Attitude #2.
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Attitude #2.
LAST WEEK...
Le premier show vient de se terminer, le staff technique est en train de ranger l'arène, de nettoyer les tâches de bière visibles sur le ring et aux alentours. Mais là où les choses s'agitent réellement, c'est en backstages. Dans le bureau de Steve Austin, Booker T, Bill DeMott et Trish Stratus, sourire aux lèvres, apparemment heureux de cette soirée, sont assis l'un à côté de l'autre, en ligne, devant le vrai, seul et unique patron.
Stone Cold – Bon, bon, bon. Voilà, le premier show est fini, alors, je voudrai avoir votre avis avant de vous donner le mien. Bill, quelque chose à dire ?
Bill DeMott – Franchement, j'ai pas trouvé ça mal du tout. C'est même pas mal d'avoir d'aussi bons résultats en terme d'audiences, de ratings et de chiffre d'affaires pour un premier show. Après, il est un peu tôt pour juger, 'faut voir sur le long terme. Mais, je tiens à dire que je suis content de bosser avec vous.
Stone Cold – J'aime cet état d'esprit, tu ne t'emballes pas trop vite, c'est bien. Et toi, Booker ?
Booker T – Depuis la table des commentateurs, Bill et moi, on a surtout été très content de voir que les gars prennent ce projet à cœur. Ils ont l'air tous déterminés à arriver au sommet, alors, la AWC ne peut qu'être une réussite. S'ils continuent dans cet état d'esprit, on ira loin, très loin.
Stone Cold – Moi aussi, je suis content de votre état d'esprit, à tous les deux, les gars. Votre association aux commentaires a été un putain de bonheur pour les spectateurs, alors, soyez omniprésents, les gars ! Et toi, Trish ? Je suis sûr que tu as bien un avis sur ce show, non ?
Trish Stratus – Je n'ai pas grand chose à rajouter, en fait.
Stone Cold – Bon, moi, je vais vous dire ce que je pense ! Trish, il faut vraiment que tu prennes confiance en toi, bordel ! T'es quand même pas hésitante, toi, qui a passé tant de temps dans ce business ?! Et non, t'arriveras pas à me faire gober que t'as pas de personnalité ! Je t'ai connu avant, Trish, putain, je sais que c'est pas ton style de faire ça ! T'as tout pour devenir l'un des atouts charismatiques de la fédération, à commencer par le physique, alors j'aimerais bien que tu changes un peu, histoire que tu ne passes plus pour la potiche de service comme ce soir ! Parce que c'est ce que tout le monde dit sur toi !
Trish Stratus – Désolé si moi, au moins, je suis capable de me taire à certains moments, hein ! Tu veux que je m'affirme, Steve ?! Très bien, tu vas découvrir une toute nouvelle Trish !
Stone Cold – Voilà, c'est comme ça que je veux te voir à l'antenne, Trish ! Bref, maintenant, je vais vous donner mon avis sur ce show. Oui, c'était bien, oui, on a très bien démarré, ça, c'est clair et net, et j'voudrais à la fois vous remercier et vous en féliciter ! Mais, comme l'a dit Bill, on ne doit pas se relâcher ! C'est maintenant que tout se complique, okay ?! Maintenant, le truc, c'est de tenir, de conserver la qualité du travail qui a fait le succès de ce show, compris ?
Booker T – T'inquiète pas, Steve ! On tiendra, et lors de Ground Zero, on produira quelque chose de très grand, de très fort ! Au fait... à propos de Ground Zero, vous trouvez pas qu'il y a quelque chose qui cloche au niveau de la date ?
Stone Cold – Y a rien de bizarre, Ground Zero aura lieu le 31 juillet, comme c'est marqué sur mes fiches, tu te fais des idées !
Trish Stratus – Sauf que je crois me souvenir que lors de la réunion au cours de laquelle on a décidé du calendrier, on avait convenu que la date adéquate pour Ground Zero, c'était le 11 septembre... Le 11 septembre... Avec l'armistice.
Bill DeMott – Si on a fait une boulette aussi grosse, pour moi, c'est pas à cause de nous. On a dû se faire enfler, voilà ! Steve, qui c'est qui s'occupe des fiches, normalement ?
Steve Austin se dirige vers l'interphone, avant de reprendre la parole, furax.
Stone Cold – Irw-... oh putain c'est pas vrai. Mais c'est pas vrai, bordel ! Cet enculé nous a quand même doublé, si ?! Il va m'entendre, ce fils de pute, il va m'entendre ! Je vais lui botter le cul ! Que le comptable vienne dans mon bureau, j'ai deux mots à lui dire !
Un homme entre, tête baissée, dans le bureau. Steve le choppe par le col, le pousse violemment sur le bureau, si bien tombe allongé dessus. Bill, T et Trish se rapprochent, et aperçoivent...
Stone Cold – Irwin R. Schyster, ouais ! Espèce d'enculé ! Voici le responsable de toute cette merde ! Alors, qu'est-ce que t'as trafiqué dans les fiches, fils de pute ?
Irwin R. Schyster – Mais, il y a aucun souci ! Ground Zero a été programmé comme ayant lieu le 31 juillet, et c'est comme ça que ça aura lieu. Je ne comprends pas, vraiment pas...
Stone Cold – Tu oses te foutre de ma gueule ? Tu oses ? Tu veux quoi, que je t'étripe ?! Ground Zero qui a lieu le 31 juillet et Thunderslam le 11 septembre, tu t'imagines quand même pas qu'on est aussi cons dans cette Corporation, si ?! Personne ne se fout de ma gueule, ici, tu le comprends, ça ?! Maintenant, tu vas m'arranger toute cette merde, c'est compris ?! Ground Zero c'est le 11 septembre, et Thunderslam le 31 juillet, t'as jusqu'à la semaine prochaine ! Au boulot !
Irwin semble assez mal en point, sa peur est palpable. Stone Cold le sent bien, et pour l'accroître, il choppe la tête de Schyster par les cheveux d'une violence incroyable, et la cogne contre la fiche du calendrier des PPV. On ne plaisante avec Steve Austin !
Le premier show vient de se terminer, le staff technique est en train de ranger l'arène, de nettoyer les tâches de bière visibles sur le ring et aux alentours. Mais là où les choses s'agitent réellement, c'est en backstages. Dans le bureau de Steve Austin, Booker T, Bill DeMott et Trish Stratus, sourire aux lèvres, apparemment heureux de cette soirée, sont assis l'un à côté de l'autre, en ligne, devant le vrai, seul et unique patron.
Stone Cold – Bon, bon, bon. Voilà, le premier show est fini, alors, je voudrai avoir votre avis avant de vous donner le mien. Bill, quelque chose à dire ?
Bill DeMott – Franchement, j'ai pas trouvé ça mal du tout. C'est même pas mal d'avoir d'aussi bons résultats en terme d'audiences, de ratings et de chiffre d'affaires pour un premier show. Après, il est un peu tôt pour juger, 'faut voir sur le long terme. Mais, je tiens à dire que je suis content de bosser avec vous.
Stone Cold – J'aime cet état d'esprit, tu ne t'emballes pas trop vite, c'est bien. Et toi, Booker ?
Booker T – Depuis la table des commentateurs, Bill et moi, on a surtout été très content de voir que les gars prennent ce projet à cœur. Ils ont l'air tous déterminés à arriver au sommet, alors, la AWC ne peut qu'être une réussite. S'ils continuent dans cet état d'esprit, on ira loin, très loin.
Stone Cold – Moi aussi, je suis content de votre état d'esprit, à tous les deux, les gars. Votre association aux commentaires a été un putain de bonheur pour les spectateurs, alors, soyez omniprésents, les gars ! Et toi, Trish ? Je suis sûr que tu as bien un avis sur ce show, non ?
Trish Stratus – Je n'ai pas grand chose à rajouter, en fait.
Stone Cold – Bon, moi, je vais vous dire ce que je pense ! Trish, il faut vraiment que tu prennes confiance en toi, bordel ! T'es quand même pas hésitante, toi, qui a passé tant de temps dans ce business ?! Et non, t'arriveras pas à me faire gober que t'as pas de personnalité ! Je t'ai connu avant, Trish, putain, je sais que c'est pas ton style de faire ça ! T'as tout pour devenir l'un des atouts charismatiques de la fédération, à commencer par le physique, alors j'aimerais bien que tu changes un peu, histoire que tu ne passes plus pour la potiche de service comme ce soir ! Parce que c'est ce que tout le monde dit sur toi !
Trish Stratus – Désolé si moi, au moins, je suis capable de me taire à certains moments, hein ! Tu veux que je m'affirme, Steve ?! Très bien, tu vas découvrir une toute nouvelle Trish !
Stone Cold – Voilà, c'est comme ça que je veux te voir à l'antenne, Trish ! Bref, maintenant, je vais vous donner mon avis sur ce show. Oui, c'était bien, oui, on a très bien démarré, ça, c'est clair et net, et j'voudrais à la fois vous remercier et vous en féliciter ! Mais, comme l'a dit Bill, on ne doit pas se relâcher ! C'est maintenant que tout se complique, okay ?! Maintenant, le truc, c'est de tenir, de conserver la qualité du travail qui a fait le succès de ce show, compris ?
Booker T – T'inquiète pas, Steve ! On tiendra, et lors de Ground Zero, on produira quelque chose de très grand, de très fort ! Au fait... à propos de Ground Zero, vous trouvez pas qu'il y a quelque chose qui cloche au niveau de la date ?
Stone Cold – Y a rien de bizarre, Ground Zero aura lieu le 31 juillet, comme c'est marqué sur mes fiches, tu te fais des idées !
Trish Stratus – Sauf que je crois me souvenir que lors de la réunion au cours de laquelle on a décidé du calendrier, on avait convenu que la date adéquate pour Ground Zero, c'était le 11 septembre... Le 11 septembre... Avec l'armistice.
Bill DeMott – Si on a fait une boulette aussi grosse, pour moi, c'est pas à cause de nous. On a dû se faire enfler, voilà ! Steve, qui c'est qui s'occupe des fiches, normalement ?
Steve Austin se dirige vers l'interphone, avant de reprendre la parole, furax.
Stone Cold – Irw-... oh putain c'est pas vrai. Mais c'est pas vrai, bordel ! Cet enculé nous a quand même doublé, si ?! Il va m'entendre, ce fils de pute, il va m'entendre ! Je vais lui botter le cul ! Que le comptable vienne dans mon bureau, j'ai deux mots à lui dire !
Un homme entre, tête baissée, dans le bureau. Steve le choppe par le col, le pousse violemment sur le bureau, si bien tombe allongé dessus. Bill, T et Trish se rapprochent, et aperçoivent...
Stone Cold – Irwin R. Schyster, ouais ! Espèce d'enculé ! Voici le responsable de toute cette merde ! Alors, qu'est-ce que t'as trafiqué dans les fiches, fils de pute ?
Irwin R. Schyster – Mais, il y a aucun souci ! Ground Zero a été programmé comme ayant lieu le 31 juillet, et c'est comme ça que ça aura lieu. Je ne comprends pas, vraiment pas...
Stone Cold – Tu oses te foutre de ma gueule ? Tu oses ? Tu veux quoi, que je t'étripe ?! Ground Zero qui a lieu le 31 juillet et Thunderslam le 11 septembre, tu t'imagines quand même pas qu'on est aussi cons dans cette Corporation, si ?! Personne ne se fout de ma gueule, ici, tu le comprends, ça ?! Maintenant, tu vas m'arranger toute cette merde, c'est compris ?! Ground Zero c'est le 11 septembre, et Thunderslam le 31 juillet, t'as jusqu'à la semaine prochaine ! Au boulot !
Irwin semble assez mal en point, sa peur est palpable. Stone Cold le sent bien, et pour l'accroître, il choppe la tête de Schyster par les cheveux d'une violence incroyable, et la cogne contre la fiche du calendrier des PPV. On ne plaisante avec Steve Austin !
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #2.
IT WAS LAST WEEK.
...
ATTITUDE NUMBER ONE, LIVE FROM VICTORIA, TX.
Une nouvelle aventure, de nouvelles Attitudes, des égos, des envies, mais un seul boss : Stone Cold Steve Austin.
Jeff Hardy se fait cambrioler en direct alors qu'il est sur le ring. Perturbé, il se fait battre par un imitateur, Matt Haasdy.
Quand l'élève rencontre le maitre, le respect et la dignité est présente, mais rien ne remplace une victoire, et Shelton Benjamin l'a bien comprit en battant Kurt Angle.
Il le promet, avec l'aide d'Allah, il va transformer Attitude en Jihad. Nous sommes prévenus, Abdallah Tarver n'est pas là en vacances.
Les Dudleyz réclament un titre par équipes, et l'auront seulement s'ils trouvent des adversaires lors du Pay Per View. Et si c'était les Colons, qui les ont battu à la loyal ?
Paul Bearer l'annonce : L'enfant du Diable est de retour et l'Undertaker prend l'avantage sur son frère dans l'affrontement entre les deux colosses. Le Phenom marque un grand coup ce premier Attitude.
John Cena remporte le tout premier Main-Event d'Attitude et par la même, une chance pour le titre Attitude lors du Pay Per View.
Attitude is Attitude, and that's the bottom line 'cause Stone Cold said so !
AND NOW, ATTITUDE CONTINUES
...
THIS IS ATTITUDE NUMBER TWO LIVE FROM MEMPHIS, TN.
...
ATTITUDE NUMBER ONE, LIVE FROM VICTORIA, TX.
Une nouvelle aventure, de nouvelles Attitudes, des égos, des envies, mais un seul boss : Stone Cold Steve Austin.
Jeff Hardy se fait cambrioler en direct alors qu'il est sur le ring. Perturbé, il se fait battre par un imitateur, Matt Haasdy.
Quand l'élève rencontre le maitre, le respect et la dignité est présente, mais rien ne remplace une victoire, et Shelton Benjamin l'a bien comprit en battant Kurt Angle.
Il le promet, avec l'aide d'Allah, il va transformer Attitude en Jihad. Nous sommes prévenus, Abdallah Tarver n'est pas là en vacances.
Les Dudleyz réclament un titre par équipes, et l'auront seulement s'ils trouvent des adversaires lors du Pay Per View. Et si c'était les Colons, qui les ont battu à la loyal ?
Paul Bearer l'annonce : L'enfant du Diable est de retour et l'Undertaker prend l'avantage sur son frère dans l'affrontement entre les deux colosses. Le Phenom marque un grand coup ce premier Attitude.
John Cena remporte le tout premier Main-Event d'Attitude et par la même, une chance pour le titre Attitude lors du Pay Per View.
Attitude is Attitude, and that's the bottom line 'cause Stone Cold said so !
AND NOW, ATTITUDE CONTINUES
...
THIS IS ATTITUDE NUMBER TWO LIVE FROM MEMPHIS, TN.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #2.
ATTITUDE WRESTLING CORPORATION.
IT'S TIME TO CHOOSE THE RIGHT ATTITUDE.
« GIVE ME A HELL YEAH ! »
UNLEASH HELL.
« YOU LITTLE SUMBITCH ! »
AUSTIN 3:16 JUST WHOOPED YOUR ASS.
« WHAT ? »
THIS IS A NEW WRESTLING ERA.
« WHAT ? »
HOSTED BY THE TEXAS RATTLESNAKE, BEER DRINKER...
« THE TOUGHEST SUMBITCH OF WRESTLING HISTORY ! »
STONE COLD STEVE AUSTIN !
« OH HELL YEAH ! »
ARRIVE, RAISE HELL, LEAVE.
« WHAT ? »
THIS IS NOW...
« AND THAT'S THE BOTTOM LINE... »
THIS... IS... ATTITUDE !
« CAUSE STONE COLD SAID SO ! »
IT'S TIME TO CHOOSE THE RIGHT ATTITUDE.
« GIVE ME A HELL YEAH ! »
UNLEASH HELL.
« YOU LITTLE SUMBITCH ! »
AUSTIN 3:16 JUST WHOOPED YOUR ASS.
« WHAT ? »
THIS IS A NEW WRESTLING ERA.
« WHAT ? »
HOSTED BY THE TEXAS RATTLESNAKE, BEER DRINKER...
« THE TOUGHEST SUMBITCH OF WRESTLING HISTORY ! »
STONE COLD STEVE AUSTIN !
« OH HELL YEAH ! »
ARRIVE, RAISE HELL, LEAVE.
« WHAT ? »
THIS IS NOW...
« AND THAT'S THE BOTTOM LINE... »
THIS... IS... ATTITUDE !
« CAUSE STONE COLD SAID SO ! »
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
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Attitude : 3:16
Re: Attitude #2.
Le premier show semble une réussite pour tout le monde dans son ensemble et ça, pour les fans de Wrestling, d'e-federation ou tout simplement pour la Corporation, c'est une bonne nouvelle. Mais pas le temps de se reposer, à peine une semaine après le premier show, on remet le couvert pour la seconde édition d'Attitude, en direct de Memphis, Tennessee.
Je vous épargnerai la référence à Johnny Hallyday, parce que Johnny, comparé à Stone Cold, c'est un looser. Mais pour en revenir à Memphis, cette petite ville vibrera ce soir au son des coups et à l'odeur de la sueur pour une fois dans l'année, en attendant peut être de retrouver, fin octobre, les héros de la balle orange, mais c'est pas gagné. D'ailleurs, pour manifester leur mécontentement, plusieurs personnes sont venus avec des maillots des Grizzlies. Maillots qui sont aussitôt remplacés par des t-shirts à l'effigie de Stone Cold dès que l'on franchit les passages de sécurité. D'ailleurs, il y en a un qui, à l'entrée, tente de se faire son business. Le Honky Tonk Man, grand [s]rockeur, lutteur[/s] des années 80 tente de distribuer des tracts à l'entrée pour son concert privé qui aura lieu juste après Attitude. Dis donc, on essaierait pas de se faire sa pub sur le dos des autres, par hasard ? Attendez, le Honky Tonk Man s'arrête brusquement, il se tourne en direction de l'arena, il peut entendre le vacarme qui y règne.
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Les fans sont en place, prêt à assister à un second numéro explosif d'Attitude. Et, une fois encore, le nom du créateur, du plus grand, de la star, de leur héros est scandé. Ils le veulent, ils veulent entendre ce bris de glace, et se lever comme si c'était le plus beau spectacle qu'ils aient jamais vu. Ils veulent Stone Cold et, une fois encore, les pancartes "3:16", "Beer Drinker" et "Fuck Fear" sont présentes en nombre. Oh, regardez, au loin, il y en a un qui a fait fort ! Il s'est déguisé en Stone Cold, barbe, crâne rasé, chaise autour du cou, budweiser en main et... Ah non, c'est juste Fabien Barthez. Heureusement qu'à côté de lui, on a le droit à quelques pancartes en l'honneur de la délicieuse Trish Stratus "Trish, gimme some Stratusfaction", elle n'y manquera pas. Cependant, notre attention est attirée par une pancarte un peu étrange.
