Ground Zero.
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Ground Zero.
Le pay-per-view n'est pas encore commencé mais tous les lutteurs de l'Attitude Wrestling Corporation se trouvent sous l'écran moyennement géant ainsi que sur la rampe d'accès au ring, Mister Anderson, Jack Swagger et John Cena en tête. Nous sommes le 11 septembre 2011 et il y a dix ans, les Etats-Unis d'Amérique étaient frappés par de monstrueux attentats qui ont fait près de trois milles morts, ici-même, à Ground Zero.
Mais pour le moment, alors qu'on ne sait toujours pas pourquoi les lutteurs sont ici, nous retrouvons Ricardo Rodriguez qui s'avance, micro en main.
Ricardo Rodriguez – Señores y señoras, està une grande honnor para me de presentar a ustedes el hombre que es actualmente el Corporación campeon y el grande especialist del armbar. Este hombre viene del maravilloso paìs de Mexico y representa todo los Mexicanos que quieren vivir el sueño Americano. Les presenta a ustedes el grande matador, el patròn, Albertooooooooo...
Alberto Del Rio - Ricardo, ce n'est pas le bon moment.
Ricardo Rodriguez – Del Riooooooooo !
Stone Cold – SHUT UP ! What ? SHUT THE FUCK UP ! What ? AUSTIN 3:16 SAYS SHUT UP OR I'LL WHIP YOUR ASS ! What ? Il y dix ans, notre nation a été frappée. What ? Mais notre nation s'est relevée et est aujourd'hui plus forte que jamais. What ? Mais cela n'enlève rien au fait que nous avons tous perdus un grand nombre de nos compatriotes ce jour-là. What ? C'est pourquoi, et pour honorer leur mémoire, que nous allons tous ensemble ici depuis Ground Zero, ici où se trouvaient les tours jumelles du World Trade Center, respecter une minute de silence. USA ! USA ! USA !
Au bout de quelques secondes, un gong retentit ici à Ground Zero et tout le monde arrête net de chanter. Il n'y a plus un bruit ici, silence radio.
60, 59, 58, 57, 56, 55, 54, 53, 52, 51... Mais il semblerait que pour certains, cette minute de silence ne soit pas la bienvenue.
Sheamus - J'espère que la soirée ne va pas durer trop longtemps, l'Irlande fait ses débuts ce soir contre les Etats-Unis justement.
Wade Barrett – Arrête de rêver, le XV de la rose remportera cette coupe du monde de rugby.
Sheamus - Sans Jonny Wilkinson, vous n'irez nulle part.
Wade Barrett – C'est ce que nous verrons, fella.
Claudio Castagnoli – Faîtes attention les gars, Steve vous regarde avec un oeil des mauvais jours. Vous allez vous faire niquer à parler sport de gonzesse pendant leur stupide minute de silence patriotique.
Sheamus et Wade Barrett jettent un coup d'oeil rapide vers Steve Austin et effectivement, Stone Cold semble ne pas être heureux d'avoir des perturbateurs pendant cette minute de silence.
31, 30, 29, 28, 27, 26, 25, 24, 23, 22, 21, 20, 19... Et pourtant, un peu plus loin, il semblerait que les européens ne soient pas les seuls à ne pas se sentir concernés par ce qu'il se passe ici.
Chris Jericho – Qu'est-ce qu'ils sont en train de faire en fait, une minute de silence parce que je suis le meilleur dans ce que je fais ?
Edge – Je viens de me faire sucer par Lita dans les vestiaires, j'suis lessivé. Je ne sais vraiment pas comment est-ce que je vais faire pour lutter ce soir. J'ai juste envie d'une clope et d'une sieste maintenant.
Christian Cage – Lucky you. En parlant de ça, tu as vu le petit cul de Michelle McCool ce soir ?
Trish Stratus – Un peu de respect les gars.
Edge – Regarde-là celle-là, c'te jalouse !
Christian Cage – Quelle rabat-joie celle-là depuis qu’elle s'est mariée. Elle aurait besoin d'un bon ramonage de temps en temps. Tu veux que je te prête mon joystick, Trish ?
Trish Stratus – Allez vous faire foutre.
7, 6, 5, 4, 3, 2, 1, 0... USA ! USA ! USA ! Alors que les fans chantent en coeur, les quatre fantastiques et les différents lutteurs lancent des regards assassins aux européens et aux canadiens qui préfèrent quitter discrètement la rampe, comprenant qu'ils ne sont pas les bienvenue.
Ground Zero depuis Ground Zero, ça commence maintenant ! God bless USA !
Mais pour le moment, alors qu'on ne sait toujours pas pourquoi les lutteurs sont ici, nous retrouvons Ricardo Rodriguez qui s'avance, micro en main.
Ricardo Rodriguez – Señores y señoras, està une grande honnor para me de presentar a ustedes el hombre que es actualmente el Corporación campeon y el grande especialist del armbar. Este hombre viene del maravilloso paìs de Mexico y representa todo los Mexicanos que quieren vivir el sueño Americano. Les presenta a ustedes el grande matador, el patròn, Albertooooooooo...
Alberto Del Rio - Ricardo, ce n'est pas le bon moment.
Ricardo Rodriguez – Del Riooooooooo !
Stone Cold – SHUT UP ! What ? SHUT THE FUCK UP ! What ? AUSTIN 3:16 SAYS SHUT UP OR I'LL WHIP YOUR ASS ! What ? Il y dix ans, notre nation a été frappée. What ? Mais notre nation s'est relevée et est aujourd'hui plus forte que jamais. What ? Mais cela n'enlève rien au fait que nous avons tous perdus un grand nombre de nos compatriotes ce jour-là. What ? C'est pourquoi, et pour honorer leur mémoire, que nous allons tous ensemble ici depuis Ground Zero, ici où se trouvaient les tours jumelles du World Trade Center, respecter une minute de silence. USA ! USA ! USA !
Au bout de quelques secondes, un gong retentit ici à Ground Zero et tout le monde arrête net de chanter. Il n'y a plus un bruit ici, silence radio.
60, 59, 58, 57, 56, 55, 54, 53, 52, 51... Mais il semblerait que pour certains, cette minute de silence ne soit pas la bienvenue.
Sheamus - J'espère que la soirée ne va pas durer trop longtemps, l'Irlande fait ses débuts ce soir contre les Etats-Unis justement.
Wade Barrett – Arrête de rêver, le XV de la rose remportera cette coupe du monde de rugby.
Sheamus - Sans Jonny Wilkinson, vous n'irez nulle part.
Wade Barrett – C'est ce que nous verrons, fella.
Claudio Castagnoli – Faîtes attention les gars, Steve vous regarde avec un oeil des mauvais jours. Vous allez vous faire niquer à parler sport de gonzesse pendant leur stupide minute de silence patriotique.
Sheamus et Wade Barrett jettent un coup d'oeil rapide vers Steve Austin et effectivement, Stone Cold semble ne pas être heureux d'avoir des perturbateurs pendant cette minute de silence.
31, 30, 29, 28, 27, 26, 25, 24, 23, 22, 21, 20, 19... Et pourtant, un peu plus loin, il semblerait que les européens ne soient pas les seuls à ne pas se sentir concernés par ce qu'il se passe ici.
Chris Jericho – Qu'est-ce qu'ils sont en train de faire en fait, une minute de silence parce que je suis le meilleur dans ce que je fais ?
Edge – Je viens de me faire sucer par Lita dans les vestiaires, j'suis lessivé. Je ne sais vraiment pas comment est-ce que je vais faire pour lutter ce soir. J'ai juste envie d'une clope et d'une sieste maintenant.
Christian Cage – Lucky you. En parlant de ça, tu as vu le petit cul de Michelle McCool ce soir ?
Trish Stratus – Un peu de respect les gars.
Edge – Regarde-là celle-là, c'te jalouse !
Christian Cage – Quelle rabat-joie celle-là depuis qu’elle s'est mariée. Elle aurait besoin d'un bon ramonage de temps en temps. Tu veux que je te prête mon joystick, Trish ?
Trish Stratus – Allez vous faire foutre.
7, 6, 5, 4, 3, 2, 1, 0... USA ! USA ! USA ! Alors que les fans chantent en coeur, les quatre fantastiques et les différents lutteurs lancent des regards assassins aux européens et aux canadiens qui préfèrent quitter discrètement la rampe, comprenant qu'ils ne sont pas les bienvenue.
Ground Zero depuis Ground Zero, ça commence maintenant ! God bless USA !
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Attitude : 3:16
Re: Ground Zero.
IT WAS LAST WEEK.
...
ATTITUDE NUMBER EIGHT, LIVE FROM NEW YORK CITY.
Alors qu'il tente de faire en sorte que Trish convainque Shawn Michaels de l'affronter à Ground Zero, Kurt Angle a une illumination, et part en direction de San Antonio, chez le Showstopper. Mystère, et boule de gomme !
DeMott calme les ragots, les médisants prédisant la mort de l'AWC sans Austin, en promettant un spectacle toujours formidable que les précédentes semaines. Il termine en déclarant la guerre à la Ministry ! The War Has Begun !
Pendant ce temps, une autre guerre vient d'éclater ! En effet, John Cena l'a annoncé, devant les caméras de l'AWC, devant des millions de spectateurs : il ne sera pas temps de jouer, lors de Ground Zero ! Triple H n'a qu'à bien se tenir !
Mister Anderson multiplie les provocations à l'encontre de Abdallah Tarver et de sa religion, en faisant goûter du porc à une musulmane. Une chose est sûre, c'est que ce soir, il se battra en hommage aux victimes du 11 septembre.
Le couple Rated R, composé d'Edge et de Lita, fait preuve d'un incroyable culot en venant provoquer Claudio Castagnoli lors de son propre talk-show. La tension monte d'un cran, l'affrontement risque d'être passionnant à suivre !
Alors que Gregory Helms et Velvet Sky viennent de remporter leur combat, leur célébration est interrompue par Brother Devon qui tente d'intimider ses futurs adversaires. Mais, tel est pris qui croyait prendre comme on dit !
La Ministry tente de s'en prendre à Andy Leavine et à Trish Stratus consécutivement, mais chacun vient à la rescousse de l'autre. Trish, surexcitée, fait une annonce : lors de Ground Zero, Ariel et Thorn les affronteront !
Décidément, on ne peut pas comprendre pourquoi Shelton Benjamin se réjouit que Del Rio ne se soit pas fait arrêter par les services d'immigration. La seule chose que l'on sait, c'est qu'il veut le titre, par n'importe quel moyen !
Après un petit accrochage verbal en backstages, un accord est trouvé entre Jericho, Sheamus et Homicide. Ce dernier fera donc équipe avec E. Kingston et affrontera Jericho et Sheamus, afin de montrer la qualité de son enseignement !
L'union fait la force, oui, et nous en avons eu la preuve ! En effet, l'association de la Corporation, d'Andy Leavine, et de Christian Cage a permis de libérer Austin ! D'emblée, celui-ci annonce qu'il arbitrera le Main Event de Ground Zero !
AND NOW, LIVE ON PAY PER VIEW...
...
THIS IS GROUND ZERO, LIVE FROM NEW YORK, NY.
...
ATTITUDE NUMBER EIGHT, LIVE FROM NEW YORK CITY.
Alors qu'il tente de faire en sorte que Trish convainque Shawn Michaels de l'affronter à Ground Zero, Kurt Angle a une illumination, et part en direction de San Antonio, chez le Showstopper. Mystère, et boule de gomme !
DeMott calme les ragots, les médisants prédisant la mort de l'AWC sans Austin, en promettant un spectacle toujours formidable que les précédentes semaines. Il termine en déclarant la guerre à la Ministry ! The War Has Begun !
Pendant ce temps, une autre guerre vient d'éclater ! En effet, John Cena l'a annoncé, devant les caméras de l'AWC, devant des millions de spectateurs : il ne sera pas temps de jouer, lors de Ground Zero ! Triple H n'a qu'à bien se tenir !
Mister Anderson multiplie les provocations à l'encontre de Abdallah Tarver et de sa religion, en faisant goûter du porc à une musulmane. Une chose est sûre, c'est que ce soir, il se battra en hommage aux victimes du 11 septembre.
Le couple Rated R, composé d'Edge et de Lita, fait preuve d'un incroyable culot en venant provoquer Claudio Castagnoli lors de son propre talk-show. La tension monte d'un cran, l'affrontement risque d'être passionnant à suivre !
Alors que Gregory Helms et Velvet Sky viennent de remporter leur combat, leur célébration est interrompue par Brother Devon qui tente d'intimider ses futurs adversaires. Mais, tel est pris qui croyait prendre comme on dit !
La Ministry tente de s'en prendre à Andy Leavine et à Trish Stratus consécutivement, mais chacun vient à la rescousse de l'autre. Trish, surexcitée, fait une annonce : lors de Ground Zero, Ariel et Thorn les affronteront !
Décidément, on ne peut pas comprendre pourquoi Shelton Benjamin se réjouit que Del Rio ne se soit pas fait arrêter par les services d'immigration. La seule chose que l'on sait, c'est qu'il veut le titre, par n'importe quel moyen !
Après un petit accrochage verbal en backstages, un accord est trouvé entre Jericho, Sheamus et Homicide. Ce dernier fera donc équipe avec E. Kingston et affrontera Jericho et Sheamus, afin de montrer la qualité de son enseignement !
L'union fait la force, oui, et nous en avons eu la preuve ! En effet, l'association de la Corporation, d'Andy Leavine, et de Christian Cage a permis de libérer Austin ! D'emblée, celui-ci annonce qu'il arbitrera le Main Event de Ground Zero !
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Re: Ground Zero.
Parfois, l'Attitude Wrestling Corporation devient un champ de bataille...
Où le propriétaire d'une école de lutte très assurant,
Voit le fruit de son enseignement critiqué, et blâmé par deux personnes.
Où un homme des plus irrespectueux qui soient,
Vient interrompre un homme qui cherche la considération des autres.
Où deux démons des ténèbres veulent du mal,
À deux des personnes les plus sympathiques et populaires du coin.
Où un immigré dont les papiers ne sont pas en règle,
Se voit sauvé in extremis par un homme, son rival, qui intéressé par le titre.
Où un homme très humoristique, aimant beaucoup plaisanter,
En croise un autre très sérieux qui n'aime pas plaisanter lorsqu'il s'agit de sa culture.
Où deux guerriers ayant déjà prouvé ce qu'ils valaient,
Veulent aller plus loin encore, et montrer sans contestation possible qu'ils sont les meilleurs.
Où un monstre de la pire espèce qui soit, celle des démons,
S'apprête à affronter un homme sur les épaules de qui reposent tous les espoirs...
Dans ces conditions, vous comprenez que l'AWC devient un terrain où la mort, la destruction, et la désolation ont atteint leur paroxysme. Dans ces conditions, vous comprendrez pourquoi cet événement a été baptisé...
Ground Zero !
Où le propriétaire d'une école de lutte très assurant,
Voit le fruit de son enseignement critiqué, et blâmé par deux personnes.
Où un homme des plus irrespectueux qui soient,
Vient interrompre un homme qui cherche la considération des autres.
Où deux démons des ténèbres veulent du mal,
À deux des personnes les plus sympathiques et populaires du coin.
Où un immigré dont les papiers ne sont pas en règle,
Se voit sauvé in extremis par un homme, son rival, qui intéressé par le titre.
Où un homme très humoristique, aimant beaucoup plaisanter,
En croise un autre très sérieux qui n'aime pas plaisanter lorsqu'il s'agit de sa culture.
Où deux guerriers ayant déjà prouvé ce qu'ils valaient,
Veulent aller plus loin encore, et montrer sans contestation possible qu'ils sont les meilleurs.
Où un monstre de la pire espèce qui soit, celle des démons,
S'apprête à affronter un homme sur les épaules de qui reposent tous les espoirs...
Dans ces conditions, vous comprenez que l'AWC devient un terrain où la mort, la destruction, et la désolation ont atteint leur paroxysme. Dans ces conditions, vous comprendrez pourquoi cet événement a été baptisé...
Ground Zero !
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Re: Ground Zero.
ATTITUDE WRESTLING CORPORATION.
IT'S TIME TO CHOOSE THE RIGHT ATTITUDE.
« GIVE ME A HELL YEAH ! »
UNLEASH HELL.
« YOU LITTLE SUMBITCH ! »
AUSTIN 3:16 JUST WHOOPED YOUR ASS.
« WHAT ? »
THIS IS A NEW WRESTLING ERA.
« WHAT ? »
HOSTED BY THE TEXAS RATTLESNAKE, BEER DRINKER...
« THE TOUGHEST SUMBITCH OF WRESTLING HISTORY ! »
STONE COLD STEVE AUSTIN !
« OH HELL YEAH ! »
ARRIVE, RAISE HELL, LEAVE.
« WHAT ? »
THIS IS NOW...
« AND THAT'S THE BOTTOM LINE... »
THIS... IS... ATTITUDE !
« CAUSE STONE COLD SAID SO ! »
IT'S TIME TO CHOOSE THE RIGHT ATTITUDE.
« GIVE ME A HELL YEAH ! »
UNLEASH HELL.
« YOU LITTLE SUMBITCH ! »
AUSTIN 3:16 JUST WHOOPED YOUR ASS.
« WHAT ? »
THIS IS A NEW WRESTLING ERA.
« WHAT ? »
HOSTED BY THE TEXAS RATTLESNAKE, BEER DRINKER...
« THE TOUGHEST SUMBITCH OF WRESTLING HISTORY ! »
STONE COLD STEVE AUSTIN !
« OH HELL YEAH ! »
ARRIVE, RAISE HELL, LEAVE.
« WHAT ? »
THIS IS NOW...
« AND THAT'S THE BOTTOM LINE... »
THIS... IS... ATTITUDE !
« CAUSE STONE COLD SAID SO ! »
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Re: Ground Zero.
J'vous le dit cash, j'aime pas faire des introductions de show, et j'ai un peu prit celle là pour changer. C'est important de toucher à tout dans le booking. Donc voilà, je vais faire l'intro, mais comme tout le monde s'en fout, comme personne ne la lit, j'vais pas me fouler. J'vais pas tailler sur tel ou tel membre. Je vais pas me moquer de François, Martin ou Paul (désolé mec, mais ton prénom est commun), parce que c'est chiant à force, et c'est toujours les mêmes sujets qui ressortent. A la place, je veux vous parler d'un sujet qui nous touche tous, un sujet profondément grave, un sujet qui, au fond, est notre cause commune à tous. Ce sujet, quel est il ? La proliférations des kiwis à une patte. Bon, maintenant que j'ai dit de la merde pour meubler, parlons peu, parlons bien.
Comme vous pouvez le voir, le site de Ground Zero a été entièrement aménagé pour accueillir le pay per viex éponyme de l'Attitude Wrestling Corporation. Oubliés les nuages gigantesques de poussières, oublié le spectacle de désolation qu'on avait il y a de cela dix ans. Plus de gravats, plus de flammes et plus d'odeur de mort dans l'air. Ce soir l'esprit est à la fête, l’Amérique a fait son deuil et s'apprête à assister à un PPV fantastique. Les spectateurs s'assoient, prêts à assister au début du show. La bière est en distribution gratuite ce soir, décret de Stone Cold Steve Austin. On peut parier que ça va entraîner des dérives, car déjà un vendeur se bat avec un type qui voulait un t-shirt "I Had Sex With McCool", sauf qu'il n'y en a plus, ce qui a entraîné sa colère. Tous les parking aux vingt kilomètres alentours sont pleins, l'arène qui a mit plus d'une semaine a être construite est pleine à craquer, tous les tickets ont été vendus et plusieurs personnes sans tickets ont dut être refoulées à l'entrée.
« USA ! USA ! USA ! »
La foule est ici pour commémorer les victimes d'il y a dix ans une bonne fois pour toute, ils vont faire leur deuil avec de la bière et des chicken wings en regardant des mecs de foutre sur la gueule pour des motifs plus cons les uns que les autres. Entre ceux qui se battent parce que l'un a pas été gentil envers l'islam, ceux qui se battent juste pour une ceinture qui brille (et qui en plus ne retient pas le pantalon), et ceux qui se battent on sait pas trop pourquoi, ce soir y'a de quoi faire. Alors qu'un brouhaha de paroles incompréhensibles et de cris plus variés les uns que les autres résonne dans toute l'arène, une femme blonde a grosse poitrine apparaît. Posez ce pénis, ce n'est pas de Trish Stratus que je parle, mais bien de Jillian Hall.
« PLEASE DON'T SING ! PLEASE DON'T SING ! »
Mais malgré les revendications de la foule, Jillian Hall va bien sur le ring et demande un micro. La foule se met à la huer, quelques personnes crient "Stamford's Shit", d'autres n'hésitent pas à lancer des gobelets vers le ring. Jillian tapote le micro pour tenter de faire régner le silence, peine perdue. Elle se racle la gorge au micro, et les huées redoublent d'intensité. Hall va demander à un officiel de faire taire la foule, mais celui ci se contente de hausser les épaules. Finalement, Hall revient au centre du ring et prend la parole. Au fait, vous avez remarquer que kayak à l'envers ça fait kayak ?
Jillian Hall - Si je suis ici ce n'est pas pour lutter, non... Je suis ici pour chanter ! Normalement si quelqu'un chante en même temps que moi je lui arrache la peau du visage avec les ongles, mais c'est un moment exceptionnel alors je vais vous faire une fleur. Vous allez pouvoir chanter avec moi ! Oui, nous allons chanter tous ensemble !
Jillian met sa main sur le cœur et commence à entonner l'hymne américain, mais sa voix atroce est couverte par les cris de la foule. On la hue, on l'insulte, certains crient qu'elle déshonore la chanson, bla, bla bla. Au fait, vous avez remarqué que level ça fait level à l'envers ? Enfin bref, un vague mouvement se perçoit dans la foule, derrière Jillian. Un groupe d'hommes cagoulés descendent les gradins en courant. Habillés en treillis, cagoules treillis elles aussi, certaines personnes d'en la foule panique, mais les cinq hommes foncent sur le ring et... Ils enlèvent Jillian ! Ils enlèvent Jillian ! Les kidnappeurs, peu importe qu'ils soient musulmans, corses, ou luttant pour la légalisation de la zoophilie, s'en vont très rapidement avec Jillian Hall, remerciés par la foule. C'est alors Lilian Garcia qui apparaît, cherchez pas le pourquoi du comment, elle était désignée chanteuse numéro un d'office au cas très probable où, chose très fréquente, la femme qui devait chanter l'hymne se fasse enlever par cinq mecs cagoulés. Lilian prend le micro, le public ferme sa gueule, tout le monde est debout, main sur le cœur.
Lilian Garcia - Oh, say, can you see, by the dawn's early light,
What so proudly we hail'd at the twilight's last gleaming ?
Whose broad stripes and bright stars, thro' the perilous fight,
O'er the ramparts we watch'd, were so gallantly streaming ?
And the rockets' red glare, the bombs bursting in air,
Gave proof thro' the night that our flag was still there.
O say, does that star-spangled banner yet wave
O'er the land of the free and the home of the brave ?
On the shore dimly seen thro' the mists of the deep,
Where the foe's haughty host in dread silence reposes,
What is that which the breeze, o'er the towering steep,
As it fitfully blows, half conceals, half discloses ?
Now it catches the gleam of the morning's first beam,
In full glory reflected, now shines on the stream:
'T is the star-spangled banner: O, long may it wave
O'er the land of the free and the home of the brave !
And where is that band who so vauntingly swore
That the havoc of war and the battle's confusion
A home and a country should leave us no more ?
Their blood has wash'd out their foul footsteps' pollution.
No refuge could save the hireling and slave
From the terror of flight or the gloom of the grave:
And the star-spangled banner in triumph doth wave
O'er the land of the free and the home of the brave.
O, thus be it ever when freemen shall stand,
Between their lov'd homes and the war's desolation;
Blest with vict'ry and peace, may the heav'n-rescued land
Praise the Pow'r that hath made and preserv'd us as a nation!
Then conquer we must, when our cause is just,
And this be our motto: "In God is our trust"
And the star-spangled banner in triumph shall wave
O'er the land of the free and the home of the brave !
C'est bien le copier/coller, non ? Lilian a fini et un silence calme et serein s'installe dans l'arène. Ici, un homme en tenue de G.I. laisse s'échapper une larme, ici, une femme sanglote, là bas, Matt Hardy aide la mère d'un homme mort il y a dix ans en lui expliquant que le suicide, c'est mal. La femme lui met une gifle et Matt tombe K.O., c'est ça quand on perd la forme. Comme un seul homme, la foule se met alors à crier, à chanter, à scander, comme vous voulez.
« USA ! USA ! USA ! »
Vous l'avez deviné, il est maintenant l'heure d'aller les voir. L'un vient juste de commenter Cold alors que l'autre l'a géré de A à Z. L'un est un six times World Champion, alors que l'autre est un mec qui forme des World Champions. Ils se sont rencontrés à tough enough et ce duo est tellement efficace qu'on les a foutu ensemble à la table des commentateurs de l'AWC, voila Bill DeMott et Booker T ! (Je suis sûr que vous avez même pas remarqué que tout ce paragraphe est copié/collé sur la dernière intro).
Booker T – Welcome to GROUND ZERO ! Ici tout le monde est à la fois ému et excité. Ca fait dix ans que l'Amérique a été frappé par un attentat. Ici même, il y a dix ans jour pour jour, les deux tours du World Trade Center ont été frappé par des avions, entraînant leurs destructions.
Bill DeMott – Mais on leur a rendu la monnaie de leur pièce à ces faiseurs de rama-what, c'est pas Ben Laden qui dira le contraire !
Booker T – Ce soir on a un planning extraordinaire. Edge affrontera Claudio Castagnoli dans un conflit international opposant le Canada à la Suisse. Ken Kennedy affrontera quant à lui un Abdallah Tarver sur le retour, dans, en quelque sorte, une poursuite du conflit ayant opposé l'Amérique aux terroristes musulmans.
Bill DeMott – Booker, est ce que toi aussi tu as été abordé par ces mecs en costard ? Je crois qu'ils étaient de l'immigration, ils cherchaient Del Rio.
Booker T – Espérons tout de même qu'Alberto Del Rio pourra défendre son titre Corporation contre Shelton Benjamin ce soir. A la carte on a aussi un match entre notre ancien poulain, Andy Leavine, qui fera équipe avec notre collègue Trish pour faire face à la moitié du ministère des ténèbres. Leur leader, lui, affrontera Christian dans un match pour le titre Attitude, avec Steve Austin comme arbitre spécial.
Bill DeMott – Et j'espère bien que la pute canadienne va péter la gueule de ce mort vivant de mes deux ! Qu'est ce qu'on a d'autres aussi ? Ah oui, tu sais Booker, d'habitude j'aime pas trop la lutte par équipe.
Booker T – Et tu as bien tort.
Bill DeMott – Mais ce soir, ça sera une putain de guerre entre les gros frères consanguins et les deux fiottes champions par équipe. Un putain de No Holds Barred match ! Je veux voir du sang, je veux voir des os brisés, j'veux voir une guerre !
Booker T – Et tu l'auras certainement, dans ce match comme dans un autre. Celui qui opposera John Cena à Triple H, Bill, tu peux parier qu'il va être épique !
Bill DeMott – SO LET THE FIGHT BEGINS !
Ca, c'est fait.
Comme vous pouvez le voir, le site de Ground Zero a été entièrement aménagé pour accueillir le pay per viex éponyme de l'Attitude Wrestling Corporation. Oubliés les nuages gigantesques de poussières, oublié le spectacle de désolation qu'on avait il y a de cela dix ans. Plus de gravats, plus de flammes et plus d'odeur de mort dans l'air. Ce soir l'esprit est à la fête, l’Amérique a fait son deuil et s'apprête à assister à un PPV fantastique. Les spectateurs s'assoient, prêts à assister au début du show. La bière est en distribution gratuite ce soir, décret de Stone Cold Steve Austin. On peut parier que ça va entraîner des dérives, car déjà un vendeur se bat avec un type qui voulait un t-shirt "I Had Sex With McCool", sauf qu'il n'y en a plus, ce qui a entraîné sa colère. Tous les parking aux vingt kilomètres alentours sont pleins, l'arène qui a mit plus d'une semaine a être construite est pleine à craquer, tous les tickets ont été vendus et plusieurs personnes sans tickets ont dut être refoulées à l'entrée.
« USA ! USA ! USA ! »
La foule est ici pour commémorer les victimes d'il y a dix ans une bonne fois pour toute, ils vont faire leur deuil avec de la bière et des chicken wings en regardant des mecs de foutre sur la gueule pour des motifs plus cons les uns que les autres. Entre ceux qui se battent parce que l'un a pas été gentil envers l'islam, ceux qui se battent juste pour une ceinture qui brille (et qui en plus ne retient pas le pantalon), et ceux qui se battent on sait pas trop pourquoi, ce soir y'a de quoi faire. Alors qu'un brouhaha de paroles incompréhensibles et de cris plus variés les uns que les autres résonne dans toute l'arène, une femme blonde a grosse poitrine apparaît. Posez ce pénis, ce n'est pas de Trish Stratus que je parle, mais bien de Jillian Hall.
« PLEASE DON'T SING ! PLEASE DON'T SING ! »
Mais malgré les revendications de la foule, Jillian Hall va bien sur le ring et demande un micro. La foule se met à la huer, quelques personnes crient "Stamford's Shit", d'autres n'hésitent pas à lancer des gobelets vers le ring. Jillian tapote le micro pour tenter de faire régner le silence, peine perdue. Elle se racle la gorge au micro, et les huées redoublent d'intensité. Hall va demander à un officiel de faire taire la foule, mais celui ci se contente de hausser les épaules. Finalement, Hall revient au centre du ring et prend la parole. Au fait, vous avez remarquer que kayak à l'envers ça fait kayak ?
Jillian Hall - Si je suis ici ce n'est pas pour lutter, non... Je suis ici pour chanter ! Normalement si quelqu'un chante en même temps que moi je lui arrache la peau du visage avec les ongles, mais c'est un moment exceptionnel alors je vais vous faire une fleur. Vous allez pouvoir chanter avec moi ! Oui, nous allons chanter tous ensemble !
Jillian met sa main sur le cœur et commence à entonner l'hymne américain, mais sa voix atroce est couverte par les cris de la foule. On la hue, on l'insulte, certains crient qu'elle déshonore la chanson, bla, bla bla. Au fait, vous avez remarqué que level ça fait level à l'envers ? Enfin bref, un vague mouvement se perçoit dans la foule, derrière Jillian. Un groupe d'hommes cagoulés descendent les gradins en courant. Habillés en treillis, cagoules treillis elles aussi, certaines personnes d'en la foule panique, mais les cinq hommes foncent sur le ring et... Ils enlèvent Jillian ! Ils enlèvent Jillian ! Les kidnappeurs, peu importe qu'ils soient musulmans, corses, ou luttant pour la légalisation de la zoophilie, s'en vont très rapidement avec Jillian Hall, remerciés par la foule. C'est alors Lilian Garcia qui apparaît, cherchez pas le pourquoi du comment, elle était désignée chanteuse numéro un d'office au cas très probable où, chose très fréquente, la femme qui devait chanter l'hymne se fasse enlever par cinq mecs cagoulés. Lilian prend le micro, le public ferme sa gueule, tout le monde est debout, main sur le cœur.
Lilian Garcia - Oh, say, can you see, by the dawn's early light,
What so proudly we hail'd at the twilight's last gleaming ?
Whose broad stripes and bright stars, thro' the perilous fight,
O'er the ramparts we watch'd, were so gallantly streaming ?
And the rockets' red glare, the bombs bursting in air,
Gave proof thro' the night that our flag was still there.
O say, does that star-spangled banner yet wave
O'er the land of the free and the home of the brave ?
On the shore dimly seen thro' the mists of the deep,
Where the foe's haughty host in dread silence reposes,
What is that which the breeze, o'er the towering steep,
As it fitfully blows, half conceals, half discloses ?
Now it catches the gleam of the morning's first beam,
In full glory reflected, now shines on the stream:
'T is the star-spangled banner: O, long may it wave
O'er the land of the free and the home of the brave !
And where is that band who so vauntingly swore
That the havoc of war and the battle's confusion
A home and a country should leave us no more ?
Their blood has wash'd out their foul footsteps' pollution.
