa véritable place, et toi tu retourneras à ta place, à genoux devant le roi.
Christian Cage – Ce jour arrivera quand je n‘aimerai plus le sirop d‘érable. Sois jamais.
Triple H – Nous verrons, nous verrons. En attendant, il est l‘heure de combattre et ne te comportes pas comme un lâche.
Ca y est, ça va être l’heure du Main-Event, j’espère que vous êtes prêt.
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Re: Attitude #10.
Booker T – Main event of the evening, here we go !
Bill DeMott – Les champions par équipe de l'Attitude Wrestling Corporation, les Dudley Boyz, sont sur le point d'affronter le champion Attitude Christian Cage et son challenger Triple H. C'est un très gros main-event que nous avons là. La première équipe, la plus grande de tous les temps, fait son entrée.
Booker T – Where's Joel Gertner ?
Bill DeMott – Where's the Duchess of Dudleyville Stacy Keibler ? Son p'tit cul me manque. Mais en effet, ce soir, nous ne verrons pas Joel Gertner puisqu'il est toujours en convalescence suite à l'attaque qu'il a subit des mains de la famille Colon la semaine dernière. Je crains que les champions par équipe n'aient pas toute leur tête ce soir, ils risquent de manquer de concentration.
Booker T – 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time...
Bill DeMott – Les Dudleyz remportent les championnats par équipe au moins une fois partout où ils vont, ce qui fait d'eux l'équipe la plus décorée de l'histoire de la lutte. Deux maîtres en la matière qui affronteront ce soir deux gros noms de ce business.
Booker T – ... World tag team champions !
Booker T – But... Are you ready ?!
Bill DeMott – L'un a brillé au sein de la célébrissime D-Generation X, l'autre au sein de la fameuse et redoutable équipe E&C, les deux s'affronteront pour le championnat mondal de l'Attitude Wrestling Corporation d'ici quelques semaines et pourtant, ce soir, ils vont devoir se faire confiance et faire équipe si ils veulent s'offrir une nouvelle victoire.
Booker T – Let's get ready to suck it !
Booker T – Please welcome our Attitude champion of the world, Christian Cage !
Bill DeMott – Christin Cage, l'homme qui était encore invaincu jusqu'à la semaine dernière, avant de rencontrer Edge. La question que l'on est en droit de se poser, c'est à savoir si Christian va jouer la gagne ou si il va emmener Triple H avec lui, afin de lui enlever lui aussi sa winning streak. Nous allons le savoir maintenant, le match est sur le point de commencer.
Booker T – This main-event is sponsored by Bud Light, here we go !
» FIGHT ! «
Les quatre hommes sont dans le ring et le match est sur le point de commencer. D'un côté, nous allons commencer avec D'Von, de l'autre, ce sera Christian Cage puisque Triple H vient de se placer sur l'apron du ring sans même discuter avec son partenaire. On dirait que les choses ne vont pas se passer de cette manière puisque Christian Cage vient taper sur l'épaule de son adversaire avant même le début des hostilités, Triple H doit commencer le combat selon le champion. Triple H n'a même pas le temps de discuter avec son coéquipier puisque D'Von sonne la charge et fonce sur son adversaire. Reverse DDT, russian legsweep, swinging neckbreaker. Triple H n'arrive pas à se remettre de ce cheap shot. D'Von fait maintenant le changement avec Bubba Ray. Double flapjack ! Bubba Ray se couche sur Triple H pour le compte de deux seulement. Triple H essaie de faire le changement avec Christian Cage mais Christian Cage descend les escaliers du ring pour aller insulter un fan. Triple H est impuissant. Bubba Ray passe derrière Triple H et lui porte le Bubba bomb - full nelson bomb. Bubba Ray se couche sur Triple H mais Christian Cage intervient à temps pour briser le compte. Christian Cage retourne dans son coin et demande le tag.
Triple H regarde Christian Cage et lui montre son majeur, histoire de lui faire comprendre qu'il peut aller se faire foutre maintenant. Triple H se dirige vers Bubba Ray pour le facebreaker knee smash suivi du running neckbreaker. Triple H tente le pinfall mais Bubba Ray se dégage au compte de deux. D'Von tape sur l'épaule de son partenaire pour le sortir de cette délicate situation, mais Triple H le renvoi là d'où il vient avec le spinning spinebuster, pour le compte de deux seulement. Triple H tente de placer le figure four leglock sur D'Von mais Bubba Ray intervient pour casser la tentative de soumission. Christian Cage en a marre de ronger son frein et monte sur la troisième corde pour le diving reverse elbow sur Bubba Ray. D'Von essaie de s'en prendre à Christian Cage, qui retourne dans son coin, mais Triple H le surprend avec le Pedigree - double underhook facebuster. Christian Cage réalise le blind tag sur Triple H. Unprettier - inverted double underhook falconwing facebuster sur D'Von. Christian couvre D'Von pendant que Triple H place une droite sur Bubba Ray qui essayait une fois encore de briser le compte. 1, 2 et 3, victoire finale de Christian Cage et de Triple H.
