Attitude #11.
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Attitude #11.
Le show aura lieu à Tulsa, dans l'Oklahoma, mais nous sommes actuellement à Tampa, Florida. En effet, nous retrouvons ce cher Andy Leavine, de retour à la maison. Il arrive devant chez lui, et il est au téléphone.
Andy Leavine – Un match pour Attitude la semaine prochaine ? Pas de problème, je serai de retour, tu peux programmer cela. [...] Oui, je te remercie. [...] On se voit dans la semaine. [...] Oui, à bientôt.
Andy raccroche, et nous ne saurons pas avec qui il était au téléphone, même s'il on peut penser qu'il s'agit d'un officiel de la fédération. Après avoir prit une grande bouffée d'air, Andy frappe à la porte. Il a prit son courage à deux mains et il va se confronter à sa toujours femme, histoire de tirer cette affaire au clair. Enfin, si elle veut bien répondre. Andy frappe une nouvelle fois à la porte, toujours rien. Une troisième fois, peut-être ?
Andy Leavine – Lauren, c'est moi Andy. Ouvre la porte s'il te plait, il faut que l'on parle, c'est vraiment très important. Lauren, tu m'entends ?
Visiblement, elle n'entend pas. Andy se décide donc à regarder par le carreau mais il n'aperçoit personne dans la petite maison de famille. Il va donc appliquer le plan b et soulève un pot de fleur. Il regarde en dessous mais il n'y a rien, et cela semble le contrarier.
Andy Leavine – Et merde, plus de clé.
La clé de secours a disparue, Andy ne va donc pas pouvoir rentrer, à moins que... Oui, le bonhomme ne semble pas avoir d'autre choix et il passe par le jardin et finit par casser une fenêtre, celle de l'arrière-cuisine, pour pouvoir rentrer dans la maison.
Andy Leavine – Rentrer chez soi par effraction, on aura vraiment tout vu. Mon pauvre Andy, il y a des jours où il vaudrait mieux que tu restes couché.
Andy commence donc à marcher lentement dans la maison, regardant tout autour de lui. Il s'aperçoit que la maison semble plutôt vide, plusieurs meubles manquent, le frigo est vide, les placards servent de refuge pour les araignées et il n'y a même plus d'électricité. Tout ceci semble intrigué notre bonhomme.
Andy Leavine – Lauren, tu es là ? Les enfants ? Il y a quelqu'un ? Daddy's comin' home.
Andy continue d'avancer, mais le coeur ne semble pas y être, à la vue de la maison vide, Andy a un mauvais pré-sentiment. Après avoir vainement visité la chambre parentale ainsi que celle des deux enfants, il revient dans l'entrée et, de rage, frappe contre un mur. Un cadre en tombe.
Andy Leavine – Huh ?
Réplique du soir, bonsoir. Andy se baisse et ramasse le cadre, une photo de sa famille, au complet, heureuse et souriante. C'était mi-juin, juste avant qu'Andy ne s'engage avec la fédération de Stone Cold.
Andy Leavine – Lauren, les enfants, vous me manquez beaucoup vous savez.
??? – Ici la police, qui que vous soyez, sortez de la maison sans faire de geste brusque. Vous êtes en état d'arrestation !
Andy Leavine – Quoi ?
Andy se lève et pousse délicatement un rideau pour apercevoir ce qu'il se passe dehors. Effectivement, trois voitures de polices entourent la maison, et pas moins de six agents sont là, dont cinq avec l'arme pointée vers la porte. Et autant vous dire que tout le voisinage est déjà dehors en train de regarder ce qu'il se passe.
Andy Leavine – Quelle poisse, on a du me voir casser la vitre.
Police Officer – Je ne le répéterai pas, sortez de la maison les mains en l'air, et tout se passera bien.
Andy Leavine – Ne tirez pas, je vais sortir !
Andy se relève, regarde une dernière fois la photo de sa famille avant de la poser sur le canapé, et il ouvre délicatement la porte, mettant bien ses mains en évidence. Le colosse franchit la porte et avance doucement. Finalement, quatre policiers se jettent sur lui, le mettent de force à terre et le menottes, avant de le relever de force.
Police Officer – Vous êtes en état d'arrestation, tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous. Vous devrez répondre de l'accusation suivante : Entrée par effraction dans une propriété privée. A votre arrivée au commissariat, vous pourrez contactez un avocat, et si vous n'en avez pas les moyens, un avocat vous sera commit d'office.
Et hop, voilà que les quatre hommes embarquent Andy directement l'arrière de la voiture. Dans le voisinage, les ragots commencent déjà à fuser, les voisins parlent, ils ont reconnu Andy et connaissent déjà les rumeurs à son sujet. Le pauvre, il est bien loin de s'imaginer cela.
Les flics remontent dans leur voiture et embarquent Andy. La soirée ne pouvait pas plus mal commencer, et Andy va certainement passer une soirée qu'il n'est pas prêt d'oublier.
Andy Leavine – Un match pour Attitude la semaine prochaine ? Pas de problème, je serai de retour, tu peux programmer cela. [...] Oui, je te remercie. [...] On se voit dans la semaine. [...] Oui, à bientôt.
Andy raccroche, et nous ne saurons pas avec qui il était au téléphone, même s'il on peut penser qu'il s'agit d'un officiel de la fédération. Après avoir prit une grande bouffée d'air, Andy frappe à la porte. Il a prit son courage à deux mains et il va se confronter à sa toujours femme, histoire de tirer cette affaire au clair. Enfin, si elle veut bien répondre. Andy frappe une nouvelle fois à la porte, toujours rien. Une troisième fois, peut-être ?
Andy Leavine – Lauren, c'est moi Andy. Ouvre la porte s'il te plait, il faut que l'on parle, c'est vraiment très important. Lauren, tu m'entends ?
Visiblement, elle n'entend pas. Andy se décide donc à regarder par le carreau mais il n'aperçoit personne dans la petite maison de famille. Il va donc appliquer le plan b et soulève un pot de fleur. Il regarde en dessous mais il n'y a rien, et cela semble le contrarier.
Andy Leavine – Et merde, plus de clé.
La clé de secours a disparue, Andy ne va donc pas pouvoir rentrer, à moins que... Oui, le bonhomme ne semble pas avoir d'autre choix et il passe par le jardin et finit par casser une fenêtre, celle de l'arrière-cuisine, pour pouvoir rentrer dans la maison.
Andy Leavine – Rentrer chez soi par effraction, on aura vraiment tout vu. Mon pauvre Andy, il y a des jours où il vaudrait mieux que tu restes couché.
Andy commence donc à marcher lentement dans la maison, regardant tout autour de lui. Il s'aperçoit que la maison semble plutôt vide, plusieurs meubles manquent, le frigo est vide, les placards servent de refuge pour les araignées et il n'y a même plus d'électricité. Tout ceci semble intrigué notre bonhomme.
Andy Leavine – Lauren, tu es là ? Les enfants ? Il y a quelqu'un ? Daddy's comin' home.
Andy continue d'avancer, mais le coeur ne semble pas y être, à la vue de la maison vide, Andy a un mauvais pré-sentiment. Après avoir vainement visité la chambre parentale ainsi que celle des deux enfants, il revient dans l'entrée et, de rage, frappe contre un mur. Un cadre en tombe.
Andy Leavine – Huh ?
Réplique du soir, bonsoir. Andy se baisse et ramasse le cadre, une photo de sa famille, au complet, heureuse et souriante. C'était mi-juin, juste avant qu'Andy ne s'engage avec la fédération de Stone Cold.
Andy Leavine – Lauren, les enfants, vous me manquez beaucoup vous savez.
??? – Ici la police, qui que vous soyez, sortez de la maison sans faire de geste brusque. Vous êtes en état d'arrestation !
Andy Leavine – Quoi ?
Andy se lève et pousse délicatement un rideau pour apercevoir ce qu'il se passe dehors. Effectivement, trois voitures de polices entourent la maison, et pas moins de six agents sont là, dont cinq avec l'arme pointée vers la porte. Et autant vous dire que tout le voisinage est déjà dehors en train de regarder ce qu'il se passe.
Andy Leavine – Quelle poisse, on a du me voir casser la vitre.
Police Officer – Je ne le répéterai pas, sortez de la maison les mains en l'air, et tout se passera bien.
Andy Leavine – Ne tirez pas, je vais sortir !
Andy se relève, regarde une dernière fois la photo de sa famille avant de la poser sur le canapé, et il ouvre délicatement la porte, mettant bien ses mains en évidence. Le colosse franchit la porte et avance doucement. Finalement, quatre policiers se jettent sur lui, le mettent de force à terre et le menottes, avant de le relever de force.
Police Officer – Vous êtes en état d'arrestation, tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous. Vous devrez répondre de l'accusation suivante : Entrée par effraction dans une propriété privée. A votre arrivée au commissariat, vous pourrez contactez un avocat, et si vous n'en avez pas les moyens, un avocat vous sera commit d'office.
Et hop, voilà que les quatre hommes embarquent Andy directement l'arrière de la voiture. Dans le voisinage, les ragots commencent déjà à fuser, les voisins parlent, ils ont reconnu Andy et connaissent déjà les rumeurs à son sujet. Le pauvre, il est bien loin de s'imaginer cela.
Les flics remontent dans leur voiture et embarquent Andy. La soirée ne pouvait pas plus mal commencer, et Andy va certainement passer une soirée qu'il n'est pas prêt d'oublier.
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Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #11.
Précédemment à l'Attitude Wrestling Corporation
...
Attitude #10 depuis Beaumont, TX.
Edge dispose une nouvelle fois de Shelton Benjamin par le biais d'un spear. Il ne supporte pas le fait que l'actuel champion Corporation soit reconnaissant envers Christian Cage pour ses récents succès.
Après avoir été recadré par Steve Austin pour ses méthodes plus que discutables, Mister Anderson estime que tout le monde est coupable jusqu'à preuve du contraire et c'est Wade Barrett, qui ne possède pas d'alibi, qui devient le suspect numéro un.
Claudio Castagnoli avoue être à l'origine de l'enquête sur Alberto Del Rio, enquête qui a conduit à l'expulsion du lutteur d'origine mexicaine. Dos Caras Jr arrive à Attitude pour s'en prendre au suisse, mais qui est sous ce masque ?
Bien que le retour de Shawn Michaels dans les rings semble être apprécié des fans, certains, dont l'Undertaker qui l'avait envoyé à la retraite, ne voient pas les choses de la même manière.
Après s'en être pris à Andy Leavine, Chris Jericho s'en prend à sa compatriote Trish Stratus pour des raisons encore inconnues. Quelles sont les motivations du "King of the World" ?
Le champion Attitude Christian Cage et son challenger Triple H viennent à bout des champions par équipe, les Dudley Boyz. Ces-derniers, mauvais perdants, s'en prennent au champion mais il est sauvé par son challenger.
Christian Cage n'en fera pas autant et en profitera pour prendre la poudre d'escampettes, laissant Triple H seul face aux Dudley Boyz. Triple H ne peut rien faire, il passe à travers une table.
La suite, maintenant
...
Avec Attitude #11 depuis Tulsa, OK.
...
Attitude #10 depuis Beaumont, TX.
Edge dispose une nouvelle fois de Shelton Benjamin par le biais d'un spear. Il ne supporte pas le fait que l'actuel champion Corporation soit reconnaissant envers Christian Cage pour ses récents succès.
Après avoir été recadré par Steve Austin pour ses méthodes plus que discutables, Mister Anderson estime que tout le monde est coupable jusqu'à preuve du contraire et c'est Wade Barrett, qui ne possède pas d'alibi, qui devient le suspect numéro un.
Claudio Castagnoli avoue être à l'origine de l'enquête sur Alberto Del Rio, enquête qui a conduit à l'expulsion du lutteur d'origine mexicaine. Dos Caras Jr arrive à Attitude pour s'en prendre au suisse, mais qui est sous ce masque ?
Bien que le retour de Shawn Michaels dans les rings semble être apprécié des fans, certains, dont l'Undertaker qui l'avait envoyé à la retraite, ne voient pas les choses de la même manière.
Après s'en être pris à Andy Leavine, Chris Jericho s'en prend à sa compatriote Trish Stratus pour des raisons encore inconnues. Quelles sont les motivations du "King of the World" ?
Le champion Attitude Christian Cage et son challenger Triple H viennent à bout des champions par équipe, les Dudley Boyz. Ces-derniers, mauvais perdants, s'en prennent au champion mais il est sauvé par son challenger.
Christian Cage n'en fera pas autant et en profitera pour prendre la poudre d'escampettes, laissant Triple H seul face aux Dudley Boyz. Triple H ne peut rien faire, il passe à travers une table.
La suite, maintenant
...
Avec Attitude #11 depuis Tulsa, OK.
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Re: Attitude #11.
ATTITUDE WRESTLING CORPORATION.
IT'S TIME TO CHOOSE THE RIGHT ATTITUDE.
« GIVE ME A HELL YEAH ! »
UNLEASH HELL.
« YOU LITTLE SUMBITCH ! »
AUSTIN 3:16 JUST WHOOPED YOUR ASS.
« WHAT ? »
THIS IS A NEW WRESTLING ERA.
« WHAT ? »
HOSTED BY THE TEXAS RATTLESNAKE, BEER DRINKER...
« THE TOUGHEST SUMBITCH OF WRESTLING HISTORY ! »
STONE COLD STEVE AUSTIN !
« OH HELL YEAH ! »
ARRIVE, RAISE HELL, LEAVE.
« WHAT ? »
THIS IS NOW...
« AND THAT'S THE BOTTOM LINE... »
THIS... IS... ATTITUDE !
« CAUSE STONE COLD SAID SO ! »
IT'S TIME TO CHOOSE THE RIGHT ATTITUDE.
« GIVE ME A HELL YEAH ! »
UNLEASH HELL.
« YOU LITTLE SUMBITCH ! »
AUSTIN 3:16 JUST WHOOPED YOUR ASS.
« WHAT ? »
THIS IS A NEW WRESTLING ERA.
« WHAT ? »
HOSTED BY THE TEXAS RATTLESNAKE, BEER DRINKER...
« THE TOUGHEST SUMBITCH OF WRESTLING HISTORY ! »
STONE COLD STEVE AUSTIN !
« OH HELL YEAH ! »
ARRIVE, RAISE HELL, LEAVE.
« WHAT ? »
THIS IS NOW...
« AND THAT'S THE BOTTOM LINE... »
THIS... IS... ATTITUDE !
« CAUSE STONE COLD SAID SO ! »
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Re: Attitude #11.
Mon père, ce héros ! Je me prénomme Clément et aujourd'hui, je fête mon quatorzième anniversaire. Je vis depuis l'âge de cinq ans à Tulsa, dans l'Oklahoma. Ma vie, je la consacre exclusivement aux Oilers de Tulsa. A ce propos, j'espère pouvoir un jour devenir un hockeyeur professionnel mais pour ça, il faudrait peut-être que je commence à m'entraîner et que j'arrête de passer mes journées sur mon ordinateur. Ce matin, mes parents m'ont demandés de rentrer directement après les cours. Bon fils à papa, j'obéis. Sans passer par les escaliers du bâtiment secondaire pour fumer un joint avec mes copains nerds, je rentre chez moi. Ma mère m'ouvre la porte et commence à m'embrasser, dégueulasse ! Mon père, lui, me tend deux tickets. Ringside A14, ringside A15, Attitude Wrestling Corporation, Attitude 11, Bank of Oklahoma Center, Tulsa, Oklahoma. Pas mal le cadeau d'anniversaire, pas mal du tout.
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il y a du monde ce soir. La soirée commence mal, plus d'une heure pour se garer sans parler du fait qu'il va falloir faire le dernier kilomètre à pied. Je m'attends donc à une marche interminable, mais cela se passe mieux que prévu. A droite, deux mecs sont en train de se foutre sur la gueule. La sécurité intervient, merde ! Un peu plus loin, un groupe de jeunes filles passent devant nous. Belle brochette de petits culs, ça commence à me plaire. D'ailleurs, celle de gauche à une tatouage tribal sur les reins, la coquine ! Nous voilà enfin arrivé aux portillons, c'est l'heure de la fouille. Quelle chance, un petit bout de femme. Mon père passe le premier, il commence à se faire tâter par cette jolie petite brune. Je regarde son badge, Aurélie. J'attends mon tour patiemment mais un homme me demande d'avancer. Barbu, petit, gros, il commence à s'occuper de moi et me fait une fouille au corps, tant pis, ça sera pour la prochaine fois Aurélie, la prochaine fois. Ca y est, on rentre dans l'arène.
« ATTITUDE ! ATTITUDE ! ATTITUDE ! »
Alors que l'on était en route vers nos places, mon père s'arrête et me fait signe de le suivre. Il a oublié de prendre sa bière, c'est pas comme si il en avait déjà bu une quinzaine aujourd'hui. C'est reparti pour une demi-heure de fil d'attente, tant pis. La serveuse est plutôt jolie, l'imaginer nue me fera passer le temps après tout. C'est bon, il a pris sa bière. Ne me demande surtout pas si je veux boire quelque chose, hein ! Rapidement, nous trouvons nos places, nous sommes derrière Bill DeMott et Booker T qui sont déjà en place. Une fille, encore, nous demande pardon, elle veut passer. La voilà qu'elle s'assoit à côté de moi. Petite, blonde, joli minois, beau petit cul, et ce décolleté, ce décolleté bon sang ! Comment est-ce que je vais faire pour regarder le programme de l'Attitude Wrestling Coporation ce soir, comment ? Alors que je suis déjà en train de rêver dans tous les sens du terme sur son balcon, je suis perturbé par une autre nana qui essaie de passer elle aussi. Elle dit à la petite bonasse que c'est sa place, quoi ?! La fille aux gros seins s'en va, adieu ! Je regarde ma nouvelle voisine, dégaine de camionneur, surpoids évident, moustache naissante, c'est bien ma veine ! J'vais aller écouter ce que Bill DeMott et Booker T se disent.
Booker T – Je crois que ma femme à un amant, qu'est-ce que j'dois faire ?
Bill DeMott – Essaie de passer un moment avec Mr. Anderson, il a plein de gadgets intéressants en ce moment, depuis qu'il bosse en collaboration avec le Pentagone. Il t'aura une caméra, une puce pour mettre son téléphone sur écoute et même un détecteur de mensonge.
Booker T – Je trouve ça drastique quand même.
« ATTITUDE ! ATTITUDE ! ATTITUDE ! »
Pourquoi est-ce qu'ils gueulent tous comme ça ? Ça commence, ah ? Attitude ! Attitude ! Attitude ! Coucou, je suis un mouton, je suis le troupeau. Jeu de lumière, musique raisonnante, ambiance festive, odeur de sueur, ouais, je crois que cette fois-ci, c'est la bonne. Qu'est-ce que c'est que ce truc au plafond ?
Ma réflexion est perturbée par une odeur de merde. Je cherche d'où vient cette odeur, ma voisine. Bonne soirée, ouais !
Booker T – Can you dig that ?! Suckaaaa !
Bill DeMott – Bonsoir mesdames et messieurs, and welcome once again to the Attitude Wrestling Corporation, this is Attitude 11 ! La semaine a été longue, tant de questions sans réponses restent en suspens, l'animosité dans les coulisses est à son paroxysme, toutes les conditions sont réunies pour passer une nouvelle soirée qui devrait se finir, comme d'habitude, dans le bordel le plus complet !
Booker T – Je crois que tu as oublié un élément ce soir, look up !
Bill DeMott – What ?!
Booker T – Fifteen tons of steel, the most dangerous structure in wrestling history, the first hell in a cell match was Shawn Michaels and the Undertaker back in 1997. This is hell in a cell ! But for what ? We don't know, we'll find out later tonight !
Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il y a du monde ce soir. La soirée commence mal, plus d'une heure pour se garer sans parler du fait qu'il va falloir faire le dernier kilomètre à pied. Je m'attends donc à une marche interminable, mais cela se passe mieux que prévu. A droite, deux mecs sont en train de se foutre sur la gueule. La sécurité intervient, merde ! Un peu plus loin, un groupe de jeunes filles passent devant nous. Belle brochette de petits culs, ça commence à me plaire. D'ailleurs, celle de gauche à une tatouage tribal sur les reins, la coquine ! Nous voilà enfin arrivé aux portillons, c'est l'heure de la fouille. Quelle chance, un petit bout de femme. Mon père passe le premier, il commence à se faire tâter par cette jolie petite brune. Je regarde son badge, Aurélie. J'attends mon tour patiemment mais un homme me demande d'avancer. Barbu, petit, gros, il commence à s'occuper de moi et me fait une fouille au corps, tant pis, ça sera pour la prochaine fois Aurélie, la prochaine fois. Ca y est, on rentre dans l'arène.
« ATTITUDE ! ATTITUDE ! ATTITUDE ! »
Alors que l'on était en route vers nos places, mon père s'arrête et me fait signe de le suivre. Il a oublié de prendre sa bière, c'est pas comme si il en avait déjà bu une quinzaine aujourd'hui. C'est reparti pour une demi-heure de fil d'attente, tant pis. La serveuse est plutôt jolie, l'imaginer nue me fera passer le temps après tout. C'est bon, il a pris sa bière. Ne me demande surtout pas si je veux boire quelque chose, hein ! Rapidement, nous trouvons nos places, nous sommes derrière Bill DeMott et Booker T qui sont déjà en place. Une fille, encore, nous demande pardon, elle veut passer. La voilà qu'elle s'assoit à côté de moi. Petite, blonde, joli minois, beau petit cul, et ce décolleté, ce décolleté bon sang ! Comment est-ce que je vais faire pour regarder le programme de l'Attitude Wrestling Coporation ce soir, comment ? Alors que je suis déjà en train de rêver dans tous les sens du terme sur son balcon, je suis perturbé par une autre nana qui essaie de passer elle aussi. Elle dit à la petite bonasse que c'est sa place, quoi ?! La fille aux gros seins s'en va, adieu ! Je regarde ma nouvelle voisine, dégaine de camionneur, surpoids évident, moustache naissante, c'est bien ma veine ! J'vais aller écouter ce que Bill DeMott et Booker T se disent.
Booker T – Je crois que ma femme à un amant, qu'est-ce que j'dois faire ?
Bill DeMott – Essaie de passer un moment avec Mr. Anderson, il a plein de gadgets intéressants en ce moment, depuis qu'il bosse en collaboration avec le Pentagone. Il t'aura une caméra, une puce pour mettre son téléphone sur écoute et même un détecteur de mensonge.
Booker T – Je trouve ça drastique quand même.
« ATTITUDE ! ATTITUDE ! ATTITUDE ! »
Pourquoi est-ce qu'ils gueulent tous comme ça ? Ça commence, ah ? Attitude ! Attitude ! Attitude ! Coucou, je suis un mouton, je suis le troupeau. Jeu de lumière, musique raisonnante, ambiance festive, odeur de sueur, ouais, je crois que cette fois-ci, c'est la bonne. Qu'est-ce que c'est que ce truc au plafond ?
Ma réflexion est perturbée par une odeur de merde. Je cherche d'où vient cette odeur, ma voisine. Bonne soirée, ouais !
Booker T – Can you dig that ?! Suckaaaa !
Bill DeMott – Bonsoir mesdames et messieurs, and welcome once again to the Attitude Wrestling Corporation, this is Attitude 11 ! La semaine a été longue, tant de questions sans réponses restent en suspens, l'animosité dans les coulisses est à son paroxysme, toutes les conditions sont réunies pour passer une nouvelle soirée qui devrait se finir, comme d'habitude, dans le bordel le plus complet !