No refuge could save the hireling and slave
From the terror of flight or the gloom of the grave:
And the star-spangled banner in triumph doth wave
O'er the land of the free and the home of the brave.
O, thus be it ever when freemen shall stand,
Between their lov'd homes and the war's desolation;
Blest with vict'ry and peace, may the heav'n-rescued land
Praise the Pow'r that hath made and preserv'd us as a nation!
Then conquer we must, when our cause is just,
And this be our motto: "In God is our trust"
And the star-spangled banner in triumph shall wave
O'er the land of the free and the home of the brave !
C'est bien le copier/coller, non ? Lilian a fini et un silence calme et serein s'installe dans l'arène. Ici, un homme en tenue de G.I. laisse s'échapper une larme, ici, une femme sanglote, là bas, Matt Hardy aide la mère d'un homme mort il y a dix ans en lui expliquant que le suicide, c'est mal. La femme lui met une gifle et Matt tombe K.O., c'est ça quand on perd la forme. Comme un seul homme, la foule se met alors à crier, à chanter, à scander, comme vous voulez.
« USA ! USA ! USA ! »
Vous l'avez deviné, il est maintenant l'heure d'aller les voir. L'un vient juste de commenter Cold alors que l'autre l'a géré de A à Z. L'un est un six times World Champion, alors que l'autre est un mec qui forme des World Champions. Ils se sont rencontrés à tough enough et ce duo est tellement efficace qu'on les a foutu ensemble à la table des commentateurs de l'AWC, voila Bill DeMott et Booker T ! (Je suis sûr que vous avez même pas remarqué que tout ce paragraphe est copié/collé sur la dernière intro).
Booker T – Welcome to GROUND ZERO ! Ici tout le monde est à la fois ému et excité. Ca fait dix ans que l'Amérique a été frappé par un attentat. Ici même, il y a dix ans jour pour jour, les deux tours du World Trade Center ont été frappé par des avions, entraînant leurs destructions.
Bill DeMott – Mais on leur a rendu la monnaie de leur pièce à ces faiseurs de rama-what, c'est pas Ben Laden qui dira le contraire !
Booker T – Ce soir on a un planning extraordinaire. Edge affrontera Claudio Castagnoli dans un conflit international opposant le Canada à la Suisse. Ken Kennedy affrontera quant à lui un Abdallah Tarver sur le retour, dans, en quelque sorte, une poursuite du conflit ayant opposé l'Amérique aux terroristes musulmans.
Bill DeMott – Booker, est ce que toi aussi tu as été abordé par ces mecs en costard ? Je crois qu'ils étaient de l'immigration, ils cherchaient Del Rio.
Booker T – Espérons tout de même qu'Alberto Del Rio pourra défendre son titre Corporation contre Shelton Benjamin ce soir. A la carte on a aussi un match entre notre ancien poulain, Andy Leavine, qui fera équipe avec notre collègue Trish pour faire face à la moitié du ministère des ténèbres. Leur leader, lui, affrontera Christian dans un match pour le titre Attitude, avec Steve Austin comme arbitre spécial.
Bill DeMott – Et j'espère bien que la pute canadienne va péter la gueule de ce mort vivant de mes deux ! Qu'est ce qu'on a d'autres aussi ? Ah oui, tu sais Booker, d'habitude j'aime pas trop la lutte par équipe.
Booker T – Et tu as bien tort.
Bill DeMott – Mais ce soir, ça sera une putain de guerre entre les gros frères consanguins et les deux fiottes champions par équipe. Un putain de No Holds Barred match ! Je veux voir du sang, je veux voir des os brisés, j'veux voir une guerre !
Booker T – Et tu l'auras certainement, dans ce match comme dans un autre. Celui qui opposera John Cena à Triple H, Bill, tu peux parier qu'il va être épique !
Bill DeMott – SO LET THE FIGHT BEGINS !
Ca, c'est fait.
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Re: Ground Zero.
Bill DeMott – Tu sais ce qui me plait le plus dans cette petite cérémonie ? C'est qu'elle soit finie.
Booker T – Un peu de recueillement n'a jamais fait de mal à personne, Bill.
Bill DeMott – Peut être, mais il n'empêche que ce n'est pas mon truc. Je serais plus d'avis de célébrer les gars qui sont partis botter le cul des terroristes, car ce sont eux qui ont rendu le véritable hommage. Nous, on ne fait que se souvenir et regretter. Enfin, on l'a voulu et on l'a eu, ce soir c'est Ground Zero et j'espère bien que notre troupe à nous va se sortir les doigts du cul. J'attends d'eux, un putain de devoir de mémoire.
Booker T – Là, je dis oui.
Une autre personne semble être d'accord avec Bill puisqu'elle vient de faire son entrée. C'est un catcheur, mais pas l'un des participants du premier match prévu pour cette soirée. Celui-là n'est d'ailleurs pas prévu du tout ce soir. Mais au milieu du ring, micro à la main, il semble bien concerné pas l'événement.
Kurt Angle – Je n'ai pas voulu casser l'ambiance comme je casse les chevilles en me rendant ici avec ma musique après un hymne si bien chanté. Et puis, dans le fond, il pourrait très bien me servir de theme song. C'est pourquoi, et je vois que Bill ne semble pas être d'accord, je n'ai pas à justifier ma présence ici, sous ce magnifique drapeau qu'est celui des états-unis.
Angle joue l'émotion en regardant la bannière flotter dans le ciel de New York. Remember 1996, ouais, on connait le refrain.
Kurt Angle – Que de souvenirs !
Bill DeMott – Fais vite, ton petit numéro je le supporte depuis assez longtemps.
Kurt Angle – J'y viens, j'y viens. J'étais seulement en train de me demander comment les kamikazes ont pu éviter ton si gros ventre il y a dix ans.
En d'autres temps cette remarque aurait probablement fait pouffer la foule, mais ce soir on ne rigole pas avec ça. Et on ne rigole pas avec Bill DeMott, non plus. Celui-ci vient de rejoindre Kurt Angle sur le ring et seulement quelques centimètres les séparent.
Bill DeMott – Tu va me faire le plaisir de retirer ce sourire de ton visage et déguerpir avant que je décide le faire moi-même, si tu vois ce que je veux dire.
Kurt Angle – Je ne peux pas.
Bill DeMott – Oh que si tu le peux, et plutôt deux fois qu'une. Ton petit manège est fini. Je t'ai laissé te montrer, flemmarder et monopoliser une attention que tu ne mérites pas ces dernières semaines car j'avais d'autres chats à fouetter. Mais ce soir c'est Ground Zero, et ce soir tu n'as aucune place qui t'es réservée.
Kurt Angle – C'est là que tu te trompes.
Bill DeMott – Huh ?
Le rapport de force s'est inversé. Il y a quelques instants Bill DeMott était sur de lui, de ce qu'il pensait et de ce qu'il comptait faire. Maintenant il se demande s'il n'a pas été évincé d'une décision concernant ce PPV et qui casserait le mythe d'une Corporation soudée. Tout ce temps de description de sentiment d'un gros barbu pour refléter le silence que laisse l'Olympic Hero en ce moment même et qui ne plait pas à tout le monde.
Kurt Angle – Bien sûr que ma place est réservée, et depuis longtemps. Pour être plus précis, depuis le 13 aout exactement, jour où j'ai officiellement demandé un match face à Shawn Michaels pour le show de ce soir. Alors oui, peut être que certains en ont douté, mais ça ne change en rien que ce match est prévu et que, par conséquent, et en te faisant mentir, j'ai bel et bien ma place ici ce soir. Et ce, malgré tout ce que tu pourras dire.
Bill DeMott – Et mon cul, c'est du porc ?
Qui a dit oui ?
Booker T – Tu es dans ton droit Kurt, mais je ne vois pas l'ombre d'un adversaire à l'horizon. Encore moins de cœurs brisés.
Kurt Angle – Ça, ce n'est qu'une question de minutes.
La confiance d'Angle contraste avec la fureur de DeMott. On avait rarement l'homme à la médaille à pareille fête ces dernières semaines. On avait plutôt l'habitude de le voir réclamer, inquiet, en train de se justifier de manières plus hésitantes les unes que les autres. En clair, un Kurt Angle dénaturé. Pourtant la sûreté dont il fait preuve laisse nos deux commentateurs perplexe, tout comme le public de Ground Zero. Mais les quelques minutes passent, et la situation reste la même.
Bill DeMott – Cette fois, s'en est trop...
Incroyable mais vrai, le heartbreak kid débarque. Comme à chacune de ses entrées l'ambiance est folle et dans un coin de leur tête les spectateurs se mettent à rêver.
Kurt Angle – Mesdames et messieurs, merci d'accueillir comme il se doit celui qui va m'affronter ce soir, celui qui n'a pas pu résister à son instinct, celui qui va faire son jubilé dans quelques instants sur ce ring, the showstopper, the icon, the headliner...
SWEET CHIN MUSIC ! SWEET CHIN MUSIC ! Shawn Michaels s'est précipité sur le ring pour déclencher son coup fétiche et voilà Kurt Angle au sol. Bill DeMott jubile alors que l'Icon fixe Angle comme un juif fixerait un billet de cent.
Shawn Michaels – T'as eu ce que t'as voulu, même si t'as pas voulu ce que t'as eu.
Ce pay-per view commence en trombe avec le showstealer debout au-dessus d'un Kurt Angle se tenant la mâchoire. Côté spectateur on se retape la scène sur les grands écrans tout en gardant un oeil sur le ring. Côté commentateurs on essai d'expliquer ce geste sans grande réussite, mais peu importe. Ground Zero, tout le monde semble aimer, et ça ne fait que commencer.
Booker T – Un peu de recueillement n'a jamais fait de mal à personne, Bill.
Bill DeMott – Peut être, mais il n'empêche que ce n'est pas mon truc. Je serais plus d'avis de célébrer les gars qui sont partis botter le cul des terroristes, car ce sont eux qui ont rendu le véritable hommage. Nous, on ne fait que se souvenir et regretter. Enfin, on l'a voulu et on l'a eu, ce soir c'est Ground Zero et j'espère bien que notre troupe à nous va se sortir les doigts du cul. J'attends d'eux, un putain de devoir de mémoire.
Booker T – Là, je dis oui.
Une autre personne semble être d'accord avec Bill puisqu'elle vient de faire son entrée. C'est un catcheur, mais pas l'un des participants du premier match prévu pour cette soirée. Celui-là n'est d'ailleurs pas prévu du tout ce soir. Mais au milieu du ring, micro à la main, il semble bien concerné pas l'événement.
Kurt Angle – Je n'ai pas voulu casser l'ambiance comme je casse les chevilles en me rendant ici avec ma musique après un hymne si bien chanté. Et puis, dans le fond, il pourrait très bien me servir de theme song. C'est pourquoi, et je vois que Bill ne semble pas être d'accord, je n'ai pas à justifier ma présence ici, sous ce magnifique drapeau qu'est celui des états-unis.
Angle joue l'émotion en regardant la bannière flotter dans le ciel de New York. Remember 1996, ouais, on connait le refrain.
Kurt Angle – Que de souvenirs !
Bill DeMott – Fais vite, ton petit numéro je le supporte depuis assez longtemps.
Kurt Angle – J'y viens, j'y viens. J'étais seulement en train de me demander comment les kamikazes ont pu éviter ton si gros ventre il y a dix ans.
En d'autres temps cette remarque aurait probablement fait pouffer la foule, mais ce soir on ne rigole pas avec ça. Et on ne rigole pas avec Bill DeMott, non plus. Celui-ci vient de rejoindre Kurt Angle sur le ring et seulement quelques centimètres les séparent.
Bill DeMott – Tu va me faire le plaisir de retirer ce sourire de ton visage et déguerpir avant que je décide le faire moi-même, si tu vois ce que je veux dire.
Kurt Angle – Je ne peux pas.
Bill DeMott – Oh que si tu le peux, et plutôt deux fois qu'une. Ton petit manège est fini. Je t'ai laissé te montrer, flemmarder et monopoliser une attention que tu ne mérites pas ces dernières semaines car j'avais d'autres chats à fouetter. Mais ce soir c'est Ground Zero, et ce soir tu n'as aucune place qui t'es réservée.
Kurt Angle – C'est là que tu te trompes.
Bill DeMott – Huh ?
Le rapport de force s'est inversé. Il y a quelques instants Bill DeMott était sur de lui, de ce qu'il pensait et de ce qu'il comptait faire. Maintenant il se demande s'il n'a pas été évincé d'une décision concernant ce PPV et qui casserait le mythe d'une Corporation soudée. Tout ce temps de description de sentiment d'un gros barbu pour refléter le silence que laisse l'Olympic Hero en ce moment même et qui ne plait pas à tout le monde.
Kurt Angle – Bien sûr que ma place est réservée, et depuis longtemps. Pour être plus précis, depuis le 13 aout exactement, jour où j'ai officiellement demandé un match face à Shawn Michaels pour le show de ce soir. Alors oui, peut être que certains en ont douté, mais ça ne change en rien que ce match est prévu et que, par conséquent, et en te faisant mentir, j'ai bel et bien ma place ici ce soir. Et ce, malgré tout ce que tu pourras dire.
Bill DeMott – Et mon cul, c'est du porc ?
Qui a dit oui ?
Booker T – Tu es dans ton droit Kurt, mais je ne vois pas l'ombre d'un adversaire à l'horizon. Encore moins de cœurs brisés.
Kurt Angle – Ça, ce n'est qu'une question de minutes.
La confiance d'Angle contraste avec la fureur de DeMott. On avait rarement l'homme à la médaille à pareille fête ces dernières semaines. On avait plutôt l'habitude de le voir réclamer, inquiet, en train de se justifier de manières plus hésitantes les unes que les autres. En clair, un Kurt Angle dénaturé. Pourtant la sûreté dont il fait preuve laisse nos deux commentateurs perplexe, tout comme le public de Ground Zero. Mais les quelques minutes passent, et la situation reste la même.
Bill DeMott – Cette fois, s'en est trop...
Incroyable mais vrai, le heartbreak kid débarque. Comme à chacune de ses entrées l'ambiance est folle et dans un coin de leur tête les spectateurs se mettent à rêver.
Kurt Angle – Mesdames et messieurs, merci d'accueillir comme il se doit celui qui va m'affronter ce soir, celui qui n'a pas pu résister à son instinct, celui qui va faire son jubilé dans quelques instants sur ce ring, the showstopper, the icon, the headliner...
SWEET CHIN MUSIC ! SWEET CHIN MUSIC ! Shawn Michaels s'est précipité sur le ring pour déclencher son coup fétiche et voilà Kurt Angle au sol. Bill DeMott jubile alors que l'Icon fixe Angle comme un juif fixerait un billet de cent.
Shawn Michaels – T'as eu ce que t'as voulu, même si t'as pas voulu ce que t'as eu.
Ce pay-per view commence en trombe avec le showstealer debout au-dessus d'un Kurt Angle se tenant la mâchoire. Côté spectateur on se retape la scène sur les grands écrans tout en gardant un oeil sur le ring. Côté commentateurs on essai d'expliquer ce geste sans grande réussite, mais peu importe. Ground Zero, tout le monde semble aimer, et ça ne fait que commencer.
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Re: Ground Zero.
Booker T – Et maintenant, qu'est-ce ce qu'on fait ?
Bill DeMott – On savoure !
Booker T – Moi je dirais plutôt qu'on va avoir droit au premier match de la soirée. Kurt Angle se tient aux cordes et Michaels s'est présenté à nous en tenue, je ne pense pas qu'il soit nécessaire que je vous fasse un dessin. Et l'arbitre qui arrive en courant ne fait que confirmer ce que j'insinue.
» FIGHT ! «
L'arbitre officialise le match sous les jurons d'Angle, et la cloche sonne. L'Olympic Hero se dresse comme il le peut, encore sous le choc de ce qu'il vient de subir, tandis que Michaels se contente de le regarder sans laisser transparente la moindre émotion. La rencontre débute enfin et nous avons tout de suite droit à quelques atémis de la part du showstopper provoquant des cris tridents de la foule, petite pensée à Ric Flair. Angle encaisse très mal les coups et ne fait que subir le match dominé d'une main de maître par celui qui effectue là, mine de rien, son premier match officiel à l'Attitude Wrestling Corporation. HBK emmène Kurt vers l'un des coins du ring et commence une série de droites que la foule se plait à compter. Arrivé à dix, il lâche son emprise et laisse son adversaire s'effondrer au sol. Mais s'il s'effondre, il n'en reste pas moins conscient et en profite pour se laisser glisser hors du ring. Shawn l'y rejoint dans la seconde et une course poursuite commence entre les deux hommes. À base d'entrées et sorties improbable du ring, elle se finit lorsqu'Angle parvient à bloquer Michaels entre la première corde et le sol. Il lui envoie quelques coups de pieds avant de le tirer vers le centre du ring. Après avoir assené une série de coups divers et variés à un sexy boy toujours au sol, il tente un tombé qui échoue mais entame une séquence très technique où chacun essaie de plaquer les épaules de l'autre au sol.
Bill DeMott – Ça, c'est du catch !
Booker T – C'est sûr que ça n'a rien à voir avec les pitoyables performances de Low Ki, par exemple.
Bill DeMott – Autant il peut être un incommensurable trou du cul, autant Angle est un sacré compétiteur.
Après cette passe d'arme les deux main eventers en puissance, faut dire ce qui est, se relèvent et Michaels se projette dans les cordes dans l'optique d'envoyer une clothesline à Angle. Celui-ci l'évite puis attrape son adversaire par la tête pour un neckbreaker. Toujours au sol il soumet le heartbreak kid par le bras sans parvenir à la faire abandonner. La passe dure quelques instants et Michaels finit par réussir à attraper une corde. L'arbitre les sépare contre l'avis de celui qui aurait pu être corporation champion s'il avait remporté son match de Thunderslam. L'affrontement verbale est violent entre lui et l'arbitre (oui, les arbitres de l'AWC ne se laissent pas gueuler dessus comme ça) et Michaels profite de ce moment d'égarement pour se jetter sur Angle qui s'abaisse et fait passer le headliner par-dessus la troisième corde. Headcorder quoi. Michaels s'écrase tout près de la table des commentateurs, Kurt le suit et, en prenant soin de bien éviter Bill DeMott, lui fait percuter l'une des rambardes de sécurité placés en ringside. L'ancien pensionnaire de la TNA laisse Michaels endolorie au sol et prend soin de retirer écran et autre protection de la table à T et DeMott. Ceux-ci râlent mais Angle les envoie se faire voir et retourne s'occuper de Shawn. Il l'attrape par les cheveux mais Michaels se débat, s'extirpe de son emprise mais lorsqu'il se retourne se laisse surprendre... Angle Slam sur la table des commentateurs.
Booker T – Oh my god !
Booker T – Quel mouvement ! Par contre il va maintenant nous être difficile de bien commenter, mesdames, messieurs.
Bill DeMott – Modère-toi, T. Nos micros sont encore branchés et mon café n'est même pas renversé, on peut très bien continuer à faire suivre ce match sans problème.
Si au moins il ne se termine pas plus tôt que prévu, car l'arbitre a commencé à compter et c'est de justesse que les deux hommes parviennent à remonter sur le ring. Ils s'attrapent, s'échangent quelques droites avant qu'Angle parvienne à agripper Michaels par le dos. Un, deux et trois german suplex s'en suivent avec un dernier qui fait voler l'Icon à quelques mètres de l'Olympic Hero. Cette fois Angle tire Shawn par la jambe et compte bien user de son ankle lock pour finir ce match victorieux. Michaels résiste. Dix secondes, vingt secondes, il arrive même à se retourner une fois mais l'autre ne lâche pas prise. Mais voilà que Kurt perd patience et se rue à son visage qu'il bombarde de gauches. HBK tire Angle par les épaules pour l'envoyer se claquer contre l'un des poteaux. Il se relève et voit celui qui l'a battu à Wrestlemania 21 vaciller dans son coin. Il tape du pied et envoie un second sweet chin music pour ce soir... non. Kurt est parvenu à bloquer le superkick mais d'une habile manière le boy toy l'a plaqué au sol et applique maintenant sur lui le modified figure four leglock. C'est dur est long pour les deux et c'est toute la salle qui retient sa respiration. Angle fait mieux que résister mais c'est à à peine quelques centimètres des cordes qu'il finit par abandonner.
Booker T – Victoire de Shawn Michaels. Si tu m'avais dit ça il y a encore une heure, je t'aurais ri au nez.
Bill DeMott – Ouais, je ne peux que saluer sa victoire comme je salue ce match. Maintenant il reste quelques incertitudes, et même si d'habitude je ne suis pas friand de ces choses là, j'ai quand même bien envie de savoir ce qui l'a poussé à catcher.
Booker T – Réponse à Attitude #9, peut être.
Bill DeMott – On savoure !
Booker T – Moi je dirais plutôt qu'on va avoir droit au premier match de la soirée. Kurt Angle se tient aux cordes et Michaels s'est présenté à nous en tenue, je ne pense pas qu'il soit nécessaire que je vous fasse un dessin. Et l'arbitre qui arrive en courant ne fait que confirmer ce que j'insinue.
» FIGHT ! «
L'arbitre officialise le match sous les jurons d'Angle, et la cloche sonne. L'Olympic Hero se dresse comme il le peut, encore sous le choc de ce qu'il vient de subir, tandis que Michaels se contente de le regarder sans laisser transparente la moindre émotion. La rencontre débute enfin et nous avons tout de suite droit à quelques atémis de la part du showstopper provoquant des cris tridents de la foule, petite pensée à Ric Flair. Angle encaisse très mal les coups et ne fait que subir le match dominé d'une main de maître par celui qui effectue là, mine de rien, son premier match officiel à l'Attitude Wrestling Corporation. HBK emmène Kurt vers l'un des coins du ring et commence une série de droites que la foule se plait à compter. Arrivé à dix, il lâche son emprise et laisse son adversaire s'effondrer au sol. Mais s'il s'effondre, il n'en reste pas moins conscient et en profite pour se laisser glisser hors du ring. Shawn l'y rejoint dans la seconde et une course poursuite commence entre les deux hommes. À base d'entrées et sorties improbable du ring, elle se finit lorsqu'Angle parvient à bloquer Michaels entre la première corde et le sol. Il lui envoie quelques coups de pieds avant de le tirer vers le centre du ring. Après avoir assené une série de coups divers et variés à un sexy boy toujours au sol, il tente un tombé qui échoue mais entame une séquence très technique où chacun essaie de plaquer les épaules de l'autre au sol.
Bill DeMott – Ça, c'est du catch !
Booker T – C'est sûr que ça n'a rien à voir avec les pitoyables performances de Low Ki, par exemple.
Bill DeMott – Autant il peut être un incommensurable trou du cul, autant Angle est un sacré compétiteur.
Après cette passe d'arme les deux main eventers en puissance, faut dire ce qui est, se relèvent et Michaels se projette dans les cordes dans l'optique d'envoyer une clothesline à Angle. Celui-ci l'évite puis attrape son adversaire par la tête pour un neckbreaker. Toujours au sol il soumet le heartbreak kid par le bras sans parvenir à la faire abandonner. La passe dure quelques instants et Michaels finit par réussir à attraper une corde. L'arbitre les sépare contre l'avis de celui qui aurait pu être corporation champion s'il avait remporté son match de Thunderslam. L'affrontement verbale est violent entre lui et l'arbitre (oui, les arbitres de l'AWC ne se laissent pas gueuler dessus comme ça) et Michaels profite de ce moment d'égarement pour se jetter sur Angle qui s'abaisse et fait passer le headliner par-dessus la troisième corde. Headcorder quoi. Michaels s'écrase tout près de la table des commentateurs, Kurt le suit et, en prenant soin de bien éviter Bill DeMott, lui fait percuter l'une des rambardes de sécurité placés en ringside. L'ancien pensionnaire de la TNA laisse Michaels endolorie au sol et prend soin de retirer écran et autre protection de la table à T et DeMott. Ceux-ci râlent mais Angle les envoie se faire voir et retourne s'occuper de Shawn. Il l'attrape par les cheveux mais Michaels se débat, s'extirpe de son emprise mais lorsqu'il se retourne se laisse surprendre... Angle Slam sur la table des commentateurs.
Booker T – Oh my god !
Booker T – Quel mouvement ! Par contre il va maintenant nous être difficile de bien commenter, mesdames, messieurs.
Bill DeMott – Modère-toi, T. Nos micros sont encore branchés et mon café n'est même pas renversé, on peut très bien continuer à faire suivre ce match sans problème.
Si au moins il ne se termine pas plus tôt que prévu, car l'arbitre a commencé à compter et c'est de justesse que les deux hommes parviennent à remonter sur le ring. Ils s'attrapent, s'échangent quelques droites avant qu'Angle parvienne à agripper Michaels par le dos. Un, deux et trois german suplex s'en suivent avec un dernier qui fait voler l'Icon à quelques mètres de l'Olympic Hero. Cette fois Angle tire Shawn par la jambe et compte bien user de son ankle lock pour finir ce match victorieux. Michaels résiste. Dix secondes, vingt secondes, il arrive même à se retourner une fois mais l'autre ne lâche pas prise. Mais voilà que Kurt perd patience et se rue à son visage qu'il bombarde de gauches. HBK tire Angle par les épaules pour l'envoyer se claquer contre l'un des poteaux. Il se relève et voit celui qui l'a battu à Wrestlemania 21 vaciller dans son coin. Il tape du pied et envoie un second sweet chin music pour ce soir... non. Kurt est parvenu à bloquer le superkick mais d'une habile manière le boy toy l'a plaqué au sol et applique maintenant sur lui le modified figure four leglock. C'est dur est long pour les deux et c'est toute la salle qui retient sa respiration. Angle fait mieux que résister mais c'est à à peine quelques centimètres des cordes qu'il finit par abandonner.
Booker T – Victoire de Shawn Michaels. Si tu m'avais dit ça il y a encore une heure, je t'aurais ri au nez.
Bill DeMott – Ouais, je ne peux que saluer sa victoire comme je salue ce match. Maintenant il reste quelques incertitudes, et même si d'habitude je ne suis pas friand de ces choses là, j'ai quand même bien envie de savoir ce qui l'a poussé à catcher.
Booker T – Réponse à Attitude #9, peut être.
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Re: Ground Zero.
On passe rapidement en backstage où l’on croise Alberto Del Rio, le regard perdu entrain de chercher encore une nouvelle fois son certificat de travail. Sa dernière chance c’est-ce soir. Il a abandonné le bureau de Stone Cold Steve Austin et erre à la recherche de son certificat avec un petite rire forcé tellement la situation lui échappe.
Alberto Del Rio – Estoy acabado... Estoy acabado... Estoy acabado... Jamais, jamais je ne retrouverai ce putain de certificat de travail. Ca fait un mois que je passe mes journées à essayer de prouver ma légalité. Qu‘ai-je fait pour qu‘on m‘empêche de rester aux Etats-Unis ? Cual mierda ! La chance ne me sourit pas, tout est contre moi. Je peux pas m‘en sortir.
Alberto Del Rio s’assoit sur une chaise trainant dans le couloir. Il baisse la tête se la tenant avec un bras. Le pauvre mexicain est démoralisé. Depuis Thunderslam il s’efforce de prouver sa légalité, mais tous commencent à croire que c’est vraiment un clandestin.
Alberto Del Rio – Peut-être bien que je suis un clandestin au final. Je suis rien d‘autre que ces vermines qui traversent la frontière en se cachant des services de l‘immigration. Toute la gloire que j‘ai obtenu, tout le respect que j‘ai inculqué autour de moi, tout cela n‘est qu‘illusion. Même cette ceinture que je porte ne vaut plus rien.
La situation est totalement critique. Alberto est tellement à bout qu’il devient fou. Wade Barrett qui a remporté son combat non télévisé au côté de Cody Rhodes passe par là, sourire aux lèvres.
Wade Barrett – Toujours pas parti Del Rio ? Caches toi bien si tu veux encore échapper à l‘immigration. Si tu abandonnes ta ceinture, je serai le prochain champion.
Il n’en faut pas plus au mexicain pour s’énerver. Il bondit de sa chaise et bloque Wade Barrett contre le mur.
Alberto Del Rio – Maricón ! C‘est toi qui est derrière tout ça avoues le. C‘est toi le responsable de cette merde. Tu veux mon titre et puisque tu sais que tu ne l‘auras pas à la loyal tu cherches à m‘avoir en lâche. Je vais te briser le bras ! Avoues le que c‘est toi.
Wade Barrett – Je déconnais Del Rio. Fais pas de conneries. J‘y suis pour rien là-dedans. Je suis un étranger moi aussi à la base. Je t‘aurais jamais fait ça. Tu le sais bien.
Alberto Del Rio – Qui est-ce alors ? Dis moi qui m‘a fais ce coup de pute ? Qui a volé mon certificat de travail ? Qui veut ma peau ?
Wade Barrett – J‘en sais rien. J‘en ai aucune idée, ça doit sûrement être un américain. Ils ne veulent pas de toi ici dans leur pays comme ils ne veulent pas de moi.
Alberto Del Rio – Un américain … Ils ne veulent pas de moi … Ils croient que je suis un putain de terroriste qui va faire sauter l‘arène ou quoi ?
Alberto Del Rio lâche Wade Barrett et tape dans le mur avant de se tourner vers une maquilleuse qui passait par là.
Alberto Del Rio – C‘est toi alors. T‘es une américaine, dis le que tu veux pas de moi ici et dis moi qui a volé mon certificat que j‘aille lui briser les deux bras !
Maquilleuse – Pitié, je suis une simple maquilleuse, à l‘aide !
Alberto Del Rio – OU EST MON CERTIFICAT ?? DIS LE !!
??? – Lâches là tout de suite Del Rio où je te ramène jusqu‘à la frontière avant les services de l‘immigration !
Putain, Stone Cold vient d’apparaître dans le champ de vision de la caméra, il vient de sortir de son bureau qui était là, et il est pas là pour rigoler. Il fait face à Alberto Del Rio qui lâche la maquilleuse. Le mexicain se rapproche de Stone Cold.
Alberto Del Rio – J‘en peux plus Stone Cold ! Je t‘ai laissé raconté ta merde à chaque fois sans rien dire parce que t‘es mon patron. J‘ai rangé ton bureau parce que je voulais mon certificat, mais là de toute manière, il me reste plus beaucoup de temps aux Etats-Unis, alors dis moi où t‘as rangé mon certificat de travail.
Stone Cold – What ?
Alberto Del Rio – Te fous pas de ma gueule Stone Cold ! C‘est ton putain de bureau, tu sais où Est-ce papier alors tu vas me le dire, tu vas aller me le chercher tout de suite.
Stone Cold – What ? Tu te prends pour qui fils de pute ? Depuis que je suis né j‘ai jamais rangé ma chambre. Pas une fois j‘ai remis une bière à sa place. Alors si tu crois que je vais commencé maintenant, après avoir botté des millions de cul, tu te fous le doigt dans le cul enculé ! J‘en ai rien à foutre de toi. Tu crois que ça va changer quelque chose à l‘AWC. T‘es personne ici. Tu peux retourner au Mexique, ptet bien que l‘AWC marchera encore mieux sans toi. Tu peux faire ce que tu veux, je m‘en branle, par contre, à partir du moment où tu touches quelqu‘un de l‘AWC sans que ça me plaise, je te refais ta gueule d‘ange. C‘est clair ?
Alberto Del Rio – C‘est toi le responsable de tout ça. Depuis le début tu veux pas de moi ici. T‘apprécies pas que je sois meilleur que tu n‘as pu l‘être. Tu ne supportes pas qu‘un gars comme moi venant du Mexique sois meilleurs que tous les américains réunis. Tu ne me supportes pas et tu veux te débarrasser de moi c‘est ça.
Stone Cold – Je te demande surtout de fermer ta gueule. Si tu veux encore sauver ta place ici, mon bureau est ouvert. Tu peux encore aller chercher dans les classeurs que j‘ai jamais classé si y aurait pas ton certificat. Moi j‘ai quelques bières à m‘enfiler. Et si tu viens à être ramené à la frontière ce soir, je viendrai même pas te chercher poru un show quand on passera au Mexique. Je veux pas de mecs incapables d‘être droit dans ses bottes.
