Thunderslam.
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Thunderslam.
Salut tout le monde, j'espère que vous êtes chauds, que vous êtes prêts pour Thunderslam. Actuellement, le pay per view n'a pas commencé, il n'est que midi et demi, et les lutteurs de l'Attitude Wrestling Corporation font la queue à la cantine. En plus, vous savez qui est la cantinière ? Momma Benjamin !
Momma Benjamin – Vous pouvez wépétez' ce que vous voulez madame Stwatus' ? Je me fais vieille, un peu duwe' d'oweille'.
J'en connais d'autre qui sont durs d'autre chose à la simple mention de Trish Stratus. Trish, elle, répond avec une voix suave, tout de l'allumeuse celle là.
Trish Stratus – Je voudrais deux bonnes grosses pastèques bien juteuses ...
Momma lui donne ses deux pastèques et demande au suivant de s'avancer, et c'est Kane qui suit, son plateau dans les mains.
Momma Benjamin – Tu veux quoi, mon chou ?
Kane – Chair... Humaine... Fraîche...
Momma Benjamin – Désolé, mais on a pas de ça, tu préfèwes' pas un yaouwt' ?
Kane – Chair... Fraîche... !
Momma Benjamin – On a pas non plus, désolé, mon mignon.
Kane – Chair !
Momma Benjamin – Et un steak de cheval avawié' pour le gwand' garçon. Allez, je vais t'en mettwe' deux, tu m'a l'aiw' en pleine cwoissance', toi !
Kane reçoit ses steaks et passe son chemin. Suit Christian Cage, son plateau déjà garni d'une bouteille de sirop d'érable.
Momma Benjamin – Qu'est ce que ce sewa' pour toi, mon mignon ?
Christian Cage – Mon mignon ?... Vous ne savez pas qui je suis ?
Momma Benjamin – Bien sûw' que je sais qui tu es. Tu es un mewveilleux' jeune homme en pleine santé qui doit faiwe' chavirew' les jeunes dames.
Christian Cage – Shelton doit pas parler souvent à sa mère... Euh, une quinzaine de pancakes, m'dame, j'ai déjà mon sirop d'érable.
Christian passe son chemin, lui aussi. La caméra se tourne vers la salle. Les quatre membres de la Corporation sont tous attablés au même endroit, Austin est déjà à la bière, Booker est caché par Bill DeMott qui bouffe comme un ogre, il a déjà ingurgité quatre rumsteak, huit saucisses, trois cuisses de poulets, un râble de lapin, deux cabillaud entiers, moins les arêtes, et il se tartine une tranche de beurre sur du pain, même si il semble plutôt manger du beurre au pain que du pain au beurre. Trish, elle, bouffe ses pastèques en faisant ruisseler de l'eau sur son t-shirt, la cochonne. Non, la grosse cochonne.
Momma Benjamin – Et ce sewa' quoi pour toi ?
Shelton Benjamin – Maman, tu me reconnais pas ?
Momma Benjamin – Oh ! Shelton ! Mon bébé d'amouw', mon choux à la cwème', mon fils chéwi', mon soleil à moi ! Oh, comme je suis contente !
Shelton Benjamin – Maman, tu me gènes ... Sers moi des pâtes plutôt, et une bouteille de bière.
Momma Benjamin – De la bièwe' ? Tu t'es mis à boiwe' mon fils ? Non, non et non ! Pas question ! Je wefuse' que mon fils devienne un alcoolique !
Shelton Benjamin – Maman, c'est juste une bouteille, c'est pour plaire à Austin...
Momma Benjamin – Pas question !
Shelton Benjamin – Maman, s'il te plaît, pas devant tout le monde...
Momma Benjamin – Et tu oses me pawlew' comme ça ? Allez, zou ! Pwivé' de dessewt' !
Shelton va rejoindre Low Ki et les Briscoes, qui parlentde la ROH d'une fédération autre que l'AWC, et donc dénuée d'intérêt quelconque. Low Ki mange des nems tout en parlant, alors que les Briscoes ont fini leurs couscous. A la table d'à côté, les Dudleys sont autour d'une grosse raclette, enfin, sauf Gertner qui est en train de jongler entre trois téléphones pour dire des choses cochonnes à trois femmes différentes. Encore une table à côté, on voit Kevin Thorn qui mange un steak cru, et boit une bouteille pleine d'un liquide rouge ... Ah, c'est de la grenadine. Tout le roster est installé, tous sauf un homme qui vient avec son plateau.
Abdallah Tarver – Je voudrais de la salade.
Momma Benjamin – Désolé, on en a plus, en entwée' on a plus que des willettes'.
Abdallah Tarver – Des... Et en plats ?
Momma Benjamin – Et bien, il weste' des saucisses, ou sinon, une bonne côte de powc'.
Abdallah Tarver – C'est une blague ? Il n'y a rien de hallal ici ?
Tarver semble enragé, et au fond de la salle, Jay Briscoe lui crie qu'il lui reste quelques grains de couscous. L'intégralité du roster se met à rire alors que Mark tape dans la main de Jay. Tarver, à bout, se met debout sur la table vide la plus proche.
Note du mec qui met les photos : Super crédible l'envoyé d'Allah !
Abdallah Tarver – Écoutez moi bien, chiens d'infidèles ! J'en ai assez que vous me manquiez de respect, à moi et à l'Islam ! Quand viendra le ramadan, vous mourrez tous de fin, parce que je m'assurerais que cette cantine ferme ! J'en ferais un Jihad !
Toute la salle a fermée sa gueule, mais Austin se lève et vient à la rencontre de Tarver.
Stone Cold – Je te comprend, mec, calme toi, tout va bien, tranquille. Vient à ma table, on va se détendre autour d'une bonne bière.
Tarver ouvre la bouche pour crier, mais la rage lui coupe ses moyens, il tourne les talons et s'en va de la cantine.
Momma Benjamin – Vous pouvez wépétez' ce que vous voulez madame Stwatus' ? Je me fais vieille, un peu duwe' d'oweille'.
J'en connais d'autre qui sont durs d'autre chose à la simple mention de Trish Stratus. Trish, elle, répond avec une voix suave, tout de l'allumeuse celle là.
Trish Stratus – Je voudrais deux bonnes grosses pastèques bien juteuses ...
Momma lui donne ses deux pastèques et demande au suivant de s'avancer, et c'est Kane qui suit, son plateau dans les mains.
Momma Benjamin – Tu veux quoi, mon chou ?
Kane – Chair... Humaine... Fraîche...
Momma Benjamin – Désolé, mais on a pas de ça, tu préfèwes' pas un yaouwt' ?
Kane – Chair... Fraîche... !
Momma Benjamin – On a pas non plus, désolé, mon mignon.
Kane – Chair !
Momma Benjamin – Et un steak de cheval avawié' pour le gwand' garçon. Allez, je vais t'en mettwe' deux, tu m'a l'aiw' en pleine cwoissance', toi !
Kane reçoit ses steaks et passe son chemin. Suit Christian Cage, son plateau déjà garni d'une bouteille de sirop d'érable.
Momma Benjamin – Qu'est ce que ce sewa' pour toi, mon mignon ?
Christian Cage – Mon mignon ?... Vous ne savez pas qui je suis ?
Momma Benjamin – Bien sûw' que je sais qui tu es. Tu es un mewveilleux' jeune homme en pleine santé qui doit faiwe' chavirew' les jeunes dames.
Christian Cage – Shelton doit pas parler souvent à sa mère... Euh, une quinzaine de pancakes, m'dame, j'ai déjà mon sirop d'érable.
Christian passe son chemin, lui aussi. La caméra se tourne vers la salle. Les quatre membres de la Corporation sont tous attablés au même endroit, Austin est déjà à la bière, Booker est caché par Bill DeMott qui bouffe comme un ogre, il a déjà ingurgité quatre rumsteak, huit saucisses, trois cuisses de poulets, un râble de lapin, deux cabillaud entiers, moins les arêtes, et il se tartine une tranche de beurre sur du pain, même si il semble plutôt manger du beurre au pain que du pain au beurre. Trish, elle, bouffe ses pastèques en faisant ruisseler de l'eau sur son t-shirt, la cochonne. Non, la grosse cochonne.
Momma Benjamin – Et ce sewa' quoi pour toi ?
Shelton Benjamin – Maman, tu me reconnais pas ?
Momma Benjamin – Oh ! Shelton ! Mon bébé d'amouw', mon choux à la cwème', mon fils chéwi', mon soleil à moi ! Oh, comme je suis contente !
Shelton Benjamin – Maman, tu me gènes ... Sers moi des pâtes plutôt, et une bouteille de bière.
Momma Benjamin – De la bièwe' ? Tu t'es mis à boiwe' mon fils ? Non, non et non ! Pas question ! Je wefuse' que mon fils devienne un alcoolique !
Shelton Benjamin – Maman, c'est juste une bouteille, c'est pour plaire à Austin...
Momma Benjamin – Pas question !
Shelton Benjamin – Maman, s'il te plaît, pas devant tout le monde...
Momma Benjamin – Et tu oses me pawlew' comme ça ? Allez, zou ! Pwivé' de dessewt' !
Shelton va rejoindre Low Ki et les Briscoes, qui parlent
Abdallah Tarver – Je voudrais de la salade.
Momma Benjamin – Désolé, on en a plus, en entwée' on a plus que des willettes'.
Abdallah Tarver – Des... Et en plats ?
Momma Benjamin – Et bien, il weste' des saucisses, ou sinon, une bonne côte de powc'.
Abdallah Tarver – C'est une blague ? Il n'y a rien de hallal ici ?
Tarver semble enragé, et au fond de la salle, Jay Briscoe lui crie qu'il lui reste quelques grains de couscous. L'intégralité du roster se met à rire alors que Mark tape dans la main de Jay. Tarver, à bout, se met debout sur la table vide la plus proche.
Note du mec qui met les photos : Super crédible l'envoyé d'Allah !
Abdallah Tarver – Écoutez moi bien, chiens d'infidèles ! J'en ai assez que vous me manquiez de respect, à moi et à l'Islam ! Quand viendra le ramadan, vous mourrez tous de fin, parce que je m'assurerais que cette cantine ferme ! J'en ferais un Jihad !
Toute la salle a fermée sa gueule, mais Austin se lève et vient à la rencontre de Tarver.
Stone Cold – Je te comprend, mec, calme toi, tout va bien, tranquille. Vient à ma table, on va se détendre autour d'une bonne bière.
Tarver ouvre la bouche pour crier, mais la rage lui coupe ses moyens, il tourne les talons et s'en va de la cantine.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Thunderslam.
IT WAS TWO WEEKS AGO.
...
ATTITUDE NUMBER FOUR, LIVE FROM NEW ORLEANS, LA.
John Cena est violemment attaqué dans le parking et se fait renverser par une voiture. Le Champ' est évacué à l'hôpital.
Dans une vidéo enregistrée, The Rock se fait violemment attaquer par Randy Orton qui l'envoie lui aussi à l'hôpital.
Randy Orton n'a qu'une envie : Mettre sa main sur Rey Misterio. Mais ce dernier est plus malin et se permet même de narguer l'Apex Predator.
Triple H sauve Andy d'un Punt Kick et le surprend ensuite par un Pedigree. Orton, toujours lui, n'apprécie pas, et les deux hommes se chauffent.
Low-Ki vient à bout de l'Undertaker mais se fait surprendre par Abdallah Tarver qui promet de délivrer le jugement d'Allah lors de Thunderslam.
Les premiers mots de la Duchesse des ténèbres font froid dans le dos. Elle veut le pouvoir et la domination, et annonce un futur règne de terreur.
Austin remet les choses en ordre : Les Dudleyz devront gagner leurs titres dans un Invitational Tag Team Turmoil Match, D'Angelo Dinero affrontera R-Truth, Alberto Del Rio et Kurt Angle se feront face dans un No-Count Out Match, and that's the bottom line.
AND NOW, LIVE ON PAY PER VIEW
...
THIS IS THUNDERSLAM LIVE FROM HOUSTON, TX.
...
ATTITUDE NUMBER FOUR, LIVE FROM NEW ORLEANS, LA.
John Cena est violemment attaqué dans le parking et se fait renverser par une voiture. Le Champ' est évacué à l'hôpital.
Dans une vidéo enregistrée, The Rock se fait violemment attaquer par Randy Orton qui l'envoie lui aussi à l'hôpital.
Randy Orton n'a qu'une envie : Mettre sa main sur Rey Misterio. Mais ce dernier est plus malin et se permet même de narguer l'Apex Predator.
Triple H sauve Andy d'un Punt Kick et le surprend ensuite par un Pedigree. Orton, toujours lui, n'apprécie pas, et les deux hommes se chauffent.
Low-Ki vient à bout de l'Undertaker mais se fait surprendre par Abdallah Tarver qui promet de délivrer le jugement d'Allah lors de Thunderslam.
Les premiers mots de la Duchesse des ténèbres font froid dans le dos. Elle veut le pouvoir et la domination, et annonce un futur règne de terreur.
Austin remet les choses en ordre : Les Dudleyz devront gagner leurs titres dans un Invitational Tag Team Turmoil Match, D'Angelo Dinero affrontera R-Truth, Alberto Del Rio et Kurt Angle se feront face dans un No-Count Out Match, and that's the bottom line.
AND NOW, LIVE ON PAY PER VIEW
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THIS IS THUNDERSLAM LIVE FROM HOUSTON, TX.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Thunderslam.
A l'Attitude Wrestling Corporation, il y a des tas de raisons de ne pas s'aimer.
Quand un homme veut prendre le spotlight de l'autre,
Et que l'autre veut se venger.
Quand un homme qui veut à tout prix rendre justice,
Se heurte à un autre qui n'a ni foi ni loi.
Quand un jeune lion intrépide,
Se voit confronté par un vieux loup en quête de respect.
Quand un homme veut imposer son code de conduite,
En rencontre un autre qui tient à son credo.
Quand ceux qui se proclament les meilleurs au monde,
Se voient obligés de trouver de la concurrence pour toucher l'or.
Quand un homme en quête de gloire veut prouver qu'il est le meilleur,
Et qu'il tombe sur plus belliqueux que lui.
Quand l'un met en avant son palmarès,
Et que l'autre vient montrer qu'il en a un plus gros.
Quand un homme,
Doit affronter un démon,
S'il veut décrocher le prix ultime.
Alors, un éclair déchire le ciel !
AND NOW, THE ATTITUDE WRESTLING CORPORATION PRESENTS
THUNDERSLAM
Quand un homme veut prendre le spotlight de l'autre,
Et que l'autre veut se venger.
Quand un homme qui veut à tout prix rendre justice,
Se heurte à un autre qui n'a ni foi ni loi.
Quand un jeune lion intrépide,
Se voit confronté par un vieux loup en quête de respect.
Quand un homme veut imposer son code de conduite,
En rencontre un autre qui tient à son credo.
Quand ceux qui se proclament les meilleurs au monde,
Se voient obligés de trouver de la concurrence pour toucher l'or.
Quand un homme en quête de gloire veut prouver qu'il est le meilleur,
Et qu'il tombe sur plus belliqueux que lui.
Quand l'un met en avant son palmarès,
Et que l'autre vient montrer qu'il en a un plus gros.
Quand un homme,
Doit affronter un démon,
S'il veut décrocher le prix ultime.
Alors, un éclair déchire le ciel !
AND NOW, THE ATTITUDE WRESTLING CORPORATION PRESENTS
THUNDERSLAM
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Thunderslam.
ATTITUDE WRESTLING CORPORATION.
IT'S TIME TO CHOOSE THE RIGHT ATTITUDE.
« GIVE ME A HELL YEAH ! »
UNLEASH HELL.
« YOU LITTLE SUMBITCH ! »
AUSTIN 3:16 JUST WHOOPED YOUR ASS.
« WHAT ? »
THIS IS A NEW WRESTLING ERA.
« WHAT ? »
HOSTED BY THE TEXAS RATTLESNAKE, BEER DRINKER...
« THE TOUGHEST SUMBITCH OF WRESTLING HISTORY ! »
STONE COLD STEVE AUSTIN !
« OH HELL YEAH ! »
ARRIVE, RAISE HELL, LEAVE.
« WHAT ? »
THIS IS NOW...
« AND THAT'S THE BOTTOM LINE... »
THIS... IS... ATTITUDE !
« CAUSE STONE COLD SAID SO ! »
IT'S TIME TO CHOOSE THE RIGHT ATTITUDE.
« GIVE ME A HELL YEAH ! »
UNLEASH HELL.
« YOU LITTLE SUMBITCH ! »
AUSTIN 3:16 JUST WHOOPED YOUR ASS.
« WHAT ? »
THIS IS A NEW WRESTLING ERA.
« WHAT ? »
HOSTED BY THE TEXAS RATTLESNAKE, BEER DRINKER...
« THE TOUGHEST SUMBITCH OF WRESTLING HISTORY ! »
STONE COLD STEVE AUSTIN !
« OH HELL YEAH ! »
ARRIVE, RAISE HELL, LEAVE.
« WHAT ? »
THIS IS NOW...
« AND THAT'S THE BOTTOM LINE... »
THIS... IS... ATTITUDE !
« CAUSE STONE COLD SAID SO ! »
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Thunderslam.
Bonsoir, bonsoir. Aujourd'hui, c'est Thunderslam, c'est chaud bouillant, une véritable barquette de frites. Cette soirée est à la fois synonyme de fête mais aussi de deuil. Un double deuil, même. En effet, durant ces deux semaines qui séparaient Attitude #4 et Thunderslam, Amy Whinehouse est morte, entraînant avec elle la célèbre société Kronenbourg, qui, après avoir perdu sa meilleure cliente, a préféré se retirer du marché. Nous allons, en l'honneur de sa mémoire, lui rendre hommage, avec une minute de silence.
Matez comment l'ambiance de cette photographie respire le silence, vraiment. Bref. Avant que l'on ne s'attaque au vif du sujet, j'espère que ce segment recevra un Attitude Weekly Awards, vraiment. Pour les incultes, les Awards, ce sont les mêmes merdes qui sont postées chaque semaine. 'Suffit d'en voir le second épisode : un vrai torchon, dont le premier paragraphe était complètement raturé. Bref, bref, bref. Aujourd'hui, plutôt que de nous intéresser à la foule, intéressons-nous aux grands classiques, à savoir, les pancartes. Alors...au premier rang, là-bas, nous pouvons apercevoir un bout de pancarte, l'autre étant caché par un gros bouffant des chips, s'enfilant une bière et un joint, magnifique dédicace à Whinehouse, c'est admirable. Ce morceau de pancarte affiche "R.I.P. ... W.A." Nouvel hommage à Whinehouse Amy, sûrement...ah non, pas tout à fait, le gros cachait la lettre P, ce qui nous donne "RIP PWA". Quel hommage, dis donc, dommage que la moitié des membres zapperont cette intro.
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Bon, il est temps de passer aux autres pancartes. Nous apercevons un superbe "La NoW va fermer ses portes", magnifique vraiment, dommage que ce type ait un an de retard sur l'actualité. Un jeune homme d'environ 15-16 ans crie à la censure, tandis que les deux membres du staff diaboliques, à savoir le bachelier boutonneux et le Tyran sont là, à l’affût. Du côté de la tribune d'honneur, réservée aux VIP, tous les invités sont là, à savoir Marylin Monroe, Michael Jackson, Dark Vador et Amy Whinehouse. Ils ont tous l'air en pleine forme, et heureux de vivre. Un peu plus haut, toujours dans le coin des VIP, nous apercevons Ray Charles, Stevie Wonder et Gilbert Montagne. De cette hauteur, ils doivent avoir une superbe vue sur le ring et la rampe, quelle chance ils ont de pouvoir regarder ce spectacle.
Eh bien, on dirait qu'il n'a pas vu le soleil depuis longtemps, lol. Plutôt que vous dégainer mes blagues à deux balles sur les aveugles, nous allons faire un tour vers les backstages. Là-bas, c'est le gros bordel, tout le monde est en état de stress intensif, si bien que c'est du grand n'importe quoi. Stone Cold écrit un poème romantique avec sa plume si tendre et douce, tandis que Trish, elle, cherche dans sa garde-robe le jean qui fera ressortir au maximum son gros cul. Dans la pièce voisine, qui est celle qui mène à la rampe, Booker et Bill tentent d'évacuer le stress en esquissant quelques pas de danse typiques de la samba.
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Dans les loges des lutteurs, la tension est à son comble. Shelton Benjamin fait des pompes et des abdos, Christian boit du peepsi, Goldust se touche les parties. JoelGetner Gertner est en train de dire à une jeune fille qu'en venant le voir après le show, elle pourrait vivre la nuit de sa vie. Le rouquin de la dernière fois mange un Danette, au chocolat bien sûr, et l'Undertaker joue à Magic and Wizards avec Yugi Mûto, ce premier étant justement en train d'invoquer Kuriboh ailé, un monstre qui lui correspond tant. Le mieux dans tout ça, c'est que l'Undertaker il peut faire des trucs bizarres avec ses yeux sans pour autant posséder l'Oeil Millénaire.
Gel Vivel Dop, fixation extrême. On continue notre petite marche à travers les backstages. Nous apercevons une seconde fois Stone Cold Steve Austin qui peste étant donné qu'il vient de voir sur le Net qu'une bande de jeunes cons reproduit ses ses shows, le design de son site officiel, le tout en se disant comme formant une e-fed. Quelle bande de petits cons, vraiment, ces jeunes ! Bref, on revient dans l'arène, où un indien est en train de distribuer de la bière,des cookies et, pour ceux qui en veulent, un peu de coke. Décidément, tout est fait pour que la mémoire de Amy puisse jouir d'un superbe hommage. Bon, plutôt qu'embêter Pra', on va s'intéresser aux deux commentateurs qui viennent de débouler et de s'asseoir à leurs places habituelles. Il est donc temps pour moi de fermer ma gueule, comme dans une réunion au sommet, non je ne suis pas Gumpy mais bien le grand, le beau - oui, j'abuse - le fantastique...
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Perdu, essayez encore, bande de noobs. Bon, finalement, je ne vous révélerai pas mon identité, moi, l'auteur de cette introduction. On va faire un jeu (Yu Gi Oh style) ! Devinez qui je suis, et vous aurez droit au privilège de dépuceler cette petite cochonne de Gumpy ! Allez, allez, mes poussins, bisou ! Bonne quête, surtout !
Booker T – Welcome everybody to Thunderslam !
Bill DeMott – Bonsoir, Booker. La forme ? J'espère que t'es chaud parce que ça risque grandement de swinguer, ce soir, au vu du programme de folie de ce PPV.
Booker T – Oh oui, je ne peux qu'acquiescer ! Pour un tout premier PPV, Stone Cold Steve Austin a mis la barre très haute, et je suis presque sûr que cette soirée restera pour beaucoup, mémorable dans l'histoire de la lutte ainsi que du divertissement sportif.
Bill DeMott – De superbes matchs qui se profilent, pour ce soir, tels que le Dudleys Boyz Invitationnal Tag Team Table Tumoil Match, qui nous réservera très certainement de belles surprises, surtout à propos de ses futurs participants.
Booker T – Sans oublier les deux matchs de championnats qui auront lieu ce soir ! Le Corporation Championship Match qui verra s'opposer Kurt Angle et Alberto Del Rio risque, à lui, seul, de faire beaucoup parler de lui ! Deux médaillés de lutte libre, est-ce que tu te rends compte, Bill ?
Bill DeMott – Tout comme, je l'espère, le Main Event lors duquel The Undertaker et John Cena s'affronteront pour l'Attitude Championship. Espérons que la Ministry restera bien sage.
Booker T – Vous l'avez compris, Thunderslam promet d'être un grand spectacle ! Il est maintenant temps qu'il débute ! Bonne soirée, nigga's !
It's Thunderslam, and it's NoW ! Et comme Y8 passe plus de temps à nous parler d'Amy Winehouse (et non pas Whinehouse, hein) qu'à lire le plan, moi, j'dois passer derrière lui pour compléter l'intro, et pour en faire quelque chose de cohérent. Tu nous enverras une carte postale de tes vacances, Paul.
Sous une incroyable ovation de toute l'arena de Houston, Steve fait la tournée des quatre coins du ring pour saluer les fans, avant de s'emparer d'un micro. On va la jouer simple.
Stone Cold – Oh hell yeah !
Ovation de tout un stade, complètement normal.
Stone Cold – Attendez une seconde, j'ai déjà soif.
Ovation de tout un stade, bis repetita. Ouais, y'a qu'Austin qui peut se faire ovationner en disant simplement qu'il a soif. Hop, trois bières dans les mains, une gorgée dans la bouche, c'est parti.
Stone Cold – C'est beaucoup mieux. What ? Je vais faire simple, j'ai pas l'habitude des longs discours alors j'vais être clair. What ? Je voulais tous vous remercier pour être ici ce soir, et pour nous suivre depuis près de six semaines à présents. What ? Ce projet n'était pas gagné à l'avance, il ne l'est toujours pas, jamais avec votre aide, nous adopterons la meilleure Attitude pour durer dans le temps. What ? Et si vous êtes prêt à nous suivre, donnez moi un putain de yeah !
« HELL YEAH ! »
Stone Cold – C'est bien ce que je pensais. What ? Et ce soir, c'est le premier Pay Per View de la fédération, Thunderslam. What ? Ce soir, on va enfin savoir si après six semaines, il y en a qui ont adopté la bonne Attitude et s'ils sont prêts pour jouer dans la même cour que Stone Cold Steve Austin. What ? Ce soir, pas de chichi, pas de blabla inutile, pas de provocation sans suite, non y'a rien de tout ça ce soir. What ? Ce soir, y'a rien d'autre que de la baston. What ? Ce soir, c'est bottage de cul dans les règles de l'art. What ? Ce soir, c'est pas un rêve, c'est une putain de guerre pour adopter la meilleure Attitude.
Austin marque une nouvelle pause, c'est que ça donne soif de s'exprimer.
Stone Cold – Alors foutez vous sur la gueule, bande de fils de putes !
Voilà qui est bien dit, et maintenant c'est l'heure de la célébration avec les bières. Austin n'aura pas attendu bien longtemps pour vider son premier pack, pour tremper son t-shirt et pour offrir sa première bière à Bill DeMott.