Booker T – Christian gets a new Attitude Wrestling Corporation victory, tonight !
Bill DeMott – Les champions par équipe de l'Attitude Wrestling Corporation, les Dudley Boyz, sont sur le point d'affronter le champion Attitude Christian Cage et son challenger Triple H. C'est un très gros main-event que nous avons là. La première équipe, la plus grande de tous les temps, fait son entrée.
Booker T – Where's Joel Gertner ?
Bill DeMott – Where's the Duchess of Dudleyville Stacy Keibler ? Son p'tit cul me manque. Mais en effet, ce soir, nous ne verrons pas Joel Gertner puisqu'il est toujours en convalescence suite à l'attaque qu'il a subit des mains de la famille Colon la semaine dernière. Je crains que les champions par équipe n'aient pas toute leur tête ce soir, ils risquent de manquer de concentration.
Booker T – 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time, 24 time...
Bill DeMott – Les Dudleyz remportent les championnats par équipe au moins une fois partout où ils vont, ce qui fait d'eux l'équipe la plus décorée de l'histoire de la lutte. Deux maîtres en la matière qui affronteront ce soir deux gros noms de ce business.
Booker T – ... World tag team champions !
Booker T – But... Are you ready ?!
Bill DeMott – L'un a brillé au sein de la célébrissime D-Generation X, l'autre au sein de la fameuse et redoutable équipe E&C, les deux s'affronteront pour le championnat mondal de l'Attitude Wrestling Corporation d'ici quelques semaines et pourtant, ce soir, ils vont devoir se faire confiance et faire équipe si ils veulent s'offrir une nouvelle victoire.
Booker T – Let's get ready to suck it !
Booker T – Please welcome our Attitude champion of the world, Christian Cage !
Bill DeMott – Christin Cage, l'homme qui était encore invaincu jusqu'à la semaine dernière, avant de rencontrer Edge. La question que l'on est en droit de se poser, c'est à savoir si Christian va jouer la gagne ou si il va emmener Triple H avec lui, afin de lui enlever lui aussi sa winning streak. Nous allons le savoir maintenant, le match est sur le point de commencer.
Booker T – This main-event is sponsored by Bud Light, here we go !
» FIGHT ! «
Les quatre hommes sont dans le ring et le match est sur le point de commencer. D'un côté, nous allons commencer avec D'Von, de l'autre, ce sera Christian Cage puisque Triple H vient de se placer sur l'apron du ring sans même discuter avec son partenaire. On dirait que les choses ne vont pas se passer de cette manière puisque Christian Cage vient taper sur l'épaule de son adversaire avant même le début des hostilités, Triple H doit commencer le combat selon le champion. Triple H n'a même pas le temps de discuter avec son coéquipier puisque D'Von sonne la charge et fonce sur son adversaire. Reverse DDT, russian legsweep, swinging neckbreaker. Triple H n'arrive pas à se remettre de ce cheap shot. D'Von fait maintenant le changement avec Bubba Ray. Double flapjack ! Bubba Ray se couche sur Triple H pour le compte de deux seulement. Triple H essaie de faire le changement avec Christian Cage mais Christian Cage descend les escaliers du ring pour aller insulter un fan. Triple H est impuissant. Bubba Ray passe derrière Triple H et lui porte le Bubba bomb - full nelson bomb. Bubba Ray se couche sur Triple H mais Christian Cage intervient à temps pour briser le compte. Christian Cage retourne dans son coin et demande le tag.
Triple H regarde Christian Cage et lui montre son majeur, histoire de lui faire comprendre qu'il peut aller se faire foutre maintenant. Triple H se dirige vers Bubba Ray pour le facebreaker knee smash suivi du running neckbreaker. Triple H tente le pinfall mais Bubba Ray se dégage au compte de deux. D'Von tape sur l'épaule de son partenaire pour le sortir de cette délicate situation, mais Triple H le renvoi là d'où il vient avec le spinning spinebuster, pour le compte de deux seulement. Triple H tente de placer le figure four leglock sur D'Von mais Bubba Ray intervient pour casser la tentative de soumission. Christian Cage en a marre de ronger son frein et monte sur la troisième corde pour le diving reverse elbow sur Bubba Ray. D'Von essaie de s'en prendre à Christian Cage, qui retourne dans son coin, mais Triple H le surprend avec le Pedigree - double underhook facebuster. Christian Cage réalise le blind tag sur Triple H. Unprettier - inverted double underhook falconwing facebuster sur D'Von. Christian couvre D'Von pendant que Triple H place une droite sur Bubba Ray qui essayait une fois encore de briser le compte. 1, 2 et 3, victoire finale de Christian Cage et de Triple H.
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Re: Attitude #10.
Booker T – What a contest !