Stone Cold s’en va, laissant un Alberto Del Rio complètement fou dans le milieu du couloir. Celui-ci rentre légèrement dans le bureau de Stone Cold Steve Austin. Il balaye la pièce avant de péter encore plus un plomb et de mettre un puissant coup de pied dans le bureau de Stone Cold qui se renverse. Alberto Del Rio est en furie et il quitte la pièce. Son avenir semble en grand danger.
Alberto Del Rio – Estoy acabado... Estoy acabado... Estoy acabado... Jamais, jamais je ne retrouverai ce putain de certificat de travail. Ca fait un mois que je passe mes journées à essayer de prouver ma légalité. Qu‘ai-je fait pour qu‘on m‘empêche de rester aux Etats-Unis ? Cual mierda ! La chance ne me sourit pas, tout est contre moi. Je peux pas m‘en sortir.
Alberto Del Rio s’assoit sur une chaise trainant dans le couloir. Il baisse la tête se la tenant avec un bras. Le pauvre mexicain est démoralisé. Depuis Thunderslam il s’efforce de prouver sa légalité, mais tous commencent à croire que c’est vraiment un clandestin.
Alberto Del Rio – Peut-être bien que je suis un clandestin au final. Je suis rien d‘autre que ces vermines qui traversent la frontière en se cachant des services de l‘immigration. Toute la gloire que j‘ai obtenu, tout le respect que j‘ai inculqué autour de moi, tout cela n‘est qu‘illusion. Même cette ceinture que je porte ne vaut plus rien.
La situation est totalement critique. Alberto est tellement à bout qu’il devient fou. Wade Barrett qui a remporté son combat non télévisé au côté de Cody Rhodes passe par là, sourire aux lèvres.
Wade Barrett – Toujours pas parti Del Rio ? Caches toi bien si tu veux encore échapper à l‘immigration. Si tu abandonnes ta ceinture, je serai le prochain champion.
Il n’en faut pas plus au mexicain pour s’énerver. Il bondit de sa chaise et bloque Wade Barrett contre le mur.
Alberto Del Rio – Maricón ! C‘est toi qui est derrière tout ça avoues le. C‘est toi le responsable de cette merde. Tu veux mon titre et puisque tu sais que tu ne l‘auras pas à la loyal tu cherches à m‘avoir en lâche. Je vais te briser le bras ! Avoues le que c‘est toi.
Wade Barrett – Je déconnais Del Rio. Fais pas de conneries. J‘y suis pour rien là-dedans. Je suis un étranger moi aussi à la base. Je t‘aurais jamais fait ça. Tu le sais bien.
Alberto Del Rio – Qui est-ce alors ? Dis moi qui m‘a fais ce coup de pute ? Qui a volé mon certificat de travail ? Qui veut ma peau ?
Wade Barrett – J‘en sais rien. J‘en ai aucune idée, ça doit sûrement être un américain. Ils ne veulent pas de toi ici dans leur pays comme ils ne veulent pas de moi.
Alberto Del Rio – Un américain … Ils ne veulent pas de moi … Ils croient que je suis un putain de terroriste qui va faire sauter l‘arène ou quoi ?
Alberto Del Rio lâche Wade Barrett et tape dans le mur avant de se tourner vers une maquilleuse qui passait par là.
Alberto Del Rio – C‘est toi alors. T‘es une américaine, dis le que tu veux pas de moi ici et dis moi qui a volé mon certificat que j‘aille lui briser les deux bras !
Maquilleuse – Pitié, je suis une simple maquilleuse, à l‘aide !
Alberto Del Rio – OU EST MON CERTIFICAT ?? DIS LE !!
??? – Lâches là tout de suite Del Rio où je te ramène jusqu‘à la frontière avant les services de l‘immigration !
Putain, Stone Cold vient d’apparaître dans le champ de vision de la caméra, il vient de sortir de son bureau qui était là, et il est pas là pour rigoler. Il fait face à Alberto Del Rio qui lâche la maquilleuse. Le mexicain se rapproche de Stone Cold.
Alberto Del Rio – J‘en peux plus Stone Cold ! Je t‘ai laissé raconté ta merde à chaque fois sans rien dire parce que t‘es mon patron. J‘ai rangé ton bureau parce que je voulais mon certificat, mais là de toute manière, il me reste plus beaucoup de temps aux Etats-Unis, alors dis moi où t‘as rangé mon certificat de travail.
Stone Cold – What ?
Alberto Del Rio – Te fous pas de ma gueule Stone Cold ! C‘est ton putain de bureau, tu sais où Est-ce papier alors tu vas me le dire, tu vas aller me le chercher tout de suite.
Stone Cold – What ? Tu te prends pour qui fils de pute ? Depuis que je suis né j‘ai jamais rangé ma chambre. Pas une fois j‘ai remis une bière à sa place. Alors si tu crois que je vais commencé maintenant, après avoir botté des millions de cul, tu te fous le doigt dans le cul enculé ! J‘en ai rien à foutre de toi. Tu crois que ça va changer quelque chose à l‘AWC. T‘es personne ici. Tu peux retourner au Mexique, ptet bien que l‘AWC marchera encore mieux sans toi. Tu peux faire ce que tu veux, je m‘en branle, par contre, à partir du moment où tu touches quelqu‘un de l‘AWC sans que ça me plaise, je te refais ta gueule d‘ange. C‘est clair ?
Alberto Del Rio – C‘est toi le responsable de tout ça. Depuis le début tu veux pas de moi ici. T‘apprécies pas que je sois meilleur que tu n‘as pu l‘être. Tu ne supportes pas qu‘un gars comme moi venant du Mexique sois meilleurs que tous les américains réunis. Tu ne me supportes pas et tu veux te débarrasser de moi c‘est ça.
Stone Cold – Je te demande surtout de fermer ta gueule. Si tu veux encore sauver ta place ici, mon bureau est ouvert. Tu peux encore aller chercher dans les classeurs que j‘ai jamais classé si y aurait pas ton certificat. Moi j‘ai quelques bières à m‘enfiler. Et si tu viens à être ramené à la frontière ce soir, je viendrai même pas te chercher poru un show quand on passera au Mexique. Je veux pas de mecs incapables d‘être droit dans ses bottes.
Stone Cold s’en va, laissant un Alberto Del Rio complètement fou dans le milieu du couloir. Celui-ci rentre légèrement dans le bureau de Stone Cold Steve Austin. Il balaye la pièce avant de péter encore plus un plomb et de mettre un puissant coup de pied dans le bureau de Stone Cold qui se renverse. Alberto Del Rio est en furie et il quitte la pièce. Son avenir semble en grand danger.
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Attitude : 3:16
Re: Ground Zero.
De retour à Ground Zero après le pétage de plomb d'Alberto Del Rio.
Booker T – Bullshit, j'ai de la poussière plein la bouche, sucka! Je tiendrais pas la soirée comme ça, moi. Plein le cul de ces conditions de travail de merde!
Bill DeMott – Et moi je peux même pas bouffer mon sandwich, il est plein de terre! Au moins pour se consoler on a notre premier match de vraie lutte.
Bill DeMott – Voilà les deux premiers lutteurs de ce match, deux grandes gueules mais un sait mieux lutter que l'autre.
Booker T – En éspérant que le fait que nous soyons en plein air n'irrite pas la peau de Sheamus.
Booker T – Voici les deux portoricains. Toujours aussi déterminé à casser des gueules.
Bill DeMott – C'est ce que j'aime bien chez eux. Ils aiment bien la castagne. En espérant voir des vrais coups dans la gueule et pas des giflettes de tafiolles.
» FIGHT ! «
Les deux équipe décident entre elles qui va entrer sur le ring en premier. Ce sera Sheamus et Eddie Kingston. La cloche sonne et le match peut commencer. Les deux hommes ne s'approchent pas et commence une sorte d'intimidation au regard. Sheamus est le premier à en avoir marre de ce petit jeu et fonce sur Kingtson. Eddie Kingtson essaie tant bien que mal de stopper l'Irlandais qui fonce sur lui tel un bélier. Kingston est littéralement assailli de coup de poings par le Celtic Warrior. Homicide s'énerve dans son coin en hurlant à Kingston de réagir en conséquence. Sheamus relève Kingston le balance dans les cordes et shoulder block de Sheamus! Eddie Kingston est complètement à côté de son match depuis que la cloche à sonnée. Homicide tend le bras pour pouvoir faire le tag, Eddie Kingston rampe jusqu'à Homicide mais l'Irlandais est toujours là pour lui tirer la jambe. Sheamus ramène Kingston dans son coin et fait le tag avec Jericho. Sheamus prend Kingston en powerbomb et Y2J reçoit le porto ricain à l'arrivée avec son Lionsault !
Booker T – Quel magnifique enchaînement de la part de Chris Jericho et Sheamus!
Bill DeMott – Ca, c'est du travail d'équipe comme je les aime.
Booker T – Si seulement Homicide pouvait arrêter de gueuler sur Kingston, il me casses les oreilles.
Jericho vient de prendre Kingston dans un arm lock et Homicide est toujours aussi énervé contre son coéquipier. Kingston est vraiment en dessous. Il parvient tout de même à attraper la corde. Jericho le relâche et lève les bras puis montre quelque chose au loin, l'arbitre se retourne, eye poke de Jericho sur Eddie Kingston. Y2J enchaîne avec une série de kicks sur son adversaire. Et Codebreaker sorti de nulle part. Jericho commence à se mettre en valeur avec ses taunts face au public.Homicide n'en peut plus, il intervient dans la situation et porte un coup de poing dans l'arrière du crâne de Jericho qui s'affale au sol. Et Homicide retourne dans son coin sous la réprimande l'arbitre. Kingston arrive à faire le tag. Le 187 warrior se rue sur Jericho et porte le tombé. Victoire des Porto Ricans Psychos.
Bill DeMott – Le résultat est pas logique. ces fils de putes ont rien glandés du match.
Booker T – Oh mon Dieu! Bill, regarde!
Shocking moment, après avoir aidé Eddie Kingston à se relever, Homicide vient de lui planter une fourchette dans le front. Eddie Kingston hurle de douleur et son visage se recouvre petit à petit de sang. Les secours arrivent et prennent Kingston sur une civière. BLK Jeez, l'ancien partenaire de Kingston, qui a effectué un try-out plus tôt dans la soirée, vient pour prendre des nouvelles de son ami. Les secours et BLK Jeez ramènent Kingston en backstage pour s'occuper de lui.
Booker T – Bullshit, j'ai de la poussière plein la bouche, sucka! Je tiendrais pas la soirée comme ça, moi. Plein le cul de ces conditions de travail de merde!
Bill DeMott – Et moi je peux même pas bouffer mon sandwich, il est plein de terre! Au moins pour se consoler on a notre premier match de vraie lutte.
Bill DeMott – Voilà les deux premiers lutteurs de ce match, deux grandes gueules mais un sait mieux lutter que l'autre.
Booker T – En éspérant que le fait que nous soyons en plein air n'irrite pas la peau de Sheamus.
Booker T – Voici les deux portoricains. Toujours aussi déterminé à casser des gueules.
Bill DeMott – C'est ce que j'aime bien chez eux. Ils aiment bien la castagne. En espérant voir des vrais coups dans la gueule et pas des giflettes de tafiolles.
» FIGHT ! «
Les deux équipe décident entre elles qui va entrer sur le ring en premier. Ce sera Sheamus et Eddie Kingston. La cloche sonne et le match peut commencer. Les deux hommes ne s'approchent pas et commence une sorte d'intimidation au regard. Sheamus est le premier à en avoir marre de ce petit jeu et fonce sur Kingtson. Eddie Kingtson essaie tant bien que mal de stopper l'Irlandais qui fonce sur lui tel un bélier. Kingston est littéralement assailli de coup de poings par le Celtic Warrior. Homicide s'énerve dans son coin en hurlant à Kingston de réagir en conséquence. Sheamus relève Kingston le balance dans les cordes et shoulder block de Sheamus! Eddie Kingston est complètement à côté de son match depuis que la cloche à sonnée. Homicide tend le bras pour pouvoir faire le tag, Eddie Kingston rampe jusqu'à Homicide mais l'Irlandais est toujours là pour lui tirer la jambe. Sheamus ramène Kingston dans son coin et fait le tag avec Jericho. Sheamus prend Kingston en powerbomb et Y2J reçoit le porto ricain à l'arrivée avec son Lionsault !
Booker T – Quel magnifique enchaînement de la part de Chris Jericho et Sheamus!
Bill DeMott – Ca, c'est du travail d'équipe comme je les aime.
Booker T – Si seulement Homicide pouvait arrêter de gueuler sur Kingston, il me casses les oreilles.
Jericho vient de prendre Kingston dans un arm lock et Homicide est toujours aussi énervé contre son coéquipier. Kingston est vraiment en dessous. Il parvient tout de même à attraper la corde. Jericho le relâche et lève les bras puis montre quelque chose au loin, l'arbitre se retourne, eye poke de Jericho sur Eddie Kingston. Y2J enchaîne avec une série de kicks sur son adversaire. Et Codebreaker sorti de nulle part. Jericho commence à se mettre en valeur avec ses taunts face au public.Homicide n'en peut plus, il intervient dans la situation et porte un coup de poing dans l'arrière du crâne de Jericho qui s'affale au sol. Et Homicide retourne dans son coin sous la réprimande l'arbitre. Kingston arrive à faire le tag. Le 187 warrior se rue sur Jericho et porte le tombé. Victoire des Porto Ricans Psychos.
Bill DeMott – Le résultat est pas logique. ces fils de putes ont rien glandés du match.
Booker T – Oh mon Dieu! Bill, regarde!
Shocking moment, après avoir aidé Eddie Kingston à se relever, Homicide vient de lui planter une fourchette dans le front. Eddie Kingston hurle de douleur et son visage se recouvre petit à petit de sang. Les secours arrivent et prennent Kingston sur une civière. BLK Jeez, l'ancien partenaire de Kingston, qui a effectué un try-out plus tôt dans la soirée, vient pour prendre des nouvelles de son ami. Les secours et BLK Jeez ramènent Kingston en backstage pour s'occuper de lui.
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Re: Ground Zero.
On oublie les fourchettes et le sang pour quelque chose de plus charmant. C'est du moins ce à quoi on pourrait penser maintenant que sur l'écran géant, on se retrouve plongé au beau milieu d'une conversation entre deux voix féminines.
Trish Stratus – Oh, si tu savais, je suis vraiment désolée de te mettre dans cette situation. Tu comprends, il faut bien quelqu'un pour tenir les interviews, et je veux vraiment pouvoir me présenter sur le ring avec simplement Kevin Thorn et Ariel en tête.
Trish se prépare en effet pour son match, mais refuse de laisser cette soirée de Pay Per View sans interview pour autant. Lentement, la caméra tourne pour nous présenter celle qui est désignée comme étant la remplaçante du soir et c'est... Sharmell ! Sharmell est avec Trish Stratus ! A la table des commentateurs, Booker semble surpris, il se décompose, même.
Sharmell – Ne t'inquiète pas pour moi, ça ne me gène absolument pas. C'est une bonne expérience de me retrouver ici, c'est même assez excitant !
Trish Stratus – Tu es parfaite Sharmell, crois moi, Booker a de la chance de t'avoir. Allez, il va quand même falloir répéter une dernière fois. Quand la superstar arrive...
Sharmell – Je n'oublie pas de rester polie, quelque soit son attitude.
Trish Stratus – Et qu'est-ce que tu dois faire ensuite ?
Sharmell – Centrer les questions sur le match en lui même ou l'adversaire, lancer la superstar sur un domaine qu'elle maitrise ou qui la fera réagir, et laisser parler. Ne pas interrompre, c'est eux que le public veut entendre.
Trish Stratus – Et ce qu'il faut éviter ?
Sharmell – Je dois éviter les questions sans réponses développées possibles, ne pas me tenir trop près, rester sobre.
Trish Stratus – Si jamais on s'en prend verbalement à toi ?
Sharmell – J'inspire un grand coup, comme ça, et je prends sur moi. Je continue l'interview sans rentrer dans ce jeu là.
Trish Stratus – Évite quand même d'être trop soumise, tu es là pour faire ton travail, pas pour te faire martyriser. Tu m'as l'air globalement prête, alors autant commencer tout de suite.
Sharmell est encore sur la réserve, mais du coin de l'oeil, Trish vient de trouver la cible idéal pour ses débuts. Elle indique à sa vis-à-vis nul autre que la Rated R Superstar, situé quelques mètres plus loin.
Trish Stratus – Si je ne me trompe pas, le prochain combat devrait avoir lieu d'ici peu de temps, et il opposera Edge à Claudio Castagnoli. Vas-y, dépêche toi !
Trish pousse Sharmell qui se retrouve planté devant la toile de fond habituel des interviews de l'AWC, avant même d'avoir eu le temps de dire "sucka".
Sharmell – E... Edge, vous avez une minute ?
Edge – Tu as changé depuis le temps Trish.
Sharmell – Très drôle, très drôle. Mon nom est Sharmell et mon rôle est de vous interviewer ce soir, en son absence. Well, vous êtes revenus à la compétition lors d'une Battle Royal, et vous voilà déjà en Pay Per View en ce jour de deuil national. Je suis sûr que le public aimerait avoir un mot sur votre match de ce soir.
Edge – Un mot ? Un mot ? Ce mot, ce serait "réussite". Mon retour est une réussite totale. Comme tu l'as très bien rappelé, je me retrouve déjà en Pay Per View, pour mon nom et mes accomplissements passé, c'est vrai, mais aussi pour tout ce que j'ai pu faire en un mois ici. De nouveau, me voilà dans la carte, me voilà en tant qu'ennemi à abattre. Tous connaissent mon nom et tous veulent avoir l'honneur de m'affronter. Claudio Castagnoli s'est montré le plus entreprenant, ou peut-être le plus fou, mais quoi qu'il en soit, il a obtenu cette chance d'avoir un match contre la Rated R Superstar. Obtenir un match contre moi est possible, le gagner ne l'est pas. Ce soir, je vais continuer sur ma lancée, et je vais surtout prouver que Ground Zero n'est que le début de ma reconstruction. Ma blessure est de l'histoire ancienne, les conneries de Goldust sont de l'histoire ancienne, et penser que je ne suis qu'à ne serait-ce que 99% de mes capacités pourrait être la plus grande erreur de la carrière de mon ami suisse.
Edge – I AM 100 PERCENT ANGRY, 200 PERCENT DETERMINATED, AND 1000 PERCENT RATED R, CLAUDIO !
Sharmell s'écarte comme elle l'a appris, et laisse Edge reprendre son chemin. Après quelques secondes, elle se laisse aller à un sourire et se tourne vers Trish Stratus, qui a suivi toute la scène.
Sharmell – Alors ?
Trish Stratus – Je crois qu'on a plus de soucis à se faire, tu as été parfaite !
Des soucis, on aurait à s'en faire pour Claudio Castagnoli à en croire Edge lui même. Le match, c'est tout de suite.
Trish Stratus – Oh, si tu savais, je suis vraiment désolée de te mettre dans cette situation. Tu comprends, il faut bien quelqu'un pour tenir les interviews, et je veux vraiment pouvoir me présenter sur le ring avec simplement Kevin Thorn et Ariel en tête.
Trish se prépare en effet pour son match, mais refuse de laisser cette soirée de Pay Per View sans interview pour autant. Lentement, la caméra tourne pour nous présenter celle qui est désignée comme étant la remplaçante du soir et c'est... Sharmell ! Sharmell est avec Trish Stratus ! A la table des commentateurs, Booker semble surpris, il se décompose, même.
Sharmell – Ne t'inquiète pas pour moi, ça ne me gène absolument pas. C'est une bonne expérience de me retrouver ici, c'est même assez excitant !
Trish Stratus – Tu es parfaite Sharmell, crois moi, Booker a de la chance de t'avoir. Allez, il va quand même falloir répéter une dernière fois. Quand la superstar arrive...
Sharmell – Je n'oublie pas de rester polie, quelque soit son attitude.
Trish Stratus – Et qu'est-ce que tu dois faire ensuite ?
Sharmell – Centrer les questions sur le match en lui même ou l'adversaire, lancer la superstar sur un domaine qu'elle maitrise ou qui la fera réagir, et laisser parler. Ne pas interrompre, c'est eux que le public veut entendre.
Trish Stratus – Et ce qu'il faut éviter ?
Sharmell – Je dois éviter les questions sans réponses développées possibles, ne pas me tenir trop près, rester sobre.
Trish Stratus – Si jamais on s'en prend verbalement à toi ?
Sharmell – J'inspire un grand coup, comme ça, et je prends sur moi. Je continue l'interview sans rentrer dans ce jeu là.
Trish Stratus – Évite quand même d'être trop soumise, tu es là pour faire ton travail, pas pour te faire martyriser. Tu m'as l'air globalement prête, alors autant commencer tout de suite.
Sharmell est encore sur la réserve, mais du coin de l'oeil, Trish vient de trouver la cible idéal pour ses débuts. Elle indique à sa vis-à-vis nul autre que la Rated R Superstar, situé quelques mètres plus loin.
Trish Stratus – Si je ne me trompe pas, le prochain combat devrait avoir lieu d'ici peu de temps, et il opposera Edge à Claudio Castagnoli. Vas-y, dépêche toi !
Trish pousse Sharmell qui se retrouve planté devant la toile de fond habituel des interviews de l'AWC, avant même d'avoir eu le temps de dire "sucka".
Sharmell – E... Edge, vous avez une minute ?
Edge – Tu as changé depuis le temps Trish.
Sharmell – Très drôle, très drôle. Mon nom est Sharmell et mon rôle est de vous interviewer ce soir, en son absence. Well, vous êtes revenus à la compétition lors d'une Battle Royal, et vous voilà déjà en Pay Per View en ce jour de deuil national. Je suis sûr que le public aimerait avoir un mot sur votre match de ce soir.
Edge – Un mot ? Un mot ? Ce mot, ce serait "réussite". Mon retour est une réussite totale. Comme tu l'as très bien rappelé, je me retrouve déjà en Pay Per View, pour mon nom et mes accomplissements passé, c'est vrai, mais aussi pour tout ce que j'ai pu faire en un mois ici. De nouveau, me voilà dans la carte, me voilà en tant qu'ennemi à abattre. Tous connaissent mon nom et tous veulent avoir l'honneur de m'affronter. Claudio Castagnoli s'est montré le plus entreprenant, ou peut-être le plus fou, mais quoi qu'il en soit, il a obtenu cette chance d'avoir un match contre la Rated R Superstar. Obtenir un match contre moi est possible, le gagner ne l'est pas. Ce soir, je vais continuer sur ma lancée, et je vais surtout prouver que Ground Zero n'est que le début de ma reconstruction. Ma blessure est de l'histoire ancienne, les conneries de Goldust sont de l'histoire ancienne, et penser que je ne suis qu'à ne serait-ce que 99% de mes capacités pourrait être la plus grande erreur de la carrière de mon ami suisse.
Edge – I AM 100 PERCENT ANGRY, 200 PERCENT DETERMINATED, AND 1000 PERCENT RATED R, CLAUDIO !
Sharmell s'écarte comme elle l'a appris, et laisse Edge reprendre son chemin. Après quelques secondes, elle se laisse aller à un sourire et se tourne vers Trish Stratus, qui a suivi toute la scène.
Sharmell – Alors ?
Trish Stratus – Je crois qu'on a plus de soucis à se faire, tu as été parfaite !
Des soucis, on aurait à s'en faire pour Claudio Castagnoli à en croire Edge lui même. Le match, c'est tout de suite.
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Attitude : 3:16
Re: Ground Zero.
Bill DeMott – Trish a raison, elle se débrouille pas trop mal ta demoiselle Booker !
Booker T – Tell me she just didn't do that.
Bill DeMott – C'est vrai que c'est moche de pas t'avoir prévenu qu'elle était là. Tu crois que ça va changer quelque chose à votre relation ?
Booker T – ...
Bill DeMott – Si le problème de ces enfoirés du Ministry n'est pas réglé ce soir, il se pourrait que Sharmell ait de nouveau à remplacer Trish dans le futur. Et là, vous travaillerait ensemble, elle pourrait même te faire de l'ombre. Ça peut changer beaucoup de chose dans un couple ça Booker si tu veux mon avis. Oh, je suis sûr que tu le veux mon avis.
Bill DeMott – Remarque, Lita est aussi dans le business, et ça ne l'empêche pas de bien cohabiter avec Edge. Je me demande si ça se passe pareil chez les couples nègres en fait.
Booker T – ...
Bill DeMott – Claudio Castagnoli lui n'a pas voulu d'un partenaire qui mêle l'amour et le travail, et je pense qu'il a raison. En plus Goldust était une tarlouze. J'espère que même si Sharmell est là je te verrais jamais arrivé à la table en tirant une gueule pareil, HAHA !
Booker semble toujours avoir la machoire atrophiée, il ne répond plus du tout. Bill hausse les épaules et semble prêt à commenter tout seul ce match, tandis que Lita vient s'installer au bord du ring.
» FIGHT ! «
Et on est parti ! L'arbitre donne le départ et s'écarte immédiatement du centre du ring où Edge fonce sur Castagnoli. Il accule l'Européen contre le turnbuckle et enchaine les coups de bélier. Castagnoli réussit à répondre avec des coups de coude et fait reculer Edge mais se fait prendre ensuite par un Powerslam. 1, 2, rien de plus. La Rated R Superstar travaille son adversaire au sol en multipliant les soumissions mais le Suisse réussit à se relever, et se dirige vers les cordes. Il rebondit et revient s'agripper à la nuque du Canadien afin de lui porter un Sleeper Hold. Avec les applaudissements de la miss Lita, impossible de tomber dans les pommes et Edge réussit à se dégager. Il reprend l'avantage et place même un DDT. L'Ultimate Opportunist veut repartir pour une clé de bras mais son adversaire le retient, passe dans son dos, et place un Russian Leg Sweep ! Il relève Edge et envoie une salve d'Elbow Shot, avant de terminer l'enchainement par une Clothesline qui envoie son vis-à-vis par dessus la troisième corde ! Claudio Castagnoli descend à sa poursuite mais voit Lita venir se placer sur son chemin, se dressant pour protéger son petit copain, dans son dos. Le ton monte entre elle et le chauve, et l'arbitre les réprimande quand Edge se relève enfin à l'arrière plan... Et charge ! Lita s'est retiré au dernier moment laissant le Spear atteindre Castagnoli ! Edge est toujours sonné, mais il exulte. Il renvoie sa cible dans le ring et le rejoint pour le tombé. Et 1, et 2, et... NEARFALL.
Booker T – Deux secondes et 876 millièmes !
Bill DeMott – Tiens, tu t'es décidé à reparler toi ?
Booker T – Je fais l'effort de faire mon job tant bien que mal, tu pourrais essayer de pas tout foutre en l'air.
Edge est dépité, mais il faut repartir au combat. Il relève Claudio et enchaine les coups de pied dans l'idée d'être sûr qu'ils ne puissent plus se dégager. Le Suisse est costaud et ne chute pas, il réussit à répondre et c'est lui qui enchaine maintenant les coups, les atémis même sur la poitrine de la Rated R Superstar ! Celle-ci titube pendant que Castagnoli se place et se concentre... Roaring Swiss Uppercut ! Non, Edge l'a évité ! Il contre... Spear ! Mais Castagnoli s'est retiré et le voilà qui s'encastre contre le turnbuckle ! Cette fois-ci, il est prêt à en finir, et s'empare d'un Edge titubant pour porter une Ricola Bomb... Edge se débat et réussit à retomber sur ses pieds ! Claudio se retourne, totalement abasourdi, se fait plier par un kick to gut et... EDGECUTION CONNECTED ! Cette fois-ci, pas de contre, mais bien un tombé final !
Bill DeMott – Vas-y, je te laisse conclure vu que t'es plus dans les vapes. Même si ce que t'a fait Sharmell, moi je l'aurais pas supporté hein...
Booker T – Disons simplement que je pensais que c'était fini pour Edge au moment où je l'ai vu soulevé par Castagnoli, mais avec ce type là, c'est jamais terminé avant que la cloche n'ait sonné. Comme ce sera jamais terminé avec Sharmell vieux con.
Booker T – Tell me she just didn't do that.
Bill DeMott – C'est vrai que c'est moche de pas t'avoir prévenu qu'elle était là. Tu crois que ça va changer quelque chose à votre relation ?
Booker T – ...
Bill DeMott – Si le problème de ces enfoirés du Ministry n'est pas réglé ce soir, il se pourrait que Sharmell ait de nouveau à remplacer Trish dans le futur. Et là, vous travaillerait ensemble, elle pourrait même te faire de l'ombre. Ça peut changer beaucoup de chose dans un couple ça Booker si tu veux mon avis. Oh, je suis sûr que tu le veux mon avis.
Bill DeMott – Remarque, Lita est aussi dans le business, et ça ne l'empêche pas de bien cohabiter avec Edge. Je me demande si ça se passe pareil chez les couples nègres en fait.
Booker T – ...
Bill DeMott – Claudio Castagnoli lui n'a pas voulu d'un partenaire qui mêle l'amour et le travail, et je pense qu'il a raison. En plus Goldust était une tarlouze. J'espère que même si Sharmell est là je te verrais jamais arrivé à la table en tirant une gueule pareil, HAHA !
Booker semble toujours avoir la machoire atrophiée, il ne répond plus du tout. Bill hausse les épaules et semble prêt à commenter tout seul ce match, tandis que Lita vient s'installer au bord du ring.
» FIGHT ! «
Et on est parti ! L'arbitre donne le départ et s'écarte immédiatement du centre du ring où Edge fonce sur Castagnoli. Il accule l'Européen contre le turnbuckle et enchaine les coups de bélier. Castagnoli réussit à répondre avec des coups de coude et fait reculer Edge mais se fait prendre ensuite par un Powerslam. 1, 2, rien de plus. La Rated R Superstar travaille son adversaire au sol en multipliant les soumissions mais le Suisse réussit à se relever, et se dirige vers les cordes. Il rebondit et revient s'agripper à la nuque du Canadien afin de lui porter un Sleeper Hold. Avec les applaudissements de la miss Lita, impossible de tomber dans les pommes et Edge réussit à se dégager. Il reprend l'avantage et place même un DDT. L'Ultimate Opportunist veut repartir pour une clé de bras mais son adversaire le retient, passe dans son dos, et place un Russian Leg Sweep ! Il relève Edge et envoie une salve d'Elbow Shot, avant de terminer l'enchainement par une Clothesline qui envoie son vis-à-vis par dessus la troisième corde ! Claudio Castagnoli descend à sa poursuite mais voit Lita venir se placer sur son chemin, se dressant pour protéger son petit copain, dans son dos. Le ton monte entre elle et le chauve, et l'arbitre les réprimande quand Edge se relève enfin à l'arrière plan... Et charge ! Lita s'est retiré au dernier moment laissant le Spear atteindre Castagnoli ! Edge est toujours sonné, mais il exulte. Il renvoie sa cible dans le ring et le rejoint pour le tombé. Et 1, et 2, et... NEARFALL.
Booker T – Deux secondes et 876 millièmes !
Bill DeMott – Tiens, tu t'es décidé à reparler toi ?
Booker T – Je fais l'effort de faire mon job tant bien que mal, tu pourrais essayer de pas tout foutre en l'air.
Edge est dépité, mais il faut repartir au combat. Il relève Claudio et enchaine les coups de pied dans l'idée d'être sûr qu'ils ne puissent plus se dégager. Le Suisse est costaud et ne chute pas, il réussit à répondre et c'est lui qui enchaine maintenant les coups, les atémis même sur la poitrine de la Rated R Superstar ! Celle-ci titube pendant que Castagnoli se place et se concentre... Roaring Swiss Uppercut ! Non, Edge l'a évité ! Il contre... Spear ! Mais Castagnoli s'est retiré et le voilà qui s'encastre contre le turnbuckle ! Cette fois-ci, il est prêt à en finir, et s'empare d'un Edge titubant pour porter une Ricola Bomb... Edge se débat et réussit à retomber sur ses pieds ! Claudio se retourne, totalement abasourdi, se fait plier par un kick to gut et... EDGECUTION CONNECTED ! Cette fois-ci, pas de contre, mais bien un tombé final !
Bill DeMott – Vas-y, je te laisse conclure vu que t'es plus dans les vapes. Même si ce que t'a fait Sharmell, moi je l'aurais pas supporté hein...