Booker T – Je crois que tu as oublié un élément ce soir, look up !
Bill DeMott – What ?!
Booker T – Fifteen tons of steel, the most dangerous structure in wrestling history, the first hell in a cell match was Shawn Michaels and the Undertaker back in 1997. This is hell in a cell ! But for what ? We don't know, we'll find out later tonight !
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Re: Attitude #11.
Alors que Booker est en train de nettoyer ses dreads qui ont trempé dans le ketchup du sandwich de Bill, les officiels viennent de s'activer pour installer des choses sur le ring. Visiblement, nous allons avoir le droit à un talk-show pour ouvrir cette onzième édition d'Attitude.
Si je te parle de Chris Jericho avec un talk-show, il est facile de comprendre que l'on va assister à la toute première édition du légendaire Highlight Reel ici, à l'Attitude Wrestling Corporation. Pour l'occasion, Y2J a même ressorti sa plus belle veste vintage venant tout droit des 90's. La foule, elle, réagit différemment, entre huées et acclamations, à l'image du personnage en fait. Le personnage, d'ailleurs, il vient de grimper sur le ring et s'est emparé d'un micro.
Chris Jericho – Welcome tooooo the Highlight Reel !
Cette fois, la réaction est unanimement positive. Comme quoi, les classiques, quand tu es fan de lutte, ce sont les mêmes.
Chris Jericho – Toujours présent, toujours aussi légendaire, toujours autant divertissant, toujours aussi populaire, toujours aussi excitant, et toujours présenté par le King of Bling-Bling, The Ayatollah of Rock'N'Rolla, Chris Jericho ! Ce soir, je voulais marquer un grand coup. Ce soir, je me devais de me présenter sur ce ring, car j'ai beaucoup de questions qui sont encore sans réponses. Et je me suis dis : "Hey Chris, pourquoi ne pas rendre ça intéressant ?", et voilà que le plus grand talk-show de l'histoire du pro wrestling est de retour sur les ring de l'Attitude Wrestling Corporation. Et toutes les questions que j'ai, j'ai envie de les poser à une seule et unique personne. Une personne qui ne laisse pas indifférent, que l'on soit un homme ou une femme. Une personne qui a du caractère, de la personnalité, de magnifiques atouts à mettre en valeur, et une autorité certaine au sein de cette fédération. Ladies and gentleman, let me introduce to you my guest at this time... The legendary Trish Stratus !
Inutile d'expliquer le phénomène qui suit et qui se résume à une très grosse ovation de la part des fans de l'AWC présents ce soir à Tulsa, dans l'Oklahoma. La musique de Trish ne met pas bien longtemps à se faire entendre.
Avoir la classe et être sexy en même temps, il n'y a que Trish qui peut le faire dans cette fédération. Celle qui incarne la touche féminine de la Corporation apparait sourire aux lèvres et rejoint le ring après avoir prit le soin de taper dans quelques mains de fans masculins au premier rang. Elle répond d'ailleurs positivement à l'invitation de Chris pour s'asseoir sur une des chaises.
Trish Stratus – Merci pour l'invitation, Chris.
Chris Jericho – Crois-moi Trish, tout le plaisir est pour moi, vraiment. Je ne pouvais espérer meilleur invité pour le grand retour de l'Highlight Reel sur les écrans. Tu es la candidate idéal pour obtenir une édition pimentée, avec des révélations, de la controverse, de l'intensité et du glamour, of course. Alors, permet-moi de ne pas perdre d'avantage de temps et de te poser la toute première question. Why ?
Trish Stratus – Pourquoi quoi ?
Chris Jericho – Trish, please, ne jouons pas à ce petit jeu. Je sais très bien que tu sais de quoi je veux parler. Tu sais très bien de quoi je veux parler. Les fans dans l'arena ici savent très bien de quoi je veux te parler. Et même les téléspectateurs savent de quoi je veux parler. Pourquoi Andy ?
Trish Stratus – Je ne vois pas de quoi tu veux parler.
Chris fait la mou, et étrangement la foule se met à huer la sept fois championne du monde féminine, qui semble, selon eux, esquiver le débat et les questions de Jericho.
Chris Jericho – Tu sais parfaitement de quoi je veux parler. A quoi est-ce que tu joues avec Andy Leavine depuis bientôt deux mois, huh ? Les choses ne sont pas claires dans cette affaire, et je parle au nom de tous ici en affirmant que l'on veut savoir la vérité. On veut savoir si oui ou non Andy a un traitement de faveur ici parce qu'il entretien des liens plus qu'étroit avec l'un des membres de la Corporation, even with you're very open by the way. On veut savoir si finalement ici aussi, on a le moyen d'obtenir un passe-droit si l'on a des relations privilégiées avec certaines personnes qui s'occupent de la direction de cette fédération. On veut savoir si finalement ici aussi, on se fait fister comme des juniors.
Trish Stratus – Ecoute, je ne sais pas ce qui t'amène à dire et à penser cela, mais il n'y a aucun traitement de faveur dans cette fédération, il n'y en a jamais eu et il n'y en aura jamais. Le seul passe droit que tu peux obtenir, il faut le mériter en ayant la bonne Attitude. Et actuellement, laisse-moi te dire que ton Attitude est loin d'être la bonne, Chris.
Chris Jericho – Mon Attitude n'est pas bonne, huh ? Mon Attitude n'est pas bonne parce que je ne suis pas politiquement correct, c'est ça ? Mon Attitude n'est pas la bonne parce que j'ose remettre en question l'intégrité de l'une des personnes les plus influentes de cette fédération ? Mon Attitude n'est pas la bonne parce que j'ose poser la question qui dérange et qui brûle toutes les lèvres ? Alors laisse-toi te dire quelque chose, miss Trish Stratus, mon Attitude se justifie par la seule et unique raison que je me dois de réagir en conséquences de tes actes. You wanna talk about Attitude ? So, let's talk about your Attitude with Andy Leavine. Parlons de ce petit jeu auquel lui et toi vous vous livré depuis presque deux mois, pensant que personne n'y ferait rien. Non, j'ai mieux. Les actes parlent beaucoup plus que des paroles, alors regardons un peu de quoi je veux parler à travers le Jeritron 5000. Roll the footage.
Jericho se tourne vers le Jeritron, tout comme Trish. Les fans, eux, peuvent regarder la vidéo sur le titantron. On y aperçoit d'abord Trish Stratus en lingerie à l'hôpital alors qu'Andy lui rendait visite. On y voit ensuite Trish chouchouter un Andy Leavine en fauteuil roulant. La vidéo se poursuit avec Andy qui vient sauver Trish d'une attaque de Kevin Thorn avant d'enchainer avec Trish qui vient, cette fois, sauver Andy d'une attaque de Kevin Thorn. La vidéo se poursuit encore avec l'altercation qu'a eu Trish avec la femme d'Andy Leavine à Ground Zero, avant de terminer sur la scène où Trish se trouvait avec le chemisier ouvert dans la loge d'Andy. La vidéo se coupe finalement, et Trish se lève soudainement, ulcérée.
Trish Stratus – What is this ?
Chris Jericho – Qu'est-ce que c'est ? C'est simplement une relation professionnelle qui devient personnelle au fil du temps. C'est simplement une vidéo qui dévoile enfin la vérité que tout le monde avait envie de dire. C'est simplement la vidéo qui montre qu'aujourd'hui, Andy Leavine dispose d'un traitement de faveur non seulement professionnellement parlant, mais également au niveau personnel. Et tu vois, Trish, je ne peux pas accepter cela pour deux raisons. Je ne peux pas accepter qu'un rookie dispose de plus de passe-droits qu'un vétéran comme moi juste parce qu'il se tape la patronne. Et deuxièmement, je ne peux pas accepter que les choses se reproduisent sans que j'intervienne.
Trish Stratus – Tu te trompes sur toute la ligne, Chris. Tout ceci n'est qu'un montage, il y a erreur, tu te trompes. Je n'entretiens rien de plus qu'une relation amicale avec Andy.
Chris Jericho – Oui, le même type de relation que tu entretenais avec Christian Cage il y a sept ans de cela. Ce qui m'énerve le plus, ce n'est pas qu'Andy ait eu la très bonne idée de grimper les échelons en t'utilisant, non. Ce qui m'énerve le plus c'est que même après sept ans, tu sois toujours la même femme perverse et avide d'homme qui n'hésite pas une seule seconde à faire souffrir les autres pour son simple intérêt personnel. You screw me seven years ago, Trish. Et tu fais exactement la même chose à cette pauvre femme qui est Lauren Leavine, l'actuelle femme d'Andy. Tu n'as aucune limite, tu n'hésites pas à briser des mariages, faire souffrir une mère de famille, et tout ça juste pour tes besoins et tes pulsions. Et je ne pourrais pas accepter que tu fasses souffrir cette pauvre femme comme tu m'as fais souffrir. Tu me dégoûtes Trish, vraiment.
Trish Stratus – Mais puisque je te dis que je n'entretiens aucune relation avec Andy Leavine autre que la relation amicale que j'ai avec l'un des lutteurs que j'ai formé.
Chris Jericho – Trish, would you, please, shut the hell up ?! You know what ? I'm tired of listening all of this crap. In fact, I'm tired of the filthy, dirty, disgusting, brutal, bottom-feeding trash bag whore that you are !
Trish a la bouche complètement ouverte,deepthroat time choquée par ce qu'elle vient d'entendre de la bouche de Chris Jericho. Les fans, eux, semblent prendre parti pour le Canadien qui défend la cause de cette pauvre Lauren Leavine et ils viennent d'offrir une très grosse réaction positive suite aux derniers mots de Jericho. Stratus, elle, dit à Chris que ce n'est pas juste, qu'elle n'a jamais couché avec Andy. Jericho n'en a que cure, il préfère quitter le ring, et on le retrouvera plus tard face à Christian Cage. Quel début de soirée, mes amis.
Si je te parle de Chris Jericho avec un talk-show, il est facile de comprendre que l'on va assister à la toute première édition du légendaire Highlight Reel ici, à l'Attitude Wrestling Corporation. Pour l'occasion, Y2J a même ressorti sa plus belle veste vintage venant tout droit des 90's. La foule, elle, réagit différemment, entre huées et acclamations, à l'image du personnage en fait. Le personnage, d'ailleurs, il vient de grimper sur le ring et s'est emparé d'un micro.
Chris Jericho – Welcome tooooo the Highlight Reel !
Cette fois, la réaction est unanimement positive. Comme quoi, les classiques, quand tu es fan de lutte, ce sont les mêmes.
Chris Jericho – Toujours présent, toujours aussi légendaire, toujours autant divertissant, toujours aussi populaire, toujours aussi excitant, et toujours présenté par le King of Bling-Bling, The Ayatollah of Rock'N'Rolla, Chris Jericho ! Ce soir, je voulais marquer un grand coup. Ce soir, je me devais de me présenter sur ce ring, car j'ai beaucoup de questions qui sont encore sans réponses. Et je me suis dis : "Hey Chris, pourquoi ne pas rendre ça intéressant ?", et voilà que le plus grand talk-show de l'histoire du pro wrestling est de retour sur les ring de l'Attitude Wrestling Corporation. Et toutes les questions que j'ai, j'ai envie de les poser à une seule et unique personne. Une personne qui ne laisse pas indifférent, que l'on soit un homme ou une femme. Une personne qui a du caractère, de la personnalité, de magnifiques atouts à mettre en valeur, et une autorité certaine au sein de cette fédération. Ladies and gentleman, let me introduce to you my guest at this time... The legendary Trish Stratus !
Inutile d'expliquer le phénomène qui suit et qui se résume à une très grosse ovation de la part des fans de l'AWC présents ce soir à Tulsa, dans l'Oklahoma. La musique de Trish ne met pas bien longtemps à se faire entendre.
Avoir la classe et être sexy en même temps, il n'y a que Trish qui peut le faire dans cette fédération. Celle qui incarne la touche féminine de la Corporation apparait sourire aux lèvres et rejoint le ring après avoir prit le soin de taper dans quelques mains de fans masculins au premier rang. Elle répond d'ailleurs positivement à l'invitation de Chris pour s'asseoir sur une des chaises.
Trish Stratus – Merci pour l'invitation, Chris.
Chris Jericho – Crois-moi Trish, tout le plaisir est pour moi, vraiment. Je ne pouvais espérer meilleur invité pour le grand retour de l'Highlight Reel sur les écrans. Tu es la candidate idéal pour obtenir une édition pimentée, avec des révélations, de la controverse, de l'intensité et du glamour, of course. Alors, permet-moi de ne pas perdre d'avantage de temps et de te poser la toute première question. Why ?
Trish Stratus – Pourquoi quoi ?
Chris Jericho – Trish, please, ne jouons pas à ce petit jeu. Je sais très bien que tu sais de quoi je veux parler. Tu sais très bien de quoi je veux parler. Les fans dans l'arena ici savent très bien de quoi je veux te parler. Et même les téléspectateurs savent de quoi je veux parler. Pourquoi Andy ?
Trish Stratus – Je ne vois pas de quoi tu veux parler.
Chris fait la mou, et étrangement la foule se met à huer la sept fois championne du monde féminine, qui semble, selon eux, esquiver le débat et les questions de Jericho.
Chris Jericho – Tu sais parfaitement de quoi je veux parler. A quoi est-ce que tu joues avec Andy Leavine depuis bientôt deux mois, huh ? Les choses ne sont pas claires dans cette affaire, et je parle au nom de tous ici en affirmant que l'on veut savoir la vérité. On veut savoir si oui ou non Andy a un traitement de faveur ici parce qu'il entretien des liens plus qu'étroit avec l'un des membres de la Corporation, even with you're very open by the way. On veut savoir si finalement ici aussi, on a le moyen d'obtenir un passe-droit si l'on a des relations privilégiées avec certaines personnes qui s'occupent de la direction de cette fédération. On veut savoir si finalement ici aussi, on se fait fister comme des juniors.
Trish Stratus – Ecoute, je ne sais pas ce qui t'amène à dire et à penser cela, mais il n'y a aucun traitement de faveur dans cette fédération, il n'y en a jamais eu et il n'y en aura jamais. Le seul passe droit que tu peux obtenir, il faut le mériter en ayant la bonne Attitude. Et actuellement, laisse-moi te dire que ton Attitude est loin d'être la bonne, Chris.
Chris Jericho – Mon Attitude n'est pas bonne, huh ? Mon Attitude n'est pas bonne parce que je ne suis pas politiquement correct, c'est ça ? Mon Attitude n'est pas la bonne parce que j'ose remettre en question l'intégrité de l'une des personnes les plus influentes de cette fédération ? Mon Attitude n'est pas la bonne parce que j'ose poser la question qui dérange et qui brûle toutes les lèvres ? Alors laisse-toi te dire quelque chose, miss Trish Stratus, mon Attitude se justifie par la seule et unique raison que je me dois de réagir en conséquences de tes actes. You wanna talk about Attitude ? So, let's talk about your Attitude with Andy Leavine. Parlons de ce petit jeu auquel lui et toi vous vous livré depuis presque deux mois, pensant que personne n'y ferait rien. Non, j'ai mieux. Les actes parlent beaucoup plus que des paroles, alors regardons un peu de quoi je veux parler à travers le Jeritron 5000. Roll the footage.
Jericho se tourne vers le Jeritron, tout comme Trish. Les fans, eux, peuvent regarder la vidéo sur le titantron. On y aperçoit d'abord Trish Stratus en lingerie à l'hôpital alors qu'Andy lui rendait visite. On y voit ensuite Trish chouchouter un Andy Leavine en fauteuil roulant. La vidéo se poursuit avec Andy qui vient sauver Trish d'une attaque de Kevin Thorn avant d'enchainer avec Trish qui vient, cette fois, sauver Andy d'une attaque de Kevin Thorn. La vidéo se poursuit encore avec l'altercation qu'a eu Trish avec la femme d'Andy Leavine à Ground Zero, avant de terminer sur la scène où Trish se trouvait avec le chemisier ouvert dans la loge d'Andy. La vidéo se coupe finalement, et Trish se lève soudainement, ulcérée.
Trish Stratus – What is this ?
Chris Jericho – Qu'est-ce que c'est ? C'est simplement une relation professionnelle qui devient personnelle au fil du temps. C'est simplement une vidéo qui dévoile enfin la vérité que tout le monde avait envie de dire. C'est simplement la vidéo qui montre qu'aujourd'hui, Andy Leavine dispose d'un traitement de faveur non seulement professionnellement parlant, mais également au niveau personnel. Et tu vois, Trish, je ne peux pas accepter cela pour deux raisons. Je ne peux pas accepter qu'un rookie dispose de plus de passe-droits qu'un vétéran comme moi juste parce qu'il se tape la patronne. Et deuxièmement, je ne peux pas accepter que les choses se reproduisent sans que j'intervienne.
Trish Stratus – Tu te trompes sur toute la ligne, Chris. Tout ceci n'est qu'un montage, il y a erreur, tu te trompes. Je n'entretiens rien de plus qu'une relation amicale avec Andy.
Chris Jericho – Oui, le même type de relation que tu entretenais avec Christian Cage il y a sept ans de cela. Ce qui m'énerve le plus, ce n'est pas qu'Andy ait eu la très bonne idée de grimper les échelons en t'utilisant, non. Ce qui m'énerve le plus c'est que même après sept ans, tu sois toujours la même femme perverse et avide d'homme qui n'hésite pas une seule seconde à faire souffrir les autres pour son simple intérêt personnel. You screw me seven years ago, Trish. Et tu fais exactement la même chose à cette pauvre femme qui est Lauren Leavine, l'actuelle femme d'Andy. Tu n'as aucune limite, tu n'hésites pas à briser des mariages, faire souffrir une mère de famille, et tout ça juste pour tes besoins et tes pulsions. Et je ne pourrais pas accepter que tu fasses souffrir cette pauvre femme comme tu m'as fais souffrir. Tu me dégoûtes Trish, vraiment.
Trish Stratus – Mais puisque je te dis que je n'entretiens aucune relation avec Andy Leavine autre que la relation amicale que j'ai avec l'un des lutteurs que j'ai formé.
Chris Jericho – Trish, would you, please, shut the hell up ?! You know what ? I'm tired of listening all of this crap. In fact, I'm tired of the filthy, dirty, disgusting, brutal, bottom-feeding trash bag whore that you are !
Trish a la bouche complètement ouverte,
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Re: Attitude #11.
Booker T – Here we go for tag team action.
Bill DeMott – J'espère qu'ils vont offrir un beau spectacle parce que sérieusement, on a pas eu grand chose à se mettre sous la dent pour le moment.
Booker T – Ces gars là savent se battre, c'est sur.
Bill DeMott – Des étrangers, des étrangers et encore des étrangers, c'est un beau bordel. En tout cas, moi tant qu'ils se foutent dessus je suis comblé.
Booker T – Ces deux là se connaissent très bien, décidement ce tag team promet de belles choses.
Bill DeMott – Faut pas oublier qu'ils restent sur une rivalité dans le passé, et personne ne sait si la pilule est digerée.
» FIGHT ! «
Le match va se lancer de part et d'autres, on semble déterminer qui va débuter le combat. Sabian prend rapidement les devants pendant que du côté de Truth et Morrison, les premières tensions apparaissent. Morrison veut débuter mais Truth ne l'entend pas cette oreille et c'est finalement Sabian qui choisit son adversaire en cognant Truth ce qui oblige l'arbitre à sonner la cloche pour débuter le match. Truth qui n'a toujours pas compris ce qui lui arrivait, voir les droites et les gauches pleuvoir, il a le temps de respirer en se faisant propulser par dessus les épaules de Sabian. Ce dernier renvoie le pauvre R-Truth dans son coin avant d'effectuer le changement avec son partenaire. Homicide part pour une série de middle kicks dans l'abdomen de Truth et tente d'enchainer avec une corde à linge à la volée mais Truth parvient à esquiver et effectue le changement tant bien que mal avec Morrison. Ce dernier est chaud bouillant, il entre dans le ring et contre les deux tentatives de droites de la part d'Homicide avant d'enchainer avec un superbe Dropkick qui cloue au sol, Homicide.
Booker T – C'est de la folie, il ne peut pas faire ça.
Bill DeMott – De la folie ? Voilà ce qui manque à ce match.
Morrison monte à présent sur la troisième corde pour tenter une prise aérienne mais Sabian s'appuie sur les cordes et fait perdre l'équilibre à Morrison. Homicide se relève rapidement et porte un Superplex, les deux lutteurs sont à présent au sol. Chacun tente de rejoindre son camp respectif et de faire le changement et c'est Homicide qui y parvient le premier, Sabian parvient même à empecher Morrison de faire le tag. Il tente un Cobra Clutch au centre du ring mais la prise n'est pas d'une énorme puissance ce qui permet à R-Truth de se dégager. Ce dernier profite de ce régain de confiance pour tenter son Lie Detector mais il est contré par Sabian qui porte une Suplex avant d'enchainer avec le tombé mais c'est brisé par Morrison. Sabian se relève et s'en prend à présent au Shaman Of Sex mais l'arbitre tente de le séparer. Homicide profite du moment d'égarement pour porter son Da Cop Killa sur Truth qui est encore groogy. Sabian revient à la charge et se débarasse de Morrison. Homicide l'interpelle et lui dit de faire le tombé pour la victoire, sans que l'arbitre n'ait pu se rendre compte de la supercherie.
Booker T – Homicide et Sabian ont faire preuve d'une grande ruse ce soir pour remporter le match.
Bill DeMott – Il a surtout le culot de fêter une victoire volée !
Bill DeMott – J'espère qu'ils vont offrir un beau spectacle parce que sérieusement, on a pas eu grand chose à se mettre sous la dent pour le moment.
Booker T – Ces gars là savent se battre, c'est sur.
Bill DeMott – Des étrangers, des étrangers et encore des étrangers, c'est un beau bordel. En tout cas, moi tant qu'ils se foutent dessus je suis comblé.
Booker T – Ces deux là se connaissent très bien, décidement ce tag team promet de belles choses.
Bill DeMott – Faut pas oublier qu'ils restent sur une rivalité dans le passé, et personne ne sait si la pilule est digerée.
» FIGHT ! «
Le match va se lancer de part et d'autres, on semble déterminer qui va débuter le combat. Sabian prend rapidement les devants pendant que du côté de Truth et Morrison, les premières tensions apparaissent. Morrison veut débuter mais Truth ne l'entend pas cette oreille et c'est finalement Sabian qui choisit son adversaire en cognant Truth ce qui oblige l'arbitre à sonner la cloche pour débuter le match. Truth qui n'a toujours pas compris ce qui lui arrivait, voir les droites et les gauches pleuvoir, il a le temps de respirer en se faisant propulser par dessus les épaules de Sabian. Ce dernier renvoie le pauvre R-Truth dans son coin avant d'effectuer le changement avec son partenaire. Homicide part pour une série de middle kicks dans l'abdomen de Truth et tente d'enchainer avec une corde à linge à la volée mais Truth parvient à esquiver et effectue le changement tant bien que mal avec Morrison. Ce dernier est chaud bouillant, il entre dans le ring et contre les deux tentatives de droites de la part d'Homicide avant d'enchainer avec un superbe Dropkick qui cloue au sol, Homicide.
Booker T – C'est de la folie, il ne peut pas faire ça.
Bill DeMott – De la folie ? Voilà ce qui manque à ce match.