Matez comment l'ambiance de cette photographie respire le silence, vraiment. Bref. Avant que l'on ne s'attaque au vif du sujet, j'espère que ce segment recevra un Attitude Weekly Awards, vraiment. Pour les incultes, les Awards, ce sont les mêmes merdes qui sont postées chaque semaine. 'Suffit d'en voir le second épisode : un vrai torchon, dont le premier paragraphe était complètement raturé. Bref, bref, bref. Aujourd'hui, plutôt que de nous intéresser à la foule, intéressons-nous aux grands classiques, à savoir, les pancartes. Alors...au premier rang, là-bas, nous pouvons apercevoir un bout de pancarte, l'autre étant caché par un gros bouffant des chips, s'enfilant une bière et un joint, magnifique dédicace à Whinehouse, c'est admirable. Ce morceau de pancarte affiche "R.I.P. ... W.A." Nouvel hommage à Whinehouse Amy, sûrement...ah non, pas tout à fait, le gros cachait la lettre P, ce qui nous donne "RIP PWA". Quel hommage, dis donc, dommage que la moitié des membres zapperont cette intro.
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Bon, il est temps de passer aux autres pancartes. Nous apercevons un superbe "La NoW va fermer ses portes", magnifique vraiment, dommage que ce type ait un an de retard sur l'actualité. Un jeune homme d'environ 15-16 ans crie à la censure, tandis que les deux membres du staff diaboliques, à savoir le bachelier boutonneux et le Tyran sont là, à l’affût. Du côté de la tribune d'honneur, réservée aux VIP, tous les invités sont là, à savoir Marylin Monroe, Michael Jackson, Dark Vador et Amy Whinehouse. Ils ont tous l'air en pleine forme, et heureux de vivre. Un peu plus haut, toujours dans le coin des VIP, nous apercevons Ray Charles, Stevie Wonder et Gilbert Montagne. De cette hauteur, ils doivent avoir une superbe vue sur le ring et la rampe, quelle chance ils ont de pouvoir regarder ce spectacle.
Eh bien, on dirait qu'il n'a pas vu le soleil depuis longtemps, lol. Plutôt que vous dégainer mes blagues à deux balles sur les aveugles, nous allons faire un tour vers les backstages. Là-bas, c'est le gros bordel, tout le monde est en état de stress intensif, si bien que c'est du grand n'importe quoi. Stone Cold écrit un poème romantique avec sa plume si tendre et douce, tandis que Trish, elle, cherche dans sa garde-robe le jean qui fera ressortir au maximum son gros cul. Dans la pièce voisine, qui est celle qui mène à la rampe, Booker et Bill tentent d'évacuer le stress en esquissant quelques pas de danse typiques de la samba.
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Dans les loges des lutteurs, la tension est à son comble. Shelton Benjamin fait des pompes et des abdos, Christian boit du peepsi, Goldust se touche les parties. Joel
Gel Vivel Dop, fixation extrême. On continue notre petite marche à travers les backstages. Nous apercevons une seconde fois Stone Cold Steve Austin qui peste étant donné qu'il vient de voir sur le Net qu'une bande de jeunes cons reproduit ses ses shows, le design de son site officiel, le tout en se disant comme formant une e-fed. Quelle bande de petits cons, vraiment, ces jeunes ! Bref, on revient dans l'arène, où un indien est en train de distribuer de la bière,des cookies et, pour ceux qui en veulent, un peu de coke. Décidément, tout est fait pour que la mémoire de Amy puisse jouir d'un superbe hommage. Bon, plutôt qu'embêter Pra', on va s'intéresser aux deux commentateurs qui viennent de débouler et de s'asseoir à leurs places habituelles. Il est donc temps pour moi de fermer ma gueule, comme dans une réunion au sommet, non je ne suis pas Gumpy mais bien le grand, le beau - oui, j'abuse - le fantastique...
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Perdu, essayez encore, bande de noobs. Bon, finalement, je ne vous révélerai pas mon identité, moi, l'auteur de cette introduction. On va faire un jeu (Yu Gi Oh style) ! Devinez qui je suis, et vous aurez droit au privilège de dépuceler cette petite cochonne de Gumpy ! Allez, allez, mes poussins, bisou ! Bonne quête, surtout !
Booker T – Welcome everybody to Thunderslam !
Bill DeMott – Bonsoir, Booker. La forme ? J'espère que t'es chaud parce que ça risque grandement de swinguer, ce soir, au vu du programme de folie de ce PPV.
Booker T – Oh oui, je ne peux qu'acquiescer ! Pour un tout premier PPV, Stone Cold Steve Austin a mis la barre très haute, et je suis presque sûr que cette soirée restera pour beaucoup, mémorable dans l'histoire de la lutte ainsi que du divertissement sportif.
Bill DeMott – De superbes matchs qui se profilent, pour ce soir, tels que le Dudleys Boyz Invitationnal Tag Team Table Tumoil Match, qui nous réservera très certainement de belles surprises, surtout à propos de ses futurs participants.
Booker T – Sans oublier les deux matchs de championnats qui auront lieu ce soir ! Le Corporation Championship Match qui verra s'opposer Kurt Angle et Alberto Del Rio risque, à lui, seul, de faire beaucoup parler de lui ! Deux médaillés de lutte libre, est-ce que tu te rends compte, Bill ?
Bill DeMott – Tout comme, je l'espère, le Main Event lors duquel The Undertaker et John Cena s'affronteront pour l'Attitude Championship. Espérons que la Ministry restera bien sage.
Booker T – Vous l'avez compris, Thunderslam promet d'être un grand spectacle ! Il est maintenant temps qu'il débute ! Bonne soirée, nigga's !
It's Thunderslam, and it's NoW ! Et comme Y8 passe plus de temps à nous parler d'Amy Winehouse (et non pas Whinehouse, hein) qu'à lire le plan, moi, j'dois passer derrière lui pour compléter l'intro, et pour en faire quelque chose de cohérent. Tu nous enverras une carte postale de tes vacances, Paul.
Sous une incroyable ovation de toute l'arena de Houston, Steve fait la tournée des quatre coins du ring pour saluer les fans, avant de s'emparer d'un micro. On va la jouer simple.
Stone Cold – Oh hell yeah !
Ovation de tout un stade, complètement normal.
Stone Cold – Attendez une seconde, j'ai déjà soif.
Ovation de tout un stade, bis repetita. Ouais, y'a qu'Austin qui peut se faire ovationner en disant simplement qu'il a soif. Hop, trois bières dans les mains, une gorgée dans la bouche, c'est parti.
Stone Cold – C'est beaucoup mieux. What ? Je vais faire simple, j'ai pas l'habitude des longs discours alors j'vais être clair. What ? Je voulais tous vous remercier pour être ici ce soir, et pour nous suivre depuis près de six semaines à présents. What ? Ce projet n'était pas gagné à l'avance, il ne l'est toujours pas, jamais avec votre aide, nous adopterons la meilleure Attitude pour durer dans le temps. What ? Et si vous êtes prêt à nous suivre, donnez moi un putain de yeah !
« HELL YEAH ! »
Stone Cold – C'est bien ce que je pensais. What ? Et ce soir, c'est le premier Pay Per View de la fédération, Thunderslam. What ? Ce soir, on va enfin savoir si après six semaines, il y en a qui ont adopté la bonne Attitude et s'ils sont prêts pour jouer dans la même cour que Stone Cold Steve Austin. What ? Ce soir, pas de chichi, pas de blabla inutile, pas de provocation sans suite, non y'a rien de tout ça ce soir. What ? Ce soir, y'a rien d'autre que de la baston. What ? Ce soir, c'est bottage de cul dans les règles de l'art. What ? Ce soir, c'est pas un rêve, c'est une putain de guerre pour adopter la meilleure Attitude.
Austin marque une nouvelle pause, c'est que ça donne soif de s'exprimer.
Stone Cold – Alors foutez vous sur la gueule, bande de fils de putes !
Voilà qui est bien dit, et maintenant c'est l'heure de la célébration avec les bières. Austin n'aura pas attendu bien longtemps pour vider son premier pack, pour tremper son t-shirt et pour offrir sa première bière à Bill DeMott.
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Re: Thunderslam.
Steve est toujours sur le ring, il demande encore des bières. Le mec, il doit déjà avoir liquidé trois packs en moins de cinq minutes, et il a encore soif. Ouaip, Steve c'est pas le genre de mec qui va au bistrot boire sa ptite bière en faisant un PMU, lui c'est un vrai, un mec qui, dès le réveil, se torche une bouteille de scotch. Quoiqu'il en soit, il semble enfin prêt à quitter le ring, mais on va prendre du retard sur le programme.
Christian Cage – Je suis désolé de m'imposer de cette façon, mais je n'avais pas d'autre choix.
La foule, elle, semble désolée d'huer le capitaine des Peeps qui descend lentement mais surement la rampe, sous le regard perçant du Sheriff Austin.
Christian Cage – Je t'admire beaucoup Steve, tu sais. Ton parcours mérite le respect, et nous ne serions très certainement pas ici en ce moment si tu n'avais pas été là pendant l'Attitude Era.
Stone Cold – Viens-en au fait, fils de caribou.
Stone Cold, il est pas là pour plaisanter, faut que ça file droit à l'AWC. Christian, lui, arrive aux abords du ringside et monte sur le ring.
Christian Cage – J'y viens Steve, j'y viens. Ce n'est pas simple pour moi de te demander cela comme ça, alors que Thunderslam vient tout juste de débuter, mais j'estime être dans mon droit. It's like this, il y a des choses qui doivent être remises à leur véritable place et j'en fais partie. J'estime honnêtement être sous-estimé alors que je devrais être présent dans ce match pour le titre Attitude, ce soir.
Stone Cold – What ?
Christian Cage – Ne passons pas par quatre chemins, je réclame de droit le titre de number one contender pour Ground Zero !
On pourra dire ce qu'on veut de Christian, mais il ne se défile pas et lui, il a les couilles de demander à Steve un match de championnat.
Christian Cage – Je ne suis pas en train de réclamer quoique se soit Steve, ne te méprends pas. Je veux juste recevoir ce qui m'est dû. Actuellement, je suis le meilleur lutteur de la compagnie, quatre matchs, quatre victoires. Personne ne peut en dire autant, personne n'a lutté autant que moi en ayant connu un tel taux de succès, pas même John Cena. Je suis même venu à bout de l'Undertaker, qui est dans le Main-Event ce soir.
Stone Cold – Tu mériterais presque une bière pour cet exploit.
Christian Cage – Don't play with me, Austin !
Stone Cold – Le seul qui joue à quelque chose ici, c'est toi. What ? J'aime pas jouer. What ? Moi j'préfère boire. What ? Et si tu veux vraiment savoir, ta série de victoires, j'en ai absolument rien à branler. What ? Mieux que ça, tu peux te la foutre dans le cul. What ? Ce soir, c'est Thunderslam. What ? Ce qui veut dire que ce soir, tu as un match. What ? Et donc que tu peux perdre ce match. What ? Alors au lieu de venir m'emmerder avec tes conneries de gamins capricieux, t'as plutôt intérêt à gagner ce match si tu veux pouvoir te vanter de ton incroyable série, la semaine prochaine encore. Maintenant dégage de mon ring.
Christian Cage – On reparlera de tout ça Steve, je n'en ai pas encore terminé.
Austin ne semble pas tout à fait d'accord et montre son majeur à Cage.
Stone Cold – Au contraire, tu as terminé de m'emmerder, maintenant tu dégages. What ? J'ai deux puceaux qui doivent se foutre sur la gueule. What ? Et le public veut voir des mecs qui se foutent sur la gueule, pas une scène de ménage. What ? Donc tu quittes ce ring dans les trois secondes qui suivent, où je te fais partie à coup de pied au cul.
Steve ne semble pas plaisanter et voyant son regard, Christian préfère se rétracter, pour le moment. Il quitte le ring, suivi à la trace par Stone Cold, les matchs vont pouvoir commencer.
Christian Cage – Je suis désolé de m'imposer de cette façon, mais je n'avais pas d'autre choix.
La foule, elle, semble désolée d'huer le capitaine des Peeps qui descend lentement mais surement la rampe, sous le regard perçant du Sheriff Austin.
Christian Cage – Je t'admire beaucoup Steve, tu sais. Ton parcours mérite le respect, et nous ne serions très certainement pas ici en ce moment si tu n'avais pas été là pendant l'Attitude Era.
Stone Cold – Viens-en au fait, fils de caribou.
Stone Cold, il est pas là pour plaisanter, faut que ça file droit à l'AWC. Christian, lui, arrive aux abords du ringside et monte sur le ring.
Christian Cage – J'y viens Steve, j'y viens. Ce n'est pas simple pour moi de te demander cela comme ça, alors que Thunderslam vient tout juste de débuter, mais j'estime être dans mon droit. It's like this, il y a des choses qui doivent être remises à leur véritable place et j'en fais partie. J'estime honnêtement être sous-estimé alors que je devrais être présent dans ce match pour le titre Attitude, ce soir.
Stone Cold – What ?
Christian Cage – Ne passons pas par quatre chemins, je réclame de droit le titre de number one contender pour Ground Zero !
On pourra dire ce qu'on veut de Christian, mais il ne se défile pas et lui, il a les couilles de demander à Steve un match de championnat.
Christian Cage – Je ne suis pas en train de réclamer quoique se soit Steve, ne te méprends pas. Je veux juste recevoir ce qui m'est dû. Actuellement, je suis le meilleur lutteur de la compagnie, quatre matchs, quatre victoires. Personne ne peut en dire autant, personne n'a lutté autant que moi en ayant connu un tel taux de succès, pas même John Cena. Je suis même venu à bout de l'Undertaker, qui est dans le Main-Event ce soir.
Stone Cold – Tu mériterais presque une bière pour cet exploit.
Christian Cage – Don't play with me, Austin !
Stone Cold – Le seul qui joue à quelque chose ici, c'est toi. What ? J'aime pas jouer. What ? Moi j'préfère boire. What ? Et si tu veux vraiment savoir, ta série de victoires, j'en ai absolument rien à branler. What ? Mieux que ça, tu peux te la foutre dans le cul. What ? Ce soir, c'est Thunderslam. What ? Ce qui veut dire que ce soir, tu as un match. What ? Et donc que tu peux perdre ce match. What ? Alors au lieu de venir m'emmerder avec tes conneries de gamins capricieux, t'as plutôt intérêt à gagner ce match si tu veux pouvoir te vanter de ton incroyable série, la semaine prochaine encore. Maintenant dégage de mon ring.
Christian Cage – On reparlera de tout ça Steve, je n'en ai pas encore terminé.
Austin ne semble pas tout à fait d'accord et montre son majeur à Cage.
Stone Cold – Au contraire, tu as terminé de m'emmerder, maintenant tu dégages. What ? J'ai deux puceaux qui doivent se foutre sur la gueule. What ? Et le public veut voir des mecs qui se foutent sur la gueule, pas une scène de ménage. What ? Donc tu quittes ce ring dans les trois secondes qui suivent, où je te fais partie à coup de pied au cul.
Steve ne semble pas plaisanter et voyant son regard, Christian préfère se rétracter, pour le moment. Il quitte le ring, suivi à la trace par Stone Cold, les matchs vont pouvoir commencer.
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Re: Thunderslam.
Booker T – Je suis excité comme une puce, Bill, ça va être le premier match de Thunderslam !
Bill DeMott – Excité ? Si tu me sautes dessus, je te castre.
Booker T – Je parle pas de ça, dawg, Sharmell est pas dans la salle, donc c'est pas possible.
Bill DeMott – Parce que t'es fidèle toi ? Haha, la bonne blague.
Bill DeMott – Même lui qui prêche il est pas fidèle, Booker, me prend pas pour un con.
Booker T – Mais je te jure, je me tape que Sharmell !
Bill DeMott – Putain, mais t'es sérieux en plus ? T'es un type vachement connu, y'a plein de femmes qui mouillent en pensant à toi, et tu restes fidèle à ta femme ? Merde, t'es pas gay hein ? T'es pas gay Booker ?
Booker T – Si j'étais gay, pourquoi je coucherai avec Sharmell ?
Bill DeMott – Le devoir conjugal, pour pas qu'elle aille voir ailleurs ... Ce genre de conneries quoi. Enfin bref, le match commence.
» FIGHT ! «
R-Truth se rue sur son adversaire dès le début du match et le cloue au sol avec une violente gauche dans le visage. Truth est au dessus du Pope et fait pleuvoir des coups de poing. L'arbitre le calme, le fait reculer, et Dinero se relève. Les deux hommes retournent au contact, collar and tie, et Pope prend le contrôle avec un headlock. Truth recule dans les cordes, entraînant son opposant, il rebondit sur celles ci, prend de l'élan et parvient à lancer Dinero dans les cordes devant lui. Angelo Dinero glisse sur ses genoux, R-Truth s'est penché comme un con pour un surpassement, 4 Up dans sa gueule ! Dinero va continuer sa domination avec des coups de poing qui lui son propres, après tout, c'est un ancien boxeur. Pendant cinq bonnes minutes, le match va ainsi, jusqu'à ce que R-Truth parte dans les cordes et parvienne à envoyer un dropkick à Dinero, tellement fort qu'il part en dehors du ring.
Bill DeMott – Il a frappé fort, le con.
Booker T – Dans la rue, t'as pas le choix, tu frappes fort ou tu crèves.
Bill DeMott – Fais pas genre tu viens de la rue parce que t'es noir, t'es un fils de riche toi.
Booker T – Merde, tu m'as grillé.
Bill DeMott – Enfin bon, encore une fois c'est moi qui suit entouré de nègres.
Booker T – Quoi ?
Bill DeMott – Je disais: je te rassure, moi non plus j'ai jamais été dans la pègre.
R-Truth a réussi à reprendre le dessus et il court dans les cordes, baseball slide dans le visage de Dinero ! R-Truth descend du ring et renvoi dedans son adversaire, qui est aussi son partenaire d'il y a deux semaines. R-Truth reprend le match en main, après ce mauvais départ, il domine pendant de grosses minutes, et va jusqu'à placer son Truth Conviction ! Il tente le tombé, mais Dinero se dégage. Truth attend alors, guette, il est prêt à partir pour son Scissors Kick. Dinero est plié en deux, R-Truth s'élance... Scissors Kick !... Esquivé ! Dinero met une droite à R-Truth, mais celui ci répond par une autre droite, et une gauche, mais Dinero réplique avec des snap jabs qui font tituber R-Truth, le pauvre est complètement groggy et... Double knee facebuster ! Le tombé, un, deux, trois, victoire du Pope, d'Angelo Dinero.
Bill DeMott – Il a l'air crevé, ce con.
Booker T – Ce qu'on retiendra, c'est surtout sa victoire, Bill !
Bill DeMott – Excité ? Si tu me sautes dessus, je te castre.
Booker T – Je parle pas de ça, dawg, Sharmell est pas dans la salle, donc c'est pas possible.
Bill DeMott – Parce que t'es fidèle toi ? Haha, la bonne blague.
Bill DeMott – Même lui qui prêche il est pas fidèle, Booker, me prend pas pour un con.
Booker T – Mais je te jure, je me tape que Sharmell !
Bill DeMott – Putain, mais t'es sérieux en plus ? T'es un type vachement connu, y'a plein de femmes qui mouillent en pensant à toi, et tu restes fidèle à ta femme ? Merde, t'es pas gay hein ? T'es pas gay Booker ?
Booker T – Si j'étais gay, pourquoi je coucherai avec Sharmell ?
Bill DeMott – Le devoir conjugal, pour pas qu'elle aille voir ailleurs ... Ce genre de conneries quoi. Enfin bref, le match commence.
» FIGHT ! «
R-Truth se rue sur son adversaire dès le début du match et le cloue au sol avec une violente gauche dans le visage. Truth est au dessus du Pope et fait pleuvoir des coups de poing. L'arbitre le calme, le fait reculer, et Dinero se relève. Les deux hommes retournent au contact, collar and tie, et Pope prend le contrôle avec un headlock. Truth recule dans les cordes, entraînant son opposant, il rebondit sur celles ci, prend de l'élan et parvient à lancer Dinero dans les cordes devant lui. Angelo Dinero glisse sur ses genoux, R-Truth s'est penché comme un con pour un surpassement, 4 Up dans sa gueule ! Dinero va continuer sa domination avec des coups de poing qui lui son propres, après tout, c'est un ancien boxeur. Pendant cinq bonnes minutes, le match va ainsi, jusqu'à ce que R-Truth parte dans les cordes et parvienne à envoyer un dropkick à Dinero, tellement fort qu'il part en dehors du ring.
Bill DeMott – Il a frappé fort, le con.
Booker T – Dans la rue, t'as pas le choix, tu frappes fort ou tu crèves.
Bill DeMott – Fais pas genre tu viens de la rue parce que t'es noir, t'es un fils de riche toi.
Booker T – Merde, tu m'as grillé.
Bill DeMott – Enfin bon, encore une fois c'est moi qui suit entouré de nègres.
Booker T – Quoi ?
Bill DeMott – Je disais: je te rassure, moi non plus j'ai jamais été dans la pègre.
R-Truth a réussi à reprendre le dessus et il court dans les cordes, baseball slide dans le visage de Dinero ! R-Truth descend du ring et renvoi dedans son adversaire, qui est aussi son partenaire d'il y a deux semaines. R-Truth reprend le match en main, après ce mauvais départ, il domine pendant de grosses minutes, et va jusqu'à placer son Truth Conviction ! Il tente le tombé, mais Dinero se dégage. Truth attend alors, guette, il est prêt à partir pour son Scissors Kick. Dinero est plié en deux, R-Truth s'élance... Scissors Kick !... Esquivé ! Dinero met une droite à R-Truth, mais celui ci répond par une autre droite, et une gauche, mais Dinero réplique avec des snap jabs qui font tituber R-Truth, le pauvre est complètement groggy et... Double knee facebuster ! Le tombé, un, deux, trois, victoire du Pope, d'Angelo Dinero.
Bill DeMott – Il a l'air crevé, ce con.
Booker T – Ce qu'on retiendra, c'est surtout sa victoire, Bill !
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Re: Thunderslam.
Le premier match de la soirée a à peine eu le temps de se terminer, les protagonistes ont à peine le temps de rentrer en backstages et les fans n'ont même pas le temps de boire une gorgée de bière que le titantron s'allume pour diffuser une vidéo enregistrée.
Le couloir ne laisse aucun doute, nous sommes dans un hôpital, étonnement calme d'ailleurs. Après quelques mètres, nous rentrons dans une chambre où nous pouvons facilement reconnaitre Rey Misterio, au chevet de l'homme qui s'est violemment fait attaquer il y a deux semaines par Randy Orton lors de la présentation du DVD Faster, The Rock.
Rey Misterio Jr – Mon pauvre Dwayne, Randy n'a donc vraiment aucun scrupule à attaquer un homme n'importe où et n'importe quand, quelque soit les activités dans sa vie. Cet homme serait même prêt à tuer son propre père pour obtenir la gloire. Mais sois sans crainte, dimanche prochain, Randy prendra place dans cette chambre d'hôpital à ta place. Je vais te venger, Rocky.
Rey se lève de la chaise, et on s'aperçoit que le Rock est sous morphine et est endormi. Rey, lui, quitte la chambre en prenant soin de refermer la porte derrière lui. Alors qu'il s'apprête à quitter l'hôpital, il croise un médecin.
Rey Misterio Jr – Docteur, excusez-moi. Est-ce que c'est vous le docteur Dorian ?
Là, tu dois t'imaginer les cris lorsqu'une guest star apparait dans une série.
Dr Dorian – Oui c'est bien moi, que puis-je faire pour vous ?
Rey Misterio Jr – Je sors tout juste d'une visite d'une vieille connaissance, Dwayne "The Rock" Johnson. Il a été violemment attaqué il y a environ une semaine.
Dr Dorian – Oui, je me suis occupé de lui. Ces jours ne sont pas en danger, il n'y a aucun risque de ce côté là. Cependant, il a été victime d'un très gros traumatisme crânien et il devra rester un moment à l'hôpital en observation.
Rey Misterio Jr – Je vous remercie, docteur.
Les deux hommes se quittent et Rey finit par prendre l'ascenseur, la caméra le suit toujours. Seul dans ce fameux ascenseur, Misterio s'adresse directement à la caméra.
Rey Misterio Jr – You make me sick. Tu ne comprendras donc jamais que tu as un problème, Randy ? Je suis venu pour t'aider, je t'offre mon aide, te tends une main amicale et chaleureuse, pour t'aider. Et toi, en plus de la refuser, tu te permets encore de faire du mal autour de toi ?! Il faut que les choses cessent, il faut remédier à ton problème. Dorénavant, ce n'est plus toi qui a la main, je prends le contrôle des opérations.
Il reste deux étages avant d'arriver au rez-de-chaussée, ne perdons pas de temps donc.
Rey Misterio Jr – Les actes que tu as effectué dans le passé étaient déjà horrible, mais l'attaque du Rock est la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Tu ne peux pas continuer à attaquer les autres comme bon te semble sans que cela reste impuni. Non, il est temps que justice soit rendu, et il est temps que le Dark Avenger rende la sentence qui t'es réservé, Randy.
Rey Misterio Jr – Tic, toc, tic, toc. Les secondes passent, et plus elles passent, plus elle me rapproche de toi. Ton plaisir de faire mal aux autres va bientôt prendre fin, et tous ceux que tu as pu frapper au visage et qui ont été envoyé à l'hôpital auront très bientôt leur revanche, et je suis l'homme par lequel cette vengeance va s'exprimer. Il est temps de rendre à César ce qui appartient à César...
Ding ! Nous voilà au rez-de-chaussée, les portes s'ouvrent.
Rey Misterio Jr – The Dark Avenger is risin'.
Misterio quitte l'ascenseur, la caméra également alors que ce dernier se remplit de nouveaux visiteurs. La caméra s'éteint, et ce soir, il flotte comme un parfum de vengeance dans l'air.
Le couloir ne laisse aucun doute, nous sommes dans un hôpital, étonnement calme d'ailleurs. Après quelques mètres, nous rentrons dans une chambre où nous pouvons facilement reconnaitre Rey Misterio, au chevet de l'homme qui s'est violemment fait attaquer il y a deux semaines par Randy Orton lors de la présentation du DVD Faster, The Rock.
Rey Misterio Jr – Mon pauvre Dwayne, Randy n'a donc vraiment aucun scrupule à attaquer un homme n'importe où et n'importe quand, quelque soit les activités dans sa vie. Cet homme serait même prêt à tuer son propre père pour obtenir la gloire. Mais sois sans crainte, dimanche prochain, Randy prendra place dans cette chambre d'hôpital à ta place. Je vais te venger, Rocky.
Rey se lève de la chaise, et on s'aperçoit que le Rock est sous morphine et est endormi. Rey, lui, quitte la chambre en prenant soin de refermer la porte derrière lui. Alors qu'il s'apprête à quitter l'hôpital, il croise un médecin.