Oui, n'y aurait-il pas une allusion subtile au fait qu'on ait eu un souci de calendrier ? Ce fan aurait-il été prévenu en avance ? Aurait-on des fuites à l'AWC ? Faut-il abaisser la moyenne du BAC à neuf ? On s'en fout, parce qu'en backstages, ça s'agite. Stone Cold recompte le nombre de packs de bières disponibles, Christian assiste à un Peep Show, John Cena ne sait pas s'il doit choisir un t-shirt vert, un t-shirt violet ou un t-shirt rouge, et l'Undertaker est en train de se maquiller les yeux... Brisons pas le kayfabe, malheureux ! Revenons au ring où les fans ont, pour se chauffer, le droit et la chance d'assister à deux matchs. Le tout premier combat a vu la victoire de R-Truth sur CM Punk et Edge en effectuant le pinfall sur la Rated R Superstar, visiblement pas au top de sa forme. Enfin, dans le second combat de la soirée, la traditionnelle IBR a vu naitre un spectacle de toute beauté, salué par les applaudissements des fans. En effet, ce combat ayant vu la victoire de Shawn Michaels a aussi vu le retour du Rock qui a d'ailleurs éliminé The Miz et Dolph Ziggler alors que dans le même temps, D'Angelo Dinero se faisait éliminer par Low-Ki qui se faisait lui-même éliminer par Rey Misterio Jr. Le final three nous a offert un incroyable spectacle mais le 619 de Misterio puis le Sweet Chin Music du HeartBreak Kid ont eu raison du Rock et un peu plus tard d'un vaillant Misterio.
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Bien sûr qu'on en a rien à foutre des dark-matchs, nous ce qu'on veut, c'est le voir, lui, le seul, l'unique, notre héros à tous. Attendez, qu'est-ce que vous dites ? Il est ici, il est prêt à venir ? Oh mon Dieu, c'est l'heure, c'est le grand moment, scandez son nom !
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Les pieds frappent le sol, les mains tapent sur ce qu'elles peuvent, on attend le King. Non, pas LeBron James, lui il traine à South-Beach. Je ne parle pas non plus du Cantona, lui il est coincé quelque part à faire des métaphores sur les mouettes. Vous l'aurez tous comprit, c'est bien de lui que je parle, nous sommes à Memphis, nous sommes chez lui, chez le King, il n'est pas mort, non, et il nous fait l'honneur d'être ici ce soir !
Vous vous attendiez à quoi ?
Jerry Lawler – Memphis, Tennessee, I love you !
Ce que l'on ne vous dit pas, c'est que Jerry était déjà là depuis cinq minutes pour promouvoir sa compagnie de lutte à Memphis. Oui, avec l'Attitude Wrestling Corporation, on laisse même les petites entreprises locales se développer. Mais assez de blabla inutile, parlons vraiment.
Booker T – Welcome everybody to Attitude !
Bill DeMott – Salut à tous, content de vous retrouver pour Attitude. Ce soir encore, j'espère que ça sera explosif et que ça va se foutre sur la gueule.
Booker T – C'est ce que l'on espère tous, Bill. Pour ma part, j'espère que ce numéro deux sera encore meilleur que le premier, et surtout que l'on va y voir un peu plus clair pour le title picture, qu'est-ce que tu en penses Bill ?
Bill DeMott – On peut déjà rappeler une chose : John Cena a remporté le Main-Event la semaine dernière face à CM Punk et a été nommé par Stone Cold comme le premier participant à ce match de championnat lors du premier Pay Per View qui aura lieu le 31 juillet, Thunderslam.
Booker T – Ce soir devrait être une soirée importante pour beaucoup de monde car je suis presque sûr que l'on connaitra le nom de l'adversaire de Cena avant la fin de ce show.
Bill DeMott – L'Undertaker et Christian Cage sont les favoris pour affronter Cena, à moins que Stone Cold ne nous sorte une surprise avec, par exemple, Shelton Benjamin.
Booker T – Ou alors, peut-être qu'il y aura deux challengers, ou même trois. Beaucoup de questions, peu de réponses, il est maintenant le moment de se taire et de regarder Attitude, deuxième du nom, pour trouver nos réponses.
Allez, c'est reparti pour un tour.
Je vous épargnerai la référence à Johnny Hallyday, parce que Johnny, comparé à Stone Cold, c'est un looser. Mais pour en revenir à Memphis, cette petite ville vibrera ce soir au son des coups et à l'odeur de la sueur pour une fois dans l'année, en attendant peut être de retrouver, fin octobre, les héros de la balle orange, mais c'est pas gagné. D'ailleurs, pour manifester leur mécontentement, plusieurs personnes sont venus avec des maillots des Grizzlies. Maillots qui sont aussitôt remplacés par des t-shirts à l'effigie de Stone Cold dès que l'on franchit les passages de sécurité. D'ailleurs, il y en a un qui, à l'entrée, tente de se faire son business. Le Honky Tonk Man, grand [s]rockeur, lutteur[/s] des années 80 tente de distribuer des tracts à l'entrée pour son concert privé qui aura lieu juste après Attitude. Dis donc, on essaierait pas de se faire sa pub sur le dos des autres, par hasard ? Attendez, le Honky Tonk Man s'arrête brusquement, il se tourne en direction de l'arena, il peut entendre le vacarme qui y règne.
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Les fans sont en place, prêt à assister à un second numéro explosif d'Attitude. Et, une fois encore, le nom du créateur, du plus grand, de la star, de leur héros est scandé. Ils le veulent, ils veulent entendre ce bris de glace, et se lever comme si c'était le plus beau spectacle qu'ils aient jamais vu. Ils veulent Stone Cold et, une fois encore, les pancartes "3:16", "Beer Drinker" et "Fuck Fear" sont présentes en nombre. Oh, regardez, au loin, il y en a un qui a fait fort ! Il s'est déguisé en Stone Cold, barbe, crâne rasé, chaise autour du cou, budweiser en main et... Ah non, c'est juste Fabien Barthez. Heureusement qu'à côté de lui, on a le droit à quelques pancartes en l'honneur de la délicieuse Trish Stratus "Trish, gimme some Stratusfaction", elle n'y manquera pas. Cependant, notre attention est attirée par une pancarte un peu étrange.
Oui, n'y aurait-il pas une allusion subtile au fait qu'on ait eu un souci de calendrier ? Ce fan aurait-il été prévenu en avance ? Aurait-on des fuites à l'AWC ? Faut-il abaisser la moyenne du BAC à neuf ? On s'en fout, parce qu'en backstages, ça s'agite. Stone Cold recompte le nombre de packs de bières disponibles, Christian assiste à un Peep Show, John Cena ne sait pas s'il doit choisir un t-shirt vert, un t-shirt violet ou un t-shirt rouge, et l'Undertaker est en train de se maquiller les yeux... Brisons pas le kayfabe, malheureux ! Revenons au ring où les fans ont, pour se chauffer, le droit et la chance d'assister à deux matchs. Le tout premier combat a vu la victoire de R-Truth sur CM Punk et Edge en effectuant le pinfall sur la Rated R Superstar, visiblement pas au top de sa forme. Enfin, dans le second combat de la soirée, la traditionnelle IBR a vu naitre un spectacle de toute beauté, salué par les applaudissements des fans. En effet, ce combat ayant vu la victoire de Shawn Michaels a aussi vu le retour du Rock qui a d'ailleurs éliminé The Miz et Dolph Ziggler alors que dans le même temps, D'Angelo Dinero se faisait éliminer par Low-Ki qui se faisait lui-même éliminer par Rey Misterio Jr. Le final three nous a offert un incroyable spectacle mais le 619 de Misterio puis le Sweet Chin Music du HeartBreak Kid ont eu raison du Rock et un peu plus tard d'un vaillant Misterio.
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Bien sûr qu'on en a rien à foutre des dark-matchs, nous ce qu'on veut, c'est le voir, lui, le seul, l'unique, notre héros à tous. Attendez, qu'est-ce que vous dites ? Il est ici, il est prêt à venir ? Oh mon Dieu, c'est l'heure, c'est le grand moment, scandez son nom !
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Les pieds frappent le sol, les mains tapent sur ce qu'elles peuvent, on attend le King. Non, pas LeBron James, lui il traine à South-Beach. Je ne parle pas non plus du Cantona, lui il est coincé quelque part à faire des métaphores sur les mouettes. Vous l'aurez tous comprit, c'est bien de lui que je parle, nous sommes à Memphis, nous sommes chez lui, chez le King, il n'est pas mort, non, et il nous fait l'honneur d'être ici ce soir !
Vous vous attendiez à quoi ?
Jerry Lawler – Memphis, Tennessee, I love you !
Ce que l'on ne vous dit pas, c'est que Jerry était déjà là depuis cinq minutes pour promouvoir sa compagnie de lutte à Memphis. Oui, avec l'Attitude Wrestling Corporation, on laisse même les petites entreprises locales se développer. Mais assez de blabla inutile, parlons vraiment.
Booker T – Welcome everybody to Attitude !
Bill DeMott – Salut à tous, content de vous retrouver pour Attitude. Ce soir encore, j'espère que ça sera explosif et que ça va se foutre sur la gueule.
Booker T – C'est ce que l'on espère tous, Bill. Pour ma part, j'espère que ce numéro deux sera encore meilleur que le premier, et surtout que l'on va y voir un peu plus clair pour le title picture, qu'est-ce que tu en penses Bill ?
Bill DeMott – On peut déjà rappeler une chose : John Cena a remporté le Main-Event la semaine dernière face à CM Punk et a été nommé par Stone Cold comme le premier participant à ce match de championnat lors du premier Pay Per View qui aura lieu le 31 juillet, Thunderslam.
Booker T – Ce soir devrait être une soirée importante pour beaucoup de monde car je suis presque sûr que l'on connaitra le nom de l'adversaire de Cena avant la fin de ce show.
Bill DeMott – L'Undertaker et Christian Cage sont les favoris pour affronter Cena, à moins que Stone Cold ne nous sorte une surprise avec, par exemple, Shelton Benjamin.
Booker T – Ou alors, peut-être qu'il y aura deux challengers, ou même trois. Beaucoup de questions, peu de réponses, il est maintenant le moment de se taire et de regarder Attitude, deuxième du nom, pour trouver nos réponses.
Allez, c'est reparti pour un tour.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
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Attitude : 3:16
Re: Attitude #2.
Attitude #2 est maintenant commencé, tout les monde est installé, il n'en faut pas plus pour qu'un premier catcheur face son apparition dans le FedExForum.
Comme d'habitude maintenant depuis quelques temps, The Champ est acclamé par la moitié du public et sifflet par le reste mais quoi qu'on en dise, ne laisse pas indifférent. C'est le sourire jusqu'aux oreilles qu'il se dirige vers le ring, s'amuse avec les spectateurs puis s'empare d'un micro que lui tend aimablement un des techniciens de l'AWC.
John Cena – Est-ce que Memphis va bien ce soir ?
« YESSSSS ! »
John Cena – Fine, fine. C'est ce qu'il faut puisque ce soir vous allez avoir droit au deuxième show de l'Attitude Wrestling Corporation mais, avant qu'il ne commence réellement, je vais revenir sur ce qui s'est passé la semaine dernière. Chacun ici sait ce qui c'est passé la semaine dernière. A Attitude one, alors que je venais de battre CM Sucks, Stone Cold Steve Austin m'a rejoint sur le ring pour m'annoncer que je serai l'un des participants du match pour l'Attitude Championship à Thunderslam, ou Ground Zero, je ne sais plus mais une chose est sûre, c'est que j'y serai. Suite à ça nous avons trinqué à la santé de la réussite qu'à été ce premier show et, finalement, alors qui n'agissait plus de se battre et que j'avais relâché mon attention, je me suis pris un stunner.
« HELL YEAH ! »
John Cena – So, you're right Steve. Je ne m'étais pas rendu compte à quel point tu pouvais être un bad boy, encore à ton age. C'est pour moi. Maintenant je le sais et sois sûr que je ne ferai plus cette erreur. D'ailleurs je doute que toi même tu sois tenté de le refaire lorsque tu verras la facture de mon dentiste débarqué sur ton bureau, disons que ses honoraires se chiffre à quelques zéros, mais ce n'est pas ce qui m'amène, non. Si je suis ici, maintenant, c'est pour connaitre la réponse à la question que tout le wrestling univers se pose depuis maintenant une semaine. Tu as su garder son identité sous silence, les petites news disponible sur attitudewrestling.com ont laissé entendre quelques possibilités mais il n'y a eu aucune fuite, il est l'heure. Qui m'affrontera dans ce match pour devenir l'Attitude Champion ? Tout le monde t'attend, on veut savoir. Je veux savoir.
Cena reste au entre du ring en scrutant la rampe d'accès, tout comme l'intégralité des personnes présentes dans la salle, mais aucune trace du Rattlesnake à l'horizon.
John Cena – Vraiment pas ?
Décidément, il n'en faut pas beaucoup pour convaincre le patron de l'AWC de se rendre sur son ring. Les foule est debout lorsqu'il fait son apparition, l'air plus dur que la semaine dernière, mais toujours aussi en proie à retourner le public. Cette semaine son rituel se limitera à une droite mise au ringsider qui a eu la mauvaise idée de refuser de lui tendre son gobelet de bière acheté 10$ au stand. Il monte alors sur le ring, ce qui ne fait pas même frémir John.
Stone Cold – What ?
John Cena – Je sais que...
Stone Cold – What ?
John Cena – Pas de ça...
Stone Cold – What ? Tu dis avoir compris ton erreur, pourtant t'as les deux pieds dans la glaise kid. Premièrement, on ne convoque pas Stone Cold sur son ring, Stone Cold y vient seulement s'il en a envie et tu as de la chance que ce soit le cas sinon le scenario aurait été le même que la semaine dernière pour toi. Deuxièmement, on ne pleurniche et on ne réclame rien à Stone Cold, c'est pas la croix rouge ici. Ceci dit t'as touché juste en parlant de ton adversaire et c'est la bonne attitude que de te le donner dès maintenant afin de vous laissez le temps vous mettre sur la gueule jusqu'à Thunderslam, non pas Ground Zero. C'est pourquoi je veux un putain de hell yeah si vous aussi vous voulez le connaitre !
« HELL YEAAAAAAH ! »
John Cena – Dis nous tout.
Stone Cold – Je crois que t'as besoin qu'on te remette les idées en place et qu'on te sorte du petit monde merveilleux et gerbant dans lequel tu es, c'est pour ça que j'ai décidé que celui que tu affronteras est the Undertaker !
« OUH ! »
??? – Hold on a second !
Memphis a à peine eu le temps de réagir à l'annonce de Stone Cold et Cena n'a pas encore encaissé la nouvelle que Christian débarque, visiblement très énervé.
Christian – Are you kidding me ? Je peux savoir ce qui t'est passé par la tête ? Tu as devant toi le choix parfait, le catcheur idéal pour ta fédération et tu ne lui donnes pas sa chance ? Tous mes peeps te le diront, je suis le meilleur. La semaine dernière je me suis présenté le premier pour prétendre à cette ceinture, le premier. Plus tard dans la soirée j'ai remporté le premier match que j'ai eu ici, le premier. Qu'est-ce qu'il te faut de plus pour comprendre que c'est moi qui doit affronter Cena à Thunderslam ? Je suis le contender de premier choix, et si tu ne le savais pas, maintenant tu le sais. Agis en conséquence.
Stone Cold sourit en regardant Christian se congratuler et lorsqu'il lève la main c'est pour présenter son majeur, rien de plus.
Christian – Je suis le futur de ta fédération, tu regretteras de ne pas avoir misé sur moi.
Stone Cold – Avant de parlé de l'avenir tu ferais bien de surveiller tes arrières.
Christian n'a pas le temps de réagir qu'il est déjà sur le dos de Cena.
AA sur le Captain Charisma qui s'écrase comme une merde au sol. Cena profite quelques instants avant de quitter l'arène sous son theme song. Stone Cold, lui, est partie chercher quelques bières mais remonte bien sur le ring histoire d'en vider une sur l'instant classic toujours au sol.
Stone Cold – Ca tombe bien que tu sois là finalement, puisque ton match c'est right here, right now. Good luck, bitch.
Christian vs. Jeff Hardy, next !
Comme d'habitude maintenant depuis quelques temps, The Champ est acclamé par la moitié du public et sifflet par le reste mais quoi qu'on en dise, ne laisse pas indifférent. C'est le sourire jusqu'aux oreilles qu'il se dirige vers le ring, s'amuse avec les spectateurs puis s'empare d'un micro que lui tend aimablement un des techniciens de l'AWC.
John Cena – Est-ce que Memphis va bien ce soir ?
« YESSSSS ! »
John Cena – Fine, fine. C'est ce qu'il faut puisque ce soir vous allez avoir droit au deuxième show de l'Attitude Wrestling Corporation mais, avant qu'il ne commence réellement, je vais revenir sur ce qui s'est passé la semaine dernière. Chacun ici sait ce qui c'est passé la semaine dernière. A Attitude one, alors que je venais de battre CM Sucks, Stone Cold Steve Austin m'a rejoint sur le ring pour m'annoncer que je serai l'un des participants du match pour l'Attitude Championship à Thunderslam, ou Ground Zero, je ne sais plus mais une chose est sûre, c'est que j'y serai. Suite à ça nous avons trinqué à la santé de la réussite qu'à été ce premier show et, finalement, alors qui n'agissait plus de se battre et que j'avais relâché mon attention, je me suis pris un stunner.
« HELL YEAH ! »
John Cena – So, you're right Steve. Je ne m'étais pas rendu compte à quel point tu pouvais être un bad boy, encore à ton age. C'est pour moi. Maintenant je le sais et sois sûr que je ne ferai plus cette erreur. D'ailleurs je doute que toi même tu sois tenté de le refaire lorsque tu verras la facture de mon dentiste débarqué sur ton bureau, disons que ses honoraires se chiffre à quelques zéros, mais ce n'est pas ce qui m'amène, non. Si je suis ici, maintenant, c'est pour connaitre la réponse à la question que tout le wrestling univers se pose depuis maintenant une semaine. Tu as su garder son identité sous silence, les petites news disponible sur attitudewrestling.com ont laissé entendre quelques possibilités mais il n'y a eu aucune fuite, il est l'heure. Qui m'affrontera dans ce match pour devenir l'Attitude Champion ? Tout le monde t'attend, on veut savoir. Je veux savoir.