Morrison monte à présent sur la troisième corde pour tenter une prise aérienne mais Sabian s'appuie sur les cordes et fait perdre l'équilibre à Morrison. Homicide se relève rapidement et porte un Superplex, les deux lutteurs sont à présent au sol. Chacun tente de rejoindre son camp respectif et de faire le changement et c'est Homicide qui y parvient le premier, Sabian parvient même à empecher Morrison de faire le tag. Il tente un Cobra Clutch au centre du ring mais la prise n'est pas d'une énorme puissance ce qui permet à R-Truth de se dégager. Ce dernier profite de ce régain de confiance pour tenter son Lie Detector mais il est contré par Sabian qui porte une Suplex avant d'enchainer avec le tombé mais c'est brisé par Morrison. Sabian se relève et s'en prend à présent au Shaman Of Sex mais l'arbitre tente de le séparer. Homicide profite du moment d'égarement pour porter son Da Cop Killa sur Truth qui est encore groogy. Sabian revient à la charge et se débarasse de Morrison. Homicide l'interpelle et lui dit de faire le tombé pour la victoire, sans que l'arbitre n'ait pu se rendre compte de la supercherie.
Booker T – Homicide et Sabian ont faire preuve d'une grande ruse ce soir pour remporter le match.
Bill DeMott – Il a surtout le culot de fêter une victoire volée !
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Re: Attitude #11.
A peine le premier match se termine-t-il que nous faisons notre premier détour par l'arrière-scène. Nous y retrouvons d'ailleurs le plus grand enquêteur de l'histoire depuis l'inspecteur Derrick, Mister Anderson. Ce dernier avance dans le couloir en lisant son carnet de note.
Mister Anderson – ... N'était pas à Ground Zero. Stone Cold Steve Austin : Arbitre, il était sur le ring. Bill DeMott : Aux commentaires. Booker T : Aux commentaires. Trish Stratus : Avec Andy Leavine. Andy Leavine : Avec Trish Stratus. Claudio Castagnoli : Innocenté. Wade Barrett : Suspect et coupable jusqu'à preuve du contr-...
??? – Mister Anderson ?
Kenneth lève la tête et aperçoit une jeune femme, micro en main, s'approcher de lui. Kenneth regarde en face de lui et aperçoit une autre caméra, il ne comprend pas bien.
Mister Anderson – Pourquoi il me filme, lui ?
Miss Hemme – Bonjour, je me présente je suis reporter pour un journal local, Miss Hemme enchantée. Celui qui vous filme, c'est Franck, le caméraman. J'ai réussi à m'infiltrer ici sans me faire remarquer et j'aimerais avoir le privilège de vous interviewer afin d'avoir une exclusivité sur l'édition de notre journal de demain. Nous voudrions avoir la grande exclusivité mondiale sur l'avancée de votre enquête.
Mister Anderson – On s'est pas déjà croisé quelque part ? Tu me rappelles vaguement quelqu'un.
Miss Hemme – J'ai une soeur jumelle, Christy Hemme, elle est intervieweuse à Impact Wrestling.
Mister Anderson – Un jolie brin de fille. Bon, je peux faire une exception, mais tu peux remercier ta jumelle. Suis-moi, j'ai quelqu'un à interroger, de toute façon.
Kenneth presse le pas, ayant aperçu un homme qu'il n'a pas encore interrogé. Finalement, il arrive à le rattraper et se met face à lui, sous le regard de la jumelle de Christy Hemme.
Mister Anderson – J'ai quelques questions à te poser, Kozlov.
Vladimir Kozlov – Pas possible, Vladimir combat dans quelques secondes.
Mister Anderson – Raison de plus pour que tu répondes rapidement alors. Où étais-tu le soir de Ground Zero, lors de l'attentat à la voiture piégée ?
Vladimir Kozlov – Vladimir oublier.
Mister Anderson – Tu as oublié ? Très bien, je note ça dans mon petit carnet. Et tu n'aurais personne qui pourrait t'aider à te rappeler où tu étais ce soir là ? Ton grand ami là, l'Italien, Marella, il pourrait pas nous dire où tu te trouvais ?
Vladimir Kozlov – Santino faire bunga-bunga avec Beth Phoenix. Santino pas avec Vladimir.
Anderson se gratte la tête et note tout cela dans son carnet avant de reprendre en se tournant vers la reporter pour le journal local, et accessoirement soeur jumelle de Christy Hemme.
Mister Anderson – You see sweetheart, voilà exactement le cas d'une personne qui n'a aucun alibi et qui n'a personne pour l'innocenter. Il est donc de mon devoir de mettre cette personne tout en haut de ma liste de suspect. Mon enquête avance, et tu as une exclusivité pour ton journal de demain.
Miss Hemme – C'est génial, merci beaucoup !
Vladimir Kozlov – Vladimir pas alibi parce que Vladimir trop mal à la tête. Vladimir boire trop de vodka soir. Vladimir trop bu à Ground Zero.
Mister Anderson – Dis plutôt que tu fais semblant de ne plus rien savoir pour le bien de ta mission. Je ne suis pas dupe, Kozlov. Tu es Russe, et tu as été entrainé au sambo, l'art-martial préféré des membres du KGB. Qu'est-ce qui me dis que tu n'es pas un espion soviétique à la solde de Vladimir Poutine qui est parmi-nous pour récupérer des informations confidentielles ? Qu'est-ce qui me dit que tu n'es pas ici pour préparer une nouvelle guerre froide ? Qu'est-ce qui me dit que tu n'es pas le coupable de l'attentat ? Rien, rien, rien et rien ! Tu es un putain de suspect dans mon affaire. Et tu peux être sûr que j'vais te coller comme du chewing-gum à une chaussure, et je ne manquerai pas d'avertir au plus vite le Pentagone d'une probable menace venant des Soviètes.
Kenneth a été clair, mais cela ne plait pas le moins du monde à Vladimir Kozlov qui attrape Anderson par le col avec violence.
Vladimir Kozlov – Russes innocents et Vladimir aussi. Si toi accuser nous et faire du mal à nous, moi casser toi en deux.
Mister Anderson – Je t'en prie, essaie et je t'arrête immédiatement pour outrage à agent fédéral en service. Et si tu ne me lâches pas immédiatement, j'ajouterai outrage à une enquête fédérale et terrorisme sur ton casier. Une belle brochette d'accusations qui pourrait te faire passer directement par la case chaise électrique, tu ne crois pas ?
Les méthodes de Ken Anderson sont loin d'être conventionnelles, mais tant pis. Kozlov se ravise et lâche Anderson avant de partir, très énervé. Il a déjà du retard pour son match, en plus. Anderson, lui, se tourne vers l'intervieweuse.
Mister Anderson – Tu as ton exclusivité, honey.
Miss Hemme – Merci mille fois, vraiment. Ça va faire la une du journal de demain, et je vais très certainement avoir une promotion, vraiment merci, merci, merci.
Mister Anderson – Au plaisir de te revoir, sweetheart. Et quand tu verras ta soeur, passe-lui le bonjour de la part de Mister Anderson...
Elles crient toutes son nom.
Mister Anderson – ANDERSON.
Et Mister Anderson disparait dans le couloir, sous le regard tout émoustillé de la soeur jumelle de Christy Hemme qui, en plus d'avoir rencontré le grand Kenneth, va faire la une du journal de demain avec son article.
Mister Anderson – ... N'était pas à Ground Zero. Stone Cold Steve Austin : Arbitre, il était sur le ring. Bill DeMott : Aux commentaires. Booker T : Aux commentaires. Trish Stratus : Avec Andy Leavine. Andy Leavine : Avec Trish Stratus. Claudio Castagnoli : Innocenté. Wade Barrett : Suspect et coupable jusqu'à preuve du contr-...
??? – Mister Anderson ?
Kenneth lève la tête et aperçoit une jeune femme, micro en main, s'approcher de lui. Kenneth regarde en face de lui et aperçoit une autre caméra, il ne comprend pas bien.
Mister Anderson – Pourquoi il me filme, lui ?
Miss Hemme – Bonjour, je me présente je suis reporter pour un journal local, Miss Hemme enchantée. Celui qui vous filme, c'est Franck, le caméraman. J'ai réussi à m'infiltrer ici sans me faire remarquer et j'aimerais avoir le privilège de vous interviewer afin d'avoir une exclusivité sur l'édition de notre journal de demain. Nous voudrions avoir la grande exclusivité mondiale sur l'avancée de votre enquête.
Mister Anderson – On s'est pas déjà croisé quelque part ? Tu me rappelles vaguement quelqu'un.
Miss Hemme – J'ai une soeur jumelle, Christy Hemme, elle est intervieweuse à Impact Wrestling.
Mister Anderson – Un jolie brin de fille. Bon, je peux faire une exception, mais tu peux remercier ta jumelle. Suis-moi, j'ai quelqu'un à interroger, de toute façon.
Kenneth presse le pas, ayant aperçu un homme qu'il n'a pas encore interrogé. Finalement, il arrive à le rattraper et se met face à lui, sous le regard de la jumelle de Christy Hemme.
Mister Anderson – J'ai quelques questions à te poser, Kozlov.
Vladimir Kozlov – Pas possible, Vladimir combat dans quelques secondes.
Mister Anderson – Raison de plus pour que tu répondes rapidement alors. Où étais-tu le soir de Ground Zero, lors de l'attentat à la voiture piégée ?
Vladimir Kozlov – Vladimir oublier.
Mister Anderson – Tu as oublié ? Très bien, je note ça dans mon petit carnet. Et tu n'aurais personne qui pourrait t'aider à te rappeler où tu étais ce soir là ? Ton grand ami là, l'Italien, Marella, il pourrait pas nous dire où tu te trouvais ?
Vladimir Kozlov – Santino faire bunga-bunga avec Beth Phoenix. Santino pas avec Vladimir.
Anderson se gratte la tête et note tout cela dans son carnet avant de reprendre en se tournant vers la reporter pour le journal local, et accessoirement soeur jumelle de Christy Hemme.
Mister Anderson – You see sweetheart, voilà exactement le cas d'une personne qui n'a aucun alibi et qui n'a personne pour l'innocenter. Il est donc de mon devoir de mettre cette personne tout en haut de ma liste de suspect. Mon enquête avance, et tu as une exclusivité pour ton journal de demain.
Miss Hemme – C'est génial, merci beaucoup !
Vladimir Kozlov – Vladimir pas alibi parce que Vladimir trop mal à la tête. Vladimir boire trop de vodka soir. Vladimir trop bu à Ground Zero.
Mister Anderson – Dis plutôt que tu fais semblant de ne plus rien savoir pour le bien de ta mission. Je ne suis pas dupe, Kozlov. Tu es Russe, et tu as été entrainé au sambo, l'art-martial préféré des membres du KGB. Qu'est-ce qui me dis que tu n'es pas un espion soviétique à la solde de Vladimir Poutine qui est parmi-nous pour récupérer des informations confidentielles ? Qu'est-ce qui me dit que tu n'es pas ici pour préparer une nouvelle guerre froide ? Qu'est-ce qui me dit que tu n'es pas le coupable de l'attentat ? Rien, rien, rien et rien ! Tu es un putain de suspect dans mon affaire. Et tu peux être sûr que j'vais te coller comme du chewing-gum à une chaussure, et je ne manquerai pas d'avertir au plus vite le Pentagone d'une probable menace venant des Soviètes.
Kenneth a été clair, mais cela ne plait pas le moins du monde à Vladimir Kozlov qui attrape Anderson par le col avec violence.
Vladimir Kozlov – Russes innocents et Vladimir aussi. Si toi accuser nous et faire du mal à nous, moi casser toi en deux.
Mister Anderson – Je t'en prie, essaie et je t'arrête immédiatement pour outrage à agent fédéral en service. Et si tu ne me lâches pas immédiatement, j'ajouterai outrage à une enquête fédérale et terrorisme sur ton casier. Une belle brochette d'accusations qui pourrait te faire passer directement par la case chaise électrique, tu ne crois pas ?
Les méthodes de Ken Anderson sont loin d'être conventionnelles, mais tant pis. Kozlov se ravise et lâche Anderson avant de partir, très énervé. Il a déjà du retard pour son match, en plus. Anderson, lui, se tourne vers l'intervieweuse.
Mister Anderson – Tu as ton exclusivité, honey.
Miss Hemme – Merci mille fois, vraiment. Ça va faire la une du journal de demain, et je vais très certainement avoir une promotion, vraiment merci, merci, merci.
Mister Anderson – Au plaisir de te revoir, sweetheart. Et quand tu verras ta soeur, passe-lui le bonjour de la part de Mister Anderson...
Elles crient toutes son nom.
Mister Anderson – ANDERSON.
Et Mister Anderson disparait dans le couloir, sous le regard tout émoustillé de la soeur jumelle de Christy Hemme qui, en plus d'avoir rencontré le grand Kenneth, va faire la une du journal de demain avec son article.
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Re: Attitude #11.
Booker T – Alors que Vladimir Kozlov est en train de faire son entrée, merci d'accueillir à notre table un certain KENTA.
KENTA – Messieurs, bonsoir.
Bill DeMott – Dans un instant, nous commenterons aux côtés de Kenta Kobayashi la prochaine rencontre de ce soir, un match entre Vladimir Kozlov et Santino Marella. KENTA, comment allez-vous mon jeune ami ?
KENTA – Je vais bien, merci.
Bill DeMott – Toujours aussi timide nos amis les nippons, cela peut être une qualité dans certains cas. Je parle bien entendu de Santino Marella qui a tendance à beaucoup l'ouvrir et à beaucoup se moquer de vos traditions depuis que vous êtes ici. Comment vivez-vous la situation ?
KENTA – Je la vis très bien, ne vous en faîtes pas.
Santino Marella – Mesdames et messieurs le public, je viens de remarquer que nous avons l'immense privilège ce soir d'avoir avec nous le grand, l'unique, le jaune, la face de canard laqué, le "chintok", KENTAAAA ! J'en profite d'ailleurs pour tester votre culture général avec cette question... Quelle est la seule radio que capte les japonais ?
Booker T – Come on !
Santino Marella – La radio-activité !
Booker T – Seriously, KENTA ! Comment est-ce que tu fais pour garder ce sang-froid semaines après semaines sans avoir envie de monter dans ce ring, baffer la tête de ce clown et de lui donner une leçon bien méritée ?
KENTA – J'ai reçu une bonne éducation traditionnelle. Chez nous, nous faisons avant tout preuve de respect, de dignité et d'honneur. Nous apprenons à garder notre sang-froid, quelque soit la situation ou le cas de figure. Je ne suis pas blessé par les attaques de Santino, j'en suis juste triste pour lui.
» FIGHT ! «
Santino Marella propose une épreuve de force à son adversaire. Vladmir Kozlov préfère en sourire et accepte le challenge. Le russe domine facilement les débats et le match commence avec des coups de poings de la part du russe, dans l'abdomen, dans les gencives, dans le plexus, c'est un véritable passage à tabac. Santino Marella répond avec le Combo punches, suivi d'un roll-up pour le compte de deux seulement. Vladimir Kozlov répond avec un Iron Curtain - Kneeling leg trap chokelift spinebuster, mais seulement pour le compte de deux. Le match continue quelques minutes dans un n'importe quoi le plus complet. Santino Marella parvient à placer le Cobra - Right-handed thrust to an opponent's throat pour le compte de trois et la victoire, victoire surprise.
KENTA – Merci messieurs pour l'invitation, je vous souhaite une bonne soirée.
Santino Marella prend un micro.
Santino Marella – Mes vacances au Japon sont tombées à l'eau ! Au Japon, il ne reste ni routes, nippon ! Le tsunami au Japon ? J'en ai vaguement entendu parler !
Bien que Santino Marella soit en train de dépasser les limites, Kenta Kobayashi garde son calme. Un temps d'arrêt nous donne l'impression qu'il va enfin faire quelque chose, mais non. Il se ravise, continue sa marche et rentre en coulisses.
Booker T – Santino Marella is pathetic !
KENTA – Messieurs, bonsoir.
Bill DeMott – Dans un instant, nous commenterons aux côtés de Kenta Kobayashi la prochaine rencontre de ce soir, un match entre Vladimir Kozlov et Santino Marella. KENTA, comment allez-vous mon jeune ami ?
KENTA – Je vais bien, merci.
Bill DeMott – Toujours aussi timide nos amis les nippons, cela peut être une qualité dans certains cas. Je parle bien entendu de Santino Marella qui a tendance à beaucoup l'ouvrir et à beaucoup se moquer de vos traditions depuis que vous êtes ici. Comment vivez-vous la situation ?
KENTA – Je la vis très bien, ne vous en faîtes pas.
Santino Marella – Mesdames et messieurs le public, je viens de remarquer que nous avons l'immense privilège ce soir d'avoir avec nous le grand, l'unique, le jaune, la face de canard laqué, le "chintok", KENTAAAA ! J'en profite d'ailleurs pour tester votre culture général avec cette question... Quelle est la seule radio que capte les japonais ?
Booker T – Come on !
Santino Marella – La radio-activité !
Booker T – Seriously, KENTA ! Comment est-ce que tu fais pour garder ce sang-froid semaines après semaines sans avoir envie de monter dans ce ring, baffer la tête de ce clown et de lui donner une leçon bien méritée ?
KENTA – J'ai reçu une bonne éducation traditionnelle. Chez nous, nous faisons avant tout preuve de respect, de dignité et d'honneur. Nous apprenons à garder notre sang-froid, quelque soit la situation ou le cas de figure. Je ne suis pas blessé par les attaques de Santino, j'en suis juste triste pour lui.
» FIGHT ! «
Santino Marella propose une épreuve de force à son adversaire. Vladmir Kozlov préfère en sourire et accepte le challenge. Le russe domine facilement les débats et le match commence avec des coups de poings de la part du russe, dans l'abdomen, dans les gencives, dans le plexus, c'est un véritable passage à tabac. Santino Marella répond avec le Combo punches, suivi d'un roll-up pour le compte de deux seulement. Vladimir Kozlov répond avec un Iron Curtain - Kneeling leg trap chokelift spinebuster, mais seulement pour le compte de deux. Le match continue quelques minutes dans un n'importe quoi le plus complet. Santino Marella parvient à placer le Cobra - Right-handed thrust to an opponent's throat pour le compte de trois et la victoire, victoire surprise.
KENTA – Merci messieurs pour l'invitation, je vous souhaite une bonne soirée.
Santino Marella prend un micro.
Santino Marella – Mes vacances au Japon sont tombées à l'eau ! Au Japon, il ne reste ni routes, nippon ! Le tsunami au Japon ? J'en ai vaguement entendu parler !
Bien que Santino Marella soit en train de dépasser les limites, Kenta Kobayashi garde son calme. Un temps d'arrêt nous donne l'impression qu'il va enfin faire quelque chose, mais non. Il se ravise, continue sa marche et rentre en coulisses.
Booker T – Santino Marella is pathetic !
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Attitude : 3:16
Re: Attitude #11.
Le match entre les anciens coéquipiers Santino Marella et Vladimir Kozlov vient de se finir. Et maintenant, c'est l'instant avec un grand I du show. Le documentaire sur les langoustines peut aller se faire foutre, le segment de presque crucifixion de Austin peut aller se faire foutre, et tout le reste aussi ! Ce soir c'est un retour, LE retour. Le Rock ? Abdallah Tarver ? John Cena ? Killiom ? Non. Ce soir c'est le retour de...
Studley Dudley - Well... Well... Well... Did I miss you ? I'm sure I did. BUT YOU DIDN'T MISS ME ! I was on an hospital bed, with three pairs of titties takin' care of me. I fucked a nurse, two nurses, three nurses, four nurses, I fucked all the hospital's nurses ! Of course you know my name, I'm Studley, I make you scream, I make you cum, I make you dream and I take you in a threesome, Dudley.
Réactions mitigés, si certains hommes éclatent de rire, la plupart des femmes se sentent offusqués, alors que d'autres rougissent et que leur main se dirige vers leur culo... N'en disons pas plus. Studley, suivi de Bubba Ray, Devon et Sign Guy, apparaissent en haut de la rampe. Ils la descendent, plutôt acclamés par la foule, mais ils n'en ont rien à foutre. Les champions glissent sous la première corde, Studley prend l'escalier et Sign Guy reste en ringside où il exhibe sa pancarte "Dudleys > Rectum".
Studley Dudley - I am here to introduce you... Aw shit, I'm not gonna do that, you all know the names of Bubba Ray and Devon. You all know that they are the best damn fuckin' tag team in the world. THEY ARE THE AWC TAG TEAM CHAMPIONS, THE MOST POWERFUL FAMILY IN WRESTLING WORLD... THE DUDLEY BOOOYYYS !
Grosse pop, en un rien de temps, les Dudleys sont revenus du côté de la lumière aux yeux des fans, malgré que leur comportement n'ai en rien changé. Bubba prend maintenant la parole.
Bubba Ray - Depuis une semaine, toute une bande d'enfoirés de journalistes nous font chier. "Pourquoi avoir fait ça à Triple H ?" "Est ce le début d'une nouvelle guerre ?" "Est ce que vous allez recommencer ?" Devon sait très bien immiter cette bande de suceurs.
Devon - Gna gna gna, SHUT UP !
Bubba Ray - Ce qu'on a fait la semaine dernière, ce n'était pas particulièrement pour Triple H. S'il en a prit plein la gueule, c'est pour la simple et unique raison qu'il était au mauvais endroit au mauvais moment. Ce qu'on a fait, s'est passer notre haine, notre rage à l'encontre des Colons... Sur Triple H. En d'autres mots, Hunter... Nothing personal, it's just business.
Elle colle peut être pas parfaitement au truc, mais j'étais obligé de placer cette réplique.
Bubba Ray - On ne va pas s'excuser envers Triple H, parce qu'on est pas des putains de pleureuses, mais on est pas de si gros fils de pute. Au fond, on est des mecs juste. Et ça, on le prouvera plus tard ce soir. Qu'est ce qu'on va faire ? Restez bien sages, fermez vos putains de gueules, et vous le saurez.
Devon - Testify.
Bubba Ray - Mais maintenant, parlons de choses un peu plus sérieuses. CARLITO COLON ! You and all your bastard family are pissing me and my family off ! Things have been going too far. Vous vous êtes attaqué à un membre de notre famille, et vous vous souvenez de ce qui est arrivé aux derniers qui ont fait ça ? Gregory Helms et Bryan Danielson ont touché à notre cousine, et ils se sont fait péter la gueule. But you ! You put your hands on our little brother ! You put your hands on a man that never attacked you ! Je sais pas c'qu'on vous a fait pour mériter cette attaque à Ground Zero, je pense qu'en fait vous êtes juste des putes et c'était le seul moment où on était vulnérable. Je pense que vous êtes des enfoirés, mais voilà ce que je vous propose...
Cette phrase que tu lis est juste là pour meubler, cherche pas.
Bubba Ray - Réglons ça à la loyale, réglons ça comme il le faut, dans un match cinq contre cinq. Ta putain de famille de fils de putes contre la famille la plus dominante de ce monde. Tu te demandes qui est ce qu'on va faire lutter, hein ? Ladies and gentlemen, let me introduce to you DANCES WITH DUDLEY !
Dances With arrive, c'est surement pas le plus impressionnant physiquement des Dudleys Boys, mais il est fou comme personne ce fils de pute.
Dances With Dudley - One little, two little, three little Indians.
Four little, five little, six little Indians.
Seven little, eight little, nine little Indians.
Ten little Indian boys.
