Attitude #5.
Page 1 sur 1
Attitude #5.
Alors oui, c'est l'heure du show. Alors oui, vous attendez qu'on rentre dans le vif du sujet, mais il faut comprendre que tout n'arrive pas comme ça servi comme par magie. Non, les lutteurs ne laissent pas en slip sur un ring, ce sont des hommes normaux, qui doivent se déplacer à leur travail, pointer comme tout le monde. C'est justement autour d'Alberto del Rio en ce début de soirée de venir pointer à l'Independance Events Center.
Le Mexicain gare tranquillement sa voiture dans le parking, en sort fièrement, tête haute et commence à se diriger vers les portes de l'Arena. Il a remporté son match à Thunderslam, et peut donc avancer en vainqueur vers son destin. Enfin, ce sera pas pour tout de suite, puisque la tête plongé dans ses délires mégalomane, le voilà qui vient de rentrer en colision avec un corps étranger. Del Rio lève lentement la tête et se retrouve nez-à-nez avec un homme. Deux plutôt, chacun en costume noir.
Agent K – Alberto del Rio ?
Alberto del Rio – Que quieres estúpido ?!
Le lutteur remet son écharpe en place sur ses épaules avant de lever la tête de nouveau... pour apercevoir une carte placé par le deuxième homme devant ses yeux.
Agent J – On ne bouge plus. Service de l'immigration. Votre présence sur ce territoire et en ces lieux est totalement illégale monsieur Del Rio. Vous n'avez actuellement aucun travail déclaré, et par conséquent, nous nous devons d'éclaircir votre situation.
Alberto del Rio – Oh.
Agent J – Veuillez nous suivre s'il vous plait.
Et voilà le Mexicain empoigné par les deux autres hommes, et ainsi éloigné de l'entrée de l'Arena. Cependant Del Rio se débat et finit par réussir à se dégager ! Il se met à bonne distance des deux gaillards et se met en évidence. Déjà en tenue de lutte, parce qu'il a la classe, il ouvre ses bras.
Alberto del Rio – Regardez moi ! Je suis le grand Alberto del Rio ! L'homme qui a battu Kurt Angle ! Thunderslam ? Stone Cold Steve Austin ? L'AWC ? Je suis Alberto del Rio, vous ne comprenez pas ?
Agent K – Je crains bien que non.
Agent J – Évitons le scandale monsieur. Nous allons vous reconduire à la frontière Mexicaine, vous ne pouvez plus rester ici.
Alberto del Rio – Je... Je ne peux pas être renvoyé au Mexique, je suis ici pour accomplir ma destinée ! Elle est derrière vous, elle m'attend ! Je travaille ici ! J'ai... J'ai un contrat ! I'm the Corporation Champion !
Alberto continue à s'agiter, provoquant à la fois rire et agacement chez nos amis de l'immigration qui finissent par décider de l'immobiliser.
Agent K – C'est absolument génial, et moi je suis champion de Hockey, allez en route.
Alberto del Rio – Vous faites une énorme erreur !
Et hop, la tête de Del Rio est rentré dans la voiture de la brigade ! Le deuxième homme vient se positionner à l'avant, au poste de conducteur. Tandis que Del Rio continue à hurler à l'arrière, le premier cherche à rejoindre son accolyte quand... un pick-up remonte le long du parking en direction de la scène ! Bon gros crissement de pneu jusqu'à arriver juste à côté de la voiture contenant le Corporation Champion. L'homme encore dehors s'approche de la vitre du nouveau véhicule. Celle-ci descend et... C'est Stone Cold ! Le patron de l'AWC dévisage le pingouin.
Stone Cold – Un problème messieurs ?
Agent K – Absolument aucun. Nous ramenons cette homme à la frontière, et je ne pense pas que cela vous regarde plus que ça.
Stone Cold – Oh détrompe toi assclown. Cet homme que vous emmenez est mon employé, et il a un travail à assurer.
Agent K – Cet homme est un clandestin, il n'a aucun travail déclaré ! Nous le ramenons chez lui.
L'homme en question décide de tourner à le dos à Stone Cold pour monter dans son véhicule. Mauvaise idée. Austin descend de son pick-up !
Stone Cold – Ça, ça me ferait mal !
Il tire son vis-à-vis par le col et le balance contre la portière avant d'ouvrir celle de Del Rio. Le deuxième homme sort à son tour pour intervenir, mais se fait lui aussi balancer au loin ! Tandis qu'ils partent tous les deux en courant devant notre buveur de bière, le Mexicain rejoint celui-ci, et le fixe dans les yeux, comme légèrement rassuré.
Stone Cold – Tu veux ma photo salopard ? Je te sauve pas tes petites miches parce que t'es Corporation Champion ou parce que tu serais un lutteur important pour ma fédération, crois moi. T'es simplement un employé, et t'as un match à faire ce soir... Alors t'as intérêt à le faire ! Allez bouge toi les miches !
Del Rio s'arrange, regarde son boss une dernière fois, avant de reprendre la direction de l'Arena, comme s'il ne s'était rien passé. Le reste du roster arrive, chacun son tour, de manière beaucoup plus calme pour le show qui va enfin pouvoir débuter.
Le Mexicain gare tranquillement sa voiture dans le parking, en sort fièrement, tête haute et commence à se diriger vers les portes de l'Arena. Il a remporté son match à Thunderslam, et peut donc avancer en vainqueur vers son destin. Enfin, ce sera pas pour tout de suite, puisque la tête plongé dans ses délires mégalomane, le voilà qui vient de rentrer en colision avec un corps étranger. Del Rio lève lentement la tête et se retrouve nez-à-nez avec un homme. Deux plutôt, chacun en costume noir.
Agent K – Alberto del Rio ?
Alberto del Rio – Que quieres estúpido ?!
Le lutteur remet son écharpe en place sur ses épaules avant de lever la tête de nouveau... pour apercevoir une carte placé par le deuxième homme devant ses yeux.
Agent J – On ne bouge plus. Service de l'immigration. Votre présence sur ce territoire et en ces lieux est totalement illégale monsieur Del Rio. Vous n'avez actuellement aucun travail déclaré, et par conséquent, nous nous devons d'éclaircir votre situation.
Alberto del Rio – Oh.
Agent J – Veuillez nous suivre s'il vous plait.
Et voilà le Mexicain empoigné par les deux autres hommes, et ainsi éloigné de l'entrée de l'Arena. Cependant Del Rio se débat et finit par réussir à se dégager ! Il se met à bonne distance des deux gaillards et se met en évidence. Déjà en tenue de lutte, parce qu'il a la classe, il ouvre ses bras.
Alberto del Rio – Regardez moi ! Je suis le grand Alberto del Rio ! L'homme qui a battu Kurt Angle ! Thunderslam ? Stone Cold Steve Austin ? L'AWC ? Je suis Alberto del Rio, vous ne comprenez pas ?
Agent K – Je crains bien que non.
Agent J – Évitons le scandale monsieur. Nous allons vous reconduire à la frontière Mexicaine, vous ne pouvez plus rester ici.
Alberto del Rio – Je... Je ne peux pas être renvoyé au Mexique, je suis ici pour accomplir ma destinée ! Elle est derrière vous, elle m'attend ! Je travaille ici ! J'ai... J'ai un contrat ! I'm the Corporation Champion !
Alberto continue à s'agiter, provoquant à la fois rire et agacement chez nos amis de l'immigration qui finissent par décider de l'immobiliser.
Agent K – C'est absolument génial, et moi je suis champion de Hockey, allez en route.
Alberto del Rio – Vous faites une énorme erreur !
Et hop, la tête de Del Rio est rentré dans la voiture de la brigade ! Le deuxième homme vient se positionner à l'avant, au poste de conducteur. Tandis que Del Rio continue à hurler à l'arrière, le premier cherche à rejoindre son accolyte quand... un pick-up remonte le long du parking en direction de la scène ! Bon gros crissement de pneu jusqu'à arriver juste à côté de la voiture contenant le Corporation Champion. L'homme encore dehors s'approche de la vitre du nouveau véhicule. Celle-ci descend et... C'est Stone Cold ! Le patron de l'AWC dévisage le pingouin.
Stone Cold – Un problème messieurs ?
Agent K – Absolument aucun. Nous ramenons cette homme à la frontière, et je ne pense pas que cela vous regarde plus que ça.
Stone Cold – Oh détrompe toi assclown. Cet homme que vous emmenez est mon employé, et il a un travail à assurer.
Agent K – Cet homme est un clandestin, il n'a aucun travail déclaré ! Nous le ramenons chez lui.
L'homme en question décide de tourner à le dos à Stone Cold pour monter dans son véhicule. Mauvaise idée. Austin descend de son pick-up !
Stone Cold – Ça, ça me ferait mal !
Il tire son vis-à-vis par le col et le balance contre la portière avant d'ouvrir celle de Del Rio. Le deuxième homme sort à son tour pour intervenir, mais se fait lui aussi balancer au loin ! Tandis qu'ils partent tous les deux en courant devant notre buveur de bière, le Mexicain rejoint celui-ci, et le fixe dans les yeux, comme légèrement rassuré.
Stone Cold – Tu veux ma photo salopard ? Je te sauve pas tes petites miches parce que t'es Corporation Champion ou parce que tu serais un lutteur important pour ma fédération, crois moi. T'es simplement un employé, et t'as un match à faire ce soir... Alors t'as intérêt à le faire ! Allez bouge toi les miches !
Del Rio s'arrange, regarde son boss une dernière fois, avant de reprendre la direction de l'Arena, comme s'il ne s'était rien passé. Le reste du roster arrive, chacun son tour, de manière beaucoup plus calme pour le show qui va enfin pouvoir débuter.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
IT WAS LAST WEEK.
...
THUNDERSLAM, LIVE FROM HOUSTON, TX.
Malgré toute sa bonne volonté, Christian n'arrive toujours pas à convaincre Stone Cold que le prochain challengeur au titre Attitude, ça doit être lui.
Rey Misterio l'avait prévenu, et il a frappé. Randy Orton devait répondre de ses actes, et se fait battre par Misterio.
Les derniers conseils de Bill et l'intervention de Booker n'auront pas aidé Andy Leavine, il se fait battre par Triple H.
Tombeur de Low-Ki, Abdallah Tarver retourne parmi les siens pour célébrer le ramadan. Il reviendra dans un mois.
Après quarante minutes de combats, les frères Dudleys ont éliminé un par un tous leurs adversaires.
Tous ? Non, une équipe était encore au menu, l'équipe de trop...
Il n'est peut-être pas challengeur, mais Christian gagne encore.
Il a beau ne pas avoir de contrat de travail, Alberto Del Rio remporte quand même le titre Corporation.
Pas à 100% après son accident, John Cena est vaincu par l'Undertaker qui devient le premier Attitude Champion.
Ce titre se traduit par l'élargissement du Ministry of Darkness et une violente attaque sur Bill DeMott et Booker T.
AND NOW, ATTITUDE CONTINUES
...
THIS IS ATTITUDE NUMBER FIVE LIVE FROM KANSAS CITY, MO.
...
THUNDERSLAM, LIVE FROM HOUSTON, TX.
Malgré toute sa bonne volonté, Christian n'arrive toujours pas à convaincre Stone Cold que le prochain challengeur au titre Attitude, ça doit être lui.
Rey Misterio l'avait prévenu, et il a frappé. Randy Orton devait répondre de ses actes, et se fait battre par Misterio.
Les derniers conseils de Bill et l'intervention de Booker n'auront pas aidé Andy Leavine, il se fait battre par Triple H.
Tombeur de Low-Ki, Abdallah Tarver retourne parmi les siens pour célébrer le ramadan. Il reviendra dans un mois.
Après quarante minutes de combats, les frères Dudleys ont éliminé un par un tous leurs adversaires.
Tous ? Non, une équipe était encore au menu, l'équipe de trop...
Il n'est peut-être pas challengeur, mais Christian gagne encore.
Il a beau ne pas avoir de contrat de travail, Alberto Del Rio remporte quand même le titre Corporation.
Pas à 100% après son accident, John Cena est vaincu par l'Undertaker qui devient le premier Attitude Champion.
Ce titre se traduit par l'élargissement du Ministry of Darkness et une violente attaque sur Bill DeMott et Booker T.
AND NOW, ATTITUDE CONTINUES
...
THIS IS ATTITUDE NUMBER FIVE LIVE FROM KANSAS CITY, MO.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
ATTITUDE WRESTLING CORPORATION.
IT'S TIME TO CHOOSE THE RIGHT ATTITUDE.
« GIVE ME A HELL YEAH ! »
UNLEASH HELL.
« YOU LITTLE SUMBITCH ! »
AUSTIN 3:16 JUST WHOOPED YOUR ASS.
« WHAT ? »
THIS IS A NEW WRESTLING ERA.
« WHAT ? »
HOSTED BY THE TEXAS RATTLESNAKE, BEER DRINKER...
« THE TOUGHEST SUMBITCH OF WRESTLING HISTORY ! »
STONE COLD STEVE AUSTIN !
« OH HELL YEAH ! »
ARRIVE, RAISE HELL, LEAVE.
« WHAT ? »
THIS IS NOW...
« AND THAT'S THE BOTTOM LINE... »
THIS... IS... ATTITUDE !
« CAUSE STONE COLD SAID SO ! »
IT'S TIME TO CHOOSE THE RIGHT ATTITUDE.
« GIVE ME A HELL YEAH ! »
UNLEASH HELL.
« YOU LITTLE SUMBITCH ! »
AUSTIN 3:16 JUST WHOOPED YOUR ASS.
« WHAT ? »
THIS IS A NEW WRESTLING ERA.
« WHAT ? »
HOSTED BY THE TEXAS RATTLESNAKE, BEER DRINKER...
« THE TOUGHEST SUMBITCH OF WRESTLING HISTORY ! »
STONE COLD STEVE AUSTIN !
« OH HELL YEAH ! »
ARRIVE, RAISE HELL, LEAVE.
« WHAT ? »
THIS IS NOW...
« AND THAT'S THE BOTTOM LINE... »
THIS... IS... ATTITUDE !
« CAUSE STONE COLD SAID SO ! »
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
Ça y est, cette fois c'est fait, le tout premier Pay Per View de l'histoire de la fédération est passé, et le moins que l'on puisse dire c'est que ce premier virage a été plutôt bien négocié et fort apprécié par les fans. Seulement, la soirée a prit un mauvais tournant quand l'Undertaker a envoyé à l'hôpital Bil DeMott et Booker T. C'est donc à Kansas City, Missouri que nous nous retrouvons pour Attitude, number five, dans un contexte un peu compliqué.
L'Independance Events Center accueille donc pour la première fois l'AWC et le moins que l'on puisse dire, c'est que l'opération est déjà rentable pour les organisateurs du show. Tenez vous bien, en moins de quinze minutes, le show était sold-out. Bon, okay, ce n'est qu'une salle de cinq milles places, mais quand même. En tout cas, certains fans sont déjà là depuis plusieurs jours, couchant devant les portes d'entrées dans l'espoir de croiser une Superstar de renom et ainsi obtenir un autographe qu'ils pourront vendre sur ebay par la suite (Hey, how're you doin' Punk ?). Le souci, c'est que les agents de sécurité, les time-keeper (et non le clochiste) et la maquilleuse de Trish ne semblent pas rencontrer un grand succès. Tant pis pour eux, maintenant c'est lundi soir, et c'est l'heure de crier très fort le nom du héros de la Corporation.
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Alors qu'à l'entrée, les vigiles ont beaucoup de boulot avec les fans qui viennent pour la plupart tous armés, par peur de se faire attaquer par le Ministry, d'autres ont décidé de la jouer beaucoup plus finement. En effet, on peut voir un groupe d'une dizaine de jeunes avec des gousses d'ails autour du cul et, en cas de besoin, un pieu coincé dans la manche de leur pull. Oui, le Ministry fait peur, le Ministry est craint, comme nous le montre ce tweet de SassanBe : "Trop mort de lol le Ministry, on dirait un club d'échangiste !", les Guignols nous manque. Un peu plus loin, c'est ce pauvre Maitre Capello qui vient de se retourner dans sa tombe en voyant cela, "Bien je suis pas trop bon en e-fed en speech a cause de problème de orthographe et je vais souvent en loge de fille raison que je les affrontes pas et donc avoir une bonne relation que être avec un mec que affronte et tout donc on appelle souvent la boulet donc essaye de faire de mon mieux pour pas que ca arrive.", Canal + aurait renoncé à décrypter ce qui semble être de l'Egyptien. Heureusement qu'il nous reste toujours notre bonne vieille bannière à consonance sexuelle. "Vince McDoom copule avec Magloire", les dégueulasses. Et puis quoi encore, Goldust et George Clooney ? Oui, il y a un an jour pour jour, le 8 août 2010, Armando Estrada révélait que c'était lui qui avait demandé à Claudio Castagnoli de payer sa caution.
Ce fan habite en Arizona, il est dans la merde pour repartir. Anyway, parce qu'il y a du mouvement quand même sur le ring avec cette traditionnelle et désormais mythique bataille royale qui a lieu avant chaque show, pour permettre aux petits nouveaux de se foutre sur la gueule avant de venir emmerder les autres pour une place dans un show télé. A ce petit jeu Edge sort vainqueur de l'IBR où les quatre derniers participants étaient Ken Anderson, Santino Marella, Sheamus et donc le vainqueur, Edge. Mais en fait, on s'en branle complètement de ça, parce qu'on peut surtout se rendre compte qu'il n'y a toujours pas de commentateurs à la table. Booker T et Bill ne semblent donc pas en mesure de répondre présents ce soir suite à la violente attaque qu'ils ont reçu la semaine dernière. D'ailleurs, en backstages, ça semble s'agiter pour... Ah non, en fait Steve pique un somme, Trish se maquille, Christian répète son discours devant le miroir et Alberto Del Rio tente de retrouver son contrat de travail dans la corbeille à papier, la routine quoi. Les fans eux, ils veulent quand même revoir notre duo de commentateurs.
« WE WANT BILL ! WE WANT BOOKER ! WE WANT BILL ! »
Tiens, en backstages on aperçoit une limousine qui arrive. La porte s'ouvre, et Sharmell, la femme de Booker T vient d'en sortir. Est-ce qu'elle va intervenir ce soir ? Est-ce qu'elle va remplacer son mari ? Juste après elle, c'est Stevie Ray qui sort. Le frère de Booker T, on a le droit à une réunion de famille ? Nul ne le sait, mais les fans, eux, n'en peuvent plus. On veut savoir, putain de bordel de merde il me faut plus de mots pour faire une plus jolie ligne.
« BOOKER T ! BILL DEMOTT ! BOOKER T ! »
L'attente va toucher à sa fin, le générique de l'émission a été envoyé, les pyrotechnies explosent et nous sommes en direct, c'est parti. Les fans sont excités, d'autres ont déjà jouis dans leur caleçon, mais tout le monde va se taire quelques secondes, s'il vous plait.