Cena reste au entre du ring en scrutant la rampe d'accès, tout comme l'intégralité des personnes présentes dans la salle, mais aucune trace du Rattlesnake à l'horizon.
John Cena – Vraiment pas ?
Décidément, il n'en faut pas beaucoup pour convaincre le patron de l'AWC de se rendre sur son ring. Les foule est debout lorsqu'il fait son apparition, l'air plus dur que la semaine dernière, mais toujours aussi en proie à retourner le public. Cette semaine son rituel se limitera à une droite mise au ringsider qui a eu la mauvaise idée de refuser de lui tendre son gobelet de bière acheté 10$ au stand. Il monte alors sur le ring, ce qui ne fait pas même frémir John.
Stone Cold – What ?
John Cena – Je sais que...
Stone Cold – What ?
John Cena – Pas de ça...
Stone Cold – What ? Tu dis avoir compris ton erreur, pourtant t'as les deux pieds dans la glaise kid. Premièrement, on ne convoque pas Stone Cold sur son ring, Stone Cold y vient seulement s'il en a envie et tu as de la chance que ce soit le cas sinon le scenario aurait été le même que la semaine dernière pour toi. Deuxièmement, on ne pleurniche et on ne réclame rien à Stone Cold, c'est pas la croix rouge ici. Ceci dit t'as touché juste en parlant de ton adversaire et c'est la bonne attitude que de te le donner dès maintenant afin de vous laissez le temps vous mettre sur la gueule jusqu'à Thunderslam, non pas Ground Zero. C'est pourquoi je veux un putain de hell yeah si vous aussi vous voulez le connaitre !
« HELL YEAAAAAAH ! »
John Cena – Dis nous tout.
Stone Cold – Je crois que t'as besoin qu'on te remette les idées en place et qu'on te sorte du petit monde merveilleux et gerbant dans lequel tu es, c'est pour ça que j'ai décidé que celui que tu affronteras est the Undertaker !
« OUH ! »
??? – Hold on a second !
Memphis a à peine eu le temps de réagir à l'annonce de Stone Cold et Cena n'a pas encore encaissé la nouvelle que Christian débarque, visiblement très énervé.
Christian – Are you kidding me ? Je peux savoir ce qui t'est passé par la tête ? Tu as devant toi le choix parfait, le catcheur idéal pour ta fédération et tu ne lui donnes pas sa chance ? Tous mes peeps te le diront, je suis le meilleur. La semaine dernière je me suis présenté le premier pour prétendre à cette ceinture, le premier. Plus tard dans la soirée j'ai remporté le premier match que j'ai eu ici, le premier. Qu'est-ce qu'il te faut de plus pour comprendre que c'est moi qui doit affronter Cena à Thunderslam ? Je suis le contender de premier choix, et si tu ne le savais pas, maintenant tu le sais. Agis en conséquence.
Stone Cold sourit en regardant Christian se congratuler et lorsqu'il lève la main c'est pour présenter son majeur, rien de plus.
Christian – Je suis le futur de ta fédération, tu regretteras de ne pas avoir misé sur moi.
Stone Cold – Avant de parlé de l'avenir tu ferais bien de surveiller tes arrières.
Christian n'a pas le temps de réagir qu'il est déjà sur le dos de Cena.
AA sur le Captain Charisma qui s'écrase comme une merde au sol. Cena profite quelques instants avant de quitter l'arène sous son theme song. Stone Cold, lui, est partie chercher quelques bières mais remonte bien sur le ring histoire d'en vider une sur l'instant classic toujours au sol.
Stone Cold – Ca tombe bien que tu sois là finalement, puisque ton match c'est right here, right now. Good luck, bitch.
Christian vs. Jeff Hardy, next !
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Re: Attitude #2.
Christian Cage est toujours sur le ring, il attend à présent son adversaire de la soirée, Jeff Hardy. Heureusement, il n'aura à attendre que quelques infimes instants, puisque celui-ci fait très vite son apparition, sous d'impressionnants jeux de lumières et son theme song
Booker T – Christian semble à la fois enragé, froid, et impatient. Pense-tu, Bill, que ça aura de l'influence sur le combat ? Pense-tu que malgré tout, Cage a une chance face à Hardy ?
Bill DeMott – D'un côté, tu as Hardy, qui est au top de sa forme, à 100% de ses capacités, et de l'autre, il y a Cage, qui, même affaibli, a encore sa haine et sa colère qui le rendent plus fort. Le match sera sûrement très équilibré, mais... Wait and see !
» FIGHT ! «
Malgré le gros contraste entre l'état physique des deux hommes, la colère que Christian emploie durant le combat rend le combat bien plus équitable. Toutefois, en début de match, c'est Jeff Hardy qui possède la main mise sur le combat. Il enchaîne avec une rapidité hors du commun des moves acrobatiques qui ne laissent pas une seconde de répit à son adversaire qui se retrouve vite dépassé. Ce n'est que lorsqu'il esquive de justesse une Diving Leg Drop portée par le cadet des Hardy's que Christian parvient à revenir dans le match. En seulement trente secondes, le combat va même jusqu'à totalement changer de physionomie puisque c'est au tour de l'Instant Classic de maîtriser l'affrontement. C'est alors presque un passage à tabac qui démarre pour le pauvre Jeff. Celui-ci voit, impuissant, son adversaire lui porter prise sur prises, telles que le Flapjack, des DDTs, ou encore des enchaînements, tels que celui du Pendulum Kick suivi d'un Splash ! Le combat est plié, et Double C n'a plus qu'à conclure. Il projette Jeffrey dans les cordes, le reçoit avec un kick dans l'estomac, avant d'enchaîner rapidement avec son Killswitch pour la victoire !
Booker T – Une victoire logique de la part de Christian Cage, il n'y a rien d'autre à ajouter. Une très belle performance, voilà tout.
Bill DeMott – Je suis tout à fait d'accord, il a fait preuve de beaucoup de sang froid en renversant le combat et a su le contrôler ensuite.
Victoire de Christian qui ne prend même pas le temps de fêter sa victoire, et qui repart d'emblée en backstages, le regard noir de colère et de hargne, laissant Hardy seul sur le ring.
Booker T – Christian semble à la fois enragé, froid, et impatient. Pense-tu, Bill, que ça aura de l'influence sur le combat ? Pense-tu que malgré tout, Cage a une chance face à Hardy ?
Bill DeMott – D'un côté, tu as Hardy, qui est au top de sa forme, à 100% de ses capacités, et de l'autre, il y a Cage, qui, même affaibli, a encore sa haine et sa colère qui le rendent plus fort. Le match sera sûrement très équilibré, mais... Wait and see !
» FIGHT ! «
Malgré le gros contraste entre l'état physique des deux hommes, la colère que Christian emploie durant le combat rend le combat bien plus équitable. Toutefois, en début de match, c'est Jeff Hardy qui possède la main mise sur le combat. Il enchaîne avec une rapidité hors du commun des moves acrobatiques qui ne laissent pas une seconde de répit à son adversaire qui se retrouve vite dépassé. Ce n'est que lorsqu'il esquive de justesse une Diving Leg Drop portée par le cadet des Hardy's que Christian parvient à revenir dans le match. En seulement trente secondes, le combat va même jusqu'à totalement changer de physionomie puisque c'est au tour de l'Instant Classic de maîtriser l'affrontement. C'est alors presque un passage à tabac qui démarre pour le pauvre Jeff. Celui-ci voit, impuissant, son adversaire lui porter prise sur prises, telles que le Flapjack, des DDTs, ou encore des enchaînements, tels que celui du Pendulum Kick suivi d'un Splash ! Le combat est plié, et Double C n'a plus qu'à conclure. Il projette Jeffrey dans les cordes, le reçoit avec un kick dans l'estomac, avant d'enchaîner rapidement avec son Killswitch pour la victoire !
Booker T – Une victoire logique de la part de Christian Cage, il n'y a rien d'autre à ajouter. Une très belle performance, voilà tout.
Bill DeMott – Je suis tout à fait d'accord, il a fait preuve de beaucoup de sang froid en renversant le combat et a su le contrôler ensuite.
Victoire de Christian qui ne prend même pas le temps de fêter sa victoire, et qui repart d'emblée en backstages, le regard noir de colère et de hargne, laissant Hardy seul sur le ring.
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Re: Attitude #2.
Après une pause pub, nous nous retrouvons en backstages, et plus précisément à côté de la loge de Jeff Hardy. Ce dernier sort de son match face à Christian Cage. Il se tient la nuque, grimaçant de douleur, car le match fût très difficile. Alors qu’il est prêt à entrer dans sa loge, des applaudissements de se font entendre, provenant d'un peu plus loin.
??? – Bravo, Jeffrey.
Hardy tourne alors sa tête vers l’individu.
Jeff Hardy – Qu’est-ce que tu fous là, toi ?
Apparemment, Jeff ne semble pas être très heureux de voir l’individu qui se trouve prêt de lui. En effet, cet individu est assis sur une grosse caisse, il applaudit encore un peu Jeff Hardy, puis prend une nouvelle fois la parole. Cet homme ? CM Punk.
CM Punk – Je dois dire que tu m’impressionnes vraiment depuis la semaine dernière. Tes matchs sont vraiment… d’un ennuie terrible. Tu sais, je vais te dire un truc. J’aimais vraiment le moment ou nous étions en feud l’un contre l’autre à l’époque ou je t’ai sorti de la WWE. Au moins, à cette époque, tu avais un minimum de style et d’énergie. Là, c’est pathétique Jeffrey.
Jeff Hardy – Ferme-là, Punk. Je suis ici pour me battre, pour relever des challenges moi. Je ne me crois pas le meilleur, contrairement à toi.
CM Punk – Le meilleur, je ne me proclame pas le meilleur moi. Ce sont mes prouesses dans le ring qui donnent l’obligation à tous de dire que je suis le meilleur. Mais ne t’en fais pas Jeffrey, tes performances sont toutes aussi bonnes. Tu es déjà dans l’histoire de la lutte, tu es et tu resteras à vie le plus grand drogué de ce business.
A ce moment là, on peut voir le sourire sadique de Punk apparaître.
Jeff Hardy – Très drôle Punk, qu’est-ce que tu veux ?
CM Punk – Moi ? Je veux ton bien. Je sais que cela doit être dure pour toi de retomber dans l’anonymat, alors que tu as connu la gloire pendant de nombreuses années auparavant. Ce n’est pas trop dur ? Car, te connaissant, c’est le bon moment pour toi de retomber dans la facilité. Tu vois ce que je veux dire, Jeffrey ?
Jeff Hardy – Non, je ne vois pas Punk. Et si tu veux mon avis, je serais toi, je n’irais pas m’aventurer vers ce terrain là.
CM Punk fait mine de mettre sa main sur sa bouche, semblant être confus. Mais finalement, il sourit ironiquement.
CM Punk – La facilité de se sentir bien dans sa peau, tu aimes ce sentiment Jeffrey, hein. Je sais ce que tu peux ressentir dans un sens. Tu as cette impression d’être libre dans ta tête, libre dans ton corps. C’est ce que je ressens chaque jour qui se lève. I’m straight edge. Et tu vois, je n’en dirais pas autant de toi, connaissant ton passé, et vu ce qu’il doit y avoir dans ta loge.
Jeff Hardy – Quoi ?! Qu'est-ce que tu entends par là, Punk. Qu'est-ce que tu cherches à faire ? Il est clair que nous n’avons pas les mêmes valeurs.
CM Punk – Sûr.
Jeff Hardy – Que nous n’avons pas du tout le même style.
CM Punk – Sûr.
Jeff Hardy – Mais ce n’est pas pour cela que tu dois entrer dans ma vie privée. C'est clair ? Ce qui est privé, reste privé Punk.
CM Punk – Oui, bien évidemment. Mais, je suis sûr que si je pousse cette porte, je trouve des choses illicites dans cette loge.
Jeff Hardy – Comme quoi ?
CM Punk – De la coke. J’ai bien vu ton attitude en arrivant là, il y cinq minutes. Je suis sûr que tu partais pour te faire une ligne.
Jeff Hardy attrape alors Punk par le col.
Jeff Hardy – Ferme-là ! La coke et moi, c’est fini ! Tu comprends ?! Je suis clean depuis plusieurs mois, car si je ne le serais pas, Stone Cold ne m’aurait pas fait signer un contrat dans sa fédération. Mais hélas pour toi, il l’a fait. Et heureusement pour moi, car grâce à cela, je vais pouvoir te mettre mon pied au cul, comme tu le mérites !
CM Punk – Vraiment ?
Jeff Hardy – Oui, vraiment ! Mais, d’ailleurs, quand j’y pense, ça ne serait pas toi qui fouiller ma loge la semaine dernière, hein ?
CM Punk – La semaine dernière ? Je ne vois pas de quoi tu parles. J’ai autre chose à faire que de fouiller dans la loge d’un drogué. Tu es depuis toujours dans le trou Jeffrey, et crois moi, cela n'est pas prêt de changer. Je m'en fou complétement de ce que tu peux dire ou penser finalement.
Hardy le pousse alors fortement contre le mur !
Jeff Hardy – La prochaine fois que je te vois Punk, je ferais en sorte que tu ne puisses plus jamais parler de ta vie.
La haine dans les yeux, Hardy jette un dernier regard vers Punk avant d’entrer dans sa loge. CM Punk, lui, renifle un petit coup avant de remettre son t-shirt en place. Il finit par quitter le champ de la caméra laissant place à la suite du show.
??? – Bravo, Jeffrey.
Hardy tourne alors sa tête vers l’individu.
Jeff Hardy – Qu’est-ce que tu fous là, toi ?
Apparemment, Jeff ne semble pas être très heureux de voir l’individu qui se trouve prêt de lui. En effet, cet individu est assis sur une grosse caisse, il applaudit encore un peu Jeff Hardy, puis prend une nouvelle fois la parole. Cet homme ? CM Punk.
CM Punk – Je dois dire que tu m’impressionnes vraiment depuis la semaine dernière. Tes matchs sont vraiment… d’un ennuie terrible. Tu sais, je vais te dire un truc. J’aimais vraiment le moment ou nous étions en feud l’un contre l’autre à l’époque ou je t’ai sorti de la WWE. Au moins, à cette époque, tu avais un minimum de style et d’énergie. Là, c’est pathétique Jeffrey.
Jeff Hardy – Ferme-là, Punk. Je suis ici pour me battre, pour relever des challenges moi. Je ne me crois pas le meilleur, contrairement à toi.
CM Punk – Le meilleur, je ne me proclame pas le meilleur moi. Ce sont mes prouesses dans le ring qui donnent l’obligation à tous de dire que je suis le meilleur. Mais ne t’en fais pas Jeffrey, tes performances sont toutes aussi bonnes. Tu es déjà dans l’histoire de la lutte, tu es et tu resteras à vie le plus grand drogué de ce business.
A ce moment là, on peut voir le sourire sadique de Punk apparaître.
Jeff Hardy – Très drôle Punk, qu’est-ce que tu veux ?
CM Punk – Moi ? Je veux ton bien. Je sais que cela doit être dure pour toi de retomber dans l’anonymat, alors que tu as connu la gloire pendant de nombreuses années auparavant. Ce n’est pas trop dur ? Car, te connaissant, c’est le bon moment pour toi de retomber dans la facilité. Tu vois ce que je veux dire, Jeffrey ?
Jeff Hardy – Non, je ne vois pas Punk. Et si tu veux mon avis, je serais toi, je n’irais pas m’aventurer vers ce terrain là.
CM Punk fait mine de mettre sa main sur sa bouche, semblant être confus. Mais finalement, il sourit ironiquement.
CM Punk – La facilité de se sentir bien dans sa peau, tu aimes ce sentiment Jeffrey, hein. Je sais ce que tu peux ressentir dans un sens. Tu as cette impression d’être libre dans ta tête, libre dans ton corps. C’est ce que je ressens chaque jour qui se lève. I’m straight edge. Et tu vois, je n’en dirais pas autant de toi, connaissant ton passé, et vu ce qu’il doit y avoir dans ta loge.
Jeff Hardy – Quoi ?! Qu'est-ce que tu entends par là, Punk. Qu'est-ce que tu cherches à faire ? Il est clair que nous n’avons pas les mêmes valeurs.
CM Punk – Sûr.
Jeff Hardy – Que nous n’avons pas du tout le même style.
CM Punk – Sûr.
Jeff Hardy – Mais ce n’est pas pour cela que tu dois entrer dans ma vie privée. C'est clair ? Ce qui est privé, reste privé Punk.
CM Punk – Oui, bien évidemment. Mais, je suis sûr que si je pousse cette porte, je trouve des choses illicites dans cette loge.
Jeff Hardy – Comme quoi ?
CM Punk – De la coke. J’ai bien vu ton attitude en arrivant là, il y cinq minutes. Je suis sûr que tu partais pour te faire une ligne.
Jeff Hardy attrape alors Punk par le col.
Jeff Hardy – Ferme-là ! La coke et moi, c’est fini ! Tu comprends ?! Je suis clean depuis plusieurs mois, car si je ne le serais pas, Stone Cold ne m’aurait pas fait signer un contrat dans sa fédération. Mais hélas pour toi, il l’a fait. Et heureusement pour moi, car grâce à cela, je vais pouvoir te mettre mon pied au cul, comme tu le mérites !
CM Punk – Vraiment ?
Jeff Hardy – Oui, vraiment ! Mais, d’ailleurs, quand j’y pense, ça ne serait pas toi qui fouiller ma loge la semaine dernière, hein ?
CM Punk – La semaine dernière ? Je ne vois pas de quoi tu parles. J’ai autre chose à faire que de fouiller dans la loge d’un drogué. Tu es depuis toujours dans le trou Jeffrey, et crois moi, cela n'est pas prêt de changer. Je m'en fou complétement de ce que tu peux dire ou penser finalement.
Hardy le pousse alors fortement contre le mur !
Jeff Hardy – La prochaine fois que je te vois Punk, je ferais en sorte que tu ne puisses plus jamais parler de ta vie.
La haine dans les yeux, Hardy jette un dernier regard vers Punk avant d’entrer dans sa loge. CM Punk, lui, renifle un petit coup avant de remettre son t-shirt en place. Il finit par quitter le champ de la caméra laissant place à la suite du show.
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Re: Attitude #2.
Bill DeMott – Abdallah Tarver va faire ses débuts télévisés après avoir remporté l’Invitational Battle Royal la semaine dernière, espérons qu'il puisse confirmer les belles promesses.