Bubba Ray - Bon, ce connard ne sait que chanter cette chanson en anglais, sinon il ne parle qu'espagnol, mais c'est pas le plus important. Le plus important c'est ce défi, les Colons. Ce défi qu'on vient de vous lancer. Alors soit vous êtes ce que je pense que vous êtes, des lâches, des petits qui veulent jouer dans la cours des grands, et vous vous défilez... Soit vous êtes des hommes, et vous accepter de prendre la plus grosse raclée de votre vie, à Stainless Steel, contre les Dudleys !
Moi je trouve que ça manque d'un Testify tout ça.
Studley Dudley - Well... Well... Well... Did I miss you ? I'm sure I did. BUT YOU DIDN'T MISS ME ! I was on an hospital bed, with three pairs of titties takin' care of me. I fucked a nurse, two nurses, three nurses, four nurses, I fucked all the hospital's nurses ! Of course you know my name, I'm Studley, I make you scream, I make you cum, I make you dream and I take you in a threesome, Dudley.
Réactions mitigés, si certains hommes éclatent de rire, la plupart des femmes se sentent offusqués, alors que d'autres rougissent et que leur main se dirige vers leur culo... N'en disons pas plus. Studley, suivi de Bubba Ray, Devon et Sign Guy, apparaissent en haut de la rampe. Ils la descendent, plutôt acclamés par la foule, mais ils n'en ont rien à foutre. Les champions glissent sous la première corde, Studley prend l'escalier et Sign Guy reste en ringside où il exhibe sa pancarte "Dudleys > Rectum".
Studley Dudley - I am here to introduce you... Aw shit, I'm not gonna do that, you all know the names of Bubba Ray and Devon. You all know that they are the best damn fuckin' tag team in the world. THEY ARE THE AWC TAG TEAM CHAMPIONS, THE MOST POWERFUL FAMILY IN WRESTLING WORLD... THE DUDLEY BOOOYYYS !
Grosse pop, en un rien de temps, les Dudleys sont revenus du côté de la lumière aux yeux des fans, malgré que leur comportement n'ai en rien changé. Bubba prend maintenant la parole.
Bubba Ray - Depuis une semaine, toute une bande d'enfoirés de journalistes nous font chier. "Pourquoi avoir fait ça à Triple H ?" "Est ce le début d'une nouvelle guerre ?" "Est ce que vous allez recommencer ?" Devon sait très bien immiter cette bande de suceurs.
Devon - Gna gna gna, SHUT UP !
Bubba Ray - Ce qu'on a fait la semaine dernière, ce n'était pas particulièrement pour Triple H. S'il en a prit plein la gueule, c'est pour la simple et unique raison qu'il était au mauvais endroit au mauvais moment. Ce qu'on a fait, s'est passer notre haine, notre rage à l'encontre des Colons... Sur Triple H. En d'autres mots, Hunter... Nothing personal, it's just business.
Elle colle peut être pas parfaitement au truc, mais j'étais obligé de placer cette réplique.
Bubba Ray - On ne va pas s'excuser envers Triple H, parce qu'on est pas des putains de pleureuses, mais on est pas de si gros fils de pute. Au fond, on est des mecs juste. Et ça, on le prouvera plus tard ce soir. Qu'est ce qu'on va faire ? Restez bien sages, fermez vos putains de gueules, et vous le saurez.
Devon - Testify.
Bubba Ray - Mais maintenant, parlons de choses un peu plus sérieuses. CARLITO COLON ! You and all your bastard family are pissing me and my family off ! Things have been going too far. Vous vous êtes attaqué à un membre de notre famille, et vous vous souvenez de ce qui est arrivé aux derniers qui ont fait ça ? Gregory Helms et Bryan Danielson ont touché à notre cousine, et ils se sont fait péter la gueule. But you ! You put your hands on our little brother ! You put your hands on a man that never attacked you ! Je sais pas c'qu'on vous a fait pour mériter cette attaque à Ground Zero, je pense qu'en fait vous êtes juste des putes et c'était le seul moment où on était vulnérable. Je pense que vous êtes des enfoirés, mais voilà ce que je vous propose...
Cette phrase que tu lis est juste là pour meubler, cherche pas.
Bubba Ray - Réglons ça à la loyale, réglons ça comme il le faut, dans un match cinq contre cinq. Ta putain de famille de fils de putes contre la famille la plus dominante de ce monde. Tu te demandes qui est ce qu'on va faire lutter, hein ? Ladies and gentlemen, let me introduce to you DANCES WITH DUDLEY !
Dances With arrive, c'est surement pas le plus impressionnant physiquement des Dudleys Boys, mais il est fou comme personne ce fils de pute.
Dances With Dudley - One little, two little, three little Indians.
Four little, five little, six little Indians.
Seven little, eight little, nine little Indians.
Ten little Indian boys.
Bubba Ray - Bon, ce connard ne sait que chanter cette chanson en anglais, sinon il ne parle qu'espagnol, mais c'est pas le plus important. Le plus important c'est ce défi, les Colons. Ce défi qu'on vient de vous lancer. Alors soit vous êtes ce que je pense que vous êtes, des lâches, des petits qui veulent jouer dans la cours des grands, et vous vous défilez... Soit vous êtes des hommes, et vous accepter de prendre la plus grosse raclée de votre vie, à Stainless Steel, contre les Dudleys !
Moi je trouve que ça manque d'un Testify tout ça.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #11.
Bill DeMott – Les Dudleyz veulent péter la gueule des Colons, et moi, je n'attends que ça !
Booker T – Mais avant de s'occuper des Colons, Bubba va devoir s'allier avec son adversaire de la semaine dernière, celui à qui il a fait traverser une table, Triple H !
Bill DeMott – Les Dudleyz ont été très clairs, Booker. Il n'y avait rien de personnel dans cette putain d'attaque... personnel ou pas, à la place de Triple H, mon poing me démangerait quand même.
Booker T – Espérons pour les frères que Triple H est plus tolérant que toi.
Bill DeMott – Quand on parle du loup !
Booker T – Triple H rentre dans le ring... et sert la main de Bubba !
Bill DeMott – Il fut une époque où Bubba serait déjà en train de saigner, il faut croire qu'Hunter a changé.
Booker T – Ou alors tout ça cache quelque chose.
Anderson s'empare de son micro, comme à son habitude.
Mister Anderson – Ladies and gentleman, boys and girls of all ages, let me introduce myself. I am the one who leads an investigation of the highest importance for the Pentagon, for the good of the homeland, for well of the United States of America. Besides being a professional eater, I can be also considered as the brother of Sherlock Holmes. Weighin' tonight at the perfect 243 lbs, I hail from the beautiful city of Greeeeen Baaaay, Wisconsin. I'm the Green Bay Loudmouth, the Talk-Louder, the leader of the assholes, the Pentagon's investigator, the America's savior, I am Miiiisteeeeeeeer Andersoooooon... wait for it, wait for it... Anderson !
Booker T – Espérons qu'Anderson trouve l'auteur de cet abominable crime.
Bill DeMott – Le terme exact est fils de pute, Booker, fils de pute.
Booker T – Voici l'équipier d'Anderson, mister Europa, Claudio Castagnoli !
Bill DeMott – Et une fois de plus, il s'apprête à nous faire chier avec une prise de parole inutile. On veut de la baston, merde !
Claudio Castagnoli – Avant toute chose, j'aimerais réitérer ma demande envers toi, Ken. Il est temps que tous ces immigrés, que tous ces profiteurs retournent chez eux, une bonne fois pour toute. J'en ai marre que tout le monde me regarde de haut ou de travers quand je sors de cette aréna, seulement parce que je suis Suisse et non Américain. Tous ces étrangers ont sali notre image, mon image, qui devrait être bien meilleure et il faut que ça change. Et ensemble, nous pourrions accomplir cette tâche.
Mister Anderson – Désolé Claudio, mes relations avec les hautes autorités américaines sont purement professionnelles, et mon seul droit est de faire ce que j'ai à faire, c'est-à-dire trouver le responsable de l'attentat qui a été fait contre John Cena. Cependant, j'ai une bonne nouvelle pour toi. Nous avons pu vérifier ton alibi, tu es bien innocent.
Claudio balance son micro de rage et s'approche d'Anderson pour lui parler et continuer les négociations. Au même moment, la foule commence à s'agiter. En effet, le theme song de Carlito se met en route, ce qui a le don de foutre Bubba dans tous ses états !
Booker T – Carlito, c'est Carlito, Bill !
Bill DeMott – Bubba en sautillerait presque de colère ! Carlito débarque, dix gardes du corps autour de lui, et il va vraisemblablement nous rejoindre, Booker.
Carlito - Bonsoir à tous. Bonsoir Bill, bonsoir Booker.
Booker T – Que nous vaut ta présence, Carlito ?
Carlito - Voir évoluer son futur adversaire, c'est toujours très instructif.
Bill DeMott – Est-ce que ça veut dire que tu acceptes le défi des Dudleyz ?
Carlito - Chaque chose en son temps, Bill.
» FIGHT ! «
Les cloches sonnent enfin et alors que Claudio discute toujours avec Anderson, Bubba vient lui donner un coup derrière la tête ! Anderson passe sur l'apron du ring, alors que Bubba relève son adversaire le balance dans les cordes et l'accueille avec un big boot ! Ray relève Claudio et effectue un samoan drop suivi du tombé, un, deux, dégagement du Suisse ! Big Ray se retourne vers Carlito et le fixe longuement... roll up de Claudio, un, deux, dégagement de Bubba. Les deux hommes se relèvent rapidement, Ray tente une clothesline, mais Claudio passe en-dessous de son bras, se balance dans les cordes et revient avec un dropkick qui envoie Bubba directement dans le coin de Triple H qui effectue aussitôt le tag. La foule exulte, Triple H rentre et met le feu au match avec une clothesline, une seconde clothesline et une dernière clothesline ! Claudio se relève pour la quatrième fois consécutive, tout étourdi, et se mange un spinebuster ! Hunter se retourne ensuite vers Anderson et... il amène Claudio chez Anderson pour qu'il puisse effectuer le tag ! Il est complètement fou !
Booker T – Rarement j'ai vu un lutteur aussi imprévisible que Triple H.
Carlito - Je suis du même avis. Il a remis son équipe dans le match et en redemande encore, alors que Bubba est déjà out après seulement quelques minutes.
Bill DeMott – Anderson effectue le changement, il n'a pas froid aux yeux, le gamin. Les hommes qui accepteraient de se frotter au king of kings dans une telle situation se comptent surement sur les doigts d'une main.
C'est parti, Triple H et Anderson s'échangent des avalanches de droites ! Hunter prend le dessus et balance son adversaire dans les cordes avant de l'accueillir avec un coup de genou en plein vis-... non, Anderson évite, il continue sa course et à son second retour, il percute Triple H de plein fouet ! Les deux hommes ont tenté d'effectuer une clothesline simultanément et ils ont réussi à toucher leur cible au même moment ! Résultat, Hunter et Anderson se retrouvent au sol. Ils rampent jusqu'à leur équipier respectif et une nouvelle fois, c'est une égalité, puisqu'ils effectuent le changement en même temps. Bubba, qui a repris du poil de la bête, fonce sur Claudio et le plaque violemment contre le coin avant de l'enchaîner de coups dans le visage, dans le ventre et des coups de pieds, Stone Cold style ! Et c'est à ce moment-là que l'écran géant s'allume. Les Colons apparaissent à l'écran, ils sont en train de regarder le combat. Ray se retourne et regarde avec haine cette scène pendant une bonne minute, ce qui laisse tout le temps à Claudio de se relever. Castagnoli prend Bubba par surprise et s'élance pour son Ricol-... non, Bubba se défait de l'emprise de Claudio et redescend sur le ring. Triple H, sorti de nulle part, place un pedigree à Claudio ! Mais Anderson intervient à son tour et place son mic check sur Triple H ! Et c'est au tour de Bubba de placer son cutter sur Anderson ! Il enchaîne ensuite avec le tombé sur Claudio, l'arbitre compte un, l'arbitre compte deux et l'arbitre compte trois.
Booker T – Quelle fin de match !
Bill DeMott – Bubba et Hunter ressortent vainqueurs de cet incroyable bordel !
Carlito - J'ai été heureux de commenter ce combat en votre compagnie, messieurs.
Carlito se lève, pose son casque et s'approche de Bubba, en compagnie de toute sa sécurité.
Bubba est prêt à bondir sur Carlito, mais il ne peut malheureusement pas vu le nombre de bodyguard qu'il y a. Carlito s'en va enfin, sourire en coin, laissant un Bubba fou de rage sur le ring.
Bill DeMott – Vivement que ça explose entre ces deux-là, Booker.
Booker T – Je pense la même chose, Bill. Mais nous, on va maintenant passer à la suite du show.
Booker T – Mais avant de s'occuper des Colons, Bubba va devoir s'allier avec son adversaire de la semaine dernière, celui à qui il a fait traverser une table, Triple H !
Bill DeMott – Les Dudleyz ont été très clairs, Booker. Il n'y avait rien de personnel dans cette putain d'attaque... personnel ou pas, à la place de Triple H, mon poing me démangerait quand même.
Booker T – Espérons pour les frères que Triple H est plus tolérant que toi.
Bill DeMott – Quand on parle du loup !
Booker T – Triple H rentre dans le ring... et sert la main de Bubba !
Bill DeMott – Il fut une époque où Bubba serait déjà en train de saigner, il faut croire qu'Hunter a changé.
Booker T – Ou alors tout ça cache quelque chose.
Anderson s'empare de son micro, comme à son habitude.
Mister Anderson – Ladies and gentleman, boys and girls of all ages, let me introduce myself. I am the one who leads an investigation of the highest importance for the Pentagon, for the good of the homeland, for well of the United States of America. Besides being a professional eater, I can be also considered as the brother of Sherlock Holmes. Weighin' tonight at the perfect 243 lbs, I hail from the beautiful city of Greeeeen Baaaay, Wisconsin. I'm the Green Bay Loudmouth, the Talk-Louder, the leader of the assholes, the Pentagon's investigator, the America's savior, I am Miiiisteeeeeeeer Andersoooooon... wait for it, wait for it... Anderson !
Booker T – Espérons qu'Anderson trouve l'auteur de cet abominable crime.
Bill DeMott – Le terme exact est fils de pute, Booker, fils de pute.
Booker T – Voici l'équipier d'Anderson, mister Europa, Claudio Castagnoli !
Bill DeMott – Et une fois de plus, il s'apprête à nous faire chier avec une prise de parole inutile. On veut de la baston, merde !
Claudio Castagnoli – Avant toute chose, j'aimerais réitérer ma demande envers toi, Ken. Il est temps que tous ces immigrés, que tous ces profiteurs retournent chez eux, une bonne fois pour toute. J'en ai marre que tout le monde me regarde de haut ou de travers quand je sors de cette aréna, seulement parce que je suis Suisse et non Américain. Tous ces étrangers ont sali notre image, mon image, qui devrait être bien meilleure et il faut que ça change. Et ensemble, nous pourrions accomplir cette tâche.
Mister Anderson – Désolé Claudio, mes relations avec les hautes autorités américaines sont purement professionnelles, et mon seul droit est de faire ce que j'ai à faire, c'est-à-dire trouver le responsable de l'attentat qui a été fait contre John Cena. Cependant, j'ai une bonne nouvelle pour toi. Nous avons pu vérifier ton alibi, tu es bien innocent.
Claudio balance son micro de rage et s'approche d'Anderson pour lui parler et continuer les négociations. Au même moment, la foule commence à s'agiter. En effet, le theme song de Carlito se met en route, ce qui a le don de foutre Bubba dans tous ses états !
Booker T – Carlito, c'est Carlito, Bill !
Bill DeMott – Bubba en sautillerait presque de colère ! Carlito débarque, dix gardes du corps autour de lui, et il va vraisemblablement nous rejoindre, Booker.
Carlito - Bonsoir à tous. Bonsoir Bill, bonsoir Booker.
Booker T – Que nous vaut ta présence, Carlito ?
Carlito - Voir évoluer son futur adversaire, c'est toujours très instructif.
Bill DeMott – Est-ce que ça veut dire que tu acceptes le défi des Dudleyz ?
Carlito - Chaque chose en son temps, Bill.
» FIGHT ! «
Les cloches sonnent enfin et alors que Claudio discute toujours avec Anderson, Bubba vient lui donner un coup derrière la tête ! Anderson passe sur l'apron du ring, alors que Bubba relève son adversaire le balance dans les cordes et l'accueille avec un big boot ! Ray relève Claudio et effectue un samoan drop suivi du tombé, un, deux, dégagement du Suisse ! Big Ray se retourne vers Carlito et le fixe longuement... roll up de Claudio, un, deux, dégagement de Bubba. Les deux hommes se relèvent rapidement, Ray tente une clothesline, mais Claudio passe en-dessous de son bras, se balance dans les cordes et revient avec un dropkick qui envoie Bubba directement dans le coin de Triple H qui effectue aussitôt le tag. La foule exulte, Triple H rentre et met le feu au match avec une clothesline, une seconde clothesline et une dernière clothesline ! Claudio se relève pour la quatrième fois consécutive, tout étourdi, et se mange un spinebuster ! Hunter se retourne ensuite vers Anderson et... il amène Claudio chez Anderson pour qu'il puisse effectuer le tag ! Il est complètement fou !
Booker T – Rarement j'ai vu un lutteur aussi imprévisible que Triple H.
Carlito - Je suis du même avis. Il a remis son équipe dans le match et en redemande encore, alors que Bubba est déjà out après seulement quelques minutes.
Bill DeMott – Anderson effectue le changement, il n'a pas froid aux yeux, le gamin. Les hommes qui accepteraient de se frotter au king of kings dans une telle situation se comptent surement sur les doigts d'une main.
C'est parti, Triple H et Anderson s'échangent des avalanches de droites ! Hunter prend le dessus et balance son adversaire dans les cordes avant de l'accueillir avec un coup de genou en plein vis-... non, Anderson évite, il continue sa course et à son second retour, il percute Triple H de plein fouet ! Les deux hommes ont tenté d'effectuer une clothesline simultanément et ils ont réussi à toucher leur cible au même moment ! Résultat, Hunter et Anderson se retrouvent au sol. Ils rampent jusqu'à leur équipier respectif et une nouvelle fois, c'est une égalité, puisqu'ils effectuent le changement en même temps. Bubba, qui a repris du poil de la bête, fonce sur Claudio et le plaque violemment contre le coin avant de l'enchaîner de coups dans le visage, dans le ventre et des coups de pieds, Stone Cold style ! Et c'est à ce moment-là que l'écran géant s'allume. Les Colons apparaissent à l'écran, ils sont en train de regarder le combat. Ray se retourne et regarde avec haine cette scène pendant une bonne minute, ce qui laisse tout le temps à Claudio de se relever. Castagnoli prend Bubba par surprise et s'élance pour son Ricol-... non, Bubba se défait de l'emprise de Claudio et redescend sur le ring. Triple H, sorti de nulle part, place un pedigree à Claudio ! Mais Anderson intervient à son tour et place son mic check sur Triple H ! Et c'est au tour de Bubba de placer son cutter sur Anderson ! Il enchaîne ensuite avec le tombé sur Claudio, l'arbitre compte un, l'arbitre compte deux et l'arbitre compte trois.
Booker T – Quelle fin de match !
Bill DeMott – Bubba et Hunter ressortent vainqueurs de cet incroyable bordel !
Carlito - J'ai été heureux de commenter ce combat en votre compagnie, messieurs.
Carlito se lève, pose son casque et s'approche de Bubba, en compagnie de toute sa sécurité.
Bubba est prêt à bondir sur Carlito, mais il ne peut malheureusement pas vu le nombre de bodyguard qu'il y a. Carlito s'en va enfin, sourire en coin, laissant un Bubba fou de rage sur le ring.
Bill DeMott – Vivement que ça explose entre ces deux-là, Booker.
Booker T – Je pense la même chose, Bill. Mais nous, on va maintenant passer à la suite du show.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #11.
Bill DeMott – Booker, le prochain combat va opposer l'Undertaker à Randy Orton. Je ne sais pas pour toi, mais personnellement je vois dans cette affiche entre deux très bons lutteurs quelque chose de très important pour les deux hommes qui-...
Booker T – Wait a minute ! Look at the cage !
Bill DeMott – What the fuck ?!
En effet, la cage du Hell in a Cell, suspendue en l'air depuis le début de la soirée, vient de descendre. Les fans se mettent à crier, on a une véritable acclamation pour une simple cage qui descend du haut de l'arena. Par contre, ce qui suit risque de beaucoup moins plaire.
The Undertaker, l'une des plus grandes légendes de ce business se présente sous le titantron et sous les huées des fans qui n'ont, semble-t-il, pas vraiment aimé qu'il s'en prenne à Shawn Michaels la semaine dernière, juste après avoir essayé de s'emparer de la fédération. Quoiqu'il en soit, le Deadman descend la rampe très doucement, comme à son habitude, et entre dans la structure du Hell in a Cell. Personne ne comprend vraiment pourquoi il fait cela, quel est le motif de la présence de la cage, mais nous allons bientôt le découvrir, l'Undertaker vient de prendre un micro et après avoir regardé sur sa gauche et sur sa droite, il se décide à prendre la parole.
The Undertaker – Cette cage est une création du Diable. Cette cage représente tout ce qu'il y a de plus diabolique au monde. Cette cage emprisonne tous les vices de l'humanité. Cette cage enferme l'âme de l'Enfer. Cette cage a été crée par le Diable pour que les pires souffrances puissent s'y accomplir. Et cette cage, cet Enfer insurmontable que tout le monde craint depuis le jour de sa création, c'est mon terrain de jeu favori. Personne ne connait mieux cette cage que l'Undertaker. Personne n'a jamais autant souffert dans cette cage que mes adversaires. Je n'ai jamais autant délivré de peur, de haine, de crainte et de souffrance ailleurs que dans cette structure métallique. Je suis à l'origine de la création de cet Enfer, et cette cage est mon domicile.
Le Phenom fait quelques pas sur le ring, histoire de jeter un coup d'oeil à l'installation de la structure. T'sais genre le mec qui vérifie que les techniciens ont bien fait leur boulot.
The Undertaker – L'histoire du Hell in a Cell est indissociable de celle de l'Undertaker. Sans l'Undertaker, il n'y aurait jamais eu cette ultime outil de torture. Cet outil que j'ai utilisé si souvent pendant toutes ses années, onze fois pour être plus précis. Dans cette structure, j'ai presque tué Mick Foley. Dans cette cage, j'ai traqué Paul Bearer comme un vulgaire animal. J'ai pendu le Big Boss Man dans cette cage. J'ai envoyé Rikishi s'écraser sur une voiture du haut de la cage. J'ai instauré le respect de Brock Lesnar dans cette cage. J'ai mis un terme à l'arrogance de Randy Orton dans cette cage. J'ai complètement annihilé Batista dans cette cage. J'ai offert à Edge la plus grande leçon de sa vie dans ce même lieu. J'ai coupé la tête de CM Punk dans ce lieu maudit. Mais je me suis également fait trahir dans cette cage. Le Hell in a Cell ne serait rien sans l'Undertaker. L'histoire a été écrite plus d'une fois ici même grâce à l'Undertaker.
L'Undertaker est ici chez lui, dans cette cage, et personne ne ressort jamais indemne.