Tell me he's not here ! Oui, ce n'est pas un effet d'optique, Booker T est bien là, putain de bordel de merde. La foule lui offre une ovation et Booker ne peut pas s'empêcher de taper dans quelques mains, il est heureux d'être là. Mais attendez, quelques mètres plus loin, Bill DeMott, mesdames et messieurs ! Oui, la paire de commentateurs que l'on croyait absent ce soir est finalement bien là, non sans quelques bandages, mais ils sont bien là.
Booker T – Wassup my dawgs ?
Bill DeMott – C'est pas une putain qui suce des nuques et un vampire qui pue d'la gueule qui allaient nous empêcher de faire notre job de commentateurs, n'est-ce pas Book' ?
Booker T – Bill a raison, contre vent et marée, nous sommes présents ici, ce soir, pour toute la soirée, et on va commenter, mes amis. Peu importe si on devait le faire dans un fauteuil roulant, avec un bras en moins ou pire encore, d'une chambre d'hôpital, on aurait manqué ce show pour rien au monde. J'vais vous dire moi, même un Peep Show de ma femme aurait pas pu me retenir, je voulais être ici ce soir, c'était ferme et définitif, ouaip.
Bill DeMott – Nous sommes là ici ce soir, et on va vous donner, une nouvelle fois, toute l'énergie dont on dispose pour vous faire vivre une soirée comme vous ne pouvez en avoir que le lundi soir.
Booker T – Exactement, ce soir c'est Attitude, cinquième du nom. En d'autres termes, this is Attitude, Attitude, Attitude, Attitude, Attitude, youhou !
Bill DeMott – Et ce soir, le programme s'annonce une nouvelle fois de toute beauté avec notamment un Main-Event de feu entre les deux champions de la fédération, l'Undertaker et Alberto Del Rio. Et le Ministry risque certainement de prendre cher dans la gueule, aussi.
Booker T – Can you dig that, suckas' ?
Ils sont là, pas à 100%, avec des bandages partout sur le corps, mais ils sont là, et nous aussi.
L'Independance Events Center accueille donc pour la première fois l'AWC et le moins que l'on puisse dire, c'est que l'opération est déjà rentable pour les organisateurs du show. Tenez vous bien, en moins de quinze minutes, le show était sold-out. Bon, okay, ce n'est qu'une salle de cinq milles places, mais quand même. En tout cas, certains fans sont déjà là depuis plusieurs jours, couchant devant les portes d'entrées dans l'espoir de croiser une Superstar de renom et ainsi obtenir un autographe qu'ils pourront vendre sur ebay par la suite (Hey, how're you doin' Punk ?). Le souci, c'est que les agents de sécurité, les time-keeper (et non le clochiste) et la maquilleuse de Trish ne semblent pas rencontrer un grand succès. Tant pis pour eux, maintenant c'est lundi soir, et c'est l'heure de crier très fort le nom du héros de la Corporation.
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Alors qu'à l'entrée, les vigiles ont beaucoup de boulot avec les fans qui viennent pour la plupart tous armés, par peur de se faire attaquer par le Ministry, d'autres ont décidé de la jouer beaucoup plus finement. En effet, on peut voir un groupe d'une dizaine de jeunes avec des gousses d'ails autour du cul et, en cas de besoin, un pieu coincé dans la manche de leur pull. Oui, le Ministry fait peur, le Ministry est craint, comme nous le montre ce tweet de SassanBe : "Trop mort de lol le Ministry, on dirait un club d'échangiste !", les Guignols nous manque. Un peu plus loin, c'est ce pauvre Maitre Capello qui vient de se retourner dans sa tombe en voyant cela, "Bien je suis pas trop bon en e-fed en speech a cause de problème de orthographe et je vais souvent en loge de fille raison que je les affrontes pas et donc avoir une bonne relation que être avec un mec que affronte et tout donc on appelle souvent la boulet donc essaye de faire de mon mieux pour pas que ca arrive.", Canal + aurait renoncé à décrypter ce qui semble être de l'Egyptien. Heureusement qu'il nous reste toujours notre bonne vieille bannière à consonance sexuelle. "Vince McDoom copule avec Magloire", les dégueulasses. Et puis quoi encore, Goldust et George Clooney ? Oui, il y a un an jour pour jour, le 8 août 2010, Armando Estrada révélait que c'était lui qui avait demandé à Claudio Castagnoli de payer sa caution.
Ce fan habite en Arizona, il est dans la merde pour repartir. Anyway, parce qu'il y a du mouvement quand même sur le ring avec cette traditionnelle et désormais mythique bataille royale qui a lieu avant chaque show, pour permettre aux petits nouveaux de se foutre sur la gueule avant de venir emmerder les autres pour une place dans un show télé. A ce petit jeu Edge sort vainqueur de l'IBR où les quatre derniers participants étaient Ken Anderson, Santino Marella, Sheamus et donc le vainqueur, Edge. Mais en fait, on s'en branle complètement de ça, parce qu'on peut surtout se rendre compte qu'il n'y a toujours pas de commentateurs à la table. Booker T et Bill ne semblent donc pas en mesure de répondre présents ce soir suite à la violente attaque qu'ils ont reçu la semaine dernière. D'ailleurs, en backstages, ça semble s'agiter pour... Ah non, en fait Steve pique un somme, Trish se maquille, Christian répète son discours devant le miroir et Alberto Del Rio tente de retrouver son contrat de travail dans la corbeille à papier, la routine quoi. Les fans eux, ils veulent quand même revoir notre duo de commentateurs.
« WE WANT BILL ! WE WANT BOOKER ! WE WANT BILL ! »
Tiens, en backstages on aperçoit une limousine qui arrive. La porte s'ouvre, et Sharmell, la femme de Booker T vient d'en sortir. Est-ce qu'elle va intervenir ce soir ? Est-ce qu'elle va remplacer son mari ? Juste après elle, c'est Stevie Ray qui sort. Le frère de Booker T, on a le droit à une réunion de famille ? Nul ne le sait, mais les fans, eux, n'en peuvent plus. On veut savoir, putain de bordel de merde il me faut plus de mots pour faire une plus jolie ligne.
« BOOKER T ! BILL DEMOTT ! BOOKER T ! »
L'attente va toucher à sa fin, le générique de l'émission a été envoyé, les pyrotechnies explosent et nous sommes en direct, c'est parti. Les fans sont excités, d'autres ont déjà jouis dans leur caleçon, mais tout le monde va se taire quelques secondes, s'il vous plait.
Tell me he's not here ! Oui, ce n'est pas un effet d'optique, Booker T est bien là, putain de bordel de merde. La foule lui offre une ovation et Booker ne peut pas s'empêcher de taper dans quelques mains, il est heureux d'être là. Mais attendez, quelques mètres plus loin, Bill DeMott, mesdames et messieurs ! Oui, la paire de commentateurs que l'on croyait absent ce soir est finalement bien là, non sans quelques bandages, mais ils sont bien là.
Booker T – Wassup my dawgs ?
Bill DeMott – C'est pas une putain qui suce des nuques et un vampire qui pue d'la gueule qui allaient nous empêcher de faire notre job de commentateurs, n'est-ce pas Book' ?
Booker T – Bill a raison, contre vent et marée, nous sommes présents ici, ce soir, pour toute la soirée, et on va commenter, mes amis. Peu importe si on devait le faire dans un fauteuil roulant, avec un bras en moins ou pire encore, d'une chambre d'hôpital, on aurait manqué ce show pour rien au monde. J'vais vous dire moi, même un Peep Show de ma femme aurait pas pu me retenir, je voulais être ici ce soir, c'était ferme et définitif, ouaip.
Bill DeMott – Nous sommes là ici ce soir, et on va vous donner, une nouvelle fois, toute l'énergie dont on dispose pour vous faire vivre une soirée comme vous ne pouvez en avoir que le lundi soir.
Booker T – Exactement, ce soir c'est Attitude, cinquième du nom. En d'autres termes, this is Attitude, Attitude, Attitude, Attitude, Attitude, youhou !
Bill DeMott – Et ce soir, le programme s'annonce une nouvelle fois de toute beauté avec notamment un Main-Event de feu entre les deux champions de la fédération, l'Undertaker et Alberto Del Rio. Et le Ministry risque certainement de prendre cher dans la gueule, aussi.
Booker T – Can you dig that, suckas' ?
Ils sont là, pas à 100%, avec des bandages partout sur le corps, mais ils sont là, et nous aussi.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
Bill DeMott – Bon, on est peut être pas en pleine possession de nos moyens, mais notre bouche fonctionne encore, on va pouvoir commenter cette soirée. Qu'est-ce que tu en dis, Booker ?
Booker T – Justement, j'ai quelque chose à dire.
Bill DeMott – Bah ne te gêne pas, on est aux commentaires, alors vas-y, exprime-toi.
Booker T – Pas ici, non.
Bill DeMott – Hein ?
Ouaip, j'viens d'la faire BES' style, là. Bill ne comprend pas mais Booker T vient de retirer son casque, se lève de sa chaise et prend le micro qui est posé à la table.
Booker T – Can I have your attention, please ?
Gimmick infringement spotted. Booker prend ses distances avec Bill et il va même jusqu'à monter sur le ring, oui. Qu'est-ce qu'il prépare ?
Booker T – Je ne serai pas long, c'est promis. Vous savez, il y a une semaine, je n'étais pas sûr de pouvoir commenter un nouveau show de cette fédération, et pourtant je suis là ce soir. Alors je voudrais profiter de ce moment pour faire trois choses qui me tiennent particulièrement à coeur. Premièrement, je souhaiterai vous remercier, vous, fans de l'Attitude Wrestling Corporation, pour nous suivre dans ce projet. Vous voir chaque semaines plus nombreux ne peut que me faire plaisir, et nous faire plaisir à l'ensemble de la Corporation.
Pour toi, public.
Booker T – Deuxièmement, et je me tourne à présent vers la table des commentateurs et mon compère, Bill DeMott. La semaine dernière, j'ai pourri la soirée par mes commentaires désobligeant à l'encontre de Bill. J'ai douté de lui, de son honnêteté, de sa gentillesse, et de son amitié, et je m'en veux. Je veux donc profiter de ce moment pour te dire, Bill, que je suis désolé pour la semaine dernière, et j'espère que toi et moi, on va pouvoir travailler dans la bonne humeur.
Bill DeMott – Tu n'avais pas besoin de ça, Booker. Je ne t'en ai jamais tenu rigueur, bien sûr qu'on va commenter et se faire plaisir ensemble.
Booker T – Ça me fait plaisir d'entendre ça, surtout qu'avec un bras en écharpe, j'aurai bien besoin de toi pour botter le cul du Ministry.
Hilarité dans le public et à la table où Bill se tape une barre comme jamais auparavant. A moins qu'il ait des crampes d'estomacs, ce qui est possible aussi.
Booker T – Tout ceci m'amène donc au troisième point, Andy Leavine. La semaine dernière, j'ai eu la très mauvaise idée d'intervenir dans le combat, lui causant très certainement la défaite. Je m'en veux, et je voudrais m'excuser en homme, en face de lui. So, C'mon Andy !
Booker se tourne vers le titantron où le thème d'Andy Leavine ne tarde pas à se faire entendre.
Andy arrive, visage fermé, mais il tape quand même dans quelques mains au passage. Il rejoint le ring et s'empare au passage d'un micro. Il va pouvoir écouter ce qu'a à dire Booker T.
Andy Leavine – Si on m'avait un jour dit que je serais le premier lutteur à prendre le micro un soir de show, je ne l'aurai jamais cru.
Booker T – La vie est pleine de surprise. Andy, je vais être clair, j'ai perdu les pédales la semaine dernière, je n'ai pas été bon, je n'ai pas bien joué mon rôle. J'aurai dû rester à la table des commentateurs et regarder ce que tu allais faire pour te sortir de ce mauvais pas. J'ai été emporté par ma haine contre Triple H, et tu en as malheureusement subit les conséquences.
Andy Leavine – J'ai encore une bosse sur le crâne, ouais.
Booker T – C'est pourquoi je voulais que tu viennes sur ce ring, pour que je puisse te dire en face, d'homme à homme, les yeux dans les yeux, que je suis désolé pour ce préjudice, que cela ne se reproduira plus, et que je t'ai sous-estimé. Tu as un brillant avenir dans ce business Andy.
Andy Leavine – On apprend tous les jours de nos erreurs. Excuses acceptées Booker, mais ne t'avise plus de contrarier la rage silencieuse.
Booker T – Je n'y compte pas, héhé.
Alors que les deux hommes rigolent et sont sur le point de s'échanger une poignée de main, motorhead résonne dans l'arena.
Triple H – Ladies and gentleman, Big Andy Leavine.
Simple, rapide et efficace, la classe, ça ne s'apprend pas. Le public l'a bien comprit et applaudit chaleureusement Andy Leavine qui va savourer quelques secondes ce plaisir alors que Booker retourne à la table où Bill se met à plaisanter avec lui. On envoie la première page de pub de la soirée et on revient pour le premier combat.
Booker T – Justement, j'ai quelque chose à dire.
Bill DeMott – Bah ne te gêne pas, on est aux commentaires, alors vas-y, exprime-toi.
Booker T – Pas ici, non.
Bill DeMott – Hein ?
Ouaip, j'viens d'la faire BES' style, là. Bill ne comprend pas mais Booker T vient de retirer son casque, se lève de sa chaise et prend le micro qui est posé à la table.
Booker T – Can I have your attention, please ?
Gimmick infringement spotted. Booker prend ses distances avec Bill et il va même jusqu'à monter sur le ring, oui. Qu'est-ce qu'il prépare ?
Booker T – Je ne serai pas long, c'est promis. Vous savez, il y a une semaine, je n'étais pas sûr de pouvoir commenter un nouveau show de cette fédération, et pourtant je suis là ce soir. Alors je voudrais profiter de ce moment pour faire trois choses qui me tiennent particulièrement à coeur. Premièrement, je souhaiterai vous remercier, vous, fans de l'Attitude Wrestling Corporation, pour nous suivre dans ce projet. Vous voir chaque semaines plus nombreux ne peut que me faire plaisir, et nous faire plaisir à l'ensemble de la Corporation.
Pour toi, public.
Booker T – Deuxièmement, et je me tourne à présent vers la table des commentateurs et mon compère, Bill DeMott. La semaine dernière, j'ai pourri la soirée par mes commentaires désobligeant à l'encontre de Bill. J'ai douté de lui, de son honnêteté, de sa gentillesse, et de son amitié, et je m'en veux. Je veux donc profiter de ce moment pour te dire, Bill, que je suis désolé pour la semaine dernière, et j'espère que toi et moi, on va pouvoir travailler dans la bonne humeur.
Bill DeMott – Tu n'avais pas besoin de ça, Booker. Je ne t'en ai jamais tenu rigueur, bien sûr qu'on va commenter et se faire plaisir ensemble.
Booker T – Ça me fait plaisir d'entendre ça, surtout qu'avec un bras en écharpe, j'aurai bien besoin de toi pour botter le cul du Ministry.
Hilarité dans le public et à la table où Bill se tape une barre comme jamais auparavant. A moins qu'il ait des crampes d'estomacs, ce qui est possible aussi.
Booker T – Tout ceci m'amène donc au troisième point, Andy Leavine. La semaine dernière, j'ai eu la très mauvaise idée d'intervenir dans le combat, lui causant très certainement la défaite. Je m'en veux, et je voudrais m'excuser en homme, en face de lui. So, C'mon Andy !
Booker se tourne vers le titantron où le thème d'Andy Leavine ne tarde pas à se faire entendre.
Andy arrive, visage fermé, mais il tape quand même dans quelques mains au passage. Il rejoint le ring et s'empare au passage d'un micro. Il va pouvoir écouter ce qu'a à dire Booker T.
Andy Leavine – Si on m'avait un jour dit que je serais le premier lutteur à prendre le micro un soir de show, je ne l'aurai jamais cru.
Booker T – La vie est pleine de surprise. Andy, je vais être clair, j'ai perdu les pédales la semaine dernière, je n'ai pas été bon, je n'ai pas bien joué mon rôle. J'aurai dû rester à la table des commentateurs et regarder ce que tu allais faire pour te sortir de ce mauvais pas. J'ai été emporté par ma haine contre Triple H, et tu en as malheureusement subit les conséquences.
Andy Leavine – J'ai encore une bosse sur le crâne, ouais.
Booker T – C'est pourquoi je voulais que tu viennes sur ce ring, pour que je puisse te dire en face, d'homme à homme, les yeux dans les yeux, que je suis désolé pour ce préjudice, que cela ne se reproduira plus, et que je t'ai sous-estimé. Tu as un brillant avenir dans ce business Andy.
Andy Leavine – On apprend tous les jours de nos erreurs. Excuses acceptées Booker, mais ne t'avise plus de contrarier la rage silencieuse.
Booker T – Je n'y compte pas, héhé.
Alors que les deux hommes rigolent et sont sur le point de s'échanger une poignée de main, motorhead résonne dans l'arena.
Triple H – Ladies and gentleman, Big Andy Leavine.
Simple, rapide et efficace, la classe, ça ne s'apprend pas. Le public l'a bien comprit et applaudit chaleureusement Andy Leavine qui va savourer quelques secondes ce plaisir alors que Booker retourne à la table où Bill se met à plaisanter avec lui. On envoie la première page de pub de la soirée et on revient pour le premier combat.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
Bill DeMott – La semaine dernière ils faisaient équipe, cette semaine, ils seront l'un contre l'autre. C'est un très bon test pour les deux.
Booker T – Ils vont pouvoir nous montrer ce qu'ils ont dans le ventre, et surtout s'ils méritent d'avoir une place dans le show de la semaine prochaine, voir même à plus long terme.
Booker T – C'est une grande légende de ce business qui est en train de descendre la rampe d'accès menant au ring mesdames et messieurs.
Bill DeMott – Légende ou non, ici il devra commencer tout en bas pour espérer monter tout en haut, Y2J a pas intérêt de décevoir ce soir.
Bill DeMott – Ça sert à quoi de claquer cinq pompes avant de combattre ?
Booker T – Ptet qu'il aime bien se ridiculiser. Enfin c'est quand même The All American American.