Booker T – Et il aura fort à faire car face à lui se trouvera The Big Red Monster, Kane. Après avoir perdu face à son frère l’Undertaker il voudra se racheter.
Booker T – Physiquement c’est un monstre aussi. Ce combat va être un duel vraiment très important, et il faudra trouver autre chose que la force pour battre Kane, selon moi.
Bill DeMott – Une chose est sûre, en puissance pure, Kane a l’avantage, mais Tarver a plus de mobilité. Il devra certainement se servir de cette arme s''il veut embêter son adversaire.
Bill DeMott – Bearer sera là pour l’accompagner, ça peut-être une donner du combat.
Booker T – En tout cas, Tarver le fixe dans les yeux, il ne craint pas la peur.
» FIGHT ! «
C’est parti, et directement les deux hommes vont au contact. L’essentiel du combat va ressembler à ce premier choc de face. Les deux hommes vont se rentrer droit dedans jouant de leur puissance physique. Peu de tombés seront réalisés, en effet, les deux hommes chercheront vraiment à mettre Knock-Out l’autre, tant qu’ils n’ont pas le sentiment que c’est le cas ils ne tenteront pas. Kane prendra d’abord le dessus, mais Tarver reviendra en esquivant un Corner Clothesline de son adversaire et en plaçant un Corner Splash qui sonnera le Big Red Monster. Pensant avoir fait le plus dur après avoir mit Kane à terre suite à un énorme Yakuza Kick, Abdullah Tarver ne pourra rien faire face au Come Back de son adversaire. Ce dernier se relèvera tel un zombie et encouragé par Bearer il lâchera toute son énergie dévastatrice. Tarver évitera de peur un Chokeslam mais subira quelques secondes plus tard un énorme Big Foot suivit d’une puissante Flying Clothesline. Kane est en forme mais Tarver ne s’avouera pas vaincu, à la manière de son adversaire, il placera un puissant Uppercut. Il entraînera son adversaire hors du ring pour mieux reprendre l’avantage lorsque Kane tentera de revenir dans le ring. Abdallah Tarver est décidé à en finir et il envoie Kane dans les cordes. Tarver tente son finish, The Tarver’s Lightning !! Pinfall.
Booker T – Tarver a pu saisir sa chance alors que Kane lui ne l’a pas fait.
Bill DeMott – A ce niveau là, une erreur de ce calibre se paie cash.
Booker T – Et il aura fort à faire car face à lui se trouvera The Big Red Monster, Kane. Après avoir perdu face à son frère l’Undertaker il voudra se racheter.
Booker T – Physiquement c’est un monstre aussi. Ce combat va être un duel vraiment très important, et il faudra trouver autre chose que la force pour battre Kane, selon moi.
Bill DeMott – Une chose est sûre, en puissance pure, Kane a l’avantage, mais Tarver a plus de mobilité. Il devra certainement se servir de cette arme s''il veut embêter son adversaire.
Bill DeMott – Bearer sera là pour l’accompagner, ça peut-être une donner du combat.
Booker T – En tout cas, Tarver le fixe dans les yeux, il ne craint pas la peur.
» FIGHT ! «
C’est parti, et directement les deux hommes vont au contact. L’essentiel du combat va ressembler à ce premier choc de face. Les deux hommes vont se rentrer droit dedans jouant de leur puissance physique. Peu de tombés seront réalisés, en effet, les deux hommes chercheront vraiment à mettre Knock-Out l’autre, tant qu’ils n’ont pas le sentiment que c’est le cas ils ne tenteront pas. Kane prendra d’abord le dessus, mais Tarver reviendra en esquivant un Corner Clothesline de son adversaire et en plaçant un Corner Splash qui sonnera le Big Red Monster. Pensant avoir fait le plus dur après avoir mit Kane à terre suite à un énorme Yakuza Kick, Abdullah Tarver ne pourra rien faire face au Come Back de son adversaire. Ce dernier se relèvera tel un zombie et encouragé par Bearer il lâchera toute son énergie dévastatrice. Tarver évitera de peur un Chokeslam mais subira quelques secondes plus tard un énorme Big Foot suivit d’une puissante Flying Clothesline. Kane est en forme mais Tarver ne s’avouera pas vaincu, à la manière de son adversaire, il placera un puissant Uppercut. Il entraînera son adversaire hors du ring pour mieux reprendre l’avantage lorsque Kane tentera de revenir dans le ring. Abdallah Tarver est décidé à en finir et il envoie Kane dans les cordes. Tarver tente son finish, The Tarver’s Lightning !! Pinfall.
Booker T – Tarver a pu saisir sa chance alors que Kane lui ne l’a pas fait.
Bill DeMott – A ce niveau là, une erreur de ce calibre se paie cash.
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Re: Attitude #2.
Passons à la suite du show, la caméra est dirigée vers les backstages mais ne bouge pas, nous sommes bloqués sur un gros plan d'une budweiser, surement à Stone Cold. L'image reste plusieurs secondes avant que finalement, une autre caméra ne prenne le relais, direction la cantine cette fois. On peut notamment y apercevoir les lutteurs qui ont participé à l'IBR un peu plus tôt dans la soirée qui sont venus prendre un bon repas après l'effort, mais ce n'est toujours pas ça qui nous intéresse. Une troisième caméra arrive à la rescousse et... Filme le public ? Visiblement, il y aurait quelques soucis techniques mais les fans, eux, ont bien remarqué que la caméra filmait et ça commence à s'échauffer dans les tribunes.
La jeune femme, elle aussi, a bien remarqué qu'elle était filmé. Le stade se met à siffler de tous les côtés, les hommes derrière elle se chauffent entre eux, et la jeune femme souhaite se faire remarquer et... Soulève son t-shirt ?! Mon Dieu, elle n'a pas de soutien-gorge, big boobs exposed moment ! La foule explose de joie, et l'image est sur le titantron sans que rien ni personne ne puisse y faire grand chose. La jeune femme, elle, balance sa poitrine de gauche à droite, elle fait le spectacle sous les chants des fans.
« ATTITUDE ! ATTITUDE ! ATTITUDE ! »
Ouf, finalement on change d'angle de caméra mais cette fois... On ne voit plus rien. La foule se met alors à huer les techniciens qui semblent légèrement perdu par ce qui se passe, et, encore mieux, quelques secondes plus tard, c'est le problème technique qui est décrété.
La seule chose qui peut nous faire patienter ? La voix de Booker T qui tente d'expliquer à tout le monde que ce n'est que temporaire.
Booker T – Veuillez nous excuser pour ce léger problème technique qui est indépendant de notre volonté. Nous étions censé avoir une sorte d'entrevue avec Andy Leavine mais je crains que tout ceci ne doit être remit à plus tard, nous ne sommes pour le moment pas dans les conditions pour vous retransmettre ceci. Nos techniciens font tout ce qu'ils peuvent pour rétablir la connexion le plus rapidement possible et vous et moi, suckas' que nous sommes, ne pouvons strictement rien faire. Je vous propose donc de vous rappeler en quelques mots qui je suis. I'm a six time, six time, six time, six time, six time, six time World Champion, and a five time, five time, five time, five time, five time WCW World Champion. J'ai également remporté de nombreux titres de champion du monde par équipes avec mon frère, Stevie Ray, à l'époque où lui et moi faisions équipe dans le Harlem Heat, treize pour être exact. Mais au total, j'ai remporté dans toute ma carrière près de dix-huit titres par équipes. Je suis également un ancien TNA Legend Champion, former six time WCW Television Champion, former three time WWE United States Champion, former Intercontinental Champion, two time Hardcore Champion and 2006 King of the Ring. Si ça, c'est pas de la carrière, vous ne trouverez pas un commentateur plus qualifié que moi pour vous retranscrire à la perfection ce qui se passe dans cette fédération et-...
Nouveau problème technique, le micro de Booker T est à son tour coupé, mais je pense qu'en fait c'est volontaire. Cependant, après quelques bidouillages, l'image revient et la soirée va pouvoir reprendre, mais nous avons perdu trop de temps, nous devons passer au prochain combat, encore désolé pour le souci technique.
La jeune femme, elle aussi, a bien remarqué qu'elle était filmé. Le stade se met à siffler de tous les côtés, les hommes derrière elle se chauffent entre eux, et la jeune femme souhaite se faire remarquer et... Soulève son t-shirt ?! Mon Dieu, elle n'a pas de soutien-gorge, big boobs exposed moment ! La foule explose de joie, et l'image est sur le titantron sans que rien ni personne ne puisse y faire grand chose. La jeune femme, elle, balance sa poitrine de gauche à droite, elle fait le spectacle sous les chants des fans.
« ATTITUDE ! ATTITUDE ! ATTITUDE ! »
Ouf, finalement on change d'angle de caméra mais cette fois... On ne voit plus rien. La foule se met alors à huer les techniciens qui semblent légèrement perdu par ce qui se passe, et, encore mieux, quelques secondes plus tard, c'est le problème technique qui est décrété.
La seule chose qui peut nous faire patienter ? La voix de Booker T qui tente d'expliquer à tout le monde que ce n'est que temporaire.
Booker T – Veuillez nous excuser pour ce léger problème technique qui est indépendant de notre volonté. Nous étions censé avoir une sorte d'entrevue avec Andy Leavine mais je crains que tout ceci ne doit être remit à plus tard, nous ne sommes pour le moment pas dans les conditions pour vous retransmettre ceci. Nos techniciens font tout ce qu'ils peuvent pour rétablir la connexion le plus rapidement possible et vous et moi, suckas' que nous sommes, ne pouvons strictement rien faire. Je vous propose donc de vous rappeler en quelques mots qui je suis. I'm a six time, six time, six time, six time, six time, six time World Champion, and a five time, five time, five time, five time, five time WCW World Champion. J'ai également remporté de nombreux titres de champion du monde par équipes avec mon frère, Stevie Ray, à l'époque où lui et moi faisions équipe dans le Harlem Heat, treize pour être exact. Mais au total, j'ai remporté dans toute ma carrière près de dix-huit titres par équipes. Je suis également un ancien TNA Legend Champion, former six time WCW Television Champion, former three time WWE United States Champion, former Intercontinental Champion, two time Hardcore Champion and 2006 King of the Ring. Si ça, c'est pas de la carrière, vous ne trouverez pas un commentateur plus qualifié que moi pour vous retranscrire à la perfection ce qui se passe dans cette fédération et-...
Nouveau problème technique, le micro de Booker T est à son tour coupé, mais je pense qu'en fait c'est volontaire. Cependant, après quelques bidouillages, l'image revient et la soirée va pouvoir reprendre, mais nous avons perdu trop de temps, nous devons passer au prochain combat, encore désolé pour le souci technique.
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Re: Attitude #2.
Après ce petit incident technique, il est temps de repasser au direct et de voir Andy Leavine sur le ring, et pas contre n'importe quel adversaire, contre Alberto Del Rio.
Bill DeMott – Encore une fois, nous sommes désolé pour l'incident technique, mais tout est revenu. Parlons un peu d'Andy car ce lutteur-là a vraiment beaucoup de talent. Son expérience au Mexique a porté ses fruits, aujourd'hui, c'est un excellent catcheur, une valeur sûre de la lutte.
Booker T – La question est : est-ce que cela suffira à venir à bout d'Andy Leavine, son adversaire de ce soir ? Personnellement, je n'ose pas me risquer à parier sur qui que ce soit.
Booker T – Les deux hommes semblent très concentrés, c'est un combat très intéressant auquel nous allons assister ! Bill, un avis, un pronostic sur cet affrontement très prometteur ?
Bill DeMott – Ils sont tous les deux très talentueux, et charismatiques. Seule l'expérience sépare ces deux hommes, en vérité. Reste à voir si cela suffira à faire la différence.
» FIGHT ! «
D'emblée, c'est le Silent Rage, qui, ainsi, a dû en surprendre plus d'un, qui prend l'ascendant sur ce combat. Malgré un style de lutte relativement classique, l'agressivité avec laquelle sont portés chacun des coups fait le boulot suffisant pour maîtriser Del Rio. En effet, Andy semble se concentrer davantage sur l'utilisation de coups tels que les Clotheslines, kicks, ou Big Boots, plutôt sur des prises, à proprement parler. Mais, après cinq bonnes minutes, l'expérience finit par devenir un atout de taille pour Alberto qui parvient, dans un effort surhumain, alors que Andy était sur le turnbuckle, à porter un Enzuigiri. Durant une minute, les deux hommes sont au sol, le premier à se relever étant Del Rio, justement. Mais malgré tout, cela ne lui suffit pas à avoir la main mise, puisque durant tout le reste du combat, les deux hommes ne font que se neutraliser. Chacun a son petit tour de domination de trente secondes, mais aucun ne parvient à le concrétiser. Finalement, Del Rio parvient à placer son Cross Armbreaker ! Malgré une grosse résistance, Alberto tire comme un dingue sur le bras d'Andy, qui n'a plus d'autre choix que d'abandonner.
Bill DeMott – Fantastique ! Fantastique ! Ce n'est peut-être pas la victoire du siècle, peut-être pas la victoire la plus inattendue, c'est sûr, mais la fin du combat est superbe.
Booker T – Une victoire bien méritée de la part du mexicain, qui montre ainsi que l'expérience peut faire la différence, et que Andy Leavine a encore beaucoup à apprendre.
Bill DeMott – Encore une fois, nous sommes désolé pour l'incident technique, mais tout est revenu. Parlons un peu d'Andy car ce lutteur-là a vraiment beaucoup de talent. Son expérience au Mexique a porté ses fruits, aujourd'hui, c'est un excellent catcheur, une valeur sûre de la lutte.
Booker T – La question est : est-ce que cela suffira à venir à bout d'Andy Leavine, son adversaire de ce soir ? Personnellement, je n'ose pas me risquer à parier sur qui que ce soit.
Booker T – Les deux hommes semblent très concentrés, c'est un combat très intéressant auquel nous allons assister ! Bill, un avis, un pronostic sur cet affrontement très prometteur ?
Bill DeMott – Ils sont tous les deux très talentueux, et charismatiques. Seule l'expérience sépare ces deux hommes, en vérité. Reste à voir si cela suffira à faire la différence.
» FIGHT ! «
D'emblée, c'est le Silent Rage, qui, ainsi, a dû en surprendre plus d'un, qui prend l'ascendant sur ce combat. Malgré un style de lutte relativement classique, l'agressivité avec laquelle sont portés chacun des coups fait le boulot suffisant pour maîtriser Del Rio. En effet, Andy semble se concentrer davantage sur l'utilisation de coups tels que les Clotheslines, kicks, ou Big Boots, plutôt sur des prises, à proprement parler. Mais, après cinq bonnes minutes, l'expérience finit par devenir un atout de taille pour Alberto qui parvient, dans un effort surhumain, alors que Andy était sur le turnbuckle, à porter un Enzuigiri. Durant une minute, les deux hommes sont au sol, le premier à se relever étant Del Rio, justement. Mais malgré tout, cela ne lui suffit pas à avoir la main mise, puisque durant tout le reste du combat, les deux hommes ne font que se neutraliser. Chacun a son petit tour de domination de trente secondes, mais aucun ne parvient à le concrétiser. Finalement, Del Rio parvient à placer son Cross Armbreaker ! Malgré une grosse résistance, Alberto tire comme un dingue sur le bras d'Andy, qui n'a plus d'autre choix que d'abandonner.
Bill DeMott – Fantastique ! Fantastique ! Ce n'est peut-être pas la victoire du siècle, peut-être pas la victoire la plus inattendue, c'est sûr, mais la fin du combat est superbe.
Booker T – Une victoire bien méritée de la part du mexicain, qui montre ainsi que l'expérience peut faire la différence, et que Andy Leavine a encore beaucoup à apprendre.
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Re: Attitude #2.
Alberto Del Rio vient à peine de battre Andy Leavine dans un bon combat qu’on retrouve celui-ci en backstage. Ricardo Rodriguez lui donne une serviette pour s’essuer le front. Le mexicain est aussitôt rejoint par Trish Stratus qui est l’intervieweuse de l’AWC.
Trish Stratus – Alberto, puis-je t’interviewer un instant ?
Alberto Del Rio - Si tu veux, je n’y vois pas d’inconvénient.
Trish Stratus – Comment peux-tu décrire ce combat que tu viens de remporter face à Andy Leavine, es-tu satisfait de ta performance ?
Alberto Del Rio - Ce n’est pas ma meilleure performance de ma carrière mais l’important était de remporter ce combat. Andy Leavine a offert une belle résistance, pour un jeune lutteur il a très bien combattu. S’il continue ainsi il progressera énormément. Je suis satisfait d’avoir rebondi après ma défaite face à Christian Cage, j’ai montré le véritable potentiel des luchadors.
Trish Stratus – Tout le monde est obligé de reconnaître que tu as changé Alberto, tu es différent de celui que tu étais auparavant, qu’est-ce que tu peux nous dire là-dessus.
Alberto Del Rio - En fait, j’ai changé parce que j’ai emprunté un chemin, mon destin m’a fait faire un détour par le mauvais côté qui habite chacun de nous. Heureusement, je suis revenu sur le droit chemin, je suis redevenu celui que j’étais au Mexique. Je me suis d’abord rappelé celui que j’étais quand les foules de toutes les arènes au Mexique m’adulait. Je me suis rappelé de cela et désormais je porte l’héritage des luchadors. J’en suis le porteur et désormais je me bats pour moi et pour mes fans. Je suis devenu meilleur qu’avant.
Trish Stratus – Cela se comprend parfaitement. Comme tous les lutteurs de l’AWC, tu as des objectifs, tu peux nous en faire part.
Alberto Del Rio - Je n’ai rien à cacher sur mes objectifs. Je veux avant tout porter l’héritage des luchadors, vaincre mes adversaires les uns après les autres et faire plaisir à ce public, leur montrer un véritable spectacle. Cependant, j’ai changé, mais je dois reconnaître que je suis toujours destiné à être au sommet des fédérations par lesquels je passe. L’AWC en fait parti et je serai au sommet ici, c’est ma destinée. J’aurai de l’or autour de mes hanches car j’ai le talent et la force nécessaire à l’avoir. L’or reste mon objectif.
??? – Tu peux rêver, l’or ne se retrouvera sur les hanches que d’une seule personne et ça sera moi, The Wrestling Machine.
Kurt Angle débarque dans la vue de la caméra et il dévisage Alberto Del Rio. Et Kurt Angle a sa médaille olympique remporté à Atlanta autour du cou. Les deux hommes se fixent et Trish Stratus est obligé d’intervenir.