The Undertaker – Mais cette cage a également une toute autre signification pour moi. Cette cage a été crée pour que je puisse me confronter au seul homme aussi légendaire que moi. Cette cage a été crée pour que les deux plus grands lutteurs de l'histoire de ce business puissent s'affronter. Cette cage a été crée pour que je puisse affronter Shawn Michaels ! Lui et moi avons marqué l'histoire dans cette cage. Notre histoire nous unira pour toujours. Je suis l'homme qui a envoyé Shawn Michaels à la retraite en 2010. J'ai frappé fort, et j'ai éliminé sur son propre terrain Mister Wrestlemania. J'ai mis un terme au show de Shawn Michaels, je lui ai brisé le coeur ! Mais je n'ai pas frappé assez fort, visiblement, puisqu'il a décidé de revenir sur les rings, ici, à l'Attitude Wrestling Corporation.
En plus il est invaincu pour le moment, le HeartBreak Kid.
The Undertaker – Le problème, c'est qu'il n'y a pas de place pour deux légendes de notre calibre dans cette fédération. J'ai envoyé Shawn à la retraite, et le voilà de retour. Il me nargue, il se moque de moi. Il m'a trahi en revenant sur les rings. Et ça, même un homme revenant d'entre les morts ne peut l'accepter. Shawn a signé son arrêt de mort en signant ici. Et je compte le faire mourir dans cette cage. Je veux le faire souffrir, lui briser le dos et lui faire passer toute envie de remonter un jour sur les rings. Je veux définitivement mettre un terme à sa carrière dans cette cage. J'ai une revanche à prendre sur toi, Shawn. Remember 1997, when you beat me in the first ever Hell in a Cell. J'ai toujours cette défaite dans un coin de ma tête, et j'ai un affront à laver. Tu es le seul homme qui m'a tenu tête dans cette cage. Tu es le seul qui m'a fait souffrir comme jamais je n'ai souffert. J'ai une vengeance à accomplir. Et je veux que tout se termine là où tout à commencé. La réponse t'appartient, et tu devras me la donner ce soir, après ton match, Shawn.
Le Phenom s'arrête quelques secondes et fait son signe du pouce au niveau de la glotte.
The Undertaker – Shawn at Stainless Steel, I want you in the Hell in a Cell. I wanna kill you where all started. I wanna beat you in this cage and I wanna see you Rest... In... Peace !
Un dong se fait entendre et la salle est plongée dans le noir. Quand les lumières se rallument, l'Undertaker est toujours au milieu du ring, mais la cage, elle, est remontée en l'air. L'Undertaker vient de lancer un défi à Shawn Michaels pour conclure leur histoire là où tout a débuté. La réponse n'appartient qu'au Heartbreak Kid.
Booker T – Wait a minute ! Look at the cage !
Bill DeMott – What the fuck ?!
En effet, la cage du Hell in a Cell, suspendue en l'air depuis le début de la soirée, vient de descendre. Les fans se mettent à crier, on a une véritable acclamation pour une simple cage qui descend du haut de l'arena. Par contre, ce qui suit risque de beaucoup moins plaire.
The Undertaker, l'une des plus grandes légendes de ce business se présente sous le titantron et sous les huées des fans qui n'ont, semble-t-il, pas vraiment aimé qu'il s'en prenne à Shawn Michaels la semaine dernière, juste après avoir essayé de s'emparer de la fédération. Quoiqu'il en soit, le Deadman descend la rampe très doucement, comme à son habitude, et entre dans la structure du Hell in a Cell. Personne ne comprend vraiment pourquoi il fait cela, quel est le motif de la présence de la cage, mais nous allons bientôt le découvrir, l'Undertaker vient de prendre un micro et après avoir regardé sur sa gauche et sur sa droite, il se décide à prendre la parole.
The Undertaker – Cette cage est une création du Diable. Cette cage représente tout ce qu'il y a de plus diabolique au monde. Cette cage emprisonne tous les vices de l'humanité. Cette cage enferme l'âme de l'Enfer. Cette cage a été crée par le Diable pour que les pires souffrances puissent s'y accomplir. Et cette cage, cet Enfer insurmontable que tout le monde craint depuis le jour de sa création, c'est mon terrain de jeu favori. Personne ne connait mieux cette cage que l'Undertaker. Personne n'a jamais autant souffert dans cette cage que mes adversaires. Je n'ai jamais autant délivré de peur, de haine, de crainte et de souffrance ailleurs que dans cette structure métallique. Je suis à l'origine de la création de cet Enfer, et cette cage est mon domicile.
Le Phenom fait quelques pas sur le ring, histoire de jeter un coup d'oeil à l'installation de la structure. T'sais genre le mec qui vérifie que les techniciens ont bien fait leur boulot.
The Undertaker – L'histoire du Hell in a Cell est indissociable de celle de l'Undertaker. Sans l'Undertaker, il n'y aurait jamais eu cette ultime outil de torture. Cet outil que j'ai utilisé si souvent pendant toutes ses années, onze fois pour être plus précis. Dans cette structure, j'ai presque tué Mick Foley. Dans cette cage, j'ai traqué Paul Bearer comme un vulgaire animal. J'ai pendu le Big Boss Man dans cette cage. J'ai envoyé Rikishi s'écraser sur une voiture du haut de la cage. J'ai instauré le respect de Brock Lesnar dans cette cage. J'ai mis un terme à l'arrogance de Randy Orton dans cette cage. J'ai complètement annihilé Batista dans cette cage. J'ai offert à Edge la plus grande leçon de sa vie dans ce même lieu. J'ai coupé la tête de CM Punk dans ce lieu maudit. Mais je me suis également fait trahir dans cette cage. Le Hell in a Cell ne serait rien sans l'Undertaker. L'histoire a été écrite plus d'une fois ici même grâce à l'Undertaker.
L'Undertaker est ici chez lui, dans cette cage, et personne ne ressort jamais indemne.
The Undertaker – Mais cette cage a également une toute autre signification pour moi. Cette cage a été crée pour que je puisse me confronter au seul homme aussi légendaire que moi. Cette cage a été crée pour que les deux plus grands lutteurs de l'histoire de ce business puissent s'affronter. Cette cage a été crée pour que je puisse affronter Shawn Michaels ! Lui et moi avons marqué l'histoire dans cette cage. Notre histoire nous unira pour toujours. Je suis l'homme qui a envoyé Shawn Michaels à la retraite en 2010. J'ai frappé fort, et j'ai éliminé sur son propre terrain Mister Wrestlemania. J'ai mis un terme au show de Shawn Michaels, je lui ai brisé le coeur ! Mais je n'ai pas frappé assez fort, visiblement, puisqu'il a décidé de revenir sur les rings, ici, à l'Attitude Wrestling Corporation.
En plus il est invaincu pour le moment, le HeartBreak Kid.
The Undertaker – Le problème, c'est qu'il n'y a pas de place pour deux légendes de notre calibre dans cette fédération. J'ai envoyé Shawn à la retraite, et le voilà de retour. Il me nargue, il se moque de moi. Il m'a trahi en revenant sur les rings. Et ça, même un homme revenant d'entre les morts ne peut l'accepter. Shawn a signé son arrêt de mort en signant ici. Et je compte le faire mourir dans cette cage. Je veux le faire souffrir, lui briser le dos et lui faire passer toute envie de remonter un jour sur les rings. Je veux définitivement mettre un terme à sa carrière dans cette cage. J'ai une revanche à prendre sur toi, Shawn. Remember 1997, when you beat me in the first ever Hell in a Cell. J'ai toujours cette défaite dans un coin de ma tête, et j'ai un affront à laver. Tu es le seul homme qui m'a tenu tête dans cette cage. Tu es le seul qui m'a fait souffrir comme jamais je n'ai souffert. J'ai une vengeance à accomplir. Et je veux que tout se termine là où tout à commencé. La réponse t'appartient, et tu devras me la donner ce soir, après ton match, Shawn.
Le Phenom s'arrête quelques secondes et fait son signe du pouce au niveau de la glotte.
The Undertaker – Shawn at Stainless Steel, I want you in the Hell in a Cell. I wanna kill you where all started. I wanna beat you in this cage and I wanna see you Rest... In... Peace !
Un dong se fait entendre et la salle est plongée dans le noir. Quand les lumières se rallument, l'Undertaker est toujours au milieu du ring, mais la cage, elle, est remontée en l'air. L'Undertaker vient de lancer un défi à Shawn Michaels pour conclure leur histoire là où tout a débuté. La réponse n'appartient qu'au Heartbreak Kid.
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Re: Attitude #11.
On est sur le ring après cet énorme segment. The Undertaker veut Shawn Michaels dans un Hell In A Cell, c‘est monstrueux ! La revanche du tout premier match sous cette stipulation aura-t-elle lieu ? Je l‘espère.
Booker T – Qui ne payerai pas pour voir ce combat ? Personne je pense. Cependant, défier l’Undertaker dans un Hell In A Cell n’est pas un simple Single Match. Je ne sais pas si Shawn Michaels relèvera ce défi.
Bill DeMott – Booker, t‘es con ou quoi ? On parle bien du Heart Break Kid, du Showstopper, du Headliner ! Il va relever le défi j‘en suis sur. C‘est un éternel compétiteur et c‘est un énorme défi qui se dresse devant lui.
Booker T – Hâte, j‘ai vraiment hâte d‘entendre sa réponse. La rivalité entre ces deux hommes dépasse complètement ce que l‘on pense.
Bill DeMott – Randy Orton, une sacré blague celui-là, ici c‘est l‘AWC il se fait pas favoriser comme à Stamford ! Il peut pas se barrer et revenir vite sans refaire ses preuves.
Booker T – Je crois que Orton a quelque chose à dire, il a un micro en main et ce n‘est pas pour de la décoration à mon avis.
Randy Orton porte le micro aux niveaux de ses lèvres alors qu‘il descend la rampe d‘accès menant au ring. Il défie l‘Undertaker du regard.
Randy Orton – Le légendaire Undertaker se dresse devant moi ce soir. Randy Orton face à l’Undertaker, ici et maintenant, cela me convient tout à fait de l‘affronter. Vous semblez oublier qui je suis, vous semblez oublier que je suis The Legend Killer ! Je vais tuer l‘Undertaker ce soir. Je l‘ai déjà fait par le passé et je vais le faire. Je vais tuer le Phenom, et il s‘ajoutera à la liste des légendes que je vais tuer. On ne m‘oublie pas comme ça. Je suis de retour, et tous ceux qui se dresseront face à moi goûteront de mon cher RKO. Retenez ces trois lettres... R... K... O !
Booker T – Une petite provocation d‘avant-match, ça met la pression sur l‘adversaire, même si je doute que le Deadman ressente une once de pression.
Bill DeMott – Moi, ça me fait rire cette situation. Orton, on le connait bien. Il ouvre sa gueule avant un combat, et une fois qu‘il a perdu, il chiale !
» FIGHT ! «
La cloche a sonné et les deux protagonistes peuvent se mettre sur la gueule. Randy Orton se rapproche un peu trop de l‘Undertaker qui le bombarde de droites. Randy Orton recule jusque dans un coin. Mais il réussi à inverser les positions pour lâcher ses coups. Le début du combat est un gros brawl où on voit peu de techniques. Cela se débloque un peu quand The Undertaker place une torsion sur le bras du Legend Killer qui se dirige vers un turnbuckle pour placer son fameux Old School. Randy Orton se tient le bras mais le Deadman le relève et continue sa domination. Domination qui ne durera que quelques temps puisque Randy Orton évitera une Clothesline de son adversaire avant de placer un Standing Drop Kick de toute beauté. Randy Orton va alors tranquillement travailler son adversaire avec beaucoup de tentatives de tombé. Le Deadman n‘arrivant pas à se défaire de l‘emprise adversaire va se faire mener pendant quelques minutes. La solution viendra quand Randy Orton tentera son DDT de la seconde corde. Le Deadman s‘en dégage, tire son adversaire à lui et claque une Guillotine à la volée !
Booker T – Good reversal ! Même si je n‘apprécie pas l‘Undertaker je dois reconnaître qu‘il arrive à s‘adapter à toutes les situations.
Bill DeMott – J’en ai rien à branler de ce combat personnellement. L’Undertaker ou Orton, ça reste la même merde.
The Undertaker est énervé de n‘avoir su se dégager plus vite de la domination adversaire. Il déballe son arsenal de mouvements, dont un Snake Eye suivit d‘un Big Foot particulièrement violent. On notera aussi une tentative de Triangle Choke évité de justesse par The Legend Killer qui se saisira d‘une corde. The Undertaker tentera lui aussi beaucoup de Pinfall sans succès. Randy Orton réussira à réequilibrer le combat, cependant, trop gourmant ce dernier tentera un RKO anticipé par le maître du Ministry of Darkness qui claquera son Chokeslam après. The Undertaker est lancé et relève Randy Orton, place sa tête entre ses jambes … Last Ride Powerbomb .. Non ! Randy Orton retombe sur ses pieds dans le dos du Deadman .. Angle Slam ! Malheureusement, il n‘y aura que deux sur la tentative de pinfall. Randy Orton se place derrière l‘Undertaker, tapant des poings au sol, et quand celui-ci se relève... RK, contré TOMBSTONE PILEDRIVER !! Rest In Peace ! Victoire de l‘Undertaker.
Booker T – Belle victoire, on a assisté à un affrontement assez équilibré mais le meilleur l‘a emporté à la fin. C‘est la loi de ces combats, le meilleur est le vainqueur.
Bill DeMott – Je m‘en fous, je les aimes pas les gars là.
Booker T – Qui ne payerai pas pour voir ce combat ? Personne je pense. Cependant, défier l’Undertaker dans un Hell In A Cell n’est pas un simple Single Match. Je ne sais pas si Shawn Michaels relèvera ce défi.
Bill DeMott – Booker, t‘es con ou quoi ? On parle bien du Heart Break Kid, du Showstopper, du Headliner ! Il va relever le défi j‘en suis sur. C‘est un éternel compétiteur et c‘est un énorme défi qui se dresse devant lui.
Booker T – Hâte, j‘ai vraiment hâte d‘entendre sa réponse. La rivalité entre ces deux hommes dépasse complètement ce que l‘on pense.
Bill DeMott – Randy Orton, une sacré blague celui-là, ici c‘est l‘AWC il se fait pas favoriser comme à Stamford ! Il peut pas se barrer et revenir vite sans refaire ses preuves.
Booker T – Je crois que Orton a quelque chose à dire, il a un micro en main et ce n‘est pas pour de la décoration à mon avis.
Randy Orton porte le micro aux niveaux de ses lèvres alors qu‘il descend la rampe d‘accès menant au ring. Il défie l‘Undertaker du regard.
Randy Orton – Le légendaire Undertaker se dresse devant moi ce soir. Randy Orton face à l’Undertaker, ici et maintenant, cela me convient tout à fait de l‘affronter. Vous semblez oublier qui je suis, vous semblez oublier que je suis The Legend Killer ! Je vais tuer l‘Undertaker ce soir. Je l‘ai déjà fait par le passé et je vais le faire. Je vais tuer le Phenom, et il s‘ajoutera à la liste des légendes que je vais tuer. On ne m‘oublie pas comme ça. Je suis de retour, et tous ceux qui se dresseront face à moi goûteront de mon cher RKO. Retenez ces trois lettres... R... K... O !
Booker T – Une petite provocation d‘avant-match, ça met la pression sur l‘adversaire, même si je doute que le Deadman ressente une once de pression.
Bill DeMott – Moi, ça me fait rire cette situation. Orton, on le connait bien. Il ouvre sa gueule avant un combat, et une fois qu‘il a perdu, il chiale !
» FIGHT ! «
La cloche a sonné et les deux protagonistes peuvent se mettre sur la gueule. Randy Orton se rapproche un peu trop de l‘Undertaker qui le bombarde de droites. Randy Orton recule jusque dans un coin. Mais il réussi à inverser les positions pour lâcher ses coups. Le début du combat est un gros brawl où on voit peu de techniques. Cela se débloque un peu quand The Undertaker place une torsion sur le bras du Legend Killer qui se dirige vers un turnbuckle pour placer son fameux Old School. Randy Orton se tient le bras mais le Deadman le relève et continue sa domination. Domination qui ne durera que quelques temps puisque Randy Orton évitera une Clothesline de son adversaire avant de placer un Standing Drop Kick de toute beauté. Randy Orton va alors tranquillement travailler son adversaire avec beaucoup de tentatives de tombé. Le Deadman n‘arrivant pas à se défaire de l‘emprise adversaire va se faire mener pendant quelques minutes. La solution viendra quand Randy Orton tentera son DDT de la seconde corde. Le Deadman s‘en dégage, tire son adversaire à lui et claque une Guillotine à la volée !
Booker T – Good reversal ! Même si je n‘apprécie pas l‘Undertaker je dois reconnaître qu‘il arrive à s‘adapter à toutes les situations.
Bill DeMott – J’en ai rien à branler de ce combat personnellement. L’Undertaker ou Orton, ça reste la même merde.
The Undertaker est énervé de n‘avoir su se dégager plus vite de la domination adversaire. Il déballe son arsenal de mouvements, dont un Snake Eye suivit d‘un Big Foot particulièrement violent. On notera aussi une tentative de Triangle Choke évité de justesse par The Legend Killer qui se saisira d‘une corde. The Undertaker tentera lui aussi beaucoup de Pinfall sans succès. Randy Orton réussira à réequilibrer le combat, cependant, trop gourmant ce dernier tentera un RKO anticipé par le maître du Ministry of Darkness qui claquera son Chokeslam après. The Undertaker est lancé et relève Randy Orton, place sa tête entre ses jambes … Last Ride Powerbomb .. Non ! Randy Orton retombe sur ses pieds dans le dos du Deadman .. Angle Slam ! Malheureusement, il n‘y aura que deux sur la tentative de pinfall. Randy Orton se place derrière l‘Undertaker, tapant des poings au sol, et quand celui-ci se relève... RK, contré TOMBSTONE PILEDRIVER !! Rest In Peace ! Victoire de l‘Undertaker.
Booker T – Belle victoire, on a assisté à un affrontement assez équilibré mais le meilleur l‘a emporté à la fin. C‘est la loi de ces combats, le meilleur est le vainqueur.
Bill DeMott – Je m‘en fous, je les aimes pas les gars là.
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Re: Attitude #11.
Le match entre l’Undertaker et Randy Orton vient juste de se finir et déjà notre caméra est envoyée dans les backstages. On retrouve le patron de l’AWC, Stone Cold Steve Austin, à la machine à café, une bière à la main : cherchez l’erreur. Bref le boss de la fédération est dans son moment de tranquillité habituel comme à chaque show.
C'est alors que le Suisse de la fédération, plus connu sous le nom de Claudio Castagnoli vient emmerder Stone Cold pendant qu’il buvait une bière, ne faites pas ça chez vous.
Claudio Castagnoli – Regardez-moi ça, Stone Cold Steve Austin, qui se fiche royalement du fait que des étrangers envahissent sa fédération et attaque ses plus athlétiques superstars. Seriously ? J’en ai ras le bol de perdre mes matchs à cause de ces clandestins de mes deux, tu ne peux pas faire ton job ? Alright, laisse ta place à quelqu’un de compétent qui saura prendre les choses en main ! Le Mexique n’a rien à faire sur notre territoire ! Vire-moi Dos Caras Jr. !
Stone Cold Steve Austin est vénère, normal on le dérange pas lorsqu’il boit une bière.
Stone Cold – Écoutes-moi du con. J’vais t’expliquer quelques règles que t’as pas dû voir sur ton contrat. Première règle, ne jamais déranger Stone Cold Steve Austin quand il boit une bière, hell no. Deuxième règle, ne jamais dire à Stone Cold Steve Austin comment gérer son roster et sa fédération. Et enfin troisième règle, ne jamais déranger Stone Cold Steve Austin quand il boit une bière, ouais j’te le dis deux fois car t’as l’air à moitié con. En ce qui concerne ton mexicain de mes deux, j’vais aller le voir, maintenant fiche-moi le camp j’ai déjà eu assez d’emmerde avec l’Undertaker c’est pas un connard de suisse qui va venir me casser les couilles.
Claudio Castagnoli – J’espère que cette affaire sera réglée le plus tôt possible, n’oubliez-pas boss, STOPPONS L’IMMIGRATION MASSIVE !
Castagnoli quitte le champ de la caméra quant à Stone Cold, il part à la recherche du dénommé Dos Caras Jr. Il demande à quelques techniciens par-ci par-là, il met bien 5 bonnes minutes avant de trouver l’homme masqué qui attendait là comme si de rien était.
Stone Cold – Alors c’est toi l’emmerdeur de première ? Qu’est-ce que t’as branlé la semaine dernière? File-moi ton contrat !
Dos Caras Jr. ne répond pas.
Stone Cold – Putain il est sourd et muet en plus. File-moi ton passeport !
Toujours aucunes réponses côté mexicain.
Stone Cold – Bon, vu que t’as l’air aussi con que le Suisse j’vais faire plus simple. File-moi ton nom et prénom.
Dos Caras Jr - Yo soy Dos Caras pero quedo una sola y misma persona. Je suis Mexicain, je suis un guerrier, je ne vais en aucun cas répondre à vos questions pour la simple et bonne raison que je ne veux pas tomber dans le jeu de Claudio Castagnoli dans lequel vous êtes tous en train de sombrer. Aujourd’hui, les mexicains sont fiers de moi pour ce que j’ai fais à Claudio Castagnoli la semaine dernière et c’est tout ce qui compte pour moi. Soy Dos Caras Jr, y bajo esta máscara se encuentra... La pérdida de Claudio Castagnoli !
Stone Cold qui avait toujours sa bière à la main boit une gorgée et songe.
Stone Cold – Bon vu que t’as l’air d’en avoir rien à foutre de ce que je te dis et vu que t’as l’air en vouloir aux européens , tu vas pas affronter Claudio Castagnoli mais son pote Wade Barett qui n’a pas perdu depuis qu’il est arrivé ici. Tiens et puis merde, tu l’affrontes maintenant !
Wade Barett vs Dos Caras Jr. right now !
C'est alors que le Suisse de la fédération, plus connu sous le nom de Claudio Castagnoli vient emmerder Stone Cold pendant qu’il buvait une bière, ne faites pas ça chez vous.
Claudio Castagnoli – Regardez-moi ça, Stone Cold Steve Austin, qui se fiche royalement du fait que des étrangers envahissent sa fédération et attaque ses plus athlétiques superstars. Seriously ? J’en ai ras le bol de perdre mes matchs à cause de ces clandestins de mes deux, tu ne peux pas faire ton job ? Alright, laisse ta place à quelqu’un de compétent qui saura prendre les choses en main ! Le Mexique n’a rien à faire sur notre territoire ! Vire-moi Dos Caras Jr. !
Stone Cold Steve Austin est vénère, normal on le dérange pas lorsqu’il boit une bière.
Stone Cold – Écoutes-moi du con. J’vais t’expliquer quelques règles que t’as pas dû voir sur ton contrat. Première règle, ne jamais déranger Stone Cold Steve Austin quand il boit une bière, hell no. Deuxième règle, ne jamais dire à Stone Cold Steve Austin comment gérer son roster et sa fédération. Et enfin troisième règle, ne jamais déranger Stone Cold Steve Austin quand il boit une bière, ouais j’te le dis deux fois car t’as l’air à moitié con. En ce qui concerne ton mexicain de mes deux, j’vais aller le voir, maintenant fiche-moi le camp j’ai déjà eu assez d’emmerde avec l’Undertaker c’est pas un connard de suisse qui va venir me casser les couilles.
Claudio Castagnoli – J’espère que cette affaire sera réglée le plus tôt possible, n’oubliez-pas boss, STOPPONS L’IMMIGRATION MASSIVE !