» FIGHT ! «
Équipiers la semaine dernière lors de Thunderslam et la participation au Tag Team Turmoil, ils sont désormais adversaires et c'est un début très technique où Jack Swagger entraîne son adversaire dans du Mat-Wrestling. Cependant, The Ayatollah of Rock'n Rollah n'est pas à son premier combat et il prend Jack Swagger à son propre jeu. Il reprend l'ascendant et claque son Running Bulldog avant d'enchaîner avec une tentative de Walls of Jericho mais Jack Swagger renverse en Angle Lock mais cela sera en vain, Y2J s'emparant rapidement des cordes. Le combat reprend et suite à un puissant Running Powerslam, The All American American mettera la main sur le combat. Il placera même son Splash en courant vers un coin. Jack Swagger voit la victoire venir à lui mais sur une tentative de Gutwrench Powerbomb Chris Jericho retombe dans son dos et enchaîne avec son Enzuguri qui a claqué à travers toute la salle. Y2J place aussitôt son Lionsault mais seulement pour le compte de deux. Alors qu'on pensait la fin du combat venir, Jack Swagger a réussir à se maintenir en course pour la victoire. Cependant il est groggy et il ne réussit pas à revenir dans le combat. Chris Jericho le cuisine à petit feu. Malgré une Clothesline désespérée, Jack Swagger subit un second Enzuguri de la part de Chris Jericho avant que ce dernier ne conclut avec son Codebreaker mettant fin à l'affrontement.
Booker T – Jack Swagger était encore trop green pour abattre Chris Jericho qui remporte là son premier combat en solo à l'AWC.
Bill DeMott – Moi j'attendrais le prochain show avant de donner mon avis, il va devoir confirmer.
Booker T – Ils vont pouvoir nous montrer ce qu'ils ont dans le ventre, et surtout s'ils méritent d'avoir une place dans le show de la semaine prochaine, voir même à plus long terme.
Booker T – C'est une grande légende de ce business qui est en train de descendre la rampe d'accès menant au ring mesdames et messieurs.
Bill DeMott – Légende ou non, ici il devra commencer tout en bas pour espérer monter tout en haut, Y2J a pas intérêt de décevoir ce soir.
Bill DeMott – Ça sert à quoi de claquer cinq pompes avant de combattre ?
Booker T – Ptet qu'il aime bien se ridiculiser. Enfin c'est quand même The All American American.
» FIGHT ! «
Équipiers la semaine dernière lors de Thunderslam et la participation au Tag Team Turmoil, ils sont désormais adversaires et c'est un début très technique où Jack Swagger entraîne son adversaire dans du Mat-Wrestling. Cependant, The Ayatollah of Rock'n Rollah n'est pas à son premier combat et il prend Jack Swagger à son propre jeu. Il reprend l'ascendant et claque son Running Bulldog avant d'enchaîner avec une tentative de Walls of Jericho mais Jack Swagger renverse en Angle Lock mais cela sera en vain, Y2J s'emparant rapidement des cordes. Le combat reprend et suite à un puissant Running Powerslam, The All American American mettera la main sur le combat. Il placera même son Splash en courant vers un coin. Jack Swagger voit la victoire venir à lui mais sur une tentative de Gutwrench Powerbomb Chris Jericho retombe dans son dos et enchaîne avec son Enzuguri qui a claqué à travers toute la salle. Y2J place aussitôt son Lionsault mais seulement pour le compte de deux. Alors qu'on pensait la fin du combat venir, Jack Swagger a réussir à se maintenir en course pour la victoire. Cependant il est groggy et il ne réussit pas à revenir dans le combat. Chris Jericho le cuisine à petit feu. Malgré une Clothesline désespérée, Jack Swagger subit un second Enzuguri de la part de Chris Jericho avant que ce dernier ne conclut avec son Codebreaker mettant fin à l'affrontement.
Booker T – Jack Swagger était encore trop green pour abattre Chris Jericho qui remporte là son premier combat en solo à l'AWC.
Bill DeMott – Moi j'attendrais le prochain show avant de donner mon avis, il va devoir confirmer.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
Allez, prenons la direction des backstages et plus précisément devant le bureau de Stone Cold Steve Austin. Là-bas, nous y retrouvons le plus célèbre des Canadiens, Christian Cage. Ce dernier frappe deux fois à la porte et rentre sans même attendre une réponse d'Austin. Affichant un large sourire, il n'hésite pas à déranger Steve, tout en jettant sa veste contre le canapé.
Christian Cage – Hey, Steve, mon pote, comment tu vas aujourd'hui ?
Stone Cold – Qu'est-ce que tu veux, Cage ?
Christian Cage – Oh pas grand chose, juste passer un peu de temps avec un vieil ami, discuter de tout et de rien autour d'une bière bien fraiche, la routine quoi. Au fait, comment va Debra ?
Stone Cold – C'est plus ma femme depuis huit ans, tu le sais très bien.
Malaise dans la pièce, mais Cage ne se démonte pas et reprend la conversation.
Christian Cage – J'avais oublié. Tu sais, moi je pense que les femmes c'est toutes des salopes.
Stone Cold – Debra était une femme bien, c'est moi qui la frappait.
Christian Cage – Alors c'est toi le salaud.
Stone Cold – Ta gueule, et viens-en au fait de ta visite. Je sais très bien que t'aimes pas la bière, et t'es pas venu pour parler du temps qu'il fait dehors.
Austin est peut être alcoolique, mais il est pas fou non plus.
Christian Cage – Tu connais la raison de ma visite Steve. Je veux être nommé challngeur pour le titre Attitude lors du prochain Pay Per View. Je suis le seul qui le mérite, et tu le sais.
Stone Cold – La seule chose que j'sais, c'est que je m'énerve quand j'ai soif. Et là, j'ai soif.
Christian Cage – Justement, ne perdons pas plus de temps, plus vite j'en aurai terminé, plus vite tu pourras boire et te détendre. Tiens, d'ailleurs, j'ai même préparé une liste de cinq raisons pour lesquelles tu dois nommer Christian Cage, moi, challengeur.
Austin s'en branle totalement, il cherche dans son tiroir où se trouve son décapsuleur. Pendant ce temps, Christian sort de sa veste un papier.
Christian Cage – Alors, voilà. La raison numéro une pour laquelle tu dois me nommer challengeur est que je suis actuellement le seul lutteur de tout ton roster qui a lutté à l'ensemble des shows et qui est à chaque fois ressorti avec la victoire. Il ne faut pas te voiler la face, il n'y a pas plus crédible que moi aujourd'hui pour porter le titre Attitude. Raison numéro deux, je suis incontestablement le lutteur le plus charismatique du roster, je suis talentueux sur le ring, bel homme, et j'ai une très bonne base de fan avec my peeps. Je suis l'homme parfait pour être le visage de la fédération.
Stone Cold – Enlève-moi ce sourire de puceau en chaleur, j'suis pas Pamela Anderson moi.
Christian Cage – Désolé Steve, je continue. La troisième raison est une raison toute simple, mais qui pourrait être facilement oubliée. En effet, je suis l'un des derniers lutteurs à avoir lutté durant l'ère attitude, j'suis de la même graine que toi, Steve. Toi et moi, on a été formé au même endroit, on connait les environnements difficiles et aujourd'hui, on est au même point qu'il y a douze ans, on est en concurrence. Et moi, j'ai appris comment contrer la concurrence. Avec moi en champion, tu peux être sûr que la fédération augmentera considérablement sa popularité.
Christian marque une pause, le temps de se racler la gorge et de se relire, visiblement il n'a pas bien écrit sur son bout de papier.
Stone Cold – T'as trente secondes pour terminer ton discours, sinon j'te fais bouffer ton morceau de papier et j'toblige à le chier par le nez.
Christian Cage – Oui, alors heu... La quatrième raison c'est que, mince j'arrive pas à me relire... La quatrième raison est que je suis, non, je représente, oh et puis merde, on s'en moque de la quatrième raison, c'était pas une bonne raison. Et la cinquième raison qui fait que je devrais être le prochain adversaire de l'Undertaker est... que je Canadien !
Stone Cold – Tu te fous d'ma gueule là, c'est pas possible.
Christian Cage – Non, je suis très sérieux. Si tu me nommes, moi, le petit Canadien, challengeur, il y aura une ouverture sur le monde. On montrera que dans cette fédération, la couleur de peau, l'origine ou la langue que l'on parle n'est pas important, car il n'y a que la vérité du ring qui compte. Et puis, Trish est Canadienne aussi, elle pourrait me recommander auprès de toi.
Stone Cold – Trish n'arrive pas à t'encadrer.
Christian ne sait pas trop quoi répondre, il vient de s'faire baiser par une femme.
Christian Cage – D'accord, c'est son droit après tout. Mais, concernant ma nomination ?
Stone Cold – J'vais te dire une chose, ptite sauterelle court sur pattes. Tes envies, j'en ai rien à foutre. Tes raisons, j'en ai rien à branler. Alors, t'vas être un gentil garçon, tu vas prendre une bière, tu vas coller ton cul sur cette chaise et tu vas attendre que j'règle le problème de l'autre croque-mort qui se prend pour Robin des bois.
Christian Cage – Et tu penses régler ce souci d'ici combien de temps ?
Stone Cold – L'Undertaker, d'ici une heure il est finit, on en parlera plus. Toi par contre, j'ai bien peur que dans dix ans, t'aimes toujours pas la bière, p'tite tarlouze de merde.
Steve se lève et quitte la pièce, laissant Cage seul dans son bureau. Oui, il a pas l'air con dans cette situation le pauvre Captain Charisma. Est-ce que quelqu'un veut bien l'écouter ici ?
Christian Cage – Hey, Steve, mon pote, comment tu vas aujourd'hui ?
Stone Cold – Qu'est-ce que tu veux, Cage ?
Christian Cage – Oh pas grand chose, juste passer un peu de temps avec un vieil ami, discuter de tout et de rien autour d'une bière bien fraiche, la routine quoi. Au fait, comment va Debra ?
Stone Cold – C'est plus ma femme depuis huit ans, tu le sais très bien.
Malaise dans la pièce, mais Cage ne se démonte pas et reprend la conversation.
Christian Cage – J'avais oublié. Tu sais, moi je pense que les femmes c'est toutes des salopes.
Stone Cold – Debra était une femme bien, c'est moi qui la frappait.
Christian Cage – Alors c'est toi le salaud.
Stone Cold – Ta gueule, et viens-en au fait de ta visite. Je sais très bien que t'aimes pas la bière, et t'es pas venu pour parler du temps qu'il fait dehors.
Austin est peut être alcoolique, mais il est pas fou non plus.
Christian Cage – Tu connais la raison de ma visite Steve. Je veux être nommé challngeur pour le titre Attitude lors du prochain Pay Per View. Je suis le seul qui le mérite, et tu le sais.
Stone Cold – La seule chose que j'sais, c'est que je m'énerve quand j'ai soif. Et là, j'ai soif.
Christian Cage – Justement, ne perdons pas plus de temps, plus vite j'en aurai terminé, plus vite tu pourras boire et te détendre. Tiens, d'ailleurs, j'ai même préparé une liste de cinq raisons pour lesquelles tu dois nommer Christian Cage, moi, challengeur.
Austin s'en branle totalement, il cherche dans son tiroir où se trouve son décapsuleur. Pendant ce temps, Christian sort de sa veste un papier.
Christian Cage – Alors, voilà. La raison numéro une pour laquelle tu dois me nommer challengeur est que je suis actuellement le seul lutteur de tout ton roster qui a lutté à l'ensemble des shows et qui est à chaque fois ressorti avec la victoire. Il ne faut pas te voiler la face, il n'y a pas plus crédible que moi aujourd'hui pour porter le titre Attitude. Raison numéro deux, je suis incontestablement le lutteur le plus charismatique du roster, je suis talentueux sur le ring, bel homme, et j'ai une très bonne base de fan avec my peeps. Je suis l'homme parfait pour être le visage de la fédération.
Stone Cold – Enlève-moi ce sourire de puceau en chaleur, j'suis pas Pamela Anderson moi.
Christian Cage – Désolé Steve, je continue. La troisième raison est une raison toute simple, mais qui pourrait être facilement oubliée. En effet, je suis l'un des derniers lutteurs à avoir lutté durant l'ère attitude, j'suis de la même graine que toi, Steve. Toi et moi, on a été formé au même endroit, on connait les environnements difficiles et aujourd'hui, on est au même point qu'il y a douze ans, on est en concurrence. Et moi, j'ai appris comment contrer la concurrence. Avec moi en champion, tu peux être sûr que la fédération augmentera considérablement sa popularité.
Christian marque une pause, le temps de se racler la gorge et de se relire, visiblement il n'a pas bien écrit sur son bout de papier.
Stone Cold – T'as trente secondes pour terminer ton discours, sinon j'te fais bouffer ton morceau de papier et j'toblige à le chier par le nez.
Christian Cage – Oui, alors heu... La quatrième raison c'est que, mince j'arrive pas à me relire... La quatrième raison est que je suis, non, je représente, oh et puis merde, on s'en moque de la quatrième raison, c'était pas une bonne raison. Et la cinquième raison qui fait que je devrais être le prochain adversaire de l'Undertaker est... que je Canadien !
Stone Cold – Tu te fous d'ma gueule là, c'est pas possible.
Christian Cage – Non, je suis très sérieux. Si tu me nommes, moi, le petit Canadien, challengeur, il y aura une ouverture sur le monde. On montrera que dans cette fédération, la couleur de peau, l'origine ou la langue que l'on parle n'est pas important, car il n'y a que la vérité du ring qui compte. Et puis, Trish est Canadienne aussi, elle pourrait me recommander auprès de toi.
Stone Cold – Trish n'arrive pas à t'encadrer.
Christian ne sait pas trop quoi répondre, il vient de s'faire baiser par une femme.
Christian Cage – D'accord, c'est son droit après tout. Mais, concernant ma nomination ?
Stone Cold – J'vais te dire une chose, ptite sauterelle court sur pattes. Tes envies, j'en ai rien à foutre. Tes raisons, j'en ai rien à branler. Alors, t'vas être un gentil garçon, tu vas prendre une bière, tu vas coller ton cul sur cette chaise et tu vas attendre que j'règle le problème de l'autre croque-mort qui se prend pour Robin des bois.
Christian Cage – Et tu penses régler ce souci d'ici combien de temps ?
Stone Cold – L'Undertaker, d'ici une heure il est finit, on en parlera plus. Toi par contre, j'ai bien peur que dans dix ans, t'aimes toujours pas la bière, p'tite tarlouze de merde.
Steve se lève et quitte la pièce, laissant Cage seul dans son bureau. Oui, il a pas l'air con dans cette situation le pauvre Captain Charisma. Est-ce que quelqu'un veut bien l'écouter ici ?
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
Booker T – Allright. C'est l'heure d'passer au prochain combat de notre soirée, un three-way. J'adore ces matchs-là. Tu peux perdre le match sans même perdre la rencontre.
Bill DeMott – Si tu ne gagnes pas le match, c'est que tu as perdu, period. Les règles sont les règles. Il y a un vainqueur, un perdant, et le troisième alors, il est quoi, gagnant ou perdant ?
R-Truth – Fuck up, fuck up, fuck up ! ♫
Booker T – Je ne sais pas comment est-ce que l'on peut appeler le troisième participant mais tout ce que je sais, c'est qu'il n'a pas perdu le match. Qu'est-ce que tu veux que je te dise de plus ?
Bill DeMott – Et la fois où tu as perdu un titre mondial dans un three-way alors que tu n'as pas "perdu" le match, t'es quand même sorti de l'arène avec ton titre ? Non ! Le titre était perdu, tout comme le match. Ne discute plus de ça avec moi, nous ne sommes clairement pas d'accord.
Booker T – Merci de me rappeler de mauvais souvenirs.
Bill DeMott – Ce n'est pas le but. Je veux juste te faire comprendre qu'il y aura un gagnant et deux perdants. Dans les statistiques, les deux perdants seront considérés comme perdants. Bref. On attend plus que Kane, et le match avec R-Truth et Bobby Lashley pourra commencer.
Booker T – Les trois hommes ont cruellement besoin de gagner.
» FIGHT ! «
Les trois lutteurs sont maintenant dans le ring. R-Truth observe les deux colosses et ne sait pas vraiment où se mettre. R-Truth dit à Bobby Lashley de venir avec lui se débarrasser de Kane. R-Truth attaque Kane avec de solides droites jusqu'à ce qu'il remarque que Bobby Lashley n'a pas bougé d'un poil. R-Truth sourit à Kane et lui dit qu'il rigolait. Il dit à Kane de l'aider à se débarrasser de Bobby Lashley maintenant. Kane lui claque une droite dans les dents, et Bobby Lashley coupe R-Truth en deux avec le spear. Kane relève R-Truuth et le balance par dessus la troisième corde. Bobby Lashley et Kane s'affrontent maintenant dans de multiples épreuves de force mais les deux hommes se neutralisent à chaque fois. Les deux hommes s’apprêtent à se porter un big boot et c'est Kane qui a la jambe plus longue qui a le dessus. Kane relève tout de suite son adversaire pour le chokeslam from hell mais Bobby Lashley attrape Kane à son tour à la gorge. Les deux hommes essaient de faire plier l'autre mais rien ne marche. R-Truth essaie de remonter dans le ring mais Kane lâche prise et il essaie de s'en occuper. R-Truth préfère redescendre du ring et regarder ce qu'il s'y passe. Bobby Lashley fonce sur Kane pour le spear mais Kane l'esquive. Bobby Lashley rentre tête la première dans le turnbuckle et Kane enchaîne rapidement avec le le chokeslam from hell. Kane veut couvrir Bobby Lashley mais R-Truth arrive par derrière et pousse Kane en dehors du ring. R-Truth se couche sur Bobby Lashley. Ça compte un, ça compte deux et ça compte trois.
Bill DeMott – Alors dit-moi quelque chose. Lui, il vient de gagner son match. Lui, il vient de le perdre vu qu'il vient de prendre le pinfall. Et lui là-bas, c'est quoi ?
Booker T – Tu veux vraiment qu'on en parle pendant des heures ?
Bill DeMott – Comme tu veux, moi ça ne me dérange pas. C'est toujours plus intéressant de débattre là-dessus que de regarder un combat inintéressant à souhait où les règles de l'art ne sont pas respectées.
Bill DeMott – Si tu ne gagnes pas le match, c'est que tu as perdu, period. Les règles sont les règles. Il y a un vainqueur, un perdant, et le troisième alors, il est quoi, gagnant ou perdant ?
R-Truth – Fuck up, fuck up, fuck up ! ♫
Booker T – Je ne sais pas comment est-ce que l'on peut appeler le troisième participant mais tout ce que je sais, c'est qu'il n'a pas perdu le match. Qu'est-ce que tu veux que je te dise de plus ?
Bill DeMott – Et la fois où tu as perdu un titre mondial dans un three-way alors que tu n'as pas "perdu" le match, t'es quand même sorti de l'arène avec ton titre ? Non ! Le titre était perdu, tout comme le match. Ne discute plus de ça avec moi, nous ne sommes clairement pas d'accord.
Booker T – Merci de me rappeler de mauvais souvenirs.
Bill DeMott – Ce n'est pas le but. Je veux juste te faire comprendre qu'il y aura un gagnant et deux perdants. Dans les statistiques, les deux perdants seront considérés comme perdants. Bref. On attend plus que Kane, et le match avec R-Truth et Bobby Lashley pourra commencer.
Booker T – Les trois hommes ont cruellement besoin de gagner.