Booker T – Disons simplement que je pensais que c'était fini pour Edge au moment où je l'ai vu soulevé par Castagnoli, mais avec ce type là, c'est jamais terminé avant que la cloche n'ait sonné. Comme ce sera jamais terminé avec Sharmell vieux con.
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Re: Ground Zero.
Le combat entre Edge et Claudio touche à sa fin et nous faisons un nouveau détour par l'arrière-scène, et plus précisément vers la loge personnelle de Trish Stratus. Cette dernière se prépare pour son combat qui est le prochain. Cette semaine, par contre, elle est déjà habillée.
Trish Stratus – Inspire, expire. Inspire, expire.
Peut-être un peu nerveuse, Trish va être interrompue par la porte de sa loge qui s'ouvre violemment. Une femme y entre et se met face à l'intervieweuse de la fédération, sans dire un mot. Après quelques secondes, Trish décide de briser la glace, non sans se moquer légèrement de la personne en face d'elle.
Trish Stratus – Vous cherchez quelqu'un, peut-être ?
??? – C'est vous, Trish Stratus ?
Trish Stratus – Oui, c'est moi. Et vous, qui êtes-vous ?
??? – Moi, je suis la future ex-femme d'Andy, Lauren.
Il s'agit donc de la femme d'Andy. Que fait-elle ici ? Que veut-elle ? On en sait strictement rien, mais en même temps c'est ça qui rend le truc aussi cool.
Trish Stratus – Andy est dans la loge juste en face, si vous voulez le voir.
Lauren Leavine – Ce n'est pas lui que je viens voir, mais vous. Je veux des réponses.
Trish Stratus – Des réponses à quel sujet ?
Lauren Leavine – Sur votre relation à vous et Andy !
Trish Stratus – Andy et moi sommes amis, rien de plus.
Lauren Leavine – Je sais très bien que vous êtes plus que ça, ne me mentez pas ! Je vois clair dans votre jeu, Andy est bien plus qu'un ami avec qui on partage un verre une fois de temps à autres. Vous le voulez pour vous toute seule, sans vous préoccuper de sa famille et des personnes qui tiennent à lui.
Trish Stratus – Mais puisque je vous dis que je ne suis qu'une amie d'Andy, rien de plus.
Lauren Leavine – Vous avez brisé mon mariage, ma vie, celle de mes enfants et celle d'Andy, et vous continuez à mentir ? Soyez honnête, au moins une fois dans votre vie. Cela ne vous suffit pas d'avoir enlevé leur père à mes deux enfants ? Cela en vous suffit pas de savoir que j'ai du retourner chez mes parents parce que je n'arrivais plus à payer les factures pour la maison ? Cela ne vous suffit pas de savoir que je vais devoir élever deux petits enfants dans une pièce de dix mètres carrés ? Vous voulez en plus savoir que je dois accumuler deux boulots pour subvenir aux besoins de ma famille ? Vous m'avez fait assez de mal comme ça, soyez au moins honnête.
Lauren est rouge de rage, et au bord des larmes. Et là, curieusement, Trish se met à rire. Me demande pas pourquoi, mais j'ai trouvé que ça comme image.
Trish Stratus – C'est une blague !? La seule relation que nous avons est professionnelle.
Lauren Leavine – Bien sûr, la même relation qu'une secrétaire a avec son patron pour obtenir une augmentation. Je ne suis pas dupe, je sais reconnaitre une salope quand j'en vois une. Et quand je vous regarde, avec votre look de poupée barbie, votre belle chevelure blonde, deux gros flotteurs en plastique et un postérieur aussi large qu'un pare-choc, je vois une grosse salope !
Trish Stratus – Vous venez m'accuser de tous les torts qui arrivent dans votre vie sans aucune preuve et c'est moi la salope ? Non mais je rêve.
Lauren Leavine – Rêvez pendant que vous le pouvez encore, parce que je compte bien vous faire payer très cher ce que vous m'avez fait subir à moi et à ma famille. Rêvez bien, car bientôt je serai votre pire cauchemar ! On ne brise pas mon couple sans en subir les conséquences.
Je te dis pas, les femmes sont à deux doigts de partir en catfight. Heureusement, au même moment, on frappe à la porte et Andy arrive.
Andy Leavine – Trish, est-ce que tout va bien ? J'ai entendu du bruit et-... Lauren ?! Mais qu'est-ce que tu fais ici ?
Lauren Leavine – Je voulais juste rendre une petite visite à la salope qui a brisé notre couple pour lui annoncer qu'elle n'aurait jamais du faire ce qu'elle a fait.
Andy Leavine – Quoi ? Mais qu'est-ce que tu racontes ? Trish n'a jamais brisé notre couple. C'est quoi toute cette histoire ? Ecoute, calme-toi et on reparlera tout à l'heure, d'accord ? J'ai un match, mais après on pourra discuter.
Lauren Leavine – Désolé, j'ai autre chose à faire que de te regarder combattre avec cette bimbo. J'ai des enfants qui attendent leur mère, moi.
Après un dernier regard de tueur à Trish, Lauren quitte la loge sous les regards de Trish et d'Andy. Ils étaient loin d'imaginer que cela puisse arriver, et Trish ne sait même pas quoi dire.
Trish Stratus – Inspire, expire. Inspire, expire.
Peut-être un peu nerveuse, Trish va être interrompue par la porte de sa loge qui s'ouvre violemment. Une femme y entre et se met face à l'intervieweuse de la fédération, sans dire un mot. Après quelques secondes, Trish décide de briser la glace, non sans se moquer légèrement de la personne en face d'elle.
Trish Stratus – Vous cherchez quelqu'un, peut-être ?
??? – C'est vous, Trish Stratus ?
Trish Stratus – Oui, c'est moi. Et vous, qui êtes-vous ?
??? – Moi, je suis la future ex-femme d'Andy, Lauren.
Il s'agit donc de la femme d'Andy. Que fait-elle ici ? Que veut-elle ? On en sait strictement rien, mais en même temps c'est ça qui rend le truc aussi cool.
Trish Stratus – Andy est dans la loge juste en face, si vous voulez le voir.
Lauren Leavine – Ce n'est pas lui que je viens voir, mais vous. Je veux des réponses.
Trish Stratus – Des réponses à quel sujet ?
Lauren Leavine – Sur votre relation à vous et Andy !
Trish Stratus – Andy et moi sommes amis, rien de plus.
Lauren Leavine – Je sais très bien que vous êtes plus que ça, ne me mentez pas ! Je vois clair dans votre jeu, Andy est bien plus qu'un ami avec qui on partage un verre une fois de temps à autres. Vous le voulez pour vous toute seule, sans vous préoccuper de sa famille et des personnes qui tiennent à lui.
Trish Stratus – Mais puisque je vous dis que je ne suis qu'une amie d'Andy, rien de plus.
Lauren Leavine – Vous avez brisé mon mariage, ma vie, celle de mes enfants et celle d'Andy, et vous continuez à mentir ? Soyez honnête, au moins une fois dans votre vie. Cela ne vous suffit pas d'avoir enlevé leur père à mes deux enfants ? Cela en vous suffit pas de savoir que j'ai du retourner chez mes parents parce que je n'arrivais plus à payer les factures pour la maison ? Cela ne vous suffit pas de savoir que je vais devoir élever deux petits enfants dans une pièce de dix mètres carrés ? Vous voulez en plus savoir que je dois accumuler deux boulots pour subvenir aux besoins de ma famille ? Vous m'avez fait assez de mal comme ça, soyez au moins honnête.
Lauren est rouge de rage, et au bord des larmes. Et là, curieusement, Trish se met à rire. Me demande pas pourquoi, mais j'ai trouvé que ça comme image.
Trish Stratus – C'est une blague !? La seule relation que nous avons est professionnelle.
Lauren Leavine – Bien sûr, la même relation qu'une secrétaire a avec son patron pour obtenir une augmentation. Je ne suis pas dupe, je sais reconnaitre une salope quand j'en vois une. Et quand je vous regarde, avec votre look de poupée barbie, votre belle chevelure blonde, deux gros flotteurs en plastique et un postérieur aussi large qu'un pare-choc, je vois une grosse salope !
Trish Stratus – Vous venez m'accuser de tous les torts qui arrivent dans votre vie sans aucune preuve et c'est moi la salope ? Non mais je rêve.
Lauren Leavine – Rêvez pendant que vous le pouvez encore, parce que je compte bien vous faire payer très cher ce que vous m'avez fait subir à moi et à ma famille. Rêvez bien, car bientôt je serai votre pire cauchemar ! On ne brise pas mon couple sans en subir les conséquences.
Je te dis pas, les femmes sont à deux doigts de partir en catfight. Heureusement, au même moment, on frappe à la porte et Andy arrive.
Andy Leavine – Trish, est-ce que tout va bien ? J'ai entendu du bruit et-... Lauren ?! Mais qu'est-ce que tu fais ici ?
Lauren Leavine – Je voulais juste rendre une petite visite à la salope qui a brisé notre couple pour lui annoncer qu'elle n'aurait jamais du faire ce qu'elle a fait.
Andy Leavine – Quoi ? Mais qu'est-ce que tu racontes ? Trish n'a jamais brisé notre couple. C'est quoi toute cette histoire ? Ecoute, calme-toi et on reparlera tout à l'heure, d'accord ? J'ai un match, mais après on pourra discuter.
Lauren Leavine – Désolé, j'ai autre chose à faire que de te regarder combattre avec cette bimbo. J'ai des enfants qui attendent leur mère, moi.
Après un dernier regard de tueur à Trish, Lauren quitte la loge sous les regards de Trish et d'Andy. Ils étaient loin d'imaginer que cela puisse arriver, et Trish ne sait même pas quoi dire.
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Re: Ground Zero.
Booker T – L‘honneur de la Corporation est en jeu Bill. Regardes le combat qui vient.
Bill DeMott – Putain oui, c‘est le moment que j‘attendais. Trish va faire équipe avec Andy pour niquer ces putes maquillés du Ministry que sont Thorn et Ariel.
Booker T – C‘est l‘honneur de la Corporation qui est en jeu. Il faut les soutenir. Et au moindre coup fourré du Ministry, on intervient et on se les fait.
Bill DeMott – Sale pute ! Sale enculé ! Venez essayer de nous attaquer comme lors de Thunderslam, venez je vous attends.
Booker T – Depuis qu‘ils nous ont attaqués, ils n‘ont toujours pas compris leurs erreurs. Ce soir, Trish et Andy vont défendre l‘honneur de la Corporation. Ils vont s‘appliquer à cela.
Booker T – Quelle belle image. Ce gars, qu‘on a formé, ce gars inconnu, qu‘on a pris sous notre aile. Ce soir il devient grand, il nous rejoint dans les hauteurs de ce business. Il va se battre sous nos couleurs. Come On Andy !
Bill DeMott – Fais pas la même merde que la dernière fois surtout. Aies confiance en lui, ne le déranges pas. Il vaincra j‘en suis sur.
Elle est blonde, c'est juste la lumière.
Booker T – Accueillez là comme elle le mérite. Applaudissez peut-être la plus grande légende féminine de ce business. Ce soir il remet ses bottes pour claquer la gueule au Ministry, une ovation pour Trish Stratus !
Bill DeMott – Elle va leur montrer tout le chemin qui sépare les putes du Ministre à la grande classe de la Corporation.
Elle est vraiment blonde, hein.
» FIGHT ! «
La cloche a sonné et Trish Stratus démarre le combat face à Ariel sous une explosion du public, surtout masculin. La lutteuse, sept fois Women Champion va au contact face à une Ariel qui en jette moins maintenant qu‘elle doit se débrouiller seul. Stratus prend facilement l‘avantage et envoie Ariel dans les cordes et claque une Clothesline au retour. Petit taunt de la membre de la Corporation. Ariel se relève et Stratus y va pour la frapper. Après quelques échanges à l‘initiative de la face. Les deux femmes font le tag à leur coéquipier masculin respectif et là on rentre dans un échange violent. Kevin Thorn réussit à placer un Big Foot après quelques échanges de lutte au sol. Andy Leavine se relève quasiment aussitôt et claque un Big Foot à son tour. Il remet debout le vampire et l‘envoie par-dessus la troisième corde. Trish Stratus a bien envie de se défouler sur Thorn aussi et elle rentre dans le ring et claque un Spirngboard Plancha ! Ariel veut attaquer la favorite du public mais Andy Leavine lui le déconseille. L‘action reprend dans le ring avec une domination de la part de Silent Rage. Le combat se poursuit avec un changement pour les dames qui se mettent sur la gueule et Ariel résiste mieux que lors du premier échange. Finalement Thorn et Leavine y retourne, mais Ariel distrait l‘arbitre au passage et Kevin Thorn claque un Low-Blow monstrueux sur Andy Leavine qui s‘effondre au sol.
Bill DeMott – Le fils de sa mère la sale chienne qui se fait enculer dans un cimetière. Je vais allez lui niquer sa gueule à ce connard.
Booker T – Putain, Trish est pas lucide, elle veut aller en découdre avec Thorn. Arrêtes toi Trish.
En effet cette dernière rentre dans le ring pour protéger Leavine et fait face à Thorn qui la gifle. Ariel continue de distraire l‘arbitre s‘accrochant à lui. Le vampire a le chant libre. Il relève Stratus sonné et approche ses canines de sa gorge, il veut la mordre … Low-Blow de Andy Leavine ! Voilà un joli retour à l‘envoyeur. Thorn lâche sous l‘impact Trish et Ariel arrête de distraire l‘arbitre dénonçant le Low-Blow sauf que ce dernier n‘a rien vu à cause de lui. Les vampires se sont fait avoir à leur propre jeu au grand public des commentateurs et du public qui est chaud bouillant. Andy Leavine relève Kevin Thorn et le hisse sur son épaule … Running Powerslam !! Le ring a tremblé. Ariel est folle, le doute s‘installe en elle. Elle sent que le cours du combat lui échappe. Et alors que Slent Rage claque un coup de pied dans l‘abdomen de son adversaire et se met en position de Pedigree, la vampire rentre dans le ring … Superkick de Trish Stratus. La membre de la Corporation relève Ariel et dans un même temps … PEDIGREE & STRATUSFACTION !! Cover de Andy Leavine pour la victoire !
Booker T – Victoire ! VICTOIRE ! Le premier est round est remporté par la Corporation. Il ne reste plus que l‘Undertaker à abattre car pour Thorn et Ariel, c‘est la fin.
Bill DeMott – Dans vos culs les vampires de mes deux. Bien joué Trish, bien joué Andy. Vous l‘avez fait. J‘en redemande encore des bottages de cul comme ça.
Trish Stratus tombe dans les bras d’Andy Leavine. Belle image que cette accolade. Les deux se font lever le bras par l’arbitre. Belle victoire, le Ministry vient de subir un gros revers. C’est juste magnifique et... What The Fuck ??!!
??? – Arrêtes moi ça tout de suite Andy !!!
Tout le monde se tourne, Andy Leavine le premier vers la personne qui a prononcé ses mots. Au niveau de l’entrée des lutteurs se trouve, micro et contrat de divorce en main, Lauren Leavine.
Lauren Leavine – Comment peux-tu avoir le sourire aux lèvres ? Comment peux-tu la tenir dans tes bras ? Cette salope est la raison pour laquelle nous ne sommes plus ensemble ! Je vois clair désormais. Tu t‘es épris d‘elle. Ah oui, tu me laisses les deux enfants et tu te tapes une pute. Tu m‘as trahi, tu m‘as toujours laissé dans la merde. Tu disais que tu luttais pour pouvoir nous nourrir mais en fait tu te faisais cette salope. Je vais garder les enfants, je voudrais ne plus jamais te revoir mais je vais te revoir encore un peu, juste le temps de me venger.
Andy tire la gueule et Trish essaie de le calmer mais en vain. Elle ne peut rien faire là. Andy a le visage de plus en plus sombre, il est paralysé, il ne sait quoi faire.
Lauren Leavine – Je vais me venger de toi qui m‘a abandonné et de cette pute qui a volé ma vie. Je ne pratique pas la lutte de merde, mais c‘est par là que je vais me venger. Je vais te détruire ta carrière, je vais briser ta passion. Tu vas goûter à une vie impossible, pire que celle que tu m‘as infligée. Je veux ma vengeance, je ne laisserai pas cette situation impunie. Tu verras alors à quoi j‘ai eu droit à cause de toi. Prépares toi bien Andy. Je vais tout te prendre, les enfants, ta passion, ta carrière. J‘aurai ma vengeance ! Et cette pute n‘y échappera pas non plus.
Lauren Leavine fait demi-tour alors que Andy Leavine tombe à genou, se prenant le visage dans ses mains. Il est abattu comme il ne l’a jamais été jusqu’aujourd’hui.
Bill DeMott – Putain oui, c‘est le moment que j‘attendais. Trish va faire équipe avec Andy pour niquer ces putes maquillés du Ministry que sont Thorn et Ariel.
Booker T – C‘est l‘honneur de la Corporation qui est en jeu. Il faut les soutenir. Et au moindre coup fourré du Ministry, on intervient et on se les fait.
Bill DeMott – Sale pute ! Sale enculé ! Venez essayer de nous attaquer comme lors de Thunderslam, venez je vous attends.
Booker T – Depuis qu‘ils nous ont attaqués, ils n‘ont toujours pas compris leurs erreurs. Ce soir, Trish et Andy vont défendre l‘honneur de la Corporation. Ils vont s‘appliquer à cela.
Booker T – Quelle belle image. Ce gars, qu‘on a formé, ce gars inconnu, qu‘on a pris sous notre aile. Ce soir il devient grand, il nous rejoint dans les hauteurs de ce business. Il va se battre sous nos couleurs. Come On Andy !
Bill DeMott – Fais pas la même merde que la dernière fois surtout. Aies confiance en lui, ne le déranges pas. Il vaincra j‘en suis sur.
Elle est blonde, c'est juste la lumière.
Booker T – Accueillez là comme elle le mérite. Applaudissez peut-être la plus grande légende féminine de ce business. Ce soir il remet ses bottes pour claquer la gueule au Ministry, une ovation pour Trish Stratus !
Bill DeMott – Elle va leur montrer tout le chemin qui sépare les putes du Ministre à la grande classe de la Corporation.
Elle est vraiment blonde, hein.
» FIGHT ! «
La cloche a sonné et Trish Stratus démarre le combat face à Ariel sous une explosion du public, surtout masculin. La lutteuse, sept fois Women Champion va au contact face à une Ariel qui en jette moins maintenant qu‘elle doit se débrouiller seul. Stratus prend facilement l‘avantage et envoie Ariel dans les cordes et claque une Clothesline au retour. Petit taunt de la membre de la Corporation. Ariel se relève et Stratus y va pour la frapper. Après quelques échanges à l‘initiative de la face. Les deux femmes font le tag à leur coéquipier masculin respectif et là on rentre dans un échange violent. Kevin Thorn réussit à placer un Big Foot après quelques échanges de lutte au sol. Andy Leavine se relève quasiment aussitôt et claque un Big Foot à son tour. Il remet debout le vampire et l‘envoie par-dessus la troisième corde. Trish Stratus a bien envie de se défouler sur Thorn aussi et elle rentre dans le ring et claque un Spirngboard Plancha ! Ariel veut attaquer la favorite du public mais Andy Leavine lui le déconseille. L‘action reprend dans le ring avec une domination de la part de Silent Rage. Le combat se poursuit avec un changement pour les dames qui se mettent sur la gueule et Ariel résiste mieux que lors du premier échange. Finalement Thorn et Leavine y retourne, mais Ariel distrait l‘arbitre au passage et Kevin Thorn claque un Low-Blow monstrueux sur Andy Leavine qui s‘effondre au sol.
Bill DeMott – Le fils de sa mère la sale chienne qui se fait enculer dans un cimetière. Je vais allez lui niquer sa gueule à ce connard.
Booker T – Putain, Trish est pas lucide, elle veut aller en découdre avec Thorn. Arrêtes toi Trish.
En effet cette dernière rentre dans le ring pour protéger Leavine et fait face à Thorn qui la gifle. Ariel continue de distraire l‘arbitre s‘accrochant à lui. Le vampire a le chant libre. Il relève Stratus sonné et approche ses canines de sa gorge, il veut la mordre … Low-Blow de Andy Leavine ! Voilà un joli retour à l‘envoyeur. Thorn lâche sous l‘impact Trish et Ariel arrête de distraire l‘arbitre dénonçant le Low-Blow sauf que ce dernier n‘a rien vu à cause de lui. Les vampires se sont fait avoir à leur propre jeu au grand public des commentateurs et du public qui est chaud bouillant. Andy Leavine relève Kevin Thorn et le hisse sur son épaule … Running Powerslam !! Le ring a tremblé. Ariel est folle, le doute s‘installe en elle. Elle sent que le cours du combat lui échappe. Et alors que Slent Rage claque un coup de pied dans l‘abdomen de son adversaire et se met en position de Pedigree, la vampire rentre dans le ring … Superkick de Trish Stratus. La membre de la Corporation relève Ariel et dans un même temps … PEDIGREE & STRATUSFACTION !! Cover de Andy Leavine pour la victoire !
Booker T – Victoire ! VICTOIRE ! Le premier est round est remporté par la Corporation. Il ne reste plus que l‘Undertaker à abattre car pour Thorn et Ariel, c‘est la fin.
Bill DeMott – Dans vos culs les vampires de mes deux. Bien joué Trish, bien joué Andy. Vous l‘avez fait. J‘en redemande encore des bottages de cul comme ça.
Trish Stratus tombe dans les bras d’Andy Leavine. Belle image que cette accolade. Les deux se font lever le bras par l’arbitre. Belle victoire, le Ministry vient de subir un gros revers. C’est juste magnifique et... What The Fuck ??!!
??? – Arrêtes moi ça tout de suite Andy !!!
Tout le monde se tourne, Andy Leavine le premier vers la personne qui a prononcé ses mots. Au niveau de l’entrée des lutteurs se trouve, micro et contrat de divorce en main, Lauren Leavine.
Lauren Leavine – Comment peux-tu avoir le sourire aux lèvres ? Comment peux-tu la tenir dans tes bras ? Cette salope est la raison pour laquelle nous ne sommes plus ensemble ! Je vois clair désormais. Tu t‘es épris d‘elle. Ah oui, tu me laisses les deux enfants et tu te tapes une pute. Tu m‘as trahi, tu m‘as toujours laissé dans la merde. Tu disais que tu luttais pour pouvoir nous nourrir mais en fait tu te faisais cette salope. Je vais garder les enfants, je voudrais ne plus jamais te revoir mais je vais te revoir encore un peu, juste le temps de me venger.
Andy tire la gueule et Trish essaie de le calmer mais en vain. Elle ne peut rien faire là. Andy a le visage de plus en plus sombre, il est paralysé, il ne sait quoi faire.
Lauren Leavine – Je vais me venger de toi qui m‘a abandonné et de cette pute qui a volé ma vie. Je ne pratique pas la lutte de merde, mais c‘est par là que je vais me venger. Je vais te détruire ta carrière, je vais briser ta passion. Tu vas goûter à une vie impossible, pire que celle que tu m‘as infligée. Je veux ma vengeance, je ne laisserai pas cette situation impunie. Tu verras alors à quoi j‘ai eu droit à cause de toi. Prépares toi bien Andy. Je vais tout te prendre, les enfants, ta passion, ta carrière. J‘aurai ma vengeance ! Et cette pute n‘y échappera pas non plus.
Lauren Leavine fait demi-tour alors que Andy Leavine tombe à genou, se prenant le visage dans ses mains. Il est abattu comme il ne l’a jamais été jusqu’aujourd’hui.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
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Attitude : 3:16
Re: Ground Zero.
L'autre attraction de cette soirée, que l'on pourrait même qualifier de co-main event de Ground Zero, c'est la rencontre entre John Cena et Triple H. Les deux hommes se sont cherchés pendant six semaines, ils vont enfin pouvoir régler leurs différents. Passons d'abord par la loge de Triple H.
Triple H, jusque là en train de se préparer, est interrompu par son adversaire du soir John Cena.
Triple H – Est-ce que tu es là pour m'attaquer par derrière ?
John Cena – Je n'utilise pas tes méthodes toutes les semaines, je vaux bien plus que ça si tu vois ce que je veux dire.
Triple H – Donc tu es ici pour m'insulter, great ! Il y a trois semaines, je n'estime pas t'avoir pris par derrière puisque tu étais clairement face à moi. Si tu n'as pas assez de réflexes Champ, c'est ton problème et pas le mien. Mais de toute manière, je ne peux pas t'en vouloir pour ce que tu m'as fait il y a deux semaines. Tu as vu et tu as saisi une opportunité qui s’offrait à toi, nice job ! Et en toute vraisemblance tu n'es pas ici pour me parler des tapes dans le dos que l'on se donne depuis quelques temps, n'est-ce pas ?
John Cena – Pourquoi ?
Triple H – Pourquoi quoi ?
John Cena – Pourquoi avoir voulu te débarrasser de moi il y a deux mois en me renversant ?
Triple H – Ce n'était pas moi.
John Cena – Come on ! Pourquoi est-ce que tu n'avoues pas tout simplement ? Tu ne me portes pas dans ton coeur et tu ne m'as jamais porté dans ton coeur ou en estime, que ce soit ici ou ailleurs. Tu as fait ce que tu avais à faire le bien de ce business mais ici à l'Attitude Wrestling Corporation rien ne t'y oblige et c'est certainement l'une des raisons qui t'a poussé à cet attentat. Regarde les choses en face Hunter, nous ne sommes pas fait pour être dans le même programme. Ça n'a rien à voir avec toi et moi, c'est juste comme ça, c'est plus fort que le reste, plus fort que la volonté. Qu'est-ce qui te fait sourire ?
Triple H – C'est le temps que tu perds à chercher le réel agresseur qui me fait sourire. Il n'y a absolument rien qui m'incrimine dans cette histoire, et tu le sais.
John Cena – Si ce n'est pas toi, qui ça peut être d'autre huh ? Nobody !
Triple H – Le problème que tu as dans cette histoire John, c'est que ce n'est certainement pas moi qui va perdre du temps à essayer de clamer son innocence. Tout ce que je vois, tout ce que je sais, c'est que finalement tu n'es pas si sûr de ma responsabilité dans cette affaire puisque tu es ici, à discuter avec moi, au lieu de me faire regretter un acte que je n'ai pas commis. Ce que je sais également, c'est que ton réel agresseur est toujours dans le coin et il doit bien en rire de cette situation, à te voir en accuser un autre. John, tu es toujours en danger au final. Quelqu'un a essayé de te renverser, et il a loupé son coup. Crois-moi, il reviendra à la charge pour finir le boulot. Tu devrais faire très attention John.
John Cena – Je suis simplement ici pour avoir des réponses et savoir pourquoi mais ce n'est clairement pas ce soir que j'aurai des réponses. Tu as raison, bien sûr que je suis encore et toujours en danger... Tant que je ne t'aurai pas éliminé ! Si je pars du principe que ce n'est pas toi, t'es qui pour savoir ce que mon agresseur fera la prochaine fois ? T'as une licence en psychologie ? T'as un doctorat en comportement criminel ? Bien sûr que je vais faire attention Hunter parce que tu vois, je te connais mieux que tu ne le crois et je sais que tu as préparé quelque chose pour ce soir. Je sais que tu vas profiter du premier instant pour finir le boulot comme tu le dis si bien, je sais que ton ami le sledgehammer ne sera pas bien loin du ring. Je devrais même déclarer forfait et ne pas faire ce match contre toi parce que tu as clairement préparé un sale coup, mais... I never back down and I never quit ! Je devrais me méfier je sais, mais... I fear nothing and I regret less ! Tu essaies de me faire douter, tu essaies de me perturber avant notre match, c'est propre à ta façon de faire depuis presque vingt ans. You want a piece of John Cena, huh ? Come get some !
John Cena claque la porte, le match est déjà commencé.
Triple H clame son innocence, John Cena ne le croit pas. Les deux hommes ne lâchent rien et restent sur leurs positions. Le match de ce soir nous donnera certainement plus de réponses.
Triple H, jusque là en train de se préparer, est interrompu par son adversaire du soir John Cena.
Triple H – Est-ce que tu es là pour m'attaquer par derrière ?
John Cena – Je n'utilise pas tes méthodes toutes les semaines, je vaux bien plus que ça si tu vois ce que je veux dire.
Triple H – Donc tu es ici pour m'insulter, great ! Il y a trois semaines, je n'estime pas t'avoir pris par derrière puisque tu étais clairement face à moi. Si tu n'as pas assez de réflexes Champ, c'est ton problème et pas le mien. Mais de toute manière, je ne peux pas t'en vouloir pour ce que tu m'as fait il y a deux semaines. Tu as vu et tu as saisi une opportunité qui s’offrait à toi, nice job ! Et en toute vraisemblance tu n'es pas ici pour me parler des tapes dans le dos que l'on se donne depuis quelques temps, n'est-ce pas ?
John Cena – Pourquoi ?
Triple H – Pourquoi quoi ?
John Cena – Pourquoi avoir voulu te débarrasser de moi il y a deux mois en me renversant ?
Triple H – Ce n'était pas moi.
John Cena – Come on ! Pourquoi est-ce que tu n'avoues pas tout simplement ? Tu ne me portes pas dans ton coeur et tu ne m'as jamais porté dans ton coeur ou en estime, que ce soit ici ou ailleurs. Tu as fait ce que tu avais à faire le bien de ce business mais ici à l'Attitude Wrestling Corporation rien ne t'y oblige et c'est certainement l'une des raisons qui t'a poussé à cet attentat. Regarde les choses en face Hunter, nous ne sommes pas fait pour être dans le même programme. Ça n'a rien à voir avec toi et moi, c'est juste comme ça, c'est plus fort que le reste, plus fort que la volonté. Qu'est-ce qui te fait sourire ?
Triple H – C'est le temps que tu perds à chercher le réel agresseur qui me fait sourire. Il n'y a absolument rien qui m'incrimine dans cette histoire, et tu le sais.
John Cena – Si ce n'est pas toi, qui ça peut être d'autre huh ? Nobody !
Triple H – Le problème que tu as dans cette histoire John, c'est que ce n'est certainement pas moi qui va perdre du temps à essayer de clamer son innocence. Tout ce que je vois, tout ce que je sais, c'est que finalement tu n'es pas si sûr de ma responsabilité dans cette affaire puisque tu es ici, à discuter avec moi, au lieu de me faire regretter un acte que je n'ai pas commis. Ce que je sais également, c'est que ton réel agresseur est toujours dans le coin et il doit bien en rire de cette situation, à te voir en accuser un autre. John, tu es toujours en danger au final. Quelqu'un a essayé de te renverser, et il a loupé son coup. Crois-moi, il reviendra à la charge pour finir le boulot. Tu devrais faire très attention John.
John Cena – Je suis simplement ici pour avoir des réponses et savoir pourquoi mais ce n'est clairement pas ce soir que j'aurai des réponses. Tu as raison, bien sûr que je suis encore et toujours en danger... Tant que je ne t'aurai pas éliminé ! Si je pars du principe que ce n'est pas toi, t'es qui pour savoir ce que mon agresseur fera la prochaine fois ? T'as une licence en psychologie ? T'as un doctorat en comportement criminel ? Bien sûr que je vais faire attention Hunter parce que tu vois, je te connais mieux que tu ne le crois et je sais que tu as préparé quelque chose pour ce soir. Je sais que tu vas profiter du premier instant pour finir le boulot comme tu le dis si bien, je sais que ton ami le sledgehammer ne sera pas bien loin du ring. Je devrais même déclarer forfait et ne pas faire ce match contre toi parce que tu as clairement préparé un sale coup, mais... I never back down and I never quit ! Je devrais me méfier je sais, mais... I fear nothing and I regret less ! Tu essaies de me faire douter, tu essaies de me perturber avant notre match, c'est propre à ta façon de faire depuis presque vingt ans. You want a piece of John Cena, huh ? Come get some !
John Cena claque la porte, le match est déjà commencé.
Triple H clame son innocence, John Cena ne le croit pas. Les deux hommes ne lâchent rien et restent sur leurs positions. Le match de ce soir nous donnera certainement plus de réponses.
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Re: Ground Zero.
Booker T – Le prochain combat de notre Pay Per View qui est déjà une grande réussite, encore une fois, opposera le challengeur Shelton Benjamin à l'actuel champion de la Corporation, et bientôt futur expulsé des Etats-Unis d'Amériques, Alberto Del Rio.