Castagnoli quitte le champ de la caméra quant à Stone Cold, il part à la recherche du dénommé Dos Caras Jr. Il demande à quelques techniciens par-ci par-là, il met bien 5 bonnes minutes avant de trouver l’homme masqué qui attendait là comme si de rien était.
Stone Cold – Alors c’est toi l’emmerdeur de première ? Qu’est-ce que t’as branlé la semaine dernière? File-moi ton contrat !
Dos Caras Jr. ne répond pas.
Stone Cold – Putain il est sourd et muet en plus. File-moi ton passeport !
Toujours aucunes réponses côté mexicain.
Stone Cold – Bon, vu que t’as l’air aussi con que le Suisse j’vais faire plus simple. File-moi ton nom et prénom.
Dos Caras Jr - Yo soy Dos Caras pero quedo una sola y misma persona. Je suis Mexicain, je suis un guerrier, je ne vais en aucun cas répondre à vos questions pour la simple et bonne raison que je ne veux pas tomber dans le jeu de Claudio Castagnoli dans lequel vous êtes tous en train de sombrer. Aujourd’hui, les mexicains sont fiers de moi pour ce que j’ai fais à Claudio Castagnoli la semaine dernière et c’est tout ce qui compte pour moi. Soy Dos Caras Jr, y bajo esta máscara se encuentra... La pérdida de Claudio Castagnoli !
Stone Cold qui avait toujours sa bière à la main boit une gorgée et songe.
Stone Cold – Bon vu que t’as l’air d’en avoir rien à foutre de ce que je te dis et vu que t’as l’air en vouloir aux européens , tu vas pas affronter Claudio Castagnoli mais son pote Wade Barett qui n’a pas perdu depuis qu’il est arrivé ici. Tiens et puis merde, tu l’affrontes maintenant !
Wade Barett vs Dos Caras Jr. right now !
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Re: Attitude #11.
Booker T – La Esencia de la Excelencia versus the Bare-Knuckle Brawler, right here right now.
Bill DeMott – Dos Caras, Jr. et Wade Barrett, c'est l'affiche qui nous attend maintenant après l'annonce express de Stone Cold Steve Austin il y a quelques secondes. La semaine dernière, Wade Barrett faisait équipe avec Claudio Castagnoli. Les deux européens ont remportés leur rencontre avant que Dos Caras, Jr. vienne faire mordre la poussière à Claudio Castagnoli.
Booker T – From Manchester, England, please welcome classy Wade Barrett !
Bill DeMott – Contrairement à Claudio Castagnoli, Wade Barrett lui n'a pas été innocenté par Mister Anderson ce soir. Il est toujours suspect dans cette drôle d'affaire et j'espère pour la beauté du sport que cela n'affectera pas sa prestation ce soir. Qui a fait pété cette bombe, huh ?
Booker T – I don't know !
Bill DeMott – De toute manière, nous le saurons jamais. Si quelqu'un croit que Mister Anderson arrivera à déterminer par a + b qui est le coupable, il se met le doigt dans l'oeil. Wade Barrett, un agent du MI5 au service de sa majesté, et puis quoi encore ?
Booker T – And now please welcome el hijo de Dos Caras !
Bill DeMott – Qu'est-ce que vient foutre le titre du Consejo Mundial de Lucha Libre ici ? Venez pas me dire que le mec sous le masque de Dos Caras est en réalité le champion actuel du Consejo Mundial de Lucha Libre Héctor Garza, diantre. Qui que tu sois bonhomme, tu viens de prendre une amende à quatre chiffres pour avoir fait de la publicité ici à l'Attitude Wrestling Corporation.
Booker T – Who the hell is Dos Caras, Jr. ?
Dos Caras, Jr. et Wade Barrett sont prêts, le match peut alors débuter.
» FIGHT ! «
Les deux lutteurs s'affrontent dans une épreuve de force. Dos Caras Jr passe rapidement derrière son adversaire et l'envoi valser avec un release german suplex. Wade Barrett sort du ring, contrarié par ce qu'il vient de se passer. L'anglais préfère prendre son temps pour réfléchir à une stratégie mais l'arbitre commence le décompte à l'extérieur. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, Dos Caras Jr monte sur le turnbuckle rapidement et saute sur son adversaire. Dos Caras Jr relève Wade Barrett et le remet dans le ring. Dos Caras Jr monte à son tour lui aussi, mais l'anglais le surprend avec un big boot. Wade Barrett relève Dos Caras Jr, pour le pendulum backbreaker. Wade Barrett monte sur la troisième corde, diving elbow drop ! Wade Barrett tente le pinfall. 1, 2, dégagement. Wade Barrett relève doucement son adversaire, mais notre inconnu surprend l'anglais avec le double knee armbreaker suivi dans la foulée du cross armbreaker ! Cette prise bien connue pour être utilisée par un certain Alberto Del Rio, le suspens quant à l'identité de Dos Caras Jr est à son paroxysme, surtout lorsque l'on sait qu'Alberto Del Rio n'est pas Dos Caras Jr ce soir. Wade Barrett n'arrive d'ailleurs pas à se défaire de cette prise, mais le voilà sauvé par Claudio Castagnoli qui vient de sauter sur l'apron du ring afin de déstabiliser l'homme masqué. Dos Caras Jr lâche la prise et essaie de frapper Claudio Castagnoli, mais celui-ci l'esquive en redescendant du ring. Wade Barrett est déjà à l'affût, school boy small package ! 1, 2, 3 ! Wade Barrett se retire rapidement alors que Dos Caras Jr pointe Claudio Castagnoli du doigt. Victoire de Wade Barrett sur Dos Caras Jr grâce à une intervention de Claudio Castagnoli. La guerre est définitivement lancée !
Booker T – You're in deep shit Claudio Castagnoli.
Bill DeMott – La présence de Claudio Castagnoli ne semble pas plaire à Dos Caras, Jr. qui le fixe du doigt afin de lui faire comprendre que ce sera lui le prochain. Oh, wait a second !
Wade Barrett revient à la charge et donne un coup d'avant-bras dans la nuque de Dos Caras qui s'écroule par terre. Ne jamais tourner le dos à un adversaire, même quand le match est terminé. Claudio Castagnoli et Wade Barrett se serrent la main, Wade Barrett offre Dos Caras à Claudio Castagnoli sur un plateau d'argent. Le suisse s'amuse et donne des coups de pieds dans les côtes de son ennemi. Il se met au-dessus de lui et essaie de lui retirer son masque. Dos Caras essaie de résister mais Claudio Castagnoli semble avoir plus de peps pour mener à terme son opération, le masque est retiré ! Dos Caras sort rapidement du ring en se tenant le visage, mais il finit par se retourner une fois en sécurité. On découvre alors que Dos Caras, Jr. n'était nul autre que Ricardo Rodriguez, l'annonceur personnel d'Alberto Del Rio. Claudio Castagnoli l'observe, wtf.
Booker T – Alberto Del Rio's personal announcer, Ricardo Rodriguez !
Bill DeMott – Evidemment, pourquoi n'y ai-je pas penser plus tôt ? Alberto Del Rio est le seul à avoir eu des problèmes avec l'immigration. Ricardo Rodriguez, lui, n'a pas été expulsé. Quel preuve de courage de la part d'un simple annonceur, qui nous a quand même montré ce soir quelques qualités dans le ring de l'Attitude Wrestling Corporation. Nous aurons certainement des explications de la part de Ricardo Rodriguez la semaine prochaine !
Bill DeMott – Dos Caras, Jr. et Wade Barrett, c'est l'affiche qui nous attend maintenant après l'annonce express de Stone Cold Steve Austin il y a quelques secondes. La semaine dernière, Wade Barrett faisait équipe avec Claudio Castagnoli. Les deux européens ont remportés leur rencontre avant que Dos Caras, Jr. vienne faire mordre la poussière à Claudio Castagnoli.
Booker T – From Manchester, England, please welcome classy Wade Barrett !
Bill DeMott – Contrairement à Claudio Castagnoli, Wade Barrett lui n'a pas été innocenté par Mister Anderson ce soir. Il est toujours suspect dans cette drôle d'affaire et j'espère pour la beauté du sport que cela n'affectera pas sa prestation ce soir. Qui a fait pété cette bombe, huh ?
Booker T – I don't know !
Bill DeMott – De toute manière, nous le saurons jamais. Si quelqu'un croit que Mister Anderson arrivera à déterminer par a + b qui est le coupable, il se met le doigt dans l'oeil. Wade Barrett, un agent du MI5 au service de sa majesté, et puis quoi encore ?
Booker T – And now please welcome el hijo de Dos Caras !
Bill DeMott – Qu'est-ce que vient foutre le titre du Consejo Mundial de Lucha Libre ici ? Venez pas me dire que le mec sous le masque de Dos Caras est en réalité le champion actuel du Consejo Mundial de Lucha Libre Héctor Garza, diantre. Qui que tu sois bonhomme, tu viens de prendre une amende à quatre chiffres pour avoir fait de la publicité ici à l'Attitude Wrestling Corporation.
Booker T – Who the hell is Dos Caras, Jr. ?
Dos Caras, Jr. et Wade Barrett sont prêts, le match peut alors débuter.
» FIGHT ! «
Les deux lutteurs s'affrontent dans une épreuve de force. Dos Caras Jr passe rapidement derrière son adversaire et l'envoi valser avec un release german suplex. Wade Barrett sort du ring, contrarié par ce qu'il vient de se passer. L'anglais préfère prendre son temps pour réfléchir à une stratégie mais l'arbitre commence le décompte à l'extérieur. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, Dos Caras Jr monte sur le turnbuckle rapidement et saute sur son adversaire. Dos Caras Jr relève Wade Barrett et le remet dans le ring. Dos Caras Jr monte à son tour lui aussi, mais l'anglais le surprend avec un big boot. Wade Barrett relève Dos Caras Jr, pour le pendulum backbreaker. Wade Barrett monte sur la troisième corde, diving elbow drop ! Wade Barrett tente le pinfall. 1, 2, dégagement. Wade Barrett relève doucement son adversaire, mais notre inconnu surprend l'anglais avec le double knee armbreaker suivi dans la foulée du cross armbreaker ! Cette prise bien connue pour être utilisée par un certain Alberto Del Rio, le suspens quant à l'identité de Dos Caras Jr est à son paroxysme, surtout lorsque l'on sait qu'Alberto Del Rio n'est pas Dos Caras Jr ce soir. Wade Barrett n'arrive d'ailleurs pas à se défaire de cette prise, mais le voilà sauvé par Claudio Castagnoli qui vient de sauter sur l'apron du ring afin de déstabiliser l'homme masqué. Dos Caras Jr lâche la prise et essaie de frapper Claudio Castagnoli, mais celui-ci l'esquive en redescendant du ring. Wade Barrett est déjà à l'affût, school boy small package ! 1, 2, 3 ! Wade Barrett se retire rapidement alors que Dos Caras Jr pointe Claudio Castagnoli du doigt. Victoire de Wade Barrett sur Dos Caras Jr grâce à une intervention de Claudio Castagnoli. La guerre est définitivement lancée !
Booker T – You're in deep shit Claudio Castagnoli.
Bill DeMott – La présence de Claudio Castagnoli ne semble pas plaire à Dos Caras, Jr. qui le fixe du doigt afin de lui faire comprendre que ce sera lui le prochain. Oh, wait a second !
Wade Barrett revient à la charge et donne un coup d'avant-bras dans la nuque de Dos Caras qui s'écroule par terre. Ne jamais tourner le dos à un adversaire, même quand le match est terminé. Claudio Castagnoli et Wade Barrett se serrent la main, Wade Barrett offre Dos Caras à Claudio Castagnoli sur un plateau d'argent. Le suisse s'amuse et donne des coups de pieds dans les côtes de son ennemi. Il se met au-dessus de lui et essaie de lui retirer son masque. Dos Caras essaie de résister mais Claudio Castagnoli semble avoir plus de peps pour mener à terme son opération, le masque est retiré ! Dos Caras sort rapidement du ring en se tenant le visage, mais il finit par se retourner une fois en sécurité. On découvre alors que Dos Caras, Jr. n'était nul autre que Ricardo Rodriguez, l'annonceur personnel d'Alberto Del Rio. Claudio Castagnoli l'observe, wtf.
Booker T – Alberto Del Rio's personal announcer, Ricardo Rodriguez !
Bill DeMott – Evidemment, pourquoi n'y ai-je pas penser plus tôt ? Alberto Del Rio est le seul à avoir eu des problèmes avec l'immigration. Ricardo Rodriguez, lui, n'a pas été expulsé. Quel preuve de courage de la part d'un simple annonceur, qui nous a quand même montré ce soir quelques qualités dans le ring de l'Attitude Wrestling Corporation. Nous aurons certainement des explications de la part de Ricardo Rodriguez la semaine prochaine !
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Re: Attitude #11.
Dans quelques secondes, Shawn Michaels en découdra avec Gregory Helms, mais pour le moment nous sommes en backstages. Trish Stratus vient de sortir de la douche (elle se prépare pour plus tard), et alors qu'elle vient de passer la tête en dehors de sa loge pour regarder ce qu'il se passe, elle aperçoit Shelton Benjamin, au loin.
Trish Stratus – Shelton ! Shelton, attends s'il te plait.
Benjamin n'a rien entendu, et continue sa route. Trish réfléchit rapidement, parce que faut dire qu'elle est quand même nue derrière sa porte, là. Elle enfile rapidement une serviette qu'elle passe autour du corps et se met à courir, encore toute trempée, dans les couloirs, pour rattraper Benjamin. Finalement, elle le rattrape, épuisée.
Shelton Benjamin – What the fuck ?
Trish Stratus – Désolé, c'est juste un masque aux huiles essentielles. Je sors tout juste de la douche et je n'ai pas eu le temps de me rhabiller. Je t'ai appelé mais tu n'as rien entendu, alors j'ai du improviser. J'ai quelques questions à te poser.
Shelton Benjamin – Dans cette tenue ?
Trish Stratus – Je suis professionnelle dans n'importe quelle situation. Il faut que l'on parle du défiq u'Edge t'a lancé la semaine dernière.
Shelton Benjamin – Pas besoin de discuter bien longtemps. Edge veut m'affronter ? Très bien. Edge veut m'affronter dans un match pour le titre ? Pas de souci. S'il veut un match contre moi pour le titre, je lui donne avec plaisir, à Stainless Steel.
Trish Stratus – Tu es certain de vouloir faire ça ?
Shelton sourit en coin avant de regarder sa précieuse ceinture de champion de la Corporation.
Shelton Benjamin – J'ai autant envie de l'affronter que lui a envie de m'affronter. Edge a déjà réussi à me surprendre deux fois, avec deux Spears. En plus, il a déjà réussi à me filer entre les doigts. Si je veux lui régler son compte, il n'y a pas d'autre solution que de me retrouver dans un match face à lui. De toute façon, je suis le champion, j'ai besoin d'un challengeur alors autant que ce soit Edge.
Trish Stratus – Si tu penses qu'il s'agit de la bonne solution pour toi, je vais en avertir Steve dès ce soir afin de rendre le match officiel.
Shelton Benjamin – J'ai un compte à régler avec Edge, et rien ne me ferait plus plaisir que de lui montrer que je peux le prendre à son propre jeu. Tu vois, Christian m'a appris une chose, l'important ce n'est pas de frapper et de s'en prendre à son adversaire le plus de fois possible n'importe où et n'importe quand pour l'affaiblir. Non, le plus important c'est de savoir attendre le moment opportun et de frapper un gros coup pour remporter la bataille finale. Edge a réussi à me mettre deux fois à terre, très bien je ne peux pas me cacher, bien joué. S'il veut, il pourra même me mettre à terre, ce soir encore. Mais le fait est que, personnellement, je préfère attendre au soir de Stainless Steel pour le mettre à terre une bonne fois pour toute et gagner mon combat pour conserver ma ceinture.
Trish Stratus – Fais quand même attention à ne pas te blesser avant ton combat, ça serait dommage que les assauts répétés d'Edge finissent par vraiment t'handicaper.
Shelton Benjamin – Ne t'inquiète pas, personne ne peut me stopper !
Shelton lâche un petit sourire à Stratus et part dans le couloir. Encore une fois, Stratus a réalisé un très bon travail d'interview et ce malgré les conditions de travail quelque peu dérisoires. D'ailleurs, j'aurai jamais cru pouvoir un jour placer ce set d'image dans un show.
Trish Stratus – Shelton ! Shelton, attends s'il te plait.
Benjamin n'a rien entendu, et continue sa route. Trish réfléchit rapidement, parce que faut dire qu'elle est quand même nue derrière sa porte, là. Elle enfile rapidement une serviette qu'elle passe autour du corps et se met à courir, encore toute trempée, dans les couloirs, pour rattraper Benjamin. Finalement, elle le rattrape, épuisée.
Shelton Benjamin – What the fuck ?
Trish Stratus – Désolé, c'est juste un masque aux huiles essentielles. Je sors tout juste de la douche et je n'ai pas eu le temps de me rhabiller. Je t'ai appelé mais tu n'as rien entendu, alors j'ai du improviser. J'ai quelques questions à te poser.
Shelton Benjamin – Dans cette tenue ?
Trish Stratus – Je suis professionnelle dans n'importe quelle situation. Il faut que l'on parle du défiq u'Edge t'a lancé la semaine dernière.
Shelton Benjamin – Pas besoin de discuter bien longtemps. Edge veut m'affronter ? Très bien. Edge veut m'affronter dans un match pour le titre ? Pas de souci. S'il veut un match contre moi pour le titre, je lui donne avec plaisir, à Stainless Steel.
Trish Stratus – Tu es certain de vouloir faire ça ?
Shelton sourit en coin avant de regarder sa précieuse ceinture de champion de la Corporation.
Shelton Benjamin – J'ai autant envie de l'affronter que lui a envie de m'affronter. Edge a déjà réussi à me surprendre deux fois, avec deux Spears. En plus, il a déjà réussi à me filer entre les doigts. Si je veux lui régler son compte, il n'y a pas d'autre solution que de me retrouver dans un match face à lui. De toute façon, je suis le champion, j'ai besoin d'un challengeur alors autant que ce soit Edge.
Trish Stratus – Si tu penses qu'il s'agit de la bonne solution pour toi, je vais en avertir Steve dès ce soir afin de rendre le match officiel.
Shelton Benjamin – J'ai un compte à régler avec Edge, et rien ne me ferait plus plaisir que de lui montrer que je peux le prendre à son propre jeu. Tu vois, Christian m'a appris une chose, l'important ce n'est pas de frapper et de s'en prendre à son adversaire le plus de fois possible n'importe où et n'importe quand pour l'affaiblir. Non, le plus important c'est de savoir attendre le moment opportun et de frapper un gros coup pour remporter la bataille finale. Edge a réussi à me mettre deux fois à terre, très bien je ne peux pas me cacher, bien joué. S'il veut, il pourra même me mettre à terre, ce soir encore. Mais le fait est que, personnellement, je préfère attendre au soir de Stainless Steel pour le mettre à terre une bonne fois pour toute et gagner mon combat pour conserver ma ceinture.
Trish Stratus – Fais quand même attention à ne pas te blesser avant ton combat, ça serait dommage que les assauts répétés d'Edge finissent par vraiment t'handicaper.
Shelton Benjamin – Ne t'inquiète pas, personne ne peut me stopper !
Shelton lâche un petit sourire à Stratus et part dans le couloir. Encore une fois, Stratus a réalisé un très bon travail d'interview et ce malgré les conditions de travail quelque peu dérisoires. D'ailleurs, j'aurai jamais cru pouvoir un jour placer ce set d'image dans un show.
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Re: Attitude #11.
Bill DeMott – Tu sais quoi, Booker ? Hier soir, ma femme a dit que j'étais son sexy boy à elle.
Booker T – Oh my god ! Tell me, Bill, you just did not just say that, please !
Bill DeMott – Bon, c'est vrai que j'ai pas le charme de Shawn Michaels, que je ne l'aurai jamais et que j'aurai encore moins la grande carrière qu'il a eu, mais le plus important c'est ce qu'il y a à l'intérieur, tu ne crois pas ?
Booker T – Si tu veux mon avis, Helms, il est avec Sky pour ce qu'elle a à l'extérieur.
Bill DeMott – Tu sais, dans ce cas je peux en dire autant pour ma femme. Regarde moi, c'est vrai quoi, j'ai pas la carrure d'un mannequin, mais j'ai la poitrine au moins aussi grosse que celle de Velvet Sky, et ça doit compter pour ma femme.
Booker T – Oh my god ! Tell me, Bill, you just did not just say that, please !
Bill DeMott – Tu en as pas marre de te répéter, Booker ?
Booker T – J'vais te dire ce qui m'énerve vraiment Bill, c'est de devoir m'occuper de la paperasse à la place de ceux qui sont chargés de le faire mais qui ont toujours un empêchement pour le faire. J'serais pas là éternellement pour les aider, moi.
Bill DeMott – Et Shawn Michaels non plus, alors essayons plutôt de profiter de ce match et du HeartBreak Kid qui a choisit de repousser l'heure de la retraite pour notre plus grand plaisir.
Booker T – Here we go, Bill !
» FIGHT ! «
La cloche vient de sonner et les deux hommes entament de suite une phase plutôt technique à base de headlocks, armlocks et autres tentatives pour prendre la mesure de son adversaire. Malgré les encouragements de sa belle, Gregory Helms finit par céder et Shawn Michaels le met à terre avec un Single Leg Takedown et enchaine ensuite avec une Leg Drop sur le bras de Helms. Michaels travaille sur le bras de son adversaire mais Helms revient dans la partie en contrant une projection dans les cordes et réussit à porter une Clothesline pour renverser le cours du combat. Helms enchaine plusieurs prises, réussissant notamment un très jolie Neckbreaker qui lui vaut d'obtenir un compte de deux. Il tente ensuite de faire monter Michaels sur la troisième corde, mais ce dernier reprend ses esprits et repousse Helms à terre après une série de coups de coudes en pleine tête. L'occasion est trop belle pour le Showstopper qui s'élance du haut du turnbuckle pour porter un Diving Elbow Drop qui fait mouche. Michaels se relève et gigote dans tous les sens, pour le plus grand plaisir des fans. Il va se placer dans un coin et tape du pied plusieurs fois. Velvet Sky a beau prévenir son copain, l'ancien champion poids-léger se bouffe la botte de Michaels en pleine poire au moment où il se relève. Michaels n'a plus qu'à se coucher pour obtenir une nouvelle victoire ici, à l'Attitude Wrestling Corporation.
Booker T – Regarde Bill, c'est la classe à l'état peur ce Shawn Michaels. Le regard, l'attitude, le visage tourné vers les fans qui sautent de joie, c'est un grand showman.
Bill DeMott – Shawn vient surtout de démontrer qu'il est encore loin d'être bon pour la maison de retraite et qu'il a surtout encore de très beaux restes qui peuvent lui permettre de nous offrir encore quelques matchs d'anthologies.
Booker T – Les légendes ne meurent jamais.
The Icon repart avec une nouvelle victoire à ranger à son long palmarès, alors que Gregory Helms lui, vient de récupérer une nouvelle défaite. Velvet Sky vient à ses côtés pour l'aider à se relever quand sur la rampe...