Rey Misterio Jr – Docteur, excusez-moi. Est-ce que c'est vous le docteur Dorian ?
Là, tu dois t'imaginer les cris lorsqu'une guest star apparait dans une série.
Dr Dorian – Oui c'est bien moi, que puis-je faire pour vous ?
Rey Misterio Jr – Je sors tout juste d'une visite d'une vieille connaissance, Dwayne "The Rock" Johnson. Il a été violemment attaqué il y a environ une semaine.
Dr Dorian – Oui, je me suis occupé de lui. Ces jours ne sont pas en danger, il n'y a aucun risque de ce côté là. Cependant, il a été victime d'un très gros traumatisme crânien et il devra rester un moment à l'hôpital en observation.
Rey Misterio Jr – Je vous remercie, docteur.
Les deux hommes se quittent et Rey finit par prendre l'ascenseur, la caméra le suit toujours. Seul dans ce fameux ascenseur, Misterio s'adresse directement à la caméra.
Rey Misterio Jr – You make me sick. Tu ne comprendras donc jamais que tu as un problème, Randy ? Je suis venu pour t'aider, je t'offre mon aide, te tends une main amicale et chaleureuse, pour t'aider. Et toi, en plus de la refuser, tu te permets encore de faire du mal autour de toi ?! Il faut que les choses cessent, il faut remédier à ton problème. Dorénavant, ce n'est plus toi qui a la main, je prends le contrôle des opérations.
Il reste deux étages avant d'arriver au rez-de-chaussée, ne perdons pas de temps donc.
Rey Misterio Jr – Les actes que tu as effectué dans le passé étaient déjà horrible, mais l'attaque du Rock est la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Tu ne peux pas continuer à attaquer les autres comme bon te semble sans que cela reste impuni. Non, il est temps que justice soit rendu, et il est temps que le Dark Avenger rende la sentence qui t'es réservé, Randy.
Rey Misterio Jr – Tic, toc, tic, toc. Les secondes passent, et plus elles passent, plus elle me rapproche de toi. Ton plaisir de faire mal aux autres va bientôt prendre fin, et tous ceux que tu as pu frapper au visage et qui ont été envoyé à l'hôpital auront très bientôt leur revanche, et je suis l'homme par lequel cette vengeance va s'exprimer. Il est temps de rendre à César ce qui appartient à César...
Ding ! Nous voilà au rez-de-chaussée, les portes s'ouvrent.
Rey Misterio Jr – The Dark Avenger is risin'.
Misterio quitte l'ascenseur, la caméra également alors que ce dernier se remplit de nouveaux visiteurs. La caméra s'éteint, et ce soir, il flotte comme un parfum de vengeance dans l'air.
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Re: Thunderslam.
Booker T – Misterio ne se contente plus de réprimander, il veut passer à l'acte ce soir, c'est une menace direct qu'il vient de faire Bill !
Bill DeMott – Le Mexicain semble vouloir complètement changer de dimension et Thunderslam est pour lui l'occasion idéale. Mais même si Orton a sûrement aperçu cette vidéo, je doute qu'elle lui ai fait perdre son envie de se ramener sur ce ring.
Booker T – Je pense aussi qu'ils sont impatients de régler leur différents une bonne fois pour toute.
Bill DeMott – Regarde ces yeux. Il n'a pas pu placé son RKO la semaine dernière et il va vouloir corriger ça ce soir.
Booker T – La cible est verrouillé, il ne lui faudra pas beaucoup de tentatives en effet.
Bill DeMott – Et voilà le luchador, il fonce directement dans le ring pour grimper sur ce turnbuckle.
Booker T – Randy est à l'extérieur, les deux performers sont les yeux dans les yeux !
» FIGHT ! «
Randy Orton remonte dans le ring avec précaution pendant que Misterio retire son T-Shirt, et l'arbitre donne le signal pour débuter. Le luchador cherche immédiatement à saisir les jambes de son adversaire mais celui-ci est sur ses gardes et prend l'avantage dans le premier contact. Il bloque Rey Rey au sol et part pour un Armlock, mais ce dernier réussit à se relever et à entrainer son adversaire jusque non loin des cordes, pour y prendre appui et réaliser un Springboard Crossbody ! 1, 2, pas plus. Misterio se relève et projette son rival dans les cordes opposés, mais encaisse une méchante Clothesline à son retour. Orton se jette pour travailler autour des hanches du Mexicain mais celui-ci s'agite et réussit à s'échapper entre les jambes du Legend Killer, pour lui coller un Dropkick dans le dos ! Randy bascule, tête sur la deuxième corde en position pour le 619 ! The Dark Avenger s'élance... mais sa cible s'est retirée ! Misterio, un peu perdu se retourne... RKO de Orton... Repoussé ! Randy se relève et projette son vis-à-vis dans les cordes, mais celui-ci passe derrière son dos et s'élance pour un Springboard Moonsault, mais il se fait attraper en plein air. The Apex Predator le serre dans ses bras et claque un Powerslam ! Il enchaine maintenant les coups de la corde à linge, et malgré la résistance du Mexicain, il continue à subir. Randy déroule, Suplex, Backbreaker, Misterio ne réagit plus.
Bill DeMott – Randy a changé d'approche, il domine désormais complètement ce match.
Booker T – Il se prépare à arracher la tête de son adversaire tu veux dire !
Randy Orton est dans le coin du ring, il tape du pied, grogne, bave,bande. Ça y est il s'élance ! Punk Kick... Esquivé ! Orton ne réalise pas assez rapidement, et Misterio qui est maintenant derrière lui l'envoie la tête contre le Turnbuckle ! Il prend de la vitesse et... Corner 619 ! La cible tombe au centre du ring, Rey monte sur le coin et termine avec un Splash pour la victoire !
Booker T – Beau retour du Vengeur dans ce match Bill, non ?
Bill DeMott – ...
Booker T – Je veux bien que t'apprécies pas les Mexicains depuis l'incident avec ta femme et ce Miguel mais c'est pas une raison pour te casser.
En effet DeMott vient de se lever de la table sans prévenir.
Bill DeMott – T'inquiète pas, j'ai simplement de petites affaires à régler.
Bill n'en dira pas plus. Il pose son casque sur la table et prend immédiatement la direction des backstages, Booker n'a pas l'air d'avoir tout compris mais va agir en grand professionnel et essayer de meubler pendant ce temps là.
Bill DeMott – Le Mexicain semble vouloir complètement changer de dimension et Thunderslam est pour lui l'occasion idéale. Mais même si Orton a sûrement aperçu cette vidéo, je doute qu'elle lui ai fait perdre son envie de se ramener sur ce ring.
Booker T – Je pense aussi qu'ils sont impatients de régler leur différents une bonne fois pour toute.
Bill DeMott – Regarde ces yeux. Il n'a pas pu placé son RKO la semaine dernière et il va vouloir corriger ça ce soir.
Booker T – La cible est verrouillé, il ne lui faudra pas beaucoup de tentatives en effet.
Bill DeMott – Et voilà le luchador, il fonce directement dans le ring pour grimper sur ce turnbuckle.
Booker T – Randy est à l'extérieur, les deux performers sont les yeux dans les yeux !
» FIGHT ! «
Randy Orton remonte dans le ring avec précaution pendant que Misterio retire son T-Shirt, et l'arbitre donne le signal pour débuter. Le luchador cherche immédiatement à saisir les jambes de son adversaire mais celui-ci est sur ses gardes et prend l'avantage dans le premier contact. Il bloque Rey Rey au sol et part pour un Armlock, mais ce dernier réussit à se relever et à entrainer son adversaire jusque non loin des cordes, pour y prendre appui et réaliser un Springboard Crossbody ! 1, 2, pas plus. Misterio se relève et projette son rival dans les cordes opposés, mais encaisse une méchante Clothesline à son retour. Orton se jette pour travailler autour des hanches du Mexicain mais celui-ci s'agite et réussit à s'échapper entre les jambes du Legend Killer, pour lui coller un Dropkick dans le dos ! Randy bascule, tête sur la deuxième corde en position pour le 619 ! The Dark Avenger s'élance... mais sa cible s'est retirée ! Misterio, un peu perdu se retourne... RKO de Orton... Repoussé ! Randy se relève et projette son vis-à-vis dans les cordes, mais celui-ci passe derrière son dos et s'élance pour un Springboard Moonsault, mais il se fait attraper en plein air. The Apex Predator le serre dans ses bras et claque un Powerslam ! Il enchaine maintenant les coups de la corde à linge, et malgré la résistance du Mexicain, il continue à subir. Randy déroule, Suplex, Backbreaker, Misterio ne réagit plus.
Bill DeMott – Randy a changé d'approche, il domine désormais complètement ce match.
Booker T – Il se prépare à arracher la tête de son adversaire tu veux dire !
Randy Orton est dans le coin du ring, il tape du pied, grogne, bave,
Booker T – Beau retour du Vengeur dans ce match Bill, non ?
Bill DeMott – ...
Booker T – Je veux bien que t'apprécies pas les Mexicains depuis l'incident avec ta femme et ce Miguel mais c'est pas une raison pour te casser.
En effet DeMott vient de se lever de la table sans prévenir.
Bill DeMott – T'inquiète pas, j'ai simplement de petites affaires à régler.
Bill n'en dira pas plus. Il pose son casque sur la table et prend immédiatement la direction des backstages, Booker n'a pas l'air d'avoir tout compris mais va agir en grand professionnel et essayer de meubler pendant ce temps là.
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Re: Thunderslam.
Bill DeMott, qui vient de quitter la table des commentateurs en laissant Booker T seul face à son ego, est retrouvé par nos caméramans en coulisses. L'entraîneur cinq étoiles de beaucoup de monde semble s'orienter vers les loges des lutteurs. Bonne pioche. En quelques secondes, nous voilà transportés dans la loge d'Andy Leavine.
Bill DeMott – It's time to shine big Andy, it is your time.
Andy Leavine – Je commençais à croire que personne ne viendrait me voir avant mon premier pay-per-view. Je suis heureux de te voir ici.
Bill DeMott – Avec le match que j'ai organisé pour tes grands débuts, c'est la moindre des choses. Comment tu te sens big Andy ?
Andy Leavine – Honnêtement, je suis nerveux. Depuis que je suis ici, j'ai eu l'occasion de me battre contre des mecs comme Kurt Angle et Randy Orton, ce qui est déjà incroyable en soit, mais là, avec the Game, Triple H, on passe à un autre stade. Triple H, c'est un véritable pionnier. Si la lutte avait ses dix commandements, Triple H en serait un, indéniablement.
Andy Leavine se perd dans ses pensées, les étoiles plein les yeux.
Andy Leavine – Franchement Bill, merci, merci du fond du coeur pour ce match, pour cette chance, pour cette opportunité... Merci pour tout.
Bill DeMott – Tu n'as pas à me remercier mon grand. La seule personne que tu pourrais, à la limite, remercier, c'est toi et rien que toi. C'est toi qui est allé chercher tout ceci, c'est toi qui est allé chercher ce spot. C'est toi qui a fait en sorte d'en arriver là, toi et personne d'autre.
Andy Leavine – Merci quand même.
Les deux hommes s'échangent une poignée de main virile.
Bill DeMott – Je vais toutefois te donner mes dernières instructions, les toutes dernières. A partir de ce soir, tu te débrouilleras seul. Je ne vais pas te demander d'essayer de faire sortir cette nervosité qui est en toi, je vais te l'ordonner. Pas de pression, pas de grosse goutte sur le front, pas d'urine dans ton pantalon. Analyse ton adversaire, cherche son point faible, prends ton temps, tu es en pay-per-view, tu as tout le temps que tu veux ce soir. Triple H s'est blessé les deux genoux, les uns après les autres, alors tu travailles dessus. Triple H n'est pas un grand spécialiste au sol, alors garde le par terre, use-le, fatigue-le, physiquement et moralement. Ne baisse surtout pas les bras, donne-toi jusqu'au bout et n'oublie pas une chose... La victoire n'est pas la chose la plus importante ce soir, parce que tu as déjà gagné cette bataille, ta bataille. Alors maintenant, tu lèves ton gros cul de cette chaise et tu dégages de là, tu vas sur le ring et tu donnes tout ce que tu as dans le ventre, c'est clair ?
Andy Leavine – Yes, sir !
Andy Leavine est déjà debout. Il ne prend pas le temps d'ouvrir la porte de sa loge, il l'enfonce. Dans quelques instants, ce jeune homme affrontera Triple H.
Bill DeMott – It's time to shine big Andy, it is your time.
Andy Leavine – Je commençais à croire que personne ne viendrait me voir avant mon premier pay-per-view. Je suis heureux de te voir ici.
Bill DeMott – Avec le match que j'ai organisé pour tes grands débuts, c'est la moindre des choses. Comment tu te sens big Andy ?
Andy Leavine – Honnêtement, je suis nerveux. Depuis que je suis ici, j'ai eu l'occasion de me battre contre des mecs comme Kurt Angle et Randy Orton, ce qui est déjà incroyable en soit, mais là, avec the Game, Triple H, on passe à un autre stade. Triple H, c'est un véritable pionnier. Si la lutte avait ses dix commandements, Triple H en serait un, indéniablement.
Andy Leavine se perd dans ses pensées, les étoiles plein les yeux.
Andy Leavine – Franchement Bill, merci, merci du fond du coeur pour ce match, pour cette chance, pour cette opportunité... Merci pour tout.
Bill DeMott – Tu n'as pas à me remercier mon grand. La seule personne que tu pourrais, à la limite, remercier, c'est toi et rien que toi. C'est toi qui est allé chercher tout ceci, c'est toi qui est allé chercher ce spot. C'est toi qui a fait en sorte d'en arriver là, toi et personne d'autre.
Andy Leavine – Merci quand même.
Les deux hommes s'échangent une poignée de main virile.
Bill DeMott – Je vais toutefois te donner mes dernières instructions, les toutes dernières. A partir de ce soir, tu te débrouilleras seul. Je ne vais pas te demander d'essayer de faire sortir cette nervosité qui est en toi, je vais te l'ordonner. Pas de pression, pas de grosse goutte sur le front, pas d'urine dans ton pantalon. Analyse ton adversaire, cherche son point faible, prends ton temps, tu es en pay-per-view, tu as tout le temps que tu veux ce soir. Triple H s'est blessé les deux genoux, les uns après les autres, alors tu travailles dessus. Triple H n'est pas un grand spécialiste au sol, alors garde le par terre, use-le, fatigue-le, physiquement et moralement. Ne baisse surtout pas les bras, donne-toi jusqu'au bout et n'oublie pas une chose... La victoire n'est pas la chose la plus importante ce soir, parce que tu as déjà gagné cette bataille, ta bataille. Alors maintenant, tu lèves ton gros cul de cette chaise et tu dégages de là, tu vas sur le ring et tu donnes tout ce que tu as dans le ventre, c'est clair ?
Andy Leavine – Yes, sir !
Andy Leavine est déjà debout. Il ne prend pas le temps d'ouvrir la porte de sa loge, il l'enfonce. Dans quelques instants, ce jeune homme affrontera Triple H.
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Re: Thunderslam.
Leavine est laissé seul face à son destin, puisqu'il est temps de revenir près du ring, et à la table des commentateurs plus précisément. DeMott revient comme une fleur et vient s'installer de nouveau aux côtés de Booker T.
Booker T – Te revoilà toi.
Bill DeMott – Me revoilà.
Booker T – Tu pourrais avoir l'obligeance de me dire où t'étais parti maintenant ?
En effet, Booker n'a rien vu de la scène qui vient d'être diffusé sur tout les écrans de l'Arena. C'est les mystères du wrestling business.
Bill DeMott – ... Et voilà que j'arrive juste à temps pour l'arrivée du Big Andy. Il a un gros challenge à relever ce soir.
Booker T – T'étais parti où ?
Bill DeMott – Quelle entrée pour le Cerebral Assassin. Le public est debout pour saluer cet homme, cet carrière. Il a réussi à faire descendre Andy du ring, et le voilà maintenant qui l'apostrophe. Le gamin va devoir se montrer plus courageux pendant le match.
Booker T – T'essaies de pas me répondre là ?
Bill DeMott – Le gros défi d'Andy va commencer Booker.
Booker T – C'est une blague, sucka ?!
» FIGHT ! «
La cloche sonne tandis que Booker continue à harceler sa moitié. The Game hoche la tête devant Leavine qui préfère rentrer directement dans le vif du sujet en démarrant une épreuve de force. A la surprise générale, c'est bien Leavine qui vient coller son adversaire contre le coin, avant de le travailler en enchainant les coups de bélier. Il traine maintenant HHH pour porter un DDT mais celui-ci passe dans le dos du jeune lutteur et porte une Back Suplex. Premier tombé, premier échec, ça aura eu le mérite de le mettre à l'épreuve. Il le relève et l'envoie maintenant contre les cordes opposés, mais Big Andy est le plus prompt à attaquer avec un Shoulder Block. Il réitère son attaque une deuxième fois, mais la troisième fois, Hunter l'arrête, coude en avant. Triple H est sonné, et cette fois le DDT est placé ! L'ancien de Tough Enough veut désormais porter une soumission autour des hanches du Game mais ce dernier se dégage rapidement. Il repousse le corps de Leavine et se relève afin de lui caler un bon gros Lariat dans le menton. The Game le place ensuite entre ses jambes, prêt pour en finir... Surpassement d'Andy ! Il fonce immédiatement vers les cordes pour surprendre HHH qui se relevait avec un bon Big Boot ! Il reprend son souffle quelques secondes, jette un coup d'oeil à DeMott à sa table avant de relever son adversaire... et de lui infliger un Spinebuster ! One, two... Only two. Andy ne tient pas la victoire mais sa cible est touché, et se traine jusqu'aux cordes pour se relever.
Bill DeMott – Il en faut du culot pour porter sa propre prise à Hunter, je vous le dis. Et du culot c'est exactement ce qu'il faut pour un match comme celui-ci.
Booker T – Tu fais chier Bill.
Ça y est, The King of Kings est debout et envoie une grosse droite dans le visage du débutant. Celui-ci réplique et on part pour un long échange. Le public hurle à chaque coup porté et c'est bien HHH qui prend l'avantage cette fois-ci. Une dernière droite, et Leavine tombe au sol comme une feuille. Hunter tente de prendre une petite pause dans le coin du ring mais Andy vient le suivre et lui balance la tête contre le turnbuckle. Leavine s'empare de la tête de Triple H, sonné, pour porter une Suplex mais la cible résiste, et fait basculer Leavine sur le dos. Figure Four Leglock connected ! Big Andy fait tout pour s'emparer d'une corde mais le porteur a l'intelligence de le ramener au centre du ring, loin de tout salut. Il souffre, mais refuse d'abandonner pour l'instant, même si la prise n'est pas prêt d'être lâchée !
Booker T – Ce type est un chien.
Bill DeMott – Ne t'inquiète pas, Andy n'abandonnera pas.
Booker T – C'est que j'ai pas envie de le voir gagner.
Bill DeMott – Il abandonnera pas je te dis, regarde.
A l'intérieur du ring, Leavine fait parler sa force brute et... il repousse les jambes de Triple H ! Il s'est dégagé, le voilà debout, en un seul morceau ! Cependant, il souffre et se tient la jambe, appuyé contre un coin du ring. Hunter est derrière lui, prêt à placer son Pedigree, et à en finir dès qu'il se retournera. C'est bientôt chose faite quand Booker T surgit sur l'apron !
Booker T – Andy, fais pas le con, il est derrière toi !
Leavine se tourne vers Booker, encore trop étourdi, et voilà qu'il est rejoint par Bill DeMott ! Le deuxième commentateur hurle à son partenaire qu'il doit laisser l'outsider se débrouiller seul pour ce match. Il le tire par le bras mais au moment où Big Andy s'approche des deux hommes, The Game le retourne et place son Pedigree ! 1, 2, et 3, c'est fait.
The Cerebral Assassin plonge ses yeux dans ceux de Booker T. Le commentateur vient de causer la défaite d'Andy Leavine en le distrayant alors qu'il cherchait à lui venir en aide. Descendu de l'apron, il hurle sur DeMott qui l'a empêché de faire ce qu'il voulait faire. Bill calme le jeu et l'invite à reprendre sa place à la table. En effet, le show doit continuer.
Booker T – Te revoilà toi.
Bill DeMott – Me revoilà.
Booker T – Tu pourrais avoir l'obligeance de me dire où t'étais parti maintenant ?
En effet, Booker n'a rien vu de la scène qui vient d'être diffusé sur tout les écrans de l'Arena. C'est les mystères du wrestling business.
Bill DeMott – ... Et voilà que j'arrive juste à temps pour l'arrivée du Big Andy. Il a un gros challenge à relever ce soir.
Booker T – T'étais parti où ?
Bill DeMott – Quelle entrée pour le Cerebral Assassin. Le public est debout pour saluer cet homme, cet carrière. Il a réussi à faire descendre Andy du ring, et le voilà maintenant qui l'apostrophe. Le gamin va devoir se montrer plus courageux pendant le match.
Booker T – T'essaies de pas me répondre là ?
Bill DeMott – Le gros défi d'Andy va commencer Booker.
Booker T – C'est une blague, sucka ?!
» FIGHT ! «
La cloche sonne tandis que Booker continue à harceler sa moitié. The Game hoche la tête devant Leavine qui préfère rentrer directement dans le vif du sujet en démarrant une épreuve de force. A la surprise générale, c'est bien Leavine qui vient coller son adversaire contre le coin, avant de le travailler en enchainant les coups de bélier. Il traine maintenant HHH pour porter un DDT mais celui-ci passe dans le dos du jeune lutteur et porte une Back Suplex. Premier tombé, premier échec, ça aura eu le mérite de le mettre à l'épreuve. Il le relève et l'envoie maintenant contre les cordes opposés, mais Big Andy est le plus prompt à attaquer avec un Shoulder Block. Il réitère son attaque une deuxième fois, mais la troisième fois, Hunter l'arrête, coude en avant. Triple H est sonné, et cette fois le DDT est placé ! L'ancien de Tough Enough veut désormais porter une soumission autour des hanches du Game mais ce dernier se dégage rapidement. Il repousse le corps de Leavine et se relève afin de lui caler un bon gros Lariat dans le menton. The Game le place ensuite entre ses jambes, prêt pour en finir... Surpassement d'Andy ! Il fonce immédiatement vers les cordes pour surprendre HHH qui se relevait avec un bon Big Boot ! Il reprend son souffle quelques secondes, jette un coup d'oeil à DeMott à sa table avant de relever son adversaire... et de lui infliger un Spinebuster ! One, two... Only two. Andy ne tient pas la victoire mais sa cible est touché, et se traine jusqu'aux cordes pour se relever.
Bill DeMott – Il en faut du culot pour porter sa propre prise à Hunter, je vous le dis. Et du culot c'est exactement ce qu'il faut pour un match comme celui-ci.
Booker T – Tu fais chier Bill.
Ça y est, The King of Kings est debout et envoie une grosse droite dans le visage du débutant. Celui-ci réplique et on part pour un long échange. Le public hurle à chaque coup porté et c'est bien HHH qui prend l'avantage cette fois-ci. Une dernière droite, et Leavine tombe au sol comme une feuille. Hunter tente de prendre une petite pause dans le coin du ring mais Andy vient le suivre et lui balance la tête contre le turnbuckle. Leavine s'empare de la tête de Triple H, sonné, pour porter une Suplex mais la cible résiste, et fait basculer Leavine sur le dos. Figure Four Leglock connected ! Big Andy fait tout pour s'emparer d'une corde mais le porteur a l'intelligence de le ramener au centre du ring, loin de tout salut. Il souffre, mais refuse d'abandonner pour l'instant, même si la prise n'est pas prêt d'être lâchée !
Booker T – Ce type est un chien.
Bill DeMott – Ne t'inquiète pas, Andy n'abandonnera pas.
Booker T – C'est que j'ai pas envie de le voir gagner.
Bill DeMott – Il abandonnera pas je te dis, regarde.
A l'intérieur du ring, Leavine fait parler sa force brute et... il repousse les jambes de Triple H ! Il s'est dégagé, le voilà debout, en un seul morceau ! Cependant, il souffre et se tient la jambe, appuyé contre un coin du ring. Hunter est derrière lui, prêt à placer son Pedigree, et à en finir dès qu'il se retournera. C'est bientôt chose faite quand Booker T surgit sur l'apron !
Booker T – Andy, fais pas le con, il est derrière toi !
Leavine se tourne vers Booker, encore trop étourdi, et voilà qu'il est rejoint par Bill DeMott ! Le deuxième commentateur hurle à son partenaire qu'il doit laisser l'outsider se débrouiller seul pour ce match. Il le tire par le bras mais au moment où Big Andy s'approche des deux hommes, The Game le retourne et place son Pedigree ! 1, 2, et 3, c'est fait.
The Cerebral Assassin plonge ses yeux dans ceux de Booker T. Le commentateur vient de causer la défaite d'Andy Leavine en le distrayant alors qu'il cherchait à lui venir en aide. Descendu de l'apron, il hurle sur DeMott qui l'a empêché de faire ce qu'il voulait faire. Bill calme le jeu et l'invite à reprendre sa place à la table. En effet, le show doit continuer.
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Re: Thunderslam.
Dans quelques secondes, Abdallah Tarver et Low-Ki en découdront, mais que serait un Pay Per View si entre deux matchs il n'y avait pas un fameux détour en backstages ? Pour la première fois de la soirée, nous y retrouvons Trish Stratus. Cette dernière n'est cependant pas en interview puisqu'elle marche en backstages, jusqu'à tomber sur Michelle McCool, assise sur un canapé.
Trish Stratus – Michelle, je suis inquiète pour toi, tu es sûre que tu vas bien ? Je me fais beaucoup de souci pour toi.
Michelle McCool – Vous me faites bien rire, tous. "Oh Michelle, qu'est-ce qui t'arrive ?". "Pourquoi est-ce que tu fais ça ?". "Tu es sûre que ça va ?". Vous êtes tous aussi stupides les uns que les autres. J'en ai marre de répondre à toutes ces questions ridicules, j'ai autre chose à faire.
Trish Stratus – Pourtant, tu es assise dans un canapé à rien faire en ce moment. Tu vas donc pouvoir discuter avec moi.
Trish prend place sur le canapé aux côtés de McCool. Cette dernière ne semble pas très heureuse de la présence de l'intervieweuse maison de l'AWC.
Michelle McCool – Je n'ai rien à te dire, ni à toi, ni à personne d'autre.
Trish Stratus – C'est ce que tu penses, pourtant nous sommes tous inquiet et surprit de ce que tu deviens, Michelle. Moi la première, je n'aurai jamais pensé que tu puisses faire cela.