Bill DeMott – Shelton Benjamin a obtenu ce match en trouvant les bons mots pour convaincre Stone Cold, ce qui reste une performance en soit. On notera également que depuis ce moment, Shelton a changé d'attitude, et cela semble être plutôt positif, pour le moment.
Booker T – De plus, l'opposition de ce combat offrira un délicieux mélange des races. D'un côté le champion Mexicain et de l'autre, l'affro-Américain. C'est toute la culture de notre pays que l'on va retrouver dans ce match.
Bill DeMott – C'est vrai que le plus blanc, dans l'affaire, ça reste encore l'arbitre.
Motivé comme jamais, la démarche sûre, et le regard perçant, Shelton Benjamin descend la rampe, direction le ring et un combat qui pourra lui permettre de porter à nouveau de l'or autour de ses hanches. La foule, elle, réagit moyennement, ne sachant pas trop s'il faut huer ou encourager l'afro-Américain. Qu'importe pour Shelton, il sait très bien que ce n'est pas la plus grosse (ovation hein !) qui fait le vainqueur en fin de combat.
Booker T – Je suis désolé de te dire ça Bill, mais l'arbitre est noir, lui aussi.
Bill DeMott – Vous voulez vraiment qu'on se fasse prendre un autre avion sur la gueule ou quoi ?
Booker T – C'était des musulmans, des personnes du Moyen-Orient qui ont envoyé les avions dans les deux tours, pas des Africains.
Bill DeMott – Ça reste des étrangers quand même. Trop de noirs... Trop de noirs !
Lui, il est bien loin de se soucier s'il y a trop de noirs sur le ring, dans les gradins ou en backstages. Non, Alberto a beaucoup à perdre ce soir, et rien à gagner. Son titre de champion est en danger et il est censé se faire expulser à la fin de la soirée par le service d'immigration. Autant vous dire qu'on a déjà connu des champions beaucoup plus sereins avant un match de championnat. Mais qu'importe, Alberto reste un professionnel malgré tout et il va tenté de ne pas se faire dépasser par ses émotions.
Booker T – Bill, tu sais je t'aime bien, mais tu sais que tu peux être vraiment blessant dans tes paroles quand tu manges pas et que tu as faim.
Bill DeMott – Désolé Booker, mais j'ai pas encore eu le temps de me ravitailler en sandwichs, et tu sais que lorsque j'ai faim, je ne réfléchis plus.
Booker T – J'ai pu m'en apercevoir, oui.
Bill DeMott – Si ta femme me prépare un mafé après le show, je te promets de faire attention.
Alors que Bill négocie l'invitation chez Booker T pour le diner post-PPV, sur le ring, l'arbitre vient de s'emparer de la ceinture de champion après que les introductions aient été faites, et on va pouvoir assister à ce match de championnat.
» FIGHT ! «
La cloche retentit et Shelton Benjamin se jette immédiatement sur son adversaire. Il prend rapidement la mesure du combat en malmenant Del Rio avec des droites. Il enchaine ensuite avec une projection dans les cordes suivi d'un back body drop. Il n'obtient cependant qu'un compte de deux et au moment où Benjamin voulait relever son adversaire, ce dernier le surprend avec un Roll-Up, pour un compte de deux là aussi. Les deux hommes se relèvent et Del Rio utilise la puissance de ses kicks pour prendre l'avantage avant de projeter son adversaire dans le coin pour lui porter un Runnin' Corner Enzuigiri. Del Rio enchaine ensuite en passant sur l'apron du ring et porte une Springboard Senton qui n'offrira, une fois encore, qu'un compte de deux. Le champion semble vouloir en terminer et veut donc porter sa prise de soumission mais Shelton riposte et après un coup de genou dans le bas-ventre, il recule dans les cordes pour prendre de l'élan et porter un Swimming Neckbreaker. Il tente immédiatement le tombé mais n'obtient, encore une fois, qu'un compte de deux. Quel match entre les deux hommes.
Bill DeMott – Si on m'avait dit que ces deux là offrirait un spectacle comme ça, je l'aurai pas cru.
Booker T – Le jeu en vaut la chandelle Bill, un titre de champion est à gagner.
Bill DeMott – Et pas n'importe quel titre, celui de la Corporation.
Shelton est prudent et ne souhaite pas se précipiter. Il relève donc Del Rio et tente un Superkick mais ce dernier attrape le pied de son adversaire et après lui avoir porté un kick avec le pied droit au niveau des jambes, Del Rio tente à son tour de porter un Superkick, que Benjamin esquive en passant sous la jambe de son adversaire. Il enchaine avec une German Suplex qui fait mouche. Del Rio souffre et Benjamin en profite pour monter sur le turnbuckle. Seulement, son Diving Elbow Drop échoue et en se relevant, Shelton doit essuyer un enchainement de Clothesline suivi d'une Leg Drop. Alberto tente une nouvelle fois de terminer la rencontre avec son armlock, mais Benjamin attrape une corde et s'en sert pour faire un saut en arrière et ainsi utiliser sa position pour porter son Paydirt from nowhere. Del Rio est à terre, et l'arbitre n'a d'autre choix que de compter trois, et d'offrir le titre à un Shelton Benjamin qui est déjà les bras en l'air.
Booker T – Après une véritable bataille où la sueur a coulé à flot, Shelton Benjamin ressort grand gagnant de ce combat et devient le tout nouveau Corporation Champion.
Bill DeMott – Un titre largement mérité pour Benjamin qui a livré une très belle prestation face à un Del Rio certes qui n'était pas des plus concentré, mais un champion doit toujours savoir faire la part des choses, très belle victoire de Shelton.
Booker T – Et finalement, ce changement d'attitude aura été le bon pour Shelton car cela lui permet d'obtenir son premier titre ici, à l'AWC.
Et sérieusement, qui aurait misé sur chiendindon au début ? En tout cas, Shelton Benjamin vient de recevoir le titre des mains de l'arbitre et fait le tour du ring pour montrer fièrement aux fans son nouveau titre. Shelton lâche finalement un dernier regard en direction d'Alberto Del Rio, qui, au milieu du ring, se tient la tête à deux mains, complètement perdu. Le Gold Standard quitte le ring, fier de sa victoire, et sans réellement prêter attention à l'homme qu'il vient de battre. L'attention, Alberto, il risque cependant d'en avoir maintenant.
Les agents J et K du service de l'immigration sont de retour, et ce n'est pas pour nous jouer un mauvais tour, mais plutôt pour ramener Alberto Del Rio chez lui, au Mexique. Le pauvre n'a pas réussi à présenter son certificat de travail à temps, il va donc devoir faire ses bagages et rentrer chez lui sans passer par la case départ.
Agent J – Selon la loi martial en vigueur dans l'Etat de New York, je suis dans le regret de vous informer que Monsieur Del Rio ici présent...
Agent K – Doit être expulsé sans plus attendre !
Alberto est en panique total, il frappe dans les cordes avec les pieds et les mains, il est déboussolé mais ne cherche pas à s'enfuir. Il réalise ce qui lui arrive vraiment quand les deux agents se présentent à lui. Alberto tente de réagir mais les deux agents sont sur-entrainés et ce genre de situation, ils connaissent. Del Rio a beau se débattre, il est maitrisé et menotté. Il a beau crier, prier, pleurer et insulter, rien n'y fait, les deux agents ramènent Del Rio direction les backstages, puis le Mexique. Ce cher Alberto nous manquera certainement beaucoup. Tiens, envoyons un spot de pub pour les fajitas Old El Paso, ça nous fera du bien.
Bill DeMott – Shelton Benjamin a obtenu ce match en trouvant les bons mots pour convaincre Stone Cold, ce qui reste une performance en soit. On notera également que depuis ce moment, Shelton a changé d'attitude, et cela semble être plutôt positif, pour le moment.
Booker T – De plus, l'opposition de ce combat offrira un délicieux mélange des races. D'un côté le champion Mexicain et de l'autre, l'affro-Américain. C'est toute la culture de notre pays que l'on va retrouver dans ce match.
Bill DeMott – C'est vrai que le plus blanc, dans l'affaire, ça reste encore l'arbitre.
Motivé comme jamais, la démarche sûre, et le regard perçant, Shelton Benjamin descend la rampe, direction le ring et un combat qui pourra lui permettre de porter à nouveau de l'or autour de ses hanches. La foule, elle, réagit moyennement, ne sachant pas trop s'il faut huer ou encourager l'afro-Américain. Qu'importe pour Shelton, il sait très bien que ce n'est pas la plus grosse (ovation hein !) qui fait le vainqueur en fin de combat.
Booker T – Je suis désolé de te dire ça Bill, mais l'arbitre est noir, lui aussi.
Bill DeMott – Vous voulez vraiment qu'on se fasse prendre un autre avion sur la gueule ou quoi ?
Booker T – C'était des musulmans, des personnes du Moyen-Orient qui ont envoyé les avions dans les deux tours, pas des Africains.
Bill DeMott – Ça reste des étrangers quand même. Trop de noirs... Trop de noirs !
Lui, il est bien loin de se soucier s'il y a trop de noirs sur le ring, dans les gradins ou en backstages. Non, Alberto a beaucoup à perdre ce soir, et rien à gagner. Son titre de champion est en danger et il est censé se faire expulser à la fin de la soirée par le service d'immigration. Autant vous dire qu'on a déjà connu des champions beaucoup plus sereins avant un match de championnat. Mais qu'importe, Alberto reste un professionnel malgré tout et il va tenté de ne pas se faire dépasser par ses émotions.
Booker T – Bill, tu sais je t'aime bien, mais tu sais que tu peux être vraiment blessant dans tes paroles quand tu manges pas et que tu as faim.
Bill DeMott – Désolé Booker, mais j'ai pas encore eu le temps de me ravitailler en sandwichs, et tu sais que lorsque j'ai faim, je ne réfléchis plus.
Booker T – J'ai pu m'en apercevoir, oui.
Bill DeMott – Si ta femme me prépare un mafé après le show, je te promets de faire attention.
Alors que Bill négocie l'invitation chez Booker T pour le diner post-PPV, sur le ring, l'arbitre vient de s'emparer de la ceinture de champion après que les introductions aient été faites, et on va pouvoir assister à ce match de championnat.
» FIGHT ! «
La cloche retentit et Shelton Benjamin se jette immédiatement sur son adversaire. Il prend rapidement la mesure du combat en malmenant Del Rio avec des droites. Il enchaine ensuite avec une projection dans les cordes suivi d'un back body drop. Il n'obtient cependant qu'un compte de deux et au moment où Benjamin voulait relever son adversaire, ce dernier le surprend avec un Roll-Up, pour un compte de deux là aussi. Les deux hommes se relèvent et Del Rio utilise la puissance de ses kicks pour prendre l'avantage avant de projeter son adversaire dans le coin pour lui porter un Runnin' Corner Enzuigiri. Del Rio enchaine ensuite en passant sur l'apron du ring et porte une Springboard Senton qui n'offrira, une fois encore, qu'un compte de deux. Le champion semble vouloir en terminer et veut donc porter sa prise de soumission mais Shelton riposte et après un coup de genou dans le bas-ventre, il recule dans les cordes pour prendre de l'élan et porter un Swimming Neckbreaker. Il tente immédiatement le tombé mais n'obtient, encore une fois, qu'un compte de deux. Quel match entre les deux hommes.
Bill DeMott – Si on m'avait dit que ces deux là offrirait un spectacle comme ça, je l'aurai pas cru.
Booker T – Le jeu en vaut la chandelle Bill, un titre de champion est à gagner.
Bill DeMott – Et pas n'importe quel titre, celui de la Corporation.
Shelton est prudent et ne souhaite pas se précipiter. Il relève donc Del Rio et tente un Superkick mais ce dernier attrape le pied de son adversaire et après lui avoir porté un kick avec le pied droit au niveau des jambes, Del Rio tente à son tour de porter un Superkick, que Benjamin esquive en passant sous la jambe de son adversaire. Il enchaine avec une German Suplex qui fait mouche. Del Rio souffre et Benjamin en profite pour monter sur le turnbuckle. Seulement, son Diving Elbow Drop échoue et en se relevant, Shelton doit essuyer un enchainement de Clothesline suivi d'une Leg Drop. Alberto tente une nouvelle fois de terminer la rencontre avec son armlock, mais Benjamin attrape une corde et s'en sert pour faire un saut en arrière et ainsi utiliser sa position pour porter son Paydirt from nowhere. Del Rio est à terre, et l'arbitre n'a d'autre choix que de compter trois, et d'offrir le titre à un Shelton Benjamin qui est déjà les bras en l'air.
Booker T – Après une véritable bataille où la sueur a coulé à flot, Shelton Benjamin ressort grand gagnant de ce combat et devient le tout nouveau Corporation Champion.
Bill DeMott – Un titre largement mérité pour Benjamin qui a livré une très belle prestation face à un Del Rio certes qui n'était pas des plus concentré, mais un champion doit toujours savoir faire la part des choses, très belle victoire de Shelton.
Booker T – Et finalement, ce changement d'attitude aura été le bon pour Shelton car cela lui permet d'obtenir son premier titre ici, à l'AWC.
Et sérieusement, qui aurait misé sur chiendindon au début ? En tout cas, Shelton Benjamin vient de recevoir le titre des mains de l'arbitre et fait le tour du ring pour montrer fièrement aux fans son nouveau titre. Shelton lâche finalement un dernier regard en direction d'Alberto Del Rio, qui, au milieu du ring, se tient la tête à deux mains, complètement perdu. Le Gold Standard quitte le ring, fier de sa victoire, et sans réellement prêter attention à l'homme qu'il vient de battre. L'attention, Alberto, il risque cependant d'en avoir maintenant.
Les agents J et K du service de l'immigration sont de retour, et ce n'est pas pour nous jouer un mauvais tour, mais plutôt pour ramener Alberto Del Rio chez lui, au Mexique. Le pauvre n'a pas réussi à présenter son certificat de travail à temps, il va donc devoir faire ses bagages et rentrer chez lui sans passer par la case départ.
Agent J – Selon la loi martial en vigueur dans l'Etat de New York, je suis dans le regret de vous informer que Monsieur Del Rio ici présent...
Agent K – Doit être expulsé sans plus attendre !
Alberto est en panique total, il frappe dans les cordes avec les pieds et les mains, il est déboussolé mais ne cherche pas à s'enfuir. Il réalise ce qui lui arrive vraiment quand les deux agents se présentent à lui. Alberto tente de réagir mais les deux agents sont sur-entrainés et ce genre de situation, ils connaissent. Del Rio a beau se débattre, il est maitrisé et menotté. Il a beau crier, prier, pleurer et insulter, rien n'y fait, les deux agents ramènent Del Rio direction les backstages, puis le Mexique. Ce cher Alberto nous manquera certainement beaucoup. Tiens, envoyons un spot de pub pour les fajitas Old El Paso, ça nous fera du bien.
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Re: Ground Zero.
Le match pour le titre Corporation aura finalement tenu toutes ses promesses, et il aura même permis à un étranger de rentrer chez lui. Oui, Alberto aussi a eu le droit à son quart d'heure de rêve Américain. Bref, les officiels, eux, ne chôment pas et ont déjà préparé le prochain combat, qui sera un Flag Match entre Mister Anderson et Abdallah Tarver, qui va effectuer son grand retour ici, à l'AWC. Un drapeau des Etats-Unis se situe dans un coin alors qu'à l'opposé, il s'agit d'un drapeau jihadiste noir avec des écritures blanches, en arabe.
La musique de Mister Anderson résonne, mais personne ne se pointe, et à la place nous sommes envoyés, grâce aux caméras, en arrière-scène, et plus précisément vers le parking.
Oui, vous n'avez pas rêvez, Kenneth arrive bien à bord d'un mengshi de l'armée Américaine. Ce soir, nous aurons le droit à notre dose de patriotisme. Après avoir prit soigneusement le soin de se garer en double-file, Anderson descend du véhicule et se dirige rapidement vers le titantron. Après quelques secondes, le voilà qui débarque et, comme par magie, son plus fidèle ami, son microphone, arrive à sa hauteur au même moment.
Mister Anderson – Hem hem.
Pour ceux qui n'avaient pas comprit, il vient de se racler la gorge. Ah, et j'vous le préviens, toute l'intro est en Anglais, modafuckers.
Mister Anderson – I am a proud American guy. And I am damn proud of my country, the United States of America. And I'm sure all of you, tonight, live from Ground Zerooooooo, Manhattan, New York, are also proud of this country, and especially today, ten years after the terrorists' attack. So, please join me to pledge allegiance to the flag of the United States of America, and to the republic for which it stands, one nation under God, indivisible, with liberty and justice for all.
« USA ! USA ! USA ! »
La patrie est unie sous une même bannière, ce soir.
Mister Anderson – But now, it is time for the flag match of the evening ! What is a flag match ? Well, it's very simple. I just must take the stars and stripes to win the match and show to the world that the United States of America are definitely better, bigger and badder than the terrorism.
Tout le monde à Ground Zero se lève pour applaudir Ken Anderson, représentant de la Nation.
Mister Anderson – But, we don't need to waste more time. Ladies and gentleman, boys and girls of all ages, let me introduce to you the guy who's gonna win this contest. He is a proud American man from Greeeeen Bay, Wisconsin. He is known as the Talk-Louder, the Leader of the Assholes, the American Patriot, the Green-Bay Loudmouth, trash-talker, pork eater, and a freakin' muslim hater, weighin' tonight at the absolute perfect 243 pounds of American pride, I am Mister Andersooooon...
« ANDERSON ! »
Tu noteras au passage l'incroyable rime que même Joël Gertner jalouse.
Mister Anderson – Wait for it, wait for it...
Mister Anderson – ANDERSON.
Le bonhomme reçoit une putain d'ovation. Pour les plus anglophones, c'est un plaisir de lire ça, pour les moins bons, c'est un vrai calvaire de tout traduire sur google traduction.
Mister Anderson – And now his opponent. He is from the marvelous oil country of Iraq, the country who's under the US Army's domination. He don't eat pork, he don't drink, he don't like the United States of America, and more than everything, he is a fuckin' jihadist. He is as tall as Saddam Hussein after his hanging, weighin' a five hundred pounds of crap, he is a little motherfuckin' biatch... Abdallah, fuck your name 'cause we don't care, Tarver !
Il n'en fallait pas plus pour Anderson qui terminera d'exprimer le fond de sa pensée sur la gueule d'Abdallah un peu plus tard. Pendant que le héros de tout le pays descend la rampe, un homme vêtu d'une longue blouse blanche et d'une longue barbe noir arrive, dépliant un large papier.
Abdul Kader Keita – إنقاذ الأطفال، والمعتوه، والنساء، والكهنة والشيوخ والعجزة، إلا إذا شاركت في القتال. ولكن لن تكون هناك رحمة للرجال الذين تجرأوا على تلطيخ الشرف ، والكرامة والاحترام للمسلمين في جميع أنحاء العالم. هذه الليلة، فإن الأميركيين الفقراء المنافقين، سوف تتلقى أكبر كارثة ما هو معروف الاسم. أسوأ بكثير من الفيضانات. أكثر بشاعة من الضفادع. أكثر رعبا من الهجمات في لندن ومدريد. الليلة هو عودة الكبرى للالجهادية لا يصدق، والمعروفة باسم منيب ، عبد الله "المخلص الجهادية" تارفير. يا الله اكبر.
L'homme repart en backstages sous les huées du peuple Américain. Personne n'a rien comprit, Algari ne sait pas lire l'arabe, et Aurelie pense que la religion est un sujet tabou, alors j'vais vous dire, pas la peine de vous embêter à traduire, bien que tout ce texte ait un réel sens. Ce qu'il faut simplement retenir, c'est que l'homme a annoncé le retour du sauveur jihadiste, dont la puissance est plus terrible encore que le déluge et les grenouilles, Abdallah "Penitent" Tarver. L'homme arrive d'ailleurs sous une horde de huées.
Le peuple hue son ennemi qui descend la rampe avec un visage sombre, fermé, et dont la haine peut aisément se lire dans les yeux. Abdallah fixe un homme, Ken Anderson, et meurt d'envie de le tuer. Ce soir, ce n'est pas qu'un simple match pour l'honneur du drapeau, c'est aussi une putain de guerre, que notre Nation gagnera, et cela deviendra légendaire, oui.
La musique de Mister Anderson résonne, mais personne ne se pointe, et à la place nous sommes envoyés, grâce aux caméras, en arrière-scène, et plus précisément vers le parking.
Oui, vous n'avez pas rêvez, Kenneth arrive bien à bord d'un mengshi de l'armée Américaine. Ce soir, nous aurons le droit à notre dose de patriotisme. Après avoir prit soigneusement le soin de se garer en double-file, Anderson descend du véhicule et se dirige rapidement vers le titantron. Après quelques secondes, le voilà qui débarque et, comme par magie, son plus fidèle ami, son microphone, arrive à sa hauteur au même moment.
Mister Anderson – Hem hem.
Pour ceux qui n'avaient pas comprit, il vient de se racler la gorge. Ah, et j'vous le préviens, toute l'intro est en Anglais, modafuckers.
Mister Anderson – I am a proud American guy. And I am damn proud of my country, the United States of America. And I'm sure all of you, tonight, live from Ground Zerooooooo, Manhattan, New York, are also proud of this country, and especially today, ten years after the terrorists' attack. So, please join me to pledge allegiance to the flag of the United States of America, and to the republic for which it stands, one nation under God, indivisible, with liberty and justice for all.
« USA ! USA ! USA ! »
La patrie est unie sous une même bannière, ce soir.
Mister Anderson – But now, it is time for the flag match of the evening ! What is a flag match ? Well, it's very simple. I just must take the stars and stripes to win the match and show to the world that the United States of America are definitely better, bigger and badder than the terrorism.
Tout le monde à Ground Zero se lève pour applaudir Ken Anderson, représentant de la Nation.
Mister Anderson – But, we don't need to waste more time. Ladies and gentleman, boys and girls of all ages, let me introduce to you the guy who's gonna win this contest. He is a proud American man from Greeeeen Bay, Wisconsin. He is known as the Talk-Louder, the Leader of the Assholes, the American Patriot, the Green-Bay Loudmouth, trash-talker, pork eater, and a freakin' muslim hater, weighin' tonight at the absolute perfect 243 pounds of American pride, I am Mister Andersooooon...
« ANDERSON ! »
Tu noteras au passage l'incroyable rime que même Joël Gertner jalouse.
Mister Anderson – Wait for it, wait for it...
Mister Anderson – ANDERSON.
Le bonhomme reçoit une putain d'ovation. Pour les plus anglophones, c'est un plaisir de lire ça, pour les moins bons, c'est un vrai calvaire de tout traduire sur google traduction.
Mister Anderson – And now his opponent. He is from the marvelous oil country of Iraq, the country who's under the US Army's domination. He don't eat pork, he don't drink, he don't like the United States of America, and more than everything, he is a fuckin' jihadist. He is as tall as Saddam Hussein after his hanging, weighin' a five hundred pounds of crap, he is a little motherfuckin' biatch... Abdallah, fuck your name 'cause we don't care, Tarver !
Il n'en fallait pas plus pour Anderson qui terminera d'exprimer le fond de sa pensée sur la gueule d'Abdallah un peu plus tard. Pendant que le héros de tout le pays descend la rampe, un homme vêtu d'une longue blouse blanche et d'une longue barbe noir arrive, dépliant un large papier.
Abdul Kader Keita – إنقاذ الأطفال، والمعتوه، والنساء، والكهنة والشيوخ والعجزة، إلا إذا شاركت في القتال. ولكن لن تكون هناك رحمة للرجال الذين تجرأوا على تلطيخ الشرف ، والكرامة والاحترام للمسلمين في جميع أنحاء العالم. هذه الليلة، فإن الأميركيين الفقراء المنافقين، سوف تتلقى أكبر كارثة ما هو معروف الاسم. أسوأ بكثير من الفيضانات. أكثر بشاعة من الضفادع. أكثر رعبا من الهجمات في لندن ومدريد. الليلة هو عودة الكبرى للالجهادية لا يصدق، والمعروفة باسم منيب ، عبد الله "المخلص الجهادية" تارفير. يا الله اكبر.
L'homme repart en backstages sous les huées du peuple Américain. Personne n'a rien comprit, Algari ne sait pas lire l'arabe, et Aurelie pense que la religion est un sujet tabou, alors j'vais vous dire, pas la peine de vous embêter à traduire, bien que tout ce texte ait un réel sens. Ce qu'il faut simplement retenir, c'est que l'homme a annoncé le retour du sauveur jihadiste, dont la puissance est plus terrible encore que le déluge et les grenouilles, Abdallah "Penitent" Tarver. L'homme arrive d'ailleurs sous une horde de huées.
Le peuple hue son ennemi qui descend la rampe avec un visage sombre, fermé, et dont la haine peut aisément se lire dans les yeux. Abdallah fixe un homme, Ken Anderson, et meurt d'envie de le tuer. Ce soir, ce n'est pas qu'un simple match pour l'honneur du drapeau, c'est aussi une putain de guerre, que notre Nation gagnera, et cela deviendra légendaire, oui.
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Age : 59
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Attitude : 3:16
Re: Ground Zero.
Booker T – Ça fait des semaines qu'on attend cette confrontation et elle va enfin avoir lieu, Bill !
Bill DeMott – Ouais, après des semaines de combat à distance, ils vont enfin se foutre sur la gueule. Et après nous avoir autant cassé les couilles, ils ont intérêt à se saigner la tronche !
Booker T – Tarver prend tout son temps pour arriver jusqu'au ring. Une dernière tentative de déstabilisation, peut-être ?
Bill DeMott – Tu penses que j'ai le temps de me descendre un sandwich, ou pas ?
Abdallah s'élance enfin, drapeau sur l'épaule. Il monte sur le ring et fait face à Anderson qui est déjà prêt à passer à l'action.
Mais Tarver fait signe à ce dernier de patienter. Il va pour placer son drapeau jihadiste dans le coin, mais au dernier moment il se retourne et envoie un énorme coup de drapeau dans la gueule d'Anderson !
Booker T – Voila ce qui s'appelle un opportuniste ! Le match n'a même pas encore commencé que les coups bas commencent déjà.
Bill DeMott – Cet enculé ne m'a même pas laissé le temps de croquer dans mon sandwich. Il a intérêt à m'offrir un spectacle qui me le fera rapidement oublier !
» FIGHT ! «
L'arbitre demande le drapeau des mains de Tarver pour aller le placer, mais ce dernier le repousse en lui disant qu'un sale américain ne touchera jamais ce drapeau, ce qui a le don d'exciter encore plus la foule qui prend un malin plaisir à insulter Tarver. Il va le placer lui-même, avant que la cloche ne sonne enfin. Abdallah en profite pour remonter rapidement sur le coin dont il venait de descendre, mais Anderson revient, l'attrape par la peau du cul et le ramène violemment contre le ring ! Kenneth envoie plusieurs droites au sol à son adversaire mais ce dernier retourne la situation et se défoule en envoyant à son tour, une avalanche de coups à la tronche d'Anderson ! Tarver s'arrête enfin, il descend du ring et va s'emparer d'un poing américain ! Il a attendu très longtemps, trop longtemps pour ne pas profiter de ce combat. Il remonte sur le ring, mais Anderson vient le calmer avec une clothesline, avant de s'emparer du poing. Si une personne doit utiliser ce poing américain, c'est bel et bien l'Américain de ce combat. Anderson attend que Tarver se relève avant de lui envoyer un coup d'une rare violence au visage, qui fait saigner Abdallah ! La foule est en délire et Anderson profite de cette ambiance pour continuer à attaquer le visage de Tarver, à coups de poing américain ! Ce dernier est complètement en sang ! Anderson finit par s'arrêter, il enlève le poing et continue de jouer avec la foule avec de monter sur le coin pour décrocher le drapeau américain... mais les quelques secondes qu'il a perdu à s'amuser ont suffit à Tarver pour se relever, ce dernier envoie un low blow à Anderson qui chute lourdement sur le ring ! Tarver ne tient presque plus sur ses jambes, mais il a encore assez de force pour effectuer un headlock à Anderson... qui se défait de l'emprise, effectue une german suplex et enchaîne lui-même avec un headlock au sol !
« USA ! USA ! USA ! »
Booker T – Je ne compte même plus le nombre de retournement de situation qu'il y a déjà eu dans ce combat.
Bill DeMott – Et écoute-moi cette foule, Booker ! Ils ont beau avoir de la poussière dans la gueule, des chaises de merde, un emplacement pourri et un confort plus que rudimentaire, ils continuent à montrer à l'adversaire qu'on est en Amérique et qu'on est fiers d'être des citoyens de ce pays !
Booker T – This is the United States of America, suckas' !
« USA ! USA ! USA ! »
Malgré tout ce monde qui est contre lui, Abdallah nous prouve qu'il a un mental d'acier en se relevant progressivement et en finissant par se défaire de l'emprise d'Anderson avant de le repousser dans les cordes, et de l'accueillir, à son retour, avec un surpassement qui fait chuter les deux hommes ! Mais Tarver profite de ce temps fort pour traîner jusqu'au coin où se trouve son drapeau, il s'appuie sur le turnbuckle pour se relever et monte très lentement, mais malheureusement pour lui, Anderson revient rapidement et lui envoie un dropkick dans son dos, qui le propulse, tête la première, contre le poteau où est le drapeau jihadiste ! Tarver bascule juste après le choc et il retombe en dehors du ring ! Abdallah Tarver, le jihadiste, vient de bouffer le sol de Ground Zero ! L'impact a été très violent et l'arbitre va voir si Tarver est toujours conscient ! Anderson, lui, va chercher une chaise à côté de la table des commentateurs, il veut en finir ! Il balance la chaise dans le ring et va chercher Tarver qui ne bouge toujours pas. Il le remet sur le ring et remonte derrière lui, il place la chaise devant un coin du ring, pose Tarver sur ce même coin et le rejoint. Qu'est-ce qu'il prépare ? Il se met debout sur le turnbuckle et soulève Tarver sur ses épaules ! Qu'est-ce qu'il fout ?! Il va s'élancer pour le... Tarver contre en snap DDT directement sur la chaise ! Le public n'en croit pas ses yeux, Booker T et Bill DeMott n'en croient pas leurs yeux, tout le monde croyait que le match touchait à sa fin, mais Tarver nous a une nouvelle fois surpris en renversant la situation, pour l'énième fois dans ce combat.
« TARVER SUCKS ! TARVER SUCKS ! TARVER SUCKS ! »
Booker T – C'est un match de folie, Bill ! Ça part dans tous les sens, les deux hommes donnent leur maximum et nous offrent un spectacle incroyable !
Bill DeMott – Putain, il faut que l'Amérique l'emporte, cette pute d'Anderson a intérêt de revenir rapidement dans le combat !
« JIHAD SUCKS ! JIHAD SUCKS ! JIHAD SUCKS ! »
Les deux hommes sont au sol, ils ne réagissent plus, ils ne bougent plus, ils sont inertes. L'arbitre est obligé d'intervenir pour la seconde fois depuis le début ce combat, afin de prendre des nouvelles des lutteurs. Mais contre toute attente, Tarver se relève enfin. Il a la tête en sang et il ne sait sans doute plus où il est, mais il reste quelques secondes appuyé contre le coin avant de relever Anderson. Il se prépare pour en terminer une bonne fois pour toute, mais il se fait surprendre par un... Mic Check ! La foule explose, exulte, crie, gueule, chante, Booker T s'est levé de sa chaise, DeMott a renversé la sienne et Anderson, après avoir repris son souffle, commence à gravir le coin du ring, son coin, là où il y a le drapeau américain ! Il lève son pied pour gravir le dernier échelon avant la victoire... mais quelque chose le retient ! Tarver est là, gisant sur le sol, mais il est parvenu à attraper le pied de son adversaire au dernier moment ! Anderson ne peut plus progresser, il essaye de se défaire de la main d'Abdallah, mais ce dernier est bien accroché. Il redescend donc du coin, se défait de l'emprise de Tarver, le re-... low blow d'Abdallah ! Anderson se plie en deux, il se tient les parties intimes, alors que Tarver se relève péniblement. Kenneth se retourne vers son adversaire qui va placer son finisher, Tarver soulève son opposant, mais ce dernier le contre et redescend sur le ring, avant de prendre Abdallahh pour son Green Bay Plunge !