Homicide et Sabian s'approchent du ring en marchant et en pointant du doigt le couple au centre du ring. Alors que les deux adeptes de la fourchette se rapprochent du ring, Helms fait signe à Sky de partir. Celle-ci prend son homme par l'épaule et l'amène à l'extérieur. Mais Sabian avait prévu le coup et se présente devant eux. Les voilà pris en sandwich. Helms s'écarte et décide d'aller aux devant des deux emmerdeurs qui le bousculent une première fois, puis une deuxième. Homicide se marre avant d'aller sérieusement se rapprocher du Cruiserweight et de sa donzelle. Finalement, celui-ci prend la décision qui lui parait la plus sage, c'est à dire de s'éloigner. Lui et Velvet s'éloignent avec précaution, Sabian et Cide les laissant faire, sans les suivre, mais en continuant à les railler. Le couple vient de rentrer en backstage, et les deux autres en profitent pour prendre possession du ring et y aller de quelques taunts.
Booker T – Oh my god ! Tell me, Bill, you just did not just say that, please !
Bill DeMott – Bon, c'est vrai que j'ai pas le charme de Shawn Michaels, que je ne l'aurai jamais et que j'aurai encore moins la grande carrière qu'il a eu, mais le plus important c'est ce qu'il y a à l'intérieur, tu ne crois pas ?
Booker T – Si tu veux mon avis, Helms, il est avec Sky pour ce qu'elle a à l'extérieur.
Bill DeMott – Tu sais, dans ce cas je peux en dire autant pour ma femme. Regarde moi, c'est vrai quoi, j'ai pas la carrure d'un mannequin, mais j'ai la poitrine au moins aussi grosse que celle de Velvet Sky, et ça doit compter pour ma femme.
Booker T – Oh my god ! Tell me, Bill, you just did not just say that, please !
Bill DeMott – Tu en as pas marre de te répéter, Booker ?
Booker T – J'vais te dire ce qui m'énerve vraiment Bill, c'est de devoir m'occuper de la paperasse à la place de ceux qui sont chargés de le faire mais qui ont toujours un empêchement pour le faire. J'serais pas là éternellement pour les aider, moi.
Bill DeMott – Et Shawn Michaels non plus, alors essayons plutôt de profiter de ce match et du HeartBreak Kid qui a choisit de repousser l'heure de la retraite pour notre plus grand plaisir.
Booker T – Here we go, Bill !
» FIGHT ! «
La cloche vient de sonner et les deux hommes entament de suite une phase plutôt technique à base de headlocks, armlocks et autres tentatives pour prendre la mesure de son adversaire. Malgré les encouragements de sa belle, Gregory Helms finit par céder et Shawn Michaels le met à terre avec un Single Leg Takedown et enchaine ensuite avec une Leg Drop sur le bras de Helms. Michaels travaille sur le bras de son adversaire mais Helms revient dans la partie en contrant une projection dans les cordes et réussit à porter une Clothesline pour renverser le cours du combat. Helms enchaine plusieurs prises, réussissant notamment un très jolie Neckbreaker qui lui vaut d'obtenir un compte de deux. Il tente ensuite de faire monter Michaels sur la troisième corde, mais ce dernier reprend ses esprits et repousse Helms à terre après une série de coups de coudes en pleine tête. L'occasion est trop belle pour le Showstopper qui s'élance du haut du turnbuckle pour porter un Diving Elbow Drop qui fait mouche. Michaels se relève et gigote dans tous les sens, pour le plus grand plaisir des fans. Il va se placer dans un coin et tape du pied plusieurs fois. Velvet Sky a beau prévenir son copain, l'ancien champion poids-léger se bouffe la botte de Michaels en pleine poire au moment où il se relève. Michaels n'a plus qu'à se coucher pour obtenir une nouvelle victoire ici, à l'Attitude Wrestling Corporation.
Booker T – Regarde Bill, c'est la classe à l'état peur ce Shawn Michaels. Le regard, l'attitude, le visage tourné vers les fans qui sautent de joie, c'est un grand showman.
Bill DeMott – Shawn vient surtout de démontrer qu'il est encore loin d'être bon pour la maison de retraite et qu'il a surtout encore de très beaux restes qui peuvent lui permettre de nous offrir encore quelques matchs d'anthologies.
Booker T – Les légendes ne meurent jamais.
The Icon repart avec une nouvelle victoire à ranger à son long palmarès, alors que Gregory Helms lui, vient de récupérer une nouvelle défaite. Velvet Sky vient à ses côtés pour l'aider à se relever quand sur la rampe...
Homicide et Sabian s'approchent du ring en marchant et en pointant du doigt le couple au centre du ring. Alors que les deux adeptes de la fourchette se rapprochent du ring, Helms fait signe à Sky de partir. Celle-ci prend son homme par l'épaule et l'amène à l'extérieur. Mais Sabian avait prévu le coup et se présente devant eux. Les voilà pris en sandwich. Helms s'écarte et décide d'aller aux devant des deux emmerdeurs qui le bousculent une première fois, puis une deuxième. Homicide se marre avant d'aller sérieusement se rapprocher du Cruiserweight et de sa donzelle. Finalement, celui-ci prend la décision qui lui parait la plus sage, c'est à dire de s'éloigner. Lui et Velvet s'éloignent avec précaution, Sabian et Cide les laissant faire, sans les suivre, mais en continuant à les railler. Le couple vient de rentrer en backstage, et les deux autres en profitent pour prendre possession du ring et y aller de quelques taunts.
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Re: Attitude #11.
L'agitation en ringside semble laisser place à un climat beaucoup plus calme. Shawn Michaels, qui a passé les dernières minutes en ringside à signer quelques autographes, faire jouir quelques minettes en chaleur et qui a partagé une partie de tarot avec Bill DeMott, s'apprête enfin à quitter le ring, loin de toute l'agitation du ringside. Enfin, à moins qu'on vienne le retenir.
Aussi sexy que l'Enfer, voici la duchesse des ténèbres, Michelle McCool. Je te passe les noms d'oiseaux qui volent dans ce même ringside qui est devenu un putain de champ de bataille et McCool semble comme une fleur au milieu d'un champ de patates.
Michelle McCool – Shawn, mon cher Shawn...
Michelle rejoint le ring et sous le regard d'HBK. Les fans, eux, continuent de huer la merveilleuse femme de l'Undertaker, reine du blowjob et en passe de devenir maitre dans l'art de l'handjob.
Michelle McCool – Permet moi de prendre quelques petites secondes de ton temps. Je ne te retiendrai pas plus qu'il ne le faut, mon temps est au moins aussi précieux que ma beauté. Mais je dois faire mon travail, et je dois le faire bien. En tant que ministre de l'information et duchesse des ténèbres, je viens représenter devant toi, Shawn, mon cher époux et légende, The Undertaker. Je viens donc te voir à titre officiel pour qu'ensemble, nous puissions savoir si oui ou non, le challenge lancé par mon mari t'intéresse.
Shawn Michaels – Tu veux que je te réponde sur le défi lancé à mon égard ?
Michelle McCool – Exactement, je suis ici pour te demander très clairement si oui ou non, l'homme que l'on connait comme le Main-Event, l'Icon, le Showstopper, M. Wrestlemania accepte de rentrer dans la cage de l'enfer pour conclure et boucler la boucle contre mon mari.
Shawn Michaels – Si tu me demandes d'entrer dans une cage pour lutter contre l'Undertaker, alors la réponse est non.
Stupéfaction dans la salle, les fans et même Michelle McCool ne semblent pas comprendre pourquoi Michaels refuse.
Michelle McCool – Est-ce que tu viens vraiment de refuser d'affronter l'Undertaker ?
Shawn Michaels – C'est ce que je viens de faire, oui.
Michelle McCool – Mais pourquoi ? Nous t'offrons un five stars match sur un plateau.
Shawn Michaels – Ce n'est pas ce que je cherche, désolé.
Michelle McCool – Mais alors, qu'est-ce que tu veux ?
Shawn Michaels – What I want ? Did you just ask the HeartBreak Kid about what he want ? Well, let me tell you something, barbie. I don't wanna go in a cage with The Undertaker. What I want is going to Hell with The Undertaker. I wanna definitely stop the show of The Undertaker ! The Showstopper is not just a name, it's damn real ! And you know why ? 'Cause I can.
Michelle McCool – Je prends cela pour une réponse positive.
McCool sourit, elle vient de remplir à merveille la tâche qu'on lui avait confié, et elle peut maintenant tourner le dos à Michaels, prête à partir. Cependant, Shawn la retient par l'épaule.
Shawn Michaels – Michelle ?
Michelle McCool – Oui ?
Shawn Michaels – Je voudrais te remercier...
Michelle McCool – Mais avec plais-...
SWEET CHIN MUSIC ! Shawn vient d'éclater la mâchoire de Michelle McCool pour le plus grand bonheur de ses santiags et des fans présents ce soir dans l'arena. Une chose est sûre, la ptite McCool, c'est pas demain la veille qu'elle ira re-bouffer de la Chupa Chups.
Shawn Michaels – Courtoisie du HeartBreak Kid !
Mine de rien, Shawn Michaels, dans trois semaines, il va rentrer dans la cage du Hell in a Cell contre l'Undertaker pour un remake du plus grand match en cage de l'histoire de la lutte professionnelle. La foule est debout, applaudissant et scandant le nom du Showstopper, qui peut enfin rejoindre les backstages. Michelle McCool, elle, est raccompagnée en backstages sur civière, la mâchoire disloquée.
Aussi sexy que l'Enfer, voici la duchesse des ténèbres, Michelle McCool. Je te passe les noms d'oiseaux qui volent dans ce même ringside qui est devenu un putain de champ de bataille et McCool semble comme une fleur au milieu d'un champ de patates.
Michelle McCool – Shawn, mon cher Shawn...
Michelle rejoint le ring et sous le regard d'HBK. Les fans, eux, continuent de huer la merveilleuse femme de l'Undertaker, reine du blowjob et en passe de devenir maitre dans l'art de l'handjob.
Michelle McCool – Permet moi de prendre quelques petites secondes de ton temps. Je ne te retiendrai pas plus qu'il ne le faut, mon temps est au moins aussi précieux que ma beauté. Mais je dois faire mon travail, et je dois le faire bien. En tant que ministre de l'information et duchesse des ténèbres, je viens représenter devant toi, Shawn, mon cher époux et légende, The Undertaker. Je viens donc te voir à titre officiel pour qu'ensemble, nous puissions savoir si oui ou non, le challenge lancé par mon mari t'intéresse.
Shawn Michaels – Tu veux que je te réponde sur le défi lancé à mon égard ?
Michelle McCool – Exactement, je suis ici pour te demander très clairement si oui ou non, l'homme que l'on connait comme le Main-Event, l'Icon, le Showstopper, M. Wrestlemania accepte de rentrer dans la cage de l'enfer pour conclure et boucler la boucle contre mon mari.
Shawn Michaels – Si tu me demandes d'entrer dans une cage pour lutter contre l'Undertaker, alors la réponse est non.
Stupéfaction dans la salle, les fans et même Michelle McCool ne semblent pas comprendre pourquoi Michaels refuse.
Michelle McCool – Est-ce que tu viens vraiment de refuser d'affronter l'Undertaker ?
Shawn Michaels – C'est ce que je viens de faire, oui.
Michelle McCool – Mais pourquoi ? Nous t'offrons un five stars match sur un plateau.
Shawn Michaels – Ce n'est pas ce que je cherche, désolé.
Michelle McCool – Mais alors, qu'est-ce que tu veux ?
Shawn Michaels – What I want ? Did you just ask the HeartBreak Kid about what he want ? Well, let me tell you something, barbie. I don't wanna go in a cage with The Undertaker. What I want is going to Hell with The Undertaker. I wanna definitely stop the show of The Undertaker ! The Showstopper is not just a name, it's damn real ! And you know why ? 'Cause I can.
Michelle McCool – Je prends cela pour une réponse positive.
McCool sourit, elle vient de remplir à merveille la tâche qu'on lui avait confié, et elle peut maintenant tourner le dos à Michaels, prête à partir. Cependant, Shawn la retient par l'épaule.
Shawn Michaels – Michelle ?
Michelle McCool – Oui ?
Shawn Michaels – Je voudrais te remercier...
Michelle McCool – Mais avec plais-...
SWEET CHIN MUSIC ! Shawn vient d'éclater la mâchoire de Michelle McCool pour le plus grand bonheur de ses santiags et des fans présents ce soir dans l'arena. Une chose est sûre, la ptite McCool, c'est pas demain la veille qu'elle ira re-bouffer de la Chupa Chups.
Shawn Michaels – Courtoisie du HeartBreak Kid !
Mine de rien, Shawn Michaels, dans trois semaines, il va rentrer dans la cage du Hell in a Cell contre l'Undertaker pour un remake du plus grand match en cage de l'histoire de la lutte professionnelle. La foule est debout, applaudissant et scandant le nom du Showstopper, qui peut enfin rejoindre les backstages. Michelle McCool, elle, est raccompagnée en backstages sur civière, la mâchoire disloquée.
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Re: Attitude #11.
Booker T – Voyons voir, j‘ai l‘impression que ce soir, on nous ressort des combats ayant donné lieu dans le passé à de grandes rivalités puisque en début de soirée, nous avons eu The Undertaker face à Randy Orton et là nous avons...
Bill DeMott – Une chialeuse canadienne face à... une autre chialeuse canadienne. Ouah, quel combat en perspective. Faut que j‘aille donner des cours de lutte au Canada. C‘est pas des hommes qu‘on a là ce soir.
Booker T – Bill, on se passera de certains de tes commentaires des fois. Il faut savoir être objectif. Et précisément nous avons Christian Cage face à Chris Jericho.
Booker T – Et puisque nous sommes objectifs, signalons que Christian Cage est The Attitude Champion... Oh My God ! Trish est avec lui. Sûrement pour mieux observer Chris Jericho.
Bill DeMott – Putain, Trish est passé du côté obscur de la force. Merde ! Trish tu peux t‘allier à lui, même si il nous a aidé face au Ministry ça reste un canadien... Ah merde, elle est canadienne.
Bill DeMott – Lui, je le déteste au plus haut point. Encore j‘aime pas Christian Cage mais il avait des couilles, lui c‘est pire. S‘en prendre à Andy et Trish, je le supporte pas.
Booker T – Il va se faire corriger ne t‘en fais pas. Les enfoirés comme lui ne survivent pas longtemps à l‘AWC. Jericho est vraiment rendu plus bas que terre désormais.
» FIGHT ! «
Les deux canadiens se connaissent et on est partit pour un classique, Christian Cage face à Chris Jericho, en plus avec Trish Stratus aux côtés de Christian Cage, ça nous rappelle des souvenirs. Toujours est-il que The Attitude Champion est le plus dangereux. Il commence à 200% et claque un Spinning Heel Kick rapidement suivit d‘une belle domination. Cependant, Chris Jericho n‘est pas né de la dernière pluie et il retourne le combat à son avantage assez vite. Il retombe sur ses pieds suite à une tentative de Back Suplex de Christian et part dans les cordes pour revenir claquer un Running Bulldog. L‘affrontement continue de manière très serré et lors d‘une phase dans un coin, Christian part pour un Sunset Flip mais Chris Jericho renverse le tout... Walls Of Jericho ! La prise de soumission est enclenchée au centre du ring. The Attitude Champion est en difficulté.
Booker T – Come On Christian ! Chris Jericho vient parfaitement de contrer Christian Cage et voilà que ce dernier est au centre du ring, loin, très loin des cordes.
Bill DeMott – Là on va voir si il mérite sa putain de ceinture. Là on va voir si c‘est le champion. A moins qu'il abandonne comme une fillette.
« IT’S TIME TO PLAY THE GAME ! »
Booker T – Mon Dieu ! Triple H est là. Il vient narguer Christian Cage alors que celui-ci est en difficulté. Il faut l‘avouer, Triple H est vraiment The Game. Il sait jouer avec ses adversaires.
Alors que Christian Cage souffre dans le ring, Triple H s‘avance de quelques pas, et s‘arrête aux abords du ring, encore sur la rampe d‘accès. Il regarde son futur adversaire lors de Stainless Steel avec un léger sourire sur le visage.
L‘arrivée de son challenger semble redonner des forces à Christian Cage. Pas question pour lui d‘abandonner et de perdre la face devant Triple H. Il se tracte et à la force de ses bras, il se rapproche des cordes. Il y est presque... Non, Chris Jericho le ramène au centre du ring... Mais Captain Charisma renverse, Small Packstage, et le Pinfall est évité de justesse par Jericho. Les deux hommes se relève malgré une énorme douleur pour Christian Cage au niveau du dos. Cependant cela n‘empêche pas ce dernier de claquer son adversaire très fort. Celui-ci recule de quelques pas et Cage se jette dessus... Spear ! Le champion suprême de l‘AWC ne peut enchaîner son dos le faire souffrir sur le coup. La fin du combat approche puisque les deux se retrouvent à se faire face et Christian tente un Inverted DDT mais Chris Jericho contre... Codebreaker ! C‘est repoussé ! The Ayatollah of Rock‘n Rolla vient de s‘éclater le dos sur le ring, il se relève mais une occasion comme ça, un champion ne la loupe pas... Killswitch !! Suivit du pinfall !
Booker T – Magnifique combat. C‘était vraiment un énorme combat et j‘en redemande plus des comme ça.
Bill DeMott – Triple H repart, il a fini de voir ce qu‘il voulait voir. Il a voulu jouer avec Cage mais celui-ci a été au-dessus des règles ce soir.
Bill DeMott – Une chialeuse canadienne face à... une autre chialeuse canadienne. Ouah, quel combat en perspective. Faut que j‘aille donner des cours de lutte au Canada. C‘est pas des hommes qu‘on a là ce soir.
Booker T – Bill, on se passera de certains de tes commentaires des fois. Il faut savoir être objectif. Et précisément nous avons Christian Cage face à Chris Jericho.
Booker T – Et puisque nous sommes objectifs, signalons que Christian Cage est The Attitude Champion... Oh My God ! Trish est avec lui. Sûrement pour mieux observer Chris Jericho.
Bill DeMott – Putain, Trish est passé du côté obscur de la force. Merde ! Trish tu peux t‘allier à lui, même si il nous a aidé face au Ministry ça reste un canadien... Ah merde, elle est canadienne.
Bill DeMott – Lui, je le déteste au plus haut point. Encore j‘aime pas Christian Cage mais il avait des couilles, lui c‘est pire. S‘en prendre à Andy et Trish, je le supporte pas.
Booker T – Il va se faire corriger ne t‘en fais pas. Les enfoirés comme lui ne survivent pas longtemps à l‘AWC. Jericho est vraiment rendu plus bas que terre désormais.
» FIGHT ! «
Les deux canadiens se connaissent et on est partit pour un classique, Christian Cage face à Chris Jericho, en plus avec Trish Stratus aux côtés de Christian Cage, ça nous rappelle des souvenirs. Toujours est-il que The Attitude Champion est le plus dangereux. Il commence à 200% et claque un Spinning Heel Kick rapidement suivit d‘une belle domination. Cependant, Chris Jericho n‘est pas né de la dernière pluie et il retourne le combat à son avantage assez vite. Il retombe sur ses pieds suite à une tentative de Back Suplex de Christian et part dans les cordes pour revenir claquer un Running Bulldog. L‘affrontement continue de manière très serré et lors d‘une phase dans un coin, Christian part pour un Sunset Flip mais Chris Jericho renverse le tout... Walls Of Jericho ! La prise de soumission est enclenchée au centre du ring. The Attitude Champion est en difficulté.
Booker T – Come On Christian ! Chris Jericho vient parfaitement de contrer Christian Cage et voilà que ce dernier est au centre du ring, loin, très loin des cordes.
Bill DeMott – Là on va voir si il mérite sa putain de ceinture. Là on va voir si c‘est le champion. A moins qu'il abandonne comme une fillette.
« IT’S TIME TO PLAY THE GAME ! »
Booker T – Mon Dieu ! Triple H est là. Il vient narguer Christian Cage alors que celui-ci est en difficulté. Il faut l‘avouer, Triple H est vraiment The Game. Il sait jouer avec ses adversaires.
Alors que Christian Cage souffre dans le ring, Triple H s‘avance de quelques pas, et s‘arrête aux abords du ring, encore sur la rampe d‘accès. Il regarde son futur adversaire lors de Stainless Steel avec un léger sourire sur le visage.
L‘arrivée de son challenger semble redonner des forces à Christian Cage. Pas question pour lui d‘abandonner et de perdre la face devant Triple H. Il se tracte et à la force de ses bras, il se rapproche des cordes. Il y est presque... Non, Chris Jericho le ramène au centre du ring... Mais Captain Charisma renverse, Small Packstage, et le Pinfall est évité de justesse par Jericho. Les deux hommes se relève malgré une énorme douleur pour Christian Cage au niveau du dos. Cependant cela n‘empêche pas ce dernier de claquer son adversaire très fort. Celui-ci recule de quelques pas et Cage se jette dessus... Spear ! Le champion suprême de l‘AWC ne peut enchaîner son dos le faire souffrir sur le coup. La fin du combat approche puisque les deux se retrouvent à se faire face et Christian tente un Inverted DDT mais Chris Jericho contre... Codebreaker ! C‘est repoussé ! The Ayatollah of Rock‘n Rolla vient de s‘éclater le dos sur le ring, il se relève mais une occasion comme ça, un champion ne la loupe pas... Killswitch !! Suivit du pinfall !
Booker T – Magnifique combat. C‘était vraiment un énorme combat et j‘en redemande plus des comme ça.
Bill DeMott – Triple H repart, il a fini de voir ce qu‘il voulait voir. Il a voulu jouer avec Cage mais celui-ci a été au-dessus des règles ce soir.
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Re: Attitude #11.
Plus tôt dans la soirée, Shawn Michaels a enregistré une nouvelle victoire, enregistrant ainsi une défaite pour Gregory Helms. Nous sommes à quelques pas du vestiaire de celui-ci qui après avoir livré son match, est en train de plier ses affaires, prêt à quitter l'Arena. La caméra suit actuellement Bryan Danielson, qui s'approche des lieux, cherchant l'homme en question.
Bryan Danielson – Gregory ? Gregory !
Ça y est, le cruiserweight a entendu son nom dans le couloir et tourne la tête vers la porte. Danielson, qui entre dans le vestiaire, sourit à la vue de son ancien partenaire.
Gregory Helms – Ah. Salut Bryan.
Bryan Danielson – Sa... Salut.
Danielson continue à sourire jusqu'à ce qu'Helms lui signale son attitude. Il est pressé lui.
Gregory Helms – Tu veux... ?
Bryan Danielson – Je voulais juste te parler. Enfin, il y a deux semaines tu m'as dit que tu voulais te débrouiller seul, et je le comprends, hein. Mais je voulais, disons, savoir qu'est-ce que tu devenais maintenant.
Gregory Helms – Je fais ce que j'ai toujours voulu faire Bryan. Je lutte. Seul.
Bryan Danielson – Ouais, ouais, je me doute, mais... T'as pas... d'ennuis ?
Gregory Helms – Non.
Bryan Danielson – Pas d'ennuis ?
Gregory Helms – Rien qui me vienne à l'esprit.
C'est dans l'esprit de Danielson en tout cas que ça cogite. Après quelques nouvelles secondes de silence, c'est lui qui l'ouvre le premier, comme pour avouer quelque chose d'important.
Bryan Danielson – La vérité Gregory c'est que je suis toutes tes apparitions depuis notre défaite à Ground Zero...
Gregory Helms – Bryan... Il faut que tu passes à autre chose.
Bryan Danielson – On est peut-être plus ensemble, mais on reste des amis. Non ?
Ce segment ne témoigne en aucun cas d'une relation gay entre les deux hommes.