Trish Stratus – Quel honneur pour nous de recevoir Kurt Angle.
Kurt Angle – J’en ai rien à foutre que ce soit un honneur. J’ai entendu parler d’or alors que j’allais pour mon combat, je ne pouvais que venir puisqu’on parle du lutteur qui a remporté une médaille d’or aux Jeux Olympiques. Je suis le seul ici à avoir fait cela.
Trish Stratus – Rappelons tout de même que Kurt Angle l’a remporté aux JO de Atlanta en 1996.
Kurt Angle – Toi, Del Rio, jamais tu n’auras d’or dans une fédération où j’y suis également.
Alberto Del Rio - Que veux-tu y faire, c’est ma destinée de remporter l‘or, au contraire avoir remporté une médaille d’or olympique c’est bien, mais serais-tu capable de le refaire aujourd’hui non. Ce n’est pas ton destin.
Kurt Angle – Ca change quoi ta destinée, j’en ai pas de destinée, c’est moi qui écrit mon avenir et j’ai qu’un seul but, briser des putains de chevilles les unes après les autres. J’espère pour toi que ta cheville ne tombera jamais entre mes mains, sinon je la briserai comme toutes les autres auparavant. Tu vois, moi comparé à toi, j’ai réellement une prise de soumission qui peut faire abandonner, pas une stupide clé de coude.
Alberto Del Rio - Ma clé de coude m’a porté au sommet en quelques mois, toi tu as mis des années avec ton Angle Lock, on voit laquelle des deux est la plus efficace.
Kurt Angle – Ne nous compares pas, je suis largement meilleur que toi. Look at this. Tu as vu cette médaille, I’m The Olympic Gold Medalist. Toi qu’as-tu réalisé en tant que lutteur amateur.
Trish Stratus – Alberto est quand même médaillé de bronze aux championnats du monde juniors, champion panaméricains. Il a remporté de nombreuses médailles dans cette discipline.
Kurt Angle – Et qu’est-ce que cela représente vis-à-vis de ma médaille mondiale ? Rien, absolument rien. Il y a un gouffre entre toi et moi Del Rio. Tu ne peux m’égaler.
Alberto Del Rio s’apprête à répondre mais Kurt Angle le recoupe aussitôt.
Kurt Angle – Sur ce, j’ai une victoire à remporter en brisant une nouvelle cheville? Regardes donc ce combat Del Rio, regardes ce qu’est un véritable lutteur.
Angle s’en va pour son combat, laissant finalement Trish Stratus et Alberto Del Rio seuls.
Trish Stratus – Et bien, quel discours de Kurt Angle, Alberto, quelque chose a répondre.
Alberto Del Rio - Non, rien à dire, par contre j’ai quelque chose à faire, señorita, je vous remercie pour cette interview.
Alberto Del Rio quitte à son tour laissant Trish Stratus seule qui s’en est beaucoup mieux tirer que la semaine dernière.
Trish Stratus – Alberto, puis-je t’interviewer un instant ?
Alberto Del Rio - Si tu veux, je n’y vois pas d’inconvénient.
Trish Stratus – Comment peux-tu décrire ce combat que tu viens de remporter face à Andy Leavine, es-tu satisfait de ta performance ?
Alberto Del Rio - Ce n’est pas ma meilleure performance de ma carrière mais l’important était de remporter ce combat. Andy Leavine a offert une belle résistance, pour un jeune lutteur il a très bien combattu. S’il continue ainsi il progressera énormément. Je suis satisfait d’avoir rebondi après ma défaite face à Christian Cage, j’ai montré le véritable potentiel des luchadors.
Trish Stratus – Tout le monde est obligé de reconnaître que tu as changé Alberto, tu es différent de celui que tu étais auparavant, qu’est-ce que tu peux nous dire là-dessus.
Alberto Del Rio - En fait, j’ai changé parce que j’ai emprunté un chemin, mon destin m’a fait faire un détour par le mauvais côté qui habite chacun de nous. Heureusement, je suis revenu sur le droit chemin, je suis redevenu celui que j’étais au Mexique. Je me suis d’abord rappelé celui que j’étais quand les foules de toutes les arènes au Mexique m’adulait. Je me suis rappelé de cela et désormais je porte l’héritage des luchadors. J’en suis le porteur et désormais je me bats pour moi et pour mes fans. Je suis devenu meilleur qu’avant.
Trish Stratus – Cela se comprend parfaitement. Comme tous les lutteurs de l’AWC, tu as des objectifs, tu peux nous en faire part.
Alberto Del Rio - Je n’ai rien à cacher sur mes objectifs. Je veux avant tout porter l’héritage des luchadors, vaincre mes adversaires les uns après les autres et faire plaisir à ce public, leur montrer un véritable spectacle. Cependant, j’ai changé, mais je dois reconnaître que je suis toujours destiné à être au sommet des fédérations par lesquels je passe. L’AWC en fait parti et je serai au sommet ici, c’est ma destinée. J’aurai de l’or autour de mes hanches car j’ai le talent et la force nécessaire à l’avoir. L’or reste mon objectif.
??? – Tu peux rêver, l’or ne se retrouvera sur les hanches que d’une seule personne et ça sera moi, The Wrestling Machine.
Kurt Angle débarque dans la vue de la caméra et il dévisage Alberto Del Rio. Et Kurt Angle a sa médaille olympique remporté à Atlanta autour du cou. Les deux hommes se fixent et Trish Stratus est obligé d’intervenir.
Trish Stratus – Quel honneur pour nous de recevoir Kurt Angle.
Kurt Angle – J’en ai rien à foutre que ce soit un honneur. J’ai entendu parler d’or alors que j’allais pour mon combat, je ne pouvais que venir puisqu’on parle du lutteur qui a remporté une médaille d’or aux Jeux Olympiques. Je suis le seul ici à avoir fait cela.
Trish Stratus – Rappelons tout de même que Kurt Angle l’a remporté aux JO de Atlanta en 1996.
Kurt Angle – Toi, Del Rio, jamais tu n’auras d’or dans une fédération où j’y suis également.
Alberto Del Rio - Que veux-tu y faire, c’est ma destinée de remporter l‘or, au contraire avoir remporté une médaille d’or olympique c’est bien, mais serais-tu capable de le refaire aujourd’hui non. Ce n’est pas ton destin.
Kurt Angle – Ca change quoi ta destinée, j’en ai pas de destinée, c’est moi qui écrit mon avenir et j’ai qu’un seul but, briser des putains de chevilles les unes après les autres. J’espère pour toi que ta cheville ne tombera jamais entre mes mains, sinon je la briserai comme toutes les autres auparavant. Tu vois, moi comparé à toi, j’ai réellement une prise de soumission qui peut faire abandonner, pas une stupide clé de coude.
Alberto Del Rio - Ma clé de coude m’a porté au sommet en quelques mois, toi tu as mis des années avec ton Angle Lock, on voit laquelle des deux est la plus efficace.
Kurt Angle – Ne nous compares pas, je suis largement meilleur que toi. Look at this. Tu as vu cette médaille, I’m The Olympic Gold Medalist. Toi qu’as-tu réalisé en tant que lutteur amateur.
Trish Stratus – Alberto est quand même médaillé de bronze aux championnats du monde juniors, champion panaméricains. Il a remporté de nombreuses médailles dans cette discipline.
Kurt Angle – Et qu’est-ce que cela représente vis-à-vis de ma médaille mondiale ? Rien, absolument rien. Il y a un gouffre entre toi et moi Del Rio. Tu ne peux m’égaler.
Alberto Del Rio s’apprête à répondre mais Kurt Angle le recoupe aussitôt.
Kurt Angle – Sur ce, j’ai une victoire à remporter en brisant une nouvelle cheville? Regardes donc ce combat Del Rio, regardes ce qu’est un véritable lutteur.
Angle s’en va pour son combat, laissant finalement Trish Stratus et Alberto Del Rio seuls.
Trish Stratus – Et bien, quel discours de Kurt Angle, Alberto, quelque chose a répondre.
Alberto Del Rio - Non, rien à dire, par contre j’ai quelque chose à faire, señorita, je vous remercie pour cette interview.
Alberto Del Rio quitte à son tour laissant Trish Stratus seule qui s’en est beaucoup mieux tirer que la semaine dernière.
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Re: Attitude #2.
Booker T – Now Bill, we're talking ! Maintenant place au spectacle : Kurt Angle vs Charlie Haas. Le mentor, le médailler olympique face à l'imitateur maison !
Bill DeMott – Deux hommes qui se connaissent extrêmement bien et qui ne se feront pas de cadeaux. Amateur de lutte amateur, préparez-vous, ça va être du lourd ce soir !
Booker T – Du très lourd vu ce qui arrive en premier. Kurt Angle, my man ! Le seul médailler olympique de l'histoire de cette fédération ! C'est un vétéran comme moi, il a tout gagné comme moi, et il a une dent contre Charlie Haas, comme moi.
Bill DeMott – Et il aime les femmes noires, comme toi... Plus sérieusement mesdames et messieurs, Kurt Angle va affronter cette fois Charlie Haas l'un de de ses anciens protégés, et il aura tout intérêt à gagner. Car n'oublions que la semaine dernière, il a perdu contre Shelton Benjamin. L'homme qui était également son protégé dans la fameuse : Team Angle !
Ne nous attardons pas sur l'entrée de Charlie Haas car comme par hasard c'est la même que Kurt Angle, les pyros en moins. Et oui, on a la même passion mais pas les mêmes moyens.
» FIGHT ! «
Les deux hommes se font longuement face avant de s'échanger quelques politesses avant que vienne enfin la première épreuve de force. Elle ne dure pas longtemps que Angle porte directement un takedown sur son ancien protégé et enchaine directement avec un front facelock. Il tient la prise quelques secondes avant qu'Haas ne se relève en donnant quelques coups de coudes dans le ventre de Kurt et l'accueille ensuite avec un bras à la volée. Et un autre ! Kurt est vexé et on le sent. C'est reparti pour une deuxième épreuve de force remporter par Angle avec un nouveau takedown. Haas se relève et se fait projeter dans les cordes par Angle qui l'accueille avec une belly to belly overhead suplex ! Haas n'a même pas le temps de se relever qu'il se prend cette fois une german ! Kurt est pleinement dans le match. Haas est sorti du ring pour pouvoir récupérer un peu mais Angle le poursuit ! Haas revient rapidement dans le ring, Angle a à peine le temps de remonter qu'il se prend un bon coup de la corde à linge ! Il tente le tombé pour le compte de deux ! Haas relève Angle et lui porte une snap souplex parfaitement exécuté. Angle se tient le dos car il est mal retombé lorsque... What the hell ?
Booker T – Alberto Del Rio ? Qu'est-ce qu'il vient faire là ?
Bill DeMott – C'est pas parce que j'ai du bide que je suis madame Irma, Booker.
Le méxicain prend une chaise et va s'asseoir à côté de la table des commentateurs. Pendant ce temps Charlie Haas relève Angle mais se prend des upercuts de la part du Olympic Hero ! On projette Haas dans les cordes. Coup de pied dans l'abdomen et fisherman souplex ! On relève Haas, à nouveau pour une belly to belly ! Angle demande insiste pour que l'arbitre aille voir ce que fait Del Rio qui reste pourtant stoïque sur sa chaise. Pendant ce temps Kurt va relever Haas mais se prend low blow !!! L'arbitre revient pendant que Haas le prend en petit paquet ! Un, deux et NON !!!!!!!! Angle se dégage in extremis et contre le petit paquet en Angle Lock ! It's Lockdin' ! Haas n'a nul part où aller, il résiste, il résiste et il abandonne !!!
Booker T – A trop vouloir copier sur les autres, on devient la copie de soi-même.
Bill DeMott – What ?!
Angle célèbre lorsqu'Alberto Del Rio se rapproche du ring sans pour autant y monter, il applaudit Angle avant de lui faire un clin d'oeil et de partir laissant Kurt perplexe sur le ring.
Bill DeMott – Deux hommes qui se connaissent extrêmement bien et qui ne se feront pas de cadeaux. Amateur de lutte amateur, préparez-vous, ça va être du lourd ce soir !
Booker T – Du très lourd vu ce qui arrive en premier. Kurt Angle, my man ! Le seul médailler olympique de l'histoire de cette fédération ! C'est un vétéran comme moi, il a tout gagné comme moi, et il a une dent contre Charlie Haas, comme moi.
Bill DeMott – Et il aime les femmes noires, comme toi... Plus sérieusement mesdames et messieurs, Kurt Angle va affronter cette fois Charlie Haas l'un de de ses anciens protégés, et il aura tout intérêt à gagner. Car n'oublions que la semaine dernière, il a perdu contre Shelton Benjamin. L'homme qui était également son protégé dans la fameuse : Team Angle !
Ne nous attardons pas sur l'entrée de Charlie Haas car comme par hasard c'est la même que Kurt Angle, les pyros en moins. Et oui, on a la même passion mais pas les mêmes moyens.
» FIGHT ! «
Les deux hommes se font longuement face avant de s'échanger quelques politesses avant que vienne enfin la première épreuve de force. Elle ne dure pas longtemps que Angle porte directement un takedown sur son ancien protégé et enchaine directement avec un front facelock. Il tient la prise quelques secondes avant qu'Haas ne se relève en donnant quelques coups de coudes dans le ventre de Kurt et l'accueille ensuite avec un bras à la volée. Et un autre ! Kurt est vexé et on le sent. C'est reparti pour une deuxième épreuve de force remporter par Angle avec un nouveau takedown. Haas se relève et se fait projeter dans les cordes par Angle qui l'accueille avec une belly to belly overhead suplex ! Haas n'a même pas le temps de se relever qu'il se prend cette fois une german ! Kurt est pleinement dans le match. Haas est sorti du ring pour pouvoir récupérer un peu mais Angle le poursuit ! Haas revient rapidement dans le ring, Angle a à peine le temps de remonter qu'il se prend un bon coup de la corde à linge ! Il tente le tombé pour le compte de deux ! Haas relève Angle et lui porte une snap souplex parfaitement exécuté. Angle se tient le dos car il est mal retombé lorsque... What the hell ?
Booker T – Alberto Del Rio ? Qu'est-ce qu'il vient faire là ?
Bill DeMott – C'est pas parce que j'ai du bide que je suis madame Irma, Booker.
Le méxicain prend une chaise et va s'asseoir à côté de la table des commentateurs. Pendant ce temps Charlie Haas relève Angle mais se prend des upercuts de la part du Olympic Hero ! On projette Haas dans les cordes. Coup de pied dans l'abdomen et fisherman souplex ! On relève Haas, à nouveau pour une belly to belly ! Angle demande insiste pour que l'arbitre aille voir ce que fait Del Rio qui reste pourtant stoïque sur sa chaise. Pendant ce temps Kurt va relever Haas mais se prend low blow !!! L'arbitre revient pendant que Haas le prend en petit paquet ! Un, deux et NON !!!!!!!! Angle se dégage in extremis et contre le petit paquet en Angle Lock ! It's Lockdin' ! Haas n'a nul part où aller, il résiste, il résiste et il abandonne !!!
Booker T – A trop vouloir copier sur les autres, on devient la copie de soi-même.
Bill DeMott – What ?!
Angle célèbre lorsqu'Alberto Del Rio se rapproche du ring sans pour autant y monter, il applaudit Angle avant de lui faire un clin d'oeil et de partir laissant Kurt perplexe sur le ring.
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Re: Attitude #2.
C’est au tour de Robert Roode de faire sa première apparition ici, dans l’aréne de l’AWC. Mais il n’est pas tout seul, non, bien au contraire puisqu’il est accompagné par deux hommes. Le premier n’est autre que le colosse, Daisuke Sekimoto, son bodyguard. Il est suivi par nul autre que le seize fois champion du monde, Ric Flair ! Les trois hommes mettent beaucoup de temps à descendre la rampe, hués par la foule, ces derniers en profitent encore plus. Ric Flair demande aux fans de se prosterner devant lui sous le sourire de Robert Roode. Finalement, après plusieurs longues minutes, les trois hommes se retrouvent sur le ring. The Nature Boy s'empare alors d'un micro pour prendre la parole.
Ric Flair – Fermez là ! Je ne suis pas venu ici pour entendre des hurlements, non. Si je suis ici, c’est tout simplement pour vous. En effet, si je suis là, c’est pour vous donner la pépite de ce business, ce dont je cours depuis de longues années. Il fût un temps où j’avais donner tout mon savoir faire pour une personne, mais elle n’a jamais su profiter de ça, jamais. Cette personne n’est autre que Randy Orton.
Les fans commencent à huer Ric Flair de nouveau. Robert Roode et Daisuke Sekimoto commencent à rager de cette réaction.
Ric Flair – En effet, j’ai donné énormément de temps à Orton pour pouvoir assurer mes arrières, et assurer le futur de ce business. Mais, car il y a un mais. Je croyais avoir fait mon job, je croyais avoir rempli mon contrat, mais finalement, je me suis bien trompé. Pourquoi ? Tout simplement parce que Randy Orton n’à pas évoluer comme il devait le faire, comme je voulais qu’il le fasse. Vous avez, je ne pouvais pas être derrière son cul pendant des années. Pendant un temps, oui, mais pas pendant des années. Comme les oiseaux, ils doivent tous par quitter le nid, et c’est ce que j’ai fait pour Orton, pensant alors qu’il allait être la légende des ces prochaines années, du futur. Après plusieurs années, je me rend compte qu’Orton n’est pas du tout le résultat que je voulais, il est limité que ce soit dans le ring, ou hors du ring. Il n’a aucun charisme, aucune réelle technique, rien. Il n’a rien de moi, il n’a rien du meilleur ! C’est pourquoi, ne voulant pas rester sur un échec, j’ai voulu refaire cette expérience, avec cette fois-ci, un lutteur avec de réelles qualités. Ce lutteur est le futur du wrestling business, et lui au moins, il ne gâchera pas les opportunités qui s'offriront à lui. Son nom ? Robert Roode.
Ric Flair rigole à gorge déployée avant de transmettre son micro à son nouvel apprenti. Roode se place alors au milieu du ring afin de prendre la parole.
Robert Roode – Effectivement, comme vous venez de l’entendre, je suis l’élu de cette industrie. Contrairement à mon futur adversaire, Randy Orton. Moi, je mesure la chance que j’ai de travailler avec la plus grande légende du circuit, Ric Flair. Selon moi, il n’y a personne de plus grand que lui, Hulk Hogan peut retourner à ces films hideux. The Rock peut rester à Hollywood. Bret Hart peut rester dans son Canada. Ric Flair est le plus grand, même Stone Cold est en dessous de lui, bien en dessous même.