Bill DeMott – DO IT, KID ! DO IT !
Booker T – Green Bay Plunge sur Abdallah Tarver ! Il l'a fait, Bill ! Anderson décroche le drapeau américain !
Bill DeMott – Ce fils de pute mérite un title shot, rien que pour ça !
Booker T – N'allons pas aussi loin. Mais ce soir, Anderson nous a prouvé qu'il en avait dans le ventre en plus d'envoyer un message très clair à toute l'AWC... il faudra compter avec lui !
Anderson lève le drapeau américain haut dans le ciel sous les chants, les acclamations et les applaudissements de la foule. Il le met autour de ses épaules avant de faire un tour d'honneur du ring. Il va même célébrer sa victoire dans le public, avec les fans. En moins d'une demie-heure, il vient de devenir l'un des favoris de la foule, et il l'a amplement mérité, vu le combat qu'il vient de disputer. Ken Anderson finit par aller chercher une échelle sous le ring, il la pose à côté du poteau où était accroché le drapeau américain et monte tout en haut pour le remettre à sa réelle place, au sommet.
« USA ! USA ! USA ! »
Il y a dix ans, l'Amérique a vécu l'un des jours les plus sombres de son histoire. Ce soir, elle est au-dessus du reste du monde. Ce soir, grâce à Mister Anderson, l'Amérique a triomphé.
Bill DeMott – Ouais, après des semaines de combat à distance, ils vont enfin se foutre sur la gueule. Et après nous avoir autant cassé les couilles, ils ont intérêt à se saigner la tronche !
Booker T – Tarver prend tout son temps pour arriver jusqu'au ring. Une dernière tentative de déstabilisation, peut-être ?
Bill DeMott – Tu penses que j'ai le temps de me descendre un sandwich, ou pas ?
Abdallah s'élance enfin, drapeau sur l'épaule. Il monte sur le ring et fait face à Anderson qui est déjà prêt à passer à l'action.
Mais Tarver fait signe à ce dernier de patienter. Il va pour placer son drapeau jihadiste dans le coin, mais au dernier moment il se retourne et envoie un énorme coup de drapeau dans la gueule d'Anderson !
Booker T – Voila ce qui s'appelle un opportuniste ! Le match n'a même pas encore commencé que les coups bas commencent déjà.
Bill DeMott – Cet enculé ne m'a même pas laissé le temps de croquer dans mon sandwich. Il a intérêt à m'offrir un spectacle qui me le fera rapidement oublier !
» FIGHT ! «
L'arbitre demande le drapeau des mains de Tarver pour aller le placer, mais ce dernier le repousse en lui disant qu'un sale américain ne touchera jamais ce drapeau, ce qui a le don d'exciter encore plus la foule qui prend un malin plaisir à insulter Tarver. Il va le placer lui-même, avant que la cloche ne sonne enfin. Abdallah en profite pour remonter rapidement sur le coin dont il venait de descendre, mais Anderson revient, l'attrape par la peau du cul et le ramène violemment contre le ring ! Kenneth envoie plusieurs droites au sol à son adversaire mais ce dernier retourne la situation et se défoule en envoyant à son tour, une avalanche de coups à la tronche d'Anderson ! Tarver s'arrête enfin, il descend du ring et va s'emparer d'un poing américain ! Il a attendu très longtemps, trop longtemps pour ne pas profiter de ce combat. Il remonte sur le ring, mais Anderson vient le calmer avec une clothesline, avant de s'emparer du poing. Si une personne doit utiliser ce poing américain, c'est bel et bien l'Américain de ce combat. Anderson attend que Tarver se relève avant de lui envoyer un coup d'une rare violence au visage, qui fait saigner Abdallah ! La foule est en délire et Anderson profite de cette ambiance pour continuer à attaquer le visage de Tarver, à coups de poing américain ! Ce dernier est complètement en sang ! Anderson finit par s'arrêter, il enlève le poing et continue de jouer avec la foule avec de monter sur le coin pour décrocher le drapeau américain... mais les quelques secondes qu'il a perdu à s'amuser ont suffit à Tarver pour se relever, ce dernier envoie un low blow à Anderson qui chute lourdement sur le ring ! Tarver ne tient presque plus sur ses jambes, mais il a encore assez de force pour effectuer un headlock à Anderson... qui se défait de l'emprise, effectue une german suplex et enchaîne lui-même avec un headlock au sol !
« USA ! USA ! USA ! »
Booker T – Je ne compte même plus le nombre de retournement de situation qu'il y a déjà eu dans ce combat.
Bill DeMott – Et écoute-moi cette foule, Booker ! Ils ont beau avoir de la poussière dans la gueule, des chaises de merde, un emplacement pourri et un confort plus que rudimentaire, ils continuent à montrer à l'adversaire qu'on est en Amérique et qu'on est fiers d'être des citoyens de ce pays !
Booker T – This is the United States of America, suckas' !
« USA ! USA ! USA ! »
Malgré tout ce monde qui est contre lui, Abdallah nous prouve qu'il a un mental d'acier en se relevant progressivement et en finissant par se défaire de l'emprise d'Anderson avant de le repousser dans les cordes, et de l'accueillir, à son retour, avec un surpassement qui fait chuter les deux hommes ! Mais Tarver profite de ce temps fort pour traîner jusqu'au coin où se trouve son drapeau, il s'appuie sur le turnbuckle pour se relever et monte très lentement, mais malheureusement pour lui, Anderson revient rapidement et lui envoie un dropkick dans son dos, qui le propulse, tête la première, contre le poteau où est le drapeau jihadiste ! Tarver bascule juste après le choc et il retombe en dehors du ring ! Abdallah Tarver, le jihadiste, vient de bouffer le sol de Ground Zero ! L'impact a été très violent et l'arbitre va voir si Tarver est toujours conscient ! Anderson, lui, va chercher une chaise à côté de la table des commentateurs, il veut en finir ! Il balance la chaise dans le ring et va chercher Tarver qui ne bouge toujours pas. Il le remet sur le ring et remonte derrière lui, il place la chaise devant un coin du ring, pose Tarver sur ce même coin et le rejoint. Qu'est-ce qu'il prépare ? Il se met debout sur le turnbuckle et soulève Tarver sur ses épaules ! Qu'est-ce qu'il fout ?! Il va s'élancer pour le... Tarver contre en snap DDT directement sur la chaise ! Le public n'en croit pas ses yeux, Booker T et Bill DeMott n'en croient pas leurs yeux, tout le monde croyait que le match touchait à sa fin, mais Tarver nous a une nouvelle fois surpris en renversant la situation, pour l'énième fois dans ce combat.
« TARVER SUCKS ! TARVER SUCKS ! TARVER SUCKS ! »
Booker T – C'est un match de folie, Bill ! Ça part dans tous les sens, les deux hommes donnent leur maximum et nous offrent un spectacle incroyable !
Bill DeMott – Putain, il faut que l'Amérique l'emporte, cette pute d'Anderson a intérêt de revenir rapidement dans le combat !
« JIHAD SUCKS ! JIHAD SUCKS ! JIHAD SUCKS ! »
Les deux hommes sont au sol, ils ne réagissent plus, ils ne bougent plus, ils sont inertes. L'arbitre est obligé d'intervenir pour la seconde fois depuis le début ce combat, afin de prendre des nouvelles des lutteurs. Mais contre toute attente, Tarver se relève enfin. Il a la tête en sang et il ne sait sans doute plus où il est, mais il reste quelques secondes appuyé contre le coin avant de relever Anderson. Il se prépare pour en terminer une bonne fois pour toute, mais il se fait surprendre par un... Mic Check ! La foule explose, exulte, crie, gueule, chante, Booker T s'est levé de sa chaise, DeMott a renversé la sienne et Anderson, après avoir repris son souffle, commence à gravir le coin du ring, son coin, là où il y a le drapeau américain ! Il lève son pied pour gravir le dernier échelon avant la victoire... mais quelque chose le retient ! Tarver est là, gisant sur le sol, mais il est parvenu à attraper le pied de son adversaire au dernier moment ! Anderson ne peut plus progresser, il essaye de se défaire de la main d'Abdallah, mais ce dernier est bien accroché. Il redescend donc du coin, se défait de l'emprise de Tarver, le re-... low blow d'Abdallah ! Anderson se plie en deux, il se tient les parties intimes, alors que Tarver se relève péniblement. Kenneth se retourne vers son adversaire qui va placer son finisher, Tarver soulève son opposant, mais ce dernier le contre et redescend sur le ring, avant de prendre Abdallahh pour son Green Bay Plunge !
Bill DeMott – DO IT, KID ! DO IT !
Booker T – Green Bay Plunge sur Abdallah Tarver ! Il l'a fait, Bill ! Anderson décroche le drapeau américain !
Bill DeMott – Ce fils de pute mérite un title shot, rien que pour ça !
Booker T – N'allons pas aussi loin. Mais ce soir, Anderson nous a prouvé qu'il en avait dans le ventre en plus d'envoyer un message très clair à toute l'AWC... il faudra compter avec lui !
Anderson lève le drapeau américain haut dans le ciel sous les chants, les acclamations et les applaudissements de la foule. Il le met autour de ses épaules avant de faire un tour d'honneur du ring. Il va même célébrer sa victoire dans le public, avec les fans. En moins d'une demie-heure, il vient de devenir l'un des favoris de la foule, et il l'a amplement mérité, vu le combat qu'il vient de disputer. Ken Anderson finit par aller chercher une échelle sous le ring, il la pose à côté du poteau où était accroché le drapeau américain et monte tout en haut pour le remettre à sa réelle place, au sommet.
« USA ! USA ! USA ! »
Il y a dix ans, l'Amérique a vécu l'un des jours les plus sombres de son histoire. Ce soir, elle est au-dessus du reste du monde. Ce soir, grâce à Mister Anderson, l'Amérique a triomphé.
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Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Ground Zero.
Ce magnifique Pay Per View qu'est Ground Zero se rapproche de sa fin. Il ne reste plus que trois matchs sur la carte, et quels matchs ! Il reste l'opposition entre Triple H et John Cena, il reste le main event entre Christian Cage et l'Undertaker. Mais maintenant, tout de suite, c'est l'heure du match pour les titres par équipe de l'AWC, actuellement détenus par Gregory Helms et Bryan Danielson, la World's Greatest Alliance. Leurs opposants du soir, les Dudley Boyz font leur entrée.
Les deux frangins arrivent en compagnie de toute leur petite famille, mais également avec une table qu'ils déposent à côté du ring, le reste de la famille montant sur celui-ci. On a Studley Dudley, la duchesse de Dudleyville, Stacy Keibler, Sign Guy Dudley, et... Qui est cette autre femme avec eux ? C'est... Jenna Jameson !
Studley Dudley - Well .. Well .. Well .. It is I. The Lyrical Miracle. I'm the Quintessential Studdmuffin. Hey god, I know I'm not your friend, but I make ladies scream your name, time and time again. Why ? The only reason, is that I'm a pussy-lickin' demon ! But you, father of all, you know my name. I amStudley, the man of ladies' dream, the on who make them scream by fullfilling them with my cream, Dudley.
Le Madison Square Garden tout entier hue à pleins poumons. Ils crient leur haine envers les frères Dudleys, et aussi un peu de leur jalousie envers Studley. Ce dernier se tourne alors vers la magnifique blonde qui l'accompagne, et voyant ça, Stacy semble avoir de jalousie dans le regard.
Studley Dudley - And let me introduce to you the queen of blowjob, the ultimate star of porn. I just fucked her before to come, and be sure as heel i'm gonna do it after, Lady Dudley, Jenna don't call her slut Jameson.
La foule se met à gueuler "show your boobs", et oui, ça ne marche pas qu'avec Stephanie McMahon. Studley se tourne alors vers Sign Guy à qui il fait signe d'avancer, mais Stacy lui tape sur l'épaule, apparemment elle est pas contente de passer après le muet, mais Studley va arranger ça.
Studley Dudley - And now, introducing to you the jewel of the family. The lady of all your fantasy, the one who make George Clooney ejaculate. She's the Duchess of Dudleyville, Stacy, more class, more beauty and more sex-appeal than Velvet Sky, Keibler.
Et après "show your boobs", c'est "show your ass" que la foule crie. Stacy fait comme si de rien n'était et va faire un bisou sur la joue de son cousin qui en profite pour plonger son regard dans son décolleté.
Studley Dudley - And that guy with that very sign in this hands, yes, that mute guy, he is Sign Guy, I don't know what to say about him, so let's wonder I've made some intelligent and very funny rhymes, Dudley.
Le petit muet de la famille est content, et maintenant c'est le tour des deux aînés. J'aurais put faire traîner ça en ramenant toute la famille, Chubby, Snot, Dances With, Shmuck, Psycho Sam, et les autres one night only comme Jenna, Molly Holly, les Bushwakers, etc. Mais non, on se rapproche déjà de la fin de LA prise de parole du show, celle de Studley Dudley.
Studley Dudley - And going down in history as the greatest tag team that ever freakin' live, they are legends among the legends. In few minutes, they are gonna be 24 time tag team champions of the world, Bubba Ray and Devon, THE...
Gregory Helms - VOUS AVEZ VOULU UNE GUERRE, VOUS L'AVEZ !
Et c'est le cas de le dire, Gregory Helms et Bryan Danielson, suivis de Velvet Sky rushent sur le ring. Helms et Bubba s'échangent des droites, alors que Danielson envoi des coups de coudes à Devon qui lui réponds avec des gauches. Velvet, elle, s'est jetée sur Stacy Keibler, et c'est un cat fight devant Studley Dudley qui en profite pour se rincer l' œil. Il est encore plus content quand Jenna Jameson se jette dans la mêlée dans le but d'aider Velvet. Les trois femmes roulent en dehors du ring et Studley, ainsi que Sign Guy, les suivent pour se rincer l'œil de plus belle. Sur le ring, ça dégénère, Danielson a fait reculer Devon contre un coin, mais Bubba prend l'avantage sur Helms qui recule pas à pas. Bubba l'envoi dans les cordes opposées et l'accueille avec un putain de coup de boule qui couche le Greatest Cruiserweight Alive.
Bubba a la tête des mauvais jours et vient aider son frère avec Danielson. C'est seulement maintenant qu'un arbitre se décide à arriver, il essaye de faire reculer Devon mais celui ci le repousse. Danielson se débat comme un beau diable et fait reculer Bubba Ray avec un putain de coup de pied dans la tête, il fait de même avec Devon, Danielson est en feu, se déchaîne, porté par la foule qui gueule son nom. L'American Dragon part dans les cordes, double clothesline ! Mais ça ne suffit pas à faire chuter les frères Dudleys qui attrapent Danielson par la gorge, double chokeslam ! Danielson roule en dehors du ring en se tenant le dos. L'arbitre demande aux Dudleys que l'un d'entre eux passe derrière les cordes pour que le match commence. Mais Gregory Helms ne l'entend pas de cette oreille, dropkick sur Devon qui roule en dehors du ring ! L'arbitre s'interpose entre Bubba Ray et Gregory Helms et fait faire sonner la cloche. Bubba contre Helms, leurs coéquipiers chacun en dehors du ring d'un côté différent, le match peu enfin commencer. Velvet, elle, s'est repliée et va du côté du coin des champions pour encourager son petit ami, sans même accorder un regard à Danielson qui gît à ses pieds. Stacy, et Sign Guy vont eux s'occuper de Devon alors que Jenna et Studley encouragent Bubba Ray.
Les deux frangins arrivent en compagnie de toute leur petite famille, mais également avec une table qu'ils déposent à côté du ring, le reste de la famille montant sur celui-ci. On a Studley Dudley, la duchesse de Dudleyville, Stacy Keibler, Sign Guy Dudley, et... Qui est cette autre femme avec eux ? C'est... Jenna Jameson !
Studley Dudley - Well .. Well .. Well .. It is I. The Lyrical Miracle. I'm the Quintessential Studdmuffin. Hey god, I know I'm not your friend, but I make ladies scream your name, time and time again. Why ? The only reason, is that I'm a pussy-lickin' demon ! But you, father of all, you know my name. I amStudley, the man of ladies' dream, the on who make them scream by fullfilling them with my cream, Dudley.
Le Madison Square Garden tout entier hue à pleins poumons. Ils crient leur haine envers les frères Dudleys, et aussi un peu de leur jalousie envers Studley. Ce dernier se tourne alors vers la magnifique blonde qui l'accompagne, et voyant ça, Stacy semble avoir de jalousie dans le regard.
Studley Dudley - And let me introduce to you the queen of blowjob, the ultimate star of porn. I just fucked her before to come, and be sure as heel i'm gonna do it after, Lady Dudley, Jenna don't call her slut Jameson.
La foule se met à gueuler "show your boobs", et oui, ça ne marche pas qu'avec Stephanie McMahon. Studley se tourne alors vers Sign Guy à qui il fait signe d'avancer, mais Stacy lui tape sur l'épaule, apparemment elle est pas contente de passer après le muet, mais Studley va arranger ça.
Studley Dudley - And now, introducing to you the jewel of the family. The lady of all your fantasy, the one who make George Clooney ejaculate. She's the Duchess of Dudleyville, Stacy, more class, more beauty and more sex-appeal than Velvet Sky, Keibler.
Et après "show your boobs", c'est "show your ass" que la foule crie. Stacy fait comme si de rien n'était et va faire un bisou sur la joue de son cousin qui en profite pour plonger son regard dans son décolleté.
Studley Dudley - And that guy with that very sign in this hands, yes, that mute guy, he is Sign Guy, I don't know what to say about him, so let's wonder I've made some intelligent and very funny rhymes, Dudley.
Le petit muet de la famille est content, et maintenant c'est le tour des deux aînés. J'aurais put faire traîner ça en ramenant toute la famille, Chubby, Snot, Dances With, Shmuck, Psycho Sam, et les autres one night only comme Jenna, Molly Holly, les Bushwakers, etc. Mais non, on se rapproche déjà de la fin de LA prise de parole du show, celle de Studley Dudley.
Studley Dudley - And going down in history as the greatest tag team that ever freakin' live, they are legends among the legends. In few minutes, they are gonna be 24 time tag team champions of the world, Bubba Ray and Devon, THE...
Gregory Helms - VOUS AVEZ VOULU UNE GUERRE, VOUS L'AVEZ !
Et c'est le cas de le dire, Gregory Helms et Bryan Danielson, suivis de Velvet Sky rushent sur le ring. Helms et Bubba s'échangent des droites, alors que Danielson envoi des coups de coudes à Devon qui lui réponds avec des gauches. Velvet, elle, s'est jetée sur Stacy Keibler, et c'est un cat fight devant Studley Dudley qui en profite pour se rincer l' œil. Il est encore plus content quand Jenna Jameson se jette dans la mêlée dans le but d'aider Velvet. Les trois femmes roulent en dehors du ring et Studley, ainsi que Sign Guy, les suivent pour se rincer l'œil de plus belle. Sur le ring, ça dégénère, Danielson a fait reculer Devon contre un coin, mais Bubba prend l'avantage sur Helms qui recule pas à pas. Bubba l'envoi dans les cordes opposées et l'accueille avec un putain de coup de boule qui couche le Greatest Cruiserweight Alive.
Bubba a la tête des mauvais jours et vient aider son frère avec Danielson. C'est seulement maintenant qu'un arbitre se décide à arriver, il essaye de faire reculer Devon mais celui ci le repousse. Danielson se débat comme un beau diable et fait reculer Bubba Ray avec un putain de coup de pied dans la tête, il fait de même avec Devon, Danielson est en feu, se déchaîne, porté par la foule qui gueule son nom. L'American Dragon part dans les cordes, double clothesline ! Mais ça ne suffit pas à faire chuter les frères Dudleys qui attrapent Danielson par la gorge, double chokeslam ! Danielson roule en dehors du ring en se tenant le dos. L'arbitre demande aux Dudleys que l'un d'entre eux passe derrière les cordes pour que le match commence. Mais Gregory Helms ne l'entend pas de cette oreille, dropkick sur Devon qui roule en dehors du ring ! L'arbitre s'interpose entre Bubba Ray et Gregory Helms et fait faire sonner la cloche. Bubba contre Helms, leurs coéquipiers chacun en dehors du ring d'un côté différent, le match peu enfin commencer. Velvet, elle, s'est repliée et va du côté du coin des champions pour encourager son petit ami, sans même accorder un regard à Danielson qui gît à ses pieds. Stacy, et Sign Guy vont eux s'occuper de Devon alors que Jenna et Studley encouragent Bubba Ray.
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Attitude : 3:16
Re: Ground Zero.
Booker T – L'arbitre a enfin ramené l'ordre, le match va pouvoir débuter.
Bill DeMott – A quoi ça sert de ramener l'ordre puisque c'est un putain de No Holds Barred match ? Franchement, dis moi Booker.
Booker T – C'est juste pour la forme, Bill.
Bill DeMott – J'comprend toujours pas. Mec, ces gars se haïssent, ils vont p'têt bien s'entre tuer pendant ce match. Pourquoi ce con d'arbitre les a pas laissé se battre ?
» FIGHT ! «
Bubba et Danielson se jettent l'un sur l'autre dès que la cloche sonne. Les coups de poings pleuvent, et à ce jeu c'est le natif de Dudleyville qui prend l'avantage de par son gabarit et sa force plus imposants. Il accule Gregory Helms dans un coin, monte sur la première corde devant lui et il lui mord le front ! Bubba vient d'enlever un peu de peau au front de Helms, d'où sors un léger filet de sang ! Ce match commence bien, et Bubba envoi Helms dans l'autre coin, lui court après, sauf que Helms prend exemple sur son coéquipier et saute sur les cordes pour passer derrière son adversaires. Il l'attrape par la gorge, oh mon dieu, c'est déjà fini ! Nightmare on Helms Street ! Le tombé, un, deux, non ! Devon est monté sur le ring pour briser le tombé. Il est très vite rejoint par Danielson qui lui envoi des coups de coude dans le visage pour le faire reculer. Devon est contre les cordes, devant lui Helms a rejoint Danielson... Double Superkick ! Devon passe par dessus les troisième corde, mais les champions par équipe ont chacun un pied coincé sur la troisième corde. Bubba se relève, chancelant et voit qu'il a l'avantage, il prend de l'élan, double lariat dans les nuques de l'auto proclamée meilleure alliance au monde ! Les champions rejoignent Devon au pied de la table des commentateurs, et Bubba à son tour descend. La foule encourage les champions, aussi Bubba prend le temps d'insulter quelques mecs aux premiers rang. Derrière, Devon s'est relevé, les deux frères se regardent, Bubba pousse Devon. "GET THE TABLE !" C'est parti ! Devon farfouille sur le ring d'où il sort une table. Avec l'aide de Stacy Keibler il l'amène sur le ring et en déplie les pieds tandis que Bubba assène des coups de poings à Helms qui essaye de se relever. Mais il lui ne peut pas, Danielson le peut, il est derrière Bubba, le prend pour sa Dragon Suplex... Mais il n'arrive pas à soulever Bubba !
Bill DeMott – Maintenant tu comprends pourquoi je mange autant ?
Booker T – Parce que tu comptes remonter sur le ring toi ? Argument caduc, t'es un gros t'es un gros Bill, fais comme les Dudleys, assume.
Bill DeMott – Ta gueule.
Mais si Bubba ne peut pas être soulevé, il est prit dans le full nelson lock du dragon américain, et devant lui Gregory Helms, le meilleur poids léger de tous les temps se relève. Bubba est dans une impasse, mais... Chairshot ! Studley Dudley, peut être mieux connu sous le nom de Joël Gertner, vient d'envoyer un putain de coup de chaise dans le dos de Danielson, qui du coup lâche la prise. Bubba se retourne et Studley lui donne la chaise avec une sourire. Helms est encerclé, à sa droite, sur le ring, Devon et Stacy ont mit la table, et l'attendent, devant, Bubba a une chaise, à sa gauche, la table des commentateurs, et derrière lui, il y a Sign Guy et Jenna Jameson. Greg Helms a alors un coup de génie, en prenant appui sur la table des commentateurs, il envoi un putain d'enzuguri dans la tête de Bubba Ray Dudley ! Helms prend la chaise et monte sur le ring. Stacy recule, apeurée, et Devon lui fait face. La moitié des champions par équipe y va d'un coup de chaise sur le crâne de l'afro américain ! Devon titube, un pas en arrière, un autre en avant, mais il tient bon, Helms y va d'un second coup de chaise qui ébranle un peu plus Devon Dudley. Gregory ne sait plus quoi faire, il envoi alors sa chaise à Devon qui l'attrape devant sa tête, tente un coup de pied dans la chaise qui rebondirai sur le visage de Devon, sauf que celui ci esquive ! Devon, chancelant, a maintenant la chaise, Helms est dos aux cordes, mais sa fiancée vient de monter sur le ring, Devon lève la chaise, mais Velvet Sky la retient ! Devon se retourne et arrache la chaise des mains de Velvet, Stacy en profite pour se jeter sur cette dernière catfight ! catfight ! Encore un ! Les deux femmes roulent en dehors du ring et Jenna Jameson aide Stacy. Elles ont Velvet de debout et... Putain qu'est ce qu'elles font... DUDLEY DEATH DROP ! 3D DE STACY KEIBLER ET JENNA JAMESON SUR VELVET SKY EN DEHORS DU RING !
Booker T – S'il lui reste toutes ses dents, j'applaudis.
Bill DeMott – Bah c'est ce que fait l'autre porc qui se prend pour un tombeur, il applaudit sa cousine et l'autre pute.
Mais si Studley est content, Helms ne l'est pas, il est horrifié et se lance sur Devon avec une rage nouvelle, le faisant tomber. A la Stone Cold, il l'a couché au sol avec un Lou Thesz Press et maintenant s'acharne sur lui avec des droites et des gauches. Mais Bubba Ray Dudley s'est relevé, il cherche sous le ring et en sort ce qu'il cherchait... Une rappe à fromage ! Bubba est très dangereux avec ça, il monte sur le ring, et bam ! Coup de rappe sur le haut du crâne de Helms. Il roule sur le côté mais n'est pas K.O., seulement ce n'était pas le but de Bubba qui applique la rape sur le front de Helms ! Celui ci qui saignait un peu se met à pisser du sang comme un porc qu'on égorge, et un crimson mask vient très vite lui recouvrir le visage. Bubba et Devon relèvent Helms, la table n'est pas loin, ils sont parti pour faire un massacre. Bubba monte sur la troisième corde, devant la table, et Devon lui "passe" le Greatest Cruiserweight Alive. Bubba est en position, il va envoyer une putain de Bubba Bomb à travers la table, mais il semble avoir oublié quelqu'un. Le Best Wrestler In Da' World, Bryan Danielson bondit sur l'apron et fait lâcher Bubba. Helms tombe juste devant la table, et Danielson se sert de la troisième corde pour envoyer son pied dans le visage de Bubba qui reste, groggy, assit sur la troisième corde. Danielson veut passer de l'autre côté des cordes, mais Jenna Jameson, en dehors du ring, lui retient le pied, il s'en fiche, coup de pied dans le visage de la star du porno ! Danielson monte dans le ring, roaring elbow sur Devon ! Il s'écroule par terre, et la foule a comme le sentiment que c'est fini. Danielson s'avise de Helms qui a roulé en dehors du ring, son front pissant le sang, il va vers Bubba et monte sur la seconde corde. Il est parti pour lancer un super hurracanrana à travers la table. Il se lance, il y va... C'est contré ! Et Bubba s'élance, BUBBA BOMB THROUGHT THE TABLE ! Bubba s'effondre à côté de Danielson, et tente le tombé pour la seule et unique fois du match, un, deux, trois, c'est gagné.
Booker T – Nouveaux champions !
Bill DeMott – Les Dudleys l'avaient dit, ça allait être une guerre, et pour une fois, je dis bien pour une fois, ils ont pas dit de conneries.
Bubba rampe jusqu'aux cordes et s'en aide pour se relever. Sign Guy et Studley, eux, aident un Devon à moitié inconscient à se relever également. La Duchesse de Dudleyville prend les ceintures et les donnent à ses frères. Sous la rage de la foule qui hue à pleins poumons les deux frères, la petite famille, sauf Jenna, qui est K.O. en dehors du ring, lève les poings en l'air, tous en ligne, et deux ceintures aux mains de la meilleure équipe au monde. Les deux frères ont bien mérité de faire le tour des quatre coins du ring.
Pendant ce temps, Helms va retrouver sa petite amie, Velvet Sky, qui a une belle bosse sur le crâne mais s'est relevé, et ils quittent l'arène sans même faire attention à Bryan Danielson qui gît inconscient au centre du ring. Ce soir, la plus grande alliance a peut être perdu beaucoup plus que les ceintures de champions du monde par équipes de la fédération.
Bill DeMott – A quoi ça sert de ramener l'ordre puisque c'est un putain de No Holds Barred match ? Franchement, dis moi Booker.
Booker T – C'est juste pour la forme, Bill.
Bill DeMott – J'comprend toujours pas. Mec, ces gars se haïssent, ils vont p'têt bien s'entre tuer pendant ce match. Pourquoi ce con d'arbitre les a pas laissé se battre ?
» FIGHT ! «
Bubba et Danielson se jettent l'un sur l'autre dès que la cloche sonne. Les coups de poings pleuvent, et à ce jeu c'est le natif de Dudleyville qui prend l'avantage de par son gabarit et sa force plus imposants. Il accule Gregory Helms dans un coin, monte sur la première corde devant lui et il lui mord le front ! Bubba vient d'enlever un peu de peau au front de Helms, d'où sors un léger filet de sang ! Ce match commence bien, et Bubba envoi Helms dans l'autre coin, lui court après, sauf que Helms prend exemple sur son coéquipier et saute sur les cordes pour passer derrière son adversaires. Il l'attrape par la gorge, oh mon dieu, c'est déjà fini ! Nightmare on Helms Street ! Le tombé, un, deux, non ! Devon est monté sur le ring pour briser le tombé. Il est très vite rejoint par Danielson qui lui envoi des coups de coude dans le visage pour le faire reculer. Devon est contre les cordes, devant lui Helms a rejoint Danielson... Double Superkick ! Devon passe par dessus les troisième corde, mais les champions par équipe ont chacun un pied coincé sur la troisième corde. Bubba se relève, chancelant et voit qu'il a l'avantage, il prend de l'élan, double lariat dans les nuques de l'auto proclamée meilleure alliance au monde ! Les champions rejoignent Devon au pied de la table des commentateurs, et Bubba à son tour descend. La foule encourage les champions, aussi Bubba prend le temps d'insulter quelques mecs aux premiers rang. Derrière, Devon s'est relevé, les deux frères se regardent, Bubba pousse Devon. "GET THE TABLE !" C'est parti ! Devon farfouille sur le ring d'où il sort une table. Avec l'aide de Stacy Keibler il l'amène sur le ring et en déplie les pieds tandis que Bubba assène des coups de poings à Helms qui essaye de se relever. Mais il lui ne peut pas, Danielson le peut, il est derrière Bubba, le prend pour sa Dragon Suplex... Mais il n'arrive pas à soulever Bubba !
Bill DeMott – Maintenant tu comprends pourquoi je mange autant ?
Booker T – Parce que tu comptes remonter sur le ring toi ? Argument caduc, t'es un gros t'es un gros Bill, fais comme les Dudleys, assume.
Bill DeMott – Ta gueule.