Gregory Helms – C'est ma carrière, mes matchs, plus les tiens, plus les nôtres.
Bryan Danielson – Je suis ton parcours car je suis le parcours d'un ami ! Je voulais savoir ce que tu allais faire maintenant, quels étaient ces fameux projets dont tu m'a parlé la dernière fois. Et j'ai pas pu m'empêcher de constater que tu avais quelques ennuis avec Homicide et Sabian...
Gregory Helms – C'est rien tout ça.
Bryan Danielson – Écoute moi Gregory. T'as pas à jouer à ça, tu peux t'appuyer sur moi. Tu peux demander mon aide, c'est pas un problème. Je sais qu'à nous deux on peut les faire arrêter leur connerie. American Dragon, Greatest Alliance, you know ?
Gregory Helms – C'est rien je te dis. Juste deux cons qui s'amusent à leur façon.
Bryan Danielson – On peut régler ce problème je te dis !
Gregory Helms – Et moi je te dis que c'est pas la peine !
Nouveau moment de blanc. Danielson a la tête baisse.
Gregory Helms – Excuse moi, je dois y aller.
Helms pose son sac sur son épaule et quitte les vestiaires. Il se dirige vers l'aile des femmes, probablement pour aller chercher Velvet, et laisse Danielson seul. Celui-ci après avoir gardé longtemps la tête penché la relève enfin et sourit. Il regarde la porte par laquelle son ancien coéquipier vient de disparaitre et semble avoir trouvé solution à ses problèmes.
Bryan Danielson – T'inquiète pas Gregory, je vais arranger ça !
On laisse maintenant Danielson et ses plans, pour revenir au déroulement classique du show.
Bryan Danielson – Gregory ? Gregory !
Ça y est, le cruiserweight a entendu son nom dans le couloir et tourne la tête vers la porte. Danielson, qui entre dans le vestiaire, sourit à la vue de son ancien partenaire.
Gregory Helms – Ah. Salut Bryan.
Bryan Danielson – Sa... Salut.
Danielson continue à sourire jusqu'à ce qu'Helms lui signale son attitude. Il est pressé lui.
Gregory Helms – Tu veux... ?
Bryan Danielson – Je voulais juste te parler. Enfin, il y a deux semaines tu m'as dit que tu voulais te débrouiller seul, et je le comprends, hein. Mais je voulais, disons, savoir qu'est-ce que tu devenais maintenant.
Gregory Helms – Je fais ce que j'ai toujours voulu faire Bryan. Je lutte. Seul.
Bryan Danielson – Ouais, ouais, je me doute, mais... T'as pas... d'ennuis ?
Gregory Helms – Non.
Bryan Danielson – Pas d'ennuis ?
Gregory Helms – Rien qui me vienne à l'esprit.
C'est dans l'esprit de Danielson en tout cas que ça cogite. Après quelques nouvelles secondes de silence, c'est lui qui l'ouvre le premier, comme pour avouer quelque chose d'important.
Bryan Danielson – La vérité Gregory c'est que je suis toutes tes apparitions depuis notre défaite à Ground Zero...
Gregory Helms – Bryan... Il faut que tu passes à autre chose.
Bryan Danielson – On est peut-être plus ensemble, mais on reste des amis. Non ?
Ce segment ne témoigne en aucun cas d'une relation gay entre les deux hommes.
Gregory Helms – C'est ma carrière, mes matchs, plus les tiens, plus les nôtres.
Bryan Danielson – Je suis ton parcours car je suis le parcours d'un ami ! Je voulais savoir ce que tu allais faire maintenant, quels étaient ces fameux projets dont tu m'a parlé la dernière fois. Et j'ai pas pu m'empêcher de constater que tu avais quelques ennuis avec Homicide et Sabian...
Gregory Helms – C'est rien tout ça.
Bryan Danielson – Écoute moi Gregory. T'as pas à jouer à ça, tu peux t'appuyer sur moi. Tu peux demander mon aide, c'est pas un problème. Je sais qu'à nous deux on peut les faire arrêter leur connerie. American Dragon, Greatest Alliance, you know ?
Gregory Helms – C'est rien je te dis. Juste deux cons qui s'amusent à leur façon.
Bryan Danielson – On peut régler ce problème je te dis !
Gregory Helms – Et moi je te dis que c'est pas la peine !
Nouveau moment de blanc. Danielson a la tête baisse.
Gregory Helms – Excuse moi, je dois y aller.
Helms pose son sac sur son épaule et quitte les vestiaires. Il se dirige vers l'aile des femmes, probablement pour aller chercher Velvet, et laisse Danielson seul. Celui-ci après avoir gardé longtemps la tête penché la relève enfin et sourit. Il regarde la porte par laquelle son ancien coéquipier vient de disparaitre et semble avoir trouvé solution à ses problèmes.
Bryan Danielson – T'inquiète pas Gregory, je vais arranger ça !
On laisse maintenant Danielson et ses plans, pour revenir au déroulement classique du show.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #11.
Booker T – Et c'est l'heure du Main Event Bill, pour encore un Tag Team Match !
Bill DeMott – Dieu sait que j'aime pas ce style de lutte, et pourtant ça va être la troisième fois que j'en commente un dans la même soirée. Faudrait vraiment aller parler à l'enculé qui monte les cartes, hein.
Booker T – S'engueuler avec les Dudley, ça vous change un homme dawg, regarde le bouger ses bras le Primo, ça fait badass.
Bill DeMott – Il y a rien à faire, je me ferais jamais à leur dégaine.
Booker T – Tout le monde est pressé d'être sur le ring ce soir.
Bill DeMott – Si pour Edge c'est peut-être une habitude, pour les trois autres, un Main Event ça motive Booker, et il va bien falloir qu'ils pissent droit pour faire bonne impression !
» FIGHT ! «
Ce Main Event débute avec Primo et Shelton Benjamin sur le ring. L'opposition promet d'être explosive mais on commence "en douceur" avec du mat wrestling. A ce jeu là, Benjamin a l'avantage et il prend vite l'avantage sur le Colon qui subit un enchainement de différentes clés de bras, et enfin une première Suplex ! Petit à petit le Gold Standard prend un gros avantage mais à force de trop vouloir soulever son vis-à-vis, il en perd le contrôle et le laisse bondir pour faire le tag. Carlito entre, dans un style déjà plus en force. Une clothesline, une deuxième, et un Atomic Drop ! Shelty-B se tient les parties et veut aller faire le tag mais il se fait rattraper par le bras et projeté à l'opposé. Il rebondit dans les cordes et... riposte avec un Forearm Smash ! Le black trépigne et vient maintenant claquer un Enzuigiri au Colon qui se relevait pour le premier tombé. Seulement 2 ! Carlito est relevé et projeté dans le coin où le tag est fait. Edge rentre et travaille le porto ricain à coup de poing. Il s'empare maintenant de lui pour un Mat Slam... roll up ! 1, 2 ! Carlito a failli surprendre la Rated-R Superstar ! Il fait le tag avec son frère qui rentre et passe dans le dos de Edge. Il répète cette manœuvre à plusieurs reprises mais ce petit jeu agace ce dernier, qui recule avant de coller un Big Boot !
Bill DeMott – Qu'est-ce qu'il a voulu faire le petit moustachu là ?
Booker T – Manque d'expérience, manque d'expérience.
1 et 2, et... dégagement ! Edge relève son adversaire et le projette dans les cordes opposés, attend son retour... Mais voilà que Primo s'élève au dessus de lui pour passer dans son dos ! Edge est surpris, mais trop peu longtemps, il se retourne, kick to gut et... Edgecution ! La prise est portée sous les huées du public mais le Colon roule à l'extérieur du ring, hors de portée du tombé. Edge se tient la tête mais décide de faire le tag avec Benjamin qui choisit immédiatement l'option Suicide Dive à l'extérieur du ring ! Le public s'est levé pour voir les deux hommes s'écraser contre la rambarde ! L'arbitre regarde les dégâts et commence son décompte à l'extérieur, faisant prendre à Carlito la décision de ramener lui même son frère dans le ring ! Edge descend pour indiquer au touffu ce qu'il pense de son geste, les deux s'embrouillent... Gutbuster de Carlito ! Ovation pour le touffu pendant que Benjamin lui, remonte dans le ring, face à son frère. Il est sonné et Primo en profite pour passer dans son dos... Backstabber ?! Benjamin s'est agrippé aux cordes ! Il se retourne et... Superkick sur le cadet Colon ! One, two, three, he did it !
Booker T – C'est bien, tu peux récupérer ta ceinture, t'as fait le boulot mon frère.
Bill DeMott – Putain vous faites chier !
Booker T – Quoi encore ?
Bill DeMott – Tu sais très bien de quoi je parle Booker !
On laisse Bill et Booker se chamailler pour revenir en gros plan sur les vainqueurs de ce Main Event et plus particulièrement sur Benjamin qui après avoir gagné le titre confirme sa bonne forme actuelle et...
ET SPEAR ! ET SPEAR ?! Edge est remonté dans le ring et vient de charger son partenaire, encore une fois ! Ce Main Event n'aurait évidemment pas pu se terminer aussi simplement, et le Canadien a bien fait comprendre qu'il en voulait toujours après Shelton et son titre. Celui-ci est désormais HS et laisse son rival fixer la ceinture Corporation, sur le ring, sûrement en se l'imaginant déjà autour des hanches. On est choqué et tout le tralala, mais il faut continuer puisqu'il n'est en effet pas encore temps de rendre l'antenne.
Bill DeMott – Dieu sait que j'aime pas ce style de lutte, et pourtant ça va être la troisième fois que j'en commente un dans la même soirée. Faudrait vraiment aller parler à l'enculé qui monte les cartes, hein.
Booker T – S'engueuler avec les Dudley, ça vous change un homme dawg, regarde le bouger ses bras le Primo, ça fait badass.
Bill DeMott – Il y a rien à faire, je me ferais jamais à leur dégaine.
Booker T – Tout le monde est pressé d'être sur le ring ce soir.
Bill DeMott – Si pour Edge c'est peut-être une habitude, pour les trois autres, un Main Event ça motive Booker, et il va bien falloir qu'ils pissent droit pour faire bonne impression !
» FIGHT ! «
Ce Main Event débute avec Primo et Shelton Benjamin sur le ring. L'opposition promet d'être explosive mais on commence "en douceur" avec du mat wrestling. A ce jeu là, Benjamin a l'avantage et il prend vite l'avantage sur le Colon qui subit un enchainement de différentes clés de bras, et enfin une première Suplex ! Petit à petit le Gold Standard prend un gros avantage mais à force de trop vouloir soulever son vis-à-vis, il en perd le contrôle et le laisse bondir pour faire le tag. Carlito entre, dans un style déjà plus en force. Une clothesline, une deuxième, et un Atomic Drop ! Shelty-B se tient les parties et veut aller faire le tag mais il se fait rattraper par le bras et projeté à l'opposé. Il rebondit dans les cordes et... riposte avec un Forearm Smash ! Le black trépigne et vient maintenant claquer un Enzuigiri au Colon qui se relevait pour le premier tombé. Seulement 2 ! Carlito est relevé et projeté dans le coin où le tag est fait. Edge rentre et travaille le porto ricain à coup de poing. Il s'empare maintenant de lui pour un Mat Slam... roll up ! 1, 2 ! Carlito a failli surprendre la Rated-R Superstar ! Il fait le tag avec son frère qui rentre et passe dans le dos de Edge. Il répète cette manœuvre à plusieurs reprises mais ce petit jeu agace ce dernier, qui recule avant de coller un Big Boot !
Bill DeMott – Qu'est-ce qu'il a voulu faire le petit moustachu là ?
Booker T – Manque d'expérience, manque d'expérience.
1 et 2, et... dégagement ! Edge relève son adversaire et le projette dans les cordes opposés, attend son retour... Mais voilà que Primo s'élève au dessus de lui pour passer dans son dos ! Edge est surpris, mais trop peu longtemps, il se retourne, kick to gut et... Edgecution ! La prise est portée sous les huées du public mais le Colon roule à l'extérieur du ring, hors de portée du tombé. Edge se tient la tête mais décide de faire le tag avec Benjamin qui choisit immédiatement l'option Suicide Dive à l'extérieur du ring ! Le public s'est levé pour voir les deux hommes s'écraser contre la rambarde ! L'arbitre regarde les dégâts et commence son décompte à l'extérieur, faisant prendre à Carlito la décision de ramener lui même son frère dans le ring ! Edge descend pour indiquer au touffu ce qu'il pense de son geste, les deux s'embrouillent... Gutbuster de Carlito ! Ovation pour le touffu pendant que Benjamin lui, remonte dans le ring, face à son frère. Il est sonné et Primo en profite pour passer dans son dos... Backstabber ?! Benjamin s'est agrippé aux cordes ! Il se retourne et... Superkick sur le cadet Colon ! One, two, three, he did it !
Booker T – C'est bien, tu peux récupérer ta ceinture, t'as fait le boulot mon frère.
Bill DeMott – Putain vous faites chier !
Booker T – Quoi encore ?
Bill DeMott – Tu sais très bien de quoi je parle Booker !
On laisse Bill et Booker se chamailler pour revenir en gros plan sur les vainqueurs de ce Main Event et plus particulièrement sur Benjamin qui après avoir gagné le titre confirme sa bonne forme actuelle et...
ET SPEAR ! ET SPEAR ?! Edge est remonté dans le ring et vient de charger son partenaire, encore une fois ! Ce Main Event n'aurait évidemment pas pu se terminer aussi simplement, et le Canadien a bien fait comprendre qu'il en voulait toujours après Shelton et son titre. Celui-ci est désormais HS et laisse son rival fixer la ceinture Corporation, sur le ring, sûrement en se l'imaginant déjà autour des hanches. On est choqué et tout le tralala, mais il faut continuer puisqu'il n'est en effet pas encore temps de rendre l'antenne.
Stone Cold Steve Austin- Messages : 488
Age : 59
Lutteur Incarné : What ?
Attitude : 3:16
Re: Attitude #11.
Booker T – What's going on ?
Et il y a de quoi se poser des questions effectivement puisque tous les lutteurs de l'Attitude Wrestling Corporation sont de retour aux abords du ring.
Un dernier homme sort de l'ombre, et il s'agit ni plus ni moins que du champion Attitude en la personne de Christian Cage qui, sans fioritures, monte dans le ring armé d'un microphone.
Christian Cage – Thank you guys to be here, thank...
It's time to play the game, time to play the game ! Mu, ha, ha, ha, ha, ha... Sauf que la seule personne qui ne rigole pas ici, c'est Christian Cage. Vous l'aurez compris, Triple H vient lui aussi de faire son entrée dans l'arène.
Triple H rejoint Christian Cage dans le ring.
Christian Cage – Nice suit !
Triple H – Nice belt !
Christian Cage – Funny, very funny ! Le truc Hunter, c'est que des costumes à trois mille dollars la pièce, tu peux t'en acheter autant que tu en veux. Par contre, ce titre, cette ceinture, tu ne pourras jamais te l'offrir moyennant monnaie.
Triple H – C'est exact, je me l'offrirai en te faisant mordre la poussière.
Christian Cage – Voilà exactement où je voulais en venir, merci. Si j'ai demandé aux lutteurs de l'Attitude Wrestling Corporation de venir ce soir, c'est pour que l'on parle de quelque chose d'important à mes yeux. Personne ici ne me prend au sérieux ! Personne ici ne reconnaît publiquement mes qualités, ainsi que mon statut de champion du monde ! Why ? Personne ne me prenait au sérieux à la WWE lorsque j'ai remporté, deux fois, le titre mondial des poids-lourds et je remarque à mon plus grand désarroi qu'ici aussi, personne ne me donne le respect que je mérite. Pourquoi tout le monde semble persuadé que je vais perdre ce titre lors de Stainless Steel, huh ?
Triple H – Regarde toutes ces personnes autour de nous Christian, et regarde-les dans les yeux surtout. Ne confond pas l'idée que tout le monde est persuadé que tu vas perdre cette ceinture lors de Stainless Steel et le fait que tout le monde ici ait envie de te voir perdre ce titre. La vérité Christian, c'est bien ça. Ils veulent te voir perdre cette ceinture parce qu'ils sont incapables de t'encadrer tout simplement. Le moins que l'on puisse dire, c'est que tu as une personnalité plus ou moins irritante, tu énerves. Mais ne te met dans le rôle de la victime ici parce que moi aussi je traîne mon lot de détracteurs depuis plusieurs années maintenant. In fact, nous en sommes là aujourd'hui parce qu'à nous deux, nous avons battus la quasi-totalité du roster de l'Attitude Wrestling Corporation.
Christian Cage – That's right !
Triple H – Mais le truc Christian, c'est que contrairement à moi, toi, tu donnes envie à ces mecs de te voir plus bas que terre. Tu donnes envie à ces mecs de te casser la gueule, encore et encore. Tu donnes envie à ces mecs de te voir échouer. Tu donnes envie à ces mecs de prendre leur revanche sur toi. Tu es en droit de te demander pourquoi, et je vais t'en donner un exemple. Je vais d'ailleurs prendre le plus récent. Tu te souviens de la semaine dernière, huh ? T'étais sur le point de te faire casser la gueule par les Dudley Boyz. Comme je ne voulais pas affronter quelqu'un de meurtri à Stainless Steel, je suis venu sauver ton cul. Tout le monde connaît la fin de cette histoire, tu es parti, tu m'as laissé tout seul, et je suis passé à travers une table. Ce genre de choses, ce n'est qu'un exemple. Il y a en d'autres avec ces mecs-là autour du ring. Est-ce que tu m'as donné des envies meurtrières, à ton avis ?
Christian Cage – Comme tu l'as dit ailleurs, c'était de bonne guerre.
Triple H regarde Christian Cage, le Game s'approche doucement de son oreille. Pendant ce temps-là, les champions par équipe les Dudley Boyz montent discrètement dans le ring d'Attitude. Ils installent une table derrière Christian Cage et attendent le bon moment.
Triple H – In fact, I'm gonna make your life... a living hell !
3D – Dudley Death Drop through a table !
Booker T – Oh, my godness !
Bill DeMott – Christian Cage vient de passer à travers la table des Dudley, à son tour. Triple H vient de prendre sa revanche par rapport à ce qu'il s'est passé la semaine dernière... Et comme on dirait, c'était de "bonne guerre" !
Booker T – He's gonna get hurt !
Bill DeMott – Ce sont sur ces images que nous allons vous laisser parce que cette soirée est déjà terminée mesdames et messieurs. Nous retrouvons Triple H et Christian Cage la semaine prochaine, pour la traditionnelle signature de contrat en compagnie de Stone Cold Steve Austin. A la semaine prochaine, bitches !
Bubba Ray – Oh my brothers...
Booker T – Testify !
Et il y a de quoi se poser des questions effectivement puisque tous les lutteurs de l'Attitude Wrestling Corporation sont de retour aux abords du ring.
Un dernier homme sort de l'ombre, et il s'agit ni plus ni moins que du champion Attitude en la personne de Christian Cage qui, sans fioritures, monte dans le ring armé d'un microphone.
Christian Cage – Thank you guys to be here, thank...
It's time to play the game, time to play the game ! Mu, ha, ha, ha, ha, ha... Sauf que la seule personne qui ne rigole pas ici, c'est Christian Cage. Vous l'aurez compris, Triple H vient lui aussi de faire son entrée dans l'arène.
Triple H rejoint Christian Cage dans le ring.
Christian Cage – Nice suit !
Triple H – Nice belt !
Christian Cage – Funny, very funny ! Le truc Hunter, c'est que des costumes à trois mille dollars la pièce, tu peux t'en acheter autant que tu en veux. Par contre, ce titre, cette ceinture, tu ne pourras jamais te l'offrir moyennant monnaie.
Triple H – C'est exact, je me l'offrirai en te faisant mordre la poussière.
Christian Cage – Voilà exactement où je voulais en venir, merci. Si j'ai demandé aux lutteurs de l'Attitude Wrestling Corporation de venir ce soir, c'est pour que l'on parle de quelque chose d'important à mes yeux. Personne ici ne me prend au sérieux ! Personne ici ne reconnaît publiquement mes qualités, ainsi que mon statut de champion du monde ! Why ? Personne ne me prenait au sérieux à la WWE lorsque j'ai remporté, deux fois, le titre mondial des poids-lourds et je remarque à mon plus grand désarroi qu'ici aussi, personne ne me donne le respect que je mérite. Pourquoi tout le monde semble persuadé que je vais perdre ce titre lors de Stainless Steel, huh ?
Triple H – Regarde toutes ces personnes autour de nous Christian, et regarde-les dans les yeux surtout. Ne confond pas l'idée que tout le monde est persuadé que tu vas perdre cette ceinture lors de Stainless Steel et le fait que tout le monde ici ait envie de te voir perdre ce titre. La vérité Christian, c'est bien ça. Ils veulent te voir perdre cette ceinture parce qu'ils sont incapables de t'encadrer tout simplement. Le moins que l'on puisse dire, c'est que tu as une personnalité plus ou moins irritante, tu énerves. Mais ne te met dans le rôle de la victime ici parce que moi aussi je traîne mon lot de détracteurs depuis plusieurs années maintenant. In fact, nous en sommes là aujourd'hui parce qu'à nous deux, nous avons battus la quasi-totalité du roster de l'Attitude Wrestling Corporation.
Christian Cage – That's right !
Triple H – Mais le truc Christian, c'est que contrairement à moi, toi, tu donnes envie à ces mecs de te voir plus bas que terre. Tu donnes envie à ces mecs de te casser la gueule, encore et encore. Tu donnes envie à ces mecs de te voir échouer. Tu donnes envie à ces mecs de prendre leur revanche sur toi. Tu es en droit de te demander pourquoi, et je vais t'en donner un exemple. Je vais d'ailleurs prendre le plus récent. Tu te souviens de la semaine dernière, huh ? T'étais sur le point de te faire casser la gueule par les Dudley Boyz. Comme je ne voulais pas affronter quelqu'un de meurtri à Stainless Steel, je suis venu sauver ton cul. Tout le monde connaît la fin de cette histoire, tu es parti, tu m'as laissé tout seul, et je suis passé à travers une table. Ce genre de choses, ce n'est qu'un exemple. Il y a en d'autres avec ces mecs-là autour du ring. Est-ce que tu m'as donné des envies meurtrières, à ton avis ?
Christian Cage – Comme tu l'as dit ailleurs, c'était de bonne guerre.
Triple H regarde Christian Cage, le Game s'approche doucement de son oreille. Pendant ce temps-là, les champions par équipe les Dudley Boyz montent discrètement dans le ring d'Attitude. Ils installent une table derrière Christian Cage et attendent le bon moment.
Triple H – In fact, I'm gonna make your life... a living hell !
3D – Dudley Death Drop through a table !
Booker T – Oh, my godness !
Bill DeMott – Christian Cage vient de passer à travers la table des Dudley, à son tour. Triple H vient de prendre sa revanche par rapport à ce qu'il s'est passé la semaine dernière... Et comme on dirait, c'était de "bonne guerre" !
Booker T – He's gonna get hurt !
Bill DeMott – Ce sont sur ces images que nous allons vous laisser parce que cette soirée est déjà terminée mesdames et messieurs. Nous retrouvons Triple H et Christian Cage la semaine prochaine, pour la traditionnelle signature de contrat en compagnie de Stone Cold Steve Austin. A la semaine prochaine, bitches !
Bubba Ray – Oh my brothers...
Booker T – Testify !
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