» FIGHT ! «
Les trois lutteurs sont maintenant dans le ring. R-Truth observe les deux colosses et ne sait pas vraiment où se mettre. R-Truth dit à Bobby Lashley de venir avec lui se débarrasser de Kane. R-Truth attaque Kane avec de solides droites jusqu'à ce qu'il remarque que Bobby Lashley n'a pas bougé d'un poil. R-Truth sourit à Kane et lui dit qu'il rigolait. Il dit à Kane de l'aider à se débarrasser de Bobby Lashley maintenant. Kane lui claque une droite dans les dents, et Bobby Lashley coupe R-Truth en deux avec le spear. Kane relève R-Truuth et le balance par dessus la troisième corde. Bobby Lashley et Kane s'affrontent maintenant dans de multiples épreuves de force mais les deux hommes se neutralisent à chaque fois. Les deux hommes s’apprêtent à se porter un big boot et c'est Kane qui a la jambe plus longue qui a le dessus. Kane relève tout de suite son adversaire pour le chokeslam from hell mais Bobby Lashley attrape Kane à son tour à la gorge. Les deux hommes essaient de faire plier l'autre mais rien ne marche. R-Truth essaie de remonter dans le ring mais Kane lâche prise et il essaie de s'en occuper. R-Truth préfère redescendre du ring et regarder ce qu'il s'y passe. Bobby Lashley fonce sur Kane pour le spear mais Kane l'esquive. Bobby Lashley rentre tête la première dans le turnbuckle et Kane enchaîne rapidement avec le le chokeslam from hell. Kane veut couvrir Bobby Lashley mais R-Truth arrive par derrière et pousse Kane en dehors du ring. R-Truth se couche sur Bobby Lashley. Ça compte un, ça compte deux et ça compte trois.
Bill DeMott – Alors dit-moi quelque chose. Lui, il vient de gagner son match. Lui, il vient de le perdre vu qu'il vient de prendre le pinfall. Et lui là-bas, c'est quoi ?
Booker T – Tu veux vraiment qu'on en parle pendant des heures ?
Bill DeMott – Comme tu veux, moi ça ne me dérange pas. C'est toujours plus intéressant de débattre là-dessus que de regarder un combat inintéressant à souhait où les règles de l'art ne sont pas respectées.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
Il n'y pas d'e-fédérations de lutte sans loges, sauf que les loges de l'AWC sont un tantinet plus sérieuses que celles des autres. On retrouve John Cena, l'homme qui a été incapable de remporter le titre suprême la semaine dernière lors de Thunderslam, dans les vestiaires.
John Cena – What's up, guys ?
Rey Misterio Jr – Les gars, j'ai de mauvaises nouvelles.
John Cena – Ouais ?
Rey Misterio Jr – La semaine dernière, lors de Thunderslam, lorsque j'ai appliqué le six-one-nine sur Randy Orton en passant autour du turnbuckle ? Et bien je me suis, encore, bousillé le genou. Je dois rencontrer un docteur, et passer sur la table d'opération d'ici quelques jours.
John Cena – Merde. Et qu'est-ce que tu vas faire de ta carrière ici ?
Rey Misterio Jr – J'sais pas. J'vais y aller, me faire opérer, faire de la rééducation, m'entraîner et essayer de revenir plus fort que jamais. D'ailleurs, c'est l'heure, alors à dans six mois les gars.
Sans fioritures, Rey Misterio Jr quitte l'Attitude Wrestling Corporation, blessé. Souhaitons-lui une bonne rééducation. John Cena et Triple H s’observent longuement. John Cena se résout finalement à rompre le silence.
John Cena – Weird.
Triple H – Tu fais le malin, c'est ça ?
John Cena – Pardon ?
Triple H – Tu veux jouer au con, huh ?
John Cena – What are you talking about ?
Triple H – Tu crois que je n'ai pas compris ton petit manège ? Je sais pourquoi est-ce que tu es ici. Je sais exactement ce que tu veux. Tu cherches à te foutre de ma gueule parce que tu as un match ce soir et que je n'en ai pas. Tu es là pour te moquer de moi parce que je viens de passer deux heures à enfiler ma tenue pour lutter ce soir alors que tout le monde, toi le premier, sait que le seul clanpin à ne pas lutter ce soir, c'est moi.
John Cena ne comprend pas vraiment ce qu'il lui arrive.
John Cena – Wow, wow, wow, calm down. Qu'est-ce que tu vas encore t'imaginer Hunter ? La seule et unique raison pour laquelle je suis ici, c'est pour découvrir qui est le lâche qui a voulu m'écraser le mois dernier. Je suis ici dans le cadre de mon investigation, trouver le chacal qui a essayé de se débarrasser de moi, lui donner la raclée de sa vie, plutôt deux fois qu'une, et repartir à la conquête de la ceinture que je n'ai pas réussi à obtenir lors de Thunderslam. Si je n'avais pas été renversé, j'aurai été à cent pour cent la semaine dernière et je serai aujourd'hui champion. The champ... will be here. Donc non, Hunter, je ne suis pas ici pour me foutre de ta gueule.
Triple H – Shut up !
John Cena s’exécute, il préfère ne plus rien dire.
Triple H – Shut up, shut up, shut the fuck up ! J'en ai rien à foutre de tes problèmes. J'en ai plus que ras-le-bol d'entendre toujours la même chose avec toi à des sauces différentes, un coup mayonnaise, un coup ketchup. Je ne sais même pas pourquoi est-ce que tu te plains. Tu as ton match ce soir, tu n'es pas venu ici pour rien, tu as eu ton match de championnat la semaine dernière lors de Thunderslam, tu as encore une fois tout ce que tu veux. Et moi, qu'est-ce que j'ai ? Je suis venu ici avec de bonnes intentions, prouver à tout le monde pourquoi est-ce que je suis le meilleur lutteur encore en activité et prouver à tout le monde que je n'ai besoin de personne. Et pour une raison encore obscure, on ne me donne même pas une chance de le faire.
John Cena se montre très patient.
Triple H – Depuis mon arrivée, je ne dis rien et je prends ce qui vient, ce qu'on me donne. Je n'ai rien contre New Jack, Shark Boy ou encore Andy Leavine, mais ces gars-là ne sont pas de mon niveau, ces gars-là ne font pas parti de ma ligue. J'ai été patient, j'ai même accepté d'affronter un rookie sans aucune expérience pour le bien de la prospérité du business. Et les seuls remerciements que je peux avoir en retour, c'est une mise-à-pied, un congé, un jour-sans. Où est ma part du gâteau John Cena ? Tu as pris le plus gros morceau, comme d'habitude, et tu en redemandes encore ? Guess what John Cena, tu as perdu ! Tu as perdu oui la semaine dernière et tu n'auras pas d'autres opportunités pour le moment, pas tant que je serai dans le coin. Retour à la case départ pour toi. Maintenant, c'est mon tour. Maintenant, c'est le tour du king of...
John Cena en a marre, il coupe la parole à Triple H.
John Cena – You know what ? You don't care about my problems... I don't care about your problems !
Triple H – Don't play this game, son.
John Cena – Are you threatening me ?
John Cena n'aura pas de réponse. Triple H est déjà loin. Les hormones, la fatigue et la colère ne font pas bon ménage, surtout dans ce monde d'hommes où chacun veut prouver qu'il a la plus grosse. Triple H vient de lâcher toute sa frustration sur l'ancien challenger. John Cena était au mauvais moment, au mauvais endroit.
John Cena – What's up, guys ?
Rey Misterio Jr – Les gars, j'ai de mauvaises nouvelles.
John Cena – Ouais ?
Rey Misterio Jr – La semaine dernière, lors de Thunderslam, lorsque j'ai appliqué le six-one-nine sur Randy Orton en passant autour du turnbuckle ? Et bien je me suis, encore, bousillé le genou. Je dois rencontrer un docteur, et passer sur la table d'opération d'ici quelques jours.
John Cena – Merde. Et qu'est-ce que tu vas faire de ta carrière ici ?
Rey Misterio Jr – J'sais pas. J'vais y aller, me faire opérer, faire de la rééducation, m'entraîner et essayer de revenir plus fort que jamais. D'ailleurs, c'est l'heure, alors à dans six mois les gars.
Sans fioritures, Rey Misterio Jr quitte l'Attitude Wrestling Corporation, blessé. Souhaitons-lui une bonne rééducation. John Cena et Triple H s’observent longuement. John Cena se résout finalement à rompre le silence.
John Cena – Weird.
Triple H – Tu fais le malin, c'est ça ?
John Cena – Pardon ?
Triple H – Tu veux jouer au con, huh ?
John Cena – What are you talking about ?
Triple H – Tu crois que je n'ai pas compris ton petit manège ? Je sais pourquoi est-ce que tu es ici. Je sais exactement ce que tu veux. Tu cherches à te foutre de ma gueule parce que tu as un match ce soir et que je n'en ai pas. Tu es là pour te moquer de moi parce que je viens de passer deux heures à enfiler ma tenue pour lutter ce soir alors que tout le monde, toi le premier, sait que le seul clanpin à ne pas lutter ce soir, c'est moi.
John Cena ne comprend pas vraiment ce qu'il lui arrive.
John Cena – Wow, wow, wow, calm down. Qu'est-ce que tu vas encore t'imaginer Hunter ? La seule et unique raison pour laquelle je suis ici, c'est pour découvrir qui est le lâche qui a voulu m'écraser le mois dernier. Je suis ici dans le cadre de mon investigation, trouver le chacal qui a essayé de se débarrasser de moi, lui donner la raclée de sa vie, plutôt deux fois qu'une, et repartir à la conquête de la ceinture que je n'ai pas réussi à obtenir lors de Thunderslam. Si je n'avais pas été renversé, j'aurai été à cent pour cent la semaine dernière et je serai aujourd'hui champion. The champ... will be here. Donc non, Hunter, je ne suis pas ici pour me foutre de ta gueule.
Triple H – Shut up !
John Cena s’exécute, il préfère ne plus rien dire.
Triple H – Shut up, shut up, shut the fuck up ! J'en ai rien à foutre de tes problèmes. J'en ai plus que ras-le-bol d'entendre toujours la même chose avec toi à des sauces différentes, un coup mayonnaise, un coup ketchup. Je ne sais même pas pourquoi est-ce que tu te plains. Tu as ton match ce soir, tu n'es pas venu ici pour rien, tu as eu ton match de championnat la semaine dernière lors de Thunderslam, tu as encore une fois tout ce que tu veux. Et moi, qu'est-ce que j'ai ? Je suis venu ici avec de bonnes intentions, prouver à tout le monde pourquoi est-ce que je suis le meilleur lutteur encore en activité et prouver à tout le monde que je n'ai besoin de personne. Et pour une raison encore obscure, on ne me donne même pas une chance de le faire.
John Cena se montre très patient.
Triple H – Depuis mon arrivée, je ne dis rien et je prends ce qui vient, ce qu'on me donne. Je n'ai rien contre New Jack, Shark Boy ou encore Andy Leavine, mais ces gars-là ne sont pas de mon niveau, ces gars-là ne font pas parti de ma ligue. J'ai été patient, j'ai même accepté d'affronter un rookie sans aucune expérience pour le bien de la prospérité du business. Et les seuls remerciements que je peux avoir en retour, c'est une mise-à-pied, un congé, un jour-sans. Où est ma part du gâteau John Cena ? Tu as pris le plus gros morceau, comme d'habitude, et tu en redemandes encore ? Guess what John Cena, tu as perdu ! Tu as perdu oui la semaine dernière et tu n'auras pas d'autres opportunités pour le moment, pas tant que je serai dans le coin. Retour à la case départ pour toi. Maintenant, c'est mon tour. Maintenant, c'est le tour du king of...
John Cena en a marre, il coupe la parole à Triple H.
John Cena – You know what ? You don't care about my problems... I don't care about your problems !
Triple H – Don't play this game, son.
John Cena – Are you threatening me ?
John Cena n'aura pas de réponse. Triple H est déjà loin. Les hormones, la fatigue et la colère ne font pas bon ménage, surtout dans ce monde d'hommes où chacun veut prouver qu'il a la plus grosse. Triple H vient de lâcher toute sa frustration sur l'ancien challenger. John Cena était au mauvais moment, au mauvais endroit.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
Booker T – Bill, ça me gratte sous mon plâtre là.
Bill DeMott – Désolé, mais ma fourchette est perdue quelque part sous le plâtre de ma jambe.
Booker T – T'as pas un cure dent ?
Bill DeMott – Si, mais plein de ketchup.
Booker T – Laisse tomber.
Booker T – Peut importe ce que dit sa musique, un homme l'a stoppé dimanche, et cet homme est le Captain Charisma, Christian Cage.
Bill DeMott – Benjamin pensait gagné, il est tombé de haut, et ce soir il affronte... Il affronte qui déjà ? Avec mon mal de crâne, j'ai oublié.
Booker T – Goldust.
Bill DeMott – Et encore un match de merde à venir !
Bill DeMott – Regarde moi cette lopette, il porte une robe putain !
Booker T – Goldust est un vétéran, un lutteur confirmé, et je peux te dire que c'est un bon ami.
Bill DeMott – J'en étais sûr, t'es un gay !
» FIGHT ! «
La cloche sonne, c'est parti. Alors que Benjamin est prêt, Goldust demande une petite minute à l'arbitre, il se penche par dessus les cordes, vers son manageur Claudio Castagnoli et... Goldust se touche la joue avec le doigt, il veut un bisou pour lui porter chance ! Goldust a pas le temps de continuer cette mascarade, Benjamin l'attrape par derrière (oh le coquin !) et lui envoi une Bridged German Suplex, un, deux, seulement deux. Benjamin ne laisse pas de répit au Bizare One et l'immobilise avec un collier arrière. Goldust est assit, la tête prise dans le bras de Benjamin, il agite ses bras vers Claudio, soit pour lui attraper le slip, soit pour attraper les cordes. Mais le Gold Standard relève le président de Shattered Dreams Production pour l'envoyer dans les cordes, Goldust revient, saute en tournant sur lui même, bam ! Coup de fesses dans le visage de Shelty-B. Alors que Charlie Haas s'arrache les cheveux, Goldust s'allonge de tout son log sur Shelton, ventre contre ventre, jambes contre jambes. Un, deux, seulement deux.
Booker T – Goldust y était presque !
Bill DeMott – Dis Booker, je crois que ton pote doré te trompe, regarde, il est sorti du ring et demande au Suisse un bisou.
Booker T – Je ne suis pas gay, dawg !
Bill DeMott – Ca, ils le disent tous.
En effet, Goldust est en dehors du ring, il tente de négocier un bisou avec Claudio Castagnoli qui refuse obstinément. Goldust perd trop de temps, déjà Shelton Benjamin est debout, baseball slide ! Goldust se prend la barricade de plein fouet. L'arbitre ordonne à Claudio de reculer, ce que celui ci se dépêche de faire. Shelton remonte le type bizarre dans le ring et fait signe que c'est fini. Claudio monte sur l'apron, tente d'intervenir, mais l'arbitre lui ordonne de dégager tout en gardent un œil sur ce qu'il se passe dans le ring. Goldust se relève, Benjamin court vers lui, Paydirt ! Le tombé, un, deux, trois, et c'est gagné.
Bill DeMott – Désolé pour ta copine, Booker.
Booker T – Je ne suis pas gay !
Bill DeMott – Qui a parlé de gay ? Tu fais une fixation, je disais juste que t'es pote avec Goldust et que c'est une tanche.
Booker T – Grml... Belle victoire de Shelton qui remonte la pente après sa défaite dimanche dernier. On sait maintenant que c'est lui le plus doré.
Bill DeMott – Désolé, mais ma fourchette est perdue quelque part sous le plâtre de ma jambe.
Booker T – T'as pas un cure dent ?
Bill DeMott – Si, mais plein de ketchup.
Booker T – Laisse tomber.
Booker T – Peut importe ce que dit sa musique, un homme l'a stoppé dimanche, et cet homme est le Captain Charisma, Christian Cage.
Bill DeMott – Benjamin pensait gagné, il est tombé de haut, et ce soir il affronte... Il affronte qui déjà ? Avec mon mal de crâne, j'ai oublié.
Booker T – Goldust.
Bill DeMott – Et encore un match de merde à venir !
Bill DeMott – Regarde moi cette lopette, il porte une robe putain !
Booker T – Goldust est un vétéran, un lutteur confirmé, et je peux te dire que c'est un bon ami.
Bill DeMott – J'en étais sûr, t'es un gay !
» FIGHT ! «
La cloche sonne, c'est parti. Alors que Benjamin est prêt, Goldust demande une petite minute à l'arbitre, il se penche par dessus les cordes, vers son manageur Claudio Castagnoli et... Goldust se touche la joue avec le doigt, il veut un bisou pour lui porter chance ! Goldust a pas le temps de continuer cette mascarade, Benjamin l'attrape par derrière (oh le coquin !) et lui envoi une Bridged German Suplex, un, deux, seulement deux. Benjamin ne laisse pas de répit au Bizare One et l'immobilise avec un collier arrière. Goldust est assit, la tête prise dans le bras de Benjamin, il agite ses bras vers Claudio, soit pour lui attraper le slip, soit pour attraper les cordes. Mais le Gold Standard relève le président de Shattered Dreams Production pour l'envoyer dans les cordes, Goldust revient, saute en tournant sur lui même, bam ! Coup de fesses dans le visage de Shelty-B. Alors que Charlie Haas s'arrache les cheveux, Goldust s'allonge de tout son log sur Shelton, ventre contre ventre, jambes contre jambes. Un, deux, seulement deux.
Booker T – Goldust y était presque !
Bill DeMott – Dis Booker, je crois que ton pote doré te trompe, regarde, il est sorti du ring et demande au Suisse un bisou.
Booker T – Je ne suis pas gay, dawg !
Bill DeMott – Ca, ils le disent tous.
En effet, Goldust est en dehors du ring, il tente de négocier un bisou avec Claudio Castagnoli qui refuse obstinément. Goldust perd trop de temps, déjà Shelton Benjamin est debout, baseball slide ! Goldust se prend la barricade de plein fouet. L'arbitre ordonne à Claudio de reculer, ce que celui ci se dépêche de faire. Shelton remonte le type bizarre dans le ring et fait signe que c'est fini. Claudio monte sur l'apron, tente d'intervenir, mais l'arbitre lui ordonne de dégager tout en gardent un œil sur ce qu'il se passe dans le ring. Goldust se relève, Benjamin court vers lui, Paydirt ! Le tombé, un, deux, trois, et c'est gagné.
Bill DeMott – Désolé pour ta copine, Booker.
Booker T – Je ne suis pas gay !
Bill DeMott – Qui a parlé de gay ? Tu fais une fixation, je disais juste que t'es pote avec Goldust et que c'est une tanche.