Mais si Bubba ne peut pas être soulevé, il est prit dans le full nelson lock du dragon américain, et devant lui Gregory Helms, le meilleur poids léger de tous les temps se relève. Bubba est dans une impasse, mais... Chairshot ! Studley Dudley, peut être mieux connu sous le nom de Joël Gertner, vient d'envoyer un putain de coup de chaise dans le dos de Danielson, qui du coup lâche la prise. Bubba se retourne et Studley lui donne la chaise avec une sourire. Helms est encerclé, à sa droite, sur le ring, Devon et Stacy ont mit la table, et l'attendent, devant, Bubba a une chaise, à sa gauche, la table des commentateurs, et derrière lui, il y a Sign Guy et Jenna Jameson. Greg Helms a alors un coup de génie, en prenant appui sur la table des commentateurs, il envoi un putain d'enzuguri dans la tête de Bubba Ray Dudley ! Helms prend la chaise et monte sur le ring. Stacy recule, apeurée, et Devon lui fait face. La moitié des champions par équipe y va d'un coup de chaise sur le crâne de l'afro américain ! Devon titube, un pas en arrière, un autre en avant, mais il tient bon, Helms y va d'un second coup de chaise qui ébranle un peu plus Devon Dudley. Gregory ne sait plus quoi faire, il envoi alors sa chaise à Devon qui l'attrape devant sa tête, tente un coup de pied dans la chaise qui rebondirai sur le visage de Devon, sauf que celui ci esquive ! Devon, chancelant, a maintenant la chaise, Helms est dos aux cordes, mais sa fiancée vient de monter sur le ring, Devon lève la chaise, mais Velvet Sky la retient ! Devon se retourne et arrache la chaise des mains de Velvet, Stacy en profite pour se jeter sur cette dernière catfight ! catfight ! Encore un ! Les deux femmes roulent en dehors du ring et Jenna Jameson aide Stacy. Elles ont Velvet de debout et... Putain qu'est ce qu'elles font... DUDLEY DEATH DROP ! 3D DE STACY KEIBLER ET JENNA JAMESON SUR VELVET SKY EN DEHORS DU RING !
Booker T – S'il lui reste toutes ses dents, j'applaudis.
Bill DeMott – Bah c'est ce que fait l'autre porc qui se prend pour un tombeur, il applaudit sa cousine et l'autre pute.
Mais si Studley est content, Helms ne l'est pas, il est horrifié et se lance sur Devon avec une rage nouvelle, le faisant tomber. A la Stone Cold, il l'a couché au sol avec un Lou Thesz Press et maintenant s'acharne sur lui avec des droites et des gauches. Mais Bubba Ray Dudley s'est relevé, il cherche sous le ring et en sort ce qu'il cherchait... Une rappe à fromage ! Bubba est très dangereux avec ça, il monte sur le ring, et bam ! Coup de rappe sur le haut du crâne de Helms. Il roule sur le côté mais n'est pas K.O., seulement ce n'était pas le but de Bubba qui applique la rape sur le front de Helms ! Celui ci qui saignait un peu se met à pisser du sang comme un porc qu'on égorge, et un crimson mask vient très vite lui recouvrir le visage. Bubba et Devon relèvent Helms, la table n'est pas loin, ils sont parti pour faire un massacre. Bubba monte sur la troisième corde, devant la table, et Devon lui "passe" le Greatest Cruiserweight Alive. Bubba est en position, il va envoyer une putain de Bubba Bomb à travers la table, mais il semble avoir oublié quelqu'un. Le Best Wrestler In Da' World, Bryan Danielson bondit sur l'apron et fait lâcher Bubba. Helms tombe juste devant la table, et Danielson se sert de la troisième corde pour envoyer son pied dans le visage de Bubba qui reste, groggy, assit sur la troisième corde. Danielson veut passer de l'autre côté des cordes, mais Jenna Jameson, en dehors du ring, lui retient le pied, il s'en fiche, coup de pied dans le visage de la star du porno ! Danielson monte dans le ring, roaring elbow sur Devon ! Il s'écroule par terre, et la foule a comme le sentiment que c'est fini. Danielson s'avise de Helms qui a roulé en dehors du ring, son front pissant le sang, il va vers Bubba et monte sur la seconde corde. Il est parti pour lancer un super hurracanrana à travers la table. Il se lance, il y va... C'est contré ! Et Bubba s'élance, BUBBA BOMB THROUGHT THE TABLE ! Bubba s'effondre à côté de Danielson, et tente le tombé pour la seule et unique fois du match, un, deux, trois, c'est gagné.
Booker T – Nouveaux champions !
Bill DeMott – Les Dudleys l'avaient dit, ça allait être une guerre, et pour une fois, je dis bien pour une fois, ils ont pas dit de conneries.
Bubba rampe jusqu'aux cordes et s'en aide pour se relever. Sign Guy et Studley, eux, aident un Devon à moitié inconscient à se relever également. La Duchesse de Dudleyville prend les ceintures et les donnent à ses frères. Sous la rage de la foule qui hue à pleins poumons les deux frères, la petite famille, sauf Jenna, qui est K.O. en dehors du ring, lève les poings en l'air, tous en ligne, et deux ceintures aux mains de la meilleure équipe au monde. Les deux frères ont bien mérité de faire le tour des quatre coins du ring.
Pendant ce temps, Helms va retrouver sa petite amie, Velvet Sky, qui a une belle bosse sur le crâne mais s'est relevé, et ils quittent l'arène sans même faire attention à Bryan Danielson qui gît inconscient au centre du ring. Ce soir, la plus grande alliance a peut être perdu beaucoup plus que les ceintures de champions du monde par équipes de la fédération.
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Re: Ground Zero.
Les Dudleys sont toujours en train de célébrer leur victoire bien méritée. Après des échecs, de nombreuses défaites, de nombreux obstacles, de nombreuses difficultés et de nombreuses critiques, ils ont fini par fermer la gueule à tous ceux qui doutaient d'eux et ils sont enfin redevenus champions par équipe !
D-Von et Bubba ne réalisent toujours pas ce qu'ils ont fait. Ils ont beau être des experts en la matière, à l'AWC, plus que dans n'importe quelle autre fédération où ils sont passés, ils en ont chier pour décrocher ces ceintures. Mais malheureusement pour eux, la fête sera de courte durée...
HOLY SHIT ! Tout le monde connaît cette musique, les fans exultent et toi, derrière ton écran, je suis sur que tu gueules comme un dingue, parce que mesdames et messieurs...
Mister 4C, Mister Cool & Cash, the Bad Apple, Carlito "Carribean Cool" Colon est de retour ! Ouais, moi aussi j'invente des surnoms. Ce dernier profite de l'ovation que lui offre la foule de Ground Zero, tout en fixant dans le blanc des yeux les Dudleys.
Carlito – Après des mois d'absences et des semaines d'attentes, je suis finalement de retour, and that's cool. Mais ce n'est pas le plus important, je ne suis pas là pour voler la vedette aux Dudleys. Parce qu'après avoir chialé pendant des semaines, pissé dans leur froc à chaque fois qu'ils allaient réclamer un title shot à Stone Cold et surtout, après s'être fait humilié par de nombreux no-names et prouvé par la même occasion qu'ils sont l'une des plus mauvaises équipes du moment, au cours des dernières semaines, les Dudleys sont enfin champions.
Bubba Ray – Excuse-moi, mais... je ne me souviens pas avoir demandé l'avis d'une salope !
Carlito – Je ne vois pas de quoi tu parles, Stacy n'a pas ouvert la bouche. Bubba, ça ne sert à rien de répondre à la vérité par des insultes. Les faits sont là, les Dudley Boys ne sont devenus rien de plus qu'une équipe de gringos, qui ne sont bons qu'à gueuler partout qu'ils sont la plus grande famille du business alors qu'ils ne sont en fait que des putains de consanguins !
Bubba Ray – Qu...
Carlito – Ferme ta putain de gueule, une bonne fois pour toute ! Regarde la vérité en face, Bubba. Les Dudleys étaient déjà bien en-dessous des Colons, une famille de sang pur comme on en a rarement vu dans l'histoire de cette industrie, durant leur grande époque, alors maintenant que vous n'êtes plus que l'ombre de vous-mêmes, vous ne nous arrivez même plus à la cheville. Come on, regardez-vous. Vous pleurez de joie comme des fillettes de deux ans parce que vous avez battu deux mecs qui n'avaient jamais lutté ensemble, auparavant. Vous ne voulez pas vous barrer du ring et vous faîtes chier tous ces fans en célébrant une victoire pour laquelle vous ne devriez même pas esquisser un seul putain de sourire, tellement elle est insignifiante, au vu de vos adversaires qui ont été mis ensemble de force ! Et je suis prêt à parier que si vous remettez en jeu, que ça soit une seule fois, vos titres tag face à une vraie équipe, vous la perdriez en moins de cinq minutes de combat !
Bubba Ray – Arrête-toi là, la danseuse. Essayer de nous provoquer pour qu'on t'offre un match de championnat face à nous, c'est une technique qui ne marchera pas. On l'utilisait déjà quand vous portiez encore des couches-culottes, c'est pas avec nous que ça va fonctionner.
Carlito – Je n'ai nullement besoin de toi ou de ton frère pour avoir une chance à ces titres et les remporter. Je ne suis pas là pour ça, alors votre blabla de pseudo-équipe expérimentée, vous pouvez vous le garder. Je suis là pour faire quelque chose de beaucoup plus important, de beaucoup plus grand. Je suis là pour faire quelque chose de légendaire, pour effectuer un réel impact. Et après avoir longuement réfléchi, j'ai... ou plutôt nous avons décidé d'effectuer ce quelque chose sur vous, Dudleys. Faîtes vos prières, votre prie cauchemar est sur le point de commencer, and that, that's cool.
Carlito jette le micro et commence à descendre la rampe, mais sur le ring, il y a déjà du mouvement. Devon se retourne et reçoit un dropkick de... Primo !
Devon passe par-dessus la troisième corde ! Primo se balance ensuite dans les cordes, évite une clothesline de Bubba et effectue un suicide dive en dehors du ring, sur D-Von Dudley ! Bubba se retourne une nouvelle fois et voit Sign Guy se prendre un puissant enzuigiri dans la bouche, d'Orlando Colon, qui lui fait tomber deux dents ! Sign Guy se relève, tout étourdi, et se mange un Orlando's Magic de toute beauté ! JG est en train de gueuler dans tous les sens, à l'extérieur du ring, quand il se mange une puissante droite de... CARLOS COLON SENIOR ! Joel tombe au sol et Carlos lui effectue son célèbre figure-four leglock ! Gertner crie comme une gonzesse, Stacy tente d'intervenir pour l'aider mais quelqu'un lui envoie un scissors kick dans la tronche ! Qui a osé touché au magnifique visage de Stacy ? Nous n'en savons pas plus que vous, c'est une jeune femme qui semble être dans le camp des Colons. Bubba, après que toute sa famille se soit faite détruire juste devant ses yeux, réagit enfin. Mais il a à peine le temps de faire un pas, qu'il se mange un backstabber made by Carlito !
Carlos relâche enfin son figure-four et remonte sur le ring, rejoindre le reste de sa famille, laissant un Joel gisant au sol et souffrant le martyr, derrière lui. Primo et Orlando ramassent les titres, pendant que Carlos et la jeune femme mystérieuse balancent la carcasse de Bubba Ray à l'extérieur du ring, juste à côté de son frère adoré. Carlito récupère le micro que Ray a laissé, il y a quelques minutes.
Carlito – On vous l'avait dit... this is the coolest thing in wrestling history !
La famille Colons célèbre son arrivée. Pour la première fois de l'histoire, ils sont tous réunis dans une seule et même fédération, dans un seul et même ring. Et ça risque de causer de très gros dégâts, dans les prochaines semaines et durant les prochains mois.
D-Von et Bubba ne réalisent toujours pas ce qu'ils ont fait. Ils ont beau être des experts en la matière, à l'AWC, plus que dans n'importe quelle autre fédération où ils sont passés, ils en ont chier pour décrocher ces ceintures. Mais malheureusement pour eux, la fête sera de courte durée...
HOLY SHIT ! Tout le monde connaît cette musique, les fans exultent et toi, derrière ton écran, je suis sur que tu gueules comme un dingue, parce que mesdames et messieurs...
Mister 4C, Mister Cool & Cash, the Bad Apple, Carlito "Carribean Cool" Colon est de retour ! Ouais, moi aussi j'invente des surnoms. Ce dernier profite de l'ovation que lui offre la foule de Ground Zero, tout en fixant dans le blanc des yeux les Dudleys.
Carlito – Après des mois d'absences et des semaines d'attentes, je suis finalement de retour, and that's cool. Mais ce n'est pas le plus important, je ne suis pas là pour voler la vedette aux Dudleys. Parce qu'après avoir chialé pendant des semaines, pissé dans leur froc à chaque fois qu'ils allaient réclamer un title shot à Stone Cold et surtout, après s'être fait humilié par de nombreux no-names et prouvé par la même occasion qu'ils sont l'une des plus mauvaises équipes du moment, au cours des dernières semaines, les Dudleys sont enfin champions.
Bubba Ray – Excuse-moi, mais... je ne me souviens pas avoir demandé l'avis d'une salope !
Carlito – Je ne vois pas de quoi tu parles, Stacy n'a pas ouvert la bouche. Bubba, ça ne sert à rien de répondre à la vérité par des insultes. Les faits sont là, les Dudley Boys ne sont devenus rien de plus qu'une équipe de gringos, qui ne sont bons qu'à gueuler partout qu'ils sont la plus grande famille du business alors qu'ils ne sont en fait que des putains de consanguins !
Bubba Ray – Qu...
Carlito – Ferme ta putain de gueule, une bonne fois pour toute ! Regarde la vérité en face, Bubba. Les Dudleys étaient déjà bien en-dessous des Colons, une famille de sang pur comme on en a rarement vu dans l'histoire de cette industrie, durant leur grande époque, alors maintenant que vous n'êtes plus que l'ombre de vous-mêmes, vous ne nous arrivez même plus à la cheville. Come on, regardez-vous. Vous pleurez de joie comme des fillettes de deux ans parce que vous avez battu deux mecs qui n'avaient jamais lutté ensemble, auparavant. Vous ne voulez pas vous barrer du ring et vous faîtes chier tous ces fans en célébrant une victoire pour laquelle vous ne devriez même pas esquisser un seul putain de sourire, tellement elle est insignifiante, au vu de vos adversaires qui ont été mis ensemble de force ! Et je suis prêt à parier que si vous remettez en jeu, que ça soit une seule fois, vos titres tag face à une vraie équipe, vous la perdriez en moins de cinq minutes de combat !
Bubba Ray – Arrête-toi là, la danseuse. Essayer de nous provoquer pour qu'on t'offre un match de championnat face à nous, c'est une technique qui ne marchera pas. On l'utilisait déjà quand vous portiez encore des couches-culottes, c'est pas avec nous que ça va fonctionner.
Carlito – Je n'ai nullement besoin de toi ou de ton frère pour avoir une chance à ces titres et les remporter. Je ne suis pas là pour ça, alors votre blabla de pseudo-équipe expérimentée, vous pouvez vous le garder. Je suis là pour faire quelque chose de beaucoup plus important, de beaucoup plus grand. Je suis là pour faire quelque chose de légendaire, pour effectuer un réel impact. Et après avoir longuement réfléchi, j'ai... ou plutôt nous avons décidé d'effectuer ce quelque chose sur vous, Dudleys. Faîtes vos prières, votre prie cauchemar est sur le point de commencer, and that, that's cool.
Carlito jette le micro et commence à descendre la rampe, mais sur le ring, il y a déjà du mouvement. Devon se retourne et reçoit un dropkick de... Primo !
Devon passe par-dessus la troisième corde ! Primo se balance ensuite dans les cordes, évite une clothesline de Bubba et effectue un suicide dive en dehors du ring, sur D-Von Dudley ! Bubba se retourne une nouvelle fois et voit Sign Guy se prendre un puissant enzuigiri dans la bouche, d'Orlando Colon, qui lui fait tomber deux dents ! Sign Guy se relève, tout étourdi, et se mange un Orlando's Magic de toute beauté ! JG est en train de gueuler dans tous les sens, à l'extérieur du ring, quand il se mange une puissante droite de... CARLOS COLON SENIOR ! Joel tombe au sol et Carlos lui effectue son célèbre figure-four leglock ! Gertner crie comme une gonzesse, Stacy tente d'intervenir pour l'aider mais quelqu'un lui envoie un scissors kick dans la tronche ! Qui a osé touché au magnifique visage de Stacy ? Nous n'en savons pas plus que vous, c'est une jeune femme qui semble être dans le camp des Colons. Bubba, après que toute sa famille se soit faite détruire juste devant ses yeux, réagit enfin. Mais il a à peine le temps de faire un pas, qu'il se mange un backstabber made by Carlito !
Carlos relâche enfin son figure-four et remonte sur le ring, rejoindre le reste de sa famille, laissant un Joel gisant au sol et souffrant le martyr, derrière lui. Primo et Orlando ramassent les titres, pendant que Carlos et la jeune femme mystérieuse balancent la carcasse de Bubba Ray à l'extérieur du ring, juste à côté de son frère adoré. Carlito récupère le micro que Ray a laissé, il y a quelques minutes.
Carlito – On vous l'avait dit... this is the coolest thing in wrestling history !
La famille Colons célèbre son arrivée. Pour la première fois de l'histoire, ils sont tous réunis dans une seule et même fédération, dans un seul et même ring. Et ça risque de causer de très gros dégâts, dans les prochaines semaines et durant les prochains mois.
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Re: Ground Zero.
Booker T – Come on ! T'as les Anoaʻi, t'as les Hart, t'as los Guerreros, t'as les McMahon, t'as les Rougeau, t'as les Von Erich, même les Hebner père et fils sont plus connus que les Colon. De quoi il parle l'autre touffe ?
Bill DeMott – Je ne sais pas Booker.
Booker T – I can't believe it ! Je suis impatient de voir la réaction de la famille Dudley dès la semaine prochaine. Et les Colon, si vous m'écoutez, sachez que la famille Dudley est belle et bien l'une des plus grandes familles de l'histoire de la lutte, suckas !
Bill DeMott – Nous verrons ça la semaine prochaine Booker mais maintenant nous allons passer au co main event de ce soir avec une rencontre au sommet entre Triple H et John Cena, et en parlant du loup...
Booker T – I can't wait, like I said before ! Triple H et John Cena sont clairement des figures incontournables dans le monde de la lutte contemporaine et ce soir, nous découvrirons enfin lequel de ces deux hommes est le plus fort.
Bill DeMott – Mais ce n'est pas tout, nous avons encore quelques questions en suspens en ce qui concerne ces deux lutteurs. Mais avant d'y revenir, accueillons the Game, Triple H.
Booker T – Est-ce que Triple H est celui qui a renverser John Cena il y a plusieurs semaines, huh ?
Bill DeMott – Tous les soupçons de John Cena se tournent vers un seul homme, et cet homme c'est Triple H. Le problème, c'est que Triple H nie toute cette histoire, il dit n'y être pour rien. Nous n'en savons pas plus quant à l'implication ou non de Triple H dans cette histoire, c'est un véritable mystère.
Booker T – Et si on part du principe que Triple H n'y est pour rien, qui dans ce cas... Who ?
Bill DeMott – En voilà un autre de problème, Triple H est vraiment la seule personne ayant un problème avec John Cena. Depuis cet incident, la seule et unique personne à avoir chercher la merde avec celui que l'on surnomme le Champ, c'est bel et bien Triple H. Si Triple H est innocent, on est pas dans la merde pour savoir qui est le coupable.
Booker T – Le match est d'ailleurs sur le point de commencer, dogs.
» FIGHT ! «
Triple H et John Cena s'observent un long instant avant d'engager les hostilités. Les deux hommes s'affrontent dans une épreuve de force mais personne ne prend le dessus. Les deux hommes se lâchent et s'observent de nouveau. John Cena propose à Triple H de recommencer, ce dernier accepte volontiers et les deux hommes se lancent dans une nouvelle épreuve de force, ou pas. Triple H place un coup de pied dans l'abdomen de son adversaire et enchaîne avec plusieurs droites au visage. John Cena, furieux, lui réponds à son tour avec des droites, des gauches, et même un coup de tête. Triple H recule, et John Cena prend de l'élan dans les cordes pour le running leaping shoulder block. Triple H se relève rapidement mais John Cena lui tombe dessus avec un deuxième running leaping shoulder block. Triple H, rouge de colère, se relève rapidement de nouveau mais John Cena le renvoi au sol avec le running one–handed bulldog. Cena couvre Triple H. 1, 2, dégagement. John Cena essaie alors de placer le STF sur Triple H mais ce dernier préfère sortir du ring. Triple H tourne en rond autour du ring et va chercher son sledgehammer. L'arbitre commence à se prendre la tête avec lui. Triple H monte dans le ring avec. John Cena prend ses distances. Triple H se résout à donner l'accessoire à l'officiel de cette rencontre mais en profite pour placer un poke dans les yeux de John Cena. L'arbitre n'a rien vu. Triple H enchaîne avec le spinning spinebuster. 1, 2, dégagement. Triple H prend les jambes de John Cena et y va avec le figure four leglock. John Cena douille un moment mais il parvient à prendre une corde. Triple H lâche la prise. Triple H relève maintenant John Cena mais ce dernier le fait tomber et lui place le STF. Triple H met un long moment avant de toucher les cordes du bout des doigts. John Cena lâche prise et se relève. Il attend que Triple H soit debout pour le prendre sur ses épaules pour l'Attitude Adjustment. Triple H parvient à se dégager et il prend John Cena sur ses épaules et c'est lui qui lui porte l'Attitude Adjustment. Triple H vient de porter l'Attitude Adjustment sur John Cena. Il le couvre. 1, 2, 3 ? Non, John Cena a mis ses pieds dans les cordes.
John Cena se laisse tomber en dehors du ring afin de pouvoir reprendre ses esprits. Mais l'arbitre, lui, il applique la loi et commence un décompte à l'extérieur. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10 ? Non, John Cena remonte d'un saut net dans le ring tel un super-héros. C'est le légendaire second souffle. Triple H essaie de lui tomber dessus mais John Cena enchaîne les droites. Triple H essaie d'en placer encore une mais John Cena passe dessous son bras et enchaîne avec son twisting belly to belly suplex. John Cena lève la main en l'air. You can't see me, bro. Five knuckle shuffle sur Triple H qui se relève comme un robot. John Cena prend Triple H sur ses épaules et lui place l'Attitude Adjustment au centre du ring. John Cena se laisse tomber sur Triple H, 1, 2, 3 ? Dégagement in-extremis du Game. John Cena n'en croit pas ses yeux. John Cena ne se laisse pas abattre et monte sur la troisième corde pour le diving leg drop bulldog, mais il n'y a plus personne et John Cena s'étale seul au centre du ring. Triple H reprend ses esprits et vient décoller la tête de John Cena avec le jumping knee drop, neckbreaker à la volée. Triple H lève les bras en l'air pour dire que c'est la fin. Il relève John Cena pour le Pedigree. Triple H couvre son adversaire, 1, 2, 3.
Booker T – Game over !
Booker T – Gros combat entre les deux hommes ce soir. Nous savons enfin qui est le plus fort et qui mérite vraiment sa place ici à l'Attitude Wrestling Corporation.
Bill DeMott – Leurs détracteurs n'ont qu'à bien se tenir, et à tourner deux fois leur langue dans leur bouche avant de l'ouvrir. J'suis agréablement surpris de la performance de ces deux lutteurs ainsi que de leur détermination.
Booker T – Et je ne crois pas que nous en serons plus quant aux accusations de John Cena envers Triple H puisque ça commence à rentrer en coulisses.
Bill DeMott – Et comme je le disais dans mon dernier bulletin de tough enough, ne soyez pas surpris de voir cet homme recevoir un title shot au titre Attitude pour le prochain pay-per-view.
Bill DeMott – Je ne sais pas Booker.
Booker T – I can't believe it ! Je suis impatient de voir la réaction de la famille Dudley dès la semaine prochaine. Et les Colon, si vous m'écoutez, sachez que la famille Dudley est belle et bien l'une des plus grandes familles de l'histoire de la lutte, suckas !
Bill DeMott – Nous verrons ça la semaine prochaine Booker mais maintenant nous allons passer au co main event de ce soir avec une rencontre au sommet entre Triple H et John Cena, et en parlant du loup...
Booker T – I can't wait, like I said before ! Triple H et John Cena sont clairement des figures incontournables dans le monde de la lutte contemporaine et ce soir, nous découvrirons enfin lequel de ces deux hommes est le plus fort.
Bill DeMott – Mais ce n'est pas tout, nous avons encore quelques questions en suspens en ce qui concerne ces deux lutteurs. Mais avant d'y revenir, accueillons the Game, Triple H.
Booker T – Est-ce que Triple H est celui qui a renverser John Cena il y a plusieurs semaines, huh ?
Bill DeMott – Tous les soupçons de John Cena se tournent vers un seul homme, et cet homme c'est Triple H. Le problème, c'est que Triple H nie toute cette histoire, il dit n'y être pour rien. Nous n'en savons pas plus quant à l'implication ou non de Triple H dans cette histoire, c'est un véritable mystère.
Booker T – Et si on part du principe que Triple H n'y est pour rien, qui dans ce cas... Who ?
Bill DeMott – En voilà un autre de problème, Triple H est vraiment la seule personne ayant un problème avec John Cena. Depuis cet incident, la seule et unique personne à avoir chercher la merde avec celui que l'on surnomme le Champ, c'est bel et bien Triple H. Si Triple H est innocent, on est pas dans la merde pour savoir qui est le coupable.
Booker T – Le match est d'ailleurs sur le point de commencer, dogs.
» FIGHT ! «
Triple H et John Cena s'observent un long instant avant d'engager les hostilités. Les deux hommes s'affrontent dans une épreuve de force mais personne ne prend le dessus. Les deux hommes se lâchent et s'observent de nouveau. John Cena propose à Triple H de recommencer, ce dernier accepte volontiers et les deux hommes se lancent dans une nouvelle épreuve de force, ou pas. Triple H place un coup de pied dans l'abdomen de son adversaire et enchaîne avec plusieurs droites au visage. John Cena, furieux, lui réponds à son tour avec des droites, des gauches, et même un coup de tête. Triple H recule, et John Cena prend de l'élan dans les cordes pour le running leaping shoulder block. Triple H se relève rapidement mais John Cena lui tombe dessus avec un deuxième running leaping shoulder block. Triple H, rouge de colère, se relève rapidement de nouveau mais John Cena le renvoi au sol avec le running one–handed bulldog. Cena couvre Triple H. 1, 2, dégagement. John Cena essaie alors de placer le STF sur Triple H mais ce dernier préfère sortir du ring. Triple H tourne en rond autour du ring et va chercher son sledgehammer. L'arbitre commence à se prendre la tête avec lui. Triple H monte dans le ring avec. John Cena prend ses distances. Triple H se résout à donner l'accessoire à l'officiel de cette rencontre mais en profite pour placer un poke dans les yeux de John Cena. L'arbitre n'a rien vu. Triple H enchaîne avec le spinning spinebuster. 1, 2, dégagement. Triple H prend les jambes de John Cena et y va avec le figure four leglock. John Cena douille un moment mais il parvient à prendre une corde. Triple H lâche la prise. Triple H relève maintenant John Cena mais ce dernier le fait tomber et lui place le STF. Triple H met un long moment avant de toucher les cordes du bout des doigts. John Cena lâche prise et se relève. Il attend que Triple H soit debout pour le prendre sur ses épaules pour l'Attitude Adjustment. Triple H parvient à se dégager et il prend John Cena sur ses épaules et c'est lui qui lui porte l'Attitude Adjustment. Triple H vient de porter l'Attitude Adjustment sur John Cena. Il le couvre. 1, 2, 3 ? Non, John Cena a mis ses pieds dans les cordes.
John Cena se laisse tomber en dehors du ring afin de pouvoir reprendre ses esprits. Mais l'arbitre, lui, il applique la loi et commence un décompte à l'extérieur. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10 ? Non, John Cena remonte d'un saut net dans le ring tel un super-héros. C'est le légendaire second souffle. Triple H essaie de lui tomber dessus mais John Cena enchaîne les droites. Triple H essaie d'en placer encore une mais John Cena passe dessous son bras et enchaîne avec son twisting belly to belly suplex. John Cena lève la main en l'air. You can't see me, bro. Five knuckle shuffle sur Triple H qui se relève comme un robot. John Cena prend Triple H sur ses épaules et lui place l'Attitude Adjustment au centre du ring. John Cena se laisse tomber sur Triple H, 1, 2, 3 ? Dégagement in-extremis du Game. John Cena n'en croit pas ses yeux. John Cena ne se laisse pas abattre et monte sur la troisième corde pour le diving leg drop bulldog, mais il n'y a plus personne et John Cena s'étale seul au centre du ring. Triple H reprend ses esprits et vient décoller la tête de John Cena avec le jumping knee drop, neckbreaker à la volée. Triple H lève les bras en l'air pour dire que c'est la fin. Il relève John Cena pour le Pedigree. Triple H couvre son adversaire, 1, 2, 3.
Booker T – Game over !
Booker T – Gros combat entre les deux hommes ce soir. Nous savons enfin qui est le plus fort et qui mérite vraiment sa place ici à l'Attitude Wrestling Corporation.
Bill DeMott – Leurs détracteurs n'ont qu'à bien se tenir, et à tourner deux fois leur langue dans leur bouche avant de l'ouvrir. J'suis agréablement surpris de la performance de ces deux lutteurs ainsi que de leur détermination.
Booker T – Et je ne crois pas que nous en serons plus quant aux accusations de John Cena envers Triple H puisque ça commence à rentrer en coulisses.
Bill DeMott – Et comme je le disais dans mon dernier bulletin de tough enough, ne soyez pas surpris de voir cet homme recevoir un title shot au titre Attitude pour le prochain pay-per-view.
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Attitude : 3:16
Re: Ground Zero.
Voilà, nous arrivons enfin à l'heure fatidique du Main-Event qui va opposer Christian Cage à l'Undertaker pour le titre Attitude. Cependant, Captain Charisma semble avoir queue chose à faire avant de se pointer sur le ring. Nous le retrouvons donc dans les couloirs, il frappe à une porte et rentre. Il s'agit du bureau d'Austin, et ce dernier lève la tête en entendant la porte.
Stone Cold – What ?
Christian Cage – Comment tu vas, Steve ?
Stone Cold – Si tu viens pour des remerciements, tu peux directement aller te faire foutre.
Christian Cage – J'en attendais pas moins de toi.
Stone Cold – Super, on est sur la même longueur d'onde alors.
Steve se lève et va se prendre une bière dans son mini-frigo. Bière qu'il enfile, bien entendu, en une seule traite. Seulement, Double C n'a pas bougé, et cela a le don d'énerver Steve qui lance un regard de tueur à Cage.
Christian Cage – Quoi ? J'ai rien fais.
Stone Cold – T'es planté là comme un piqué, t'vas quand même pas me dire que ta petite bouche de suceuse est dé-séchée et que tu veux une bière.
Christian Cage – A vrai dire, je voulais plutôt savoir si toi, tu n'avais pas soif. Je voudrais prendre toutes les précautions nécessaires pour que tu n'ais pas une petite soif pendant le match, et que tu oublies de voir un potentiel compte de trois en ma faveur puisque tu serais trop occupé à décapsuler une bière.
Stone Cold – T'en fais pas, j'ai déjà prévu un pack de douze, et un décapsuleur humain, y'aura pas de problèmes de compte.
Christian Cage – J'suis rassuré, j'vais pouvoir me battre en toute tranquillité, alors.
Stone Cold – Et tu vas aussi pouvoir dégager de mon bureau, maintenant.
Christian Cage – J'ai encore une chose à te demander.
Steve frappe sur son bureau. Il ne pourra pas profiter de ces dernières minutes pour être tranquille et il ne pourra donc pas déguster une autre bière sans qu'on vienne l'emmerder.
Stone Cold – What ?
Christian Cage – Je voudrais aussi que tu ne t'attaques pas à l'Undertaker tant que le combat n'es pas terminé. Je sais que tu meurs d'envie de lui faire la peau, de lui porter un Stunner et de l'écraser avec ton quad, mais je voudrais que tu attendes la fin du combat. Je veux gagner seul, sans profiter de l'aide volontaire ou non de quelqu'un.
Stone Cold – What ?
Christian Cage – Je voudrais que tu-...
Stone Cold – What ? Tu oses remettre en cause l'intégrité de Stone Cold en cause ?
Christian Cage – Non, je-...
Stone Cold – Shut up ! Je parle, et tu écoutes. Moi, j'fais ce que je veux, si je veux, quand je veux et où je veux, j'dois rendre de comptes à personne, pas même à ma salope de femme qui doit être en train de s'faire enculer par un cheval en ce moment. On est toujours sur la même longueur d'onde, caribou, ou il faut que j'te fasse un dessin sur ta gueule de con pour que tu comprennes ?
Christian Cage – Heu, je crois, oui.
Austin lance un dernier regard à Christian avant d'attraper son chandail d'arbitre et de quitter son bureau. Après avoir soufflé un bon coup, Christian en fait pareil et il commence à marcher en backstages, lorsqu'il est interpellé par une voix venant de derrière lui.