Michelle McCool – Faire quoi ? Revenir dans ce business et m'associer à l'un des hommes les plus puissants de l'histoire ? Rien n'est impossible dans ce business, une bimbo mannequin comme toi a bien réussi à devenir la championne la plus titrée de l'histoire de la WWE.
Allez hop, ça, c'est fait. Trish Stratus semble l'avoir légèrement mauvaise mais elle garde son sang-froid, quand même.
Trish Stratus – Ce n'est pas de moi qu'il faut parler Michelle, mais de toi. J'essaie de te comprendre, et surtout de comprendre pourquoi tu as rejoins l'Undertaker pour reformer ce ministère des ténèbres. Cela ne te ressemble pas, tu n'es pas comme ça.
Michelle McCool – Qui es-tu pour me connaitre ? Ce n'est pas parce que tu as remporté sept titres chez les McMahon que tu connais l'industrie et les envies des femmes de ce business mieux que quiconque. Ce n'est pas parce que j'ai eu le droit à une de tes minables leçons de yoga lorsque j'ai fait parti du Diva Search ou parce que tu m'as battu à Wrestlemania que tu me connais. Tu es à mille lieux de savoir qui je suis, old bitch.
Trish Stratus – Ne m'insulte pas Michelle, s'il te plait. Je ne suis pas là pour créer des ennuis, et je n'ai pas la prétention de dire que je te connais comme une amie. Non, mais je veux savoir pourquoi une femme brillante et talentueuse comme toi as pu passer du côté obscur de la force.
Tu savais pas que Trish elle prenait des sabres-laser avec sa poitrine ? T'iras demander à Maitre Yoda pourquoi son sabre il est aussi grand que lui.
Michelle McCool – Pourquoi est-ce que j'ai fait cela ? Mais ce n'est pas plus compliqué que toutes les fois où tu es passée sous le bureau de Vince pour obtenir toutes tes ceintures. Toi et moi, nous nous ressemblons. Je veux exactement la même chose que toi, la gloire, la reconnaissance, la célébrité, la domination, et les hommes. Et pendant que toi tu as passé toute ta carrière à courir après les mâles, moi j'ai trouvé en l'Undertaker l'homme parfait, tout simplement. Ne sous-estimes pas le côté obscur de la force, Trish. Son pouvoir est bien plus important que celui de ta poitrine.
Trish Stratus – Ne cherches pas à m'énerver Michelle, sinon ça pourrait très mal se terminer.
La tension monte d'un cran en même temps que le ton de Trish. Michelle, elle, reste très calme, trop calme même. En effet, elle se permet même d'esquisser un sourire.
Michelle McCool – Il n'y a que la vérité qui blesse et qui énerve, Stratus. Ce que tu ne comprends pas, et ce que tu ne comprendras jamais, c'est qu'il y a d'autres moyens pour devenir la plus grande lutteuse de tous les temps autre que le palmarès, les couvertures de magazines ou la taille de la poitrine. Un règne de domination, de terreur et de règne sans partage sur cette fédération est la seule chose qui manque à ma carrière pour être reconnue comme celle que j'ai toujours voulu, et que j'aurai toujours dû être... The most famous woman of this industry.
Trish Stratus – Ma pauvre, le pouvoir te monte à la tête.
Michelle McCool – Nous en reparlerons le jour où tu seras à mes pieds en train de me masser pendant que le Ministry of Darkness dirigera cette fédération. Et crois-moi que ce jour pourrait arriver beaucoup plus vite que tu ne le crois. Courtoisie de la duchesse des ténèbres.
Michelle se lève, prête à partir, mais Trish en fait de même.
Trish Stratus – Tes paroles sont comme tes actes, ils n'ont pas de sens.
Michelle McCool – Nous en reparlerons très bientôt, darling.
McCool ne cherche pas à esquiver Trish qui se trouve face à elle. La plus grande des deux femmes ose même donner un coup d'épaule plutôt violent à Trish qui retombe dans le canapé. Le temps qu'elle se relève, McCool est déjà loin.
Trish Stratus – Michelle, je suis inquiète pour toi, tu es sûre que tu vas bien ? Je me fais beaucoup de souci pour toi.
Michelle McCool – Vous me faites bien rire, tous. "Oh Michelle, qu'est-ce qui t'arrive ?". "Pourquoi est-ce que tu fais ça ?". "Tu es sûre que ça va ?". Vous êtes tous aussi stupides les uns que les autres. J'en ai marre de répondre à toutes ces questions ridicules, j'ai autre chose à faire.
Trish Stratus – Pourtant, tu es assise dans un canapé à rien faire en ce moment. Tu vas donc pouvoir discuter avec moi.
Trish prend place sur le canapé aux côtés de McCool. Cette dernière ne semble pas très heureuse de la présence de l'intervieweuse maison de l'AWC.
Michelle McCool – Je n'ai rien à te dire, ni à toi, ni à personne d'autre.
Trish Stratus – C'est ce que tu penses, pourtant nous sommes tous inquiet et surprit de ce que tu deviens, Michelle. Moi la première, je n'aurai jamais pensé que tu puisses faire cela.
Michelle McCool – Faire quoi ? Revenir dans ce business et m'associer à l'un des hommes les plus puissants de l'histoire ? Rien n'est impossible dans ce business, une bimbo mannequin comme toi a bien réussi à devenir la championne la plus titrée de l'histoire de la WWE.
Allez hop, ça, c'est fait. Trish Stratus semble l'avoir légèrement mauvaise mais elle garde son sang-froid, quand même.
Trish Stratus – Ce n'est pas de moi qu'il faut parler Michelle, mais de toi. J'essaie de te comprendre, et surtout de comprendre pourquoi tu as rejoins l'Undertaker pour reformer ce ministère des ténèbres. Cela ne te ressemble pas, tu n'es pas comme ça.
Michelle McCool – Qui es-tu pour me connaitre ? Ce n'est pas parce que tu as remporté sept titres chez les McMahon que tu connais l'industrie et les envies des femmes de ce business mieux que quiconque. Ce n'est pas parce que j'ai eu le droit à une de tes minables leçons de yoga lorsque j'ai fait parti du Diva Search ou parce que tu m'as battu à Wrestlemania que tu me connais. Tu es à mille lieux de savoir qui je suis, old bitch.
Trish Stratus – Ne m'insulte pas Michelle, s'il te plait. Je ne suis pas là pour créer des ennuis, et je n'ai pas la prétention de dire que je te connais comme une amie. Non, mais je veux savoir pourquoi une femme brillante et talentueuse comme toi as pu passer du côté obscur de la force.
Tu savais pas que Trish elle prenait des sabres-laser avec sa poitrine ? T'iras demander à Maitre Yoda pourquoi son sabre il est aussi grand que lui.
Michelle McCool – Pourquoi est-ce que j'ai fait cela ? Mais ce n'est pas plus compliqué que toutes les fois où tu es passée sous le bureau de Vince pour obtenir toutes tes ceintures. Toi et moi, nous nous ressemblons. Je veux exactement la même chose que toi, la gloire, la reconnaissance, la célébrité, la domination, et les hommes. Et pendant que toi tu as passé toute ta carrière à courir après les mâles, moi j'ai trouvé en l'Undertaker l'homme parfait, tout simplement. Ne sous-estimes pas le côté obscur de la force, Trish. Son pouvoir est bien plus important que celui de ta poitrine.
Trish Stratus – Ne cherches pas à m'énerver Michelle, sinon ça pourrait très mal se terminer.
La tension monte d'un cran en même temps que le ton de Trish. Michelle, elle, reste très calme, trop calme même. En effet, elle se permet même d'esquisser un sourire.
Michelle McCool – Il n'y a que la vérité qui blesse et qui énerve, Stratus. Ce que tu ne comprends pas, et ce que tu ne comprendras jamais, c'est qu'il y a d'autres moyens pour devenir la plus grande lutteuse de tous les temps autre que le palmarès, les couvertures de magazines ou la taille de la poitrine. Un règne de domination, de terreur et de règne sans partage sur cette fédération est la seule chose qui manque à ma carrière pour être reconnue comme celle que j'ai toujours voulu, et que j'aurai toujours dû être... The most famous woman of this industry.
Trish Stratus – Ma pauvre, le pouvoir te monte à la tête.
Michelle McCool – Nous en reparlerons le jour où tu seras à mes pieds en train de me masser pendant que le Ministry of Darkness dirigera cette fédération. Et crois-moi que ce jour pourrait arriver beaucoup plus vite que tu ne le crois. Courtoisie de la duchesse des ténèbres.
Michelle se lève, prête à partir, mais Trish en fait de même.
Trish Stratus – Tes paroles sont comme tes actes, ils n'ont pas de sens.
Michelle McCool – Nous en reparlerons très bientôt, darling.
McCool ne cherche pas à esquiver Trish qui se trouve face à elle. La plus grande des deux femmes ose même donner un coup d'épaule plutôt violent à Trish qui retombe dans le canapé. Le temps qu'elle se relève, McCool est déjà loin.
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Re: Thunderslam.
Bill DeMott – On poursuit tout de suite avec un combat que beaucoup attendent avec impatience, même si j’émets quelques doutes.
Booker T – Attends Bill, ce combat va être violent, Abdallah Tarver face à Low-Ki.
Bill DeMott – Tarver m’a déçu face à John Cena, et Low-Ki a peiné à me convaincre qu’il valait quelque chose. J’espère pour les deux qu’ils sauront me faire démentir.
Booker T – Quelle ovation, tout le public est debout. Sa victoire face à l’Undertaker n’a fait que renforcer cela.
Bill DeMott – C’est surtout que son adversaire est totalement détesté que Low-Ki devient le favori du public pour son combat.
Bill DeMott – Il m’agace, il croît tout connaître sur la lutte alors qu’il ne connaît rien encore. Il n’est même pas éblouissant sur un ring.
Booker T – Bill, arrêtes, les spectateurs n‘ont pas entendre ton opinion à longueur du show. J’ai quand même un point en commun avec Tarver, je suis noir.
» FIGHT ! «
Quel face à face énorme, et dès que la cloche sonne, Low-Ki bondit vers Tarver, il attendait ce moment avec trop d’impatience. Il tente un High-Kick que le musulman esquive de justesse. Deuxième coup rapide comme l’éclair de Low-Ki et Tarver ne peut l’esquiver qu’en se réfugiant hors du ring. Low-Ki s’élance et claque un Suicide Dive !Le public se lève, un début de combat excellent. Low-Ki remet son adversaire dans le ring et s’en suivra de nombreux kicks de la part du Cruiserweight de diverses manières. Cependant lors de la tentative d’un Apron Kick Tarver évite et Low-Ki s’explose son pied sur le coin. Low-Ki se relève avec une douleur au pied et Clothesline de Tarver. Ce dernier surpris par l’entame du combat de son adversaire peut enfin se déchaîner. Il y va de gros powermoves dont un Running Powerslam terrifiant. Au fur et à mesure de la domination de Abdallah Tarver, les huées s’élèvent dans le public et ce dernier relève son adversaire et il le met en position de Powerbomb .. Renversé en Hurricanranna de la part de Low-Ki. Celui-ci tente son Come Back mais Tarver le calme rapidement avec un énorme Big Foot. Tentative de tombé qui n’obtiendra que deux. Tarver relève son adversaire mais celui sort un Superkick from nowhere ! Les deux après avoir chacun eux leur temps de domination ne font que de renverser le cours du combat. Low-Ki passe de l’autre côté des cordes, il s’élance en Springboard mais Tarver le contre en Spinebuster ! Enorme contre de la part du musulman qui relève Low-Ki, il le prend dans ses bras et est prêt pour en finir... Tarver’s Lightning !! One... Two... Three !! C’est fini !
Booker T – Low-Ki a résisté mais Abdallah Tarver était le plus fort, cela est incontestable.
Bill DeMott – Low-Ki a manqué de puissance, certes sa prestation fut correcte mais il a fini par se faire arracher ses ailes.
Booker T – Oui, passons. Je crois que ce n’est pas tout a fait fini.
Le combat vient de se terminer, Abdallah Tarver a remporté ce bel affrontement et comme Booker T vient de le dire, ce n’est pas fini. Alors que Low-Ki a roulé en dehors du ring, le pro-musulman a récupéré un micro et vient se planter au centre du ring sous des huées monstrueuses.
Abdallah Tarver – Allah m’a guidé vers cette victoire, Low-Ki ne valait rien, je l’avais dis, ces piliers ne valent rien face à ceux de l’Islam et les piliers du Tarver Creed. Allah me guidera toujours plus haut, cependant ma route s’arrête là pour l’instant. Si vous preniez vraiment en compte l’Islam vous sauriez que le Ramadan commence demain. Et je ne le passerai pas avec des infidèles comme vous. Je le passerai en compagnie des vrais disciples d’Allah, je rentre dans mon pays, pour être en communion avec moi-même. Pendant un mois, je serai là-bas, parmi les vrais islamiques, parmi les miens. De retour chez moi, j’en profiterai pour rencontrer les forces américains déployées au Moyen-Orient, et si Allah me le demande, le champ de bataille se transformera en Jihad. Quand j’aurai accompli ma tâche, le Ramadan, je reviendrai, plus fort, toujours avec la force d’Allah en moi. Soyez prêt, quand je reviendrai, je serai encore plus fort que je ne le fus ce soir. J’imposerai la force de mon Tarver’s Creed !
Abdallah Tarver laisse tomber son micro au sol et tire sa révérence pour un mois sous des huées. Une chose est sûre, il ne manquera pas au public durant un mois.
Booker T – Attends Bill, ce combat va être violent, Abdallah Tarver face à Low-Ki.
Bill DeMott – Tarver m’a déçu face à John Cena, et Low-Ki a peiné à me convaincre qu’il valait quelque chose. J’espère pour les deux qu’ils sauront me faire démentir.
Booker T – Quelle ovation, tout le public est debout. Sa victoire face à l’Undertaker n’a fait que renforcer cela.
Bill DeMott – C’est surtout que son adversaire est totalement détesté que Low-Ki devient le favori du public pour son combat.
Bill DeMott – Il m’agace, il croît tout connaître sur la lutte alors qu’il ne connaît rien encore. Il n’est même pas éblouissant sur un ring.
Booker T – Bill, arrêtes, les spectateurs n‘ont pas entendre ton opinion à longueur du show. J’ai quand même un point en commun avec Tarver, je suis noir.
» FIGHT ! «
Quel face à face énorme, et dès que la cloche sonne, Low-Ki bondit vers Tarver, il attendait ce moment avec trop d’impatience. Il tente un High-Kick que le musulman esquive de justesse. Deuxième coup rapide comme l’éclair de Low-Ki et Tarver ne peut l’esquiver qu’en se réfugiant hors du ring. Low-Ki s’élance et claque un Suicide Dive !Le public se lève, un début de combat excellent. Low-Ki remet son adversaire dans le ring et s’en suivra de nombreux kicks de la part du Cruiserweight de diverses manières. Cependant lors de la tentative d’un Apron Kick Tarver évite et Low-Ki s’explose son pied sur le coin. Low-Ki se relève avec une douleur au pied et Clothesline de Tarver. Ce dernier surpris par l’entame du combat de son adversaire peut enfin se déchaîner. Il y va de gros powermoves dont un Running Powerslam terrifiant. Au fur et à mesure de la domination de Abdallah Tarver, les huées s’élèvent dans le public et ce dernier relève son adversaire et il le met en position de Powerbomb .. Renversé en Hurricanranna de la part de Low-Ki. Celui-ci tente son Come Back mais Tarver le calme rapidement avec un énorme Big Foot. Tentative de tombé qui n’obtiendra que deux. Tarver relève son adversaire mais celui sort un Superkick from nowhere ! Les deux après avoir chacun eux leur temps de domination ne font que de renverser le cours du combat. Low-Ki passe de l’autre côté des cordes, il s’élance en Springboard mais Tarver le contre en Spinebuster ! Enorme contre de la part du musulman qui relève Low-Ki, il le prend dans ses bras et est prêt pour en finir... Tarver’s Lightning !! One... Two... Three !! C’est fini !
Booker T – Low-Ki a résisté mais Abdallah Tarver était le plus fort, cela est incontestable.
Bill DeMott – Low-Ki a manqué de puissance, certes sa prestation fut correcte mais il a fini par se faire arracher ses ailes.
Booker T – Oui, passons. Je crois que ce n’est pas tout a fait fini.
Le combat vient de se terminer, Abdallah Tarver a remporté ce bel affrontement et comme Booker T vient de le dire, ce n’est pas fini. Alors que Low-Ki a roulé en dehors du ring, le pro-musulman a récupéré un micro et vient se planter au centre du ring sous des huées monstrueuses.
Abdallah Tarver – Allah m’a guidé vers cette victoire, Low-Ki ne valait rien, je l’avais dis, ces piliers ne valent rien face à ceux de l’Islam et les piliers du Tarver Creed. Allah me guidera toujours plus haut, cependant ma route s’arrête là pour l’instant. Si vous preniez vraiment en compte l’Islam vous sauriez que le Ramadan commence demain. Et je ne le passerai pas avec des infidèles comme vous. Je le passerai en compagnie des vrais disciples d’Allah, je rentre dans mon pays, pour être en communion avec moi-même. Pendant un mois, je serai là-bas, parmi les vrais islamiques, parmi les miens. De retour chez moi, j’en profiterai pour rencontrer les forces américains déployées au Moyen-Orient, et si Allah me le demande, le champ de bataille se transformera en Jihad. Quand j’aurai accompli ma tâche, le Ramadan, je reviendrai, plus fort, toujours avec la force d’Allah en moi. Soyez prêt, quand je reviendrai, je serai encore plus fort que je ne le fus ce soir. J’imposerai la force de mon Tarver’s Creed !
Abdallah Tarver laisse tomber son micro au sol et tire sa révérence pour un mois sous des huées. Une chose est sûre, il ne manquera pas au public durant un mois.
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Re: Thunderslam.
On retrouve les Dudleys, Bubba Ray, Devon, Sign Guy et Joël Gertner, qui pour la nuit ce segment prend son nom Dudley: Studley Dudley. (Ca sert à rien, mais j'avais envie, et c'est un nom sur lequel Smooth peut pas faire de faute, quoi que.)
Studley Dudley – Well, well, well. Ca y est, mes frères, c'est le moment, ce soir, vous ajoutez une ligne à votre palmarès, vous devenez champion du monde par équipe pour la vingt quatrième fois. Pas trop stressés ?
Devon. Stressés ? Mon frère, c'est notre moment, notre putain de moment ! Tonight, we're going down in the ring as legends, and we exit that very ring as champions.
Studley Dudley – Ca va être à nous les mecs, en route.
Les quatre hommes quittent leur loge, ils marchent un peu, et Christian passe devant eux, il est au téléphone et ne semble pas les remarquer.
Christian Cage – Okay bro', parfait. J'ai les lunettes old school, les kazoos, il me manque plus que quinze centimètres de cheveux et ça sera comme au bon vieux temps ! Allez, à de suite, bro'.
Christian passe son chemin, laissant les Dudleys pantois, Bubba regarde Devon, Devon regarde Bubba, Bubba regarde Sign Guy, Sign Guy regardeJoël Studley, Studley regarde le cul de la petite stagiaire qui se penche pour faire des photocopies.
Bubba Ray – Est ce que cet arrogant fils de pute va participer au Turmoil avec l'autre consanguin d'Edge ? C'est une blague ?!
Les quatre frères restent là quelques secondes, interloqués, puis continuent leur chemin. Finalement, ils tournent à un coin et vous savez sur qui ils tombent ? Ils tombent sur Stevie 'Jive Soul Bro' Ray ! Celui ci, en simple t-shirt et jean, les voit et les interpelle.
Stevie Ray – Salut les mecs, vous allez bien ?
Bubba Ray – Qu'est ce que tu fous là, Stevie Ray ?!
Stevie Ray – Et bien, Booker m'a appelé, je sais pas pourquoi, il m'a juste dit d'amener ma vieille tenue de lutte de l'époque des Harlem Heat.
Tout en disant ces derniers mots, Stevie Ray montre de sa main libre un sac de sport qu'il tient dans la main droite.
Bubba Ray – Booker t'as... Cet enfoiré s'est foutu de nous !
Stevie Ray – Alors, tu sais où il est ?
Bubba Ray lance à Stevie Ray (Ray Ray, Reyrey, etc.) un regard assassin et les Dudleys continuent leur route, alors que Bubba rumine dans sa barbe (en plus, il en a réellement une, lui.)
Bubba Ray – Putain, c'est quoi ce bordel. Booker nous entendait pas, et il appelle son connard de frère ? Ils reforment les Harlem Heat ? Et Christian, c'était pas avec Edge qu'il était au téléphone cet enfant de putain ?
Et au détour d'un autre couloir, vous devinerez jamais sur qui ils tombent. Triple H !
Triple H – Bubba, Devon, j'ai une question pour vous.
Bubba Ray – Hum, je pense que tu pourrais la poser peut être ?
Triple H – Are You Ready ?
Bubba Ray – What ?
Triple H – I Said, Are You ..
Bubba Ray – Je sais absolument ce que t'as dis, espèce de bâtard ! Tu te fous de nos gueules, hein ? Ton pote attardé Shawn Michaels est pas loin et nous écoute en riant comme une petite pucelle, hein ?! On chie sur votre putain de DX, mes frères et moi !
Les frères passent leur chemin et laissent Triple H seul (tu t'attends vraiment à une blague à chaque passage de narration ?)
Triple H – Je voulais juste les inviter à l'anniversaire de Murphy Claire...
Trois mini Hunter au féminin, ça doit être chaud à gérer quand même, j'aimerais pas être dans une partie à quatre avec elles plus tard, par contre, une partie à trois avec les boobs de Stephanie McMahon Helmsley...
Studley Dudley – Well, well, well. Ca y est, mes frères, c'est le moment, ce soir, vous ajoutez une ligne à votre palmarès, vous devenez champion du monde par équipe pour la vingt quatrième fois. Pas trop stressés ?
Devon. Stressés ? Mon frère, c'est notre moment, notre putain de moment ! Tonight, we're going down in the ring as legends, and we exit that very ring as champions.
Studley Dudley – Ca va être à nous les mecs, en route.
Les quatre hommes quittent leur loge, ils marchent un peu, et Christian passe devant eux, il est au téléphone et ne semble pas les remarquer.
Christian Cage – Okay bro', parfait. J'ai les lunettes old school, les kazoos, il me manque plus que quinze centimètres de cheveux et ça sera comme au bon vieux temps ! Allez, à de suite, bro'.
Christian passe son chemin, laissant les Dudleys pantois, Bubba regarde Devon, Devon regarde Bubba, Bubba regarde Sign Guy, Sign Guy regarde
Bubba Ray – Est ce que cet arrogant fils de pute va participer au Turmoil avec l'autre consanguin d'Edge ? C'est une blague ?!
Les quatre frères restent là quelques secondes, interloqués, puis continuent leur chemin. Finalement, ils tournent à un coin et vous savez sur qui ils tombent ? Ils tombent sur Stevie 'Jive Soul Bro' Ray ! Celui ci, en simple t-shirt et jean, les voit et les interpelle.
Stevie Ray – Salut les mecs, vous allez bien ?
Bubba Ray – Qu'est ce que tu fous là, Stevie Ray ?!
Stevie Ray – Et bien, Booker m'a appelé, je sais pas pourquoi, il m'a juste dit d'amener ma vieille tenue de lutte de l'époque des Harlem Heat.
Tout en disant ces derniers mots, Stevie Ray montre de sa main libre un sac de sport qu'il tient dans la main droite.
Bubba Ray – Booker t'as... Cet enfoiré s'est foutu de nous !
Stevie Ray – Alors, tu sais où il est ?
Bubba Ray lance à Stevie Ray (Ray Ray, Reyrey, etc.) un regard assassin et les Dudleys continuent leur route, alors que Bubba rumine dans sa barbe (en plus, il en a réellement une, lui.)
Bubba Ray – Putain, c'est quoi ce bordel. Booker nous entendait pas, et il appelle son connard de frère ? Ils reforment les Harlem Heat ? Et Christian, c'était pas avec Edge qu'il était au téléphone cet enfant de putain ?
Et au détour d'un autre couloir, vous devinerez jamais sur qui ils tombent. Triple H !
Triple H – Bubba, Devon, j'ai une question pour vous.
Bubba Ray – Hum, je pense que tu pourrais la poser peut être ?
Triple H – Are You Ready ?
Bubba Ray – What ?
Triple H – I Said, Are You ..
Bubba Ray – Je sais absolument ce que t'as dis, espèce de bâtard ! Tu te fous de nos gueules, hein ? Ton pote attardé Shawn Michaels est pas loin et nous écoute en riant comme une petite pucelle, hein ?! On chie sur votre putain de DX, mes frères et moi !
Les frères passent leur chemin et laissent Triple H seul (tu t'attends vraiment à une blague à chaque passage de narration ?)
Triple H – Je voulais juste les inviter à l'anniversaire de Murphy Claire...
Trois mini Hunter au féminin, ça doit être chaud à gérer quand même, j'aimerais pas être dans une partie à quatre avec elles plus tard, par contre, une partie à trois avec les boobs de Stephanie McMahon Helmsley...
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Re: Thunderslam.
Bill DeMott – Après un mois de recherches infructueuses, les Dudley Boyz vont finalement se retrouver face à un Invitational Turmoil Match. La tâche s'annonce un peu plus compliqué que prévu pour les deux frères.
Booker T – Compliqué ou non, ils se prétendent meilleure équipe de l'histoire de la lutte, et s'ils veulent vraiment faire honneur à leurs vingt-trois titres de champions, ce Turmoil ne devrait pas leur poser le moindre problème.
Bill DeMott – Rappelons d'ailleurs qu'à plusieurs reprises, les deux frères ont tenté de trouver des adversaires mais ni la DX, ni Edge and Christian ni même toi, Booker, ne semblait intéressé par ça.
Booker T – Ils m'ont réellement demandé de participer à un match de championnat contre eux ?
Bill DeMott – Ils l'ont fait, oui. Sauf qu'à ce moment, tu étais au téléphone, tu n'as donc certainement rien entendu. By the way, Stone Cold a quand même fait une fleur à nos deux frères puisqu'il s'agira d'un Table Match, la grande spécialité des Dudley Boyz.
Booker T – Table Match ou pas, invitation ou pas, si my brother Stevie Ray et moi-même avions voulu participer à ce combat, nous serions déjà thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time Tag Team Champion, sucka'.
Bill DeMott – En attendant, accueillons ceux qui vont hoster ce Turmoil Match.