Booker T – Grml... Belle victoire de Shelton qui remonte la pente après sa défaite dimanche dernier. On sait maintenant que c'est lui le plus doré.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
Dans quelques secondes, Kevin Thorn affrontera John Cena. Mais pour l'heure, nous le retrouvons en compagnie de Trish Stratus et surtout d'Ariel pour une interview. A son visage, Trish ne semble pas très heureuse d'accueillir Kevin et Ariel.
Trish Stratus – Allons droit au but, je ne veux pas perdre de toi avec eux. Alors voilà, je suis en compagnie de... Je vous dérange peut-être ?
Thorn et Ariel ne semblent pas s'occuper de Trish, ils préfèrent flirter ensemble.
Kevin Thorn – Ariel, ma divine, suce-moi le sang.
Ariel – Dévore-moi la nuque, Kevin.
Il n'y a rien de sexuel là-dedans, c'est juré.
Trish Stratus – Vous irez vous reproduire dans votre manoir à la nuit tombée, mais pour l'heure je voudrais vraiment savoir pourquoi vous avez rejoint le ministère des ténèbres de l'Undertaker.
Kevin Thorn – Si la vie avait un vrai but, nous le saurions.
Ariel – Ne t'occupes pas d'elle Kevin, occupe-toi de moi.
Ils n'en ont pas l'air, mais ils sont vraiment concentré sur l'interview.
Trish Stratus – Alors pourquoi avoir attaqué Bill DeMott et Booker T à Thunderslam, huh ? Vous pouvez répondre à cette question ou c'est trop vous demander que de répondre à vos actes ?
Ariel – Pourquoi avoir couché pour réussir, chérie ? Nous faisons simplement ce qu'il faut pour réussir dans ce business, tout comme toi par le passé.
Kevin Thorn – Sauf que nous, nous avons choisit la voix de la violence et de la terreur.
Trish Stratus – Vous n'êtes qu'une bande de lâches qui n'a que la violence et le pouvoir en tête. Croyez-moi, les choses ne se passeront pas comme ça, je vous le garantie. Aussi longtemps que je respirerais, je vous empêcherais de prendre possession de cette fédération et de faire du mal.
Ariel – Cela serait vraiment dommage qu'elle s'arrête de respirer, tu ne crois pas ?
Kevin Thorn – Vraiment dommage.
Tu sens que l'ambiance commence à se détériorer, là aussi ?
Trish Stratus – Ce sont des menaces ?
Ariel – Une salope comme toi devrait reconnaitre quand on l'insulte, non ?
Trish Stratus – Quoi ?
Boum ! Pas un mot de plus, Kevin Thorn vient d'envoyer une énorme droite dans la gueule de Trish. Cette dernière tombe au sol, complètement ko sous la violence du choc. Thorn se rue sur elle pour le frapper de toutes ses forces.
Ariel – Donne-lui une leçon, mon amour.
Ce n'est pas une leçon, c'est un putain de cassage de gueule dans les règles de l'art. Les deux implants de Trish doivent déjà avoir explosé sous la violence des chocs, ses lèvres doivent avoir triplé de volume et son nez doit être en train de dire merde à son oreille droite, un vrai carnage. Alors que Kevin relève Trish, dont le visage est complètement ensanglanté, Ariel en profite et lui envoie un énorme coup de pied, directement dans l'estomac. Cette fois, c'est la petite sirène qui s'occupe de Trish, la griffant avec ses ongles au niveau du visage. C'est un putain de carnage, et personne ne peut arrêter ça. USA Network est à deux doigts d'envoyer une pause commerciale forcée sous le choc des images. Finalement, Thorn va mettre fin au calvaire de Trish en la trainant par les cheveux et la balançant par dessus un bloc de matériel électronique qui se renverse sur Trish à la même occasion. Une dizaine d'officiels arrivent enfin, c'est bien trop tard mais ils font reculer Kevin pour qu'il ne fasse pas plus de dégâts.
Kevin Thorn – Qu'elle aille brûler dans les flammes de l'enfer.
Ariel – Que le démon dévore ton âme, sorcière. Hahaha.
Kevin attrape Ariel par la taille et l'embrasse dans le cou avant que les deux ne s'en aillent en riant. Les officiels tentent de secourir une Trish Stratus entre la vie et la mort.
Trish Stratus – Allons droit au but, je ne veux pas perdre de toi avec eux. Alors voilà, je suis en compagnie de... Je vous dérange peut-être ?
Thorn et Ariel ne semblent pas s'occuper de Trish, ils préfèrent flirter ensemble.
Kevin Thorn – Ariel, ma divine, suce-moi le sang.
Ariel – Dévore-moi la nuque, Kevin.
Il n'y a rien de sexuel là-dedans, c'est juré.
Trish Stratus – Vous irez vous reproduire dans votre manoir à la nuit tombée, mais pour l'heure je voudrais vraiment savoir pourquoi vous avez rejoint le ministère des ténèbres de l'Undertaker.
Kevin Thorn – Si la vie avait un vrai but, nous le saurions.
Ariel – Ne t'occupes pas d'elle Kevin, occupe-toi de moi.
Ils n'en ont pas l'air, mais ils sont vraiment concentré sur l'interview.
Trish Stratus – Alors pourquoi avoir attaqué Bill DeMott et Booker T à Thunderslam, huh ? Vous pouvez répondre à cette question ou c'est trop vous demander que de répondre à vos actes ?
Ariel – Pourquoi avoir couché pour réussir, chérie ? Nous faisons simplement ce qu'il faut pour réussir dans ce business, tout comme toi par le passé.
Kevin Thorn – Sauf que nous, nous avons choisit la voix de la violence et de la terreur.
Trish Stratus – Vous n'êtes qu'une bande de lâches qui n'a que la violence et le pouvoir en tête. Croyez-moi, les choses ne se passeront pas comme ça, je vous le garantie. Aussi longtemps que je respirerais, je vous empêcherais de prendre possession de cette fédération et de faire du mal.
Ariel – Cela serait vraiment dommage qu'elle s'arrête de respirer, tu ne crois pas ?
Kevin Thorn – Vraiment dommage.
Tu sens que l'ambiance commence à se détériorer, là aussi ?
Trish Stratus – Ce sont des menaces ?
Ariel – Une salope comme toi devrait reconnaitre quand on l'insulte, non ?
Trish Stratus – Quoi ?
Boum ! Pas un mot de plus, Kevin Thorn vient d'envoyer une énorme droite dans la gueule de Trish. Cette dernière tombe au sol, complètement ko sous la violence du choc. Thorn se rue sur elle pour le frapper de toutes ses forces.
Ariel – Donne-lui une leçon, mon amour.
Ce n'est pas une leçon, c'est un putain de cassage de gueule dans les règles de l'art. Les deux implants de Trish doivent déjà avoir explosé sous la violence des chocs, ses lèvres doivent avoir triplé de volume et son nez doit être en train de dire merde à son oreille droite, un vrai carnage. Alors que Kevin relève Trish, dont le visage est complètement ensanglanté, Ariel en profite et lui envoie un énorme coup de pied, directement dans l'estomac. Cette fois, c'est la petite sirène qui s'occupe de Trish, la griffant avec ses ongles au niveau du visage. C'est un putain de carnage, et personne ne peut arrêter ça. USA Network est à deux doigts d'envoyer une pause commerciale forcée sous le choc des images. Finalement, Thorn va mettre fin au calvaire de Trish en la trainant par les cheveux et la balançant par dessus un bloc de matériel électronique qui se renverse sur Trish à la même occasion. Une dizaine d'officiels arrivent enfin, c'est bien trop tard mais ils font reculer Kevin pour qu'il ne fasse pas plus de dégâts.
Kevin Thorn – Qu'elle aille brûler dans les flammes de l'enfer.
Ariel – Que le démon dévore ton âme, sorcière. Hahaha.
Kevin attrape Ariel par la taille et l'embrasse dans le cou avant que les deux ne s'en aillent en riant. Les officiels tentent de secourir une Trish Stratus entre la vie et la mort.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
Booker T – Putain qu'est-ce qu'ils viennent de faire à notre adorable Trish ces deux vampires de merde ? J'vais faire un Bill, j'vais faire un putain de malheur.
Bill DeMott – C'est trop tard Book', j'suis déjà en train d'en faire un là. Ils vont payer. On va leur faire bouffer de l'ail à ce vampire à la con et à sa pétasse.
Booker T – Dès qu'ils pointent le bout de leur canine, j'leur place un Axe Kick directement dans la gueule. J'vais leur faire exploser les dents, moi.
Bill DeMott – Et moi, j'vais les forcer à manger mon sandwich au saucisson à l'ail, et toc !
Booker T – Tu sais Bill, et si on laissait John s'occuper de Kevin Thorn cette semaine, et nous on attend la semaine prochaine pour leur tomber dessus ?
Bill DeMott – Pourquoi tu voudrais qu'on attende ?
Booker T – Bah la semaine prochaine on aura plus de bandages ni rien, on sera au max de nos capacités, et la rouste qu'on va leur filer sera encore plus mémorable.
Bill DeMott – T'as pas tort, puis au moins j'pourrais manger mon sandwich au saucisson à l'ail.
Booker T – Qu'il l'embrasse bien sa pouffe, parce que la semaine prochaine il mangera d'la soupe.
Bill DeMott – Et elle, elle aura la tête enfoncée dans son cul.
» FIGHT ! «
DING DING DING ! Non, ce n'est pas les douze coups de minuits, c'est juste la cloche qui sonne. John Cena prend rapidement le contrôle du combat et fait parler sa puissance à travers de violentes droites et quelques powermoves qui font mouches. Thorn ne s'avoue cependant pas vaincu et revient dans la partie avec un Low-Blow suite à une déconcentration de l'arbitre de le part d'Ariel. Cette dernière est dans tous les bons coups de Kevin Thorn puisque lorsque ce dernier tente de distraire l'arbitre, c'est la jeune vampire, ou sorcière, au choix, qui attaque Cena par derrière. Kevin Thorn n'arrive cependant pas à obtenir le fameux compte de trois et s'expose à un retour de John Cena qui retrouve un second souffle et arrive à reprendre le contrôle du combat avec plusieurs Clotheslines, enchainées par une Back Suplex qui permet à John Cena de porter son Five-Knuckle Shuffle. Le leader de la Cenation semble vouloir en terminer et relève donc Kevin Thorn avant de le mettre en position dAttitude Adjustement. Ariel tente d'intervenir en montant sur l'apron du ring, mais Cena, plus malin, pivote sur lui-même, et les pieds de Thorn frappent involontairement Ariel au visage, la faisant tomber violemment au sol. Cena n'a plus qu'à terminer le combat avec son FU pour obtenir le compte de trois.
Bill DeMott – Voilà, ça c'était la mise en bouche avant la semaine prochaine.
Booker T – Ouais, et Ariel là, j'te le dis, petite sirène ou pas, j'lui fait bouffer ses nageoires.
Bill DeMott – Et si c'était la pieuvre, tu lui ferais bouffer ses tentacules ?
Booker T – Pourquoi tu me parles de pieuvre ?
Bill DeMott – Bah, y'a une pieuvre dans la petite sirène. Je le sais, je regarde ça avec ma fille.
Bill DeMott – C'est trop tard Book', j'suis déjà en train d'en faire un là. Ils vont payer. On va leur faire bouffer de l'ail à ce vampire à la con et à sa pétasse.
Booker T – Dès qu'ils pointent le bout de leur canine, j'leur place un Axe Kick directement dans la gueule. J'vais leur faire exploser les dents, moi.
Bill DeMott – Et moi, j'vais les forcer à manger mon sandwich au saucisson à l'ail, et toc !
Booker T – Tu sais Bill, et si on laissait John s'occuper de Kevin Thorn cette semaine, et nous on attend la semaine prochaine pour leur tomber dessus ?
Bill DeMott – Pourquoi tu voudrais qu'on attende ?
Booker T – Bah la semaine prochaine on aura plus de bandages ni rien, on sera au max de nos capacités, et la rouste qu'on va leur filer sera encore plus mémorable.
Bill DeMott – T'as pas tort, puis au moins j'pourrais manger mon sandwich au saucisson à l'ail.
Booker T – Qu'il l'embrasse bien sa pouffe, parce que la semaine prochaine il mangera d'la soupe.
Bill DeMott – Et elle, elle aura la tête enfoncée dans son cul.
» FIGHT ! «
DING DING DING ! Non, ce n'est pas les douze coups de minuits, c'est juste la cloche qui sonne. John Cena prend rapidement le contrôle du combat et fait parler sa puissance à travers de violentes droites et quelques powermoves qui font mouches. Thorn ne s'avoue cependant pas vaincu et revient dans la partie avec un Low-Blow suite à une déconcentration de l'arbitre de le part d'Ariel. Cette dernière est dans tous les bons coups de Kevin Thorn puisque lorsque ce dernier tente de distraire l'arbitre, c'est la jeune vampire, ou sorcière, au choix, qui attaque Cena par derrière. Kevin Thorn n'arrive cependant pas à obtenir le fameux compte de trois et s'expose à un retour de John Cena qui retrouve un second souffle et arrive à reprendre le contrôle du combat avec plusieurs Clotheslines, enchainées par une Back Suplex qui permet à John Cena de porter son Five-Knuckle Shuffle. Le leader de la Cenation semble vouloir en terminer et relève donc Kevin Thorn avant de le mettre en position dAttitude Adjustement. Ariel tente d'intervenir en montant sur l'apron du ring, mais Cena, plus malin, pivote sur lui-même, et les pieds de Thorn frappent involontairement Ariel au visage, la faisant tomber violemment au sol. Cena n'a plus qu'à terminer le combat avec son FU pour obtenir le compte de trois.
Bill DeMott – Voilà, ça c'était la mise en bouche avant la semaine prochaine.
Booker T – Ouais, et Ariel là, j'te le dis, petite sirène ou pas, j'lui fait bouffer ses nageoires.
Bill DeMott – Et si c'était la pieuvre, tu lui ferais bouffer ses tentacules ?
Booker T – Pourquoi tu me parles de pieuvre ?
Bill DeMott – Bah, y'a une pieuvre dans la petite sirène. Je le sais, je regarde ça avec ma fille.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
D'ici quelques secondes, Christian Cage en découdra avec Andy Leavine, et les fans ne voulant pas rater les combats et étant à court de boissons ou de nourritures se précipitent aux divers stands à disposition. Malheureusement pour eux, la surprise du show, ils vont la manquer. Pendant que Bill et Booker se désaltèrent et soufflent un peu, un thème song retentit.
Holy shit, Edge ! Lita ! Putain de merde, la Rated R Superstar, ici, à Attitude, en compagnie de Lita ? Incroyable ! Qui aurait pu imaginer ça ? Les fans, eux, s'offrent un mark-moment incroyable, ils sont tous debout et n'arrêtent pas de crier alors qu'Edge vient déjà de glisser sous la première corde du ring, et a déjà un micro en main.
Edge – Guess who's back ?!
Edge reçoit une nouvelle ovation pour l'occasion, et avec Lita, ils font le tour des quatre turnbuckles histoire d'ajouter encore un peu à leur présence ici ce soir.
Edge – Did I miss you ?
« YEEEAAAAAH »
Edge – Je le savais, personne ne peut se passer de la seule et unique superstar qui a été classée x dans toute l'histoire du Wrestling Business. D'ailleurs, vous devez sûrement vous demandez comment et pourquoi je suis là ici, ce soir, à l'Attitude Wrestling Corporation. Mieux, vous devez certainement vous demandez pourquoi je suis accompagné de cette fabuleuse créature. Lita, baby, dis bonjour à toutes ses personnes qui sont en train de te siffler.
Lita – Hello guys.
Edge – Je vais répondre à toutes ses questions. Premièrement, vous n'êtes certainement pas sans savoir que j'ai stoppé ma carrière dans ce business en avril dernier suite à un problème assez important. Alors pourquoi être là ce soir ? Autant vous dire tout de suite, je ne suis pas venu jouer les interviewers, ni même les commentateurs. Non, je laisse ce job atroce à Bill et Booker. Je suis là parce que je me suis rendu compte que je ne pouvais pas me faire dicter mes choix par un médecin ou par mon corps, non. J'ai envie de lutter, j'ai envie de me battre, de gagner des titres, de redevenir l'opportuniste ultime, et ce n'est pas une blessure qui va me barrer le chemin.
Lita – Et pour redevenir le lutteur de premier choix que tu as toujours été.
Edge affiche un large sourire, il regarde Lita dans les yeux avant de l'attraper par les cheveux et de l'embrasser avec fougue. T'es pas classé x pour rien.
Edge – Je suis ici pour poursuivre une aventure stoppée beaucoup trop tôt. Tant pis si je dois me détruire sur ce ring, je le ferai au sommet de ma gloire. Kurt Angle a remporté une médaille d'or avec une nuque brisée, Taz a déjà lutté avec une nuque brisée. Je suis déjà revenu d'une blessure à la nuque, et aujourd'hui, ma nuque n'est pas brisée, alors rien ne m'empêchera de conquérir à nouveau les titres de champions en compagnie de ma chère et tendre. Marquez officiellement ce jour comme celui du retour de la Rated R Sup-...
Ouais, mais c'est plus drôle quand Edge se fait interrompre en plein discours, vous trouvez pas ?
Oui, c'est bien ce jolie blondinet qui vient interrompre Edge dans ce qui semble être un discours de retour. Malheureusement, tout le monde ne semble pas heureux de voir Goldust débarqué.
Claudio Castagnoli – Fais pas ça, putain.
Goldust – Je suis attiré par cette be-be-beauté !
Sur le ring, Edge et Lita n'ont pas bougé d'un poil, mais ils ne semblent pas très heureux d'avoir été interrompu ainsi. Goldust, lui, s'en moque et monte sur le ring, à quatre pattes, sous le regard d'un Claudio Castagnoli désabusé.
Goldust – Oouuuuuuuh, Edge !
Edge – Qu'est-ce que tu me veux, toi ?
Goldust – Je te veux !
Edge et Lita n'ont pas le temps de réagir que Goldust vient se mettre à caresser les jambes du Canadien. Il remonte petit à petit ses mains vers les cuisses d'Edge qui réagit et se retire de l'étreinte du Golden One comme il peut. Edge glisse ensuite sous la première corde pour échapper au Bizarre One. Lita, elle, peut quitter le ring tranquillement, Goldust ne se préoccupe pas d'elle.
Edge – T'es complètement cinglé comme mec.
Goldust – Edge, franchis avec moi les portes du plaisir interdit.
S'en est trop, Edge récupère Lita en la tirant par le bras et les deux repartent rapidement en backstages, Goldust ne semble pas être une bonne fréquentation. Sur le ring, Goldust se met à genoux et, déçu, retire sa perruque.
Goldust – Sa chevelure dorée sera bientôt mienne.
Claudio Castagnoli – Je veux rentrer en Suisse.
Et Goldust voudrait bien rentrer profondément dans Edge, mais c'est une autre histoire. Et en plus Bill a failli s'étouffer en avalant de travers en voyant ce qui se passait.