Bill DeMott – Nous n'avons pas eu un grand match par équipe ce soir, mais le boulot a été fait correctement et ils ressortent victorieux. Dommage que Triple H et Christian Cage ne se soient pas mieux entendus.
Booker T – They are egomaniac, period !
Bill DeMott – Triple H voulait faire le changement avec Christian Cage, mais ce dernier n'a pas voulu. Et quand Christian Cage voulait rentrer dans le match, Triple H l'en a empêché par simple vengeance et l'a envoyé se faire foutre. On en attendait pas moins, la sauce est en train de monter.
Booker T – Oh, wait a second !
Les champions par équipe de l'Attitude Wrestling Corporation ne veulent pas en rester là, les Dudley Boyz remontent dans le ring et s'en prennent à Christian Cage qui était en train de faire le beau avec sa ceinture mondiale. Les coups pleuvent sur le champion. Les fans commencent à chanter le nom de Triple H, ce dernier, déçu par la fin de cette rencontre, était déjà en train de remonter la rampe d'accès. Triple H se retourne et regarde la scène, il se demande quoi faire. Après quelques secondes de réflexion, the Game retourne dans le ring et le brawl éclate avec les Dudley Boyz. Mais que fait Christian ? Il prend la poudre d'escampette !
Alors que Triple H était revenu pour le sortir d'une mauvaise situation, Christian Cage en a profité pour quitter le ring. Il est certes sonné, mais a encore assez de force pour remonter la rampe d'accès histoire de se barrer de cette merde. Triple H, en infériorité numérique, est finalement maîtrisé par les champions par équipe.
Bubba Ray – D'Von !
Devon – What ?!
Bubba Ray – Geeeeeet the tables !
D'Von Dudley sort du ring pour prendre une table sous le ring, et la place dans le ring. D'Von installe la table pendant que Bubba Ray Dudley martèle Triple H de coups. Bubba Ray s'assoit sur le haut du turnbuckle pendant que D'Von relève the Game. Il le soulève facilement et le place sur les épaules de Bubba Ray sous le regard de Christian Cage qui lui est resté sous le titantron... Aided superbooomb, through the table !
Booker T – Oh, my godness !
Bill DeMott – Malheureusement, ce sont sur ces images que nous allons devoir se quitter puisque l'émission touche à sa fin. A défaut de pouvoir s'en prendre aux Colons afin de venger Joel Gertner, les Dudleyz s'en sont pris au premier venu, et ce soir, le premier venu était Triple H, courtoisie de Christian Cage.
Booker T – What a night !
Bill DeMott – Nous n'avons pas eu un grand match par équipe ce soir, mais le boulot a été fait correctement et ils ressortent victorieux. Dommage que Triple H et Christian Cage ne se soient pas mieux entendus.
Booker T – They are egomaniac, period !
Bill DeMott – Triple H voulait faire le changement avec Christian Cage, mais ce dernier n'a pas voulu. Et quand Christian Cage voulait rentrer dans le match, Triple H l'en a empêché par simple vengeance et l'a envoyé se faire foutre. On en attendait pas moins, la sauce est en train de monter.
Booker T – Oh, wait a second !
Les champions par équipe de l'Attitude Wrestling Corporation ne veulent pas en rester là, les Dudley Boyz remontent dans le ring et s'en prennent à Christian Cage qui était en train de faire le beau avec sa ceinture mondiale. Les coups pleuvent sur le champion. Les fans commencent à chanter le nom de Triple H, ce dernier, déçu par la fin de cette rencontre, était déjà en train de remonter la rampe d'accès. Triple H se retourne et regarde la scène, il se demande quoi faire. Après quelques secondes de réflexion, the Game retourne dans le ring et le brawl éclate avec les Dudley Boyz. Mais que fait Christian ? Il prend la poudre d'escampette !
Alors que Triple H était revenu pour le sortir d'une mauvaise situation, Christian Cage en a profité pour quitter le ring. Il est certes sonné, mais a encore assez de force pour remonter la rampe d'accès histoire de se barrer de cette merde. Triple H, en infériorité numérique, est finalement maîtrisé par les champions par équipe.
Bubba Ray – D'Von !
Devon – What ?!
Bubba Ray – Geeeeeet the tables !
D'Von Dudley sort du ring pour prendre une table sous le ring, et la place dans le ring. D'Von installe la table pendant que Bubba Ray Dudley martèle Triple H de coups. Bubba Ray s'assoit sur le haut du turnbuckle pendant que D'Von relève the Game. Il le soulève facilement et le place sur les épaules de Bubba Ray sous le regard de Christian Cage qui lui est resté sous le titantron... Aided superbooomb, through the table !
Booker T – Oh, my godness !
Bill DeMott – Malheureusement, ce sont sur ces images que nous allons devoir se quitter puisque l'émission touche à sa fin. A défaut de pouvoir s'en prendre aux Colons afin de venger Joel Gertner, les Dudleyz s'en sont pris au premier venu, et ce soir, le premier venu était Triple H, courtoisie de Christian Cage.
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