Accompagné du très célèbre Joël Gertner et un peu plus loin du très méconnu Sign Guy, les Dudleyz descendent la rampe d'accès alors que Sign Guy arbore une superbe pancarte avec marqué "24 Time Tag Champs", espérons qu'il ne se trompe pas, il aurait l'air bien con. Une fois sur le ring, les deux frères font le tour des turnbuckles mais l'action se situe ailleurs puisque Joël "Paoli's Daddy" Gertner vient de prendre un micro, c'est introduction time made by Gumpy, et en Anglais, s'il vous plait, bitches.
Joël Gertner – Well, well, well... Guess who's back in Houston, Texas ladies ?! Oh you know the name, you know the rest, you remember the night Joël "Put your thick cock in my tight ass" Gertner sends you in the seventh heaven ! And, of course, you remember the hot night you had with me, the night you yelled the name of the hottest stuff in Houston, Joël "please gimme some more stuff 'cause nobody fuck me like you do" Gertner. And, for sure, you have my phone number. By the way, for the moment, this ain't about Joël Gertner, this ain't about the hot chicks with big boobies in the ringside, no, no, no... Now, this is time, ladies and gentleman, for the hottest Tag Team we never had in this fuckin' industry, they are twenty fuckin' three times World Tag Team Champions, they are from Dudleyville... Those big motherfuckin' Dudley Fuckin' Boys !
Et pendant que les hommes le hue copieusement, que quelques MILF notent déjà leur adresse pour Joël pendant que ce dernier part s'occuper de cette fameuse nana à grosse poitrine au premier rang, les frères Dudley, eux, ont eu la bonne idée de quitter le ring pour sortir chacun une putain de table ! Qu'est-ce qu'ils nous réservent, ces salauds ?
Bill DeMott – Je sais pas pour toi Booker, mais je commence à sérieusement à en avoir marre de ce vermisseau graisseux qui se balade dans un blouson à poil de bison.
Booker T – Tu veux que je te dise un truc, moi ? J'en ai surtout marre d'entendre cet abruti crier sur tous les toits comme un gros malin que les Dudley Boys soient vingt-trois fois champions par équipes. Moi, je suis bien un eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, Tag Team Champion, sucka'. Et j'ai passé toute ma putain de vie à parcourir le monde et à lutter en équipe, j'ai jamais quitté les Etats-Unis et j'ai fait une très grosse partie de ma carrière en solo. Ces mecs ont rien d'extraordinaire si ce n'est la manière dont ils arrivent à supporter l'autre abruti qui parle de son anatomie à longueur de journée.
Bill DeMott – L'attente, ça va bien cinq minutes, mais il serait tant de savoir qui vont être les deux premiers hommes à arriver sur ce ring pour espérer battre les frères Dudley et devenir les tous premiers AWC Tag Team Champions.
Roulement de tambour pour la première équipe.
Shell yeah, voici Shark Boy accompagné par son équipier de toujours, le grand, l'épicé, Curry Man. Sur le ring, ça rigole fort entre les deux frères Dudleys.
» FIGHT ! «
DING DING DING ! Shark Boy et Curry Man viennent à peine de monter sur le ring qu'ils se font directement sécher par une Double Clothesline de Bubba Ray. Pendant ce temps, Devon a déjà placé une putain de table du milieu du ring alors que l'autre a été placé dans un coin. Bubba relève ses deux adversaires et les envoient l'un contre l'autre, tête la première. Curry Man tombent directement au sol alors que Shark Boy se veut titubant. Il n'en fallait pas plus à Bubba qui attrape l'homme-requin et avec l'aide de Devon, et l'envoie tête la première contre la table se trouvant dans le coin. Sous l'impact du choc, la table se brise, Shark Boy et Curry Man éliminés.
Booker T – Les fruits de mer trop épicés, ce n'est visiblement pas du goût des Dudley Boyz, et cela fait déjà une équipe en moins.
Bill DeMott – Ce n'était que l'échauffement, on va voir s'ils arrivent à faire pareil avec les autres.
Booker T – Leurs futurs adversaires devrait d'ailleurs arriver d'ici une poignée de secondes.
Et Booker ne croit pas si bien dire.
Tout de suite, ce n'est pas du tout le même gabarit, et les frères Dudley s'en sont aperçus.
Ezekiel et Bobby Lashley se jettent de suite sur leurs adversaires et prennent l'avantage avec leur force pure. Bobby Lashley porte notamment un énorme Powerslam sur Devon alors qu'Ezekiel utilise ses énormes bras pour affaiblir le dos de Bubba. Cependant inexpérimenté, les deux acolytes oublient de préparer la table et lorsque Lashley décide enfin de s'en occuper, Devon profite de la situation pour revenir dans le combat. Il porte une Back Suplex sur Lashley alors que Bubba profite de la déconcentration d'Ezekiel pour lui porter un Low-Blow. Bubba porte ensuite un Reverse Neckbreaker à son adversaire alors que Devon, lui, esquive un Spear de Bobby Lashley qui échoue l'épaule la première dans le turnbuckle. En se relevant, Bubba interpelle Devon qui tourne sur lui-même et les deux hommes n'ont plus qu'à porter leur 3D sur Ezekiel directement sur la table.
Bill DeMott – Le dessert au chocolat, il est bien passé aussi.
Booker T – C'était une remarque raciste, ça ?!
Bill DeMott – Bah faut être réaliste, c'est pas du chocolat blanc les deux mecs.
Les Dudleys sont lancés et ils en redemandent, qui seront les troisièmes ?
Dans un éclat fracassant, Kane fait son retour à l'AWC en compagnie d'un autre revenant, Abyss.
Tout ceci n'effraie cependant pas les frères Dudley qui descendent rapidement du ring pour attaquer leurs adversaires. Un Brawl débute à l'extérieur du ring, et Kane balance Bubba au dessus des barricades de sécurité alors qu'Abyss, lui, balance Devon contre l'escalier en métal. Kane part pour se battre avec Bubba dans la foule pendant qu'Abyss sort non pas une, mais bien deux putains de tables de sous le ring. Il vient les placer toutes les deux en ringside mais le temps qu'il fasse tout ceci, Devon est de retour et attaque Abyss par derrière, le mettant ensuite allongé sur les deux tables. Pendant ce temps, Kane vient de faire dévaler les marches de l'arena à un Bubba Ray qui ne voit pas le jour. Devon, lui, monte sur le turnbuckle et s'élance pour un Splash sur Abyss mais ce dernier se jette au dernier moment, laissant Devon s'écraser la gueule tout seul contre les deux tables. La foule est en ébullition, Abyss se prépare à sortir une autre table mais Bubba et Kane sont à présents près du stand de marchandise et alors que Kane tentait un Chokeslam sur Bubba, ce dernier retombe derrière son adversaire et arrive à le retourner pour lui porter une Back Suplex à travers la table du stand de marchandises.
Booker T – Kane et Abyss n'étaient que des amuses-gueules pour les Dudleyz.
Bill DeMott – Attention tout de même à la fatigue qui commence à s'accumuler.
Booker T – Allez hop, on envoie la suite.
Bubba est allongé entre les t-shirts de John Cena et les strings à l'effigie de Trish Stratus.
Et voici à présent les deux membres de Priceless, Ted DiBiase et Cody Rhodes.
Les deux hommes profitent de la situation et attaquent immédiatement Devon qui se trouve seul en ringside et qui vient d'essuyer un gros revers en se faisant exploser la gueule tout seul à travers deux tables. Les deux équipiers en profitent pour passer à tabac Devon, tout y passe, projection contre le turnbuckle, contre les escaliers en fer et contre les barricades de sécurité, on oublie absolument rien. DiBiase a donc tout son temps pour préparer une table mais la foule se réveille, Bubba Ray redescend les marches des tribunes, chaise en main. Il vient fracasser la gueule de Cody Rhodes avec un coup de chaise monstrueux et fait de même avec Ted DiBiase. Bubba enchaine ensuite avec un Spinebuster sur DiBiase qui explose la table.
Bill DeMott – Bubba est revenu juste à tant, sinon s'en était terminé pour les deux frères.
Booker T – Et si tu veux mon avis, ils sont encore loin de voir le bout de ce combat.
Cela fait déjà près de quinze minutes que les Dudleyz éliminent leurs adversaires.
Mais voilà que la suite arrive, encore.
Bubba a tout juste le temps de remobiliser son frère que le combat est reparti. Les deux frères, qui commencent à sérieusement accuser le coup, se font ruer de coups. Ils profitent cependant de plusieurs mésententes de leurs adversaires qui veulent tout deux être au four et au moulin en même temps. Devon et Bubba reprennent donc l'avantage et tirent profit de cette situation pour mettre Swagger hors d'état de nuire avec un Double Step Shot. Jericho ne sait pas franchement quoi faire et la table qu'il avait sorti ne sert ni plus ni moins aux frères Dudley pour porter un énorme 3D à Jericho à travers cette putain de table, encore une équipe de moins.
Bill DeMott – C'est une belle preuve qu'ici, les égos n'ont pas leur place.
Booker T – Voyons voir ce qu'ils vont pouvoir faire alors que le combat devient de plus en plus difficile pour eux.
La suite est un peu spéciale, d'ailleurs.
Kevin Thorn va faire équipe avec sa chère Ariel, une femme.
Femme ou pas, la seule chose importante, c'est les titres. Bubba n'hésite donc pas à attaquer Ariel mais cette dernière esquive pour permettre à Thorn de coucher Bubba avec une Clothesline. Thorn fait parler sa puissance pour prendre seul l'avantage sur les frères Dudley pendant que, de son côté, Ariel remonte une table sur le ring. Thorn porte même son Crucifix sur Devon mais il se fait surprendre pas une Bubba Bomb par derrière. Ariel n'a rien vu de tout ça et vient de placer la table, grave erreur. Bubba, fou de rage, attrape les cheveux d'Ariel et, comme tout un symbole que certains comprendront, il attrape Ariel et monte avec elle sur la seconde corde. D'ici, la démone n'a plus qu'à crier de peur, Bubba vient de lui porter une putain de Powerbomb directement de la seconde corde à travers une table.
Booker T – Vintage Bubba Ray Dudley. Les femmes, ça lui fait toujours le même effet.
Bill DeMott – C'est pas sûr qu'ils s'en seraient sortis si Ariel avait été remplacée par un homme.
Le match approche des vingt-cinq minutes et pourtant, il y en a encore à venir.
Et ça, c'est un putain de challenge.
Un putain de challenge Hardcore puisqu'à peine sur le ring, Eddie Kingston enchaine les coups tous plus stiffs les uns que les autres avant d'attraper une chaise balancée par Homicide pour lui éclater directement à la gueule. Homicide, lui, vient de préparer la table des commentateurs Espagnols et en profite pour frapper Devon avec le moniteur télé. Et comme tout un symbole, une fois encore pour ceux qui comprendront, Homicide sort de sa poche... Une fourchette ! Oui, une putain de fourchette ! Le Notorious 187 va même jusqu'à la frotter contre le front de Devon qui pisse le sang comme si on venait d'égorger un cochon. Eddie Kingston, lui, vient de faire monter Bubba Ray sur le turnbuckle et tente une Superplex directement à l'extérieur du ring. Bubba arrive quand même à se retenir aux cordes et contre son adversaire. Homicide tente d'intervenir mais Bubba pète un câble et saute en direction de la table des commentateurs tout en portant Eddie Kingston en Powerslam. La table explose sous l'impact, la foule est sur le cul, les chants "holly shit" descendent de partout, et Eddie Kingston doit être mort à l'heure qu'il est. Homicide, lui, préfère partir avec sa fourchette, il n'en revient pas de ce que vient de faire Bubba.
Bill DeMott – Le mec, il est prêt à niquer sa propre vie juste pour un putain de titre, faut vraiment être cinglé.
Booker T – Tu te prétends pas la meilleure équipe sans couilles dans le slip.
Près de trente-deux minutes au compteur et les Dudleys sont toujours là.
Qui a dit que ça sentait l'équipe de comique, ça ?
La stratégie semble clair, Goldust enchaine les caresses sur des Dudley Boyz à bout de force alors que, de son côté, Claudio Castagnoli sort non pas une, ni même deux et encore moins trois, mais bien quatre putains de tables qu'il place près du ring, les empilant deux par deux. Claudio demande ensuite à Goldust de remonter les deux hommes sur le ring. Ce dernier en profite donc pour palper les corps bien gras des frangins Dudley et les remet sur le ring. Et visiblement, ce petit repos a fait du bien aux deux frères qui, une fois de retour sur le ring, se reprennent un peu et arrivent à sécher Claudio Castagnoli avec du brawling. Goldust, lui, semble plus préoccupé par la perruque qu'il vient de se faire piquer par un certain Magloire, comprendra qui pourra. Les Dudleys enchainent sur le ring, Bubba écarte les jambes de son adversaire, un pti' wazaaa et Devon s'élance pour un Diving Headbutt. Castagnoli roule en dehors du ring et Goldust, qui vient enfin de remonter sur le ring ne peut rien faire face aux deux frères qui, à bout de forces, trouvent le moyens de porter le Golden One en position de Military Press pour le faire s'éclater à travers les deux tables du dessus qui étaient à l'extérieur du ring. Oui, les deux du dessous n'ont pas explosé.
Bill DeMott – A mon compteur, nous en sommes à présent à près de trente-huit minutes de combat, un vrai marathon.
Booker T – Et pourtant, les deux frères font preuve de ténacités puisqu'ils sont toujours debout, éliminant un par un tous leurs adversaires.
Bill DeMott – Ils veulent vraiment devenir les tous premiers AWC Tag Team Champions.
Devon s'écroule dans un coin du ring, le visage en sang alors que Bubba, lui, est rouge comme une tomate, il a du perdre dix kilos et est complètement déshydraté. Les deux frères n'en peuvent plus, mais ils semblent être arrivés à la fin, car plus personne ne semble se pointer.
Booker T – Compliqué ou non, ils se prétendent meilleure équipe de l'histoire de la lutte, et s'ils veulent vraiment faire honneur à leurs vingt-trois titres de champions, ce Turmoil ne devrait pas leur poser le moindre problème.
Bill DeMott – Rappelons d'ailleurs qu'à plusieurs reprises, les deux frères ont tenté de trouver des adversaires mais ni la DX, ni Edge and Christian ni même toi, Booker, ne semblait intéressé par ça.
Booker T – Ils m'ont réellement demandé de participer à un match de championnat contre eux ?
Bill DeMott – Ils l'ont fait, oui. Sauf qu'à ce moment, tu étais au téléphone, tu n'as donc certainement rien entendu. By the way, Stone Cold a quand même fait une fleur à nos deux frères puisqu'il s'agira d'un Table Match, la grande spécialité des Dudley Boyz.
Booker T – Table Match ou pas, invitation ou pas, si my brother Stevie Ray et moi-même avions voulu participer à ce combat, nous serions déjà thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time, thirteen time Tag Team Champion, sucka'.
Bill DeMott – En attendant, accueillons ceux qui vont hoster ce Turmoil Match.
Accompagné du très célèbre Joël Gertner et un peu plus loin du très méconnu Sign Guy, les Dudleyz descendent la rampe d'accès alors que Sign Guy arbore une superbe pancarte avec marqué "24 Time Tag Champs", espérons qu'il ne se trompe pas, il aurait l'air bien con. Une fois sur le ring, les deux frères font le tour des turnbuckles mais l'action se situe ailleurs puisque Joël "Paoli's Daddy" Gertner vient de prendre un micro, c'est introduction time made by Gumpy, et en Anglais, s'il vous plait, bitches.
Joël Gertner – Well, well, well... Guess who's back in Houston, Texas ladies ?! Oh you know the name, you know the rest, you remember the night Joël "Put your thick cock in my tight ass" Gertner sends you in the seventh heaven ! And, of course, you remember the hot night you had with me, the night you yelled the name of the hottest stuff in Houston, Joël "please gimme some more stuff 'cause nobody fuck me like you do" Gertner. And, for sure, you have my phone number. By the way, for the moment, this ain't about Joël Gertner, this ain't about the hot chicks with big boobies in the ringside, no, no, no... Now, this is time, ladies and gentleman, for the hottest Tag Team we never had in this fuckin' industry, they are twenty fuckin' three times World Tag Team Champions, they are from Dudleyville... Those big motherfuckin' Dudley Fuckin' Boys !
Et pendant que les hommes le hue copieusement, que quelques MILF notent déjà leur adresse pour Joël pendant que ce dernier part s'occuper de cette fameuse nana à grosse poitrine au premier rang, les frères Dudley, eux, ont eu la bonne idée de quitter le ring pour sortir chacun une putain de table ! Qu'est-ce qu'ils nous réservent, ces salauds ?
Bill DeMott – Je sais pas pour toi Booker, mais je commence à sérieusement à en avoir marre de ce vermisseau graisseux qui se balade dans un blouson à poil de bison.
Booker T – Tu veux que je te dise un truc, moi ? J'en ai surtout marre d'entendre cet abruti crier sur tous les toits comme un gros malin que les Dudley Boys soient vingt-trois fois champions par équipes. Moi, je suis bien un eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, eighteen time, Tag Team Champion, sucka'. Et j'ai passé toute ma putain de vie à parcourir le monde et à lutter en équipe, j'ai jamais quitté les Etats-Unis et j'ai fait une très grosse partie de ma carrière en solo. Ces mecs ont rien d'extraordinaire si ce n'est la manière dont ils arrivent à supporter l'autre abruti qui parle de son anatomie à longueur de journée.
Bill DeMott – L'attente, ça va bien cinq minutes, mais il serait tant de savoir qui vont être les deux premiers hommes à arriver sur ce ring pour espérer battre les frères Dudley et devenir les tous premiers AWC Tag Team Champions.
Roulement de tambour pour la première équipe.
Shell yeah, voici Shark Boy accompagné par son équipier de toujours, le grand, l'épicé, Curry Man. Sur le ring, ça rigole fort entre les deux frères Dudleys.
» FIGHT ! «
DING DING DING ! Shark Boy et Curry Man viennent à peine de monter sur le ring qu'ils se font directement sécher par une Double Clothesline de Bubba Ray. Pendant ce temps, Devon a déjà placé une putain de table du milieu du ring alors que l'autre a été placé dans un coin. Bubba relève ses deux adversaires et les envoient l'un contre l'autre, tête la première. Curry Man tombent directement au sol alors que Shark Boy se veut titubant. Il n'en fallait pas plus à Bubba qui attrape l'homme-requin et avec l'aide de Devon, et l'envoie tête la première contre la table se trouvant dans le coin. Sous l'impact du choc, la table se brise, Shark Boy et Curry Man éliminés.
Booker T – Les fruits de mer trop épicés, ce n'est visiblement pas du goût des Dudley Boyz, et cela fait déjà une équipe en moins.
Bill DeMott – Ce n'était que l'échauffement, on va voir s'ils arrivent à faire pareil avec les autres.
Booker T – Leurs futurs adversaires devrait d'ailleurs arriver d'ici une poignée de secondes.
Et Booker ne croit pas si bien dire.
Tout de suite, ce n'est pas du tout le même gabarit, et les frères Dudley s'en sont aperçus.
Ezekiel et Bobby Lashley se jettent de suite sur leurs adversaires et prennent l'avantage avec leur force pure. Bobby Lashley porte notamment un énorme Powerslam sur Devon alors qu'Ezekiel utilise ses énormes bras pour affaiblir le dos de Bubba. Cependant inexpérimenté, les deux acolytes oublient de préparer la table et lorsque Lashley décide enfin de s'en occuper, Devon profite de la situation pour revenir dans le combat. Il porte une Back Suplex sur Lashley alors que Bubba profite de la déconcentration d'Ezekiel pour lui porter un Low-Blow. Bubba porte ensuite un Reverse Neckbreaker à son adversaire alors que Devon, lui, esquive un Spear de Bobby Lashley qui échoue l'épaule la première dans le turnbuckle. En se relevant, Bubba interpelle Devon qui tourne sur lui-même et les deux hommes n'ont plus qu'à porter leur 3D sur Ezekiel directement sur la table.
Bill DeMott – Le dessert au chocolat, il est bien passé aussi.
Booker T – C'était une remarque raciste, ça ?!
Bill DeMott – Bah faut être réaliste, c'est pas du chocolat blanc les deux mecs.
Les Dudleys sont lancés et ils en redemandent, qui seront les troisièmes ?
Dans un éclat fracassant, Kane fait son retour à l'AWC en compagnie d'un autre revenant, Abyss.
Tout ceci n'effraie cependant pas les frères Dudley qui descendent rapidement du ring pour attaquer leurs adversaires. Un Brawl débute à l'extérieur du ring, et Kane balance Bubba au dessus des barricades de sécurité alors qu'Abyss, lui, balance Devon contre l'escalier en métal. Kane part pour se battre avec Bubba dans la foule pendant qu'Abyss sort non pas une, mais bien deux putains de tables de sous le ring. Il vient les placer toutes les deux en ringside mais le temps qu'il fasse tout ceci, Devon est de retour et attaque Abyss par derrière, le mettant ensuite allongé sur les deux tables. Pendant ce temps, Kane vient de faire dévaler les marches de l'arena à un Bubba Ray qui ne voit pas le jour. Devon, lui, monte sur le turnbuckle et s'élance pour un Splash sur Abyss mais ce dernier se jette au dernier moment, laissant Devon s'écraser la gueule tout seul contre les deux tables. La foule est en ébullition, Abyss se prépare à sortir une autre table mais Bubba et Kane sont à présents près du stand de marchandise et alors que Kane tentait un Chokeslam sur Bubba, ce dernier retombe derrière son adversaire et arrive à le retourner pour lui porter une Back Suplex à travers la table du stand de marchandises.
Booker T – Kane et Abyss n'étaient que des amuses-gueules pour les Dudleyz.
Bill DeMott – Attention tout de même à la fatigue qui commence à s'accumuler.
Booker T – Allez hop, on envoie la suite.
Bubba est allongé entre les t-shirts de John Cena et les strings à l'effigie de Trish Stratus.
Et voici à présent les deux membres de Priceless, Ted DiBiase et Cody Rhodes.
Les deux hommes profitent de la situation et attaquent immédiatement Devon qui se trouve seul en ringside et qui vient d'essuyer un gros revers en se faisant exploser la gueule tout seul à travers deux tables. Les deux équipiers en profitent pour passer à tabac Devon, tout y passe, projection contre le turnbuckle, contre les escaliers en fer et contre les barricades de sécurité, on oublie absolument rien. DiBiase a donc tout son temps pour préparer une table mais la foule se réveille, Bubba Ray redescend les marches des tribunes, chaise en main. Il vient fracasser la gueule de Cody Rhodes avec un coup de chaise monstrueux et fait de même avec Ted DiBiase. Bubba enchaine ensuite avec un Spinebuster sur DiBiase qui explose la table.
Bill DeMott – Bubba est revenu juste à tant, sinon s'en était terminé pour les deux frères.
Booker T – Et si tu veux mon avis, ils sont encore loin de voir le bout de ce combat.
Cela fait déjà près de quinze minutes que les Dudleyz éliminent leurs adversaires.
Mais voilà que la suite arrive, encore.
Bubba a tout juste le temps de remobiliser son frère que le combat est reparti. Les deux frères, qui commencent à sérieusement accuser le coup, se font ruer de coups. Ils profitent cependant de plusieurs mésententes de leurs adversaires qui veulent tout deux être au four et au moulin en même temps. Devon et Bubba reprennent donc l'avantage et tirent profit de cette situation pour mettre Swagger hors d'état de nuire avec un Double Step Shot. Jericho ne sait pas franchement quoi faire et la table qu'il avait sorti ne sert ni plus ni moins aux frères Dudley pour porter un énorme 3D à Jericho à travers cette putain de table, encore une équipe de moins.
Bill DeMott – C'est une belle preuve qu'ici, les égos n'ont pas leur place.
Booker T – Voyons voir ce qu'ils vont pouvoir faire alors que le combat devient de plus en plus difficile pour eux.
La suite est un peu spéciale, d'ailleurs.
Kevin Thorn va faire équipe avec sa chère Ariel, une femme.
Femme ou pas, la seule chose importante, c'est les titres. Bubba n'hésite donc pas à attaquer Ariel mais cette dernière esquive pour permettre à Thorn de coucher Bubba avec une Clothesline. Thorn fait parler sa puissance pour prendre seul l'avantage sur les frères Dudley pendant que, de son côté, Ariel remonte une table sur le ring. Thorn porte même son Crucifix sur Devon mais il se fait surprendre pas une Bubba Bomb par derrière. Ariel n'a rien vu de tout ça et vient de placer la table, grave erreur. Bubba, fou de rage, attrape les cheveux d'Ariel et, comme tout un symbole que certains comprendront, il attrape Ariel et monte avec elle sur la seconde corde. D'ici, la démone n'a plus qu'à crier de peur, Bubba vient de lui porter une putain de Powerbomb directement de la seconde corde à travers une table.
Booker T – Vintage Bubba Ray Dudley. Les femmes, ça lui fait toujours le même effet.
Bill DeMott – C'est pas sûr qu'ils s'en seraient sortis si Ariel avait été remplacée par un homme.
Le match approche des vingt-cinq minutes et pourtant, il y en a encore à venir.
Et ça, c'est un putain de challenge.
Un putain de challenge Hardcore puisqu'à peine sur le ring, Eddie Kingston enchaine les coups tous plus stiffs les uns que les autres avant d'attraper une chaise balancée par Homicide pour lui éclater directement à la gueule. Homicide, lui, vient de préparer la table des commentateurs Espagnols et en profite pour frapper Devon avec le moniteur télé. Et comme tout un symbole, une fois encore pour ceux qui comprendront, Homicide sort de sa poche... Une fourchette ! Oui, une putain de fourchette ! Le Notorious 187 va même jusqu'à la frotter contre le front de Devon qui pisse le sang comme si on venait d'égorger un cochon. Eddie Kingston, lui, vient de faire monter Bubba Ray sur le turnbuckle et tente une Superplex directement à l'extérieur du ring. Bubba arrive quand même à se retenir aux cordes et contre son adversaire. Homicide tente d'intervenir mais Bubba pète un câble et saute en direction de la table des commentateurs tout en portant Eddie Kingston en Powerslam. La table explose sous l'impact, la foule est sur le cul, les chants "holly shit" descendent de partout, et Eddie Kingston doit être mort à l'heure qu'il est. Homicide, lui, préfère partir avec sa fourchette, il n'en revient pas de ce que vient de faire Bubba.
Bill DeMott – Le mec, il est prêt à niquer sa propre vie juste pour un putain de titre, faut vraiment être cinglé.