Holy shit, Edge ! Lita ! Putain de merde, la Rated R Superstar, ici, à Attitude, en compagnie de Lita ? Incroyable ! Qui aurait pu imaginer ça ? Les fans, eux, s'offrent un mark-moment incroyable, ils sont tous debout et n'arrêtent pas de crier alors qu'Edge vient déjà de glisser sous la première corde du ring, et a déjà un micro en main.
Edge – Guess who's back ?!
Edge reçoit une nouvelle ovation pour l'occasion, et avec Lita, ils font le tour des quatre turnbuckles histoire d'ajouter encore un peu à leur présence ici ce soir.
Edge – Did I miss you ?
« YEEEAAAAAH »
Edge – Je le savais, personne ne peut se passer de la seule et unique superstar qui a été classée x dans toute l'histoire du Wrestling Business. D'ailleurs, vous devez sûrement vous demandez comment et pourquoi je suis là ici, ce soir, à l'Attitude Wrestling Corporation. Mieux, vous devez certainement vous demandez pourquoi je suis accompagné de cette fabuleuse créature. Lita, baby, dis bonjour à toutes ses personnes qui sont en train de te siffler.
Lita – Hello guys.
Edge – Je vais répondre à toutes ses questions. Premièrement, vous n'êtes certainement pas sans savoir que j'ai stoppé ma carrière dans ce business en avril dernier suite à un problème assez important. Alors pourquoi être là ce soir ? Autant vous dire tout de suite, je ne suis pas venu jouer les interviewers, ni même les commentateurs. Non, je laisse ce job atroce à Bill et Booker. Je suis là parce que je me suis rendu compte que je ne pouvais pas me faire dicter mes choix par un médecin ou par mon corps, non. J'ai envie de lutter, j'ai envie de me battre, de gagner des titres, de redevenir l'opportuniste ultime, et ce n'est pas une blessure qui va me barrer le chemin.
Lita – Et pour redevenir le lutteur de premier choix que tu as toujours été.
Edge affiche un large sourire, il regarde Lita dans les yeux avant de l'attraper par les cheveux et de l'embrasser avec fougue. T'es pas classé x pour rien.
Edge – Je suis ici pour poursuivre une aventure stoppée beaucoup trop tôt. Tant pis si je dois me détruire sur ce ring, je le ferai au sommet de ma gloire. Kurt Angle a remporté une médaille d'or avec une nuque brisée, Taz a déjà lutté avec une nuque brisée. Je suis déjà revenu d'une blessure à la nuque, et aujourd'hui, ma nuque n'est pas brisée, alors rien ne m'empêchera de conquérir à nouveau les titres de champions en compagnie de ma chère et tendre. Marquez officiellement ce jour comme celui du retour de la Rated R Sup-...
Ouais, mais c'est plus drôle quand Edge se fait interrompre en plein discours, vous trouvez pas ?
Oui, c'est bien ce jolie blondinet qui vient interrompre Edge dans ce qui semble être un discours de retour. Malheureusement, tout le monde ne semble pas heureux de voir Goldust débarqué.
Claudio Castagnoli – Fais pas ça, putain.
Goldust – Je suis attiré par cette be-be-beauté !
Sur le ring, Edge et Lita n'ont pas bougé d'un poil, mais ils ne semblent pas très heureux d'avoir été interrompu ainsi. Goldust, lui, s'en moque et monte sur le ring, à quatre pattes, sous le regard d'un Claudio Castagnoli désabusé.
Goldust – Oouuuuuuuh, Edge !
Edge – Qu'est-ce que tu me veux, toi ?
Goldust – Je te veux !
Edge et Lita n'ont pas le temps de réagir que Goldust vient se mettre à caresser les jambes du Canadien. Il remonte petit à petit ses mains vers les cuisses d'Edge qui réagit et se retire de l'étreinte du Golden One comme il peut. Edge glisse ensuite sous la première corde pour échapper au Bizarre One. Lita, elle, peut quitter le ring tranquillement, Goldust ne se préoccupe pas d'elle.
Edge – T'es complètement cinglé comme mec.
Goldust – Edge, franchis avec moi les portes du plaisir interdit.
S'en est trop, Edge récupère Lita en la tirant par le bras et les deux repartent rapidement en backstages, Goldust ne semble pas être une bonne fréquentation. Sur le ring, Goldust se met à genoux et, déçu, retire sa perruque.
Goldust – Sa chevelure dorée sera bientôt mienne.
Claudio Castagnoli – Je veux rentrer en Suisse.
Et Goldust voudrait bien rentrer profondément dans Edge, mais c'est une autre histoire. Et en plus Bill a failli s'étouffer en avalant de travers en voyant ce qui se passait.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
Booker T – Ce soir, Andy Leavine va mettre fin à la Winning Streak de Christian Cage.
Bill DeMott – Du moment que tu restes sagement à ta place, il aura la chance de l'emporter.
Bill DeMott – Fais pas la gueule, c'est juste une boutade, t'es vraiment chiant quand tu t'y mets. A croire qu'ici, t'es le seul mec qui puisse raconter des blagues.
Booker T – Je réfléchissais, je me disais qu'en deux combats de suite, Andy doit faire face à deux grands noms quand même. Ce petit est en train de découvrir le haut niveau de ce business.
Booker T – C'est Christian "Undefeated" Cage qui arrive désormais.
Bill DeMott – Arrêtes de le sucer, arrêtes de faire ton fayot.
» FIGHT ! «
La cloche a sonné mais Christian Cage ne se lance pas dans le combat. Il fait un tour sur lui-même et lève sa main en l'ouvrant. Il montre chacun de ses cinq doigts, représentant ses cinq victoires. Le canadien pointe ensuite Andy Leavine et montre un sixième doigt. Il annonce déjà sa victoire et ça ne plaît pas au vainqueur de Tough Enough qui lance les hostilités avec une grosse droite de Silent Rage. Christian Cage vacille et est cueilli directement par une gauche de Silent Rage qui le met au tapis. Christian Cage se relève pour goûter de la botte de son adversaire .. Big Foot. Surpris, Captain Charisma met quelques temps à rentrer dans le combat, laissant l'initiative à son adversaire qui ne se fait pas prier. Cependant, tranquillement, à l'expérience, Christian Cage revient dans le combat et le retourne à son avantage en renversant un Powerslam de Andy Leavine en Inverted DDT. Captain Charisma garde la main mise sur le combat durant quelques minutes. Le canadien place un magnifique Missile Drop Kick suite à quoi Christian Cage regarde Andy Leavine avec un sourire énorme, avant d'hurler.
Christian Cage – Andy, where's your wife ?
Cette provocation de Christian Cage donne un sursaut d'orgueil à Andy Leavine qui a pris très mal les propos de Cage. Il se relève, et la force de Silent Rage parle. Christian Cage qui avait renversé le combat en sa faveur se prend un énorme coup de pied dans l'abdomen qui le plie en deux. Silent Rage enchaîne avec une Powerbomb qui fait rembler le ring. Cage hurle de douleur mais Andy Leavine part dans les cordes .. Running Elbow Drop. Andy Leavine relève son adversaire et le prend sur ses épaules ... Argentine DDT ! Christian Cage n'est plus dans le combat. Andy Leavine relève son adversaire et il se place en position de Pedigree mais Christian Cage renverse le tout .. Killswitch !! Christian Cage tente le tombé.. One.. Two.. Three !!
Bill DeMott – Putain, six combats, six victoires. Qui va mettre fin à sa putain de Winning Streak.
Booker T – Et si jamais Cage avait la carrure nécessaire pour abattre le Ministry, il a déjà battu The Undertaker, il pourrait le refaire.
On ne passe pas tout de suite à la suite car Christian Cage se hisse sur un turnbuckle alors que Andy Leavine est KO au sol. Captain Charisma fait le signe de la ceinture sous les huées du public. L'Attitude Championship est et restera son objectif.
Bill DeMott – Du moment que tu restes sagement à ta place, il aura la chance de l'emporter.
Bill DeMott – Fais pas la gueule, c'est juste une boutade, t'es vraiment chiant quand tu t'y mets. A croire qu'ici, t'es le seul mec qui puisse raconter des blagues.
Booker T – Je réfléchissais, je me disais qu'en deux combats de suite, Andy doit faire face à deux grands noms quand même. Ce petit est en train de découvrir le haut niveau de ce business.
Booker T – C'est Christian "Undefeated" Cage qui arrive désormais.
Bill DeMott – Arrêtes de le sucer, arrêtes de faire ton fayot.
» FIGHT ! «
La cloche a sonné mais Christian Cage ne se lance pas dans le combat. Il fait un tour sur lui-même et lève sa main en l'ouvrant. Il montre chacun de ses cinq doigts, représentant ses cinq victoires. Le canadien pointe ensuite Andy Leavine et montre un sixième doigt. Il annonce déjà sa victoire et ça ne plaît pas au vainqueur de Tough Enough qui lance les hostilités avec une grosse droite de Silent Rage. Christian Cage vacille et est cueilli directement par une gauche de Silent Rage qui le met au tapis. Christian Cage se relève pour goûter de la botte de son adversaire .. Big Foot. Surpris, Captain Charisma met quelques temps à rentrer dans le combat, laissant l'initiative à son adversaire qui ne se fait pas prier. Cependant, tranquillement, à l'expérience, Christian Cage revient dans le combat et le retourne à son avantage en renversant un Powerslam de Andy Leavine en Inverted DDT. Captain Charisma garde la main mise sur le combat durant quelques minutes. Le canadien place un magnifique Missile Drop Kick suite à quoi Christian Cage regarde Andy Leavine avec un sourire énorme, avant d'hurler.
Christian Cage – Andy, where's your wife ?
Cette provocation de Christian Cage donne un sursaut d'orgueil à Andy Leavine qui a pris très mal les propos de Cage. Il se relève, et la force de Silent Rage parle. Christian Cage qui avait renversé le combat en sa faveur se prend un énorme coup de pied dans l'abdomen qui le plie en deux. Silent Rage enchaîne avec une Powerbomb qui fait rembler le ring. Cage hurle de douleur mais Andy Leavine part dans les cordes .. Running Elbow Drop. Andy Leavine relève son adversaire et le prend sur ses épaules ... Argentine DDT ! Christian Cage n'est plus dans le combat. Andy Leavine relève son adversaire et il se place en position de Pedigree mais Christian Cage renverse le tout .. Killswitch !! Christian Cage tente le tombé.. One.. Two.. Three !!
Bill DeMott – Putain, six combats, six victoires. Qui va mettre fin à sa putain de Winning Streak.
Booker T – Et si jamais Cage avait la carrure nécessaire pour abattre le Ministry, il a déjà battu The Undertaker, il pourrait le refaire.
On ne passe pas tout de suite à la suite car Christian Cage se hisse sur un turnbuckle alors que Andy Leavine est KO au sol. Captain Charisma fait le signe de la ceinture sous les huées du public. L'Attitude Championship est et restera son objectif.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
L'écran géant de l'arène s'allume, et on nous annonce que ce suit s'est passé plus tôt cette semaine. On se retrouve dans un hôpital, Hermacléus le caméraman pousse la porte. Bubba Ray enfile un t-shirt tandis que Devon lace ses chaussures, les deux frères, des pansements sur la gueule, s'arrachent leur perfusions, mais un docteur rentre alors dans la chambre.
(ceci est un spoiler.)
Docteur – Bonjour messieurs, je suis là pour... Mais qu'est ce que vous faîtes ? Je vous ai interdit de sortir de la chambre !
Bubba Ray – Tu crois qu'on va t'écouter ? Que parce que t'as fait de grandes études tu peux nous donner des ordres ? On va lutter, peu importe ton avis, enfoiré !
Docteur – Je... Non, je ne peux pas vous laisser lutter, de toute façon vous ne pourrez pas, j'ai envoyé un billet à Steve Austin, vous n'avez pas le droit de lutter cette semaine.
Si Bubba reste bouche bée, Devon lui s'énerve. Le micro, c'est juste pour la prise du son.
Devon – Tu nous empêche de lutter ? Tu nous empêche de combattre, fils de pute ? Huh ?! J'ai bien envi d'éclater ta tronche de premier de la classe sur le mur pour ça !
Docteur – Je suis désolé mais... J'étais obligé de le faire... Pardon. Je vais envoyer une infirmière pour vous remettre vos perfusions.
Le docteur, un peu effrayé, quitte la salle, il croise au passage Spike Dudley, qui a un bouquet de fleur et une boîte de chocolats dans les bras.
Spike – Salut les frangins, vous allez bien ? Je veux dire mieux ? Je vous ai apporté des fleurs, et des chocolats. Joël est là aussi mais il a vu une infirmière et... Vous connaissez Joël.
Bubba Ray – Des fleurs ?! Des chocolats ?! Tu nous a pris pour qui infâme bâtard ?!
Voilà, maintenant, Bubba aussi est en colère, Spike lui se chie dessus.
Spike – Euh... Ouais, désolé... Au fait, vous savez quoi ? Lundi, je vais lutteur à votre place... J'affronte Homicide et Kingston.
Bubba Ray – C'est qui ton partenaire ? T'as fais signé Dances With ?
Spike – Non, non ! C'est... C'est Gregory Helms.
Bubba Ray – Hein ?
Spike – Gregory Helms.
Bubba est en crise noire, il attrape Spike par le col, ça va péter, j'vous le dis moi.
Bubba Ray – Tu te fous de ma gueule ? Est ce que tu te fou de ma gueule, fils de pute ?! Tu nous a déjà trahi, mais on t'a recueilli, parce que t'es notre frère, mais tu t'obstines ?! Devon, retiens moi j'vais crever ce bâtard de traître !
Spike – Bubba, calme toi, calme toi frérot !
Bubba Ray – Et tu oses m'appeler frère ?!
Spike – J'ai tout sous contrôle, Bubba, t'inquiète pas, je suis de votre bord. Et puis... Et puis Joël sera avec moi.
Bubba Ray – Studley, est capable d'être en train de se taper des stagiaires pendant le match !
Spike – Sign Guy ne pourra pas être là, mais peut être que Psycho Sam...
Bubba Ray – Je sais qui va te surveiller, Spike. Et avec elle, tu ne risques pas de faire de connerie, crois moi petit bâtard !
Elle ? De qui il parle ? Et déjà, la caméra se coupe, je veux savoir putain !
(ceci est un spoiler.)
Docteur – Bonjour messieurs, je suis là pour... Mais qu'est ce que vous faîtes ? Je vous ai interdit de sortir de la chambre !
Bubba Ray – Tu crois qu'on va t'écouter ? Que parce que t'as fait de grandes études tu peux nous donner des ordres ? On va lutter, peu importe ton avis, enfoiré !
Docteur – Je... Non, je ne peux pas vous laisser lutter, de toute façon vous ne pourrez pas, j'ai envoyé un billet à Steve Austin, vous n'avez pas le droit de lutter cette semaine.
Si Bubba reste bouche bée, Devon lui s'énerve. Le micro, c'est juste pour la prise du son.
Devon – Tu nous empêche de lutter ? Tu nous empêche de combattre, fils de pute ? Huh ?! J'ai bien envi d'éclater ta tronche de premier de la classe sur le mur pour ça !
Docteur – Je suis désolé mais... J'étais obligé de le faire... Pardon. Je vais envoyer une infirmière pour vous remettre vos perfusions.
Le docteur, un peu effrayé, quitte la salle, il croise au passage Spike Dudley, qui a un bouquet de fleur et une boîte de chocolats dans les bras.
Spike – Salut les frangins, vous allez bien ? Je veux dire mieux ? Je vous ai apporté des fleurs, et des chocolats. Joël est là aussi mais il a vu une infirmière et... Vous connaissez Joël.
Bubba Ray – Des fleurs ?! Des chocolats ?! Tu nous a pris pour qui infâme bâtard ?!
Voilà, maintenant, Bubba aussi est en colère, Spike lui se chie dessus.
Spike – Euh... Ouais, désolé... Au fait, vous savez quoi ? Lundi, je vais lutteur à votre place... J'affronte Homicide et Kingston.
Bubba Ray – C'est qui ton partenaire ? T'as fais signé Dances With ?
Spike – Non, non ! C'est... C'est Gregory Helms.
Bubba Ray – Hein ?
Spike – Gregory Helms.
Bubba est en crise noire, il attrape Spike par le col, ça va péter, j'vous le dis moi.
Bubba Ray – Tu te fous de ma gueule ? Est ce que tu te fou de ma gueule, fils de pute ?! Tu nous a déjà trahi, mais on t'a recueilli, parce que t'es notre frère, mais tu t'obstines ?! Devon, retiens moi j'vais crever ce bâtard de traître !
Spike – Bubba, calme toi, calme toi frérot !
Bubba Ray – Et tu oses m'appeler frère ?!
Spike – J'ai tout sous contrôle, Bubba, t'inquiète pas, je suis de votre bord. Et puis... Et puis Joël sera avec moi.
Bubba Ray – Studley, est capable d'être en train de se taper des stagiaires pendant le match !
Spike – Sign Guy ne pourra pas être là, mais peut être que Psycho Sam...
Bubba Ray – Je sais qui va te surveiller, Spike. Et avec elle, tu ne risques pas de faire de connerie, crois moi petit bâtard !
Elle ? De qui il parle ? Et déjà, la caméra se coupe, je veux savoir putain !
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
Booker T – Match par équipe ! J'aime la lutte par équipe, ça me rappelle mas jeunesse.
Bill DeMott – Ca va encore être une daube le match ?
Booker T – Ne sois pas si pessimiste !
Bill DeMott – Cet enfoiré a pété la table de nos collègues espagnols !
Booker T – Kingston n'a pas choisi de passer au travers de la table, tu sais.
Bill DeMott – Il avait qu'à pas se laisser faire ce trou du cul.
Booker T – Et voilà les champions par équipe ! Mais ce soir, Danielson ne peut pas lutteur.
Bill DeMott – Tout ça à cause de dents de sagesses, quelle lopette franchement.
Booker T – Voilà Spike Dudley et Joël Gertner, mais on a vu que Spike allait avoir un autre manageur, un autre membre de la famille Dudley.
Bill DeMott – Je boite jusqu'aux toilettes, rappelle moi quand ce con a fini de faire l'introduction.
Joël Gertner – Well ... Well ... Well ... It is I. The sexual intellectual, the lyrical miracle, got the anal cable. Joel, si je mesure un mètre soixante neuf, ce n'est pas pour rien, Gertner. Je n'ai pas envi d'introduire cet avorton de Spike, mais laissez moi vous présentez son second manageur de la soirée. She is the only sexy woman I never slept with, and that's because she's my cousin. She's the sexiest female alive. George Clooney doesn't know how lucky he is to put his hands on her butt. The Duchess of Dudleyville, Stacy Keibler !
Bill DeMott – Putain, j'reviens au bon moment, c'est qui la donzelle là ?