??? – Cage.
Christian Cage – Huh ?
Christian fait volte-face et tombe nez à nez avec...
Triple H – Do me a favor.
Christian Cage – Pas de problème, j'irai voir ta femme ce soir.
Triple H – La dernière personne qui a voulu jouer à ce petit jeu d'humour avec moi a terminé les épaules rivées au sol. J'veux juste que tu remportes ton match, ce soir. Comme ça, j'aurai l'immense privilège de te battre le mois prochain, quand j'aurai été nommé challengeur numéro un, pour te prendre le titre Attitude, et ta série de victoires.
Christian Cage – Charmante attention, merci. Je te promets rien, mais j'en parlerai à mon cheval.
Christian affiche un sourire plein d'hypocrisie et disparait dans le couloir, directement le ring, sous le regard de Triple H qui ne perdra pas une miette du prochain match.
Triple H – The Game has just started.
D'ici quelques secondes, Christian Cage tentera de prendre le titre de l'Undertaker. Mais avant cela, revoyons quelques images de la rivalité entre les deux hommes.
Stone Cold – What ?
Christian Cage – Comment tu vas, Steve ?
Stone Cold – Si tu viens pour des remerciements, tu peux directement aller te faire foutre.
Christian Cage – J'en attendais pas moins de toi.
Stone Cold – Super, on est sur la même longueur d'onde alors.
Steve se lève et va se prendre une bière dans son mini-frigo. Bière qu'il enfile, bien entendu, en une seule traite. Seulement, Double C n'a pas bougé, et cela a le don d'énerver Steve qui lance un regard de tueur à Cage.
Christian Cage – Quoi ? J'ai rien fais.
Stone Cold – T'es planté là comme un piqué, t'vas quand même pas me dire que ta petite bouche de suceuse est dé-séchée et que tu veux une bière.
Christian Cage – A vrai dire, je voulais plutôt savoir si toi, tu n'avais pas soif. Je voudrais prendre toutes les précautions nécessaires pour que tu n'ais pas une petite soif pendant le match, et que tu oublies de voir un potentiel compte de trois en ma faveur puisque tu serais trop occupé à décapsuler une bière.
Stone Cold – T'en fais pas, j'ai déjà prévu un pack de douze, et un décapsuleur humain, y'aura pas de problèmes de compte.
Christian Cage – J'suis rassuré, j'vais pouvoir me battre en toute tranquillité, alors.
Stone Cold – Et tu vas aussi pouvoir dégager de mon bureau, maintenant.
Christian Cage – J'ai encore une chose à te demander.
Steve frappe sur son bureau. Il ne pourra pas profiter de ces dernières minutes pour être tranquille et il ne pourra donc pas déguster une autre bière sans qu'on vienne l'emmerder.
Stone Cold – What ?
Christian Cage – Je voudrais aussi que tu ne t'attaques pas à l'Undertaker tant que le combat n'es pas terminé. Je sais que tu meurs d'envie de lui faire la peau, de lui porter un Stunner et de l'écraser avec ton quad, mais je voudrais que tu attendes la fin du combat. Je veux gagner seul, sans profiter de l'aide volontaire ou non de quelqu'un.
Stone Cold – What ?
Christian Cage – Je voudrais que tu-...
Stone Cold – What ? Tu oses remettre en cause l'intégrité de Stone Cold en cause ?
Christian Cage – Non, je-...
Stone Cold – Shut up ! Je parle, et tu écoutes. Moi, j'fais ce que je veux, si je veux, quand je veux et où je veux, j'dois rendre de comptes à personne, pas même à ma salope de femme qui doit être en train de s'faire enculer par un cheval en ce moment. On est toujours sur la même longueur d'onde, caribou, ou il faut que j'te fasse un dessin sur ta gueule de con pour que tu comprennes ?
Christian Cage – Heu, je crois, oui.
Austin lance un dernier regard à Christian avant d'attraper son chandail d'arbitre et de quitter son bureau. Après avoir soufflé un bon coup, Christian en fait pareil et il commence à marcher en backstages, lorsqu'il est interpellé par une voix venant de derrière lui.
??? – Cage.
Christian Cage – Huh ?
Christian fait volte-face et tombe nez à nez avec...
Triple H – Do me a favor.
Christian Cage – Pas de problème, j'irai voir ta femme ce soir.
Triple H – La dernière personne qui a voulu jouer à ce petit jeu d'humour avec moi a terminé les épaules rivées au sol. J'veux juste que tu remportes ton match, ce soir. Comme ça, j'aurai l'immense privilège de te battre le mois prochain, quand j'aurai été nommé challengeur numéro un, pour te prendre le titre Attitude, et ta série de victoires.
Christian Cage – Charmante attention, merci. Je te promets rien, mais j'en parlerai à mon cheval.
Christian affiche un sourire plein d'hypocrisie et disparait dans le couloir, directement le ring, sous le regard de Triple H qui ne perdra pas une miette du prochain match.
Triple H – The Game has just started.
D'ici quelques secondes, Christian Cage tentera de prendre le titre de l'Undertaker. Mais avant cela, revoyons quelques images de la rivalité entre les deux hommes.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Ground Zero.
ALL STARTED WITH A REQUEST.
« Je réclame le titre de number one contender ! »
AND AFTER SEVERAL REJECTIONS...
« Je donne son putain de match à Christian. »
BUT IT WAS JUST THE BEGINNING OF THE NIGHTMARE.
« C'est une menace de mort. »
THE DEATH WAS PROMISED.
« Je vais t'envoyer six pieds sous terre, Cage ! »
EVEN FOR THE UNDEFEATED.
« Fuck you, Undertaker ! »
ARBITRATE BY STONE COLD STEVE AUSTIN.
« And that's the bottom' line. »
THE UNDERTAKER AGAINST CHRISTIAN CAGE.
« Je réclame le titre de number one contender ! »
AND AFTER SEVERAL REJECTIONS...
« Je donne son putain de match à Christian. »
BUT IT WAS JUST THE BEGINNING OF THE NIGHTMARE.
« C'est une menace de mort. »
THE DEATH WAS PROMISED.
« Je vais t'envoyer six pieds sous terre, Cage ! »
EVEN FOR THE UNDEFEATED.
« Fuck you, Undertaker ! »
ARBITRATE BY STONE COLD STEVE AUSTIN.
« And that's the bottom' line. »
THE UNDERTAKER AGAINST CHRISTIAN CAGE.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Ground Zero.
Booker T – Bill, nous y sommes, nous ne pouvons plus reculer, l'Attitude Championship est de nouveau en jeu ce soir, à Ground Zero, dans le Main-Event.
Bill DeMott – Voici le moment que nous attendions tous, la première défense de l'Undertaker face à un adversaire qui réclame ce match de championnat depuis le premier jour, Christian Cage.
Booker T – Les deux hommes sont d'incroyables combattants, quoiqu'on puisse en penser. L'Undertaker n'est pas le champion pour rien, c'est une légende et il continue d'inspirer la crainte et le respect, sûr et en dehors du ring.
Bill DeMott – Christian, lui, est également un redoutable lutteur. Invaincu dans cette fédération, il présente l'incroyable bilan de huit victoires en autant de combats. Personne n'a réussi à le battre, et il est légitime qu'il soit l'adversaire de l'Undertaker, ce soir.
Booker T – Et pour arbitrer cette rencontre qui risque d'être des plus intenses, on ne vous présente plus l'homme qui est à la tête de cette fédération, Stone Cold Steve Austin.
Une ovation, c'est aussi simple que ça. Austin arrive avec son chandail d'arbitre et sous les cris de joie des fans qui lèvent tous leurs majeurs en l'air, en signe de ralliement avec le saint prêcheur qu'est Austin. Ce dernier profite d'ailleurs de sa présence pour consommer une première bière avec Bill DeMott, pendant que les deux futurs adversaires vont faire leur entrée.
Booker T – Steve, t'en as pas une pour moi ?
Stone Cold – What ?
Bill DeMott – Désolé Booker, les bières c'est pas pour les mauviettes. Continue de faire le travail de présentation pendant que je termine ma bière.
Booker T – C'est pas parce que je suis noir que j'suis un esclave.
Et voilà le challengeur qui se présente sous une réaction mitigée de la part des fans présents ce soir à Ground Zero. Cage a réussi à s'attirer la sympathie des fans en contrecarrant les plans de l'Undertaker lors du dernier Attitude, mais son attitude personnelle, très souvent arrogante, ne plaide pas non plus en sa faveur. Quoiqu'il en soit, Captain Charisma se retrouve tout de même sur le ring, pour le Main-Event, et observé attentivement par Bill et Steve.
Bill DeMott – Steve, qu'est-ce que t'en penses du caribou ?
Stone Cold – Pas grand chose.
Booker T – Et moi, tu veux pas savoir ce que je pense de l'incroyable, le phénoménal, l'invaincu, l'Instant Classic, Creepy Little Bastard, Captain Charisma ?
Bill DeMott – Non, je m'en branle.
Et pour terminer ce jolie tableau, quoi de mieux que de mettre la touche ténébreuse, le grand méchant boss que le gentil capitaine va devoir éliminer pour remporter le jolie ceinture brillante qui se trouve pour le moment autour des hanches de l'homme qui provient tout droit de la mort. On remarquera d'ailleurs que l'Undertaker est seul ce soir, et qu'il ne pourra recevoir aucune aide de la part du ministère des ténèbres pour la simple et bonne raison que Stone Cold a décidé de bannir Michelle McCool et le reste du groupe des abords du ring. Tout ceci ne semble d'ailleurs pas franchement perturber le Phenom qui effectue son rituel traditionnel sous le regard concentré de Christian.
Stone Cold – Bon, Biloute, c'est pas que je m'emmerde avec toi autour de cette bière bien fraiche, mais j'vais pas passer ma soirée à me branler le poireau, j'ai deux abrutis qui attendent que j'fasse sonner la cloche pour leur dire de se foutre sur la gueule.
Bill DeMott – Pas de souci Steve, le devoir t'appelle.
Booker T – C'est ça Steve, et bon courage.
Bill DeMott – A qui tu parlais, là ?
Booker T – Moi ? A Steve Austin.
Bill DeMott – Il t'a pas entendu, je crois.
Booker T – Pas Stone Cold, abruti, mais l'homme qui valait trois milliards.
Bill regarde Booker T du coin de l'oeil, visiblement il ne mange pas de ce pain là, le Bilou. Stone Cold, lui, remonte sur le ring et après un bref rappel des règles, et une vérification de la tenue de chacun, fait sonner la cloche, annonçant le début du combat tant attendu.
» FIGHT ! «
Steve regarde les deux hommes tour à tour et finalement, fait sonner la cloche. Christian se met rapidement en mouvement, car c'est sa meilleure chance de battre l'Undertaker ce soir. Captain Charisma tente des petits kicks dans les jambes de son adversaire pour garder la distance, mais la longueur des bras de l'Undertaker finissent par atteindre Christian qui se prend une série de droites qui l'envoie dans les cordes. Le Phenom projette son adversaire dans les cordes pour une Runnin' Clothesline et tente ensuite d'étrangler Christian avec les cordes. Stone Cold intervient et remet rapidement le Taker en place. Christian en profite et envoie un dropkick dans le genou de son adversaire qui chute sur la seconde corde. Cage en profite et prend son élan dans les cordes opposées pour lui sauter dessus. Cage enchaine ensuite avec un Diving Headbutt du haut de la troisième corde mais Stone Cold ne tape que deux fois au sol, le Taker se dégage ensuite. Christian garde le contrôle du match en portant notamment toutes sortes de Neckbreakers et travaille sur la jambe de l'Undertaker, mais ce dernier contre une projection de Christian dans les cordes par un Big Boot.
Bill DeMott – Le pauvre, il risque d'avoir la marque de chaussure imprimé sur la gueule.
Booker T – C'est un peu comme les noirs, ils ont la marque de la terre marqué sur leur gueule. Bill, tell me I just did not say that. Oh boy...
Bill DeMott – Tu dois être blanc à l'intérieur.
Le Phenom reprend le contrôle ans le combat et après un Facebuster contre la protection du coin, il enchaine avec un Runnin' Big Boot et une Leg Drop, mais il n'obtient qu'un compte de deux de la part d'un Stone Cold impartial. Le Taker, lui, s'énerve et en se relevant, pousse Austin. Ce dernier se met nez à nez avec le Taker et Christian en profite pour porter une Reverse DDT mais n'obtient qu'un compte de deux, lui aussi. Double C relève son adversaire mais ce dernier le repousse et Cage frappe accidentellement Austin. Ce dernier tombe sur le cul et le Taker surprend Christian en portant un Chokeslam. Il veut en terminer en portant son Tombstone mais Christian gigote trop et retombe derrière son adversaire avant de le pousser dans le dos. Le Taker est sur le point de culbuter Austin mais ce dernier se baisse et le Taker se prend le coin du ring. Christian en profite et attrape son adversaire par derrière et porte son Unprettier pour le compte de un, de deux puis de trois. Stone Cold fait sonner la cloche et déclare un nouveau champion Attitude.
Le catch est un sport spectacle où il faut se foutre sur la gueule pour gagner, mais à l'AWC, c'est toujours Christian Cage, notre nouveau champion Attitude, qui gagne.
Booker T – Oh my dawg... HE DID IT !
Bill DeMott – Christian Cage, Captain Charisma est le nouveau champion du monde de la fédération. Il vient de battre l'Undertaker dans un très gros match, et le voilà donc champion.
Booker T – Christian is my dawg tonight, oh man !
Christian Cage est donc le nouveau champion, et pour être le nouveau champion, il faut prendre la ceinture. Et c'est exactement ce que fait Christian alors qu'Austin venait de récupérer le titre. les deux hommes se regardent dans le blanc des yeux et alors que Double C s'empare de la ceinture, il échange une poignée de main virile avec Stone Cold. Cage affiche un léger sourire et après avoir placé la ceinture sur son épaule, il grimpe sur les différents turnbuckles pour faire le tour des peeps en présence.
Et pendant que l'un fête sa victoire, l'autre rumine sa défaite. Assis au milieu du ring, l'Undertaker semble enragé par sa défaite. Il se relève d'ailleurs avec la ferme intention de s'en prendre à Christian par derrière, pendant que ce dernier célèbre sa victoire et son nouveau titre. Seulement, c'était sans compter sur Stone Cold qui vient se placer devant le Taker. Les deux hommes échangent quelques formules de politesses et le Taker tente de pousser Austin. Cela ne plait pas à l'owner qui lui montre ses deux majeurs avant de... STUNNER !!
Bill DeMott – Stone Cold Stunner sur la mâchoire de l'Undertaker !
Booker T – In your face, Taker !
La foule explose de joie, et Austin balance quelques mots doux à l'oreille de l'Undertaker avant de demander à ce qu'on lui balance des bières. Christian, lui, vient de quitter le ring et célèbre quelques secondes avec ses Peeps pendant qu'Austin, lui, s'enfile des putains de bières.
Déjà un putain de pack de douze de liquidé, mais il en reste encore quelques unes qu'Austin décapsule avant de les vider sur la gueule de l'Undertaker qui est toujours allongé au milieu du ring. Oui, un homme a voulu s'en prendre à la propriété de Stone Cold, il a échoué, et doit en payer les conséquences. Quel Pay Per View, putain.
Bill DeMott – Voici le moment que nous attendions tous, la première défense de l'Undertaker face à un adversaire qui réclame ce match de championnat depuis le premier jour, Christian Cage.
Booker T – Les deux hommes sont d'incroyables combattants, quoiqu'on puisse en penser. L'Undertaker n'est pas le champion pour rien, c'est une légende et il continue d'inspirer la crainte et le respect, sûr et en dehors du ring.
Bill DeMott – Christian, lui, est également un redoutable lutteur. Invaincu dans cette fédération, il présente l'incroyable bilan de huit victoires en autant de combats. Personne n'a réussi à le battre, et il est légitime qu'il soit l'adversaire de l'Undertaker, ce soir.
Booker T – Et pour arbitrer cette rencontre qui risque d'être des plus intenses, on ne vous présente plus l'homme qui est à la tête de cette fédération, Stone Cold Steve Austin.
Une ovation, c'est aussi simple que ça. Austin arrive avec son chandail d'arbitre et sous les cris de joie des fans qui lèvent tous leurs majeurs en l'air, en signe de ralliement avec le saint prêcheur qu'est Austin. Ce dernier profite d'ailleurs de sa présence pour consommer une première bière avec Bill DeMott, pendant que les deux futurs adversaires vont faire leur entrée.
Booker T – Steve, t'en as pas une pour moi ?
Stone Cold – What ?
Bill DeMott – Désolé Booker, les bières c'est pas pour les mauviettes. Continue de faire le travail de présentation pendant que je termine ma bière.
Booker T – C'est pas parce que je suis noir que j'suis un esclave.
Et voilà le challengeur qui se présente sous une réaction mitigée de la part des fans présents ce soir à Ground Zero. Cage a réussi à s'attirer la sympathie des fans en contrecarrant les plans de l'Undertaker lors du dernier Attitude, mais son attitude personnelle, très souvent arrogante, ne plaide pas non plus en sa faveur. Quoiqu'il en soit, Captain Charisma se retrouve tout de même sur le ring, pour le Main-Event, et observé attentivement par Bill et Steve.
Bill DeMott – Steve, qu'est-ce que t'en penses du caribou ?
Stone Cold – Pas grand chose.
Booker T – Et moi, tu veux pas savoir ce que je pense de l'incroyable, le phénoménal, l'invaincu, l'Instant Classic, Creepy Little Bastard, Captain Charisma ?
Bill DeMott – Non, je m'en branle.
Et pour terminer ce jolie tableau, quoi de mieux que de mettre la touche ténébreuse, le grand méchant boss que le gentil capitaine va devoir éliminer pour remporter le jolie ceinture brillante qui se trouve pour le moment autour des hanches de l'homme qui provient tout droit de la mort. On remarquera d'ailleurs que l'Undertaker est seul ce soir, et qu'il ne pourra recevoir aucune aide de la part du ministère des ténèbres pour la simple et bonne raison que Stone Cold a décidé de bannir Michelle McCool et le reste du groupe des abords du ring. Tout ceci ne semble d'ailleurs pas franchement perturber le Phenom qui effectue son rituel traditionnel sous le regard concentré de Christian.
Stone Cold – Bon, Biloute, c'est pas que je m'emmerde avec toi autour de cette bière bien fraiche, mais j'vais pas passer ma soirée à me branler le poireau, j'ai deux abrutis qui attendent que j'fasse sonner la cloche pour leur dire de se foutre sur la gueule.
Bill DeMott – Pas de souci Steve, le devoir t'appelle.
Booker T – C'est ça Steve, et bon courage.
Bill DeMott – A qui tu parlais, là ?
Booker T – Moi ? A Steve Austin.
Bill DeMott – Il t'a pas entendu, je crois.
Booker T – Pas Stone Cold, abruti, mais l'homme qui valait trois milliards.
Bill regarde Booker T du coin de l'oeil, visiblement il ne mange pas de ce pain là, le Bilou. Stone Cold, lui, remonte sur le ring et après un bref rappel des règles, et une vérification de la tenue de chacun, fait sonner la cloche, annonçant le début du combat tant attendu.
» FIGHT ! «
Steve regarde les deux hommes tour à tour et finalement, fait sonner la cloche. Christian se met rapidement en mouvement, car c'est sa meilleure chance de battre l'Undertaker ce soir. Captain Charisma tente des petits kicks dans les jambes de son adversaire pour garder la distance, mais la longueur des bras de l'Undertaker finissent par atteindre Christian qui se prend une série de droites qui l'envoie dans les cordes. Le Phenom projette son adversaire dans les cordes pour une Runnin' Clothesline et tente ensuite d'étrangler Christian avec les cordes. Stone Cold intervient et remet rapidement le Taker en place. Christian en profite et envoie un dropkick dans le genou de son adversaire qui chute sur la seconde corde. Cage en profite et prend son élan dans les cordes opposées pour lui sauter dessus. Cage enchaine ensuite avec un Diving Headbutt du haut de la troisième corde mais Stone Cold ne tape que deux fois au sol, le Taker se dégage ensuite. Christian garde le contrôle du match en portant notamment toutes sortes de Neckbreakers et travaille sur la jambe de l'Undertaker, mais ce dernier contre une projection de Christian dans les cordes par un Big Boot.
Bill DeMott – Le pauvre, il risque d'avoir la marque de chaussure imprimé sur la gueule.
Booker T – C'est un peu comme les noirs, ils ont la marque de la terre marqué sur leur gueule. Bill, tell me I just did not say that. Oh boy...
Bill DeMott – Tu dois être blanc à l'intérieur.
Le Phenom reprend le contrôle ans le combat et après un Facebuster contre la protection du coin, il enchaine avec un Runnin' Big Boot et une Leg Drop, mais il n'obtient qu'un compte de deux de la part d'un Stone Cold impartial. Le Taker, lui, s'énerve et en se relevant, pousse Austin. Ce dernier se met nez à nez avec le Taker et Christian en profite pour porter une Reverse DDT mais n'obtient qu'un compte de deux, lui aussi. Double C relève son adversaire mais ce dernier le repousse et Cage frappe accidentellement Austin. Ce dernier tombe sur le cul et le Taker surprend Christian en portant un Chokeslam. Il veut en terminer en portant son Tombstone mais Christian gigote trop et retombe derrière son adversaire avant de le pousser dans le dos. Le Taker est sur le point de culbuter Austin mais ce dernier se baisse et le Taker se prend le coin du ring. Christian en profite et attrape son adversaire par derrière et porte son Unprettier pour le compte de un, de deux puis de trois. Stone Cold fait sonner la cloche et déclare un nouveau champion Attitude.
Le catch est un sport spectacle où il faut se foutre sur la gueule pour gagner, mais à l'AWC, c'est toujours Christian Cage, notre nouveau champion Attitude, qui gagne.
Booker T – Oh my dawg... HE DID IT !
Bill DeMott – Christian Cage, Captain Charisma est le nouveau champion du monde de la fédération. Il vient de battre l'Undertaker dans un très gros match, et le voilà donc champion.
Booker T – Christian is my dawg tonight, oh man !
Christian Cage est donc le nouveau champion, et pour être le nouveau champion, il faut prendre la ceinture. Et c'est exactement ce que fait Christian alors qu'Austin venait de récupérer le titre. les deux hommes se regardent dans le blanc des yeux et alors que Double C s'empare de la ceinture, il échange une poignée de main virile avec Stone Cold. Cage affiche un léger sourire et après avoir placé la ceinture sur son épaule, il grimpe sur les différents turnbuckles pour faire le tour des peeps en présence.
Et pendant que l'un fête sa victoire, l'autre rumine sa défaite. Assis au milieu du ring, l'Undertaker semble enragé par sa défaite. Il se relève d'ailleurs avec la ferme intention de s'en prendre à Christian par derrière, pendant que ce dernier célèbre sa victoire et son nouveau titre. Seulement, c'était sans compter sur Stone Cold qui vient se placer devant le Taker. Les deux hommes échangent quelques formules de politesses et le Taker tente de pousser Austin. Cela ne plait pas à l'owner qui lui montre ses deux majeurs avant de... STUNNER !!
Bill DeMott – Stone Cold Stunner sur la mâchoire de l'Undertaker !
Booker T – In your face, Taker !
La foule explose de joie, et Austin balance quelques mots doux à l'oreille de l'Undertaker avant de demander à ce qu'on lui balance des bières. Christian, lui, vient de quitter le ring et célèbre quelques secondes avec ses Peeps pendant qu'Austin, lui, s'enfile des putains de bières.
Déjà un putain de pack de douze de liquidé, mais il en reste encore quelques unes qu'Austin décapsule avant de les vider sur la gueule de l'Undertaker qui est toujours allongé au milieu du ring. Oui, un homme a voulu s'en prendre à la propriété de Stone Cold, il a échoué, et doit en payer les conséquences. Quel Pay Per View, putain.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
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Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Ground Zero.
Ground Zero touche à sa fin, et Austin semble avoir remit les choses en place avec ce Stunner. Booker T et Bill DeMott, eux, nous souhaitent une bonne fin de soirée et nous sommes prêt à rendre l'antenne, enfin presque. Nous faisons un dernier détour en backstages, avec John Cena.
John Cena – Deux appels manqués, Vince McMahon, encore lui, et Stephanie McMahon. Ils ne me lâcheront jamais, on dirait. Un nouveau message. Tiens, encore de la pub d'SFR.
Oui, John Cena reçoit de la pub par sms d'SFR, lui aussi. Il finit par brancher ses écouteurs, et ce met à écouter de la musique tout en se dirigeant vers le parking.
John Cena – Tututututum. Your time is up, my time is now. ♪
Oui, John Cena écoute sa propre musique, et alors ?
John Cena – You can't see me, my time is now. ♪
Security Guard – Salut John, à la prochaine.
John Cena – Merci. Jolie t-shirt.
Oui, on est capable de faire un segment de fin juste pour te montrer John Cena quitter le Madisn Square Garden en chantant.
John Cena – It's the franchise, boy I'm shinin' now. ♪
Et ne croit pas que l'on cherche à gagner du temps. La preuve, John arrive dans le parking.
John Cena – You can't see me, my time is now. ♪
Cena arrive finalement dans le parking et se dirige vers la voiture qui lui a été alloué, une luxueuse limousine blanche. John arrive à la hauteur de la voiture où l'attend le chauffeur.
Alfred – Bonsoir monsieur Cena.
John Cena – Bonsoir, Alfred. Ramenez-moi à l'hôtel s'il vous plait, j'ai besoin de dormir.
Alfred – Tout de suite, monsieur.
Tous les chauffeurs et majors d'hommes s'appellent Alfred. Bref, John monte à l'arrière de la voiture après qu'Alfred lui ait ouvert la porte et le bonhomme va pouvoir rentrer chez lui après avoir une nouvelle fois performé. La limousine démarre tranquillement et elle s'apprête à quitter le parking. Oui, c'était un segment qui servait à rien, et on l'a fait juste pour-...
BOOOOOM !
OH MY GOD !! LA LIMOUSINE EST EN FEU !! LA LIMOUSINE VIENT D'EXPLOSER !! INCROYABLE !!! On peut entendre des cris de terreurs provenant des gradins où les fans ont assisté à la scène depuis le titantron. Bill DeMott et Booker T ont immédiatement lâché leur poste et se dirigent en courant en backstages. Les quelques techniciens présents dans le parking tentent de s'approcher de la voiture mais la chaleur est beaucoup trop importante. Austin est le premier membre de la Corporation à être sur les lieux du crime. Il tente d'éteindre le feu avec sa dernière bière, en vain. Trish Stratus arrive à son tour et elle vient d'appeler les secours. Austin demande aux techniciens ce qu'ils s'est passé, c'est un putain d'interrogatoire avant l'heure. Bill et Booker arrivent finalement à leur tour avec deux extincteurs et tentent de ralentir les flammes à l'arrière du véhicule. Les deux hommes sont rapidement rejoints par les secours qui étaient en alerte maximal en cette soirée du 11 septembre.
Rapidement, les pompiers arrivent à éteindre les flammes et l'un d'eux se dirige vers la voiture pour voir s'il y a des survivants. A l'avant du véhicule, où l'explosion a retentit, Alfred est mort sur le coup. Un autre pompier arrive vers l'arrière du véhicule et en sort ce qu'il reste de John Cena. Le bonhomme est noir, brûlé au troisième et quatrième degré à plusieurs endroits. Les pompiers le couchent sur le sol et l'un d'eux prend son pouls. Il respire ! JOHN CENA RESPIRE !! IL EST EN VIE PUTAIN DE MERDE !! Trish Stratus s'empêche d'appeler une ambulance alors que les pompiers tente de parer aux premiers soins pour venir en aide à un John Cena qui serait déjà mort s'il avait été à l'avant du véhicule. Un pompier arrive d'ailleurs vers Steve et lui montre un petit objet qui ressemble à un boitier. Mes amis, ce soir, ce n'était pas un accident comme les autres, c'était un putain d'attentat ! Al-Qaïda revendique déjà l'attentat, d'autres crient déjà au complot, Stone Cold planifierait déjà de partir en guerre en Irak, pourla bière le pétrole, et Morr' refute déjà l'idée que se soit un bon segment pour terminer ce PPV. Le 11 septembre vient de connaitre une nouvelle tragédie, et John Cena en est la victime !
John Cena – Deux appels manqués, Vince McMahon, encore lui, et Stephanie McMahon. Ils ne me lâcheront jamais, on dirait. Un nouveau message. Tiens, encore de la pub d'SFR.
Oui, John Cena reçoit de la pub par sms d'SFR, lui aussi. Il finit par brancher ses écouteurs, et ce met à écouter de la musique tout en se dirigeant vers le parking.
John Cena – Tututututum. Your time is up, my time is now. ♪
Oui, John Cena écoute sa propre musique, et alors ?
John Cena – You can't see me, my time is now. ♪
Security Guard – Salut John, à la prochaine.
John Cena – Merci. Jolie t-shirt.
Oui, on est capable de faire un segment de fin juste pour te montrer John Cena quitter le Madisn Square Garden en chantant.
John Cena – It's the franchise, boy I'm shinin' now. ♪
Et ne croit pas que l'on cherche à gagner du temps. La preuve, John arrive dans le parking.
John Cena – You can't see me, my time is now. ♪
Cena arrive finalement dans le parking et se dirige vers la voiture qui lui a été alloué, une luxueuse limousine blanche. John arrive à la hauteur de la voiture où l'attend le chauffeur.
Alfred – Bonsoir monsieur Cena.
John Cena – Bonsoir, Alfred. Ramenez-moi à l'hôtel s'il vous plait, j'ai besoin de dormir.
Alfred – Tout de suite, monsieur.
Tous les chauffeurs et majors d'hommes s'appellent Alfred. Bref, John monte à l'arrière de la voiture après qu'Alfred lui ait ouvert la porte et le bonhomme va pouvoir rentrer chez lui après avoir une nouvelle fois performé. La limousine démarre tranquillement et elle s'apprête à quitter le parking. Oui, c'était un segment qui servait à rien, et on l'a fait juste pour-...
BOOOOOM !
OH MY GOD !! LA LIMOUSINE EST EN FEU !! LA LIMOUSINE VIENT D'EXPLOSER !! INCROYABLE !!! On peut entendre des cris de terreurs provenant des gradins où les fans ont assisté à la scène depuis le titantron. Bill DeMott et Booker T ont immédiatement lâché leur poste et se dirigent en courant en backstages. Les quelques techniciens présents dans le parking tentent de s'approcher de la voiture mais la chaleur est beaucoup trop importante. Austin est le premier membre de la Corporation à être sur les lieux du crime. Il tente d'éteindre le feu avec sa dernière bière, en vain. Trish Stratus arrive à son tour et elle vient d'appeler les secours. Austin demande aux techniciens ce qu'ils s'est passé, c'est un putain d'interrogatoire avant l'heure. Bill et Booker arrivent finalement à leur tour avec deux extincteurs et tentent de ralentir les flammes à l'arrière du véhicule. Les deux hommes sont rapidement rejoints par les secours qui étaient en alerte maximal en cette soirée du 11 septembre.
Rapidement, les pompiers arrivent à éteindre les flammes et l'un d'eux se dirige vers la voiture pour voir s'il y a des survivants. A l'avant du véhicule, où l'explosion a retentit, Alfred est mort sur le coup. Un autre pompier arrive vers l'arrière du véhicule et en sort ce qu'il reste de John Cena. Le bonhomme est noir, brûlé au troisième et quatrième degré à plusieurs endroits. Les pompiers le couchent sur le sol et l'un d'eux prend son pouls. Il respire ! JOHN CENA RESPIRE !! IL EST EN VIE PUTAIN DE MERDE !! Trish Stratus s'empêche d'appeler une ambulance alors que les pompiers tente de parer aux premiers soins pour venir en aide à un John Cena qui serait déjà mort s'il avait été à l'avant du véhicule. Un pompier arrive d'ailleurs vers Steve et lui montre un petit objet qui ressemble à un boitier. Mes amis, ce soir, ce n'était pas un accident comme les autres, c'était un putain d'attentat ! Al-Qaïda revendique déjà l'attentat, d'autres crient déjà au complot, Stone Cold planifierait déjà de partir en guerre en Irak, pour
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