Booker T – Tu te prétends pas la meilleure équipe sans couilles dans le slip.
Près de trente-deux minutes au compteur et les Dudleys sont toujours là.
Qui a dit que ça sentait l'équipe de comique, ça ?
La stratégie semble clair, Goldust enchaine les caresses sur des Dudley Boyz à bout de force alors que, de son côté, Claudio Castagnoli sort non pas une, ni même deux et encore moins trois, mais bien quatre putains de tables qu'il place près du ring, les empilant deux par deux. Claudio demande ensuite à Goldust de remonter les deux hommes sur le ring. Ce dernier en profite donc pour palper les corps bien gras des frangins Dudley et les remet sur le ring. Et visiblement, ce petit repos a fait du bien aux deux frères qui, une fois de retour sur le ring, se reprennent un peu et arrivent à sécher Claudio Castagnoli avec du brawling. Goldust, lui, semble plus préoccupé par la perruque qu'il vient de se faire piquer par un certain Magloire, comprendra qui pourra. Les Dudleys enchainent sur le ring, Bubba écarte les jambes de son adversaire, un pti' wazaaa et Devon s'élance pour un Diving Headbutt. Castagnoli roule en dehors du ring et Goldust, qui vient enfin de remonter sur le ring ne peut rien faire face aux deux frères qui, à bout de forces, trouvent le moyens de porter le Golden One en position de Military Press pour le faire s'éclater à travers les deux tables du dessus qui étaient à l'extérieur du ring. Oui, les deux du dessous n'ont pas explosé.
Bill DeMott – A mon compteur, nous en sommes à présent à près de trente-huit minutes de combat, un vrai marathon.
Booker T – Et pourtant, les deux frères font preuve de ténacités puisqu'ils sont toujours debout, éliminant un par un tous leurs adversaires.
Bill DeMott – Ils veulent vraiment devenir les tous premiers AWC Tag Team Champions.
Devon s'écroule dans un coin du ring, le visage en sang alors que Bubba, lui, est rouge comme une tomate, il a du perdre dix kilos et est complètement déshydraté. Les deux frères n'en peuvent plus, mais ils semblent être arrivés à la fin, car plus personne ne semble se pointer.
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Re: Thunderslam.
Booker T – Plus personne n'a l'air d'arriver Bill, cela semble être la fin de la longue traversée du désert pour les frères Dudley.
Bill DeMott – Pourtant, la cloche n'a pas sonné, elle aurait dû, non ?
Booker T – Pas forcément étant donné que nous mêmes ne savons pas combien de personnes doivent normalement intervenir dans ce combat. Il semblerait donc que les frères Dudley soient nos nouveaux champions par équipes.
Bill DeMott – Près de quarante minutes de combat, des dizaines de coups encaissés, et une dizaine de tables brisées plus tard, les frères Dudley sont nos nouveaux champions Tag Team.
En ringside, on s'agite. Le speaker se lève et s'apprête à annoncer la victoire des deux frères alors qu'un technicien, lui, est déjà en train de tendre les ceintures à Bubba qui peine comme un malade pour tendre une seule main. Mais finalement, ils ont réussi, ils sont les nouveaux AWC Tag Team Champi-...
Incroyable, il reste visiblement encore une équipe dans ce tournoi et les Dudley Boyz ont encore un obstacle à passer avant d'arriver aux titres.
Bill DeMott – Je croyais qu'ils venaient de gagner et qu'ils étaient les nouveaux champions.
Booker T – Je le pensais également, mais visiblement on a à faire à deux retardataires qui, eux aussi, ont visiblement envie de se faire éclater la gueule à travers une table.
Bill DeMott – Sauf qu'après quarante minutes de combats, ce n'est plus la spécialité du combat qui compte, c'est la fraicheur physique, et je sens que les Dudley Boyz sont très mal partis...
» FIGHT ! «
Bryan Danielson et Gregory Helms, alliance de circonstance pour ce tournoi, retirent tranquillement leur attirail avant de grimper sur le ring. Bubba tente bien de les attaquer mais il n'a plus de force et il est aisé pour Danielson de le faire chuter à terre pour lui porter son Crossface. Bubba souffre, mais il n'a plus la force ni de crier, ni même de taper au sol. Devon tente bien d'intervenir à son tour mais il est complètement dans les vapes, il a perdu trop de sang et Gregory Helms ne met pas bien longtemps avant de lui porter son Eye of the Hurricane. Danielson vient ensuite faire glisser Bubba sur les deux tables restantes en dehors du ring et Gregory Helms fait de même avec Devon. Le carnage est imminent, les frères Dudley n'ont plus la force de réagir et ensemble, Danielson et Helms exécutent un Double Diving Crossbody à l'extérieur du ring. Les deux tables se brisent sous l'impact, le rêve touche à sa fin pour les Dudley Boyz, ils ne seront pas champions.
Booker T – Tell me they just didn't do that !
Bill DeMott – Pourtant, après quarante-deux minutes de combats, c'est pourtant vrai, il n'aura pas manqué grand chose aux frères Dudley pour remporter leur combat, quel dommage.
Quel dommage car effectivement, on va repartir pour un mois de pleurnichage sur le fait que les deux frères veulent les titres. Mais pour le moment, c'est Bryan Danielson et Gregory Helms qui sont nos tous premiers AWC Tag Team Champions. Les deux hommes, qui viennent de recevoir les ceintures de champions, ne font pas de chichi et quittent rapidement le ring, en pointant du doigt et en applaudissant la performance des Dudley Boyz qui ont, c'est vrai, réalisé une très grosse performance ce soir, et qui aurait méritée un meilleur résultat. Quoiqu'il en soit, les deux hommes vont terminer la soirée à l'hôpital, puisqu'ils sont évacués en civières.
Bill DeMott – Pourtant, la cloche n'a pas sonné, elle aurait dû, non ?
Booker T – Pas forcément étant donné que nous mêmes ne savons pas combien de personnes doivent normalement intervenir dans ce combat. Il semblerait donc que les frères Dudley soient nos nouveaux champions par équipes.
Bill DeMott – Près de quarante minutes de combat, des dizaines de coups encaissés, et une dizaine de tables brisées plus tard, les frères Dudley sont nos nouveaux champions Tag Team.
En ringside, on s'agite. Le speaker se lève et s'apprête à annoncer la victoire des deux frères alors qu'un technicien, lui, est déjà en train de tendre les ceintures à Bubba qui peine comme un malade pour tendre une seule main. Mais finalement, ils ont réussi, ils sont les nouveaux AWC Tag Team Champi-...
Incroyable, il reste visiblement encore une équipe dans ce tournoi et les Dudley Boyz ont encore un obstacle à passer avant d'arriver aux titres.
Bill DeMott – Je croyais qu'ils venaient de gagner et qu'ils étaient les nouveaux champions.
Booker T – Je le pensais également, mais visiblement on a à faire à deux retardataires qui, eux aussi, ont visiblement envie de se faire éclater la gueule à travers une table.
Bill DeMott – Sauf qu'après quarante minutes de combats, ce n'est plus la spécialité du combat qui compte, c'est la fraicheur physique, et je sens que les Dudley Boyz sont très mal partis...
» FIGHT ! «
Bryan Danielson et Gregory Helms, alliance de circonstance pour ce tournoi, retirent tranquillement leur attirail avant de grimper sur le ring. Bubba tente bien de les attaquer mais il n'a plus de force et il est aisé pour Danielson de le faire chuter à terre pour lui porter son Crossface. Bubba souffre, mais il n'a plus la force ni de crier, ni même de taper au sol. Devon tente bien d'intervenir à son tour mais il est complètement dans les vapes, il a perdu trop de sang et Gregory Helms ne met pas bien longtemps avant de lui porter son Eye of the Hurricane. Danielson vient ensuite faire glisser Bubba sur les deux tables restantes en dehors du ring et Gregory Helms fait de même avec Devon. Le carnage est imminent, les frères Dudley n'ont plus la force de réagir et ensemble, Danielson et Helms exécutent un Double Diving Crossbody à l'extérieur du ring. Les deux tables se brisent sous l'impact, le rêve touche à sa fin pour les Dudley Boyz, ils ne seront pas champions.
Booker T – Tell me they just didn't do that !
Bill DeMott – Pourtant, après quarante-deux minutes de combats, c'est pourtant vrai, il n'aura pas manqué grand chose aux frères Dudley pour remporter leur combat, quel dommage.
Quel dommage car effectivement, on va repartir pour un mois de pleurnichage sur le fait que les deux frères veulent les titres. Mais pour le moment, c'est Bryan Danielson et Gregory Helms qui sont nos tous premiers AWC Tag Team Champions. Les deux hommes, qui viennent de recevoir les ceintures de champions, ne font pas de chichi et quittent rapidement le ring, en pointant du doigt et en applaudissant la performance des Dudley Boyz qui ont, c'est vrai, réalisé une très grosse performance ce soir, et qui aurait méritée un meilleur résultat. Quoiqu'il en soit, les deux hommes vont terminer la soirée à l'hôpital, puisqu'ils sont évacués en civières.
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Re: Thunderslam.
On se dirige directement en backstage où l’on rejoint Shelton Benjamin. The Gold Standard s’avance d’un pas très décidé. Il marche très rapidement à travers les couloirs, regardant à droite et à gauche, avant de tomber sur Charlie Haas et Trish Stratus au détour d’un tournant.
Charlie Haas – Je ne sais pas quelle imitation serait la plus intéressante à faire.
Trish Stratus – J’aimerai vraiment te voir m’imiter, ça peut-être super intéressant.
Charlie Haas – Ah, Trish, je ne pourrais t’imiter. C’est juste impossible, j’aurai pas assez de matière pour me faire une poitrine et des fesses à ton effigie, je n’aurai rien de crédible. Et que dire de tes lèvres pulpeuses, ah Trish...
Alors que Charlie Haas semblait partir pour un long monologue interminable vantant les qualités physiques de Trish Stratus, Shelton Benjamin, jusque là un peu en retrait, s’intercale.
Shelton Benjamin – Charlie, Trish, voilà les deux personnes que je cherchais, réunies au même endroit. C’est parfait.
Trish Stratus – On peut t’aider Shelton ? Ton combat est dans quelques instants, tu devrais te concentrer. C’est Christian Cage en face.
Shelton Benjamin – Un instant, Charlie, tôt ou tard on devra avoir une véritable discussion toi et moi. On prendra un moment pour discuter mais avant cela je vais m’occuper de Christian Cage.
Charlie Haas – Si tu veux, et je te propose même de me changer en Christian Cage pour t’échauffer. Comme ça, tu seras bel et bien dans le bain.
Shelton Benjamin – Non, je suis déjà dans mon combat, dès que la cloche résonnera, je réglerai mes comptes avec cet enfoiré de Canadien. Pas besoin de peaufiner l’échauffement, désormais, c’est entre lui et moi, dans un ring, juste ça.
Trish Stratus – Je suis Canadienne également, Shelton...
Shelton Benjamin – Trish, tu me fais penser que j'avais quelque chose à te demander. Je veux une interview avant mon combat. Et il y en aura une juste après pour fêter ma victoire. Commençons si tu veux bien, poses ta première question.
Trish Stratus – Et bien, comment te sens-tu à quelques instants de ton combat face à Christian Cage ? Rappelons à nos téléspectateurs que tu es en conflit avec lui depuis Attitude deux.
Shelton Benjamin – Mieux que je ne l’ai jamais été. Quand je serai sur le ring, je vais pouvoir finir ce que j’ai commencé il y a quelques semaines. J’ai frappé Christian Cage lors d’Attitude deux, je lui ai envoyé mon poing dans sa gueule il y a deux semaines mais malgré tout ça je ne suis pas satisfait, il a continué à me coûter des combats, il a continué à se dire meilleur que moi, meilleur que le Gold Standard, et cela m’irrite de plus en plus. Il croît pouvoir jouer au plus malin longtemps sans que ma riposte ne soit vraiment terrible. Christian Cage croît en des choses erronées et je vais lui montrer la réalité, le fait que je suis meilleur que lui. Ce soir, ce ne sera pas un simple Knee Breaker ou juste une droite, ce sera une véritable correction. Je vais battre Christian Cage et là j’aurai calmé mes nerfs.
Charlie Haas, plutôt discret depuis le début de l'interview, repointe le bout de son nez.
Charlie Haas – C’est ça que je veux voir mon pote, tu es meilleur que ce type, tu es capable de grandes choses et ce soir marquera ta véritable envolée.
Trish Stratus – Il est vrai que ce soir, en plus d’une vengeance personnelle, cela peut-être une très grande victoire dans ta carrière.
Shelton Benjamin – Je vais briser Christian Cage et sa Winning Streak qu’il ne fait que de mettre en avant. Il n’aura plus rien sur quoi s’appuyer désormais. Et moi, je serai celui qui a fini sa Winning Streak. Ce soir, je vais mettre un point final à nos différents. Ce soir, notre rivalité prendra fin avec ma victoire.
Trish Stratus – Comme l’a dit ton ancien équipier, ce soir peut réellement marquer le début d’une très grande carrière à l’AWC, si tu bats Christian Cage, tu pourrais atteindre un autre niveau.
Shelton Benjamin – Il est vrai, après avoir battu Christian Cage, j’irai vers de plus hauts sommets. Je suis le plus grand dans ce monde, je ne peux être stoppé par un lutteur minable comme Christian Cage. I’m The Gold Standard.
Charlie Haas – Allez mec, conclus en beauté et vas casser la gueule à Cage.
Shelton Benjamin – Désormais, plus personne ne peux me stopper, je suis unstoppable. Christian Cage est tombé sur un os ce soir, il va regretter tout ce qu’il a fait récemment, il va regretter de m’avoir énerver. No one can stop me now !
Shelton Benjamin prend la poudre d’escampette, direction le ring alors que Trish et Charlie restent seuls dans le couloir.
Trish Stratus – Et bien, ce fut express comme interview
Charlie Haas s'apprête à répondre mais on a plus le temps pour rester à les voir discuter, on passe au prochain combat, Shelton Benjamin face à Christian Cage. C’est tout de suite.
Charlie Haas – Je ne sais pas quelle imitation serait la plus intéressante à faire.
Trish Stratus – J’aimerai vraiment te voir m’imiter, ça peut-être super intéressant.
Charlie Haas – Ah, Trish, je ne pourrais t’imiter. C’est juste impossible, j’aurai pas assez de matière pour me faire une poitrine et des fesses à ton effigie, je n’aurai rien de crédible. Et que dire de tes lèvres pulpeuses, ah Trish...
Alors que Charlie Haas semblait partir pour un long monologue interminable vantant les qualités physiques de Trish Stratus, Shelton Benjamin, jusque là un peu en retrait, s’intercale.
Shelton Benjamin – Charlie, Trish, voilà les deux personnes que je cherchais, réunies au même endroit. C’est parfait.
Trish Stratus – On peut t’aider Shelton ? Ton combat est dans quelques instants, tu devrais te concentrer. C’est Christian Cage en face.
Shelton Benjamin – Un instant, Charlie, tôt ou tard on devra avoir une véritable discussion toi et moi. On prendra un moment pour discuter mais avant cela je vais m’occuper de Christian Cage.
Charlie Haas – Si tu veux, et je te propose même de me changer en Christian Cage pour t’échauffer. Comme ça, tu seras bel et bien dans le bain.
Shelton Benjamin – Non, je suis déjà dans mon combat, dès que la cloche résonnera, je réglerai mes comptes avec cet enfoiré de Canadien. Pas besoin de peaufiner l’échauffement, désormais, c’est entre lui et moi, dans un ring, juste ça.
Trish Stratus – Je suis Canadienne également, Shelton...
Shelton Benjamin – Trish, tu me fais penser que j'avais quelque chose à te demander. Je veux une interview avant mon combat. Et il y en aura une juste après pour fêter ma victoire. Commençons si tu veux bien, poses ta première question.
Trish Stratus – Et bien, comment te sens-tu à quelques instants de ton combat face à Christian Cage ? Rappelons à nos téléspectateurs que tu es en conflit avec lui depuis Attitude deux.
Shelton Benjamin – Mieux que je ne l’ai jamais été. Quand je serai sur le ring, je vais pouvoir finir ce que j’ai commencé il y a quelques semaines. J’ai frappé Christian Cage lors d’Attitude deux, je lui ai envoyé mon poing dans sa gueule il y a deux semaines mais malgré tout ça je ne suis pas satisfait, il a continué à me coûter des combats, il a continué à se dire meilleur que moi, meilleur que le Gold Standard, et cela m’irrite de plus en plus. Il croît pouvoir jouer au plus malin longtemps sans que ma riposte ne soit vraiment terrible. Christian Cage croît en des choses erronées et je vais lui montrer la réalité, le fait que je suis meilleur que lui. Ce soir, ce ne sera pas un simple Knee Breaker ou juste une droite, ce sera une véritable correction. Je vais battre Christian Cage et là j’aurai calmé mes nerfs.
Charlie Haas, plutôt discret depuis le début de l'interview, repointe le bout de son nez.
Charlie Haas – C’est ça que je veux voir mon pote, tu es meilleur que ce type, tu es capable de grandes choses et ce soir marquera ta véritable envolée.
Trish Stratus – Il est vrai que ce soir, en plus d’une vengeance personnelle, cela peut-être une très grande victoire dans ta carrière.
Shelton Benjamin – Je vais briser Christian Cage et sa Winning Streak qu’il ne fait que de mettre en avant. Il n’aura plus rien sur quoi s’appuyer désormais. Et moi, je serai celui qui a fini sa Winning Streak. Ce soir, je vais mettre un point final à nos différents. Ce soir, notre rivalité prendra fin avec ma victoire.
Trish Stratus – Comme l’a dit ton ancien équipier, ce soir peut réellement marquer le début d’une très grande carrière à l’AWC, si tu bats Christian Cage, tu pourrais atteindre un autre niveau.
Shelton Benjamin – Il est vrai, après avoir battu Christian Cage, j’irai vers de plus hauts sommets. Je suis le plus grand dans ce monde, je ne peux être stoppé par un lutteur minable comme Christian Cage. I’m The Gold Standard.
Charlie Haas – Allez mec, conclus en beauté et vas casser la gueule à Cage.
Shelton Benjamin – Désormais, plus personne ne peux me stopper, je suis unstoppable. Christian Cage est tombé sur un os ce soir, il va regretter tout ce qu’il a fait récemment, il va regretter de m’avoir énerver. No one can stop me now !
Shelton Benjamin prend la poudre d’escampette, direction le ring alors que Trish et Charlie restent seuls dans le couloir.
Trish Stratus – Et bien, ce fut express comme interview
Charlie Haas s'apprête à répondre mais on a plus le temps pour rester à les voir discuter, on passe au prochain combat, Shelton Benjamin face à Christian Cage. C’est tout de suite.
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Re: Thunderslam.
Bill DeMott – Alors Booker, crédible ce Shelton avant d'affronter Christian ?
Booker T – Tu me poses la question pour te préparer à m'empêcher d'intervenir en la faveur de l'outsider encore une fois ?
Bill DeMott – Ça va...
Booker T – Non, ça va pas.
Bill DeMott – Tu vas pas rester là dessus toute la soirée ! Benjamin s'approche du ring, tu pourrais continuer à commenter.
Booker T – T'inquiète pas, je suis un professionnel. J'me la joue pas professeur de Tough Enough par exemple.
Bill DeMott – Très bien dans ce cas. Christian rejoint son rival dans le ring, ça pourrait bien être le showstealer qui va avoir lieu dans quelques secondes.
» FIGHT ! «
Les quelques secondes sont passés et c'est le début du combat. Les deux hommes se tournent autour, hésitent même à se serrer la main. Cette possibilité disparait quand Christian envoie la première droite. Benjamin répond et enchaine les coups sur le visage du Canadien qui se reprend et envoie son adversaire dans les cordes. Il le rattrape ensuite par le bras, et part pour une Headlock. Shelton agite le bras, et réussit à saisir une corde, avant d'écarter son adversaire avec un coup de talon directement dans les bijoux de famille. Shelton porte une première Suplex, puis une deuxième. Cage roule en dehors du ring mais ne laisse pas le temps à Shelty-B de le rejoindre. Il remonte lentement par les escaliers, et évite une Clothesline. Dans le dos de son adversaire, voilà maintenant un Reverse DDT. 1, 2... on s'arrêtera là. Le Gold Standard est toujours au sol, étreint dans un Armbar. Christian veut fatiguer son adversaire mais celui-ci a des ressources, et réussit à se relever. Épreuve de force remporté par le black qui glisse un Kick to Gut avant de placer un Powerslam. 1, 2, Tr... Seulement 2. Shelton réfléchit quelques instants avant de se décider à grimper sur le turnbuckle. Il se prépare pour un Splash mais son rival est déjà debout et vient le rejoindre ! Ils échangent les coups et le Gold Standard prend l'avantage. Il lève Christian au dessus de lui... Diving Powerbomb... Non ! Ciseau de tête porté par l'Instant Classic !
Bill DeMott – Superbe contre du Captain Charisma. Ça sent le sapin pour le p'tit désormais.
Booker T – Il devrait pouvoir conclure, oui.
C'est un nouveau tombé en effet. Et 1... Et 2... Et Nearfall ! Cage n'a pas le temps de se plaindre, il se prépare pour porter son Killswitch, attend son adversaire. Ça y est, Shelton est debout... Il repousse Christian contre le turnbuckle et enchaine. German Suplex ! Il part maintenant pour le Paydirt ! C'est cette fois Double C qui repousse ! Shelty-B se retourne mais Christian a déjà pris ses bras. Killswitch connected ! One, two, three.
Bill DeMott – Cage avait encore des ressources même après cette German Suplex, son adversaire s'est fait surprendre.
Booker T – Hum.
Bill DeMott – T'es calmé ?
Booker T – On verra.
L'arbitre vient lever le bras du vainqueur qui jette un dernier regard au vaincu en lui glissant quelques mots doux bien sûr. Christian Cage sort du ring, fatigué mais toujours motivé comme le montre le signe de la ceinture qu'il effectue sur la rampe au moment de s'en aller. Il faudra compter sur lui.
Booker T – Tu me poses la question pour te préparer à m'empêcher d'intervenir en la faveur de l'outsider encore une fois ?
Bill DeMott – Ça va...
Booker T – Non, ça va pas.
Bill DeMott – Tu vas pas rester là dessus toute la soirée ! Benjamin s'approche du ring, tu pourrais continuer à commenter.
Booker T – T'inquiète pas, je suis un professionnel. J'me la joue pas professeur de Tough Enough par exemple.
Bill DeMott – Très bien dans ce cas. Christian rejoint son rival dans le ring, ça pourrait bien être le showstealer qui va avoir lieu dans quelques secondes.
» FIGHT ! «
Les quelques secondes sont passés et c'est le début du combat. Les deux hommes se tournent autour, hésitent même à se serrer la main. Cette possibilité disparait quand Christian envoie la première droite. Benjamin répond et enchaine les coups sur le visage du Canadien qui se reprend et envoie son adversaire dans les cordes. Il le rattrape ensuite par le bras, et part pour une Headlock. Shelton agite le bras, et réussit à saisir une corde, avant d'écarter son adversaire avec un coup de talon directement dans les bijoux de famille. Shelton porte une première Suplex, puis une deuxième. Cage roule en dehors du ring mais ne laisse pas le temps à Shelty-B de le rejoindre. Il remonte lentement par les escaliers, et évite une Clothesline. Dans le dos de son adversaire, voilà maintenant un Reverse DDT. 1, 2... on s'arrêtera là. Le Gold Standard est toujours au sol, étreint dans un Armbar. Christian veut fatiguer son adversaire mais celui-ci a des ressources, et réussit à se relever. Épreuve de force remporté par le black qui glisse un Kick to Gut avant de placer un Powerslam. 1, 2, Tr... Seulement 2. Shelton réfléchit quelques instants avant de se décider à grimper sur le turnbuckle. Il se prépare pour un Splash mais son rival est déjà debout et vient le rejoindre ! Ils échangent les coups et le Gold Standard prend l'avantage. Il lève Christian au dessus de lui... Diving Powerbomb... Non ! Ciseau de tête porté par l'Instant Classic !
Bill DeMott – Superbe contre du Captain Charisma. Ça sent le sapin pour le p'tit désormais.
Booker T – Il devrait pouvoir conclure, oui.
C'est un nouveau tombé en effet. Et 1... Et 2... Et Nearfall ! Cage n'a pas le temps de se plaindre, il se prépare pour porter son Killswitch, attend son adversaire. Ça y est, Shelton est debout... Il repousse Christian contre le turnbuckle et enchaine. German Suplex ! Il part maintenant pour le Paydirt ! C'est cette fois Double C qui repousse ! Shelty-B se retourne mais Christian a déjà pris ses bras. Killswitch connected ! One, two, three.
Bill DeMott – Cage avait encore des ressources même après cette German Suplex, son adversaire s'est fait surprendre.
Booker T – Hum.
Bill DeMott – T'es calmé ?
Booker T – On verra.
L'arbitre vient lever le bras du vainqueur qui jette un dernier regard au vaincu en lui glissant quelques mots doux bien sûr. Christian Cage sort du ring, fatigué mais toujours motivé comme le montre le signe de la ceinture qu'il effectue sur la rampe au moment de s'en aller. Il faudra compter sur lui.
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Re: Thunderslam.
Quittons le vainqueur, quittons littéralement le ring quelques instants. En effet sur l'écran défile une vidéo où l'on peut apercevoir Alberto del Rio, en backstage. C'est bientôt l'heure pour lui de régler ses comptes avec un autre lutteur amateur en la personne de Kurt Angle, et il arrive donc logiquement dans l'Arena, venant à peine de sortir de sa voiture.
A ses côtés sa masseuse attitrée et derrière lui un grand groupe d'entraineurs, préparateurs physiques et autre coachs, prêt à l'assister pour son match du soir. La belle équipe se décide enfin à avancer en backstage. Gros plan sur le visage du Mexicain qui se dirige vers le ring quand une voix rocailleuse bien connue des amateurs d'Attitude s'élève derrière lui.
Stone Cold – Francesco !
Del Rio fait volte face. Derrière lui, contre un mur, Austin est en compagnie de Trish Stratus avec qui il continue de discuter.
Alberto Del Rio - Mon nom est Alberto. Alberto del Rio.
Stone Cold – Alberto, Francesco, Pepito, je m'en cogne.
Austin tourne de nouveau le dos à Del Rio pour reparler à la belle canadienne, ce qui a comme effet de l'agacer passablement.