Booker T – C'est Stacy Keibler, lutteuse émérite, star d'Hollywood, une cousine des Dudleys.
Bill DeMott – T'as l'air de bien la connaître, présente la moi.
» FIGHT ! «
Homicide commence le match pour les Psychotiques, en face, Helms s'impose à Spike et commencera lui aussi. Si Homicide domine par la force, Helms est agile, et il se sert de sa rapidité pour contenir son adversaire. Des dropkicks, des low kicks, voilà tout ce qu'il distribue, et Homicide n'arrive pas à lui mettre la main dessus. Ce manège dure quelques minutes, mais Homicide fini par s'énerver et attrape Helms pour un samoan drop. Homicide fait le changement avec Kingston, les deux hommes envoient Helms dans les cordes, double surpassement ! Kingston s'acharne sur le meilleur poids léger de l'histoire avec des droites dans le visage, mais l'arbitre le rappelle à l'ordre, il frappe à poing fermé et c'est interdit. Kingtson s'engueule avec l'arbitre, et Helms en profite pour faire le changement avec Spike. Le tueur de géant devra justifier son surnom ce soir, il court vers Kingtson, tente un running crossbody, mais Kingston l'attrape facilement dans ses bras et se met à rire. Le roi de la guerre envoi son side slam backbreaker et tente le tombé. Un, deux, seulement deux, Spike s'est dégagé.
Bill DeMott – A ton avis, j'ai mes chances avec Stacy machin ?
Booker T – Honnêtement ? Non.
Spike se fait malmener pendant de longues, très longues minutes par les deux psychopathes. Il se prend même le 187 Cutter d'Homicide, mais le tombé ne se fait pas, parce que Keibler monte sur l'apron distraire l'arbitre. Elle le chauffe, Homicide vient engueuler l'arbitre, Kingston, lui aussi sur le bord du ring engueule Keibler. L'arbitre se retourne vers le ring et vois que Spike a fait le changement. Derrière lui, Gertner vient défendre sa cousine avec un low blow magistral dans les boules de Kingston qui tombe de l'apron en dehors du ring. Homicide voit venir Helms, 187 Cutter ! Cette fois l'arbitre compte, un, deux, et trois !
Bill DeMott – J'vais consoler la blonde, j'suis meilleur que ses cousins moi.
Booker T – C'est le match que tu devais commenter Bill.
Bill DeMott – Le match ? Oui, c'était de la merde.
Alors que les Porto Ricans Psycho s'en vont, Helms se fait lever le poing bien en l'air par son partenaire Bryan Danielson. Spike Dudley, lui, s'avance vers les champions, il tend sa main droite vers Gregory. Celui ci regarde Danielson, la foule, il hésite, mais tend timidement sa main vers Spike et la serre... Oh le petit bâtard ! Spike en profite pour mettre un coup de pied dans le ventre de Helms, il lui envoi une multitude de coups de poing, comme un gosse dans une cour de récré le ferait. Helms se relève, il sent à peine les coups, et bam ! Droite dans la gueule de Spike qui s'étale, face contre terre. Danielson l'a vu, et il y va, Cattle Mutilation sur le petit Spike ! Gertner et Stacy ne font même pas mine de s'en soucier et bavardent entre eux, mais...
Booker T – Voilà la cavalerie !
Bubba Ray et Devon ! Malgré que les médecins les aient interdis de combattre et priver de match, ils sont là, et Devon tient une table sous le bras. Les deux frères glissent sous la première corde, alors que les champions font le mouvement inverse sur leur gauche. Helms et Danielson, leurs ceintures en main, sont en bas de la rampe, mais Bubba et Devon ne semble pas leur courir après. Devon déplie les pieds de la table, et Bubba pointe les champions du doigt, il leur dit qu'ils ont les prochains, que c'est un message. Qu'est ce qui est un message ? Stacy, elle, a relevée Spike et l'a entraînée tout près de la table. Non, pas ça non ! DUDLEY DEATH DROP SUR SPIKE A TRAVERS LA TABLE ! OH MY GOD !
Spike gît au milieu des décombres de la table, alors que Stacy remue ses fesses juste au dessus de lui, comme pour le narguer, et que Bubba et Devon gueulent après les champions. Qu'est ce qui arrivera quand ces quatre hommes se mettront les mains dessus ? Où est Sign Guy ? Autant de questions qui resteront sans réponse.
Bill DeMott – Ca va encore être une daube le match ?
Booker T – Ne sois pas si pessimiste !
Bill DeMott – Cet enfoiré a pété la table de nos collègues espagnols !
Booker T – Kingston n'a pas choisi de passer au travers de la table, tu sais.
Bill DeMott – Il avait qu'à pas se laisser faire ce trou du cul.
Booker T – Et voilà les champions par équipe ! Mais ce soir, Danielson ne peut pas lutteur.
Bill DeMott – Tout ça à cause de dents de sagesses, quelle lopette franchement.
Booker T – Voilà Spike Dudley et Joël Gertner, mais on a vu que Spike allait avoir un autre manageur, un autre membre de la famille Dudley.
Bill DeMott – Je boite jusqu'aux toilettes, rappelle moi quand ce con a fini de faire l'introduction.
Joël Gertner – Well ... Well ... Well ... It is I. The sexual intellectual, the lyrical miracle, got the anal cable. Joel, si je mesure un mètre soixante neuf, ce n'est pas pour rien, Gertner. Je n'ai pas envi d'introduire cet avorton de Spike, mais laissez moi vous présentez son second manageur de la soirée. She is the only sexy woman I never slept with, and that's because she's my cousin. She's the sexiest female alive. George Clooney doesn't know how lucky he is to put his hands on her butt. The Duchess of Dudleyville, Stacy Keibler !
Bill DeMott – Putain, j'reviens au bon moment, c'est qui la donzelle là ?
Booker T – C'est Stacy Keibler, lutteuse émérite, star d'Hollywood, une cousine des Dudleys.
Bill DeMott – T'as l'air de bien la connaître, présente la moi.
» FIGHT ! «
Homicide commence le match pour les Psychotiques, en face, Helms s'impose à Spike et commencera lui aussi. Si Homicide domine par la force, Helms est agile, et il se sert de sa rapidité pour contenir son adversaire. Des dropkicks, des low kicks, voilà tout ce qu'il distribue, et Homicide n'arrive pas à lui mettre la main dessus. Ce manège dure quelques minutes, mais Homicide fini par s'énerver et attrape Helms pour un samoan drop. Homicide fait le changement avec Kingston, les deux hommes envoient Helms dans les cordes, double surpassement ! Kingston s'acharne sur le meilleur poids léger de l'histoire avec des droites dans le visage, mais l'arbitre le rappelle à l'ordre, il frappe à poing fermé et c'est interdit. Kingtson s'engueule avec l'arbitre, et Helms en profite pour faire le changement avec Spike. Le tueur de géant devra justifier son surnom ce soir, il court vers Kingtson, tente un running crossbody, mais Kingston l'attrape facilement dans ses bras et se met à rire. Le roi de la guerre envoi son side slam backbreaker et tente le tombé. Un, deux, seulement deux, Spike s'est dégagé.
Bill DeMott – A ton avis, j'ai mes chances avec Stacy machin ?
Booker T – Honnêtement ? Non.
Spike se fait malmener pendant de longues, très longues minutes par les deux psychopathes. Il se prend même le 187 Cutter d'Homicide, mais le tombé ne se fait pas, parce que Keibler monte sur l'apron distraire l'arbitre. Elle le chauffe, Homicide vient engueuler l'arbitre, Kingston, lui aussi sur le bord du ring engueule Keibler. L'arbitre se retourne vers le ring et vois que Spike a fait le changement. Derrière lui, Gertner vient défendre sa cousine avec un low blow magistral dans les boules de Kingston qui tombe de l'apron en dehors du ring. Homicide voit venir Helms, 187 Cutter ! Cette fois l'arbitre compte, un, deux, et trois !
Bill DeMott – J'vais consoler la blonde, j'suis meilleur que ses cousins moi.
Booker T – C'est le match que tu devais commenter Bill.
Bill DeMott – Le match ? Oui, c'était de la merde.
Alors que les Porto Ricans Psycho s'en vont, Helms se fait lever le poing bien en l'air par son partenaire Bryan Danielson. Spike Dudley, lui, s'avance vers les champions, il tend sa main droite vers Gregory. Celui ci regarde Danielson, la foule, il hésite, mais tend timidement sa main vers Spike et la serre... Oh le petit bâtard ! Spike en profite pour mettre un coup de pied dans le ventre de Helms, il lui envoi une multitude de coups de poing, comme un gosse dans une cour de récré le ferait. Helms se relève, il sent à peine les coups, et bam ! Droite dans la gueule de Spike qui s'étale, face contre terre. Danielson l'a vu, et il y va, Cattle Mutilation sur le petit Spike ! Gertner et Stacy ne font même pas mine de s'en soucier et bavardent entre eux, mais...
Booker T – Voilà la cavalerie !
Bubba Ray et Devon ! Malgré que les médecins les aient interdis de combattre et priver de match, ils sont là, et Devon tient une table sous le bras. Les deux frères glissent sous la première corde, alors que les champions font le mouvement inverse sur leur gauche. Helms et Danielson, leurs ceintures en main, sont en bas de la rampe, mais Bubba et Devon ne semble pas leur courir après. Devon déplie les pieds de la table, et Bubba pointe les champions du doigt, il leur dit qu'ils ont les prochains, que c'est un message. Qu'est ce qui est un message ? Stacy, elle, a relevée Spike et l'a entraînée tout près de la table. Non, pas ça non ! DUDLEY DEATH DROP SUR SPIKE A TRAVERS LA TABLE ! OH MY GOD !
Spike gît au milieu des décombres de la table, alors que Stacy remue ses fesses juste au dessus de lui, comme pour le narguer, et que Bubba et Devon gueulent après les champions. Qu'est ce qui arrivera quand ces quatre hommes se mettront les mains dessus ? Où est Sign Guy ? Autant de questions qui resteront sans réponse.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
Le temps qu'on déblaye le ring, Kansas City reprend son souffle. On distribue des tracts sur lesquelles figurent le tout nouveau logo d'Attitude imaginé par un jeune artiste engagé pour l'occasion, on mange, on boit, et Booker revoit ses bandages. L'ambiance est presque trop calme lorsque l'Attitron s'allume.
Les rumeurs étaient fondées et c'est sous une ovation encore rarement vue à l'AWC si ce n'est pour Austin en personne que l'HeartBreak Kid fait ses premiers pas dans l'arène d'Attitude. Il tape dans les mains de quelques fans, amuse la foule puis grimpe sur le ring tout en attrapant un micro préalablement posé là par un membre du staff de l'AWC. Rien n'est laissé au hasard.
Shawn Michaels – Les vacances se sont bien passées, merci.
« HBK ! HBK ! HBK ! »
Shawn Michaels – Ma présence ce soir était nécessaire, tant sur le plan professionnel que personnel. Beaucoup de choses ont été dites depuis mon départ, et je ne peux pas revenir sur toutes. Non, je vais simplement revenir sur Attitude deux et ma participation à cette bataille royale, car il semble qu'elle est été mal comprise. Oui, je suis remonté sur un ring. Oui, j'ai catché de nouveau et plus encore, je suis sous contrat à l'AWC. Mais je prends dieu comme témoin en vous disant que ce soir le heartbreak kid, le showstopper, le main event n'a jamais autant était retraité et heureux de l'être.
La dernière phrase de Michaels fait grand bruit dans une salle qui peine à encaisser la nouvelle. Monsieur wrestlemania semble absent au milieu du ring alors que nos deux commentateurs se posent des questions.
Bill DeMott – What ?
Shawn Michaels – Il n'y a rien à déduire de cela, plus particulièrement lors qu'on sait que le headliner ne fait rien sans raison. Vous le vouliez, mais aujourd'hui rien ne me pousse à reprendre du service. Lorsque vous avez tout réalisé, que votre nom est gravé au panthéon, vous ne pouvez pas vous permettre de revenir les mains dans les poches. Hunter a trouvé son objectif, good job. The Undertaker a trouvé son objectif, good luck. Moi, à l'AWC, je n'ai pas trouvé le mien.
Les avis fusent dans l'Independance Events Center, mais aucun ne semble convenir au voleur de show.
Shawn Michaels – So, il ne faudra pas dire que Shawn Michaels n'a plus voulu du catch, mais que le catch n'a plus rien à offrir à Shawn Michaels...
Michaels n'a pas encore eu le temps de terminer sa phrase qu'Angle débarque dans l'arène le micro à la main et l'air particulièrement décontenancé.
Kurt Angle – On peut savoir ce que tu fais ?
Shawn Michaels – Rien qui te concerne.
Kurt Angle – This is not true! J'étais à l'instant dans ma loge en train de préméditer une intervention pour un titre qui me revient de droit, et qu'est-ce que je vois ? Shawn Michaels en train de se chercher des excuses. Are you kiddin me, Shawn ? Bien entendu que ça me concerne !
Shawn Michaels – Ce n'est pas ce que je fais et tu le sais.
Kurt Angle – Ce que je sais c'est tu te cherches une bonne raison de revenir sur le ring et, coup de bol, j'en ai une à te proposer. Me.
Shawn Michaels – J'ai déjà donné.
Angle fait les quatre cents pas pendant que l'Icon prend tranquillement la direction de la sortie.
Kurt Angle – Remember Wrestlemania 21, Shawn. Ce soir là je t'ai battu, ce soir là je t'ai fait abandonner sur ton terrain, mister wrestlemania. Depuis ce match je suis le meilleur catcheur au monde et tu n'es que derrière. Shawn, après ma défaite de Thunderslam j'ai besoin de ce match comme tu en as besoin pour retrouver ta foi. Accorde nous au moins ça !
Impassible, Michaels continue sa route jusqu'à croiser Angle sans réagir puis s'effacer en coulisse.
Kurt Angle – Tu fais une énorme erreur.
Mais Angle a beau s'époumoner, il est trop tard. Le public reste sans voix alors que l'Olympic Hero meuble la rampe, dépité, avant de retourner lui aussi dans l'arrière de la scène et laisser la placer au reste du show.
SHAWN MICHAELS
Shawn, quels sont tes plans exactement ici ? On sait que tu essaies de revenir au top, mais quels sont tes véritables objectifs ? En solo ou en équipe (DX) ? Quelles sont tes relations avec Triple H au jour d'aujourd'hui ?
@Answer : Comme Shawn l'a spécifié lors de son intervention peu avant l'Invitational Battle Royal qu'il a d'ailleurs remporté, il ne serait pas disponible avant un moment, car il souhaitait profiter encore un peu de sa famille en partant avec elle en vacances. Nous ne sommes donc pas en mesure de lui communiquer cette question et vous devrez attendre le retour du HeartBreak Kid.
Les rumeurs étaient fondées et c'est sous une ovation encore rarement vue à l'AWC si ce n'est pour Austin en personne que l'HeartBreak Kid fait ses premiers pas dans l'arène d'Attitude. Il tape dans les mains de quelques fans, amuse la foule puis grimpe sur le ring tout en attrapant un micro préalablement posé là par un membre du staff de l'AWC. Rien n'est laissé au hasard.
Shawn Michaels – Les vacances se sont bien passées, merci.
« HBK ! HBK ! HBK ! »
Shawn Michaels – Ma présence ce soir était nécessaire, tant sur le plan professionnel que personnel. Beaucoup de choses ont été dites depuis mon départ, et je ne peux pas revenir sur toutes. Non, je vais simplement revenir sur Attitude deux et ma participation à cette bataille royale, car il semble qu'elle est été mal comprise. Oui, je suis remonté sur un ring. Oui, j'ai catché de nouveau et plus encore, je suis sous contrat à l'AWC. Mais je prends dieu comme témoin en vous disant que ce soir le heartbreak kid, le showstopper, le main event n'a jamais autant était retraité et heureux de l'être.
La dernière phrase de Michaels fait grand bruit dans une salle qui peine à encaisser la nouvelle. Monsieur wrestlemania semble absent au milieu du ring alors que nos deux commentateurs se posent des questions.
Bill DeMott – What ?
Shawn Michaels – Il n'y a rien à déduire de cela, plus particulièrement lors qu'on sait que le headliner ne fait rien sans raison. Vous le vouliez, mais aujourd'hui rien ne me pousse à reprendre du service. Lorsque vous avez tout réalisé, que votre nom est gravé au panthéon, vous ne pouvez pas vous permettre de revenir les mains dans les poches. Hunter a trouvé son objectif, good job. The Undertaker a trouvé son objectif, good luck. Moi, à l'AWC, je n'ai pas trouvé le mien.
Les avis fusent dans l'Independance Events Center, mais aucun ne semble convenir au voleur de show.
Shawn Michaels – So, il ne faudra pas dire que Shawn Michaels n'a plus voulu du catch, mais que le catch n'a plus rien à offrir à Shawn Michaels...
Michaels n'a pas encore eu le temps de terminer sa phrase qu'Angle débarque dans l'arène le micro à la main et l'air particulièrement décontenancé.
Kurt Angle – On peut savoir ce que tu fais ?
Shawn Michaels – Rien qui te concerne.
Kurt Angle – This is not true! J'étais à l'instant dans ma loge en train de préméditer une intervention pour un titre qui me revient de droit, et qu'est-ce que je vois ? Shawn Michaels en train de se chercher des excuses. Are you kiddin me, Shawn ? Bien entendu que ça me concerne !
Shawn Michaels – Ce n'est pas ce que je fais et tu le sais.
Kurt Angle – Ce que je sais c'est tu te cherches une bonne raison de revenir sur le ring et, coup de bol, j'en ai une à te proposer. Me.
Shawn Michaels – J'ai déjà donné.
Angle fait les quatre cents pas pendant que l'Icon prend tranquillement la direction de la sortie.
Kurt Angle – Remember Wrestlemania 21, Shawn. Ce soir là je t'ai battu, ce soir là je t'ai fait abandonner sur ton terrain, mister wrestlemania. Depuis ce match je suis le meilleur catcheur au monde et tu n'es que derrière. Shawn, après ma défaite de Thunderslam j'ai besoin de ce match comme tu en as besoin pour retrouver ta foi. Accorde nous au moins ça !
Impassible, Michaels continue sa route jusqu'à croiser Angle sans réagir puis s'effacer en coulisse.
Kurt Angle – Tu fais une énorme erreur.
Mais Angle a beau s'époumoner, il est trop tard. Le public reste sans voix alors que l'Olympic Hero meuble la rampe, dépité, avant de retourner lui aussi dans l'arrière de la scène et laisser la placer au reste du show.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
Nos deux amis ont donc quittés les lieux et après une dernière publicité il est déjà l'heure de retourner sur le ring pour le grand final. En effet, la soirée touche à sa fin et nos deux commentateurs sont prêts à assister au Main Event.