A cet instant, la foule commence à huer sévèrement Robert Roode, qui reprend la parole sans faire attention aux différentes réactions.
Robert Roode – Vous pouvez me huer autant que vous voulez, il n’y a que la vérité qui blesse. Ce soir, je vais montrer aux yeux de tous, et à Orton, la façon dont on se comporte quand nous avons eu la chance d’avoir Ric Flair comme entraîneur, comme mentor. Ce soir, le début d’une ère va commencée, la mienne. Et pourquoi ? Parce que je suis le diamant du Pro Wrestling.
Ric Flair – Woooooooooooo !
Voilà, les choses sont claires et Roode peut lâcher le micro. C’est le moment que choisit la musique de Randy Orton pour se fait entendre !
Ric Flair – Fermez là ! Je ne suis pas venu ici pour entendre des hurlements, non. Si je suis ici, c’est tout simplement pour vous. En effet, si je suis là, c’est pour vous donner la pépite de ce business, ce dont je cours depuis de longues années. Il fût un temps où j’avais donner tout mon savoir faire pour une personne, mais elle n’a jamais su profiter de ça, jamais. Cette personne n’est autre que Randy Orton.
Les fans commencent à huer Ric Flair de nouveau. Robert Roode et Daisuke Sekimoto commencent à rager de cette réaction.
Ric Flair – En effet, j’ai donné énormément de temps à Orton pour pouvoir assurer mes arrières, et assurer le futur de ce business. Mais, car il y a un mais. Je croyais avoir fait mon job, je croyais avoir rempli mon contrat, mais finalement, je me suis bien trompé. Pourquoi ? Tout simplement parce que Randy Orton n’à pas évoluer comme il devait le faire, comme je voulais qu’il le fasse. Vous avez, je ne pouvais pas être derrière son cul pendant des années. Pendant un temps, oui, mais pas pendant des années. Comme les oiseaux, ils doivent tous par quitter le nid, et c’est ce que j’ai fait pour Orton, pensant alors qu’il allait être la légende des ces prochaines années, du futur. Après plusieurs années, je me rend compte qu’Orton n’est pas du tout le résultat que je voulais, il est limité que ce soit dans le ring, ou hors du ring. Il n’a aucun charisme, aucune réelle technique, rien. Il n’a rien de moi, il n’a rien du meilleur ! C’est pourquoi, ne voulant pas rester sur un échec, j’ai voulu refaire cette expérience, avec cette fois-ci, un lutteur avec de réelles qualités. Ce lutteur est le futur du wrestling business, et lui au moins, il ne gâchera pas les opportunités qui s'offriront à lui. Son nom ? Robert Roode.
Ric Flair rigole à gorge déployée avant de transmettre son micro à son nouvel apprenti. Roode se place alors au milieu du ring afin de prendre la parole.
Robert Roode – Effectivement, comme vous venez de l’entendre, je suis l’élu de cette industrie. Contrairement à mon futur adversaire, Randy Orton. Moi, je mesure la chance que j’ai de travailler avec la plus grande légende du circuit, Ric Flair. Selon moi, il n’y a personne de plus grand que lui, Hulk Hogan peut retourner à ces films hideux. The Rock peut rester à Hollywood. Bret Hart peut rester dans son Canada. Ric Flair est le plus grand, même Stone Cold est en dessous de lui, bien en dessous même.
A cet instant, la foule commence à huer sévèrement Robert Roode, qui reprend la parole sans faire attention aux différentes réactions.
Robert Roode – Vous pouvez me huer autant que vous voulez, il n’y a que la vérité qui blesse. Ce soir, je vais montrer aux yeux de tous, et à Orton, la façon dont on se comporte quand nous avons eu la chance d’avoir Ric Flair comme entraîneur, comme mentor. Ce soir, le début d’une ère va commencée, la mienne. Et pourquoi ? Parce que je suis le diamant du Pro Wrestling.
Ric Flair – Woooooooooooo !
Voilà, les choses sont claires et Roode peut lâcher le micro. C’est le moment que choisit la musique de Randy Orton pour se fait entendre !
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Re: Attitude #2.
Booker T – Robert Roode contre Randy Orton, first time ever, et ce n'est pas pour nous déplaire.
Bill DeMott – Exactement. En tout cas à la place de Orton je me méfierai du groupe de Roode.
Bill DeMott – Quel regard de tueur. Il serait capable de massacrer tout le groupe adverse.
Booker T – Ce mec est un véritable prédateur. La moindre erreur face à lui et c’est fini.
» FIGHT ! «
C’est parti entre les deux hommes. La tension est à son comble. Orton du coin de l’œil regarde Ric Flair, le manager et Daisuke Sekimoto, le bodyguard. Robert Roode s’élance vers son opposant et le combat s’engage. Le début de combat est très équilibré entre les deux hommes. On assiste plus au début de l’affrontement à un combat de rue plutôt qu’à de la lutte. Ca tape beaucoup avec les poings. Finalement c’est Roode qui prendra l’avantage en évitant une Clothesline de Orton et en enchaînant avec avec un Neckbreaker. The Apex Predator aura du mal à revenir dans le combat. Robert Roode utilisant toute sa technicité pour le piéger. Finalement Orton placera son Scoop Powerslam sorti de nul part alors que Roode s'était élancé dans les cordes pour placer un Big Foot. Très énervé il placera son move-set. Suite à un magnifique Angle Slam, Randy Orton est prêt à en finir avec son RKO. Cependant, il a oublié de compter Ric Flair qui se hisse sur le bord du ring. Orton se retourne vers lui et s’apprête à le taper mais Flair redescend à temps. Orton se retourne .. Eye Poke de son adversaire alors que l’arbitre engueule Flair. Robert Roode enchaîne avec une Powerbomb pour le compte de deux. Roode rage et relève son adversaire … RKO !! Il vient de le placer à la surprise générale. Robert Roode est fini. Randy Orton s’allonge sur le corps de son adversaire... One... Two... Three ! Victoire pour l’Apex Predator.
Booker T – On l'avait dit, un seul moment où on est distrait et la vipère vous mord. Ce mec est monstrueux.
Bill DeMott – Pour quelqu'un qui se dit le diamant de la lutte, il l'a pas prouvé, il est tombé contre plus fort que lui.
Booker T – Randy Orton n'est certainement pas le plus grand technicien du monde mais quand il s'agit d'efficacité, il est très redoutable. Chez lui, il n'y a qu'un mot qui compte : Victoire.
Bill DeMott – Oui et c'est justement cette soif de victoire qui le rend si fort car comme tu l'as dit, sur le ring il n'est pas le meilleur, mais il est l'un des tous meilleurs lutteurs de ce business car il ne fait pas de fioriture, peu importe la manière, il n'y a que la victoire qui compte.
Booker T – Et Randy vient d'en faire une belle démonstration ce soir, bravo jeune homme.
Randy Orton est au milieu du ring, triomphant. A l'extérieur, Ric Flair et Daisuke Sekimoto eux, ont la mine des mauvais jours. Flair est tout rouge alors que le Japonais ressemble à un sushi périmé. Alors que Flair vient frapper contre l'escalier en fer, Orton, lui, tente de s'en prendre à Robert Roode en se préparant pour lui porter un RKO par derrière. Roode ne voit rien venir mais heureusement, Sekimoto veillait et vient tirer son patron en dehors du ring et l'aide à remonter la rampe alors que le jeune Randy affiche un large sourire arrogant, premier combat et première victoire pour la vipère.
Bill DeMott – Exactement. En tout cas à la place de Orton je me méfierai du groupe de Roode.
Bill DeMott – Quel regard de tueur. Il serait capable de massacrer tout le groupe adverse.
Booker T – Ce mec est un véritable prédateur. La moindre erreur face à lui et c’est fini.
» FIGHT ! «
C’est parti entre les deux hommes. La tension est à son comble. Orton du coin de l’œil regarde Ric Flair, le manager et Daisuke Sekimoto, le bodyguard. Robert Roode s’élance vers son opposant et le combat s’engage. Le début de combat est très équilibré entre les deux hommes. On assiste plus au début de l’affrontement à un combat de rue plutôt qu’à de la lutte. Ca tape beaucoup avec les poings. Finalement c’est Roode qui prendra l’avantage en évitant une Clothesline de Orton et en enchaînant avec avec un Neckbreaker. The Apex Predator aura du mal à revenir dans le combat. Robert Roode utilisant toute sa technicité pour le piéger. Finalement Orton placera son Scoop Powerslam sorti de nul part alors que Roode s'était élancé dans les cordes pour placer un Big Foot. Très énervé il placera son move-set. Suite à un magnifique Angle Slam, Randy Orton est prêt à en finir avec son RKO. Cependant, il a oublié de compter Ric Flair qui se hisse sur le bord du ring. Orton se retourne vers lui et s’apprête à le taper mais Flair redescend à temps. Orton se retourne .. Eye Poke de son adversaire alors que l’arbitre engueule Flair. Robert Roode enchaîne avec une Powerbomb pour le compte de deux. Roode rage et relève son adversaire … RKO !! Il vient de le placer à la surprise générale. Robert Roode est fini. Randy Orton s’allonge sur le corps de son adversaire... One... Two... Three ! Victoire pour l’Apex Predator.
Booker T – On l'avait dit, un seul moment où on est distrait et la vipère vous mord. Ce mec est monstrueux.
Bill DeMott – Pour quelqu'un qui se dit le diamant de la lutte, il l'a pas prouvé, il est tombé contre plus fort que lui.
Booker T – Randy Orton n'est certainement pas le plus grand technicien du monde mais quand il s'agit d'efficacité, il est très redoutable. Chez lui, il n'y a qu'un mot qui compte : Victoire.
Bill DeMott – Oui et c'est justement cette soif de victoire qui le rend si fort car comme tu l'as dit, sur le ring il n'est pas le meilleur, mais il est l'un des tous meilleurs lutteurs de ce business car il ne fait pas de fioriture, peu importe la manière, il n'y a que la victoire qui compte.
Booker T – Et Randy vient d'en faire une belle démonstration ce soir, bravo jeune homme.
Randy Orton est au milieu du ring, triomphant. A l'extérieur, Ric Flair et Daisuke Sekimoto eux, ont la mine des mauvais jours. Flair est tout rouge alors que le Japonais ressemble à un sushi périmé. Alors que Flair vient frapper contre l'escalier en fer, Orton, lui, tente de s'en prendre à Robert Roode en se préparant pour lui porter un RKO par derrière. Roode ne voit rien venir mais heureusement, Sekimoto veillait et vient tirer son patron en dehors du ring et l'aide à remonter la rampe alors que le jeune Randy affiche un large sourire arrogant, premier combat et première victoire pour la vipère.
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Re: Attitude #2.
Shawn Michaels, le Headliner est en train de se balader dans les couloirs de l'AWC. Un serrage de main à un technicien par là, une bise quand c'est une technicienne, Shawn s'arrête finalement devant un distributeur de boisson.
Shawn Michaels – Le coca, il paraît que c'est mauvais pour les dents... Du pepsi ? Merde, Punk les a toutes fini. Peut être de l'eau ? Ça m'évitera d'avoir encore des gaz à cause des sodas.
Joël Gertner – Juste l'homme qu'on cherchait. Les mecs, il est ici !
Le caméraman élargit le champ, et on peut voir les quatre membres des Dudley Boys en face de Shawn Michaels. Alors que Devon a son air placard et énervé qu'il se coltine toujours, Bubba affiche un grand sourire. Quand à Sign Guy, là il a pas de pancarte, donc il sert à rien. Michaels lui, est décontracté et continue à regarder quelle boisson il va prendre.
Bubba Ray – Shawn Michaels ! Le grand, le célèbre, le fameux Heartbreak Kid, l'homme qui fait jouir les femelles sans même les toucher ! Comment vas tu ?
Shawn Michaels – J'irais mieux quand je me serais... Peut être un café ?
Bubba Ray – Shawn, tu sais que notre cher patron, Steve Austin, nous a demandé de nous trouver des opposants pour un match où se joueront les titres par équipes, au premier PPV de la fédération. Alors je te propose d'avoir l'honneur de reformer la DX pour être nos challengeurs.
Shawn Michaels – Non, le café ça me reste sur l'estomac, c'est pas une bonne idée. Peut être un thé ? C'est zen, tranquille... Pardon, tu disais, Bubba ?
Grand blanc (ou grand bleu si tu préfères), on pourrait penser que Bubba va s'énerver, mais il reste calme, il est vraiment prêt à tout pour se trouver des challengeurs, quitte à être un peu (beaucoup ?) hypocrite sur les bords, et à afficher un sourire de niais.
Bubba Ray – Je te demandais de reformer la DX, pour nous affronter pour les titres par équipe.
Shawn Michaels – J'aimerai bien, j'aimerai beaucoup, mais ça va être dur, très dur de ressusciter Rick Rude, tu sais.
Bubba Ray – Je me fiche de Rick Rude !
Shawn Michaels – Ah, tu veux affronter Hunter et Chyna ? C'est à lui qu'il faut le demander.
Bubba Ray – Je ne te parle pas de la première DX, celle dont personne ne se souvient et dont tout le monde se fout ! Moi je te parle de la DX la plus célèbre, la plus connue et reconnue !
Bubba viens de perdre son sourire, il semble contrarié par Michaels qui ne semble pas bien comprendre. Ou alors est ce qu'il fait exprès ?
Shawn Michaels – Mais j'étais pas là moi quand la DX servait juste à garder la porte de la chambre de Hunter et de Steph' quand ils s'envoyaient en l'air. Mais bon, c'est d'accord, si tu veux, j’appellerai mes potes Billy et Road Dogg.
Bubba Ray – Mais les New Age Outlaws ne valent pas un clou ! C'est pas d'eux qu'on veut pour nous affronter. Nous on veut l'équipe qui faisait rêver les gosses pleins de boutons gras, on veut l'équipe ultra commerciale, qui adore se faire de la pub et vendre des bâtons fluorescents !
Shawn Michaels – Ah ! Je vois de quoi tu veux parler Bubba, désolé de ne pas avoir compris plus tôt. Oui, je vois exactement ce que tu veux, mais le problème est que... Comment dire ? La moitié de cette équipe là traverse une période difficile, la puberté. En ce moment, Hornswoggle saute sur toute ce qui bouge !
Là, Bubba vire carrément au rouge, et il hausse le ton. Gertner, lui, retient Devon.
Devon a piqué son pansement à Mister Kennedy.
Bubba Ray – Hornswo-... Est ce que tu es complètement demeuré, Michaels ?! Je vais te l'expliquer lentement, ok ? Je te demande, à toi, Shawn Michaels, si tu veux aller chercher ton pote trois Haches, le grand baraqué qui se tape la fille de riche à gros nichons pour reformer la dernière DX. Je veux que toi et Triple H soyez nos adversaires... Compris ?
Shawn se met à rigoler à gorge déployée, alors que Bubba et Joël s'échangent un regard, genre c'est quoi ce bordel. Michaels se remet après plusieurs minutes, un grand sourire plein d'amusement sur le visage.
Shawn Michaels – C'était un très bonne blague, Bubba, franchement, excellente, attend, je dois appeler mon fils Aaron pour lui raconter !
Joël Gertner – C'est quoi le problème de ce type ?
Je crois que c'est la célébrité qui fait ça. En tout cas, on est pas plus avancé en ce qui concerne la quête des Dudleys pour trouver des challengeurs. Et avant que la caméra ne se coupe, Devon se prend une cannette de Budlight dans le distributeur. Testify.
Shawn Michaels – Le coca, il paraît que c'est mauvais pour les dents... Du pepsi ? Merde, Punk les a toutes fini. Peut être de l'eau ? Ça m'évitera d'avoir encore des gaz à cause des sodas.
Joël Gertner – Juste l'homme qu'on cherchait. Les mecs, il est ici !
Le caméraman élargit le champ, et on peut voir les quatre membres des Dudley Boys en face de Shawn Michaels. Alors que Devon a son air placard et énervé qu'il se coltine toujours, Bubba affiche un grand sourire. Quand à Sign Guy, là il a pas de pancarte, donc il sert à rien. Michaels lui, est décontracté et continue à regarder quelle boisson il va prendre.
Bubba Ray – Shawn Michaels ! Le grand, le célèbre, le fameux Heartbreak Kid, l'homme qui fait jouir les femelles sans même les toucher ! Comment vas tu ?
Shawn Michaels – J'irais mieux quand je me serais... Peut être un café ?
Bubba Ray – Shawn, tu sais que notre cher patron, Steve Austin, nous a demandé de nous trouver des opposants pour un match où se joueront les titres par équipes, au premier PPV de la fédération. Alors je te propose d'avoir l'honneur de reformer la DX pour être nos challengeurs.
Shawn Michaels – Non, le café ça me reste sur l'estomac, c'est pas une bonne idée. Peut être un thé ? C'est zen, tranquille... Pardon, tu disais, Bubba ?
Grand blanc (ou grand bleu si tu préfères), on pourrait penser que Bubba va s'énerver, mais il reste calme, il est vraiment prêt à tout pour se trouver des challengeurs, quitte à être un peu (beaucoup ?) hypocrite sur les bords, et à afficher un sourire de niais.
Bubba Ray – Je te demandais de reformer la DX, pour nous affronter pour les titres par équipe.
Shawn Michaels – J'aimerai bien, j'aimerai beaucoup, mais ça va être dur, très dur de ressusciter Rick Rude, tu sais.
Bubba Ray – Je me fiche de Rick Rude !
Shawn Michaels – Ah, tu veux affronter Hunter et Chyna ? C'est à lui qu'il faut le demander.
Bubba Ray – Je ne te parle pas de la première DX, celle dont personne ne se souvient et dont tout le monde se fout ! Moi je te parle de la DX la plus célèbre, la plus connue et reconnue !
Bubba viens de perdre son sourire, il semble contrarié par Michaels qui ne semble pas bien comprendre. Ou alors est ce qu'il fait exprès ?
Shawn Michaels – Mais j'étais pas là moi quand la DX servait juste à garder la porte de la chambre de Hunter et de Steph' quand ils s'envoyaient en l'air. Mais bon, c'est d'accord, si tu veux, j’appellerai mes potes Billy et Road Dogg.
Bubba Ray – Mais les New Age Outlaws ne valent pas un clou ! C'est pas d'eux qu'on veut pour nous affronter. Nous on veut l'équipe qui faisait rêver les gosses pleins de boutons gras, on veut l'équipe ultra commerciale, qui adore se faire de la pub et vendre des bâtons fluorescents !