Alberto Del Rio - Monsieur, si vous m'avez appelé, je suppose que c'est parce que vous avez quelque chose à me dire. Je suis en route avec ma destinée, je dois me rendre sur ce ring pour battre Kurt Angle et réaliser ce que suis censé réaliser. Je ne peux pas perdre plus de temps alors...
Stone Cold – Je me doute bien que tu vas pas par là pour aller caresser le cul du vieux Bill petit con, j'en ai rien à foutre de ta destinée ! Je pourrais te faire patienter ici toute la journée si je voulais, toi tu te visses ici, et t'attends que je te dise ce que j'ai à dire !
Le boss se prépare à se tourner de nouveau mais Del Rio l'arrête sur le champ.
Alberto Del Rio - Quel est le problème ?
Stone Cold – T'as gagné, on va faire vite. Dring dring, le téléphone sonne. Qui c'est ? Les services de l'immigration. Cette putain d'immigration ! Et qu'est ce qui m'ont dit ? Qu'ils allaient enquêter sur toi. J'espère pour toi que t'as une solution Pepito. Hum, non en fait, je m'en fous.
Alberto Del Rio - Qu'est ce que... ? J'ai un travail, je devrais être en règle !
Stone Cold – GUESS WHAT ? On dirait bien que non.
Alberto Del Rio - Je suis ici car c'est mon destin ! Je suis arrivé dans ce pays parce que je devais m'imposer sur ces terres, je suis arrivé ici parce que je devais m'imposer dans cette fédération. Vous n'allez pas laisser faire ça ?
Stone Cold – Qu'est ce que tu veux que je fasse ?
Alberto Del Rio - Il... Il doit y avoir une erreur, un malentendu concernant mon contrat de travail. Il faut que j'en vois un exemplaire
Stone Cold – J'ai une tête à être ta mère ? Pour une fois dans ta vie tu vas te prendre par les couilles et tu vas te débrouiller tout seul pour régler ce qui est maintenant TON problème.
Alberto reste immobile, gueule grande ouverte, il n'a pas l'air de comprendre. Stone Cold lui est déjà au bout de sa patience. Il recule de quelques pas et défonce la porte de son propre bureau, parce qu'il a la classe. Il tend son doigt vers son bureau, en évidence, recouvert de papiers, à l'image de tout le reste
Stone Cold – Il doit être enfoui quelque part là dessous. Or, la paperasse, ça me gonfle, alors si t'as envie de rester parmi nous encore un moment, à toi d'aller fouiller là dedans danseuse.
Le Rattlesnake s'éloigne sur ces mots, laissant Trish Stratus, Del Rio ainsi que toute sa troupe au milieu des couloirs. Le Mexicain est conscient du problème, mais il va tout de même falloir qu'il se mette sur la gueule avec Angle immédiatement.
A ses côtés sa masseuse attitrée et derrière lui un grand groupe d'entraineurs, préparateurs physiques et autre coachs, prêt à l'assister pour son match du soir. La belle équipe se décide enfin à avancer en backstage. Gros plan sur le visage du Mexicain qui se dirige vers le ring quand une voix rocailleuse bien connue des amateurs d'Attitude s'élève derrière lui.
Stone Cold – Francesco !
Del Rio fait volte face. Derrière lui, contre un mur, Austin est en compagnie de Trish Stratus avec qui il continue de discuter.
Alberto Del Rio - Mon nom est Alberto. Alberto del Rio.
Stone Cold – Alberto, Francesco, Pepito, je m'en cogne.
Austin tourne de nouveau le dos à Del Rio pour reparler à la belle canadienne, ce qui a comme effet de l'agacer passablement.
Alberto Del Rio - Monsieur, si vous m'avez appelé, je suppose que c'est parce que vous avez quelque chose à me dire. Je suis en route avec ma destinée, je dois me rendre sur ce ring pour battre Kurt Angle et réaliser ce que suis censé réaliser. Je ne peux pas perdre plus de temps alors...
Stone Cold – Je me doute bien que tu vas pas par là pour aller caresser le cul du vieux Bill petit con, j'en ai rien à foutre de ta destinée ! Je pourrais te faire patienter ici toute la journée si je voulais, toi tu te visses ici, et t'attends que je te dise ce que j'ai à dire !
Le boss se prépare à se tourner de nouveau mais Del Rio l'arrête sur le champ.
Alberto Del Rio - Quel est le problème ?
Stone Cold – T'as gagné, on va faire vite. Dring dring, le téléphone sonne. Qui c'est ? Les services de l'immigration. Cette putain d'immigration ! Et qu'est ce qui m'ont dit ? Qu'ils allaient enquêter sur toi. J'espère pour toi que t'as une solution Pepito. Hum, non en fait, je m'en fous.
Alberto Del Rio - Qu'est ce que... ? J'ai un travail, je devrais être en règle !
Stone Cold – GUESS WHAT ? On dirait bien que non.
Alberto Del Rio - Je suis ici car c'est mon destin ! Je suis arrivé dans ce pays parce que je devais m'imposer sur ces terres, je suis arrivé ici parce que je devais m'imposer dans cette fédération. Vous n'allez pas laisser faire ça ?
Stone Cold – Qu'est ce que tu veux que je fasse ?
Alberto Del Rio - Il... Il doit y avoir une erreur, un malentendu concernant mon contrat de travail. Il faut que j'en vois un exemplaire
Stone Cold – J'ai une tête à être ta mère ? Pour une fois dans ta vie tu vas te prendre par les couilles et tu vas te débrouiller tout seul pour régler ce qui est maintenant TON problème.
Alberto reste immobile, gueule grande ouverte, il n'a pas l'air de comprendre. Stone Cold lui est déjà au bout de sa patience. Il recule de quelques pas et défonce la porte de son propre bureau, parce qu'il a la classe. Il tend son doigt vers son bureau, en évidence, recouvert de papiers, à l'image de tout le reste
Stone Cold – Il doit être enfoui quelque part là dessous. Or, la paperasse, ça me gonfle, alors si t'as envie de rester parmi nous encore un moment, à toi d'aller fouiller là dedans danseuse.
Le Rattlesnake s'éloigne sur ces mots, laissant Trish Stratus, Del Rio ainsi que toute sa troupe au milieu des couloirs. Le Mexicain est conscient du problème, mais il va tout de même falloir qu'il se mette sur la gueule avec Angle immédiatement.
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Re: Thunderslam.
Booker T – Ok Bill, là c'est du lourd ! C'est le plat de résistance avant le dessert ! Alberto Del Rio versus Kurt Angle ! Corpation Title on the line, sucka. Qu'est-ce que t'en dis ?
Bill DeMott – Et bien Booker, ça nous annonce un excellent combat en perspective même si j'espère que l'histoire du visa n'aura pas trop embrouillé l'esprit de Del Rio.
Booker T – Bordel, Bill ! Prononce-toi un peu ! Dis-nous pour toi qui est ton favoris pour son match. Pose tes couilles sur la table, sucka ! En tout cas, pour moi ce sera Kurt Angle. Ancien champion olympique, et lorsqu'il est à 100% de ses capacités physique et lorsqu'il est concentré, à mon avis c'est le meilleur catcheur au monde.
Alors qu'Alberto Del Rio effectue son entrée dans un Hummer dernier cris. Il sort de sa grosse voiture accompagner par tout son staff.
Kurt Angle, lui, arrive surmotivé ! Accompagné également par tout son staff, le Olympic Hero est plus que jamais prêt à en découdre avec Alberto Del Rio !
» FIGHT ! «
C'est parti pour le second match de championnat de la soirée ! Épreuve de force pour débuter pour enchaîner directement sur des tentatives de soumission des deux côtés. Un chain match de bonne facture, on a même pas le temps de cligner des yeux. Angle arrive à avoir le dessus suite à une clé de bras qui fait reculer Del Rio dans les cordes. Il se fait projeter. Angle l'attend pour passer au surpassement mais c'est téléphoner et le mexicain lui offre un violent coup de pied dans l'épaule ! Del Rio se re-projette dans les cordes mais se fait accueillir cette fois avec une belly to belly over head suplex ! On tente le tombé pour le compte de deux. Angle tente maintenant un headscissors pour essayer de faire abandonner le mexicain, qui heureusement pour lui, s'en sort. Angle revient à la charge et choppe Del Rio à la hanche, on tente de l'emmener en German Suplex. L'homme honnête contre avec des coups de coudes qui font reculer Angle.
Bill DeMott – Je sais pas toi, mais moi j'me fais chier.
Booker T – Tu es dur, Bill. Les deux hommes nous offrent un magnifique spectacle, on sent la passion, l'émotion !
Bill DeMott – N'empêche que j'me fais chier.
Del Rio vient plier en deux Angle avec un coup de poing dans le ventre, il lui attrape le bras, prêt à envoyer son terrible Fujiwara Armbar, mais Angle s'arrache des mains du mexicain avec son bras libre. Del Rio court dans les cordes, tente une clothesline mais Angle se baisse, passe derrière et... Bridged German Suplex ! Un, deux, tr... Nearfall ! A partir de ce moment, les deux hommes ne se laissent pas de répit, ils s'échangent des coups très violentsn, tentent tous deux d'envoyer leurs prises fétiches, mais c'est à chaque fois contré. Finalement, après de longues, très longues minutes de combat, de guerre sans merci, Angle tente son Angle Slam, mais Del Rio attrape son bras en plein vol et l'envoi au sol avec un Arm Drag. Et... Il est en place, Fujiwara Armbar ! Angle résiste du mieux qu'il peut, résiste encore et encore, mais fini par taper. Alberto Del Rio est notre Corporation Champion !
Bill DeMott – Génial.
Booker T – C'est de l'ironie Bill ? Oui, je sais que c'est de l'ironie. Mais tu as tort, ce match était exceptionnel !
Bill DeMott – Et bien Booker, ça nous annonce un excellent combat en perspective même si j'espère que l'histoire du visa n'aura pas trop embrouillé l'esprit de Del Rio.
Booker T – Bordel, Bill ! Prononce-toi un peu ! Dis-nous pour toi qui est ton favoris pour son match. Pose tes couilles sur la table, sucka ! En tout cas, pour moi ce sera Kurt Angle. Ancien champion olympique, et lorsqu'il est à 100% de ses capacités physique et lorsqu'il est concentré, à mon avis c'est le meilleur catcheur au monde.
Alors qu'Alberto Del Rio effectue son entrée dans un Hummer dernier cris. Il sort de sa grosse voiture accompagner par tout son staff.
Kurt Angle, lui, arrive surmotivé ! Accompagné également par tout son staff, le Olympic Hero est plus que jamais prêt à en découdre avec Alberto Del Rio !
» FIGHT ! «
C'est parti pour le second match de championnat de la soirée ! Épreuve de force pour débuter pour enchaîner directement sur des tentatives de soumission des deux côtés. Un chain match de bonne facture, on a même pas le temps de cligner des yeux. Angle arrive à avoir le dessus suite à une clé de bras qui fait reculer Del Rio dans les cordes. Il se fait projeter. Angle l'attend pour passer au surpassement mais c'est téléphoner et le mexicain lui offre un violent coup de pied dans l'épaule ! Del Rio se re-projette dans les cordes mais se fait accueillir cette fois avec une belly to belly over head suplex ! On tente le tombé pour le compte de deux. Angle tente maintenant un headscissors pour essayer de faire abandonner le mexicain, qui heureusement pour lui, s'en sort. Angle revient à la charge et choppe Del Rio à la hanche, on tente de l'emmener en German Suplex. L'homme honnête contre avec des coups de coudes qui font reculer Angle.
Bill DeMott – Je sais pas toi, mais moi j'me fais chier.
Booker T – Tu es dur, Bill. Les deux hommes nous offrent un magnifique spectacle, on sent la passion, l'émotion !
Bill DeMott – N'empêche que j'me fais chier.
Del Rio vient plier en deux Angle avec un coup de poing dans le ventre, il lui attrape le bras, prêt à envoyer son terrible Fujiwara Armbar, mais Angle s'arrache des mains du mexicain avec son bras libre. Del Rio court dans les cordes, tente une clothesline mais Angle se baisse, passe derrière et... Bridged German Suplex ! Un, deux, tr... Nearfall ! A partir de ce moment, les deux hommes ne se laissent pas de répit, ils s'échangent des coups très violentsn, tentent tous deux d'envoyer leurs prises fétiches, mais c'est à chaque fois contré. Finalement, après de longues, très longues minutes de combat, de guerre sans merci, Angle tente son Angle Slam, mais Del Rio attrape son bras en plein vol et l'envoi au sol avec un Arm Drag. Et... Il est en place, Fujiwara Armbar ! Angle résiste du mieux qu'il peut, résiste encore et encore, mais fini par taper. Alberto Del Rio est notre Corporation Champion !
Bill DeMott – Génial.
Booker T – C'est de l'ironie Bill ? Oui, je sais que c'est de l'ironie. Mais tu as tort, ce match était exceptionnel !
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Re: Thunderslam.
Le match pour le Corporation Championship vient tout juste de prendre fin, et la joie des uns contraste avec la déception des autres, mais ainsi est fait la vie, et le show doit continuer. Il ne reste plus qu'un seul combat, et à quelques minutes de celui-ci, nous faisons un nouveau détour en backstages où l'on retrouve une Trish Stratus visiblement plus calme qu'en début de soirée, mais avec les cheveux décoiffé, tiens.
Trish Stratus – Tu te sens prêt pour l'interview, John ?
John Cena – Je suis prêt, on peut y aller.
Trish Stratus – Très bien, alors allons-y.
Trish s'empare de manière express d'un micro et se place face à la caméra, sourire colgate xtra plus blancheur et lèvres pulpeuses au gloss parfum fraises des bois, tout est parfait.
Trish Stratus – Pour ma dernière entrevue de la journée, je suis heureuse d'accueillir avec moi l'un des participants au Main-Event du soir, John Cena.
Le Champ' apparait dans le champ' de la caméra, sourire aux lèvres, mais réaction plus que mitigée de la part de la foule, c'est un peu son credo à présent. Néanmoins, on peut remarquer que le leader de la Cenation porte un bandage au niveau du biceps droit et il a quelques traces de son accident au niveau du visage.
John Cena – Bonsoir à tous, salut Trish. Merci de m'accorder cette interview, j'ai une dette envers toi maintenant.
Trish Stratus – Tu ne me dois rien du tout, John. Je fais mon travail, rien de plus. Mais parlons un peu plus sérieusement, car la question qui se trouve sur toutes les lèvres et que tout le monde veut te poser est comment te sens-tu ? Est-ce que tu es en forme ?
John Cena – Comment est-ce que je me sens ? Je peux marcher, je peux manger, je suis en vie, je ne suis pas à plaindre. Chaque jour, des dizaines de soldats Américains se trouvent dans un état bien plus grave que le mien, alors je m'estime heureux d'être comme je suis aujourd'hui, je fais contre mauvaise fortune bon coeur.
Trish Stratus – Tu t'estimes donc heureux, bien sûr que tu marches et que tu es en état de combattre, mais est-ce que tu ne souffres pas trop ? Tu as quand même été projeté à plusieurs mètres par une voiture.
Là, John il nous sort son fameux tic du "j'enlève ma casquette pour vérifier que j'ai toujours mes trois millimètres de cheveux sur le crâne, je frotte pour voir que c'est doux comme de la moquette et je replace ma casquette histoire de dire que j'ai réfléchi".
John Cena – J'ai un bandage au bras droit, je ne peux pas soulever autant de poids que je voudrais avec ce bras, j'ai plusieurs marques sur mon corps et je souffre chaque matin au réveil, et je vais certainement souffrir ce soir en quittant le ring, mais la douleur que je peux ressentir n'est rien comparé à celle que mon agresseur ressentira quand je me serai occupé de lui.
Trish Stratus – En parlant de ce mystérieux agresseur, nous n'avons toujours aucune piste malgré l'enquête de nos experts, est-ce que toi, tu aurais une petite idée de qui a pu t'attaquer ?
Moi je sais qui a attaqué John Cena, mais je ne vous le dirai pas.
John Cena – Je n'ai pas pu voir mon agresseur quand je me suis fait frapper dans le parking, mais les pistes ne manquent malheureusement pas. Les coupables peuvent se compter par dizaines, de Randy Orton à Batista en passant par Vince McMahon ou, qui sais-je encore, peut-être CM Punk ? Il se pourrait également que cela soit aussi l'Undertaker, j'ai de nombreux ennemis dans ce business, et chacun peut trouver un motif pour m'attaquer aussi lâchement.
Trish Stratus – Parlons brièvement de l'Undertaker et ensuite, je te laisserai partir pour ton match. Ce dernier semble en position de force ce soir pour remporter le combat. Tu n'es pas en pleine possession de tes moyens et l'Undertaker est l'un des meilleurs lutteurs que le monde connaisse, c'est un très gros challenge que tu vas devoir relever ce soir.
Un challenge qui, une fois encore, demande à John Cena de réfléchir. Cette fois, il replace ses wristbands qui se vendent par dizaines chez les jeunes enfants, non seulement pour faire de la pub, mais également pour se donner quelques secondes pour trouver la réponse la plus adaptée.
John Cena – Un challenge ne serait pas un challenge s'il ne comportait pas quelques difficultés à la clé. Mais tu sais, les challenges, je les relève tous un par un depuis que je suis tout petit. Que se soit poser une punaise sur le bureau de mon professeur de mathématiques à l'école primaire ou botter le cul de l'Undertaker, j'ai toujours relevé avec brio ce que l'on me demandait de faire, et cela n'est pas prêt de changer. Si l'Undertaker pensait que ce soir, il allait tomber sur un homme faible, dont le moral était au plus bas, il se trompe grandement. Ce soir, l'Undertaker aura en face de lui l'homme qui est ten time World Champion. L'Undertaker aura en face de lui l'homme que j'ai toujours été, un homme loyal, respectueux et prêt à tout donner pour les fans et pour lui-même.
Trish Stratus – On peut donc compter sur toi ce soir.
John Cena – Ce soir, bien plus que les autres soirs encore...
C'est l'heure de la conclusion, les enfants.
John Cena – The Champ' is here !
Hop, John Cena disparait immédiatement, direction le ring, pour botter le cul de l'Undertaker. Trish, elle, regarde l'homme qu'elle vient d'interviewer partir au loin, on balance la promo du Main-Event et on est parti pour le dernier match de la soirée.
Trish Stratus – Tu te sens prêt pour l'interview, John ?
John Cena – Je suis prêt, on peut y aller.
Trish Stratus – Très bien, alors allons-y.
Trish s'empare de manière express d'un micro et se place face à la caméra, sourire colgate xtra plus blancheur et lèvres pulpeuses au gloss parfum fraises des bois, tout est parfait.
Trish Stratus – Pour ma dernière entrevue de la journée, je suis heureuse d'accueillir avec moi l'un des participants au Main-Event du soir, John Cena.
Le Champ' apparait dans le champ' de la caméra, sourire aux lèvres, mais réaction plus que mitigée de la part de la foule, c'est un peu son credo à présent. Néanmoins, on peut remarquer que le leader de la Cenation porte un bandage au niveau du biceps droit et il a quelques traces de son accident au niveau du visage.
John Cena – Bonsoir à tous, salut Trish. Merci de m'accorder cette interview, j'ai une dette envers toi maintenant.
Trish Stratus – Tu ne me dois rien du tout, John. Je fais mon travail, rien de plus. Mais parlons un peu plus sérieusement, car la question qui se trouve sur toutes les lèvres et que tout le monde veut te poser est comment te sens-tu ? Est-ce que tu es en forme ?
John Cena – Comment est-ce que je me sens ? Je peux marcher, je peux manger, je suis en vie, je ne suis pas à plaindre. Chaque jour, des dizaines de soldats Américains se trouvent dans un état bien plus grave que le mien, alors je m'estime heureux d'être comme je suis aujourd'hui, je fais contre mauvaise fortune bon coeur.
Trish Stratus – Tu t'estimes donc heureux, bien sûr que tu marches et que tu es en état de combattre, mais est-ce que tu ne souffres pas trop ? Tu as quand même été projeté à plusieurs mètres par une voiture.
Là, John il nous sort son fameux tic du "j'enlève ma casquette pour vérifier que j'ai toujours mes trois millimètres de cheveux sur le crâne, je frotte pour voir que c'est doux comme de la moquette et je replace ma casquette histoire de dire que j'ai réfléchi".
John Cena – J'ai un bandage au bras droit, je ne peux pas soulever autant de poids que je voudrais avec ce bras, j'ai plusieurs marques sur mon corps et je souffre chaque matin au réveil, et je vais certainement souffrir ce soir en quittant le ring, mais la douleur que je peux ressentir n'est rien comparé à celle que mon agresseur ressentira quand je me serai occupé de lui.
Trish Stratus – En parlant de ce mystérieux agresseur, nous n'avons toujours aucune piste malgré l'enquête de nos experts, est-ce que toi, tu aurais une petite idée de qui a pu t'attaquer ?
Moi je sais qui a attaqué John Cena, mais je ne vous le dirai pas.
John Cena – Je n'ai pas pu voir mon agresseur quand je me suis fait frapper dans le parking, mais les pistes ne manquent malheureusement pas. Les coupables peuvent se compter par dizaines, de Randy Orton à Batista en passant par Vince McMahon ou, qui sais-je encore, peut-être CM Punk ? Il se pourrait également que cela soit aussi l'Undertaker, j'ai de nombreux ennemis dans ce business, et chacun peut trouver un motif pour m'attaquer aussi lâchement.
Trish Stratus – Parlons brièvement de l'Undertaker et ensuite, je te laisserai partir pour ton match. Ce dernier semble en position de force ce soir pour remporter le combat. Tu n'es pas en pleine possession de tes moyens et l'Undertaker est l'un des meilleurs lutteurs que le monde connaisse, c'est un très gros challenge que tu vas devoir relever ce soir.
Un challenge qui, une fois encore, demande à John Cena de réfléchir. Cette fois, il replace ses wristbands qui se vendent par dizaines chez les jeunes enfants, non seulement pour faire de la pub, mais également pour se donner quelques secondes pour trouver la réponse la plus adaptée.
John Cena – Un challenge ne serait pas un challenge s'il ne comportait pas quelques difficultés à la clé. Mais tu sais, les challenges, je les relève tous un par un depuis que je suis tout petit. Que se soit poser une punaise sur le bureau de mon professeur de mathématiques à l'école primaire ou botter le cul de l'Undertaker, j'ai toujours relevé avec brio ce que l'on me demandait de faire, et cela n'est pas prêt de changer. Si l'Undertaker pensait que ce soir, il allait tomber sur un homme faible, dont le moral était au plus bas, il se trompe grandement. Ce soir, l'Undertaker aura en face de lui l'homme qui est ten time World Champion. L'Undertaker aura en face de lui l'homme que j'ai toujours été, un homme loyal, respectueux et prêt à tout donner pour les fans et pour lui-même.
Trish Stratus – On peut donc compter sur toi ce soir.
John Cena – Ce soir, bien plus que les autres soirs encore...
C'est l'heure de la conclusion, les enfants.
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Hop, John Cena disparait immédiatement, direction le ring, pour botter le cul de l'Undertaker. Trish, elle, regarde l'homme qu'elle vient d'interviewer partir au loin, on balance la promo du Main-Event et on est parti pour le dernier match de la soirée.
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Re: Thunderslam.
THEY HAVE ONE GOAL, THE GOLD !
« Oh yes ! »
THEY HAVE THE BEST ATTITUDE.
« I hope you're watching, Cena »
BUT THERE CAN ONLY BE ONE.
« I'm The Champ' ! »
FOR THE GLORY, THEY'RE GONNA DO EVERYTHING.
« You will rest... In... Peace. »
THEY WILL HAVE NO MERCY FOR EACH OTHER.
« L'enfant du diable est de retour. Tremblez ! »
JUST FOR THE ATTITUDE CHAMPIONSHIP.
« If you're ready for this, give me a hell yeah ! »
JOHN CENA AGAINST THE UNDERTAKER.
« Oh yes ! »
THEY HAVE THE BEST ATTITUDE.
« I hope you're watching, Cena »
BUT THERE CAN ONLY BE ONE.
« I'm The Champ' ! »
FOR THE GLORY, THEY'RE GONNA DO EVERYTHING.
« You will rest... In... Peace. »
THEY WILL HAVE NO MERCY FOR EACH OTHER.
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« If you're ready for this, give me a hell yeah ! »
JOHN CENA AGAINST THE UNDERTAKER.
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Re: Thunderslam.
Bill DeMott – Nous y voilà Booker, le moment que nous attentions tous est enfin arrivé. Le premier Pay Per View de l'histoire de la fédération touche à sa fin et il est maintenant tant de couronner le tout premier Attitude Champion.
Booker T – Très bien, car plus vite ce combat touchera à sa fin, plus vite nous rendrons l'antenne et plus vite toi et moi nous pourrons avoir une explication sur ce qui s'est passé tout à l'heure.
Bill DeMott – Tu es encore agacé par cette histoire ? Voyons Book', n'en fais pas tout un plat, c'est juste que j'ai des choses que je n'ai pas envie de te dire, ce n'est pas parce que nous sommes ami et coéquipier que l'on doit forcément tout se dire.
Booker T – Premièrement, ne m'appelle pas Book', ensuite je croyais que les amis, on pouvait tout leur dire, or ce n'est pas le cas avec toi. Donc, nous ne sommes pas amis. Et puis, moi quand j'ai reçu la note de mon teinturier pour la trace de ketchup sur mon superbe costume, je te l'ai dit.
Bill DeMott – Ce n'est pas la même chose, c'est moi qui avait sali ton costume, je devais bien payer la note à ta place. Allez, j'te payerais un verre après le show, ça te va ?
Booker T – Désolé, je ne peux pas, j'ai des choses à faire après le show, moi. J'ai une vie, contrairement à d'autres.
Pendant que Booker et Bill continuent de se chamailler, le thème de John Cena retentit.
Le leader de la Cenation arrive, comme prévu, sous une réaction mitigée de la foule, où les huées se mélangent aux encouragements plus aiguës des plus jeunes fans et des femmes en chaleur. John, lui, monte sur le ring et en retirant son t-shirt, nous pouvons nous apercevoir qu'en plus d'un bandage au bras droit, il en a un autre au niveau de l'abdomen. Ce ne sont pas les meilleures conditions pour lutter dans un match de championnat, mais il faudra faire avec.
Bill DeMott – ... Et donc tu penses que moi, je ne fais rien de ma vie, c'est ça ? Booker, je sais que tu es énervé par ce qui est arrivé, mais tu ne va quand même pas être grognon jusqu'à la fin de la soirée, quand même !?