Booker T – Encore une fois, l'Undertaker va boucler ce nouvel Attitude, en affrontant cette fois Alberto del Rio. Les problèmes d'immigrations du Mexicain ne s'arrangent pas, mais il va devoir faire son job ce soir, comme l'a rappelé Austin en castagnant le Ministre des Ténèbres !
Bill DeMott – Ministre de mes couilles, je te jure que si lui ou ses larbins vont un pet de travers je m'en vais me venger de la semaine dernière.
Booker T – Je ne peux pas te donner tort, mais pour le moment, nous devons rester à notre place. Pendant que tu grommelles voilà l'annonceur officiel d'Alberto del Rio qui se ramène.
Ricardo Rodriguez – Señores y señoras, la última semana, en el momento de Thunderslam, marcó la historia. Llevó altura la herencia del luchadores, venció a Kurt Angle, venció al campeón olímpico. En lo sucesivo, su nombre es escrito para siempre en la historia del AWC. Es el Corporación Campeón, es el grande... Alberto Del Rio !
L'annonceur laisse tomber son micro et se tourne vers la rampe où apparait Alberto del Rio, il a la bave aux lèvres notre garçon. Le Corporation Champion tient sa ceinture dans sa main gauche et la montre fièrement aux spectateurs qui, enfin, scandent son nom.
Bill DeMott – A cause de la bande de zombie, je m'en retrouve à espérer la victoire d'un immigré Booker, c'est atroce.
Booker T – En effet, si Del Rio a l'autorisation de lutter ce soir, sa situation est tout de même peu rassurante. Il va falloir qu'il commence à se pencher sur ce problème dès la fin de son match, nous verrons si cela aura des répercussions sur sa concentration.
Le champion tend sa ceinture au timekeeper, retire son écharpe et attend patiemment dans le ring quand soudain, les lumières de la salle s'éteignent. Un coup de gong, et elles se rallument au moment où la musique du Ministry se lance !
Bill DeMott – Je te jure que je vais faire un malheur. Cet enfoiré de Thorn est en train de nous mater avec son œil torve !
Booker T – Doucement Bill... Ils referont pas deux fois la même connerie.
» FIGHT ! «
C'est bien doucement effectivement que l'Undertaker rentre dans le ring. Bearer, McCool, Thorn, rétabli après son match et Ariel se placent en ringside, quand l'arbitre fait sonner la cloche. Le premier contact tourne à l'avantage du Taker qui collent quelques droites à Del Rio. Celui-ci décide de se retirer dans les cordes, pour revenir à l'assaut avec des kicks. Il passe dans le dos du Phenom et tente une Armbar mais celui-ci le retourne et le met au sol avec ses Shoulder Blocks. L'Undertaker le relève et le projette dans les cordes mais encaisse une manchette de Del Rio à son retour, suivi d'un Enzuigiri ! Le Big Man titube jusqu'aux cordes où Bearer lui tend son urne pour le regonfler. Le Corporation Champion interromps cette cérémonie en s'attaquant au dos de l'Attitude Champion avant de partir pour un Sleeper Hold ! Le Mexicain serre la prise au possible, mais un Mort Vivant ne dors jamais. Il fait chuter Del Rio et lui place un Big Boot, à peine s'est-il relevé ! 1, 2, nearfall ! The Undertaker est encouragé par la Ministre des Ténèbres en backstage, et décide de faire tomber les bretelles. Alberto se relève... il se fait prendre en position pour le Tombstone Piledriver ! Le Mexicain s'agite... et Hurricanrana ! Le Deadman est sonné et encaisse maintenant un Bulldog. Del Rio, revenu dans le match, prend de la vitesse dans les cordes, mais sa jambe est accroché par Kevin Thorn ! Il se retourne pour faire face au vampire, mais dans son dos le Taker s'est relevé et lui porte le Chokeslam !
Bill DeMott – Ces salauds devraient être bannis de ringside à vie.
Booker T – Alberto del Rio est lui aussi un champion, et il a encore des ressources Bill.
L'Undertaker tente le tombé... mais en effet Del Rio se dégage ! Il se relève et se fait projeter dans le coin opposé mais réussit à éviter la charge du Deadman. Celui-ci est sonné et se fait tirer au sol par le Mexicain qui l'immobilise et se met en position pour son Cross Armbreaker ! Il tire sur le bras d'un Taker grimaçant pendant que McCool s'égosille en ringside. Le Deadman tente de s'en sortir mais en difficulté, il doit attendre que Paul Bearer viennent passer ses bras tenant l'urne sous la première corde pour lui redonner des forces. En effet, ses mouvements s'intensifient et il semble se dégager de l'emprise du Corporation Champion. Il réussit à ramener ses jambes et les amène autour du cou de son adversaire, il s'empare de sa nuque, et ça y est, il a placé le Hell's Gate ! La situation s'est inversée, Del Rio est en souffrance... et il tape ! C'est fini.
Booker T – Seigneur... L'Attitude Champion a réussi à faire abandonner le champion secondaire, et nous devons reconnaitre qu'il s'affirme semaines après semaines dans ce show.
Bill DeMott – Del Rio n'a pas été au niveau auquel il devait être Booker, c'est tout. Il n'aura pas cette chance à chaque fois, crois moi.
Booker T – Encore une fois, l'Undertaker va boucler ce nouvel Attitude, en affrontant cette fois Alberto del Rio. Les problèmes d'immigrations du Mexicain ne s'arrangent pas, mais il va devoir faire son job ce soir, comme l'a rappelé Austin en castagnant le Ministre des Ténèbres !
Bill DeMott – Ministre de mes couilles, je te jure que si lui ou ses larbins vont un pet de travers je m'en vais me venger de la semaine dernière.
Booker T – Je ne peux pas te donner tort, mais pour le moment, nous devons rester à notre place. Pendant que tu grommelles voilà l'annonceur officiel d'Alberto del Rio qui se ramène.
Ricardo Rodriguez – Señores y señoras, la última semana, en el momento de Thunderslam, marcó la historia. Llevó altura la herencia del luchadores, venció a Kurt Angle, venció al campeón olímpico. En lo sucesivo, su nombre es escrito para siempre en la historia del AWC. Es el Corporación Campeón, es el grande... Alberto Del Rio !
L'annonceur laisse tomber son micro et se tourne vers la rampe où apparait Alberto del Rio, il a la bave aux lèvres notre garçon. Le Corporation Champion tient sa ceinture dans sa main gauche et la montre fièrement aux spectateurs qui, enfin, scandent son nom.
Bill DeMott – A cause de la bande de zombie, je m'en retrouve à espérer la victoire d'un immigré Booker, c'est atroce.
Booker T – En effet, si Del Rio a l'autorisation de lutter ce soir, sa situation est tout de même peu rassurante. Il va falloir qu'il commence à se pencher sur ce problème dès la fin de son match, nous verrons si cela aura des répercussions sur sa concentration.
Le champion tend sa ceinture au timekeeper, retire son écharpe et attend patiemment dans le ring quand soudain, les lumières de la salle s'éteignent. Un coup de gong, et elles se rallument au moment où la musique du Ministry se lance !
Bill DeMott – Je te jure que je vais faire un malheur. Cet enfoiré de Thorn est en train de nous mater avec son œil torve !
Booker T – Doucement Bill... Ils referont pas deux fois la même connerie.
» FIGHT ! «
C'est bien doucement effectivement que l'Undertaker rentre dans le ring. Bearer, McCool, Thorn, rétabli après son match et Ariel se placent en ringside, quand l'arbitre fait sonner la cloche. Le premier contact tourne à l'avantage du Taker qui collent quelques droites à Del Rio. Celui-ci décide de se retirer dans les cordes, pour revenir à l'assaut avec des kicks. Il passe dans le dos du Phenom et tente une Armbar mais celui-ci le retourne et le met au sol avec ses Shoulder Blocks. L'Undertaker le relève et le projette dans les cordes mais encaisse une manchette de Del Rio à son retour, suivi d'un Enzuigiri ! Le Big Man titube jusqu'aux cordes où Bearer lui tend son urne pour le regonfler. Le Corporation Champion interromps cette cérémonie en s'attaquant au dos de l'Attitude Champion avant de partir pour un Sleeper Hold ! Le Mexicain serre la prise au possible, mais un Mort Vivant ne dors jamais. Il fait chuter Del Rio et lui place un Big Boot, à peine s'est-il relevé ! 1, 2, nearfall ! The Undertaker est encouragé par la Ministre des Ténèbres en backstage, et décide de faire tomber les bretelles. Alberto se relève... il se fait prendre en position pour le Tombstone Piledriver ! Le Mexicain s'agite... et Hurricanrana ! Le Deadman est sonné et encaisse maintenant un Bulldog. Del Rio, revenu dans le match, prend de la vitesse dans les cordes, mais sa jambe est accroché par Kevin Thorn ! Il se retourne pour faire face au vampire, mais dans son dos le Taker s'est relevé et lui porte le Chokeslam !
Bill DeMott – Ces salauds devraient être bannis de ringside à vie.
Booker T – Alberto del Rio est lui aussi un champion, et il a encore des ressources Bill.
L'Undertaker tente le tombé... mais en effet Del Rio se dégage ! Il se relève et se fait projeter dans le coin opposé mais réussit à éviter la charge du Deadman. Celui-ci est sonné et se fait tirer au sol par le Mexicain qui l'immobilise et se met en position pour son Cross Armbreaker ! Il tire sur le bras d'un Taker grimaçant pendant que McCool s'égosille en ringside. Le Deadman tente de s'en sortir mais en difficulté, il doit attendre que Paul Bearer viennent passer ses bras tenant l'urne sous la première corde pour lui redonner des forces. En effet, ses mouvements s'intensifient et il semble se dégager de l'emprise du Corporation Champion. Il réussit à ramener ses jambes et les amène autour du cou de son adversaire, il s'empare de sa nuque, et ça y est, il a placé le Hell's Gate ! La situation s'est inversée, Del Rio est en souffrance... et il tape ! C'est fini.
Booker T – Seigneur... L'Attitude Champion a réussi à faire abandonner le champion secondaire, et nous devons reconnaitre qu'il s'affirme semaines après semaines dans ce show.
Bill DeMott – Del Rio n'a pas été au niveau auquel il devait être Booker, c'est tout. Il n'aura pas cette chance à chaque fois, crois moi.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #5.
Le Main-Event touche donc à sa fin et Alberto vient de quitter le ring, raccompagné par un arbitre après ce combat difficile. L'Undertaker, lui, est toujours sur le ring. Tour à tour, tous les membres du Ministry le rejoigne sur le ring. Le Taker demande à ce qu'on lui redonne sa ceinture et un officiel est sur le point de lui tendre.
Stone Cold – Hold on a second, sumbitches.
J'veux juste te faire remarquer qu'Austin a quand même sorti la veste en cuir, ça veut quand même bien dire ce que ça veut dire. Stone Cold s'empare de la ceinture de champion Attitude avant de monter sur le ring, seul face au Ministry.
Stone Cold – C'est cette ceinture que tu veux ? What ? Guess what ? What ? Kiss my ass.
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Stone Cold – It's time for payback. What ? L'heure de la vengeance a sonné. What ? Oui, tu vas en prendre plein la gueule, démon de mes deux. What ? Ce mec est une putain de blague. What ? Laisse-moi te dire quelque chose. What ? J'en ai strictement rien à branler de tes fantasmes de croque-mort pervers. What ? J'en ai rien à branler de tes orgies dans le cimetière. What ? J'en ai rien à branler de ton couple de vampire de mes deux. What ? J'en ai rien à branler de ton vieux fou échappé tout droit de Shutter Island. What ? Et surtout, j'en ai vraiment rien à branler de ta pute trouvée sur le parking d'une décharge public. What ? And if you agree with Stone Cold, gimme a damn motherfuckin' hell yeah.
« HELL YEEEEAAAAAH ! »
The Undertaker – Ta vulgarité te perdra, Steve.
Stone Cold – Ferme ta putain de gueule, et demande à ton vampire de t'enfoncer un pieu dans le cul, ça me fera des vacances. What ? J'vais pas passer par quatre chemins avec une bande de cons comme vous. What ? Vous voulez prendre possession de l'Attitude Wrestling Corporation ? What ? Bah j'en ai une nouvelle fois rien à branler de tes envies suicidaires, trou du cul. What ? Et tu sais pourquoi j'en ai rien à foutre ? Why ? Parce que la prise de pouvoir de cette possession, elle passe par moi. What ? Ouais, si tu veux prendre possession de l'AWC, il faudra que tu passes par la case de ce putain de plus grand buveur de bières de tous les temps, gratteur de couilles avec le petit doigt, et surtout le fils de pute le plus dur de toute l'histoire de ce putain de wrestling business, Stone Cold Steve Austin !
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Promo de l'année ? J'en sais rien, mais moi j'bande comme un porc à l'idée de voir Steve se lâcher comme un porc sur tous les membres du Ministry pour leur péter la gueule.
Stone Cold – Si tu veux l'AWC, et c'est pas pour demain la veille, faudra me passer dessus.
The Undertaker – La proposition me semble intéressante. Et si on commençait immédiatement ?
Ohoh, ça va exploser là, on est à deux doigts d'insister à un putain de brawl. Steve et le Taker se font face. Le Texas Rattlesnake jette la ceinture de champion à terre, il respire fort, fait sentir son haleine de chacal au Taker qui ne craint rien, il est déjà mort. A la table des commentateurs, Booker T et Bill DeMott sont sur le point de se lever pour venir en aide à Austin mais Kevin Thorn, Ariel, Michelle McCool et Paul Bearer sont sur leur chemin. L'ambiance est électrique, ça peut explose d'une seconde à l'autre et la foule, enflammée, n'attend plus que ça. Attendez une seconde ! Christian Cage !! CHRISTIAN CAGE DEBARQUE !! Le Captain Charisma surprend tout son monde en descendant la rampe sans que personne ne s'en aperçoive. Il grimpe sur le ring... UNPRETTIER !! UNPRETTIER SUR STONE COLD STEVE AUSTIN, INCROYABLE !! Christian passe aussitôt sous la première corde et remonte la rampe pour se tenir à distance de l'Undertaker qui récupère sa ceinture.
Christian lui-même ne semble pas réaliser ce qu'il vient de faire alors que le Taker, lui, affiche un large sourire de satisfaction avant de lever sa ceinture sur la dépouille de Stone Cold, qui ne bouge pas. Ce soir, il n'y aura pas d'attaque, mais un pas de plus de fait par le ministère des ténèbres dans sa conquête de la fédération. A la semaine prochaines, mes amis.
Stone Cold – Hold on a second, sumbitches.
J'veux juste te faire remarquer qu'Austin a quand même sorti la veste en cuir, ça veut quand même bien dire ce que ça veut dire. Stone Cold s'empare de la ceinture de champion Attitude avant de monter sur le ring, seul face au Ministry.
Stone Cold – C'est cette ceinture que tu veux ? What ? Guess what ? What ? Kiss my ass.
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Stone Cold – It's time for payback. What ? L'heure de la vengeance a sonné. What ? Oui, tu vas en prendre plein la gueule, démon de mes deux. What ? Ce mec est une putain de blague. What ? Laisse-moi te dire quelque chose. What ? J'en ai strictement rien à branler de tes fantasmes de croque-mort pervers. What ? J'en ai rien à branler de tes orgies dans le cimetière. What ? J'en ai rien à branler de ton couple de vampire de mes deux. What ? J'en ai rien à branler de ton vieux fou échappé tout droit de Shutter Island. What ? Et surtout, j'en ai vraiment rien à branler de ta pute trouvée sur le parking d'une décharge public. What ? And if you agree with Stone Cold, gimme a damn motherfuckin' hell yeah.
« HELL YEEEEAAAAAH ! »
The Undertaker – Ta vulgarité te perdra, Steve.
Stone Cold – Ferme ta putain de gueule, et demande à ton vampire de t'enfoncer un pieu dans le cul, ça me fera des vacances. What ? J'vais pas passer par quatre chemins avec une bande de cons comme vous. What ? Vous voulez prendre possession de l'Attitude Wrestling Corporation ? What ? Bah j'en ai une nouvelle fois rien à branler de tes envies suicidaires, trou du cul. What ? Et tu sais pourquoi j'en ai rien à foutre ? Why ? Parce que la prise de pouvoir de cette possession, elle passe par moi. What ? Ouais, si tu veux prendre possession de l'AWC, il faudra que tu passes par la case de ce putain de plus grand buveur de bières de tous les temps, gratteur de couilles avec le petit doigt, et surtout le fils de pute le plus dur de toute l'histoire de ce putain de wrestling business, Stone Cold Steve Austin !
« AUSTIN ! AUSTIN ! AUSTIN ! »
Promo de l'année ? J'en sais rien, mais moi j'bande comme un porc à l'idée de voir Steve se lâcher comme un porc sur tous les membres du Ministry pour leur péter la gueule.
Stone Cold – Si tu veux l'AWC, et c'est pas pour demain la veille, faudra me passer dessus.
The Undertaker – La proposition me semble intéressante. Et si on commençait immédiatement ?
Ohoh, ça va exploser là, on est à deux doigts d'insister à un putain de brawl. Steve et le Taker se font face. Le Texas Rattlesnake jette la ceinture de champion à terre, il respire fort, fait sentir son haleine de chacal au Taker qui ne craint rien, il est déjà mort. A la table des commentateurs, Booker T et Bill DeMott sont sur le point de se lever pour venir en aide à Austin mais Kevin Thorn, Ariel, Michelle McCool et Paul Bearer sont sur leur chemin. L'ambiance est électrique, ça peut explose d'une seconde à l'autre et la foule, enflammée, n'attend plus que ça. Attendez une seconde ! Christian Cage !! CHRISTIAN CAGE DEBARQUE !! Le Captain Charisma surprend tout son monde en descendant la rampe sans que personne ne s'en aperçoive. Il grimpe sur le ring... UNPRETTIER !! UNPRETTIER SUR STONE COLD STEVE AUSTIN, INCROYABLE !! Christian passe aussitôt sous la première corde et remonte la rampe pour se tenir à distance de l'Undertaker qui récupère sa ceinture.
Christian lui-même ne semble pas réaliser ce qu'il vient de faire alors que le Taker, lui, affiche un large sourire de satisfaction avant de lever sa ceinture sur la dépouille de Stone Cold, qui ne bouge pas. Ce soir, il n'y aura pas d'attaque, mais un pas de plus de fait par le ministère des ténèbres dans sa conquête de la fédération. A la semaine prochaines, mes amis.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Sujets similaires
» Choose The Right Attitude : Attitude #5.
» Choose the right attitude : Attitude #3.
» Choose the Right Attitude: Attitude #9
» Choose the right attitude : Attitude #1.
» Choose the right attitude : Attitude #4.
» Choose the right attitude : Attitude #3.
» Choose the Right Attitude: Attitude #9
» Choose the right attitude : Attitude #1.
» Choose the right attitude : Attitude #4.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|