Shawn Michaels – Ah ! Je vois de quoi tu veux parler Bubba, désolé de ne pas avoir compris plus tôt. Oui, je vois exactement ce que tu veux, mais le problème est que... Comment dire ? La moitié de cette équipe là traverse une période difficile, la puberté. En ce moment, Hornswoggle saute sur toute ce qui bouge !
Là, Bubba vire carrément au rouge, et il hausse le ton. Gertner, lui, retient Devon.
Devon a piqué son pansement à Mister Kennedy.
Bubba Ray – Hornswo-... Est ce que tu es complètement demeuré, Michaels ?! Je vais te l'expliquer lentement, ok ? Je te demande, à toi, Shawn Michaels, si tu veux aller chercher ton pote trois Haches, le grand baraqué qui se tape la fille de riche à gros nichons pour reformer la dernière DX. Je veux que toi et Triple H soyez nos adversaires... Compris ?
Shawn se met à rigoler à gorge déployée, alors que Bubba et Joël s'échangent un regard, genre c'est quoi ce bordel. Michaels se remet après plusieurs minutes, un grand sourire plein d'amusement sur le visage.
Shawn Michaels – C'était un très bonne blague, Bubba, franchement, excellente, attend, je dois appeler mon fils Aaron pour lui raconter !
Joël Gertner – C'est quoi le problème de ce type ?
Je crois que c'est la célébrité qui fait ça. En tout cas, on est pas plus avancé en ce qui concerne la quête des Dudleys pour trouver des challengeurs. Et avant que la caméra ne se coupe, Devon se prend une cannette de Budlight dans le distributeur. Testify.
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Re: Attitude #2.
Booker T – Nous sommes de retour pour la suite du show. La suite du programme, Bill, est une opposition entre deux vainqueurs d'Attitude one, Shelton Benjamin doit faire face à John Cena.
Bill DeMott – Et ce match me semble très prometteur, sur le papier du moins. Quoiqu'on en dise, Cena n'a plus grand chose à prouver sur un ring et Shelton est un formidable athlète. Il n'y a aucun doute sur le fait que les deux hommes vont se livrer une bataille acharnée.
Booker T – Shelton a surtout une carte à jouer car s'il venait à battre Cena, qui est censé être challenger pour Thunderslam, cela serait un bel impact. Mais justement, voici le Gold Standard.
Booker T – Détermination et rage de vaincre, voilà ce qu'on peut lire dans le regard de Shelton Benjamin qui descend la rampe sans même lâcher le ring du regard.
Bill DeMott – On pourra être sûr d'au moins une chose Booker, c'est que Shelton n'est peut être pas le favori, mais il a confiance en lui et ses capacités pour venir titiller Cena.
Booker T – J'ajouterai même que Cena pourrait avoir des problèmes à contrer Benjamin avec ce style athlétique qu'il adopte. Les réponses, peut-être qu'il va nous les apporter, le Champ'.
Booker T – Sur le ring, Benjamin est tranquillement assis sur le turnbuckle et attend son adversaire avec impatience. Cena, lui, semble détendu.
Bill DeMott – Il est souriant, en effet, et c'est peut être le plus gros problème de Cena selon moi. Il prend chaque match comme un plaisir, il est content d'être ici, mais il oublie souvent que chaque adversaire l'affronte avec une seule idée en tête : Le battre.
Booker T – Très bonne analyse Bill, mais stoppons les bavardages, place au combat à présent.
» FIGHT ! «
DING DING DING ! Cena prend le temps de retirer son t-shirt et sa plaque et alors que l'arbitre a le dos tourné pour poser toutes ses affaires, Benjamin commence à attaquer Cena avec des droites pour le repousser dans un coin du ring. Le Gold Standard met de suite une grosse pression physique sur son adversaire mais l'arbitre revient dans la partie pour rappeler à l'ordre Benjamin. Ce dernier se fait d'ailleurs avoir car Cena contre attaque à son tour avec une Clothesline. Le Champ' tente d'affaiblir petit à petit Benjamin mais ce dernier se sort de toutes les situations grâce à ses impressionnantes capacités physique. Il en profite également pour reprendre le contrôle du match avec notamment un Superkick qui repousse Cena jusque dans les cordes. Benjamin réalise par la suite un move incroyable, prenant appuie sur le torse de Cena, il saute au dessus de la troisième corde en s'emparant de la nuque de son adversaire pour un Guillotine Chock de toute beauté. La foule apprécie le geste et se met à encourager Benjamin au détriment de Cena, comme cela en devient une coutume à présent. De retour sur le ring, Benjamin tente de porter sa T-Bone Suplex mais Cena bloque les pieds de son adversaire et le met en position d'Attitude Adjustement.
Bill DeMott – Très beau contre, on va voir si Cena peut en terminer avec son adversaire.
Booker T – Attends une seconde Bill, regarde par là...
Effectivement, Cena a beau se préparer pour terminer le match, l'attention des fans est tournée vers la rampe où Double C, Christian Cage, débarque en courant. Il se glisse sous la première corde et, sans que Cena ne puisse riposter, vient frapper le leader de la Cenation avec une chaise en métal, et ce en plein visage. Le Champ' tombe à terre, complètement KO. L'arbitre, lui, n'a d'autre choix que de faire sonner la disqualification et la victoire par disqualification donc, de John Cena ! Shelton Benjamin, lui, n'en croit pas ses yeux.
Booker T – Christian Cage vient d'intervenir dans le résultat de cette rencontre et vient non seulement de coûter une victoire potentielle à Shelton Benjamin, mais il a également mit le challenger pour le titre Attitude complètement KO..
Bill DeMott – Ce soir, Christian n'a pas adopté la bonne attitude Booker, il la joue personnel et se moque des autres, et cela pourrait lui attirer bon nombre de problèmes.
Et Bill ne croit pas si bien dire, puisque Shelton Benjamin, qui ne se remet pas de perdre de cette manière, demande des comptes à Christian qui, lui, regardait de haut la dépouille de Cena. Le Gold Standard interpelle Cage par l'épaule et lui demande des explications. Le ton monte entre les deux hommes, Christian lui expliquant que se sont ses affaires et qu'il a un problème avec John Cena. Il lui conseille même de dégager rapidement et de s'occuper de ses affaires. Après une seconde d'hésitation, Benjamin se retourne et semble prêt à partir, mais il se ravise et attrape Christian par derrière...
Benjamin porte un Knee Backbreaker à son adversaire, enchainé par un Neckbreaker qui cloue l'Instant Classic au sol. Benjamin vient visiblement de s'occuper de ses affaires, et Christian en paye le prix et vient peut être de se faire un nouvel ennemi. Shelton, lui, quitte le ring, complètement dégouté.
Bill DeMott – Et ce match me semble très prometteur, sur le papier du moins. Quoiqu'on en dise, Cena n'a plus grand chose à prouver sur un ring et Shelton est un formidable athlète. Il n'y a aucun doute sur le fait que les deux hommes vont se livrer une bataille acharnée.
Booker T – Shelton a surtout une carte à jouer car s'il venait à battre Cena, qui est censé être challenger pour Thunderslam, cela serait un bel impact. Mais justement, voici le Gold Standard.
Booker T – Détermination et rage de vaincre, voilà ce qu'on peut lire dans le regard de Shelton Benjamin qui descend la rampe sans même lâcher le ring du regard.
Bill DeMott – On pourra être sûr d'au moins une chose Booker, c'est que Shelton n'est peut être pas le favori, mais il a confiance en lui et ses capacités pour venir titiller Cena.
Booker T – J'ajouterai même que Cena pourrait avoir des problèmes à contrer Benjamin avec ce style athlétique qu'il adopte. Les réponses, peut-être qu'il va nous les apporter, le Champ'.
Booker T – Sur le ring, Benjamin est tranquillement assis sur le turnbuckle et attend son adversaire avec impatience. Cena, lui, semble détendu.
Bill DeMott – Il est souriant, en effet, et c'est peut être le plus gros problème de Cena selon moi. Il prend chaque match comme un plaisir, il est content d'être ici, mais il oublie souvent que chaque adversaire l'affronte avec une seule idée en tête : Le battre.
Booker T – Très bonne analyse Bill, mais stoppons les bavardages, place au combat à présent.
» FIGHT ! «
DING DING DING ! Cena prend le temps de retirer son t-shirt et sa plaque et alors que l'arbitre a le dos tourné pour poser toutes ses affaires, Benjamin commence à attaquer Cena avec des droites pour le repousser dans un coin du ring. Le Gold Standard met de suite une grosse pression physique sur son adversaire mais l'arbitre revient dans la partie pour rappeler à l'ordre Benjamin. Ce dernier se fait d'ailleurs avoir car Cena contre attaque à son tour avec une Clothesline. Le Champ' tente d'affaiblir petit à petit Benjamin mais ce dernier se sort de toutes les situations grâce à ses impressionnantes capacités physique. Il en profite également pour reprendre le contrôle du match avec notamment un Superkick qui repousse Cena jusque dans les cordes. Benjamin réalise par la suite un move incroyable, prenant appuie sur le torse de Cena, il saute au dessus de la troisième corde en s'emparant de la nuque de son adversaire pour un Guillotine Chock de toute beauté. La foule apprécie le geste et se met à encourager Benjamin au détriment de Cena, comme cela en devient une coutume à présent. De retour sur le ring, Benjamin tente de porter sa T-Bone Suplex mais Cena bloque les pieds de son adversaire et le met en position d'Attitude Adjustement.
Bill DeMott – Très beau contre, on va voir si Cena peut en terminer avec son adversaire.
Booker T – Attends une seconde Bill, regarde par là...
Effectivement, Cena a beau se préparer pour terminer le match, l'attention des fans est tournée vers la rampe où Double C, Christian Cage, débarque en courant. Il se glisse sous la première corde et, sans que Cena ne puisse riposter, vient frapper le leader de la Cenation avec une chaise en métal, et ce en plein visage. Le Champ' tombe à terre, complètement KO. L'arbitre, lui, n'a d'autre choix que de faire sonner la disqualification et la victoire par disqualification donc, de John Cena ! Shelton Benjamin, lui, n'en croit pas ses yeux.
Booker T – Christian Cage vient d'intervenir dans le résultat de cette rencontre et vient non seulement de coûter une victoire potentielle à Shelton Benjamin, mais il a également mit le challenger pour le titre Attitude complètement KO..
Bill DeMott – Ce soir, Christian n'a pas adopté la bonne attitude Booker, il la joue personnel et se moque des autres, et cela pourrait lui attirer bon nombre de problèmes.
Et Bill ne croit pas si bien dire, puisque Shelton Benjamin, qui ne se remet pas de perdre de cette manière, demande des comptes à Christian qui, lui, regardait de haut la dépouille de Cena. Le Gold Standard interpelle Cage par l'épaule et lui demande des explications. Le ton monte entre les deux hommes, Christian lui expliquant que se sont ses affaires et qu'il a un problème avec John Cena. Il lui conseille même de dégager rapidement et de s'occuper de ses affaires. Après une seconde d'hésitation, Benjamin se retourne et semble prêt à partir, mais il se ravise et attrape Christian par derrière...
Benjamin porte un Knee Backbreaker à son adversaire, enchainé par un Neckbreaker qui cloue l'Instant Classic au sol. Benjamin vient visiblement de s'occuper de ses affaires, et Christian en paye le prix et vient peut être de se faire un nouvel ennemi. Shelton, lui, quitte le ring, complètement dégouté.
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Re: Attitude #2.
Le show a déjà bien avancé et on va connaître une fin de show terrible. Et une musique vient couper les bruits du public dans l’arène.
Le patron de l’AWC est là et débarque avec sa façon de marcher propre à lui. Il a une bière en main et la boit tout en s’avançant vers le ring, dans l’autre main, il a un micro. Que vient-il faire là ? Réponse dans quelques instants. N’ayant pas le temps de la finir, il la donne à Bill DeMott à la table des commentateurs et grimpe dans le ring.
Stone Cold – Non, je suis pas là pour parler de la tarlouze de Cena et de l’immonde Undertaker, je suis pas là non plus pour vous dire ce qu’il va advenir du gay de Christian Cage. Ne me parlez pas non plus des mauviettes que sont les Dudleyz. Si je suis là c’est parce que la semaine dernière, j’ai dit à Low-Ki, que j’avais une surprise pour lui. Cette surprise il va l’avoir right here, right now, on my ring ! J’espère pour lui qu’il est bien accroché parce que c’est pas tous les jours que Stone Cold offre des surprises. Alors maintenant que je l’invite il va ramener son cul vite fait, bien fait. J’espère que c’est compris Low-Ki.
Le public se tourne vers le titantron, attendant de voir arriver le lutteur.
Et sa musique retentit dans l’arène, Low-Ki débarque et regarde Stone Cold avec un sourire, il espère d’avance recevoir sa chance pour un titre, après tout la surprise vient du patron de l’AWC qui décide de tout. Le lutteur arrive dans le ring et tend aussitôt sa main à Stone Cold qui ne la saisit pas et qui au contraire regarde méchamment Low-Ki.
Stone Cold – Je peux savoir ce que t’essayes de faire là ?
Low-Ki – Je veux vous serrer la main …
Stone Cold – Enlève ta sale main maintenant. Depuis quand tu as le droit de me serrer la main little boy ?
Low-Ki – C’était une marque de respect, ni plus, ni moins.
Stone Cold – Tu me fais rire avec ton respect, ici c’est pas un club pour enfant, c’est pas un bac à sable om tout est rose, tout est joli, ici c’est une compagnie de lutte. Tu dois être le meilleur, y a pas de respect et de pitié envers tes adversaires, ici t’es dans un océan rempli de requins, si tu te bats pas pour avoir ton morceau de viande tu crèves. C’est comme ça que ça marche l’AWC, c’est comme ça que ça marche dans cette fédération d’hommes. On est pas là pour faire plaisir aux enfants, on est là pour se battre. Low-Ki, ce nom là à une putain de renommée, sur la scène indépendante beaucoup te considèrent comme un très grand nom et qu’est-ce que j’ai vu la semaine dernière quand tu t’es battu dans le ring ? De la merde, j’ai rien vu du tout. T’as rien montré, c’était juste inadmissible, et ça m’a foutu les nerfs quand j’ai vu ça. Si t’es là c’est pas pour me montrer cette merde. Ça rentre bien dans ta tête tout ce que je te dis ou quoi ?
Low-Ki – Vous avez raison, je n’ai pas à chercher d’excuse pour ma piètre performance de la semaine dernière.
Stone Cold – Ne parle pas de performance, y avait rien du tout. J’appelle-même pas ça un combat. C’était encore plus pitoyable que les navets qu’on peut voir au cinéma ou Stone Cold ne joue pas. C’était un déchet ton combat.
Low-Ki – Je suis sincèrement désolé, je vais me reprendre totalement. J’assumerai les conséquences de cela et c’était la dernière fois que vous avez vu Low-Ki se battre ainsi, désormais cela va changer.
Stone Cold – J’espère bien, et je vais te dire une dernière chose Low-Ki, si jamais je te revois te battre comme ça, je te foutrai à la porte en prenant soin de bien te botter ton cul. Et tu retourneras sur ta foutu scène indépendante ou avoir un nom là-bas de signifie rien du tout. De la renommée tu as vraiment quand tu perces à l’AWC. Maintenant, je vais te faire rentrer ça dans le crâne une dernière fois …
STUNNER !! STONE COLD STUNNER !! Si Low-Ki n’a pas compris là, je sais pas comment il comprendra. Le patron de l’AWC a frappé fort et précis. Low-Ki s’est bien fait niqué sur le coup. Stone Cold récupère son micro, il a l’air plus détendu.
Stone Cold – Bien, maintenant les compteurs sont remis à zéro. Si tu veux pas que je te recasse la gueule, t’as plus jamais intérêt à me décevoir.
Stone Cold Steve Austin balance son micro sur Low-Ki et quitte le ring sous une ovation du public présent dans l’arène. Stone Cold après avoir présenté son majeur en direction du ring retour en coulisses. On va pouvoir passer à la suite, quoique non, il y a du mouvement dans le public, quelqu’un saute par-dessus la rambarde de sécurité … Abdallah Tarver est là. Ce dernier plonge sous la première corde et se relève au-dessus du corps de Low-Ki. Il récupère le micro et fixe Low-Ki au sol.
Abdallah Tarver – Tu t’es bien fait niqué Low-Ki, et tant mieux, tes valeurs, les valeurs des hommes, elles ne valent strictement rien. Vous pensez qu’elles représentent quelque chose mais ce n’est pas le cas. Elles ne sont rien comparés aux valeurs d’Allah et aux cinq piliers du Tarver Creed. Low-Ki j’espère que tu te rends compte que tu ne vaux rien comparé à moi, aidé du grand Allah. Le Tarver Creed a fait de moi un homme avec de véritables valeurs, jamais tu ne seras pareil. Tu ne pourras jamais m'égaler. Jamais !
Abdallah Tarver balance son micro par terre et revient comme il est venu, en coup de vent, il avait juste un message à faire passer à Low-Ki.
Le patron de l’AWC est là et débarque avec sa façon de marcher propre à lui. Il a une bière en main et la boit tout en s’avançant vers le ring, dans l’autre main, il a un micro. Que vient-il faire là ? Réponse dans quelques instants. N’ayant pas le temps de la finir, il la donne à Bill DeMott à la table des commentateurs et grimpe dans le ring.
Stone Cold – Non, je suis pas là pour parler de la tarlouze de Cena et de l’immonde Undertaker, je suis pas là non plus pour vous dire ce qu’il va advenir du gay de Christian Cage. Ne me parlez pas non plus des mauviettes que sont les Dudleyz. Si je suis là c’est parce que la semaine dernière, j’ai dit à Low-Ki, que j’avais une surprise pour lui. Cette surprise il va l’avoir right here, right now, on my ring ! J’espère pour lui qu’il est bien accroché parce que c’est pas tous les jours que Stone Cold offre des surprises. Alors maintenant que je l’invite il va ramener son cul vite fait, bien fait. J’espère que c’est compris Low-Ki.
Le public se tourne vers le titantron, attendant de voir arriver le lutteur.
Et sa musique retentit dans l’arène, Low-Ki débarque et regarde Stone Cold avec un sourire, il espère d’avance recevoir sa chance pour un titre, après tout la surprise vient du patron de l’AWC qui décide de tout. Le lutteur arrive dans le ring et tend aussitôt sa main à Stone Cold qui ne la saisit pas et qui au contraire regarde méchamment Low-Ki.
Stone Cold – Je peux savoir ce que t’essayes de faire là ?
Low-Ki – Je veux vous serrer la main …
Stone Cold – Enlève ta sale main maintenant. Depuis quand tu as le droit de me serrer la main little boy ?