Booker T – Ah oui ? Et qu'est-ce qui m'empêcherait de l'être ? Tu n'as pas voulu me dire ce que tu as fait tout à l'heure, c'est ton choix. Moi, j'ai le droit de bouder, c'est mon choix, sucka'.
Bill DeMott – Est-ce que l'on peut au moins commenter le match sans s'engueuler ? Non parce que John Cena est déjà sur le ring, et j'aimerais au moins pouvoir faire mon travail correctement.
Booker T – Est-ce que tu insinuerais que moi, Booker T, six time World Champion, je ne fais pas bien mon travail de commentateur ?
Visiblement, entre les deux hommes, on préfère se crêper gentiment le chignon plutôt que de dire que l'Undertaker fait son entrée, accompagnée quelques mètres plus loin de Paul Bearer et de Michelle McCool. En plus, pour l'occasion, c'est le thème du Ministry of Darkness qui résonne.
Une ambiance très étrange se ressent dans l'arena, le côté sombre et ténébreux de l'Undertaker a comme refroidit et glacé le sang des fans qui sont plutôt calme, ils regardent avec attention la marche silencieuse et lente du Deadman, comme s'ils étaient aspiré par sa démarche. Le Phenom monte doucement le ring et retire tout son attirail, en oubliant pas de lancer un message à John Cena en lui faisant ses fameux yeux blancs, mais l'action s'est surtout à la table des commentateurs qu'elle a lieu.
Bill DeMott – ... Non, ce n'est pas ce que j'ai voulu dire, tu sais très bien ce que je pense de toi, tu es quelqu'un de bien, un bon commentateur et nous faisons tous les deux du très bon travail. Cependant, c'est pas l'heure de se prendre la tête pour des futilités, on a un match à commenter.
Booker T – Je te préviens que si jamais tu insinues la moindre chose ayant de prêt ou de loin un rapport avec moi, je cesse de commenter ce combat. J'espère avoir été bien clair, dawg.
» FIGHT ! «
DING DING DING ! Alors que Booker T et Bill DeMott semblent faire une trêve pour commenter le combat, sur le ring, il n'y aura aucun temps mort. Le combat débute par une épreuve de force que l'Undertaker arrête rapidement en portant un coup de genou dans l'abdomen bandé de Cena. Le Phenom prend donc l'avantage en ce début de rencontre et fait parler la puissance de ses poings et l'incroyable efficacité de ses combos pour mettre à mal le Champ'. Le Taker obtient même un premier compte de deux après un Back Body Drop enchainé par une Leg Drop. Le Phenom contrôle toujours la rencontre et se met à travailler sur le bras droit de Cena, celui qui est également bandé. Le Deadman se prépare même pour porter son très célèbre Old-School mais Cena fait chuter son adversaire alors qu'il était en équilibre sur les cordes. Le Taker se retrouver à l'extérieur du ring mais se relève immédiatement, quand on est mort, les douleurs à l'entrejambe, ça n'existe plus. Paul Bearer brandit son urne en l'air alors que McCool encourage le Taker à continuer sa domination. Seulement, une fois de retour sur le ring, le Taker se fait surprendre par Cena. Ce dernier fait reculer le Phenom avec diverses droites sur son corps et le projette dans les cordes. Le Chain Gang Soldier se voit cependant esquivé sa tentative de Clothesline mais il surprend l'Undertaker qui avait reprit de l'élan dans les cordes avec un Spinebuster. John n'obtiendra qu'un compte de deux et le combat continue, et bien que Cena soit blessé, il résiste plutôt bien au Phenom pendant de longues minutes de combat équilibré. Le Taker reprend pourtant l'avantage en s'attaquant de nouveau au bras droit de Cena. Après un Big Boot et une Flyin' Clothesline, le Phenom tente d'en terminer en positionnant John en position pour le Tombstone.
Bill DeMott – L'Undertaker semble sur le point d'en terminer et de mettre tout le monde d'accord. Visiblement, ce n'est pas le genre d'homme à perdre son temps pour faire ce qu'il a à faire.
Booker T – T'as insinué quelque chose là ? Ne me prends pas pour un sucka', je sais que tu as voulu me lancer un message.
Bill DeMott – Mais pas du tout, tu dérailles mon pauvre ! J'pourrais annoncer l'Undertaker comme le nouveau Attitude Champion en disant qu'il avait la meilleure Attitude que tu y verrais encore une insinuation. Déstresse, cowboy.
L'Undertaker est sur le point de porter son Tombstone Piledriver mais Cena se débat comme un beau diable et retombe au sol en attrapant au passage la jambe du Taker pour le faire chuter au sol. La foule vient de comprendre, et Cena ne perd ps un instant pour porter son STF. Le Phenom grimace mais ne semble pas prêt à abandonner. Paul Bearer s'approche de lui et tend son urne en l'air, donnant assez de force au Taker pour qu'il puisse attraper les cordes. John Cena l'a mauvaise et il tente de ramener le Taker au milieu du ring mais ce dernier se dégage. Cena revient vers lui mais le Deadman le surprend avec un Chokeslam mais il n'obtient qu'un compte de deux. Le Taker enrage et est à deux doigts de s'en prendre à l'arbitre. Il finit par relever John Cena et le met une fois encore en position de Tombstone, mais une fois encore, Cena contre la prise et porte son adversaire sur ses épaules. L'Undertaker arrive cependant à s'agripper aux cordes et le referee doit intervenir. Cependant, Michelle McCool arrive à l'opposé du ring et l'arbitre doit s'occuper d'elle, tournant le dos à l'action du combat. Cela profite à Paul Bearer qui monte sur l'apron pour frapper Cena au visage avec son urne. Le leader de la Cenation lâche le Taker et vacille. Le Phenom profite de l'occasion et place la tête de son adversaire entre ses jambes avant de lever le poing en l'air, signe qu'il va en terminer. Le Taker soulève John Cena et porte son Last Ride Powerbomb et obtient un compte de trois clair, net et sans bavure.
Booker T – John vient pas légèrement de se faire avoir par le ministère des ténèbres ? Non j'dis ça parce que j'ai quand même la nette impression qu'il y a un truc qui va pas.
Bill DeMott – Tu ne rêves pas, l'Undertaker a reçu l'aide de Bearer mais également de Michelle, et il devient donc, pas très logiquement à mon goût, le tout premier Attitude Champion.
Booker T – Évidemment, si notre premier champion commence déjà par tricher, l'image de ce titre va pas commencer au beau fixe. Y'a des fois, y'a des scissors kick dans la gueule qui se perdent.
Sur le ring, seul le Taker est debout. John Cena, lui, est terrassé par le Phenom et ce dernier va recevoir son titre de champion de la fédération. L'arbitre lui tend timidement la ceinture mais le Deadman préfère lui saisir le bras pour l'amener vers lui et ensuite lui porter un monstrueux Chokeslam. Et un arbitre en moins, un. Le Taker s'empare ensuite du titre et fait sa traditionnelle pose, sous les applaudissements de Paul Bearer et Michelle McCool.
Le ministre des ténèbres trône sur le toit de la fédération, ce soir.
Booker T – Très bien, car plus vite ce combat touchera à sa fin, plus vite nous rendrons l'antenne et plus vite toi et moi nous pourrons avoir une explication sur ce qui s'est passé tout à l'heure.
Bill DeMott – Tu es encore agacé par cette histoire ? Voyons Book', n'en fais pas tout un plat, c'est juste que j'ai des choses que je n'ai pas envie de te dire, ce n'est pas parce que nous sommes ami et coéquipier que l'on doit forcément tout se dire.
Booker T – Premièrement, ne m'appelle pas Book', ensuite je croyais que les amis, on pouvait tout leur dire, or ce n'est pas le cas avec toi. Donc, nous ne sommes pas amis. Et puis, moi quand j'ai reçu la note de mon teinturier pour la trace de ketchup sur mon superbe costume, je te l'ai dit.
Bill DeMott – Ce n'est pas la même chose, c'est moi qui avait sali ton costume, je devais bien payer la note à ta place. Allez, j'te payerais un verre après le show, ça te va ?
Booker T – Désolé, je ne peux pas, j'ai des choses à faire après le show, moi. J'ai une vie, contrairement à d'autres.
Pendant que Booker et Bill continuent de se chamailler, le thème de John Cena retentit.
Le leader de la Cenation arrive, comme prévu, sous une réaction mitigée de la foule, où les huées se mélangent aux encouragements plus aiguës des plus jeunes fans et des femmes en chaleur. John, lui, monte sur le ring et en retirant son t-shirt, nous pouvons nous apercevoir qu'en plus d'un bandage au bras droit, il en a un autre au niveau de l'abdomen. Ce ne sont pas les meilleures conditions pour lutter dans un match de championnat, mais il faudra faire avec.
Bill DeMott – ... Et donc tu penses que moi, je ne fais rien de ma vie, c'est ça ? Booker, je sais que tu es énervé par ce qui est arrivé, mais tu ne va quand même pas être grognon jusqu'à la fin de la soirée, quand même !?
Booker T – Ah oui ? Et qu'est-ce qui m'empêcherait de l'être ? Tu n'as pas voulu me dire ce que tu as fait tout à l'heure, c'est ton choix. Moi, j'ai le droit de bouder, c'est mon choix, sucka'.
Bill DeMott – Est-ce que l'on peut au moins commenter le match sans s'engueuler ? Non parce que John Cena est déjà sur le ring, et j'aimerais au moins pouvoir faire mon travail correctement.
Booker T – Est-ce que tu insinuerais que moi, Booker T, six time World Champion, je ne fais pas bien mon travail de commentateur ?
Visiblement, entre les deux hommes, on préfère se crêper gentiment le chignon plutôt que de dire que l'Undertaker fait son entrée, accompagnée quelques mètres plus loin de Paul Bearer et de Michelle McCool. En plus, pour l'occasion, c'est le thème du Ministry of Darkness qui résonne.
Une ambiance très étrange se ressent dans l'arena, le côté sombre et ténébreux de l'Undertaker a comme refroidit et glacé le sang des fans qui sont plutôt calme, ils regardent avec attention la marche silencieuse et lente du Deadman, comme s'ils étaient aspiré par sa démarche. Le Phenom monte doucement le ring et retire tout son attirail, en oubliant pas de lancer un message à John Cena en lui faisant ses fameux yeux blancs, mais l'action s'est surtout à la table des commentateurs qu'elle a lieu.
Bill DeMott – ... Non, ce n'est pas ce que j'ai voulu dire, tu sais très bien ce que je pense de toi, tu es quelqu'un de bien, un bon commentateur et nous faisons tous les deux du très bon travail. Cependant, c'est pas l'heure de se prendre la tête pour des futilités, on a un match à commenter.
Booker T – Je te préviens que si jamais tu insinues la moindre chose ayant de prêt ou de loin un rapport avec moi, je cesse de commenter ce combat. J'espère avoir été bien clair, dawg.
» FIGHT ! «
DING DING DING ! Alors que Booker T et Bill DeMott semblent faire une trêve pour commenter le combat, sur le ring, il n'y aura aucun temps mort. Le combat débute par une épreuve de force que l'Undertaker arrête rapidement en portant un coup de genou dans l'abdomen bandé de Cena. Le Phenom prend donc l'avantage en ce début de rencontre et fait parler la puissance de ses poings et l'incroyable efficacité de ses combos pour mettre à mal le Champ'. Le Taker obtient même un premier compte de deux après un Back Body Drop enchainé par une Leg Drop. Le Phenom contrôle toujours la rencontre et se met à travailler sur le bras droit de Cena, celui qui est également bandé. Le Deadman se prépare même pour porter son très célèbre Old-School mais Cena fait chuter son adversaire alors qu'il était en équilibre sur les cordes. Le Taker se retrouver à l'extérieur du ring mais se relève immédiatement, quand on est mort, les douleurs à l'entrejambe, ça n'existe plus. Paul Bearer brandit son urne en l'air alors que McCool encourage le Taker à continuer sa domination. Seulement, une fois de retour sur le ring, le Taker se fait surprendre par Cena. Ce dernier fait reculer le Phenom avec diverses droites sur son corps et le projette dans les cordes. Le Chain Gang Soldier se voit cependant esquivé sa tentative de Clothesline mais il surprend l'Undertaker qui avait reprit de l'élan dans les cordes avec un Spinebuster. John n'obtiendra qu'un compte de deux et le combat continue, et bien que Cena soit blessé, il résiste plutôt bien au Phenom pendant de longues minutes de combat équilibré. Le Taker reprend pourtant l'avantage en s'attaquant de nouveau au bras droit de Cena. Après un Big Boot et une Flyin' Clothesline, le Phenom tente d'en terminer en positionnant John en position pour le Tombstone.
Bill DeMott – L'Undertaker semble sur le point d'en terminer et de mettre tout le monde d'accord. Visiblement, ce n'est pas le genre d'homme à perdre son temps pour faire ce qu'il a à faire.
Booker T – T'as insinué quelque chose là ? Ne me prends pas pour un sucka', je sais que tu as voulu me lancer un message.
Bill DeMott – Mais pas du tout, tu dérailles mon pauvre ! J'pourrais annoncer l'Undertaker comme le nouveau Attitude Champion en disant qu'il avait la meilleure Attitude que tu y verrais encore une insinuation. Déstresse, cowboy.
L'Undertaker est sur le point de porter son Tombstone Piledriver mais Cena se débat comme un beau diable et retombe au sol en attrapant au passage la jambe du Taker pour le faire chuter au sol. La foule vient de comprendre, et Cena ne perd ps un instant pour porter son STF. Le Phenom grimace mais ne semble pas prêt à abandonner. Paul Bearer s'approche de lui et tend son urne en l'air, donnant assez de force au Taker pour qu'il puisse attraper les cordes. John Cena l'a mauvaise et il tente de ramener le Taker au milieu du ring mais ce dernier se dégage. Cena revient vers lui mais le Deadman le surprend avec un Chokeslam mais il n'obtient qu'un compte de deux. Le Taker enrage et est à deux doigts de s'en prendre à l'arbitre. Il finit par relever John Cena et le met une fois encore en position de Tombstone, mais une fois encore, Cena contre la prise et porte son adversaire sur ses épaules. L'Undertaker arrive cependant à s'agripper aux cordes et le referee doit intervenir. Cependant, Michelle McCool arrive à l'opposé du ring et l'arbitre doit s'occuper d'elle, tournant le dos à l'action du combat. Cela profite à Paul Bearer qui monte sur l'apron pour frapper Cena au visage avec son urne. Le leader de la Cenation lâche le Taker et vacille. Le Phenom profite de l'occasion et place la tête de son adversaire entre ses jambes avant de lever le poing en l'air, signe qu'il va en terminer. Le Taker soulève John Cena et porte son Last Ride Powerbomb et obtient un compte de trois clair, net et sans bavure.
Booker T – John vient pas légèrement de se faire avoir par le ministère des ténèbres ? Non j'dis ça parce que j'ai quand même la nette impression qu'il y a un truc qui va pas.
Bill DeMott – Tu ne rêves pas, l'Undertaker a reçu l'aide de Bearer mais également de Michelle, et il devient donc, pas très logiquement à mon goût, le tout premier Attitude Champion.
Booker T – Évidemment, si notre premier champion commence déjà par tricher, l'image de ce titre va pas commencer au beau fixe. Y'a des fois, y'a des scissors kick dans la gueule qui se perdent.
Sur le ring, seul le Taker est debout. John Cena, lui, est terrassé par le Phenom et ce dernier va recevoir son titre de champion de la fédération. L'arbitre lui tend timidement la ceinture mais le Deadman préfère lui saisir le bras pour l'amener vers lui et ensuite lui porter un monstrueux Chokeslam. Et un arbitre en moins, un. Le Taker s'empare ensuite du titre et fait sa traditionnelle pose, sous les applaudissements de Paul Bearer et Michelle McCool.
Le ministre des ténèbres trône sur le toit de la fédération, ce soir.
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Attitude : 3:16
Re: Thunderslam.
Booker T – La soirée touche à sa fin, nous avons pu assister à de très belles choses ce soir et il est indéniable que ce premier Pay Per View est une grande réussite. Maintenant, toi et moi on va gentiment rejoindre les coulisses et on va s'expliquer sur ce qu'il s'est passé en début de soirée.
Bill DeMott – Tu es encore avec cette histoire ? Sérieusement, passons à autre chose, c'est de l'histoire ancienne tout ça. Y'a autre chose dont on pourrait parler.
Booker T – Cette histoire sera de l'histoire ancienne lorsque je l'aurai décidé, c'est à dire après que toi, sucka', et moi, Booker T, on aura eu eu un échange, eye to eye.
Bill ne souhaitant pas rajouter de l'huile sur le feu, il ne dit rien, mais sur le ring, ça s'agite. Michelle McCool et Paul Bearer viennent de monter sur le ring pour rejoindre le Taker. Ce dernier se relève et se tourne d'abord vers Michelle McCool. Après un sourire de la plantureuse blonde, le Phenom lui transmet la ceinture de champion du monde avant de se retourner vers Paul Bearer, pour lui faire une révérence.
Ce soir est un grand soir pour le ministère des ténèbres puisqu'ils semblent poser la première pierre à leur plan qui consiste tout simplement à dominer la fédération. L'Undertaker finit par se relever et se tourne à nouveau vers Michelle McCool. Il reprend son titre de champion et dans la seconde qui suit, la jeune femme se met à genoux, non pas pour un fameux blowjob, mais bien pour faire une révérence au Phenom, pour montrer qu'elle se soumet à lui. Autant te dire tout de suite que ça hue sévèrement dans les gradins du Toyota Center.
Paul Bearer – This is it, my friends.
Ouais, j'ai trouvé l'idée intéressante de nous emmerder encore quelques minutes avec Bearer.
Paul Bearer – The Undertaker is the Attitude Champion. The Ministry of Darkness is on the top. And now, nobody is able to stop the power of the domination ! Oh yes ! This is our day, my lord.
The Undertaker – C'est bien plus que ça, Paul. Ce soir marque non seulement le couronnement du chef du gouvernement des ténèbres, mais cela marque également le début de notre domination et de notre main mise sur cette fédération. A partir de maintenant, le ministère des ténèbres contrôle l'Attitude Wrestling Corporation.
L'Undertaker reçoit une horde de huée provenant de toute la salle et même du côté des techniciens et du staff de la fédération, on écoute avec attention ce que le Phenom a à dire, comme s'ils avaient vraiment peur de lui et de ce qui pourrait arriver dans le futur.
The Undertaker – Retenez bien ce jour, ce lieu, ce show, Thunderslam, parce que tout ceci restera à jamais gravé dans les livres d'histoires et surtout parce que ce jour va marquer à tout jamais l'histoire de la lutte, et bien plus encore. Ce jour va marquer d'une empreinte indélébile l'ensemble de vos esprits, pauvre mortels. Que vous soyez dans les gradins, derrière votre télé, en backstages, ou en ringside, vous serez tous marquez de la même manière par ce qui va arriver.
Paul Bearer – Oh yes !
The Undertaker – Et croyez-moi, je ne compte pas attendre une seconde de plus pour mettre en place mon règne de terreur. Oui, tout doit commencer un jour ou l'autre, et personnellement, mon plan doit commencer...
Le Taker se tourne vers la table des commentateurs et s'approche des cordes. Il regarde fixement Booker T et Bill DeMott dans les yeux.
The Undertaker – Maintenant !
Oui, on peut avoir peur. Presque aussitôt, la lumière s'éteint dans toute l'arena, on ne voit absolument rien, et on peut seulement entendre du bruit, des cris se font entendre, des bruits de coups aussi. Que se passe-t-il ? Nul ne le sait.
Bill DeMott – Tu sais pourquoi il nous a tiré la langue l'autre bouseux là ? Il se sent plus pisser parce qu'il va niquer ce soir ou quoi ?
Booker T – J'en sais rien mais il m'emmerde, j'vois rien dans le noir, et j'crois que j'viens de renverser ma bouteille d'eau sur mon pantalon. Quelle soirée de mer-... Aaaahhhh !
Bill DeMott – Booker ? Booker, est-ce que ça va ? Réponds moi, arrête de bouder. Booker ?
Après près de trente secondes dans le noir le plus total, les lumières se rallument et sur le ring, il n'y a plus personne. Non, mais par contre, il y a de l'agitation à la table des annonceurs... KEVIN THORN !! Kevin Thorn, le vampire, vient d'attraper Booker T par derrière et lui a porté un Crucifix directement à travers la table des commentateurs qui se brise sur le coup. Bill DeMott ne peut même pas intervenir, il se fait fracasser la tête par un énorme coup de chaise de Michelle McCool. Et comme si cela ne suffisait pas, Paul Bearer vient rajouter des coups d'urne au visage des deux hommes qui sont inconscient. Un peu plus loin, la conquête de Kevin Thorn, Ariel, s'approche du staff technique et les attaque violemment. Rien n'est oublié, Kevin Thorn continue son travail de destruction en compagnie de Michelle McCool et le speaker, le clochiste (celui qui fait sonner la cloche), et les techniciens se font tous déboiter la gueule un par un. C'est le ko le plus total, le ministère des ténèbres vient de s'agrandir et de marquer un grand coup. Sous le titantron, un homme regarde la scène avec un air démoniaque.
L'Undertaker vient de mettre à terre la moitié de la Corporation ce soir. L'AWC s'apprête à vivre des jours bien sombres, et je pense que c'est la première fois de ma vie que je peux dire qu'Attitude numéro cinq risque d'être placé sous un régime maléfique.
Bill DeMott – Tu es encore avec cette histoire ? Sérieusement, passons à autre chose, c'est de l'histoire ancienne tout ça. Y'a autre chose dont on pourrait parler.
Booker T – Cette histoire sera de l'histoire ancienne lorsque je l'aurai décidé, c'est à dire après que toi, sucka', et moi, Booker T, on aura eu eu un échange, eye to eye.
Bill ne souhaitant pas rajouter de l'huile sur le feu, il ne dit rien, mais sur le ring, ça s'agite. Michelle McCool et Paul Bearer viennent de monter sur le ring pour rejoindre le Taker. Ce dernier se relève et se tourne d'abord vers Michelle McCool. Après un sourire de la plantureuse blonde, le Phenom lui transmet la ceinture de champion du monde avant de se retourner vers Paul Bearer, pour lui faire une révérence.
Ce soir est un grand soir pour le ministère des ténèbres puisqu'ils semblent poser la première pierre à leur plan qui consiste tout simplement à dominer la fédération. L'Undertaker finit par se relever et se tourne à nouveau vers Michelle McCool. Il reprend son titre de champion et dans la seconde qui suit, la jeune femme se met à genoux, non pas pour un fameux blowjob, mais bien pour faire une révérence au Phenom, pour montrer qu'elle se soumet à lui. Autant te dire tout de suite que ça hue sévèrement dans les gradins du Toyota Center.
Paul Bearer – This is it, my friends.
Ouais, j'ai trouvé l'idée intéressante de nous emmerder encore quelques minutes avec Bearer.
Paul Bearer – The Undertaker is the Attitude Champion. The Ministry of Darkness is on the top. And now, nobody is able to stop the power of the domination ! Oh yes ! This is our day, my lord.
The Undertaker – C'est bien plus que ça, Paul. Ce soir marque non seulement le couronnement du chef du gouvernement des ténèbres, mais cela marque également le début de notre domination et de notre main mise sur cette fédération. A partir de maintenant, le ministère des ténèbres contrôle l'Attitude Wrestling Corporation.
L'Undertaker reçoit une horde de huée provenant de toute la salle et même du côté des techniciens et du staff de la fédération, on écoute avec attention ce que le Phenom a à dire, comme s'ils avaient vraiment peur de lui et de ce qui pourrait arriver dans le futur.
The Undertaker – Retenez bien ce jour, ce lieu, ce show, Thunderslam, parce que tout ceci restera à jamais gravé dans les livres d'histoires et surtout parce que ce jour va marquer à tout jamais l'histoire de la lutte, et bien plus encore. Ce jour va marquer d'une empreinte indélébile l'ensemble de vos esprits, pauvre mortels. Que vous soyez dans les gradins, derrière votre télé, en backstages, ou en ringside, vous serez tous marquez de la même manière par ce qui va arriver.
Paul Bearer – Oh yes !
The Undertaker – Et croyez-moi, je ne compte pas attendre une seconde de plus pour mettre en place mon règne de terreur. Oui, tout doit commencer un jour ou l'autre, et personnellement, mon plan doit commencer...
Le Taker se tourne vers la table des commentateurs et s'approche des cordes. Il regarde fixement Booker T et Bill DeMott dans les yeux.
The Undertaker – Maintenant !
Oui, on peut avoir peur. Presque aussitôt, la lumière s'éteint dans toute l'arena, on ne voit absolument rien, et on peut seulement entendre du bruit, des cris se font entendre, des bruits de coups aussi. Que se passe-t-il ? Nul ne le sait.
Bill DeMott – Tu sais pourquoi il nous a tiré la langue l'autre bouseux là ? Il se sent plus pisser parce qu'il va niquer ce soir ou quoi ?
Booker T – J'en sais rien mais il m'emmerde, j'vois rien dans le noir, et j'crois que j'viens de renverser ma bouteille d'eau sur mon pantalon. Quelle soirée de mer-... Aaaahhhh !
Bill DeMott – Booker ? Booker, est-ce que ça va ? Réponds moi, arrête de bouder. Booker ?
Après près de trente secondes dans le noir le plus total, les lumières se rallument et sur le ring, il n'y a plus personne. Non, mais par contre, il y a de l'agitation à la table des annonceurs... KEVIN THORN !! Kevin Thorn, le vampire, vient d'attraper Booker T par derrière et lui a porté un Crucifix directement à travers la table des commentateurs qui se brise sur le coup. Bill DeMott ne peut même pas intervenir, il se fait fracasser la tête par un énorme coup de chaise de Michelle McCool. Et comme si cela ne suffisait pas, Paul Bearer vient rajouter des coups d'urne au visage des deux hommes qui sont inconscient. Un peu plus loin, la conquête de Kevin Thorn, Ariel, s'approche du staff technique et les attaque violemment. Rien n'est oublié, Kevin Thorn continue son travail de destruction en compagnie de Michelle McCool et le speaker, le clochiste (celui qui fait sonner la cloche), et les techniciens se font tous déboiter la gueule un par un. C'est le ko le plus total, le ministère des ténèbres vient de s'agrandir et de marquer un grand coup. Sous le titantron, un homme regarde la scène avec un air démoniaque.
L'Undertaker vient de mettre à terre la moitié de la Corporation ce soir. L'AWC s'apprête à vivre des jours bien sombres, et je pense que c'est la première fois de ma vie que je peux dire qu'Attitude numéro cinq risque d'être placé sous un régime maléfique.
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