Low-Ki – C’était une marque de respect, ni plus, ni moins.
Stone Cold – Tu me fais rire avec ton respect, ici c’est pas un club pour enfant, c’est pas un bac à sable om tout est rose, tout est joli, ici c’est une compagnie de lutte. Tu dois être le meilleur, y a pas de respect et de pitié envers tes adversaires, ici t’es dans un océan rempli de requins, si tu te bats pas pour avoir ton morceau de viande tu crèves. C’est comme ça que ça marche l’AWC, c’est comme ça que ça marche dans cette fédération d’hommes. On est pas là pour faire plaisir aux enfants, on est là pour se battre. Low-Ki, ce nom là à une putain de renommée, sur la scène indépendante beaucoup te considèrent comme un très grand nom et qu’est-ce que j’ai vu la semaine dernière quand tu t’es battu dans le ring ? De la merde, j’ai rien vu du tout. T’as rien montré, c’était juste inadmissible, et ça m’a foutu les nerfs quand j’ai vu ça. Si t’es là c’est pas pour me montrer cette merde. Ça rentre bien dans ta tête tout ce que je te dis ou quoi ?
Low-Ki – Vous avez raison, je n’ai pas à chercher d’excuse pour ma piètre performance de la semaine dernière.
Stone Cold – Ne parle pas de performance, y avait rien du tout. J’appelle-même pas ça un combat. C’était encore plus pitoyable que les navets qu’on peut voir au cinéma ou Stone Cold ne joue pas. C’était un déchet ton combat.
Low-Ki – Je suis sincèrement désolé, je vais me reprendre totalement. J’assumerai les conséquences de cela et c’était la dernière fois que vous avez vu Low-Ki se battre ainsi, désormais cela va changer.
Stone Cold – J’espère bien, et je vais te dire une dernière chose Low-Ki, si jamais je te revois te battre comme ça, je te foutrai à la porte en prenant soin de bien te botter ton cul. Et tu retourneras sur ta foutu scène indépendante ou avoir un nom là-bas de signifie rien du tout. De la renommée tu as vraiment quand tu perces à l’AWC. Maintenant, je vais te faire rentrer ça dans le crâne une dernière fois …
STUNNER !! STONE COLD STUNNER !! Si Low-Ki n’a pas compris là, je sais pas comment il comprendra. Le patron de l’AWC a frappé fort et précis. Low-Ki s’est bien fait niqué sur le coup. Stone Cold récupère son micro, il a l’air plus détendu.
Stone Cold – Bien, maintenant les compteurs sont remis à zéro. Si tu veux pas que je te recasse la gueule, t’as plus jamais intérêt à me décevoir.
Stone Cold Steve Austin balance son micro sur Low-Ki et quitte le ring sous une ovation du public présent dans l’arène. Stone Cold après avoir présenté son majeur en direction du ring retour en coulisses. On va pouvoir passer à la suite, quoique non, il y a du mouvement dans le public, quelqu’un saute par-dessus la rambarde de sécurité … Abdallah Tarver est là. Ce dernier plonge sous la première corde et se relève au-dessus du corps de Low-Ki. Il récupère le micro et fixe Low-Ki au sol.
Abdallah Tarver – Tu t’es bien fait niqué Low-Ki, et tant mieux, tes valeurs, les valeurs des hommes, elles ne valent strictement rien. Vous pensez qu’elles représentent quelque chose mais ce n’est pas le cas. Elles ne sont rien comparés aux valeurs d’Allah et aux cinq piliers du Tarver Creed. Low-Ki j’espère que tu te rends compte que tu ne vaux rien comparé à moi, aidé du grand Allah. Le Tarver Creed a fait de moi un homme avec de véritables valeurs, jamais tu ne seras pareil. Tu ne pourras jamais m'égaler. Jamais !
Abdallah Tarver balance son micro par terre et revient comme il est venu, en coup de vent, il avait juste un message à faire passer à Low-Ki.
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Re: Attitude #2.
Booker T – La fin de la soirée approche et pour cause, il ne nous reste plus que le main event à déguster. Alors Bill, un handicap match, qu'est-ce que ça t'inspire ?
Bill DeMott – Par définition il avantage l'équipe...
Booker T – Tout le monde sait ça, voyons.
Bill DeMott – Le public est con. Regarde ce jeune coiffé avec son maillot kipsta au premier rang, et bien il n'attend qu'une chose c'est que je lui explique que l'Undertaker va devoir se sortir les tripes pour remporter ce match face au Dudleyz ce soir.
Booker T – Dudleyz qui, pour l'occasion, ont sortie leur panoplie "vacances à Hawaï".
Bill DeMott – Sauf le Gertner qui lui porte la fourrure. Pas très professionnel tout ça.
Booker T – Place à l'Undertaker, notre premier attitude champion ?
Bill DeMott – Je ne sais pas, comme je ne sais pas ce que fout Bearer avec lui. Il n'est avec son frère, Kane, habituellement ?
Booker T – Si.
Bill DeMott – Décidément, j'comprends rien.
Booker T – Il n'est plus l'heure de comprendre de toute façon, mais de se battre !
» FIGHT ! «
Il n'en faut pas plus à l'arbitre pour faire sonner la cloche. C'est D-Von qui démarre le match face au Deadman. D'abord sur la retenue, il se laisse allez après avoir pris l'avantage physique sur son mort-vivant d'adversaire. D-Von envoie quelques droites à l'Undertaker puis le tire vers le coin avant de passer la main à son frère. Les frangins bombardent de Last Outlaw de coups en tous genre jusqu'à que l'arbitre fasse sortir D-Von à l'extérieur des cordes. C'est le moment que choisie Bearer mettre son grain de sel. En effet il vient de lancer au visage de Bubba Ray de la poussière extraite de l'urne qu'il tient depuis le début match. Brother Ray vacille au milieu du ring, perdu car dénué de toute orientation, il en proie au pire et c'est ce qui arrive puisque l'Undertaker l'attrape à la gorge et chokeslam ! NON puisque D-Von vient d'intervenir, mais ça ne change pas grand chose puisque le croque-mort n'a qu'à tendre le bras pour l'attraper, lui aussi, en deçà de la tête.
Booker T – Qu'est-ce que j'aime ces moments là !
Malheureusement pour une foule qui n'attendait que ça, le double chokeslam n'arrive pas. Non, à la place on a droit à une clothesline des deux Dudley qui envoie l'Undertaker au sol. Mais Bubba a à peine le temps se retourner que Bearer agite son urne, faisant se lever presque immédiatement le Deadman. Celui-ci attrape D-Von et le place rapidement en position de tombstone sans parvenir à effectuer la fameuse prise puisque le plus noir des 23 putain de fois champions par équipe se retient aux cordes. Il le laisse donc tomber mais ne tarde pas à placer cette fois un chokeslam réussi. Bubba revient à la charge mais Taker l'évite et l'attrape lui aussi à la gorge avant le l'aplatir sur son frère. Bearer tire brother ray hors du ring et le phenom n'a plus qu'à river les épaules de D-Von au sol pour remporter la victoire.
Booker T – Remarquable victoire de l'Undertaker.
Bill DeMott – Ceux qui en doutés encore son fixés, Steve a bien fait de le designer comme prétendant à l'Attitude Championship.
Bill DeMott – Par définition il avantage l'équipe...
Booker T – Tout le monde sait ça, voyons.
Bill DeMott – Le public est con. Regarde ce jeune coiffé avec son maillot kipsta au premier rang, et bien il n'attend qu'une chose c'est que je lui explique que l'Undertaker va devoir se sortir les tripes pour remporter ce match face au Dudleyz ce soir.
Booker T – Dudleyz qui, pour l'occasion, ont sortie leur panoplie "vacances à Hawaï".
Bill DeMott – Sauf le Gertner qui lui porte la fourrure. Pas très professionnel tout ça.
Booker T – Place à l'Undertaker, notre premier attitude champion ?
Bill DeMott – Je ne sais pas, comme je ne sais pas ce que fout Bearer avec lui. Il n'est avec son frère, Kane, habituellement ?
Booker T – Si.
Bill DeMott – Décidément, j'comprends rien.
Booker T – Il n'est plus l'heure de comprendre de toute façon, mais de se battre !
» FIGHT ! «
Il n'en faut pas plus à l'arbitre pour faire sonner la cloche. C'est D-Von qui démarre le match face au Deadman. D'abord sur la retenue, il se laisse allez après avoir pris l'avantage physique sur son mort-vivant d'adversaire. D-Von envoie quelques droites à l'Undertaker puis le tire vers le coin avant de passer la main à son frère. Les frangins bombardent de Last Outlaw de coups en tous genre jusqu'à que l'arbitre fasse sortir D-Von à l'extérieur des cordes. C'est le moment que choisie Bearer mettre son grain de sel. En effet il vient de lancer au visage de Bubba Ray de la poussière extraite de l'urne qu'il tient depuis le début match. Brother Ray vacille au milieu du ring, perdu car dénué de toute orientation, il en proie au pire et c'est ce qui arrive puisque l'Undertaker l'attrape à la gorge et chokeslam ! NON puisque D-Von vient d'intervenir, mais ça ne change pas grand chose puisque le croque-mort n'a qu'à tendre le bras pour l'attraper, lui aussi, en deçà de la tête.
Booker T – Qu'est-ce que j'aime ces moments là !
Malheureusement pour une foule qui n'attendait que ça, le double chokeslam n'arrive pas. Non, à la place on a droit à une clothesline des deux Dudley qui envoie l'Undertaker au sol. Mais Bubba a à peine le temps se retourner que Bearer agite son urne, faisant se lever presque immédiatement le Deadman. Celui-ci attrape D-Von et le place rapidement en position de tombstone sans parvenir à effectuer la fameuse prise puisque le plus noir des 23 putain de fois champions par équipe se retient aux cordes. Il le laisse donc tomber mais ne tarde pas à placer cette fois un chokeslam réussi. Bubba revient à la charge mais Taker l'évite et l'attrape lui aussi à la gorge avant le l'aplatir sur son frère. Bearer tire brother ray hors du ring et le phenom n'a plus qu'à river les épaules de D-Von au sol pour remporter la victoire.
Booker T – Remarquable victoire de l'Undertaker.
Bill DeMott – Ceux qui en doutés encore son fixés, Steve a bien fait de le designer comme prétendant à l'Attitude Championship.
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Re: Attitude #2.
Booker T – L'Undertaker règne pour le moment sur cette fédération et personne ne semble pouvoir lui contester cette suprématie, pour le moment. Et sur ces images, Attitude, deuxième du nom va se terminer.
Bill DeMott – Si j'étais toi, j'attendrai encore un peu pour rendre l'antenne Booker, regarde sur le ring, les Dudleys semblent vouloir faire quelque chose.
Booker T – Tell me they're not going to do that...
En effet, sur le ring il semble d'y avoir de l'agitation. Alors que l'Undertaker se relève doucement, les frangins Dudleys, eux, l'attaque par derrière avec un Double Axe Handle. L'Undertaker rechute à terre et les frangins Dudley, surement très énervés par cette défaite, décident donc de se venger en passant à tabac l'Undertaker. Le Phenom encaisse les coups sans pouvoir riposter et finalement, Bubba et Devon mettent au tapis leur adversaire, mais ils ne semblent pas vouloir en restez là... Bubba se retourne et vient violemment pousser son frangin.
Bubba Ray – Devon...
Toi aussi, comme la foule, tu te mets à popper (je pop, tu poppes, il poppe...) comme un dingue voyant ce qui va venir ?!
Bubba Ray – GET THE TABLES !
La foule explose, les Dudley's ont beau s'en prendre à l'Undertaker, ici c'est l'Attitude qui compte, et les Dudley'z ont la bonne Attitude en sortant cette putain de table ce soir. Sign Guy, qui se tient à l'extérieur du ring depuis le début, ne manque pas de s'emparer d'une pancarte "We want tables !" d'un fan pour la montrer fièrement. Devon, lui, est descendu du ring depuis un moment et il vient de la sortir, sa putain de table en bois.
Bill DeMott – Si tu veux mon avis Booker, ce soir il y a trois choses qui seront sûres pour l'Undertaker : sa victoire dans le Main-Event, son spot pour l'Attitude Championship, et un passage à travers une putain de table.
Booker T – Can you dig that, sucka' ?
Alors qu'à la table des commentateurs, on se prépare au pire, sur le ring, les frères Dudley, eux, sont déjà en train de placer leur table. Pendant que Bubba continuait de matraquer l'Undertaker de coups en tout genre, Devon a placé la table, tout semble prêt pour le clou du spectacle, et rien ne semble pouvoir l'en empêcher, pas même l'Undertaker. A moins que...
A moins que John Cena ne vienne se mêler de tout ça. Évidemment, la foule réagit négativement dans son ensemble à l'arrivée du Champ' car, en plus de ne pas être très aimé des fans, vient d'empêcher un épic moment programmé. Mais peu importe, habillé en militaire, Cena débarque sur le ring en courant et les frères Dudley ne prennent pas de risques et préfèrent quitter le ring, remettant à plus tard le passage à travers une table. D'ailleurs, c'est ce que Bubba semble crier, que ce n'est que partie remise. Cena, lui, accoudé aux cordes, s'assure que les deux hommes qui prétendent au titre par équipes ne reviendront pas sur ce ring. Après cela, il se retourne mais se stoppe net, il tombe face à une montagne dressée comme un piqué, le regard sombre et sans expression, fixé sur le Champ'.
Aucun mot, aucun geste, juste un bon vieux face-off où les deux protagonistes se regardent les yeux dans les yeux, sans rien faire d'autre. Thunderslam n'aura lieu qu'à la fin du mois, mais le jeu d'intimidation entre les deux hommes débute dès à présent, et ce n'est pas pour nous déplaire. En effet, Booker T et Bill DeMott semblent très excités par cette confrontation alors que les fans, eux, scandent tour à tour le nom de l'Undertaker puis le nom de John Cena. Les deux hommes continuent de se fixer pendant une dizaine de seconde, et alors que la foule demande à ce que les choses s'enflamment, il n'en est rien.
DONG... DONG... DONG...
Blackout total dans la salle, on n'y voit plus rien, et on entend rien d'autre que les fans qui se mettent à crier tout seul, comme pour donner d'avantage de volume et d'importance à ce qu'il se passe déjà en ce moment.
Un nouveau dong retentit et les lumières se rallument l'espace d'une seconde, le temps de voir que John Cena est toujours debout, au milieu du ring, et en un seul morceau. L'Undertaker, lui, n'est déjà plus là et on se quitte là dessus, à la semaine prochaine.
Bill DeMott – Si j'étais toi, j'attendrai encore un peu pour rendre l'antenne Booker, regarde sur le ring, les Dudleys semblent vouloir faire quelque chose.
Booker T – Tell me they're not going to do that...
En effet, sur le ring il semble d'y avoir de l'agitation. Alors que l'Undertaker se relève doucement, les frangins Dudleys, eux, l'attaque par derrière avec un Double Axe Handle. L'Undertaker rechute à terre et les frangins Dudley, surement très énervés par cette défaite, décident donc de se venger en passant à tabac l'Undertaker. Le Phenom encaisse les coups sans pouvoir riposter et finalement, Bubba et Devon mettent au tapis leur adversaire, mais ils ne semblent pas vouloir en restez là... Bubba se retourne et vient violemment pousser son frangin.
Bubba Ray – Devon...
Toi aussi, comme la foule, tu te mets à popper (je pop, tu poppes, il poppe...) comme un dingue voyant ce qui va venir ?!
Bubba Ray – GET THE TABLES !
La foule explose, les Dudley's ont beau s'en prendre à l'Undertaker, ici c'est l'Attitude qui compte, et les Dudley'z ont la bonne Attitude en sortant cette putain de table ce soir. Sign Guy, qui se tient à l'extérieur du ring depuis le début, ne manque pas de s'emparer d'une pancarte "We want tables !" d'un fan pour la montrer fièrement. Devon, lui, est descendu du ring depuis un moment et il vient de la sortir, sa putain de table en bois.
Bill DeMott – Si tu veux mon avis Booker, ce soir il y a trois choses qui seront sûres pour l'Undertaker : sa victoire dans le Main-Event, son spot pour l'Attitude Championship, et un passage à travers une putain de table.
Booker T – Can you dig that, sucka' ?
Alors qu'à la table des commentateurs, on se prépare au pire, sur le ring, les frères Dudley, eux, sont déjà en train de placer leur table. Pendant que Bubba continuait de matraquer l'Undertaker de coups en tout genre, Devon a placé la table, tout semble prêt pour le clou du spectacle, et rien ne semble pouvoir l'en empêcher, pas même l'Undertaker. A moins que...
A moins que John Cena ne vienne se mêler de tout ça. Évidemment, la foule réagit négativement dans son ensemble à l'arrivée du Champ' car, en plus de ne pas être très aimé des fans, vient d'empêcher un épic moment programmé. Mais peu importe, habillé en militaire, Cena débarque sur le ring en courant et les frères Dudley ne prennent pas de risques et préfèrent quitter le ring, remettant à plus tard le passage à travers une table. D'ailleurs, c'est ce que Bubba semble crier, que ce n'est que partie remise. Cena, lui, accoudé aux cordes, s'assure que les deux hommes qui prétendent au titre par équipes ne reviendront pas sur ce ring. Après cela, il se retourne mais se stoppe net, il tombe face à une montagne dressée comme un piqué, le regard sombre et sans expression, fixé sur le Champ'.
Aucun mot, aucun geste, juste un bon vieux face-off où les deux protagonistes se regardent les yeux dans les yeux, sans rien faire d'autre. Thunderslam n'aura lieu qu'à la fin du mois, mais le jeu d'intimidation entre les deux hommes débute dès à présent, et ce n'est pas pour nous déplaire. En effet, Booker T et Bill DeMott semblent très excités par cette confrontation alors que les fans, eux, scandent tour à tour le nom de l'Undertaker puis le nom de John Cena. Les deux hommes continuent de se fixer pendant une dizaine de seconde, et alors que la foule demande à ce que les choses s'enflamment, il n'en est rien.
DONG... DONG... DONG...
Blackout total dans la salle, on n'y voit plus rien, et on entend rien d'autre que les fans qui se mettent à crier tout seul, comme pour donner d'avantage de volume et d'importance à ce qu'il se passe déjà en ce moment.
Un nouveau dong retentit et les lumières se rallument l'espace d'une seconde, le temps de voir que John Cena est toujours debout, au milieu du ring, et en un seul morceau. L'Undertaker, lui, n'est déjà plus là et on se quitte là dessus, à la semaine prochaine.
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